De quel droit le droit ?
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l'humanité peut-elle se passer de lois ?
De quel droit le droit ?
Il est déjà arrivé dans l'histoire que les hommes, soit par option sociale soit par nécessité, aient eu à se passer de loi pour vivre ensemble.
En général, la loi du plus fort resurgit, la voie évangélique - l'Espoir de Dieu ! - n'a jamais, jamais triomphé. L'espoir communiste a fini en une immonde dictature.
L'espoir libertaire a péri sous les assauts répétés et le plus souvent concertés de tous les autres partis...
Il est compréhensible que faute de mieux, on s'accroche à une démocratie qui n'en a guère que le nom, et encore un peu d'apparence, en attendant que la tolérance zéro en vienne à s'appliquer à la moindre déviation de la trajectoire "normale".
Mais la démocratie est à la merci d'une mise à nu (celle-ci semble s'effectuer à vitesse accélérée depuis quelque temps)
Tous verront alors la véritable "tyrannie douce" (Tocqueville) dans quoi s'est rétrécie leur vie.
Il se peut aussi que le bel édifice devienne ingérable, vire au chaos, annonciateur de changements radicaux.
A ce moment précis, la question du droit a toutes les chances de revenir se poser en pratique, et l'enjeu sera rien moins que fonder un nouveau monde.
Je ne sais pas grand chose des "propriétés" de l'homme (c'est une réelle interrogation), mais une me semble manifeste : sa liberté, donc sa capacité à évoluer de lui-même, à faire des choix.
Toujours est-il qu'avec l'instauration du "droit", le droit naturel (notion définie un peu plus loin) a été chassé, remplacé par le droit coutumier, le droit divin etc, etc. Bref, des droits qui ont ceci de commun qu'ils ne partent jamais de l'individu (contrairement au droit naturel, qui s'applique directement pour chacun).
Or le droit naturel, par l'égalité et la réciprocité qu'il présuppose... naturellement, ne s'en est pas trouvé affiné, enrichi ou "transcendé", mais exclut au profit des "princes" et de leurs "docteurs", qui n'aiment ni l'égalité ni la réciprocité réelles.
Car qu'est-ce que le droit naturel ?
"Le droit naturel est un droit idéal, conçu à partir des caractères physiques et psychiques fondamentaux de l’être humain. Il se construit au fur et à mesure des lents progrès de la civilisation, sous l’empire de la raison, à la lumière des expériences vécues à travers le temps et l’espace. Honni par les régime politiques totalitaires, il renaît avec plus de vigueur après chaque époque de mise à l’écart. Ébauché jadis dans les Dix commandements, il a inspiré les Déclarations de droits de l’homme édictées de la seconde moitié du XXe siècle. Pris dans son intégralité, il s’efforce de déterminer les droits et les devoirs de l’homme envers lui-même, envers sa famille, envers la société comme envers autrui."
(Jean-Paul DOUCET, ancien professeur des Facultés de droit, ancien titulaire de la rubrique de Droit criminel à la Gazette du Palais : ledroitcriminel.free.fr/)
Arrivé à ce point, je vois peut-être une réponse à la question : " comment bâtir un projet de société sur l'hétérogénéité des consciences ? "
Il semble bien qu'il faudra toujours aux hommes en quelque sorte "miser" sur un "fond" commun (le bon sens, Dieu, l'instinct...).
A défaut, par gros temps social, barbarie qui menace... nous pourrions nous replier sous les dix commandements...
Mais la perspective dévoilée par Jésus est nettement plus enthousiasmante !
Le "fond" commun à tout homme, selon lui, non seulement n'est pas arrêté dans son rayonnement par l'hétérogénéité des consciences, mais s'y... fond : en aimant mon prochain comme moi-même, nous transcendons ensemble - sans besoin de "droit" pour ça - nos antagonismes, différends, etc.
Ce "fond" universel peut suffire comme "loi", s'il est suffisamment activé dans suffisamment d'êtres.
Jésus l'appelait Amour et s'en servait comme d'une bombe spirituelle face aux religieux de son temps.
Demain, puisqu'il n'y aura plus de déluge, je m'attends à une Trombe de vérité, traversant la terre éperdument.
En général, la loi du plus fort resurgit, la voie évangélique - l'Espoir de Dieu ! - n'a jamais, jamais triomphé. L'espoir communiste a fini en une immonde dictature.
L'espoir libertaire a péri sous les assauts répétés et le plus souvent concertés de tous les autres partis...
Il est compréhensible que faute de mieux, on s'accroche à une démocratie qui n'en a guère que le nom, et encore un peu d'apparence, en attendant que la tolérance zéro en vienne à s'appliquer à la moindre déviation de la trajectoire "normale".
Mais la démocratie est à la merci d'une mise à nu (celle-ci semble s'effectuer à vitesse accélérée depuis quelque temps)
Tous verront alors la véritable "tyrannie douce" (Tocqueville) dans quoi s'est rétrécie leur vie.
Il se peut aussi que le bel édifice devienne ingérable, vire au chaos, annonciateur de changements radicaux.
A ce moment précis, la question du droit a toutes les chances de revenir se poser en pratique, et l'enjeu sera rien moins que fonder un nouveau monde.
