Le droit du mari sur sa femme
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Re: Le droit du mari sur sa femme
n'est ce pas!...edica: pette de rire
Mais oui elkibis, c'est exactement ça, je suis incohérent... parce que je suis coherent...elbilkis:
je crois que c'est précisément en ça que je te sens incohérent.
Mieux vaut qu'elles souffrent un peu avant, que beaucoup après, ça s'appelle l'experience.Comment peux-tu accepter de faire souffrir une (des) femme(s) en prétextant qu'elles ne pourraient vivre comme tu le fais?
La pratique, l'expérience! Les femmes nouvelles se croient capable de beaucoup, elles ont vu beaucoup de film a la télé...elles ont entendu des histoires...elles s'imaginent des tas de choses, auxquelles elles croient vraiment, obnubilé qu'elles sont par leur seul désir d'aventure, leur soif de je ne sais quoi(enfin... je sais un peu)... Mais quand on passe a la réalité... la sont les pleurs et les grincement de dents!(sourire amusé). Pourtant tu le croiras ou pas, elles ne lâchent pas l'affaire, et font tout pour te ramener a leur façon de vivre a elles(...c'est dire le plus souvent, appartement, conserve, et papier cul...etc...) même en sachant que toi ça va te détruire, parce que là encore elles s'octroient des capacités qu'elles n'ont malheureusement pas... Je te le dis: Les femmes nouvelles, a la poubelle.Qui te dit que l'amour ne permet pas l'acceptation d'une situation a priori incongrue?
C'est leur problème a présent, si elles sont tordues qu'elles se soignent;Tu dis que tu les rejettes pour ne pas les faire souffrir... alors, tu connais mal les femmes!
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Localisation : Dans un haricot.
Identité métaphysique : rathée de peu... divin quand même!
Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Le droit du mari sur sa femme
à 33 ans en vivant en solitaire, il a évidement beaucoup plus d'expérience pour connaître les femmes, que des femmes qui pourraient être sa mère ou sa grand mère, qui ont eu des enfants, ont fait carrière et/ou ont connu la vie au foyer...La pratique, l'expérience!
Que voulez vous, quand on est un génie, spirituellement initié grâce à des hallucinogènes, c'est normal
Par contre, refuser de les laisser vivre avec lui pour ne pas les faire souffrir, ça c'est très réaliste, honnête et généreux.
(je taquine un peu, là)
Virgule, tu as raison, tu ne pourra t'entendre qu'avec une femme très soumise. Si tu es assez riche et/ou très séduisant, tu pourras en trouver. Ca existe encore.
Ou alors, va sur les sites de rencontre, cherche du côté de celles qui feraient tout pour pouvoir vivre en France: il y en a des millions. Elles sont éduquées pour être soumises à leur mari, tu seras heureux et elle aussi (je suis sérieuse). Tout le monde a droit au bonheur.
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Ai je fais des comparaisons ma cherie? J'ai dis que c'était par expérience que je parlais, et c'est effectivement le cas. Aprés tu peux bien fantasmer sur mon âge et sur ma vie, ou sur celle des grands mére, a moi cela m'importe peu.à 33 ans en vivant en solitaire, il a évidement beaucoup plus d'expérience pour connaître les femmes, que des femmes qui pourraient être sa mère ou sa grand mère, qui ont eu des enfants, ont fait carrière et/ou ont connu la vie au foyer...
ah! encore cette vieille histoire ou tu as du reconnaitre qu'une fois de plus tu parlais sans rien connaitre au sujet... Lila, lila, lila... lâche la pression...cool...c'est du passé maintenant, tu vois pas qu'on es passé a autre chose? Et puis, je ne sais pas ou tu es allé peché mon génie, ni même cette fameuse initiation spirituelle. Eh oh...lila?!! Redescends sur terre... Tu va finir par vriller!Que voulez vous, quand on est un génie, spirituellement initié grâce à des hallucinogènes, c'est normal
sourire.Par contre, refuser de les laisser vivre avec lui pour ne pas les faire souffrir, ça c'est très réaliste, honnête et généreux.
Ah! pas de chance alors, car malheureusement je suis pauvre et pas séduisant... C'est donc compromis pour la femme soumise?... Mais soit, je ne sais pas ou tu es encore aller chercher que je recherchais une femme soumise, sinon peut être dans les triturations de ton cerveau, qui ma foi, au fil du temps m'apparait comme légèrement malade, ou au minimum bien névrosé(j'ose pas allé au dela de ce mot, mais j'ai comme un doute...). Allez mon coeur, a bientot... Et pour une fois viens a ma rencontre avec autre chose que des rancœurs illégitime.Virgule, tu as raison, tu ne pourra t'entendre qu'avec une femme très soumise. Si tu es assez riche et/ou très séduisant, tu pourras en trouver. Ca existe encore.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Le droit du mari sur sa femme
quand on n'a plus d'argument, on lâche les injures.
Et en prime, un diagnostic psychiatrique et des directives très pertinentes, gratuits !
Je suis gâtée
bonne soirée à tous
Et en prime, un diagnostic psychiatrique et des directives très pertinentes, gratuits !
Je suis gâtée
bonne soirée à tous
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Tiens, virgule, une expérience qui te manque certainement et que, hélas, je ne connaissais pas . Maintenant, c' est trop tard , malgré " le trésor toujours prêt des mamelles pendantes " de Baudelaire ...Nos amis canadiens sont plus doués que les vieux gaulois..
Essayer, c' est l' adopter, dit la pub !
" La femme est l' avenir de l' homme..." Chantons en choeur ...
Allaiter son homme, une pratique taboue ?
J’étais tranquillement en train de téter ma femme quand soudain l’armée israélienne prend d’assaut le Marmara. Je me dis mince, quel sale coup.
Tu crois, je demande à ma femme, que Noël Mammaire va faire une déclaration ? Mamère, me dit ma femme, Mamère.
Excuse mon lapsus, je lui réponds, mais cet abordage me contrarie. Du coup je gamberge. Tu crois que je suis le seul adulte dans ce cas.
Dans quel cas ? Ben... quand même, les tétons c’est pour les nourrissons, non ?
Oh non, pas du tout, me répond ma chérie, c’est un sujet tabou, mais beaucoup plus répandu qu’on ne le croit. J’ai lu sur un forum que quantités de couples s’adonnent à ce plaisir. On appelle ça l’allaitement érotique ou le nursing.
Et, je lui demande, c’est grave docteur ? Pas du tout. Lis ça : « Mon mari ne me touchait pas trop dans mes premières grossesse car pour lui le lait était pour le bébé, mais à partir de la 3e, il a commencé à explorer ce côté et quand je suis enceinte ou que j’allaite, il s’est fait au gout, après que bébé ait tété et qu’on peut être nous deux, il s’en donne à coeur joie et il aime de plus en plus, tellement qu’il dit qu’il va regretter quand on va arrêter d’avoir des enfants !! lol !! pour arriver à avoir des orgasmes rapprochés, j’ai besoin de cette stimulation...par contre en allaitant mon bébé, je n’ai pas d’orgasmes, car dans ma tête c’est clair que le lait est pour le bébé, donc je suis moins sensible...mais avec mon mari c’est autre chose ! » (source doctissimo).
Evidemment, il ne vaut mieux mieux pas être alactique (allergique au lait), mais à part ça il n’y a pas de contre indication. Un blog canadien est même spécialisé dans cette pratique : « Un couple québécois a créé la polémique en publiant un blog sur l’allaitement conjugal, je lis sur RTL.info.
Une femme de 39 ans a décidé, après avoir eu des enfants, d’allaiter son mari : "Nous sommes maintenant à une nouvelle et très enrichissante expérience de couple, l’allaitement du conjoint. Nous partagerons ici notre expérience, malgré les tabous qui y sont rattachés".
Ames sensibles s’abstenir. Après les débats sur l’allaitement de son bébé, place aux discussions enflammées sur l’allaitement conjugal ! Deux Canadiens créent le buzz en ce moment sur la toile en partageant sur leur blog leur expérience hors du commun, « malgré les tabous qui y sont rattachés ».
