L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
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M'enfin
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Ça aussi c'est pratique, mais ça ne tient pas compte de la causalité non plus. Un paquet d'ondes ne peut pas se contracter instantanément en un point, il lui faut du temps, sinon il ne faudrait pas parler d'ondes. Quand les physiciens parlent de probabilités, pour rester dans la logique, il faudrait pouvoir les comprendre aussi bien que nous comprenons les probabilités de la théorie de l'évolution.Critias a écrit:Non, à cause de la réduction du paquet d'onde qui, lors de la mesure, réduit la particule à une seule position.M'enfin a écrit:C'est un peu comme la définition de Dieu alors: partout à la fois, donc accessible en tout point instantanément! C'est pratique comme définition, mais ça contrevient un tantinet à la causalité, non?La particule est diffusée dans l'espace en entier. Et il parait évident, qu'un objet présent en chaque point de l'espace (un champ) ne peut se mouvoir en un autre point de l'espace puisque par définition il est présent en tout point.
Un concept qui ne peut pas s'exprimer par des mots n'est pas vraiment un concept, et les mathématiques peuvent être aussi trompeuses que les mots. Il suffit de réaliser que des illogismes sont ajoutés aux concepts pour comprendre que, pour ne pas changer la théorie mais faire progresser la recherche, les physiciens laissent tomber la logique. Au début de ton article sur les champs quantiques, les deux électrons échangent des photons virtuels, mais ils sont justement nommés virtuels parce qu'ils contreviennent à la loi de conservation de l'énergie. Je cite:Mais personne peut expliquer par des mots succinctement la mécanique quantique et encore plus la théorie quantique des champs car beaucoup de mots ,non-mathématiques sont trompeurs. Et pour appréhender clairement les phénomènes cela ne peut se comprendre que purement par des arguments mathématiques.
C'est pratique comme excuse, mais ça sert seulement à ajuster les mathématiques à la théorie. C'est certain qu'en se fiant uniquement à ce genre de développement mathématique qui met de côté la logique, il est pratiquement impossible d'admettre les petits pas. Pourtant, eux respectent la logique: ils échangent des photons qui viennent des pas désynchronisés entre leurs composants, et qui sont donc bel et bien réels pour eux. Les physiciens ne devraient pas supposer que des photons peuvent contrevenir aux lois de la physique, ils devraient seulement supposer qu'ils sont actuellement inobservables pour nous, mais pas pour les particules, et ajouter que leur cause est présentement inconnue. De cette manière, ils pourraient continuer de développer les mathématiques, mais il n'y aurait plus d'ambiguïté sur la logique, ce qui leur permettrait peut-être de remettre plus profondément en question la théorie.Sciences.ch a écrit:Malgré cela, pendant un temps dt, le système contient une quantité d'énergie supplémentaire hv correspondant au photon. Pendant ce temps dt, la conservation de l'énergie est apparemment violée! Peut-on tolérer cette situation? La réponse, donnée par la physique moderne, est oui; mais elle ne peut jamais être observée.
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Ça aussi c'est pratique, mais ça ne tient pas compte de la causalité non plus. Un paquet d'ondes ne peut pas se contracter instantanément en un point, il lui faut du temps, sinon il ne faudrait pas parler d'ondes. Quand les physiciens parlent de probabilités, pour rester dans la logique, il faudrait pouvoir les comprendre aussi bien que nous comprenons les probabilités de la théorie de l'évolution.Critias a écrit:Non, à cause de la réduction du paquet d'onde qui, lors de la mesure, réduit la particule à une seule position.M'enfin a écrit:C'est un peu comme la définition de Dieu alors: partout à la fois, donc accessible en tout point instantanément! C'est pratique comme définition, mais ça contrevient un tantinet à la causalité, non?La particule est diffusée dans l'espace en entier. Et il parait évident, qu'un objet présent en chaque point de l'espace (un champ) ne peut se mouvoir en un autre point de l'espace puisque par définition il est présent en tout point.Un concept qui ne peut pas s'exprimer par des mots n'est pas vraiment un concept, et les mathématiques peuvent être aussi trompeuses que les mots. Il suffit de réaliser que des illogismes sont ajoutés aux concepts pour comprendre que, pour ne pas changer la théorie mais faire progresser la recherche, les physiciens laissent tomber la logique. Au début de ton article sur les champs quantiques, les deux électrons échangent des photons virtuels, mais ils sont justement nommés virtuels parce qu'ils contreviennent à la loi de conservation de l'énergie. Je cite:Mais personne peut expliquer par des mots succinctement la mécanique quantique et encore plus la théorie quantique des champs car beaucoup de mots ,non-mathématiques sont trompeurs. Et pour appréhender clairement les phénomènes cela ne peut se comprendre que purement par des arguments mathématiques.C'est pratique comme excuse, mais ça sert seulement à ajuster les mathématiques à la théorie. C'est certain qu'en se fiant uniquement à ce genre de développement mathématique qui met de côté la logique, il est pratiquement impossible d'admettre les petits pas. Pourtant, eux respectent la logique: ils échangent des photons qui viennent des pas désynchronisés entre leurs composants, et qui sont donc bel et bien réels pour eux. Les physiciens ne devraient pas supposer que des photons peuvent contrevenir aux lois de la physique, ils devraient seulement supposer qu'ils sont actuellement inobservables pour nous, mais pas pour les particules, et ajouter que leur cause est présentement inconnue. De cette manière, ils pourraient continuer de développer les mathématiques, mais il n'y aurait plus d'ambiguïté sur la logique, ce qui leur permettrait peut-être de remettre plus profondément en question la théorie.Sciences.ch a écrit:Malgré cela, pendant un temps dt, le système contient une quantité d'énergie supplémentaire hv correspondant au photon. Pendant ce temps dt, la conservation de l'énergie est apparemment violée! Peut-on tolérer cette situation? La réponse, donnée par la physique moderne, est oui; mais elle ne peut jamais être observée.
Si ça tient compte de la causalité, car ces ondes sont des ondes de probabilités, ce ne sont pas vraiment des ondes physiques, pourtant on peut leur attribuer toutes les propriétés des ondes, comme une amplitude. Disons que le modèle de l'onde est parfait pour décrire la répartition de probabilité de la position de la particule.
Tu confonds logique et rationnalité/raison. La raison comme tu le dis c'est "le bon sens". La logique c'est complètement autre chose. Et pour te prouver que la théorie quantique est complètement logique et cohérente, il suffit que tu te penches sur la logique multivalente qui s'adapte parfaitement à la mécanique quantique.
La raison n'est même pas quelque chose de fixe, c'est quelque chose qui évolue. Avant la raison se résumer à : "je crois ce que je vois", ainsi ils ne devaient sans doute pas croire aux ondes électromagnétiques invisibles, pourtant elles existent bel et bien et toi même tu ne le nies pas.
Ce qui est véritablement maître, c'est l’expérience, l'onde électromagnétique a été acceptée grâce à l'expérience, la mécanique quantique aussi.
On peut inventé un mot pour chaque concept, c'est très simple, il suffit de penser au concept, et d'écrire un enchaînement de caractères qui correspond pour à ce concept. Et dans un sens, l'écriture mathématique et les mots sont un langage, un ensemble de symboles qui ont un sens. Nier l'écriture mathématique, c'est comme nier qu'écrire en chinois ait un sens pour le français.
Les "illogismes" ont pour valeur argumentative 0 car rigoureusement parlant en logique ça n'existe pas et la raison est subjective. Ce qui est raisonnable dépend de l'époque, du lieu, de la communauté, de la sensibilité de la personne.
Ce développement mathématique est au contraire, parfaitement logique et rigoureux. Tu mélanges un peu logique/raison après.
Puis tu as encore mal compris, puisque les photons virtuels sont des bosons de champ, ils sont contenus intrinsèquement dans le champ comme quantum du champ. Comme le boson de Higgs contenu de facto dans le champ de Higgs comme quantum de ce champ, il est inobservable, pour le détecter il a fallu fournir au vide (au champ) une quantité suffisamment importante d'énergie pour que le Higgs apparaisse véritablement mais en fait, il est inobservable et sert de quantum d'interaction entre le champ et les particules.