Je ne sais pas grand chose des "propriétés" de l'homme (c'est une réelle interrogation), mais une me semble manifeste : sa liberté, donc sa capacité à évoluer de lui-même, à faire des choix.
Toujours est-il qu'avec l'instauration du "droit", le droit naturel (notion définie un peu plus loin) a été chassé, remplacé par le droit coutumier, le droit divin etc, etc. Bref, des droits qui ont ceci de commun qu'ils ne partent jamais de l'individu (contrairement au droit naturel, qui s'applique directement pour chacun).
Or le droit naturel, par l'égalité et la réciprocité qu'il présuppose... naturellement, ne s'en est pas trouvé affiné, enrichi ou "transcendé", mais exclut au profit des "princes" et de leurs "docteurs", qui n'aiment ni l'égalité ni la réciprocité réelles.
Car qu'est-ce que le droit naturel ?
"Le droit naturel est un droit idéal, conçu à partir des caractères physiques et psychiques fondamentaux de l’être humain. Il se construit au fur et à mesure des lents progrès de la civilisation, sous l’empire de la raison, à la lumière des expériences vécues à travers le temps et l’espace. Honni par les régime politiques totalitaires, il renaît avec plus de vigueur après chaque époque de mise à l’écart. Ébauché jadis dans les Dix commandements, il a inspiré les Déclarations de droits de l’homme édictées de la seconde moitié du XXe siècle. Pris dans son intégralité, il s’efforce de déterminer les droits et les devoirs de l’homme envers lui-même, envers sa famille, envers la société comme envers autrui."
(Jean-Paul DOUCET, ancien professeur des Facultés de droit, ancien titulaire de la rubrique de Droit criminel à la Gazette du Palais : ledroitcriminel.free.fr/)
Arrivé à ce point, je vois peut-être une réponse à la question : " comment bâtir un projet de société sur l'hétérogénéité des consciences ? "
Il semble bien qu'il faudra toujours aux hommes en quelque sorte "miser" sur un "fond" commun (le bon sens, Dieu, l'instinct...).
A défaut, par gros temps social, barbarie qui menace... nous pourrions nous replier sous les dix commandements...
Mais la perspective dévoilée par Jésus est nettement plus enthousiasmante !
Le "fond" commun à tout homme, selon lui, non seulement n'est pas arrêté dans son rayonnement par l'hétérogénéité des consciences, mais s'y... fond : en aimant mon prochain comme moi-même, nous transcendons ensemble - sans besoin de "droit" pour ça - nos antagonismes, différends, etc.
Ce "fond" universel peut suffire comme "loi", s'il est suffisamment activé dans suffisamment d'êtres.
Jésus l'appelait Amour et s'en servait comme d'une bombe spirituelle face aux religieux de son temps.
Demain, puisqu'il n'y aura plus de déluge, je m'attends à une Trombe de vérité, traversant la terre éperdument.
Re: De quel droit le droit ?
Hélas, j'ai voté non, et pourtant, j'aurais préféré voter oui.
Tu poses la question du droit naturel, mais le droit naturel ne peut pas non plus s'appliquer sans lois, car comme tu l'as dit au début, en l'absence de droit et de lois, c'est le droit du plus fort qui l'emporte.
Les anarchistes ont essayé d'appliquer un mode d'organisation -au moins entre eux- sans lois. Je ne sais pas avec quels résultats. Mais ce qui peut s'appliquer (et encore pas forcément facilement) dans un petit groupe où les gens se sont engagés dans une sorte de contrat moral et social ne peut pas s'appliquer à grande échelle -enfin, je ne pense pas...
J'avais lancé un fil de discussion sur ce forum "Jésus était-il révolutionnaire" ? dans lequel j'espérais mettre l'accent sur ce qui me paraît fondamental dans son message. Or, quand on regarde où nous en sommes, que reste-t-il de ce message ? Qui l'as écouté ? Qui l'écoute encore ? Même chez ceux qui se disent Chrétiens, très peu pensent et agissent pour faire passer ce message-là.
Mais j'aimerais bien que tu explicites ta dernière phrase -que je trouve très belle.
Tu poses la question du droit naturel, mais le droit naturel ne peut pas non plus s'appliquer sans lois, car comme tu l'as dit au début, en l'absence de droit et de lois, c'est le droit du plus fort qui l'emporte.
Les anarchistes ont essayé d'appliquer un mode d'organisation -au moins entre eux- sans lois. Je ne sais pas avec quels résultats. Mais ce qui peut s'appliquer (et encore pas forcément facilement) dans un petit groupe où les gens se sont engagés dans une sorte de contrat moral et social ne peut pas s'appliquer à grande échelle -enfin, je ne pense pas...
J'avais lancé un fil de discussion sur ce forum "Jésus était-il révolutionnaire" ? dans lequel j'espérais mettre l'accent sur ce qui me paraît fondamental dans son message. Or, quand on regarde où nous en sommes, que reste-t-il de ce message ? Qui l'as écouté ? Qui l'écoute encore ? Même chez ceux qui se disent Chrétiens, très peu pensent et agissent pour faire passer ce message-là.