La femme explique qu’elle nourrit son mari, le prend sur elle et termine par « il s’endort parfois sur mon sein ». L’homme est complètement accroc, il tète sa femme près de huit fois par jour à raison de 20 minutes par tétée. La femme n’a pas allaitée depuis deux ans. Le blog du couple explique qu’elle est en réinduction. « se déroule-t-elle bien ? Ça dépend.
Non si l’on se concentre sur l’objectif de production. Oui si l’on se concentre sur l’approche de rapprochement qu’est le nursing ».Du fétichisme ? L’amour ne doit pas s’embarrasser de morale (sauf quand elle transgresse la loi, bien sûr). Ce couple est apparemment épanoui : « Nous sommes maintenant à une nouvelle et très enrichissante expérience de couple. C’est le plus beau mode de vie que nous pouvions, je crois, nous offrir ».
De quoi avoir la tète près du bonnet !
Essayer, c' est l' adopter, dit la pub !
" La femme est l' avenir de l' homme..." Chantons en choeur ...
Allaiter son homme, une pratique taboue ?
J’étais tranquillement en train de téter ma femme quand soudain l’armée israélienne prend d’assaut le Marmara. Je me dis mince, quel sale coup.
Tu crois, je demande à ma femme, que Noël Mammaire va faire une déclaration ? Mamère, me dit ma femme, Mamère.
Excuse mon lapsus, je lui réponds, mais cet abordage me contrarie. Du coup je gamberge. Tu crois que je suis le seul adulte dans ce cas.
Dans quel cas ? Ben... quand même, les tétons c’est pour les nourrissons, non ?
Oh non, pas du tout, me répond ma chérie, c’est un sujet tabou, mais beaucoup plus répandu qu’on ne le croit. J’ai lu sur un forum que quantités de couples s’adonnent à ce plaisir. On appelle ça l’allaitement érotique ou le nursing.
Et, je lui demande, c’est grave docteur ? Pas du tout. Lis ça : « Mon mari ne me touchait pas trop dans mes premières grossesse car pour lui le lait était pour le bébé, mais à partir de la 3e, il a commencé à explorer ce côté et quand je suis enceinte ou que j’allaite, il s’est fait au gout, après que bébé ait tété et qu’on peut être nous deux, il s’en donne à coeur joie et il aime de plus en plus, tellement qu’il dit qu’il va regretter quand on va arrêter d’avoir des enfants !! lol !! pour arriver à avoir des orgasmes rapprochés, j’ai besoin de cette stimulation...par contre en allaitant mon bébé, je n’ai pas d’orgasmes, car dans ma tête c’est clair que le lait est pour le bébé, donc je suis moins sensible...mais avec mon mari c’est autre chose ! » (source doctissimo).
Evidemment, il ne vaut mieux mieux pas être alactique (allergique au lait), mais à part ça il n’y a pas de contre indication. Un blog canadien est même spécialisé dans cette pratique : « Un couple québécois a créé la polémique en publiant un blog sur l’allaitement conjugal, je lis sur RTL.info.
Une femme de 39 ans a décidé, après avoir eu des enfants, d’allaiter son mari : "Nous sommes maintenant à une nouvelle et très enrichissante expérience de couple, l’allaitement du conjoint. Nous partagerons ici notre expérience, malgré les tabous qui y sont rattachés".
Ames sensibles s’abstenir. Après les débats sur l’allaitement de son bébé, place aux discussions enflammées sur l’allaitement conjugal ! Deux Canadiens créent le buzz en ce moment sur la toile en partageant sur leur blog leur expérience hors du commun, « malgré les tabous qui y sont rattachés ».
La femme explique qu’elle nourrit son mari, le prend sur elle et termine par « il s’endort parfois sur mon sein ». L’homme est complètement accroc, il tète sa femme près de huit fois par jour à raison de 20 minutes par tétée. La femme n’a pas allaitée depuis deux ans. Le blog du couple explique qu’elle est en réinduction. « se déroule-t-elle bien ? Ça dépend.
Non si l’on se concentre sur l’objectif de production. Oui si l’on se concentre sur l’approche de rapprochement qu’est le nursing ».Du fétichisme ? L’amour ne doit pas s’embarrasser de morale (sauf quand elle transgresse la loi, bien sûr). Ce couple est apparemment épanoui : « Nous sommes maintenant à une nouvelle et très enrichissante expérience de couple. C’est le plus beau mode de vie que nous pouvions, je crois, nous offrir ».
De quoi avoir la tète près du bonnet !
bernard1933- Aka Tpat
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Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le droit du mari sur sa femme
Virgule, le problème est que ce que tu écris (et que je lis, parce que je ne lis qu'une ligne ici ou là) ne m'incite pas à être plus aimable. Je ne vais pas m'amuser à en faire une compilation, mais entre la grossièreté envers JO, le mépris pour les "femmes modernes", et les diagnostiques en ligne, tu constaterais que tu n'es pas en position de donner des conseils de savoir vivre aux autres.
Rassure toi, je ne m'engagerai pas dans la course à la grossièreté et du ton le plus méprisant.
Je te laisse la palme, à toi, et à certains autres (faut savoir partager )
Rassure toi, je ne m'engagerai pas dans la course à la grossièreté et du ton le plus méprisant.
Je te laisse la palme, à toi, et à certains autres (faut savoir partager )
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Désolé pour la longueur. Je sais qu'il y a des allergiques, mais tant que le programme ne coupe pas mon "post", c'est que je suis encore dans les règles du forum.
Bravo "vir"-gule (Ce mot signifie petite baguette, petite verge, signe de qualité séminatrice, portant des sèmes et des semences). Je dis cela car tu as pour toi la virilité et le courage de proférer une opinion qui sur le fond affirme le principe de la différence homme-femme, principe qui n'ose plus se dire, même si il est admis par une masse silencieuse qui se tait face aux idéologues et leurs caisses de résonnance. Car penser cela est "systématiquement" attaqué, précisément par un "système" imposant son idéologie égalitariste, qui tire parti de tout problème pour empêcher les êtres de se développer selon une nature et des principes qui seuls permettent un progrès à l'homme. Un principe, c'est une loi de commencement, qui permet de se diriger et d'avancer pour s'y tenir et aller le plus loin et le plus haut possible. Il n'y a pas de développement sans principe.
Le problème posé au commencement de cette discussion, c'est la phrase de St Paul, sciemment tronquée, qui sert alors de levier à révolte contre la possibilité d'une nature différente des qualités de l'homme et de la femme. Et au passage on balaie le christianisme. Mais le christianisme ce n'est pas cela. D'abord St Paul parle de devoirs réciproques. L'Evangile de Thomas, qui n'a pas été trafiqué, témoigne de la parole même de Jésus ("Jésus a dit…" : que la femme peut se tenir avec les apôtres et parler de Dieu. De même l'Evangile de Marie-Madeleine... Alors si la femme doit progresser, c'est en ce sens métaphysique qu'elle doit exprimer son regard et ses choix dans l'ordre du divin, et non en allant faire la guerre ou en s'en faisant le ministre. Evidemment on peut ne pas croire en Dieu, n'empêche, qu'on ne dise pas après cela que le christianisme, c'est du phallocratisme, sinon dans son interprétation. Mais alors c'est un autre problème.
Il n'y à rien de métaphysique dans le nivellement des choses et des êtres. Mais un principe est métaphysique car il précède et devance en même temps l'ordre des apparences. Le tout pour l'homme est de découvrir les principes qui régissent l'Univers. Les principes sont les "princes" régisseurs et ordonnateurs des choses, de la nature, du cosmos, car sauf preuve contraire il n'y a pas d'évolution dans le chaos.