Puis, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, ce qui compte en physique c'est l'expérience. Or, on a bien détecté le boson de Higgs et c'est tout ce qui compte. Les prédictions de la mécanique quantique ont été vérifiée à 10-10 près. Cependant on a jamais observé d'onde stationnaire (bien réelle j'ai cru comprendre...) même avec le LHC qui peut détecter à l'échelle du quark...
Critias- Affranchi des Paradoxes
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Pour détecter une onde stationnaire, il faut placer un détecteur entre les deux oscillateurs et en rechercher les nœuds en déplaçant le détecteur. C'est très facile à réaliser avec des ondes sonores, mais dans le cas de deux atomes, il faudrait faire passer entre eux des particules massives capables d'être influencées par l'onde, mais suffisamment petites pour ne pas la perturber. Un des problèmes qu'on aurait, c'est que plus les particules sont petites, plus elles sont énergétiques, et plus elles risquent de perturber les atomes en s'approchant d'eux, ce qui affecterait leur onde stationnaire et fausserait les résultats.
J'ai l'habitude de dire que la raison, c'est uniquement celle du plus fort, donc que nos raisons sont fondamentalement toutes des excuses, c'est pourquoi je parle de logique pour distinguer ce qui est possible de ce qui ne l'est pas, ce qui se résume pour moi à respecter la causalité, laquelle concerne le temps qu'il faut pour franchir une distance. De cette manière, pour déterminer si une interaction est possible, il suffit de se demander si elle peut se produire de manière instantanée. Si elle le peut, c'est qu'elle est impossible. Lire la pensée des autres, léviter, plier des fourchettes, parler avec Dieu, lire l'avenir, etc, sont toutes des interactions qui ne nécessitent pas de temps, ce qui signifie pour moi qu'elles sont impossibles à réaliser pour nous. Mais il en va de même pour les particules: il y a des interactions qu'elles ne peuvent pas non plus réaliser sans briser la causalité, et on peut les déterminer de la même manière.
Les mots et les maths sont effectivement deux langages qui contiennent du sens, mais autant on peut dire des choses insensées avec les mots, autant on peut en dire avec les maths: voilà pourquoi je sais qu'ajouter des maths aux petits pas ne convaincrait personne. Les épicycles contenaient beaucoup de maths mais il s'est avéré qu'ils manquaient de logique: à cause de l'importance accordée à l'époque à l'impossibilité de Dieu, les chercheurs accordaient trop d'importance à la position de l'observateur. N'est-ce pas ce que nous faisons quand nous observons les atomes: accorder trop d'importance à nos propres détections? Que faisons-nous de toutes les interactions que les particules ont entre elles? Ne sont-elles pas elles aussi des détecteurs l'une pour l'autre? Nous sommes-nous demandé si leur fonction d'onde était réduite quand elles échangent des trains de photons virtuels?
J'ai l'habitude de dire que la raison, c'est uniquement celle du plus fort, donc que nos raisons sont fondamentalement toutes des excuses, c'est pourquoi je parle de logique pour distinguer ce qui est possible de ce qui ne l'est pas, ce qui se résume pour moi à respecter la causalité, laquelle concerne le temps qu'il faut pour franchir une distance. De cette manière, pour déterminer si une interaction est possible, il suffit de se demander si elle peut se produire de manière instantanée. Si elle le peut, c'est qu'elle est impossible. Lire la pensée des autres, léviter, plier des fourchettes, parler avec Dieu, lire l'avenir, etc, sont toutes des interactions qui ne nécessitent pas de temps, ce qui signifie pour moi qu'elles sont impossibles à réaliser pour nous. Mais il en va de même pour les particules: il y a des interactions qu'elles ne peuvent pas non plus réaliser sans briser la causalité, et on peut les déterminer de la même manière.
Les mots et les maths sont effectivement deux langages qui contiennent du sens, mais autant on peut dire des choses insensées avec les mots, autant on peut en dire avec les maths: voilà pourquoi je sais qu'ajouter des maths aux petits pas ne convaincrait personne. Les épicycles contenaient beaucoup de maths mais il s'est avéré qu'ils manquaient de logique: à cause de l'importance accordée à l'époque à l'impossibilité de Dieu, les chercheurs accordaient trop d'importance à la position de l'observateur. N'est-ce pas ce que nous faisons quand nous observons les atomes: accorder trop d'importance à nos propres détections? Que faisons-nous de toutes les interactions que les particules ont entre elles? Ne sont-elles pas elles aussi des détecteurs l'une pour l'autre? Nous sommes-nous demandé si leur fonction d'onde était réduite quand elles échangent des trains de photons virtuels?
M'enfin- Le Repteux
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Pour détecter une onde stationnaire, il faut placer un détecteur entre les deux oscillateurs et en rechercher les nœuds en déplaçant le détecteur. C'est très facile à réaliser avec des ondes sonores, mais dans le cas de deux atomes, il faudrait faire passer entre eux des particules massives capables d'être influencées par l'onde, mais suffisamment petites pour ne pas la perturber. Un des problèmes qu'on aurait, c'est que plus les particules sont petites, plus elles sont énergétiques, et plus elles risquent de perturber les atomes en s'approchant d'eux, ce qui affecterait leur onde stationnaire et fausserait les résultats.
J'ai l'habitude de dire que la raison, c'est uniquement celle du plus fort, donc que nos raisons sont fondamentalement toutes des excuses, c'est pourquoi je parle de logique pour distinguer ce qui est possible de ce qui ne l'est pas, ce qui se résume pour moi à respecter la causalité, laquelle concerne le temps qu'il faut pour franchir une distance. De cette manière, pour déterminer si une interaction est possible, il suffit de se demander si elle peut se produire de manière instantanée. Si elle le peut, c'est qu'elle est impossible. Lire la pensée des autres, léviter, plier des fourchettes, parler avec Dieu, lire l'avenir, etc, sont toutes des interactions qui ne nécessitent pas de temps, ce qui signifie pour moi qu'elles sont impossibles à réaliser pour nous. Mais il en va de même pour les particules: il y a des interactions qu'elles ne peuvent pas non plus réaliser sans briser la causalité, et on peut les déterminer de la même manière.
Les mots et les maths sont effectivement deux langages qui contiennent du sens, mais autant on peut dire des choses insensées avec les mots, autant on peut en dire avec les maths: voilà pourquoi je sais qu'ajouter des maths aux petits pas ne convaincrait personne. Les épicycles contenaient beaucoup de maths mais il s'est avéré qu'ils manquaient de logique: à cause de l'importance accordée à l'époque à l'impossibilité de Dieu, les chercheurs accordaient trop d'importance à la position de l'observateur. N'est-ce pas ce que nous faisons quand nous observons les atomes: accorder trop d'importance à nos propres détections? Que faisons-nous de toutes les interactions que les particules ont entre elles? Ne sont-elles pas elles aussi des détecteurs l'une pour l'autre? Nous sommes-nous demandé si leur fonction d'onde était réduite quand elles échangent des trains de photons virtuels?
La logique n'a rien à voir avec ça. La logique, c'est l'étude des mathématiques en tant que langage, en particulier l'étude des prédicats mathématiques.
Le principe de causalité affirme simplement que l'effet ne peut précéder la cause, ce qui est évidemment contestable. Et le fait qu'une interaction se propage de manière instantanée n'a rien à voir avec la causalité mais avec la finitude de la vitesse de propagation d'une information. La théorie newtonienne gravitationnelle est causale même si elle considère que la propagation est instantanée.
Sauf qu'avec les maths c'est toujours vrai au sens de la démonstration dans le cadre des axiomes. Et cette vérité "au sens de la démonstration" a bien montré depuis 300 ans qu'elle correspond à l'expérience.
La théorie des épicycles n'est pas fausse, on peut l'utiliser dans certaines conditions et elle donne de très bons résultats. "Il ne manquait" pas de logique du tout, d'ailleurs la logique n'a rien à voir avec ça car la logique dépend des axiomes qu'on se donne, il n'existe pas de "logique", il manquait de quelle logique ? Il manquait peut être un peu de logique Aristotélicienne ? De théorie des ensembles ?