Mais j'aimerais bien que tu explicites ta dernière phrase -que je trouve très belle.
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Merci de cette réponse détaillée, précise.
Sous le régime du droit naturel, des règles suffisent, et non des lois.
Si par exemple il y a violation d'une de ces règles (2 ou 3 suffisent, comme la "règle d'or"), il n'y a pas de loi pour y remédier ou sanctionner, mais la volonté, l'intelligence, l'amour, le pardon, le sens de la justice des personnes qui sont impliquées ou s'impliquent comme "conseils".
En fait, c'est la vie même qui cherche sa meilleure solution.
Pour l'échelle, ce que tu dis a déjà été dit également pour l'évangile, qui ne serait plus applicable.
A nous de sortir des (trop) grandes échelles !
L'homme a l'homme pour mesure.
Ce qui m'amène à ton dernier paragraphe, si juste dans ce terrible constat : l'évangile n'a pas été réalisé !
Jésus serait-il venu pour rien ?
(je vais essayer de retrouver ton fil sur Jésus, qui selon moi était totalement "anarchiste", et "révolutionnaire" oui, dans un sens autre que celui de la haine, de la vengeance, du pouvoir.
Tu dis :"Que reste-t-il de ce message ? Qui l'a écouté ? Qui l'écoute encore ? Même chez ceux qui se disent Chrétiens, très peu pensent et agissent pour faire passer ce message-là. "
Hélas !
... "Combien d'hommes ont assez cru Ma Parole pour la vivre vraiment ?
Il serait facile à un petit enfant de les compter !", te répond en écho un passage de l'évangile d'Arès.
Et c'est en me souvenant d'un autre passage de ce même évangile - "révolutionnaire" - que j'ai fini mon texte avec cette phrase que tu trouves très belle.
Je me souviens en effet qu'il y ait dit que certes Dieu a promis de ne plus faire pleuvoir un Déluge sur Terre, mais que Sa Colère n'est pas éteinte à jamais pour autant.
Le Christ qui s'y manifeste appelle, avant qu'il ne soit trop tard, tout homme d'aujourd'hui, croyant ou incroyant, à accomplir enfin l'évangile, radicalement, à en libérer la vérité.
Si l'évangile reste lettre morte, prévient-il le lecteur, quelle que soit ta foi, "ta sagesse sera sagesse de prince, non le Vent fou levé de Nazareth, la Trombe qui traverse la Terre éperdument."
L'ensemble de cet évangile est écrit de cette même façon, très belle, très impressionnante même, et d'une cohérence biblique sans faille.
Il est normal qu'il soit passé sous silence.
Sous le régime du droit naturel, des règles suffisent, et non des lois.
Si par exemple il y a violation d'une de ces règles (2 ou 3 suffisent, comme la "règle d'or"), il n'y a pas de loi pour y remédier ou sanctionner, mais la volonté, l'intelligence, l'amour, le pardon, le sens de la justice des personnes qui sont impliquées ou s'impliquent comme "conseils".
En fait, c'est la vie même qui cherche sa meilleure solution.
Pour l'échelle, ce que tu dis a déjà été dit également pour l'évangile, qui ne serait plus applicable.
A nous de sortir des (trop) grandes échelles !
L'homme a l'homme pour mesure.
Ce qui m'amène à ton dernier paragraphe, si juste dans ce terrible constat : l'évangile n'a pas été réalisé !
Jésus serait-il venu pour rien ?
(je vais essayer de retrouver ton fil sur Jésus, qui selon moi était totalement "anarchiste", et "révolutionnaire" oui, dans un sens autre que celui de la haine, de la vengeance, du pouvoir.
Tu dis :"Que reste-t-il de ce message ? Qui l'a écouté ? Qui l'écoute encore ? Même chez ceux qui se disent Chrétiens, très peu pensent et agissent pour faire passer ce message-là. "
Hélas !
... "Combien d'hommes ont assez cru Ma Parole pour la vivre vraiment ?
Il serait facile à un petit enfant de les compter !", te répond en écho un passage de l'évangile d'Arès.
Et c'est en me souvenant d'un autre passage de ce même évangile - "révolutionnaire" - que j'ai fini mon texte avec cette phrase que tu trouves très belle.
Je me souviens en effet qu'il y ait dit que certes Dieu a promis de ne plus faire pleuvoir un Déluge sur Terre, mais que Sa Colère n'est pas éteinte à jamais pour autant.
Le Christ qui s'y manifeste appelle, avant qu'il ne soit trop tard, tout homme d'aujourd'hui, croyant ou incroyant, à accomplir enfin l'évangile, radicalement, à en libérer la vérité.
Si l'évangile reste lettre morte, prévient-il le lecteur, quelle que soit ta foi, "ta sagesse sera sagesse de prince, non le Vent fou levé de Nazareth, la Trombe qui traverse la Terre éperdument."
L'ensemble de cet évangile est écrit de cette même façon, très belle, très impressionnante même, et d'une cohérence biblique sans faille.
Il est normal qu'il soit passé sous silence.
Re: De quel droit le droit ?