Il est pourtant simple de comprendre que quand deux êtres sont identiques et sans principes directeurs, ils vont aller au plus facile, c'est-à-dire au moindre effort, c'est-à-dire encore qu'ils vont tendre à ne pas avancer, ne pas chercher à se comprendre. Si les gens s'attirent, c'est PARCE QU'ils sont différents ! Cette attraction est une loi de la nature, partout, relative à des différences de niveaux d'énergie, de masse, de densité ou de quantité corpusculaire, etc. Pourquoi les couples se déchirent-ils autant aujourd'hui ? Parce que chacun voudrait que l'autre ne contrevienne pas à ses tendances, ses ressentis et ses petits choix faciles, voir son sommeil. Il n'y à rien de plus égalitaire que le sommeil, qui ressemble tant à la mort, qui elle-même est une dissolution. On se sépare, dis-je parce qu'évidemment c'est pas facile de résister aux problèmes différentiels quand on est conditionné à l'idéologie que l'autre doit être comme nous. Les drames innombrables sont là pour prouver que non seulement ce conditionnement conduit à des échecs, mais que d'autre part il est faux, car la difficulté même de devoir faire des concessions est la preuve de cette différence radicale de "conception" (ce mot est très im-portant) homme-femme. Alors on ne fait pas d'effort et on se sépare. Je ne juge personne bien sûr, puisque nous sommes tous conditionnés à cette facilité, tout étant noyé de politique désormais, et on a parlé de l'éducation nationale sur ce sujet, dans un sens confirmant ce que je dis sur cette facilité destructrice des qualités humaines. Mais je parle d'une tendance générale qui cherche la facilité A CAUSE de cette théorie qui fait que le système EST la facilité. Et pour lui ça "paye" de plus en plus, car il n'est rien de plus facile à "gouverner" qu'un crétin sans "gouverne". Je dis bien "politique", car cette théorie est une politique de modelage d'une société par le forceps et ne correspond en rien à une réalité psychologique de l'homme et des choses.
Elle porte pourtant ses fruits cette facilité, qu'on ne veut pas voir. Et "on" appelle cela des valeurs, mais ce sont des fausses valeurs, parce que créées de toutes pièces en tant que "valeurs" pour faire croire qu'elles élèvent, alors qu'elles ne tiennent sur aucun principe naturel. C'est une évidence, puisque son "commencement" récent est artificiel, humain, sans rapport avec la nature. On le dit assez fort, non ? Mais le fait est que toutes ces idées ne valent rien au regard de l'échelle des choses depuis que l'homme à des valeurs, justement. Cette théorie de l'indifférenciation des sexes vient de la théorie du "genre", s'appuyant, elle, sur les théories de Simone de Beauvoir (une communiste, c'est-à-dire une égalitariste notoire, ayant pour compagnon Sartre, l'idéaliste du néant et des choix faciles). Mais il faut être aveugle ou insensible pour ne pas voir qu'une petite fille qui se met une bague au doigt aime sa coquetterie dès le plus jeune âge. C'est ancré en elle ; et même un conditionnement éducatif, n'est que le moyen d'éveiller une nature. L'enfant sauvage prouve qu'un garçon inculte est bien un garçon. On ne m'a pas répondu sur ce point scientifique, répertorié, amplement étudié, d'ailleurs. On se demande pourquoi. Idéologie quand tu nous tiens...
Pour revenir à la sensibilité du regard, c'est bien le problème de la sensibilité qui est en jeu dans celui de la différence non reconnue, car qui est sensible à une chose, le sera plus ou moins par rapport à un autre, qui appréciera moins cette même chose. Mais celui qui aime veut aussi "connaître". Sans différences, tous les hommes, demain, aimeront la même chose (c'est-à-dire le système et ce qu'il nous vend). Et d'ailleurs, c'est déjà le cas aujourd'hui. Alors les êtres sensibles se cachent et se taisent.
Les sagesses millénaires se fondent sur des résultats, un empirisme qui a fait ses preuves pour les gens qui veulent avancer en se dépassant, non en allant "voir ailleurs" pour un oui ou pour un non. Mais tout ça c'est bon pour papa ! Parce que l'élévation des femmes, c'est l'égalité ? On voit bien que la réponse est dans la question. S'élever ce n'est pas s'égaliser c'est se différencier. Mais il est vrai que dans ce pays tout problème "politique" à sa solution : égaliser. Alors que ce problème est métaphysique.
Le modèle de l'origine d'un homme double, fusionné, qui se scinde en deux parties est intéressant à étudier. Là ce n'est plus papa c'est grand papa (horreur !). En effet, la Genèse par exemple montre que l'aimantation de l'homme et de la femme font qu'ils se CHERCHENT, parce que le sang de l'un, différent, est attiré par le sang de l'autre, il sont polarisés différemment, comme deux aimants. Le sang contient les hormones, non ? S'il y a deux mots, il y a deux choses, différentes qui s'attirent et s'intéressent POUR CELA. Les Egyptiens connaissaient bien la question du magnétisme du sang. Comme par hasard, l'épiphyse serait aujourd'hui considérée comme la glande centrale de régulation des autres hormones. Cette épiphyse a fait parler et a été souvent considérée comme le siège de l'âme. On sait aussi qu'elle agit quand il n'y à plus de lumière. Tout ça demanderait de longs développements.
L'androgynat n'enseigne pas une égalité d'identité mais de capacité à développer ses dons en fonction de sa sensibilité et de principes différents de conception entre l'homme et la femme, car l'épiphyse est au centre du cerveau, et, comme son nom l'indique, "croit par dessus". Tout un programme de "conception", donc.
Quand l'Evangile de Thomas dit : la femme se fera homme, cela veut dire qu'elle pourra enseigner, être une prophétesse, une prêtresse. L'Evangile de Thomas est un texte gnostique, donc d'incidence de pensée grecque et chrétienne. Mais ceux qui vomissent le passé semblent ignorer l'influence traditionnelle de la femme en Occident celte ou grec, qu'on accuse pourtant si facilement de phallocratisme, en se basant sur des bouts de textes tronqués, et en oubliant l'immense littérature y faisant de la femme une déesse. C'est tout le contraire d'une castration de leur rôle.
Le mot "fée", d'ailleurs vient de "fatum", destin. C'est dire. Les fées étaient maîtresses de la nature et influaient sur les rois... La nature ? Cela signifie "qui fait naître", vertu féminine. Comme par hasard. Donner un destin c'est offrir la possibilité d'une direction dans laquelle tout nous est donné pour pouvoir nous renforcer individuellement et socialement.
Parce que si la femme peut s'exprimer, ce ne peut être qu'en partant de son fonds, non de ce vers quoi l'écrasant conditionnement la conduit en lui faisant croire en plus que c'est elle qui fait ce choix, de devenir une sorte homme raté ou un simple consommable (et vice et versa). Les traditions de l'androgynat enseignent la différence de la femme et de l'homme mais aussi leur unité à construire, et non à fuir. L'Evangile de Thomas dit qu'en cherchant le Royaume le sexe faible (oh la la qu'ai-je dit ?) se fera mâle, c'est-à-dire fécondatrice. la femme c'est la parole. On lit un livre parce qu'il nous parle, La parole est inséminatrice, inspiratrice. Elle fait germer en nous des idées. Ainsi la femme peut féconder l'homme sur le plan de l'intellect. Celui-ci est donc, dans l'ordre de l'intellect, passif, et elle active. Et je crois avoir dit un peu avant que la femme fécondait l'esprit de l'homme, qui à son tour manifeste alors ce qu'il a développé en lui, avec ses mains. Inversement l'homme féconde la femme avec son sexe, qui manifeste et développe alors "sa" création, la vie, avec son corps puis avec son cœur.
La différence sert à rechercher l'entente dans ces inégalités de "conception". S'il n'y a plus de différences, il n'y a plus de recherche d'unité ou de fraternité.
La terre, l'univers et l'homme, sont par exemple différents, donc la terre est objet de recherche, permet la science et la "connaissance", ou le soulèvement des voiles et des robes de cette coquette matière, qui ne demande qu'à être fécondée de l'esprit de l'homme, etc.