De plus, maintenant que j'y pense, en relativité restreinte la notion de simultanéité disparaît, on voit mal comment des petits pas peuvent être synchrones. Synchrone pour qui ?
La science c'est l'expérience, peut importe la théorie mathématisée ou pas, ce qui compte ce sont ses prédictions. Une théorie qui prédit certaines choses n'est pas "fausses", elle est seulement restreinte à son domaine d'application. Pour distinguer une théorie scientifique d'une théorie non-scientifique, Karl Popper a formulé son très juste critère de réfutabilité qui définit une théorie scientifique comme une théorie pouvant être réfutée par l'expérience, ce qui implique d'une part qu'on peut faire des expériences pour la tester et d'autre part qu'elle ne s'adapte pas à l'expérience (donc qu'elle soit tout le temps vraie).
Fais des prédictions nouvelles, faisables, envoi ton expérience au CERN, réussit ta prédiction et après on en reparle.
Critias- Affranchi des Paradoxes
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:C'est complètement illogique de voir les corps se mouvoir au niveau macroscopique et de prétendre qu'ils ne se meuvent pas au niveau microscopique juste parce qu'on ne peut pas en mesurer les paramètres.
Aucun rapport, M'enfin. Au niveau microcosmiqus, il ne s'agit pas de corps mais de corpuscules, c'est à dire de paquets d'énergie quantique qui sont identifiés grâce à leur charge et à leur masse (et leur source également). Il ne s'agit pas de corps se déplaçant dans l'espace, mais d'états de propagation (des émissions, des rayonnements, des interactions....) qui, justement, ne sont pas observables en tant qu'objets se déplaçant dans l'espace.
Il a beau être non localisé, le champ gravitationnel terrestre se déplace bel et bien avec la terre, non?
Cette objection n'a aucun rapport avec le principe de localité ou de non-localité, tel qu'il est défini dans la physique quantique.
Si tu parles du champ gravitationnel terrestre, c'est toi-même qui en fait un phénomène localisé.
Mais un champ gravitationnel est produit par tout corps possédant une masse; tous les corps massiques, qu'ils soient distants ou pas, produisent un champ gravitationnel, sans échanger particulièrement d'informations entre eux.
A la base donc, ce champ gravitationnel est non-local mais il peut éventuellement devenir local - si une interaction gravitationnelle directe se produit avec un autre corps distant.
Quand une particule chargée est accélérée, son champ électrique se déplace avec elle, non?
Si ce champ électrique "appartient" à la particule, alors c'est qu'il la compose : le noyau et le champ électronique composent l'atome par exemple, sont parties intégrantes de sa structure, de sa cohésion et de sa force.
Et ça n'a pas de rapport avec la non-localité, encore une fois.
Les photons virtuels sont des ondes que les atomes échangent, ce qui justifie la présence d'effet doppler entre eux.
Toujours aucun rapport.
L'effet doppler permet de déterminer la vitesse d'éloignement ou de rapprochement d'une source d'onde..
Les photons ne justifient pas l'effet doppler.
L'effet doppler n'est justifié que si l'on a besoin de mesurer le décalage des longueurs d'ondes, afin de déterminer la vitesse d'éloignement de la source qui les émet. Sachant que cette vitesse et cet éloignement sont relatifs au mouvement du récepteur.
Ce que tu veux dire c'est que, mesuré à partir de son centre, un champ ne varie pas.
Il ne s'agit pas de variations mais de déplacement.
D'accord, pour un point donné au sol, le champ gravitationnel terrestre ne varie pas, mais pour tout autre point qui se déplace radialement par rapport au centre de la terre, il varie, et il varie aussi pour un corps chargé qui se déplace radialement par rapport à l'observateur. Alors, si ce corps accélère soudainement en direction de l'observateur, est-ce que la variation de son champ atteindra instantanément l'observateur?
Encore et toujours aucun rapport : On ne sait même plus de quoi il est question.
Je n'utilise pas le reste de la théorie parce que je n'en ai pas besoin, pas parce que ça contrevient à ma thèse.
L'ordre n'exclue pas le capharnaüm.
Tu es atteint du syndrome de vérité?
C'est un syndrome pour toi? Pas étonnant alors que tu racontes n'importe quoi.
C'est une maladie de croyant ça! Ça ne fait probablement pas assez longtemps que tu as laissé tomber la religion. Malheureusement pour les autres, et peut-être pour l'humanité un jour, quand on croit posséder la vérité, nos manières nous paraissent toutes bonnes.
Aucune différence entre une thèse créationniste qui prend des extraits de théories scientifiques en otage pour les déformer, et ta propre manière de procéder. C'est du même acabit.
Voilà la vérité.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Bonne question, qui va me permettre de montrer jusqu'à quel point les deux approches sont différentes. Dans les deux cas, il s'agit d'expliquer le mouvement en sachant que l'information à son sujet se déplace à C: Einstein a choisi d'étudier le mécanisme vu de l'extérieur, moi, de l'intérieur. Dans le cas d'Einstein, un corps en mouvement par rapport à un observateur est composé de corps qui ne le sont pas les uns par rapport aux autres, et il lui faut découvrir comment l'observateur externe va percevoir l'information qui circule entre ces derniers. Dans mon cas, l'observateur est un des atomes, et je dois découvrir comment il va percevoir l'information en provenance de l'autre atome avant et après qu'ils aient subit une accélération.Critias a écrit:De plus, maintenant que j'y pense, en relativité restreinte la notion de simultanéité disparaît, on voit mal comment des petits pas peuvent être synchrones. Synchrone pour qui ?
La simultanéité est impossible à observer dans les deux cas, sauf que dans mon cas, les atomes agissent pour demeurer synchronisés. Un atome ne peut pas savoir à quel moment l'autre atome émet ses impulsions lumineuses, mais en avançant ou en reculant pour que les siennes coïncident constamment à celles de l'autre, il y demeure nécessairement synchronisé, et si tous les atomes de l'univers font la même chose, on peut imaginer qu'ils sont tous synchronisés ensembles. Mais les deux approches finissent par se rejoindre, parce que quand je veux accélérer un corps à une vitesse proche de celle de C, constitués de petites accélérations suivies de décélération, les pas que ses atomes doivent exécuter pour justifier cette vitesse s'en approchent encore plus, et ils résisteront de plus en plus à accélérer d'avantage parce que c'est justement la lumière qui les produit.
Voilà comment les atomes augmenteraient de masse quand ils sont accélérés, un effet qui ne viendrait pas d'un ralentissement temporel, mais au contraire, du fait que les atomes ne peuvent justement pas changer la fréquence de leurs pas parce qu'elle est liée à la fréquence des impulsions lumineuses qu'ils émettent.
M'enfin- Le Repteux
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Félicitation, tu t'es amélioré: pas d'insulte dans ton message, c'est toujours ça de pris!Dedale a écrit:L'effet doppler n'est justifié que si l'on a besoin de mesurer le décalage des longueurs d'ondes, afin de déterminer la vitesse d'éloignement de la source qui les émet. Sachant que cette vitesse et cet éloignement sont relatifs au mouvementdu récepteurentre le récepteur et l'émetteur.
Pour mesurer l'effet doppler, il faut deux émetteurs/récepteurs distants, et il faut qu'ils soient synchronisés. Nous pouvons mesurer si une étoile s'approche ou s'éloigne de nous seulement si ses atomes émettent les mêmes fréquences que celles des atomes de nos détecteurs. Il faut donc que ce soient les mêmes atomes qui émettent ces fréquences, et ils doivent être synchronisés pour que nous puissions les comparer entre elles. Pour qu'un atome absorbe un photon, il faut qu'il soit de la bonne fréquence, mais si cet atome s'approche ou s'éloigne de l'atome qui l'a émis, la fréquence du photon incident change. Nonobstant ce changement, si la fréquence du photon incident coïncide à la bonne fréquence, il va être absorbé, ce qui signifie que les atomes sont sensibles à l'effet doppler. Ce n'est donc pas nous qui avons inventé cet effet comme tu sembles le croire puisque les atomes l'utilisent depuis toujours, et s'ils l'utilisent entre deux étoiles, ils peuvent vraisemblablement l'utiliser aussi quand ils font partie de la même molécule.