J'ai trouvé ton fil, avec ça dedans :
"le pire ennemi de Dieu, c'est les religions (je mets au pluriel, note bien)"
Ce n'est pas croyable, tu connais la révélation d'Arès ?
"le pire ennemi de Dieu, c'est les religions (je mets au pluriel, note bien)"
Ce n'est pas croyable, tu connais la révélation d'Arès ?
Re: De quel droit le droit ?
Non, je ne connais pas du tout ! Pourrais-tu me donner plus de détails ?
En tout cas, je suis contente que mon fil "Jésus était-il révolutionnaire" aie enfin un écho !
En tout cas, je suis contente que mon fil "Jésus était-il révolutionnaire" aie enfin un écho !
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Quelques éléments de réponse.
Je ne fais partie d'aucun mouvement, mais je partage la foi énoncée dans cet évangile.
En fait, depuis peu, et de ma seule initiative, j'ai décidé de "combattre" l'incroyable mur du silence qui entoure ce texte, en créant une plate-forme à cet effet, parmi d'autres initiatives envisagées.
Tu peux y faire un tour,y poster tes remarques et questions, ou tes critiques, etc.
Cela prend forme...
L'adresse : /droit de cité !
De là, tu peux mener ta propre enquête, je fournis plusieurs pistes possibles, y compris de détracteurs (attention, niveau glauque).
Je ne peux abuser de l'espace ici, mais voici un extrait encore de la "langue" arésienne :
"Que deviendras-tu à Mes Yeux si jusqu'à Mes Rivages tu guides les seules assemblées de ton peuple?
Partout les pères aiment leurs enfants; les prêtres aussi aiment leurs fidèles. Où est leur mérite?
Ne dis pas aux étrangers : joignez-vous à mes assemblées; avec elles je vous aimerai; avec elles je vous conduirai sur les Rivages de la Vie!
Dis-leur:étrangers, je vous aime avant de vous connaître,
avant que des profondeurs vos têtes aient affleuré l'horizon j'ai dressé la table pour vous restaurer..."
(il n'y a pas encore de version numérique du texte)
Je ne fais partie d'aucun mouvement, mais je partage la foi énoncée dans cet évangile.
En fait, depuis peu, et de ma seule initiative, j'ai décidé de "combattre" l'incroyable mur du silence qui entoure ce texte, en créant une plate-forme à cet effet, parmi d'autres initiatives envisagées.
Tu peux y faire un tour,y poster tes remarques et questions, ou tes critiques, etc.
Cela prend forme...
L'adresse : /droit de cité !
De là, tu peux mener ta propre enquête, je fournis plusieurs pistes possibles, y compris de détracteurs (attention, niveau glauque).
Je ne peux abuser de l'espace ici, mais voici un extrait encore de la "langue" arésienne :
"Que deviendras-tu à Mes Yeux si jusqu'à Mes Rivages tu guides les seules assemblées de ton peuple?
Partout les pères aiment leurs enfants; les prêtres aussi aiment leurs fidèles. Où est leur mérite?
Ne dis pas aux étrangers : joignez-vous à mes assemblées; avec elles je vous aimerai; avec elles je vous conduirai sur les Rivages de la Vie!
Dis-leur:étrangers, je vous aime avant de vous connaître,
avant que des profondeurs vos têtes aient affleuré l'horizon j'ai dressé la table pour vous restaurer..."
(il n'y a pas encore de version numérique du texte)
Re: De quel droit le droit ?
La révélation d’Arès ? Bof…… une énième secte, fondée par Michel Potay qui aurait eu le privilège de s’entretenir avec Jésus et même…….Dieu en personne !!??
Son enseignement est un syncrétisme basé sur différentes traditions et spiritualités et prône que l’homme qui devient librement bon change le monde plus sûrement que toutes les lois.
Là, nous sommes parfaitement d’accord. Si tous les humains avaient atteint le niveau de conscience du « cœur », toutes les lois seraient devenues caduques et n’auraient plus aucunes raisons d’exister.
Oui, mais voilà…..L’humanité est composée d’individus hétéroclites quant à leur degré d’avancement. Certains sont détachés des emprises matérielles quand d’autre y sont englués jusqu’au cou, avec entre les deux tout un panel diversement disparate.
S’il est vrai que la « grâce » peut tomber sur quelqu’un sans tenir compte de son niveau d’avancement, il tout aussi vrai que certains y sont réfractaires et la rejettent. Il y aura toujours des personnes sans foi ni loi, que le langage du cœur n’atteint pas.
Dans ses conditions, les lois humaines sont nécessaires et même indispensables, pour que la société se protège de ses éléments les plus pernicieux. Il en va de sa survie même.
Le tout beau tout gentil, n’est pas de ce monde. Ce monde, c’est le monde « ronds et mordants » de Gereve. Ce monde est une arène où des règles sont établies pour que cahin-caha, il puisse exister.
Mais n’empêche………qu’il serait beau, un monde fait d’Amour. Quoi ? Douce utopie ? Peut être, mais on peut rêver non ?…. Ça mange pas de pain et ça adoucit les arêtes de la réalité, qui sinon finiraient par blesser l’âme.