Bravo "vir"-gule (Ce mot signifie petite baguette, petite verge, signe de qualité séminatrice, portant des sèmes et des semences). Je dis cela car tu as pour toi la virilité et le courage de proférer une opinion qui sur le fond affirme le principe de la différence homme-femme, principe qui n'ose plus se dire, même si il est admis par une masse silencieuse qui se tait face aux idéologues et leurs caisses de résonnance. Car penser cela est "systématiquement" attaqué, précisément par un "système" imposant son idéologie égalitariste, qui tire parti de tout problème pour empêcher les êtres de se développer selon une nature et des principes qui seuls permettent un progrès à l'homme. Un principe, c'est une loi de commencement, qui permet de se diriger et d'avancer pour s'y tenir et aller le plus loin et le plus haut possible. Il n'y a pas de développement sans principe.
Le problème posé au commencement de cette discussion, c'est la phrase de St Paul, sciemment tronquée, qui sert alors de levier à révolte contre la possibilité d'une nature différente des qualités de l'homme et de la femme. Et au passage on balaie le christianisme. Mais le christianisme ce n'est pas cela. D'abord St Paul parle de devoirs réciproques. L'Evangile de Thomas, qui n'a pas été trafiqué, témoigne de la parole même de Jésus ("Jésus a dit…" : que la femme peut se tenir avec les apôtres et parler de Dieu. De même l'Evangile de Marie-Madeleine... Alors si la femme doit progresser, c'est en ce sens métaphysique qu'elle doit exprimer son regard et ses choix dans l'ordre du divin, et non en allant faire la guerre ou en s'en faisant le ministre. Evidemment on peut ne pas croire en Dieu, n'empêche, qu'on ne dise pas après cela que le christianisme, c'est du phallocratisme, sinon dans son interprétation. Mais alors c'est un autre problème.
Il n'y à rien de métaphysique dans le nivellement des choses et des êtres. Mais un principe est métaphysique car il précède et devance en même temps l'ordre des apparences. Le tout pour l'homme est de découvrir les principes qui régissent l'Univers. Les principes sont les "princes" régisseurs et ordonnateurs des choses, de la nature, du cosmos, car sauf preuve contraire il n'y a pas d'évolution dans le chaos.
Il est pourtant simple de comprendre que quand deux êtres sont identiques et sans principes directeurs, ils vont aller au plus facile, c'est-à-dire au moindre effort, c'est-à-dire encore qu'ils vont tendre à ne pas avancer, ne pas chercher à se comprendre. Si les gens s'attirent, c'est PARCE QU'ils sont différents ! Cette attraction est une loi de la nature, partout, relative à des différences de niveaux d'énergie, de masse, de densité ou de quantité corpusculaire, etc. Pourquoi les couples se déchirent-ils autant aujourd'hui ? Parce que chacun voudrait que l'autre ne contrevienne pas à ses tendances, ses ressentis et ses petits choix faciles, voir son sommeil. Il n'y à rien de plus égalitaire que le sommeil, qui ressemble tant à la mort, qui elle-même est une dissolution. On se sépare, dis-je parce qu'évidemment c'est pas facile de résister aux problèmes différentiels quand on est conditionné à l'idéologie que l'autre doit être comme nous. Les drames innombrables sont là pour prouver que non seulement ce conditionnement conduit à des échecs, mais que d'autre part il est faux, car la difficulté même de devoir faire des concessions est la preuve de cette différence radicale de "conception" (ce mot est très im-portant) homme-femme. Alors on ne fait pas d'effort et on se sépare. Je ne juge personne bien sûr, puisque nous sommes tous conditionnés à cette facilité, tout étant noyé de politique désormais, et on a parlé de l'éducation nationale sur ce sujet, dans un sens confirmant ce que je dis sur cette facilité destructrice des qualités humaines. Mais je parle d'une tendance générale qui cherche la facilité A CAUSE de cette théorie qui fait que le système EST la facilité. Et pour lui ça "paye" de plus en plus, car il n'est rien de plus facile à "gouverner" qu'un crétin sans "gouverne". Je dis bien "politique", car cette théorie est une politique de modelage d'une société par le forceps et ne correspond en rien à une réalité psychologique de l'homme et des choses.
Elle porte pourtant ses fruits cette facilité, qu'on ne veut pas voir. Et "on" appelle cela des valeurs, mais ce sont des fausses valeurs, parce que créées de toutes pièces en tant que "valeurs" pour faire croire qu'elles élèvent, alors qu'elles ne tiennent sur aucun principe naturel. C'est une évidence, puisque son "commencement" récent est artificiel, humain, sans rapport avec la nature. On le dit assez fort, non ? Mais le fait est que toutes ces idées ne valent rien au regard de l'échelle des choses depuis que l'homme à des valeurs, justement. Cette théorie de l'indifférenciation des sexes vient de la théorie du "genre", s'appuyant, elle, sur les théories de Simone de Beauvoir (une communiste, c'est-à-dire une égalitariste notoire, ayant pour compagnon Sartre, l'idéaliste du néant et des choix faciles). Mais il faut être aveugle ou insensible pour ne pas voir qu'une petite fille qui se met une bague au doigt aime sa coquetterie dès le plus jeune âge. C'est ancré en elle ; et même un conditionnement éducatif, n'est que le moyen d'éveiller une nature. L'enfant sauvage prouve qu'un garçon inculte est bien un garçon. On ne m'a pas répondu sur ce point scientifique, répertorié, amplement étudié, d'ailleurs. On se demande pourquoi. Idéologie quand tu nous tiens...
Pour revenir à la sensibilité du regard, c'est bien le problème de la sensibilité qui est en jeu dans celui de la différence non reconnue, car qui est sensible à une chose, le sera plus ou moins par rapport à un autre, qui appréciera moins cette même chose. Mais celui qui aime veut aussi "connaître". Sans différences, tous les hommes, demain, aimeront la même chose (c'est-à-dire le système et ce qu'il nous vend). Et d'ailleurs, c'est déjà le cas aujourd'hui. Alors les êtres sensibles se cachent et se taisent.
Les sagesses millénaires se fondent sur des résultats, un empirisme qui a fait ses preuves pour les gens qui veulent avancer en se dépassant, non en allant "voir ailleurs" pour un oui ou pour un non. Mais tout ça c'est bon pour papa ! Parce que l'élévation des femmes, c'est l'égalité ? On voit bien que la réponse est dans la question. S'élever ce n'est pas s'égaliser c'est se différencier. Mais il est vrai que dans ce pays tout problème "politique" à sa solution : égaliser. Alors que ce problème est métaphysique.
Le modèle de l'origine d'un homme double, fusionné, qui se scinde en deux parties est intéressant à étudier. Là ce n'est plus papa c'est grand papa (horreur !). En effet, la Genèse par exemple montre que l'aimantation de l'homme et de la femme font qu'ils se CHERCHENT, parce que le sang de l'un, différent, est attiré par le sang de l'autre, il sont polarisés différemment, comme deux aimants. Le sang contient les hormones, non ? S'il y a deux mots, il y a deux choses, différentes qui s'attirent et s'intéressent POUR CELA. Les Egyptiens connaissaient bien la question du magnétisme du sang. Comme par hasard, l'épiphyse serait aujourd'hui considérée comme la glande centrale de régulation des autres hormones. Cette épiphyse a fait parler et a été souvent considérée comme le siège de l'âme. On sait aussi qu'elle agit quand il n'y à plus de lumière. Tout ça demanderait de longs développements.
L'androgynat n'enseigne pas une égalité d'identité mais de capacité à développer ses dons en fonction de sa sensibilité et de principes différents de conception entre l'homme et la femme, car l'épiphyse est au centre du cerveau, et, comme son nom l'indique, "croit par dessus". Tout un programme de "conception", donc.
Quand l'Evangile de Thomas dit : la femme se fera homme, cela veut dire qu'elle pourra enseigner, être une prophétesse, une prêtresse. L'Evangile de Thomas est un texte gnostique, donc d'incidence de pensée grecque et chrétienne. Mais ceux qui vomissent le passé semblent ignorer l'influence traditionnelle de la femme en Occident celte ou grec, qu'on accuse pourtant si facilement de phallocratisme, en se basant sur des bouts de textes tronqués, et en oubliant l'immense littérature y faisant de la femme une déesse. C'est tout le contraire d'une castration de leur rôle.