Ça sent l'encens!Voilà la vérité
M'enfin- Le Repteux
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Bonne question, qui va me permettre de montrer jusqu'à quel point les deux approches sont différentes. Dans les deux cas, il s'agit d'expliquer le mouvement en sachant que l'information à son sujet se déplace à C: Einstein a choisi d'étudier le mécanisme vu de l'extérieur, moi, de l'intérieur. Dans le cas d'Einstein, un corps en mouvement par rapport à un observateur est composé de corps qui ne le sont pas les uns par rapport aux autres, et il lui faut découvrir comment l'observateur externe va percevoir l'information qui circule entre ces derniers. Dans mon cas, l'observateur est un des atomes, et je dois découvrir comment il va percevoir l'information en provenance de l'autre atome avant et après qu'ils aient subit une accélération.Critias a écrit:De plus, maintenant que j'y pense, en relativité restreinte la notion de simultanéité disparaît, on voit mal comment des petits pas peuvent être synchrones. Synchrone pour qui ?
La simultanéité est impossible à observer dans les deux cas, sauf que dans mon cas, les atomes agissent pour demeurer synchronisés. Un atome ne peut pas savoir à quel moment l'autre atome émet ses impulsions lumineuses, mais en avançant ou en reculant pour que les siennes coïncident constamment à celles de l'autre, il y demeure nécessairement synchronisé, et si tous les atomes de l'univers font la même chose, on peut imaginer qu'ils sont tous synchronisés ensembles. Mais les deux approches finissent par se rejoindre, parce que quand je veux accélérer un corps à une vitesse proche de celle de C, constitués de petites accélérations suivies de décélération, les pas que ses atomes doivent exécuter pour justifier cette vitesse s'en approchent encore plus, et ils résisteront de plus en plus à accélérer d'avantage parce que c'est justement la lumière qui les produit.
Voilà comment les atomes augmenteraient de masse quand ils sont accélérés, un effet qui ne viendrait pas d'un ralentissement temporel, mais au contraire, du fait que les atomes ne peuvent justement pas changer la fréquence de leurs pas parce qu'elle est liée à la fréquence des impulsions lumineuses qu'ils émettent.
La théorie d'Einstein traite les deux cas. Il suffit de changer de référentiel par des transformations de Lorentz pour pouvoir mesurer toutes les observables dans l'autre référentiel. On peut passer d'un référentiel où un observateur étudie un corps à ce corps lui même simplement en effectuant une transformation de Lorentz. Quant à savoir ce que les atomes ressentent réellement, cela n'a aucun sens physique et scientifique.
Critias- Affranchi des Paradoxes
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Pour mesurer l'effet doppler, il faut deux émetteurs/récepteurs distants, et il faut qu'ils soient synchronisés. Nous pouvons mesurer si une étoile s'approche ou s'éloigne de nous seulement si ses atomes émettent les mêmes fréquences que celles des atomes de nos détecteurs. Il faut donc que ce soient les mêmes atomes qui émettent ces fréquences, et ils doivent être synchronisés pour que nous puissions les comparer entre elles. Pour qu'un atome absorbe un photon, il faut qu'il soit de la bonne fréquence, mais si cet atome s'approche ou s'éloigne de l'atome qui l'a émis, la fréquence du photon incident change. Nonobstant ce changement, si la fréquence du photon incident coïncide à la bonne fréquence, il va être absorbé, ce qui signifie que les atomes sont sensibles à l'effet doppler. Ce n'est donc pas nous qui avons inventé cet effet comme tu sembles le croire puisque les atomes l'utilisent depuis toujours, et s'ils l'utilisent entre deux étoiles, ils peuvent vraisemblablement l'utiliser aussi quand ils font partie de la même molécule.
L'effet doppler n'a aucun rapport avec ce que tu raconte.
N'importe qui, qui fait l'effort de se renseigner un peu, vois tout de suite que tu es à côté de la plaque.
Tu n'as strictement rien pompé à tout ça.
On ne mesure pas l'effet doppler, l'effet doppler est le produit d'une mesure.
Ce que l'on mesure, c'est l'amplitude d'une onde qui est émise par une source qui se déplace.
il faut deux émetteurs/récepteurs distants, et il faut qu'ils soient synchronisés
ca c'est toi qui l'invente.
Il faut une sourcer émettrice d'ondes et un récepteur qui permet d'observer le décalage des longueurs d'ondes. C'est tout.
Nous pouvons mesurer si une étoile s'approche ou s'éloigne de nous seulement si ses atomes émettent les mêmes fréquences que celles des atomes de nos détecteurs.
Renseigne-toi. C'est le spectre lumineux qui est observé, le redshift-blueshift (décalage dans le spectre produit pas l'éloignement de la source)
Cette lumière des étoiles, des galaxies, est émise par la réaction thermonucléaire de l'hydrogène.
Comme déjà expliqué, tu confonds le doppler avec les raies spectrales qui, elles, permettent d'identifier les composants chimiques des corps.
Il faut donc que ce soient les mêmes atomes qui émettent ces fréquences
L'effet doppler concerne les longueurs d'onde de la lumière (onde EM) émise par des sources (étoiles, galaxies, etc)
Tes histoires d'atomes sont hors propos.
et ils doivent être synchronisés pour que nous puissions les comparer entre elles.
Quelle comparaison? On mesure le décalage qui se produit dans les longueurs d'ondes EM.
Pour qu'un atome absorbe un photon, il faut qu'il soit de la bonne fréquence, mais si cet atome s'approche ou s'éloigne de l'atome qui l'a émis, la fréquence du photon incident change. Nonobstant ce changement, si la fréquence du photon incident coïncide à la bonne fréquence, il va être absorbé, ce qui signifie que les atomes sont sensibles à l'effet doppler.
L'effet doppler ne concerne que les longueurs d'onde., peu importe si ce sont des Gamma, des X, des ondes acoustiques ou EM.
Ce n'est donc pas nous qui avons inventé cet effet comme tu sembles le croire
Contrairement à toi, je sais ce que c'est, tout simplement.
je n'ai besoin de rien inventer de grotesque.
puisque les atomes l'utilisent depuis toujours, et s'ils l'utilisent entre deux étoiles, ils peuvent vraisemblablement l'utiliser aussi quand ils font partie de la même molécule.
L'effet doppler est un décalage dans les longueurs d'ondes. C'est un effet de la relativité, produit par l'éloignement et la vitesse, mais l'onde en elle-même ne change pas.
Quant à tes atomes et tes molécules, il faudra que tu revoies leur modèle à la base, tu es en pleine dérive imaginaire.
Le atomes n'utilise pas l'effet doppler - pas tel qu'il est décrit dans les sciences, en tout cas.
Je croyais que tu avais compris, depuis le temps.
Ton "explication" est nulle.
Un photon n'a pas besoin d'être à la bonne fréquence puisque sa fréquence est constante ('h' de Planck).
C'est un photo-électron, donc c'est sa charge 'électronique' qui interfère le champ électronique de l'atome. (je simplifie)
Mais cette charge du photon n'a aucun rapport avec l'effet doppler, puisque quelle que soit la longueur d'onde, l'interférence en question se produira.
Quelle que soit son amplitude, le champ EM de la lumière excitera le champ électronique, voire la structure, de l'atome.
Donc l'utilisation de l'effet doppler par les atomes, c'est comme le marteau à bomber le verre.
Si tu persistes, je vais finir par penser que tu es réellement sérieux.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
(Wiki) "L'effet Doppler ou effet Doppler-Fizeau est le décalage de fréquence d’une onde (onde mécanique, acoustique, électromagnétique, etc.) entre la mesure à l'émission et la mesure à la réception lorsque la distance entre l'émetteur et le récepteur varie au cours du temps.."dedale a écrit:On ne mesure pas l'effet doppler, l'effet doppler est le produit d'une mesure.M'enfin a écrit:Pour mesurer l'effet doppler, il faut deux émetteurs/récepteurs distants, et il faut qu'ils soient synchronisés. Nous pouvons mesurer si une étoile s'approche ou s'éloigne de nous seulement si ses atomes émettent les mêmes fréquences que celles des atomes de nos détecteurs. Il faut donc que ce soient les mêmes atomes qui émettent ces fréquences, et ils doivent être synchronisés pour que nous puissions les comparer entre elles. Pour qu'un atome absorbe un photon, il faut qu'il soit de la bonne fréquence, mais si cet atome s'approche ou s'éloigne de l'atome qui l'a émis, la fréquence du photon incident change. Nonobstant ce changement, si la fréquence du photon incident coïncide à la bonne fréquence, il va être absorbé, ce qui signifie que les atomes sont sensibles à l'effet doppler. Ce n'est donc pas nous qui avons inventé cet effet comme tu sembles le croire puisque les atomes l'utilisent depuis toujours, et s'ils l'utilisent entre deux étoiles, ils peuvent vraisemblablement l'utiliser aussi quand ils font partie de la même molécule.