Son enseignement est un syncrétisme basé sur différentes traditions et spiritualités et prône que l’homme qui devient librement bon change le monde plus sûrement que toutes les lois.
Là, nous sommes parfaitement d’accord. Si tous les humains avaient atteint le niveau de conscience du « cœur », toutes les lois seraient devenues caduques et n’auraient plus aucunes raisons d’exister.
Oui, mais voilà…..L’humanité est composée d’individus hétéroclites quant à leur degré d’avancement. Certains sont détachés des emprises matérielles quand d’autre y sont englués jusqu’au cou, avec entre les deux tout un panel diversement disparate.
S’il est vrai que la « grâce » peut tomber sur quelqu’un sans tenir compte de son niveau d’avancement, il tout aussi vrai que certains y sont réfractaires et la rejettent. Il y aura toujours des personnes sans foi ni loi, que le langage du cœur n’atteint pas.
Dans ses conditions, les lois humaines sont nécessaires et même indispensables, pour que la société se protège de ses éléments les plus pernicieux. Il en va de sa survie même.
Le tout beau tout gentil, n’est pas de ce monde. Ce monde, c’est le monde « ronds et mordants » de Gereve. Ce monde est une arène où des règles sont établies pour que cahin-caha, il puisse exister.
Mais n’empêche………qu’il serait beau, un monde fait d’Amour. Quoi ? Douce utopie ? Peut être, mais on peut rêver non ?…. Ça mange pas de pain et ça adoucit les arêtes de la réalité, qui sinon finiraient par blesser l’âme.
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Hitori a écrit:
Là, nous sommes parfaitement d’accord. Si tous les humains avaient atteint le niveau de conscience du « cœur », toutes les lois seraient devenues caduques et n’auraient plus aucunes raisons d’exister.
Oui, mais voilà…..L’humanité est composée d’individus hétéroclites quant à leur degré d’avancement. Certains sont détachés des emprises matérielles quand d’autre y sont englués jusqu’au cou, avec entre les deux tout un panel diversement disparate.
Eh! Oui, c'est comme je disais, Hitori.
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Votre réponse est très intéressante, qui montre qu'en fait, vous approuvez réellement l'espoir évangélique, mais... sans y croire.
C'est bien le problème !
"Combien d'hommes ont assez cru Ma Parole pour la vivre vraiment ?
Il serait facile à un petit enfant de les compter !"
Nous nous séparons sur deux points :
- 1) d'abord EVIDEMMENT, la révélation d'Arès ne fonde pas de secte(s) !!!
Répétez cela, l'affirmer gratuitement, c'est votre responsabilité. C'est triste, mais faux surtout, donc nuisible à la vérité.
Que ce soit pour Arès ou d'autres spiritualités, je trouve vraiment dommage que ce mot repoussoir soit lancé comme ça.
Avez-vous LU ce livre pour commencer ?
D'où tirez-vous donc ce préjugé blasé ("bof...") ?
Avez-vous mené votre enquête personnelle ?...
Je ne fais pour ma part partie d'aucune "secte", je ne suis pas d'ailleurs "pèlerin d'Arès", mais qu'importe.
L'évangile d'Arès est l'évangile de toujours, lavé des mensonges, abus, superstitions... générés par les pouvoirs religieux (des "sectes" ?) à travers les siècles.
Il fonde dès à présent non un mouvement, mais une synergie libératrice, où chacun peut librement créer sa place en conscience (j'en suis un exemple).
Pas de chefs, pas de dogmes, juste l'évangile, donné à tous.
- 2) Qualifier de "douce utopie" l'évangile, encore un propos dont la responsabilité vous incombe.
Mais je ne CROIS PAS que Jésus aurait soumis cette perspective au monde, s'il pensait qu'elle était irréalisable.
Vaste débat, ça d'accord. D'où ce texte sur le "droit".
Mais tout me porte au contraire à penser que la crise va finir par déboucher sur une véritable crise de l'homme, reconnue comme telle, - et qu'alors l'évangile aussi reviendra vivre parmi la population comme un poisson dans l'eau, comme projet et comme pratique.
C'est toute la raison d'être de la révélation, et de l'action multiforme qui en résulte et se développe un peu partout.
Plus libertaire et non-sectaire, à ma connaissance, ça n'existe pas !
Amicalement, et merci de ces éléments.
C'est bien le problème !
"Combien d'hommes ont assez cru Ma Parole pour la vivre vraiment ?
Il serait facile à un petit enfant de les compter !"
Nous nous séparons sur deux points :
- 1) d'abord EVIDEMMENT, la révélation d'Arès ne fonde pas de secte(s) !!!
Répétez cela, l'affirmer gratuitement, c'est votre responsabilité. C'est triste, mais faux surtout, donc nuisible à la vérité.
Que ce soit pour Arès ou d'autres spiritualités, je trouve vraiment dommage que ce mot repoussoir soit lancé comme ça.
Avez-vous LU ce livre pour commencer ?
D'où tirez-vous donc ce préjugé blasé ("bof...") ?
Avez-vous mené votre enquête personnelle ?...
Je ne fais pour ma part partie d'aucune "secte", je ne suis pas d'ailleurs "pèlerin d'Arès", mais qu'importe.