Le mot "fée", d'ailleurs vient de "fatum", destin. C'est dire. Les fées étaient maîtresses de la nature et influaient sur les rois... La nature ? Cela signifie "qui fait naître", vertu féminine. Comme par hasard. Donner un destin c'est offrir la possibilité d'une direction dans laquelle tout nous est donné pour pouvoir nous renforcer individuellement et socialement.
Parce que si la femme peut s'exprimer, ce ne peut être qu'en partant de son fonds, non de ce vers quoi l'écrasant conditionnement la conduit en lui faisant croire en plus que c'est elle qui fait ce choix, de devenir une sorte homme raté ou un simple consommable (et vice et versa). Les traditions de l'androgynat enseignent la différence de la femme et de l'homme mais aussi leur unité à construire, et non à fuir. L'Evangile de Thomas dit qu'en cherchant le Royaume le sexe faible (oh la la qu'ai-je dit ?) se fera mâle, c'est-à-dire fécondatrice. la femme c'est la parole. On lit un livre parce qu'il nous parle, La parole est inséminatrice, inspiratrice. Elle fait germer en nous des idées. Ainsi la femme peut féconder l'homme sur le plan de l'intellect. Celui-ci est donc, dans l'ordre de l'intellect, passif, et elle active. Et je crois avoir dit un peu avant que la femme fécondait l'esprit de l'homme, qui à son tour manifeste alors ce qu'il a développé en lui, avec ses mains. Inversement l'homme féconde la femme avec son sexe, qui manifeste et développe alors "sa" création, la vie, avec son corps puis avec son cœur.
La différence sert à rechercher l'entente dans ces inégalités de "conception". S'il n'y a plus de différences, il n'y a plus de recherche d'unité ou de fraternité.
La terre, l'univers et l'homme, sont par exemple différents, donc la terre est objet de recherche, permet la science et la "connaissance", ou le soulèvement des voiles et des robes de cette coquette matière, qui ne demande qu'à être fécondée de l'esprit de l'homme, etc.
Xeon- Sorti de l'oeuf
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Re: Le droit du mari sur sa femme
je pense qu'il n'a jamais été question d'égalité au point de vue biologique, physiologique, ou même psychologique , mais bien de l'égalité au point de vue droit, égalité sociale...
nous savons bien qu'il n'y a pas deux etres semblable dans le monde de par les gènes...mais ceux ci peuvent etre égaux devant la loi, par exemple..
nous savons bien qu'il n'y a pas deux etres semblable dans le monde de par les gènes...mais ceux ci peuvent etre égaux devant la loi, par exemple..
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le droit du mari sur sa femme
En résumé, es-tu pour " la femme au foyer" et l 'homme au travail? Kirche, kinden, küche ?
Geveil- Akafer
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Re: Le droit du mari sur sa femme
non pour l'homme au foyer et la femme au boulot....
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le droit du mari sur sa femme
atchoum: tu as très bien compris
Gerève: c'est ce genre de caricature déformante qui rend le dialogue difficile en radicalisant les positions, au lieu d'aller vers des explications nuancées et réalistes.
Xeon, merci pour ton point de vue tout à fait respectable et exprimé avec franchise... et courtoisie.
Cela donne beaucoup plus envie de lire et de discuter sereinement que des discours méprisants et grossiers.
J'ai toujours plaidé pour la différence entre les femmes et les hommes, mais je trouve qu'il faut laisser à chacun le droit d'exprimer son caractère, hors de moules et des clichés imposés.
Il ne faut pas exagérer ces différences, et encore moins en faire un outil de domination.
Le combat des féministes (je le répète) n'est pas de faire des androgynes, mais de donner des droits égaux à chacun.
Il ne faut pas garder comme seule image des féministes les quelques extrémistes qui l'ont ternie.
Il ne faut pas oublier qu'une de leurs revendications principales était de revaloriser le travail ménager et l'éducation des enfants, notamment par une rémunération de la femme (ou de l'homme) au foyer. Beaucoup de femmes, bloquées chez elles, devaient se débrouiller avec quelques sous alors que leur mari passait ses soirées à dépenser les autres au café. Il faut regarder la réalité ! Vous êtes dans le rêve, ne voyant que quelques familles modèles, qui étaient l'exception. Trop facile d'idéaliser le passé en fermant les yeux sur ses injustices...
Elles ont réclamé la possibilité de travailler à mi-temps, de diminuer le temps de travail des homme (il était de 60 heures/semaine), justement pour pouvoir plus facilement concilier travail et famille, pour les deux. Elles ont demandé qu'il y ait plus de femmes au gouvernement, justement parce qu'elles sont complémentaires aux hommes, et se soucient plus de certaines choses comme l'éducation, la qualité de vie,...
Virgule vomit les "femmes modernes", et sermonne sévèrement (voire avec grossièreté) ceux qui ne pensent pas comme lui, au point de reprocher avec des mots excessif à une femme âgée de prendre son GSM pour se promener dans la montagne, lui expliquant qu'elle est ainsi co-responsable de la mort et de la misère d'autres personnes, par pur égoïsme/ etc...
Tout en tapant cela ... sur un clavier d'ordinateur !
Le fait qu'il cherche une femme "au foyer" n'a rien de mal, je l'approuve et je l'applaudis, mais cela ne lui donne pas le droit de critiquer les choix des autres, ni d'être grossier. Pour cela, je ne le félicite pas, c'est une forme de tyrannie, et je crains que sa femme ne pourra pas non plus donner son avis sans recevoir une volée de bois vert. Les belles théories, c'est bien, mais il faut voir la réalité.
Je ne l'applaudit pas non plus quand il dit que les femmes trouveront leur liberté et leur féminité en faisant le ménage et la cuisine. La preuve qu'elles ne sont pas faite pour cela plus que les hommes est que celles qui en ont eu les moyens ont toujours cherché à s'en dispenser en payant du personnel, et que si elles ont le choix, dans la grande majorité des cas, elles préféreront partager les corvées ménagères... et les plaisirs de s'occuper des enfants.
Je l'ai dit plus haut: la tendance actuelle à faire "machine arrière" est normale et même saine, c'est le mouvement du balancier: la révolution a été trop brutale, il est naturel de chercher un équilibre dans les anciennes valeurs. Ce n'est pas pour cela qu'il faut revenir aux anciens excès !
Il faut aller de l'avant, prendre ce qu'il y avait de bon "avant" (notamment une présence constante à la maison, pour les enfants) mais en corriger les excès et laisser plus de place à l'épanouissement de la personne: des parents forcés dans un rôle qui ne leur convient pas seront aigris, étouffants pour les enfants aussi. Vous êtes trop jeunes pour avoir connu ces femmes vidées, écrasées, ces hommes castrés, traumatisés par une mère sur-protectrice et un père absent, autoritaire.
Je me souviens de mon mari, quand j'ai arrêté de travailler pour me consacrer au foyer: il en est tombé malade. Il ne supportait pas d'avoir à lui seul la responsabilité financière de toute une famille. Il disait: "on était deux adultes indépendants, et maintenant je me retrouve prisonnier, condamné aux travaux forcés, avec une responsabilité de 3 personnes, trop lourde pour moi". Elle a en effet été trop lourde, cela l'a stressé et a détruit sa santé. Il m'a donc encouragé à recommencer à travailler (progressivement, à temps partiel), ce que j'ai fait d'autant plus volontiers que mon boulot est passionnant. Rester femme entretenue m'aurait aussi plu: je me serais entièrement lancée dans la création artistique.
La diminution du temps de travail et du nombre d'enfants change la donne, ainsi que l'allongement de la durée de vie.
Si on a deux enfants, dès qu'ils vont à l'école, la maman a au moins la possibilité de travailler mi-temps.