Ce que l'on mesure, c'est l'amplitude d'une onde qui est émise par une source qui se déplace.
Ce qu'on mesure, c'est ce décalage de fréquence, et non d'amplitude comme tu le dis. Tu es tellement certain que je me trompe que tu ne te relis même pas!
Explique nous comment le récepteur permettrait d'observer un décalage de fréquence s'il ne produisait pas la fréquence de référence lui-même.Dedale a écrit:ca c'est toi qui l'invente.il faut deux émetteurs/récepteurs distants, et il faut qu'ils soient synchronisés
Il faut une sourcer émettrice d'ondes et un récepteur qui permet d'observer le décalage des longueurs d'ondes. C'est tout.
(Wiki) "L’effet Doppler permet de déterminer directement la vitesse radiale d’une étoile. En effet, en étudiant le spectre d’un astre, on constate que les raies spectrales sont décalées en longueur d’onde par rapport aux mêmes raies observées en laboratoire. Le décalage d’une raie visible se produit soit vers le rouge, ce qui indique que l’étoile s’éloigne, soit vers le bleu, si elle se rapproche."Dedale a écrit:Renseigne-toi. C'est le spectre lumineux qui est observé, le redshift-blueshift (décalage dans le spectre produit pas l'éloignement de la source)......Comme déjà expliqué, tu confonds le doppler avec les raies spectrales qui, elles, permettent d'identifier les composants chimiques des corps.Nous pouvons mesurer si une étoile s'approche ou s'éloigne de nous seulement si ses atomes émettent les mêmes fréquences que celles des atomes de nos détecteurs.
Comme tu peux le voir, et contrairement à ce que tu as dit, ce sont bel et bien les raies spectrales qui permettent de mesurer le décalage doppler. Ces raies sont la signature des atomes, elles représentent l'ensemble des fréquences qu'un atome émet, et la seule manière de mesurer leur décalage, c'est de les comparer avec les mêmes raies produites en laboratoire (dixit wiki). Comme je le disais, il faut donc bel et bien deux émetteurs de même fréquence pour pouvoir mesurer le décalage doppler.
Dire qu'une étoile émet de la lumière est imprécis, ce sont ses atomes qui le font.Dedale a écrit:L'effet doppler concerne les longueurs d'onde de la lumière (onde EM) émise par des sources (étoiles, galaxies, etc)Il faut donc que ce soient les mêmes atomes qui émettent ces fréquences
Tes histoires d'atomes sont hors propos.
Je disais que les atomes étaient sensibles à l'effet doppler: tu es d'accord ou pas?Dedale a écrit:L'effet doppler ne concerne que les longueurs d'onde., peu importe si ce sont des Gamma, des X, des ondes acoustiques ou EM.Pour qu'un atome absorbe un photon, il faut qu'il soit de la bonne fréquence, mais si cet atome s'approche ou s'éloigne de l'atome qui l'a émis, la fréquence du photon incident change. Nonobstant ce changement, si la fréquence du photon incident coïncide à la bonne fréquence, il va être absorbé, ce qui signifie que les atomes sont sensibles à l'effet doppler.
Les transitions électroniques des atomes sont extrêmement précises: un électron ne change de couche électronique que s'il est affecté par un photon de fréquence précise, et il produit un photon de même fréquence en subissant la transition inverse. Un photon qui ne possède pas la bonne fréquence ne sera pas absorbé par cet électron, et il risque de ne pas être absorbé du tout par cet atome, ce qui sera le cas si sa fréquence est suffisamment affectée par l'effet doppler. Cet effet est d'ailleurs couramment utilisé en spectroscopie Mössbauer. ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] )Dedale a écrit:Ce n'est donc pas nous qui avons inventé cet effet comme tu sembles le croire
Contrairement à toi, je sais ce que c'est, tout simplement.
je n'ai besoin de rien inventer de grotesque.
Le atomes n'utilise pas l'effet doppler - pas tel qu'il est décrit dans les sciences, en tout cas.
Je croyais que tu avais compris, depuis le temps.
Ton "explication" est nulle.
Un photon n'a pas besoin d'être à la bonne fréquence puisque sa fréquence est constante ('h' de Planck).
C'est un photo-électron, donc c'est sa charge 'électronique' qui interfère le champ électronique de l'atome. (je simplifie)
Mais cette charge du photon n'a aucun rapport avec l'effet doppler, puisque quelle que soit la longueur d'onde, l'interférence en question se produira.
Quelle que soit son amplitude, le champ EM de la lumière excitera le champ électronique, voire la structure, de l'atome.
Donc l'utilisation de l'effet doppler par les atomes, c'est comme le marteau à bomber le verre.
Si tu persistes, je vais finir par penser que tu es réellement sérieux.
Fais attention, je commence à percevoir des insultes. C'est probablement l'effet doppler: tes mots augmentent d'énergie à cause du mouvement d'opposition entre nous. Pour compenser, prend un peu de recul quand tu me parles ou quand tu me lis.
Dernière édition par M'enfin le Jeu 14 Mai 2015 - 17:25, édité 1 fois
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Oui, je sais, mais la Relativité ne tient pas compte de la possibilité que les atomes exécutent des pas pour ajuster leur fréquence propre à celle des impulsions lumineuses incidentes, elle ne tient pas compte de la possibilité que ce soit les pas des atomes qui entretiennent le mouvement dit relatif.Critias a écrit:La théorie d'Einstein traite les deux cas. Il suffit de changer de référentiel par des transformations de Lorentz pour pouvoir mesurer toutes les observables dans l'autre référentiel. On peut passer d'un référentiel où un observateur étudie un corps à ce corps lui même simplement en effectuant une transformation de Lorentz.
Non, mais qu'ils soient capables d'agir pour répondre au besoin de conserver leur intégrité les rapprocherait un peu plus de nous, ce qui nous enlèverait un peu de notre anthropocentrisme, et nous permettrait peut-être d'être un peu plus objectifs dans nos concepts. La résistance offerte au concept de l'héliocentrisme est l'exemple type de la difficulté que nous avons à être objectifs dans nos concepts. Proposer qu'un atome puisse percevoir une information met tout le monde sur la défensive: c'est si difficile que ça d'accepter de s'imaginer à la place d'un atome?Quant à savoir ce que les atomes ressentent réellement, cela n'a aucun sens physique et scientifique.
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Oui, je sais, mais la Relativité ne tient pas compte de la possibilité que les atomes exécutent des pas pour ajuster leur fréquence propre à celle des impulsions lumineuses incidentes, elle ne tient pas compte de la possibilité que ce soit les pas des atomes qui entretiennent le mouvement dit relatif.Critias a écrit:La théorie d'Einstein traite les deux cas. Il suffit de changer de référentiel par des transformations de Lorentz pour pouvoir mesurer toutes les observables dans l'autre référentiel. On peut passer d'un référentiel où un observateur étudie un corps à ce corps lui même simplement en effectuant une transformation de Lorentz.Non, mais qu'ils soient capables d'agir pour répondre au besoin de conserver leur intégrité les rapprocherait un peu plus de nous, ce qui nous enlèverait un peu de notre anthropocentrisme, et nous permettrait peut-être d'être un peu plus objectifs dans nos concepts. La résistance offerte au concept de l'héliocentrisme est l'exemple type de la difficulté que nous avons à être objectifs dans nos concepts. Proposer qu'un atome puisse percevoir une information met tout le monde sur la défensive: c'est si difficile que ça d'accepter de s'imaginer à la place d'un atome?Quant à savoir ce que les atomes ressentent réellement, cela n'a aucun sens physique et scientifique.