L'évangile d'Arès est l'évangile de toujours, lavé des mensonges, abus, superstitions... générés par les pouvoirs religieux (des "sectes" ?) à travers les siècles.
Il fonde dès à présent non un mouvement, mais une synergie libératrice, où chacun peut librement créer sa place en conscience (j'en suis un exemple).
Pas de chefs, pas de dogmes, juste l'évangile, donné à tous.
- 2) Qualifier de "douce utopie" l'évangile, encore un propos dont la responsabilité vous incombe.
Mais je ne CROIS PAS que Jésus aurait soumis cette perspective au monde, s'il pensait qu'elle était irréalisable.
Vaste débat, ça d'accord. D'où ce texte sur le "droit".
Mais tout me porte au contraire à penser que la crise va finir par déboucher sur une véritable crise de l'homme, reconnue comme telle, - et qu'alors l'évangile aussi reviendra vivre parmi la population comme un poisson dans l'eau, comme projet et comme pratique.
C'est toute la raison d'être de la révélation, et de l'action multiforme qui en résulte et se développe un peu partout.
Plus libertaire et non-sectaire, à ma connaissance, ça n'existe pas !
Amicalement, et merci de ces éléments.
Re: De quel droit le droit ?
"Si tous les humains avaient atteint le niveau de conscience du « cœur », toutes les lois seraient devenues caduques et n’auraient plus aucunes raisons d’exister."
- ça, c'est le but !!!
"Oui, mais voilà…..L’humanité est composée d’individus hétéroclites quant à leur degré d’avancement."
- ça, c'est le moyen !
Si la "vertu" est suffisamment réactivée en suffisamment de gens, alors nous verrons, à l'exemple de Jésus et d'autres, "les forts" se mettre au service des "faibles", les "évolués" au service de ceux qui le sont moins, etc.
Inutile d'attendre le déluge.
- ça, c'est le but !!!
"Oui, mais voilà…..L’humanité est composée d’individus hétéroclites quant à leur degré d’avancement."
- ça, c'est le moyen !
Si la "vertu" est suffisamment réactivée en suffisamment de gens, alors nous verrons, à l'exemple de Jésus et d'autres, "les forts" se mettre au service des "faibles", les "évolués" au service de ceux qui le sont moins, etc.
Inutile d'attendre le déluge.
Re: De quel droit le droit ?
De toute façon, qu'est-ce qu'un religion, sinon une secte qui a réussi ?
Comme j'ai dit je ne connais pas la révélation d'Arès, mais c'est souvent aujourd'hui qu'on qualifie de secte tout mouvement qui ne rentre pas dans le moule des églises établies. Même si l'on en dit pis que pendre ici où là, ça ne fait que me rappeller ce qu'on disait des premiers chrétiens à Rome : on les décrivait comme une secte de dégénérés, pratiquant des rites infâmes, etc...
Si notre ami "unfrèredulibreesprit" souhaite nous faire connaître sa conception du message évangélique, il est le bienvenu. D'autant plus qu'il ne fait, à ma connaissance, que redire ce JC répétait à hue et à dia, et que très peu de Chrétiens appliquent (d'où d'ailleurs, le champ libre laissé aux sectes, mais tant pis pour eux) :D
Comme j'ai dit je ne connais pas la révélation d'Arès, mais c'est souvent aujourd'hui qu'on qualifie de secte tout mouvement qui ne rentre pas dans le moule des églises établies. Même si l'on en dit pis que pendre ici où là, ça ne fait que me rappeller ce qu'on disait des premiers chrétiens à Rome : on les décrivait comme une secte de dégénérés, pratiquant des rites infâmes, etc...
Si notre ami "unfrèredulibreesprit" souhaite nous faire connaître sa conception du message évangélique, il est le bienvenu. D'autant plus qu'il ne fait, à ma connaissance, que redire ce JC répétait à hue et à dia, et que très peu de Chrétiens appliquent (d'où d'ailleurs, le champ libre laissé aux sectes, mais tant pis pour eux) :D
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
unfrèredulibreesprit a écrit:
"Oui, mais voilà…..L’humanité est composée d’individus hétéroclites quant à leur degré d’avancement."
- ça, c'est le moyen !
OK ! mais comment vous faites avec ces individus hétéroclites ?
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
OK ! mais comment vous faites avec ces individus hétéroclites ?
- Si la "vertu" est réellement réactivée, alors les "évolués" se mettront au service de ceux qui le sont moins, etc...
Plus besoin alors de "lois".
- Si la "vertu" est réellement réactivée, alors les "évolués" se mettront au service de ceux qui le sont moins, etc...
Plus besoin alors de "lois".
Re: De quel droit le droit ?
Cependant, j'en reviens à la même question : comment "réactiver" la vertu chez les gens ? De toute façon, Hitori a raison sur ce point, il y aura toujours des gens qui ne voudront pas de votre vertu. On ne peut pas donner à boire à un âne qui n'a pas soif, ni faire boire du lait à celui qui préfère la bière.
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
En effet, question difficile...