Avant, on était vieux à 40 ans, les femmes déformées, épuisées, n'étaient pas de modèles de féminité ! Les maris allaient souvent chercher "ailleurs". Toute leur vie adulte était consacrée aux enfants et au foyer: lessives à la main, équipement ménager rudimentaire... Maintenant, les femmes, si elles ne se sont pas laissé écraser par leur double vie (travail+foyer) ont de longues années sans enfants, alors qu'elles sont encore en forme. Les priver d'une activité professionnelle pendant toute leur vie est donc devenu inapproprié.
Donc, en résumé:
réclamer des "droit égaux" ne signifie pas "souhaiter l'androgynie", mais l'épanouissement de chacun: homme, femme, enfants. La condition première à l'épanouissement et l'équilibre de chacun, est qu'il puisse orienter sa vie en fonction de son caractère, et pas selon de moules imposés.
Dans les faits, quand on laisse le choix, on constate que naturellement, plus de femmes que d'hommes restent plus près de la maison... et c'est très bien comme cela ! Mais au moins laissons aux "atypiques" le droit de l'être sans les mépriser ou ridiculiser. Mieux vaut une femme au travail qu'une mauvaise mère (eh oui, cela existe) et mieux vaut un homme au foyer qu'un père frustré.
Gerève: c'est ce genre de caricature déformante qui rend le dialogue difficile en radicalisant les positions, au lieu d'aller vers des explications nuancées et réalistes.
Xeon, merci pour ton point de vue tout à fait respectable et exprimé avec franchise... et courtoisie.
Cela donne beaucoup plus envie de lire et de discuter sereinement que des discours méprisants et grossiers.
J'ai toujours plaidé pour la différence entre les femmes et les hommes, mais je trouve qu'il faut laisser à chacun le droit d'exprimer son caractère, hors de moules et des clichés imposés.
Il ne faut pas exagérer ces différences, et encore moins en faire un outil de domination.
Le combat des féministes (je le répète) n'est pas de faire des androgynes, mais de donner des droits égaux à chacun.
Il ne faut pas garder comme seule image des féministes les quelques extrémistes qui l'ont ternie.
Il ne faut pas oublier qu'une de leurs revendications principales était de revaloriser le travail ménager et l'éducation des enfants, notamment par une rémunération de la femme (ou de l'homme) au foyer. Beaucoup de femmes, bloquées chez elles, devaient se débrouiller avec quelques sous alors que leur mari passait ses soirées à dépenser les autres au café. Il faut regarder la réalité ! Vous êtes dans le rêve, ne voyant que quelques familles modèles, qui étaient l'exception. Trop facile d'idéaliser le passé en fermant les yeux sur ses injustices...
Elles ont réclamé la possibilité de travailler à mi-temps, de diminuer le temps de travail des homme (il était de 60 heures/semaine), justement pour pouvoir plus facilement concilier travail et famille, pour les deux. Elles ont demandé qu'il y ait plus de femmes au gouvernement, justement parce qu'elles sont complémentaires aux hommes, et se soucient plus de certaines choses comme l'éducation, la qualité de vie,...
Virgule vomit les "femmes modernes", et sermonne sévèrement (voire avec grossièreté) ceux qui ne pensent pas comme lui, au point de reprocher avec des mots excessif à une femme âgée de prendre son GSM pour se promener dans la montagne, lui expliquant qu'elle est ainsi co-responsable de la mort et de la misère d'autres personnes, par pur égoïsme/ etc...
Tout en tapant cela ... sur un clavier d'ordinateur !
Le fait qu'il cherche une femme "au foyer" n'a rien de mal, je l'approuve et je l'applaudis, mais cela ne lui donne pas le droit de critiquer les choix des autres, ni d'être grossier. Pour cela, je ne le félicite pas, c'est une forme de tyrannie, et je crains que sa femme ne pourra pas non plus donner son avis sans recevoir une volée de bois vert. Les belles théories, c'est bien, mais il faut voir la réalité.
Je ne l'applaudit pas non plus quand il dit que les femmes trouveront leur liberté et leur féminité en faisant le ménage et la cuisine. La preuve qu'elles ne sont pas faite pour cela plus que les hommes est que celles qui en ont eu les moyens ont toujours cherché à s'en dispenser en payant du personnel, et que si elles ont le choix, dans la grande majorité des cas, elles préféreront partager les corvées ménagères... et les plaisirs de s'occuper des enfants.
Je l'ai dit plus haut: la tendance actuelle à faire "machine arrière" est normale et même saine, c'est le mouvement du balancier: la révolution a été trop brutale, il est naturel de chercher un équilibre dans les anciennes valeurs. Ce n'est pas pour cela qu'il faut revenir aux anciens excès !
Il faut aller de l'avant, prendre ce qu'il y avait de bon "avant" (notamment une présence constante à la maison, pour les enfants) mais en corriger les excès et laisser plus de place à l'épanouissement de la personne: des parents forcés dans un rôle qui ne leur convient pas seront aigris, étouffants pour les enfants aussi. Vous êtes trop jeunes pour avoir connu ces femmes vidées, écrasées, ces hommes castrés, traumatisés par une mère sur-protectrice et un père absent, autoritaire.
Je me souviens de mon mari, quand j'ai arrêté de travailler pour me consacrer au foyer: il en est tombé malade. Il ne supportait pas d'avoir à lui seul la responsabilité financière de toute une famille. Il disait: "on était deux adultes indépendants, et maintenant je me retrouve prisonnier, condamné aux travaux forcés, avec une responsabilité de 3 personnes, trop lourde pour moi". Elle a en effet été trop lourde, cela l'a stressé et a détruit sa santé. Il m'a donc encouragé à recommencer à travailler (progressivement, à temps partiel), ce que j'ai fait d'autant plus volontiers que mon boulot est passionnant. Rester femme entretenue m'aurait aussi plu: je me serais entièrement lancée dans la création artistique.
La diminution du temps de travail et du nombre d'enfants change la donne, ainsi que l'allongement de la durée de vie.
Si on a deux enfants, dès qu'ils vont à l'école, la maman a au moins la possibilité de travailler mi-temps.
Avant, on était vieux à 40 ans, les femmes déformées, épuisées, n'étaient pas de modèles de féminité ! Les maris allaient souvent chercher "ailleurs". Toute leur vie adulte était consacrée aux enfants et au foyer: lessives à la main, équipement ménager rudimentaire... Maintenant, les femmes, si elles ne se sont pas laissé écraser par leur double vie (travail+foyer) ont de longues années sans enfants, alors qu'elles sont encore en forme. Les priver d'une activité professionnelle pendant toute leur vie est donc devenu inapproprié.
Donc, en résumé:
réclamer des "droit égaux" ne signifie pas "souhaiter l'androgynie", mais l'épanouissement de chacun: homme, femme, enfants. La condition première à l'épanouissement et l'équilibre de chacun, est qu'il puisse orienter sa vie en fonction de son caractère, et pas selon de moules imposés.
Dans les faits, quand on laisse le choix, on constate que naturellement, plus de femmes que d'hommes restent plus près de la maison... et c'est très bien comme cela ! Mais au moins laissons aux "atypiques" le droit de l'être sans les mépriser ou ridiculiser. Mieux vaut une femme au travail qu'une mauvaise mère (eh oui, cela existe) et mieux vaut un homme au foyer qu'un père frustré.
Dernière édition par Lila le Sam 5 Juin 2010 - 10:17, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Exemple pratique des revendications féministes, dans la gamme "revalorisation du travail au foyer".
Actuellement encore, la femme au foyer est considérée, pour la pension, comme "sans travail", comme ne contribuant PAS à l'économie, alors qu'elle fait un travail essentiel.
Je n'ai fait qu'une demi carrière pour pouvoir m'occuper des enfants, et encore; toujours à temps partiel. Résultat: à la pension, je ne recevrai que le SMIG, alors que mon ex aura une pension plus que très confortable.
Vous pensez que cela encourage les femmes à rester à la maison ?
Une des revendications principales de féministes est la REVALORISATION du travail à la maison et surtout de l'éducation des enfants, en le considérant comme un VRAI travail, et en le rémunérant.
Vous comprenez ?