Ça veut dire quoi "entretenir un mouvement" ?
C'est quoi l'intégrité d'un atome ?
Oui, c'est difficile si on admet qu'un atome n'a pas de cerveau et ne peut donc ressentir aucun sensation. Surtout que la perception comme définie par ton ami wikipédia est un phénomène biophysique et culturel.
Ça inclurait que les atomes soient conscients. Mais tu vas sans doute me sortir un article de Masaru Emoto sur la conscience de l'eau pour justifier ça, haha.
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Je dis que les petits pas entretiennent le mouvement parce qu'ils s'entretiennent les uns les autres. Avec la masse comme explication, tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un corps qui possède une masse continue sur sa lancée quand il est accéléré.
L'intégrité d'un atome, c'est ce qui le définit. Un atome se définit par son spectre et sa masse, et en agissant pour demeurer synchronisés, ils agissent pour les conserver.
Si on définit nos sensations comme de l'information servant à bouger, alors cela s'applique aux petits pas, la seule différence étant dans la capacité à stocker et à manipuler cette information avant d'agir. Si on définit la conscience comme étant la perception d'un changement, alors cela s'applique aux petits pas aussi, la seule différence étant dans le type de changement.
L'intégrité d'un atome, c'est ce qui le définit. Un atome se définit par son spectre et sa masse, et en agissant pour demeurer synchronisés, ils agissent pour les conserver.
Si on définit nos sensations comme de l'information servant à bouger, alors cela s'applique aux petits pas, la seule différence étant dans la capacité à stocker et à manipuler cette information avant d'agir. Si on définit la conscience comme étant la perception d'un changement, alors cela s'applique aux petits pas aussi, la seule différence étant dans le type de changement.
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Je dis que les petits pas entretiennent le mouvement parce qu'ils s'entretiennent les uns les autres. Avec la masse comme explication, tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un corps qui possède une masse continue sur sa lancée quand il est accéléré.
L'intégrité d'un atome, c'est ce qui le définit. Un atome se définit par son spectre et sa masse, et en agissant pour demeurer synchronisés, ils agissent pour les conserver.
Si on définit nos sensations comme de l'information servant à bouger, alors cela s'applique aux petits pas, la seule différence étant dans la capacité à stocker et à manipuler cette information avant d'agir. Si on définit la conscience comme étant la perception d'un changement, alors cela s'applique aux petits pas aussi, la seule différence étant dans le type de changement.
Ça veut dire quoi "ils s'entretiennent les uns les autres" ?
un corps macroscopique qui possède une masse continue sur sa lancée quand il est accéléré en l'absence de forces externes. Bravo, tu viens d'énoncer le principe d'inertie.
En mécanique quantique, on interdit de connaître simultanément la position et la quantité de mouvement d'une particule (donc sa vitesse), vis-à-vis de cette indétermination comment les particules peuvent-elles restées synchrones ?
C'est quoi de l'information servant à bouger ? La connaissance des forces ? Donc si on connait une force qui s'applique sur nous, on peut décider si on va bouger ou pas ? Non, on bouge, c'est tout.
La perception est un phénomène biologique, qui n'a rien à voir avec les atomes.
Critias- Affranchi des Paradoxes
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:
(Wiki) "L'effet Doppler ou effet Doppler-Fizeau est le décalage de fréquence d’une onde (onde mécanique, acoustique, électromagnétique, etc.) entre la mesure à l'émission et la mesure à la réception lorsque la distance entre l'émetteur et le récepteur varie au cours du temps.."
Ce qu'on mesure, c'est ce décalage de fréquence, et non d'amplitude comme tu le dis. Tu es tellement certain que je me trompe que tu ne te relis même pas!
(wiki) Amplitude : En physique classique, on nomme amplitude la mesure scalaire (une coordonnée) d’un nombre positif caractérisant l’ampleur des variations d'une grandeur.
Je ne suis pas certain que tu te trompes : Ca se démontre et n'importe qui peut le constater.
xplique nous comment le récepteur permettrait d'observer un décalage de fréquence s'il ne produisait pas la fréquence de référence lui-même.
Non, non. le récepteur ne produit pas de fréquence.
Comme tu peux le voir, et contrairement à ce que tu as dit, ce sont bel et bien les raies spectrales qui permettent de mesurer le décalage doppler. Ces raies sont la signature des atomes, elles représentent l'ensemble des fréquences qu'un atome émet, et la seule manière de mesurer leur décalage, c'est de les comparer avec les mêmes raies produites en laboratoire (dixit wiki). Comme je le disais, il faut donc bel et bien deux émetteurs de même fréquence pour pouvoir mesurer le décalage doppler.
Tu confonds les raies spectrales avec les raies moléculaires qui permettent d'obtenir les éléments chimiques.
Donc l'effet doppler et la "signature des atomes" = aucun rapport. C'est juste dans ta tête que tout se mélange.
Dire qu'une étoile émet de la lumière est imprécis, ce sont ses atomes qui le font.
Peut importe ce qui émet de la lumière, c'est la longueur d'onde qui est concernée.
Si tu veux être précis, essaie de piger ce qu'est l'effet doppler : Les longueurs d'ondes.
Je disais que les atomes étaient sensibles à l'effet doppler: tu es d'accord ou pas?
Pour un atome, l'effet doppler n'existe pas. L'atome est juste sensible à l'énergie.
Ex : Si tu prends une météorite sur la tête, tu n'est pas sensible au fait qu'elle provienne de la ceinture d'Oort ou de celle qu'il y a entre Mars et Jupiter, tu es juste sensible à l'effet que produit sa chute sur toi, au choc et aux dégâts. Il faudra étudier l'incident pour savoir l'origine de la météorite.
C'est pareil avec l'atome. Il n'est pas sensible à l'effet doppler qui ne concerne que la vitesse d'éloignement de la source qui a émise la lumière, il est sensible à l'énergie de ce rayonnement et à ses conséquences. L'effet doppler est le produit d'une mesure, celle d'une longueur d'onde relative à la vitesse d'éloignement d'une source.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Dans le cas d'une onde, amplitude est synonyme d'intensité. Un amplificateur sonore joue avec l'intensité du son, pas sa fréquence.dedale a écrit:(wiki) Amplitude : En physique classique, on nomme amplitude la mesure scalaire (une coordonnée) d’un nombre positif caractérisant l’ampleur des variations d'une grandeur.
Je sais que je connais l'effet doppler, et pourtant tu dis que non. Ton comportement est celui d'un croyant. Quand on sait qu'on a raison, tout ce qu'on dit nous parait vrai, et tout ce que les autres disent nous parait faux. Malheureusement, je ne peux pas t'absoudre parce que je sais que tu te trompes ou que tu nous trompe.Dedale a écrit:Je ne suis pas certain que tu te trompes : ça se démontre et n'importe qui peut le constater.
Confondrais-tu avec l'effet doppler que nous pouvons détecter en écoutant passer des véhicules? Dans ce cas, le cerveau ne produit pas de fréquence sonore comme telle, mais il se rappelle du son précédent, et il peut s'apercevoir qu'il était plus haut. D'une manière ou d'une autre, il faut une fréquence de référence pour détecter l'effet doppler. Dans le cas des étoiles, c'est la fréquence produite en laboratoire qui est la référence. (dixit wiki à nouveau)Dedale a écrit:Non, non. le récepteur ne produit pas de fréquence.xplique nous comment le récepteur permettrait d'observer un décalage de fréquence s'il ne produisait pas la fréquence de référence lui-même.
Hé Critias, tu es d'accord avec ça ou pas?
J'ai cité wiki, prétends-tu qu'ils se trompent? Essaye de modifier l'article pour voir ce qu'ils en penseront.Dedale a écrit:Tu confonds les raies spectrales avec les raies moléculaires qui permettent d'obtenir les éléments chimiques.Comme tu peux le voir, et contrairement à ce que tu as dit, ce sont bel et bien les raies spectrales qui permettent de mesurer le décalage doppler. Ces raies sont la signature des atomes, elles représentent l'ensemble des fréquences qu'un atome émet, et la seule manière de mesurer leur décalage, c'est de les comparer avec les mêmes raies produites en laboratoire (dixit wiki). Comme je le disais, il faut donc bel et bien deux émetteurs de même fréquence pour pouvoir mesurer le décalage doppler.