Je me sers ici d'un autre texte de haute tenue spirituelle, Les Dialogues avec l'ange :
"à ceux qui ont soif, donnez à boire, mais à ceux qui ne demandent rien, donnez du sel"
Je donne mon avis : je ne pense pas que l'on puisse faire mieux que de la réactiver chez soi, sans rien imposer à d'autres, ni plus que d'en être exemplaire, humilité incluse.
A mon sens, la vertu n'est pas une qualité morale à inculquer, mais une dynamique existentielle qui rayonne d'elle-même.
Inutile de tout casser, la lumière passe par la moindre petite ouverture.
(je veux te le redire : merci et bravo pour ta rare ouverture ! )
Je me sers ici d'un autre texte de haute tenue spirituelle, Les Dialogues avec l'ange :
"à ceux qui ont soif, donnez à boire, mais à ceux qui ne demandent rien, donnez du sel"
Je donne mon avis : je ne pense pas que l'on puisse faire mieux que de la réactiver chez soi, sans rien imposer à d'autres, ni plus que d'en être exemplaire, humilité incluse.
A mon sens, la vertu n'est pas une qualité morale à inculquer, mais une dynamique existentielle qui rayonne d'elle-même.
Inutile de tout casser, la lumière passe par la moindre petite ouverture.
(je veux te le redire : merci et bravo pour ta rare ouverture ! )
Re: De quel droit le droit ?
Disons qu’ayant pas mal bourlingué et côtoyé un grand nombre de mes semblables, je n’ai plus guère d’illusions sur l’avènement d’un monde idyllique.Unfrèredulibreesprit :
Votre réponse est très intéressante, qui montre qu'en fait, vous approuvez réellement l'espoir évangélique, mais... sans y croire.
Ah bon ! C’est le mot secte qui vous gène ? Parce que vous l’associez à une connotation péjorative, peut-être ? Je me permets de vous rappeler la définition de secte : « Ensemble de personnes qui font profession d’une même doctrine ». Cela correspond tout à fait au mouvement doctrinal enseignée par « Frère Michel ».d'abord EVIDEMMENT, la révélation d'Arès ne fonde pas de secte(s) !!!
Répétez cela, l'affirmer gratuitement, c'est votre responsabilité. C'est triste, mais faux surtout, donc nuisible à la vérité.
Que ce soit pour Arès ou d'autres spiritualités, je trouve vraiment dommage que ce mot repoussoir soit lancé comme ça.
Non ! Et je n’ai pas l’intention de le faire.Avez-vous LU ce livre pour commencer ?
Ben, justement c’est parce que j’ai mené mon enquête que j’exprime ce bof.D'où tirez-vous donc ce préjugé blasé ("bof...") ?
Avez-vous mené votre enquête personnelle ?...
Là, voyez-vous, j’ai comme un doute, vous l’affirmez trop vite pour que ce soit crédible, mais bon……Je ne fais pour ma part partie d'aucune "secte", je ne suis pas d'ailleurs "pèlerin d'Arès", mais qu'importe.
Ben voyons, la Vérité enfin révélée !L'évangile d'Arès est l'évangile de toujours, lavé des mensonges, abus, superstitions... générés par les pouvoirs religieux (des "sectes" ?) à travers les siècles.
Ah ! vous êtes un exemple, mais vous n’en faites pas partie. Il n’y a pas comme un paradoxe là ?Il fonde dès à présent non un mouvement, mais une synergie libératrice, où chacun peut librement créer sa place en conscience (j'en suis un exemple).
Pas de chefs, pas de dogmes, juste l'évangile, donné à tous.
Il ne faut pas tordre ainsi le propos des autres. Ce n’est pas ce que j’ai exprimé et je ne parlais aucunement de l’évangile. Allons, allons, ne partez pas ainsi en dérapage incontrôlé.Qualifier de "douce utopie" l'évangile, encore un propos dont la responsabilité vous incombe.
C’est cela : « Vous ne croyez pas », cela n’engage que vous.Mais je ne CROIS PAS que Jésus aurait soumis cette perspective au monde, s'il pensait qu'elle était irréalisable.
Vaste débat, ça d'accord. D'où ce texte sur le "droit".
Que peut-on savoir ce qui va déboucher à terme. Bien malin celui qui pourra le dire. A moins d’avoir discuté de cela avec Dieu….. ah, mais bien sûr, j’oubliais !Mais tout me porte au contraire à penser que la crise va finir par déboucher sur une véritable crise de l'homme, reconnue comme telle, - et qu'alors l'évangile aussi reviendra vivre parmi la population comme un poisson dans l'eau, comme projet et comme pratique.
Mais quelle révélation ? La reprise de différentes doctrines ? Avoir mélangé la bible et le Coran ? Faire sa salade en remettant en cause les Ecritures, en niant la divinité de Jésus, la Trinité chrétienne et le culte des Saints ? Que la maladie et la mort proviennent des hommes ? Que le manichéisme est le support du monde ? Qu’il y ait un tentateur « Noir » et des rois « noir » et « blanc », correspondants au religieux et au laïque ? Que l’âme ne soit pas innée, mais se construise ici bas ? La guérison avec l’imposition des mains ? La moisson ou mission (ce que vous faites, peut-être…. ou sûrement ?), qui consiste à sensibiliser le plus grand nombres de personnes au message d’Arès ? Les épousailles….le baptême……les funérailles….le 7em jour etc., etc.…… ?C'est toute la raison d'être de la révélation, et de l'action multiforme qui en résulte et se développe un peu partout.