Si oui, alors arrêtez de vous moquer des féministes, arrêtez de n'en retenir que les "lesbiennes qui réclament l'identité des sexes", arrêtez de caricaturer les rôles en ne laissant que deux issues
- la femme au foyer modèle, féminine, douce, bonne mère ou
- la femme au travail, masculine, mauvaise épouse et mauvaise mère, responsable de la délinquance...
Ce sont deux extrêmes: selon la courbe de Gauss, ce sont les moins nombreuses. Toutes les autres se retrouvent entre les deux...
Actuellement encore, la femme au foyer est considérée, pour la pension, comme "sans travail", comme ne contribuant PAS à l'économie, alors qu'elle fait un travail essentiel.
Je n'ai fait qu'une demi carrière pour pouvoir m'occuper des enfants, et encore; toujours à temps partiel. Résultat: à la pension, je ne recevrai que le SMIG, alors que mon ex aura une pension plus que très confortable.
Vous pensez que cela encourage les femmes à rester à la maison ?
Une des revendications principales de féministes est la REVALORISATION du travail à la maison et surtout de l'éducation des enfants, en le considérant comme un VRAI travail, et en le rémunérant.
Vous comprenez ?
Si oui, alors arrêtez de vous moquer des féministes, arrêtez de n'en retenir que les "lesbiennes qui réclament l'identité des sexes", arrêtez de caricaturer les rôles en ne laissant que deux issues
- la femme au foyer modèle, féminine, douce, bonne mère ou
- la femme au travail, masculine, mauvaise épouse et mauvaise mère, responsable de la délinquance...
Ce sont deux extrêmes: selon la courbe de Gauss, ce sont les moins nombreuses. Toutes les autres se retrouvent entre les deux...
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Lila:
Oui surtout quand elles passent la journée devant l'ordinateur en laissant le bordel dans la maison...Dans les faits, quand on laisse le choix, on constate que naturellement, plus de femmes que d'hommes restent plus près de la maison... et c'est très bien comme cela !
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Le droit du mari sur sa femme
toujours cette charmante forme d'humour qui consiste à se moquer des autres et essayer de les rabaisser. Toujours avec la même technique: en extrayant des phrases d'un texte en transformant leur signification ou leur "destination"
Ne parlons pas de contribuer au sujet de façon constructive: trop dur, sans doute ?
N'as tu pas remarqué que je n'ai jamais critiqué ta façon de vivre (ni même cherché à l'imaginer), ni celle de personne ici ? Ni commenté le temps que TU passais devant l'ordinateur: cela ne me regarde pas, tout simplement.
Ne parlons pas de contribuer au sujet de façon constructive: trop dur, sans doute ?
N'as tu pas remarqué que je n'ai jamais critiqué ta façon de vivre (ni même cherché à l'imaginer), ni celle de personne ici ? Ni commenté le temps que TU passais devant l'ordinateur: cela ne me regarde pas, tout simplement.
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Ah ?! parce que toi tu fais quoi en répondant à Virgule ceci:Lila a écrit:toujours cette charmante forme d'humour qui consiste à se moquer des autres et essayer de les rabaisser.
Que voulez vous, quand on est un génie, spirituellement initié grâce à des hallucinogènes, c'est normal
_________________
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Cervantes
Re: Le droit du mari sur sa femme
toujours aussi obsédé par mes textes et ma personne décidément, je te fascine ! A voir la rapidité de ta réaction, tu devais le garder en réserve depuis longtemps
Je te souhaite une bonne journée.
La mienne se passera en effet surtout devant l'ordi: c'est mon outil de travail principal. Là où tu as raison, c'est que j'y perds du temps quand j'allonge mes pauses en "discutant" avec des imbéciles qui n'en valent vraiment pas la peine.
Je vais immédiatement tenir compte de ta remarque...
bye !
Je te souhaite une bonne journée.
La mienne se passera en effet surtout devant l'ordi: c'est mon outil de travail principal. Là où tu as raison, c'est que j'y perds du temps quand j'allonge mes pauses en "discutant" avec des imbéciles qui n'en valent vraiment pas la peine.
Je vais immédiatement tenir compte de ta remarque...
bye !
Dernière édition par Lila le Sam 5 Juin 2010 - 10:59, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Lila:
Ta personne ? Non vraiment pas, mais par certains de tes écrits oui, ça m'arrive.
Tu es un cas d'école pour moi
toujours aussi obsédé par mes textes et ma personne décidément, je te fascine !
Ta personne ? Non vraiment pas, mais par certains de tes écrits oui, ça m'arrive.
Tu es un cas d'école pour moi
_________________
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Cervantes
Re: Le droit du mari sur sa femme
Lila, Je n'est pas dit que la femme ne devait pas travailler. J'ai même dit le contraire (voir plus haut). je dis que sur une même chose, la femme aura un point de vue différent. Après cela donne des tendances, des moyennes incontestables et qu'on ne changera pas, quoi qu'on fasse, parce que cela vient de plus haut. Là où je m'oppose, c'est dans l'interchageabilité inconséquente homme-femme, sous-tendue par l'idée qu'il n'y aurait pas de nature, de tendance en soi de leur nature.
Je trouve très bien que les femmes aient besoin d'un revenu au foyer. Ou qu'elles fassent carrière, qu'elles soient indépendantes. Quand je parle du rôle des fées influençant les rois, il me semble que je les place au-dessus, non ? Que ce soit légende ou réalité déformée, peu importe. Cela dit que la femme impose ici SON point de vue féminin. Et j'ajoute, quand je parle de l'androgynat, que cela correspond à un point de vue plus élevé que celui du seul ordre social (même s'il est important). Le fait de libérer la femme sans en même temps lui donner des principes, conduit à ce que j'ai dit plus haut.
Et je pense pour ma part que le rôle des femmes d'autrefois n'est pas si catastrophique que cela (je peux reprendre l'exemple de la fée). C'est une opinion certes, puisque le point de vue adverse est écrasé et étouffé par le système dont je parle : on ne l'entend pas s'exprimer. Il faudrait, idéalement, entendre tous les points de vue. Or cela n'est pas le cas.
Je trouve très bien que les femmes aient besoin d'un revenu au foyer. Ou qu'elles fassent carrière, qu'elles soient indépendantes. Quand je parle du rôle des fées influençant les rois, il me semble que je les place au-dessus, non ? Que ce soit légende ou réalité déformée, peu importe. Cela dit que la femme impose ici SON point de vue féminin. Et j'ajoute, quand je parle de l'androgynat, que cela correspond à un point de vue plus élevé que celui du seul ordre social (même s'il est important). Le fait de libérer la femme sans en même temps lui donner des principes, conduit à ce que j'ai dit plus haut.
Et je pense pour ma part que le rôle des femmes d'autrefois n'est pas si catastrophique que cela (je peux reprendre l'exemple de la fée). C'est une opinion certes, puisque le point de vue adverse est écrasé et étouffé par le système dont je parle : on ne l'entend pas s'exprimer. Il faudrait, idéalement, entendre tous les points de vue. Or cela n'est pas le cas.
Xeon- Sorti de l'oeuf
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Identité métaphysique : Xeon
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Date d'inscription : 08/05/2010
Re: Le droit du mari sur sa femme
Xeon, je ne répondais pas nécessairement à ton post, je reste fort dans les généralités pratiques
Merci d'avoir recentré sur une discussion intéressante.
Ce que j'apprécie dans ton texte est l'aspect symbolique, la notion d'unité constituée du principe féminin et masculin: il mériterait d'être développé, mais dans un nouveau fil, peut-être ? On la retrouve en psychologie: nous avons les deux pôles en nous, il faut les reconnaître, les harmoniser pour être des humains complets. Donc l'homme doit accepter son pôle féminin, et la femmes son pôle masculin. C'est comme cela qu'on aura des hommes (virils) complets et des femmes (féminines) complètes, au lieu d'avoir des demi-êtres.
Ou, les fées étaient femmes mais cela reste au niveau symbolique, cela ne doit pas pour cela donner un rôle dominant à un sexe. N'oublie pas non plus Merlin, ni les femmes brûlées comme sorcières... C'est à double tranchant, ces trucs là...