Argument de croyant! Ferais-tu exprès par hasard? Pour le plus grand bien de la science??Si tu veux être précis, essaie de piger ce qu'est l'effet doppler : Les longueurs d'ondes.
Et la spectroscopie Mössbauer?C'est pareil avec l'atome. Il n'est pas sensible à l'effet doppler qui ne concerne que la vitesse d'éloignement de la source qui a émise la lumière, il est sensible à l'énergie de ce rayonnement et à ses conséquences. L'effet doppler est le produit d'une mesure, celle d'une longueur d'onde relative à la vitesse d'éloignement d'une source.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Wiki a écrit:Dans sa forme la plus commune, la spectroscopie Mössbauer est une spectroscopie d'absorption : un échantillon solide est exposé à un faisceau de rayons gamma, et un détecteur mesure l'intensité transmise à travers l'échantillon. Les atomes de la source émettrice doivent être du même isotope que dans l'échantillon. La source émet un rayonnement d'énergie constante. On module cette énergie en plaçant la source sur un support oscillant ; c'est l'effet Doppler qui produit la variation de l'énergie.
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Ça veut tout simplement dire que la lumière émise lors du pas d'un des deux atomes entraîne plus tard le pas de l'autre atome, et qu'une fois que le processus est lancé, il ne s'arrête plus.Critias a écrit:Ça veut dire quoi "ils s'entretiennent les uns les autres" ?M'enfin a écrit:Je dis que les petits pas entretiennent le mouvement parce qu'ils s'entretiennent les uns les autres. Avec la masse comme explication, tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un corps qui possède une masse continue sur sa lancée quand il est accéléré.
L'intégrité d'un atome, c'est ce qui le définit. Un atome se définit par son spectre et sa masse, et en agissant pour demeurer synchronisés, ils agissent pour les conserver.
Si on définit nos sensations comme de l'information servant à bouger, alors cela s'applique aux petits pas, la seule différence étant dans la capacité à stocker et à manipuler cette information avant d'agir. Si on définit la conscience comme étant la perception d'un changement, alors cela s'applique aux petits pas aussi, la seule différence étant dans le type de changement.
Ce ne sont pas les atomes qui se servent de la mécanique quantique, mais nous. Eux, ils se débrouillent comme ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. S'ils exécutent des pas comme je le crois, ce sont ces pas qui leur permettent de demeurer synchronisés. L'indétermination à laquelle ils font alors face, c'est celle de ne pas savoir où se trouvent exactement les autres atomes, mais les pas qu'ils exécutent leur permettent de demeurer synchronisés entre eux, et c'est tout ce dont ils ont besoin.En mécanique quantique, on interdit de connaître simultanément la position et la quantité de mouvement d'une particule (donc sa vitesse), vis-à-vis de cette indétermination comment les particules peuvent-elles rester synchrones ?
Tu le dis toi-même: nous n'avons pas besoin de connaître les forces pour bouger, on perçoit et on bouge, hé bien les atomes aussi. Dans le phénomène d'action/réaction, qu'est-ce qui provoque la réaction sinon une information? Ne s'agit-il pas du même genre d'information que lors d'une perception?C'est quoi de l'information servant à bouger ? La connaissance des forces ? Donc si on connait une force qui s'applique sur nous, on peut décider si on va bouger ou pas ? Non, on bouge, c'est tout.
La perception est un phénomène biologique, qui n'a rien à voir avec les atomes.
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Ça veut tout simplement dire que la lumière émise lors du pas d'un des deux atomes entraîne plus tard le pas de l'autre atome, et qu'une fois que le processus est lancé, il ne s'arrête plus.Critias a écrit:Ça veut dire quoi "ils s'entretiennent les uns les autres" ?M'enfin a écrit:Je dis que les petits pas entretiennent le mouvement parce qu'ils s'entretiennent les uns les autres. Avec la masse comme explication, tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un corps qui possède une masse continue sur sa lancée quand il est accéléré.
L'intégrité d'un atome, c'est ce qui le définit. Un atome se définit par son spectre et sa masse, et en agissant pour demeurer synchronisés, ils agissent pour les conserver.
Si on définit nos sensations comme de l'information servant à bouger, alors cela s'applique aux petits pas, la seule différence étant dans la capacité à stocker et à manipuler cette information avant d'agir. Si on définit la conscience comme étant la perception d'un changement, alors cela s'applique aux petits pas aussi, la seule différence étant dans le type de changement.Ce ne sont pas les atomes qui se servent de la mécanique quantique, mais nous. Eux, ils se débrouillent comme ils peuvent avec les moyens qu'ils ont. S'ils exécutent des pas comme je le crois, ce sont ces pas qui leur permettent de demeurer synchronisés. L'indétermination à laquelle ils font alors face, c'est celle de ne pas savoir où se trouvent exactement les autres atomes, mais les pas qu'ils exécutent leur permettent de demeurer synchronisés entre eux, et c'est tout ce dont ils ont besoin.En mécanique quantique, on interdit de connaître simultanément la position et la quantité de mouvement d'une particule (donc sa vitesse), vis-à-vis de cette indétermination comment les particules peuvent-elles rester synchrones ?Tu le dis toi-même: nous n'avons pas besoin de connaître les forces pour bouger, on perçoit et on bouge, hé bien les atomes aussi. Dans le phénomène d'action/réaction, qu'est-ce qui provoque la réaction sinon une information? Ne s'agit-il pas du même genre d'information que lors d'une perception?C'est quoi de l'information servant à bouger ? La connaissance des forces ? Donc si on connait une force qui s'applique sur nous, on peut décider si on va bouger ou pas ? Non, on bouge, c'est tout.
La perception est un phénomène biologique, qui n'a rien à voir avec les atomes.
Mais les atomes perdent de l'énergie à chaque pas en émettant de la lumière ?
D'un autre côté on peut dire "ce ne sont pas les atomes qui se servent de la théorie des petits pas mais nous". Je ne vois pas l’intérêt.
Mais un atome ne se préoccupe pas des autres atomes et encore moins il cherche (et peut !) mesurer la vitesse et/ou la position d'un autre atome à moins qu'ils soient dotés d'un cerveau de 2 femtomètres...
Non ce n'est pas du tout pareil, car les atomes ne sont pas conscients, c'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas mettre en rapport une situation antérieure avec une situation présente. Tout ça parce qu'ils n'ont pas de cerveau. Notre perception se fonde sur des capteurs sensoriels, un atome n'a même pas de sensation de contact. De plus le principe d'action/réaction ne s'applique pas aux particules élémentaires.
Mais je commence à me décider à ne plus te répondre car c'est une perte de temps, je t'ai suffisamment montré que ta théorie était en contradiction avec la physique quantique, la théorie de la relativité et surtout une foule d'expériences. Remarques que tu n'as fait qu'ignorer ou répondre vaguement.
De plus, ta théorie n'a rien de scientifique, car elle ne vérifie pas le critère de scientificité de Popper.
En plus, je ressens une certaine considération malsaine chez toi. J'ai essayé d'être ouvert au début, et de comprendre ta théorie, je t'ai mis en face des points qui n'allaient pas (et ce n'est pas un tort en soi) mais tu n'as fait qu'ignorer au lieu de chercher de vraies solutions.
Si tu veux vraiment promouvoir ta théorie, vas-y, envoie-lui un mail, regardes: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Il te dira vraiment si c'est scientifique ou non au lieu de perdre ton temps au parler ici.
Critias- Affranchi des Paradoxes
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Bonne question! Effectivement, ils perdent de l'énergie, mais cette énergie est récupérée plus tard. Les pas entre les composants laissent échapper l'énergie qui produit plus tard les pas entre les atomes, et ces derniers laissent échapper l'énergie qui produira plus tard leur gravitation.Critias a écrit:Mais les atomes perdent de l'énergie à chaque pas en émettant de la lumière ?