Pour ce qui est du bouleversement trop brutal de la société et du chaos qui s'en suit, je suis d'accord avec toi, mais je m'en inquiète moins: elle retrouvera son équilibre, et ce sera mieux qu'avant. Il faut du temps pour cela: une génération ne suffit pas.
Merci d'avoir recentré sur une discussion intéressante.
Ce que j'apprécie dans ton texte est l'aspect symbolique, la notion d'unité constituée du principe féminin et masculin: il mériterait d'être développé, mais dans un nouveau fil, peut-être ? On la retrouve en psychologie: nous avons les deux pôles en nous, il faut les reconnaître, les harmoniser pour être des humains complets. Donc l'homme doit accepter son pôle féminin, et la femmes son pôle masculin. C'est comme cela qu'on aura des hommes (virils) complets et des femmes (féminines) complètes, au lieu d'avoir des demi-êtres.
Ou, les fées étaient femmes mais cela reste au niveau symbolique, cela ne doit pas pour cela donner un rôle dominant à un sexe. N'oublie pas non plus Merlin, ni les femmes brûlées comme sorcières... C'est à double tranchant, ces trucs là...
je serais prudente et nuancée avant d'affirmer cela, et j'irais aussi voir ailleurs que chez nous... Plus les rôles sont différenciés, plus la femme est maltraitée, infantilisée, voire réduite à l'esclavage. Il y a heureusement des exceptions remarquables (et pas si "exceptionnelles" que cela, heureusement!). Et la comparer à une fée, une princesse ou un "joyau" n'est que flatterie pour lui faire accepter son sort: je m'en méfie. Les croisés qui s'en allaient en mettant des ceintures de chasteté à leurs épouse employaient sûrement aussi ce vocabulaire flatteur, et chantaient la beauté des femmes (pourquoi seulement la beauté ?)le rôle des femmes d'autrefois n'est pas si catastrophique que cela
Pour ce qui est du bouleversement trop brutal de la société et du chaos qui s'en suit, je suis d'accord avec toi, mais je m'en inquiète moins: elle retrouvera son équilibre, et ce sera mieux qu'avant. Il faut du temps pour cela: une génération ne suffit pas.
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Sérieux lila, tu vrilles sévère!... Faut vraiment faire quelque chose là; A quoi rimes tes interventions?quand on n'a plus d'argument, on lâche les injures.
Des injures? non il n'y en a pas, tout au plus des questionnements, car je me fais du souci pour toi? vraiment!
lila, tu n'es jamais aimable des qu'on pense autrement que toi; Tu ne supportes jamais la moindre critique qu'en t'offusquant comme si on t'avais volé la lune et le soleil. Sérieusement, comment peut on discuter avec toi, je me le demande encore. Faut il se contenter de parler de la pluie et du beau temps qu'il fait sur ta ferme du bonheurs? Faut il te ménager en permanence et surtout quand tu dis des bêtises? Si c'est cela que tu veux, il faudra songer a ne pas venir et revenir sans cesse a la rencontre de ceux qui n'ont pas pour habitude de se complaire dans le massage de cerveau. Soit tu es capable, soit tu ne l'es pas, auquel cas, va vers des personnes plus adapté a ta manière de fonctionner, tu te feras moins de mal.Virgule, le problème est que ce que tu écris (et que je lis, parce que je ne lis qu'une ligne ici ou là) ne m'incite pas à être plus aimable.
C'est sur que cela ne t'amuserai pas de constater que les insultes ont été surtout proférer a mon encontre et surtout par toi...tu remarqueras que je ne m'en suis pas plaint, je n'ai pas crié au meurtre... Si j'avais le quart de ce que tu m'as dit, ou en serait on aujourd'hui? J'ose même pas me le demander... Tes histoires me fatiguent.Je ne vais pas m'amuser à en faire une compilation, mais entre la grossièreté envers JO, le mépris pour les "femmes modernes", et les diagnostiques en ligne, tu constaterais que tu n'es pas en position de donner des conseils de savoir vivre aux autres.
lila, c'est souvent toi qui est a l'origine des conflits, il faudra que tu parviennes a le remarquer un jour.Rassure toi, je ne m'engagerai pas dans la course à la grossièreté et du ton le plus méprisant.
Je te laisse la palme, à toi, et à certains autres
De temps en temps quand il m'arrive d'avoir des combats avec d'autres, on fini toujours par pouvoir s'expliquer, on fini toujours par la voie de la raison a se comprendre mutuellement même si nos idées diverges, mais avec toi cela est impossible, comme si tu ne voulais en sommes que pouvoir en arriver au point ou tu pourras mepriser les autres en bonne conscience... C'est lourd comme attitudes, et au final la seule qui soit mepriser c'est toi.
Ecoute je sais que c'est pas agreable de s'entendre dire ces choses, et ça me fait de la peine de devoir te les dire, mais franchement on en arrive a un point ou il faut remettre les choses a leur place.
eh ben! t'as pas froid aux yeux ma vieille! sans aller cherche bien loin, remonte simplement quelque message et relis tes posts me concernant, tu t'apercevras, puisque la memoire semble te faire defaut, a quel point tu te leurres sur ton propre compte.N'as tu pas remarqué que je n'ai jamais critiqué ta façon de vivre (ni même cherché à l'imaginer), ni celle de personne ici ?
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Le droit du mari sur sa femme
sorry Virgule, je zappe. Jipé avait raison: je dois moins perdre de temps ici, je vais donc me limiter aux intervenants qui en valent la peine.
Je ne reviendrai sur ce sujet que pour les interventions qui restent dans le sujet.
Je ne reviendrai sur ce sujet que pour les interventions qui restent dans le sujet.
Invité- Invité
Re: Le droit du mari sur sa femme
Le male a la chasse, a la pêche, a la cueillette, a fabriquer des outils de toutes sortes, des paniers, etc... et même a s'occuper de temps a autre de femelles en chaleur, et la femelle quant a elle, devant de gré ou de force être soumise, a s'occuper des mioches deja sorties de la matrice, a travailler dans les champs, et a apprendre l'art de prendre bien soin de son doux époux...athésouhait: non pour l'homme au foyer et la femme au boulot....
hé! c'est que ça se mérite l'énergie d'un vrai mâle;
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Le droit du mari sur sa femme
De belles paroles , et beaucoup de vent ! St Paul était sans doute un haut-parleur de Dieu, mais que connaissait-il aux femmes ? Je le vois plutôt puceau ...Il serait intéressant que les intervenants précisent leur propre expérience de la ou des femmes avant de jouer à l' initié...
A St Paul je préfère Baudelaire...
Maudit soit à jamais le rêveur inutile
Qui voulut le premier, dans sa stupidité,
S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté !
A St Paul je préfère Baudelaire...
Maudit soit à jamais le rêveur inutile
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S'éprenant d'un problème insoluble et stérile,
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bernard1933- Aka Tpat
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le droit du mari sur sa femme
un peu avant le mâle" etait un animal sauvage...il pouvait tuer sans culpabilité un congénère...virgule a écrit:Le male a la chasse, a la pêche, a la cueillette, a fabriquer des outils de toutes sortes, des paniers, etc... et même a s'occuper de temps a autre de femelles en chaleur, et la femelle quant a elle, devant de gré ou de force être soumise, a s'occuper des mioches deja sorties de la matrice, a travailler dans les champs, et a apprendre l'art de prendre bien soin de son doux époux...athésouhait: non pour l'homme au foyer et la femme au boulot....
hé! c'est que ça se mérite l'énergie d'un vrai mâle;
depuis, on a quelque peu évolué...tu ne crois pas?
comparer l'homme d'aujourd'hui au mâle sauvage d'il y a 15000 ans me semble légèrement dépourvu de bon sens...
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 22/03/2008
Re: Le droit du mari sur sa femme
A mon avis, Virgule fait partie du MLM.
- Spoiler:
- Non, ce n'est pas un groupe terroriste.
C'est le Mouvement de Libération du Mâle.
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