L'important, c'est d'admettre que rien de plus rapide que la lumière ne peut circuler entre eux. Quand un atome émet de la lumière, il ne se trouve plus au même endroit quand l'autre atome la perçoit, et vice-versa. S'ils pouvaient comme nous se situer l'un par rapport à l'autre en faisant des calculs, ils n'y arriveraient pas s'ils n'étaient pas synchronisés. C'est parce que les horloges du GPS sont synchronisées entre elles et avec nos appareils GPS que nous pouvons nous situer au sol, et ce positionnement permet principalement de nous déplacer avec précision. Pour que le synchronisme soit conservé, il faut ajuster constamment les horloges: c'est ce que les atomes font, mais en bougeant au lieu d'ajuster leur fréquence.D'un autre côté on peut dire "ce ne sont pas les atomes qui se servent de la théorie des petits pas mais nous". Je ne vois pas l’intérêt.
Mais un atome ne se préoccupe pas des autres atomes et encore moins il cherche (et peut !) mesurer la vitesse et/ou la position d'un autre atome à moins qu'ils soient dotés d'un cerveau de 2 femtomètres...
Pour un atome, une impulsion incidente vient du passé, elle produit le pas actuel, et l'impulsion produite à ce moment produira le futur pas de l'autre atome. La seule différence entre eux et nous, c'est que nous sommes capables d'analyser la situation, et de décider du moment de notre futur pas. Comme eux, nous ne pouvons pas prévoir l'arrivée d'une information sauf si elle se présente avec régularité depuis toujours, et nous ne pouvons pas prévoir non plus le résultat d'un pas sauf s'il s'exécute de la même manière depuis toujours. En d'autres termes, nous ne pouvons pas prévoir les imprévus et les atomes non plus.Non ce n'est pas du tout pareil, car les atomes ne sont pas conscients, c'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas mettre en rapport une situation antérieure avec une situation présente. Tout ça parce qu'ils n'ont pas de cerveau. Notre perception se fonde sur des capteurs sensoriels, un atome n'a même pas de sensation de contact.
M'enfin- Le Repteux
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Dans le cas d'une onde, amplitude est synonyme d'intensité. .
C'est à partir de l'amplitude que l'intensité est calculée : I = < a2 >
- L'amplitude est la hauteur des crêtes par rapport à un niveau moyen.
- L'intensité est la force, l'éclat, avec lequel l'onde est perçue.
C'est très loin d'être des synonymes.
Une source explicative : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Un amplificateur sonore joue avec l'intensité du son, pas sa fréquence.
Quel est le rapport?
Je sais que je connais l'effet doppler
Vu ce que tu racontes, le constat est sans appel : Tu as compris certaines choses, mais tu ne sais pas à quoi ça correspond ni à quoi ça s'applique.
et pourtant tu dis que non.
Aucune raison de te dire "oui".
Ton comportement est celui d'un croyant.
Va falloir trouver autre chose, mon pauvre, que de te chercher des prétextes imaginaires. Tu es pitoyable.
Sois tu es un de ces clownesques malades qui croient que tout le monde se trompe sauf lui. Il te reste plus qu'à passer ta licence d'illuminé moyen.
Sois, au vu des démonstrations qu'on te fait, tu as la lucidité de te remettre en question, de corriger ce qui doit l'être, et ainsi d'établir un discours valide.
Quand on sait qu'on a raison, tout ce qu'on dit nous parait vrai, et tout ce que les autres disent nous parait faux. Malheureusement, je ne peux pas t'absoudre parce que je sais que tu te trompes ou que tu nous trompe.
Tu sais plus quoi t'inventer.
Dans ton cas, c'est largement démontré que tu racontes n'importe quoi n'importe comment.
Quand on sait qu'on a raison,
Pathologique.
Comme tous les zozos, tu n'as pas la moindre autocritique. la mécanique est enrayée.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Le rapport, c'est que tu prétendais que l'effet doppler était causé par un décalage d'amplitude, alors qu'il s'agit d'un décalage de fréquence. Soit c'est un lapsus, soit c'est une grossière erreur, alors quand tu me dis d'avoir la lucidité de me remettre en question, dis-le aussi à ton miroir.Dedale a écrit:Quel est le rapport?
L'effet doppler sert tout simplement à mesurer des mouvements, toutes sortes de mouvements: des courants d'air à la circulation sanguine, des étoiles aux atomes, des véhicules terrestres aux satellites, ...etc. À moins d'être idiot, tu ne peux pas ne pas soupçonner que je le sais, mais puisque tu n'as pas d'autre argument que de citer par coeur ce que tu sais pour contrer ma thèse, que tu n'es même pas capable d'imaginer ce que pourrait être l'effet doppler entre deux atomes, et que tu es autoritaire, tu n'as pas d'autre choix que de m'attaquer personnellement. C'est un peu petit comme procédé, et ce n'est pas un bon moyen pour faire progresser la connaissance non plus. Que fais-tu au juste sur un forum de discussion? La chasse à tout ce qui ne pense pas comme toi? Tu prends ton pied au moins?Tu as compris certaines choses, mais tu ne sais pas à quoi ça correspond ni à quoi ça s'applique.
M'enfin- Le Repteux
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:Le rapport, c'est que tu prétendais que l'effet doppler était causé par un décalage d'amplitude, alors qu'il s'agit d'un décalage de fréquence.
Normalement, tu devrais savoir ce que sont les amplitudes et les fréquences.
Sans amplitude, pas de fréquence.
Ce sont des petites subtilités que ton imagination bordélique ne peut pas gérer.
Soit c'est un lapsus, soit c'est une grossière erreur,
Oui ou c'est toi qui t'inventes des foutaises, comme tu sais si bien le faire.
alors quand tu me dis d'avoir la lucidité de me remettre en question, dis-le aussi à ton miroir.
Moi comme d'autres ici ou ailleurs, on te démontre que tu racontes des foutaises.
Tu as bien dit que la finalité de ta thèse était scientifique.
Il faudra bien que tu cesses de te débiner un jour ou l'autre, que tu prennes ces critiques en compte.
Pour le moment tu es un Picasso des pseudo-sciences du new-age.
À moins d'être idiot, tu ne peux pas ne pas soupçonner que je le sais
Tu patauges totalement M'enfin.
mais puisque tu n'as pas d'autre argument que de citer par coeur ce que tu sais pour contrer ma thèse
une "fou-thèse" tu veux dire.
Je n'ai aucun besoin d'aller m'inventer des conneries comme toi : Surtout si ça consiste juste à caricaturer de véritables théories jusqu'à les rendre idiotes.
que tu n'es même pas capable d'imaginer ce que pourrait être l'effet doppler entre deux atomes
Ben si je l'imagine : C'est une connerie plus grosse que toi qui prouve que tu n'as rien compris à l'effet doppler.
et que tu es autoritaire
Ah? Ca y est : Scène de ménage.
Bon. Vu que tu ne racontes rien d'intéressant et que tu persistes à baragouiner les mêmes âneries pathologiques, la suite au prochain déboulonnage >>>
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
J'ai vérifié, et j'ai encore tous mes boulons, en particulier celui de l'effet doppler, qui n'a pas desserré d'un poil. À ta place, je vérifierais si j'ai toujours le boulon qui module simultanément l'amplitude et la fréquence de mes interventions.
M'enfin- Le Repteux
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
M'enfin a écrit:J'ai vérifié, et j'ai encore tous mes boulons, en particulier celui de l'effet doppler, qui n'a pas desserré d'un poil. À ta place, je vérifierais si j'ai toujours le boulon qui module simultanément l'amplitude et la fréquence de mes interventions.
Tu as vérifié l'invérifiable.
Je suppose qu'ici, tout le monde s'en tape que tu restes idiot à raconter n'importe quoi.
Tu n'es pas le premier zozo, et il y en aura d'autres.
Je ne m'attendais pas à ce que tu percutes.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
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Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Il n'y a pas d'utilité particulière à notre présence en ce monde. Quand nous aurons disparu, nos si idées auront disparu aussi, dont celle qui nous laisse croire qu'elles sont importantes. En attendant, il y en a qui s'entretuent pour elles. La vraie zozoterie, c'est de croire que ce genre de comportement est intelligent.
M'enfin- Le Repteux
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