Plus libertaire et non-sectaire, à ma connaissance, ça n'existe pas !
Pour ma part, je ne vois là qu’un syncrétisme élaboré à partir de différentes religions, n’ayant rien de vraiment nouveau. Un salmigondis plutôt indigeste pour mon goût.
Bon, il est nécessaire parfois de descendre de son petit nuage et de voir la réalité en face. C’est bien joli de rêver, mais la réalité nous rattrape toujours. Le monde est ce qu’il est et il faut faire avec. Un loup ne sera jamais un agneau, ne pas le comprendre c’est s’exposer à de durs retours de manivelle.Si la "vertu" est suffisamment réactivée en suffisamment de gens, alors nous verrons, à l'exemple de Jésus et d'autres, "les forts" se mettre au service des "faibles", les "évolués" au service de ceux qui le sont moins, etc.
Inutile d'attendre le déluge.
Allez dire ça à toutes les victimes qui ont subi les pires sévices, si la vertu rayonne d’elle-même.A mon sens, la vertu n'est pas une qualité morale à inculquer, mais une dynamique existentielle qui rayonne d'elle-même.
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Excusez-moi, je n'ai pas assez de temps devant moi pour répondre à tout cela... Je le ferai, un peu plus tard (demain ou ce soir).
Je vous réponds juste ici concernant ma non-appartenance au mouvement des pèlerins d'Arès.
Voici une preuve directe :
"Je profite de ce moment pour signaler que Laurent C. est un ancien journaliste, que je connais depuis plus de vingt ans et qui, avec le courage du témoignage et un esprit constructif, un courage et un esprit constructif que parfois des frères plus proches ne montrent pas à ce point, continue d'affirmer l'espérance qu'il place dans La Révélation d'Arès.
Pour autant, Laurent C. n'est pas un Pèlerin d'Arès.
N'oublions pas que beaucoup en ce monde, la majorité de ceux qui mettent leur foi dans la Parole d'Arès, ne sont pas Pèlerins d'Arès au sens spécifique que nous donnons à ce terme pour désigner un petit reste de pénitents et moissonneurs plus strictement proches du témoin d'Arès, de sa mission et de son enseignement. Ils ne sont pas Pèlerins d'Arès non par manque de foi, mais en raison d'un rendez-vous manqué avec l'assemblée, pour cause d'isolement social ou géographique, d'incompatibilités diverses, de déceptions ou mésententes purement humaines, de divergences de vue, de philosophie, d'esprit d'indépendance prononcé, etc. Ils font cependant partie de l'immense assemblée universelle de ceux qui, dans le monde, ont déjà entendu l'Appel lancé par le Père à Arès et le ils répercutent en toute liberté que ce soit de façon privée ou de façon publique.
J'ai pour ma part toujours respecté cette liberté. Je n'interviens pas dans la forme que ces frères et sœurs libres donnent à leur témoignage, parce que c'est au monde que le Père a donné son Message et parce que les Pèlerins d'Arès proprement dits forment seulement un petit reste de pénitents et moissonneurs plus spécifiquement, qui ne prétendent pas être une élite, mais qui sont par vocation plus étroitement moulés sur la personne du témoin, que La Révélation d'Arès appelle prophète, comme je le dis plus haut.
Laurent C. est donc un membre actif de ce grand reste (voir "Nous Croyons, Nous Ne Croyons Pas") qui, à côté du petit reste, où parce que le petit reste n'a pas su lui trouver sa place en son sein, continue de défendre publiquement l'authenticité et l'honorabilité du grand Message adressé à la Création à Arès en 1974 et 1977.
Notamment, il a récemment créé un site qu'il a intitulé "Alliance Pour Arès", totalement indépendant de nos missions, dont voici l'URL:
http://alliancepourares.blog4ever.com/blog/article-251192.html
et il participe à un forum "Esprits Libres" dont voici l'adresse:
http://www.forumdesforums.com/modules/news/article.php?storyid=16013
Je tiens à vous saluer, mon frère Laurent, et à vous dire toute mon estime et toute mon affection fraternelles"
à la page : freesoulblog.net/jHG/jHGtv.html
à suivre donc pour le reste (et d'autres preuves si vous en avez besoin),
bien amicalement, sincèrement,
Laurent
Je vous réponds juste ici concernant ma non-appartenance au mouvement des pèlerins d'Arès.
Voici une preuve directe :
"Je profite de ce moment pour signaler que Laurent C. est un ancien journaliste, que je connais depuis plus de vingt ans et qui, avec le courage du témoignage et un esprit constructif, un courage et un esprit constructif que parfois des frères plus proches ne montrent pas à ce point, continue d'affirmer l'espérance qu'il place dans La Révélation d'Arès.
Pour autant, Laurent C. n'est pas un Pèlerin d'Arès.
N'oublions pas que beaucoup en ce monde, la majorité de ceux qui mettent leur foi dans la Parole d'Arès, ne sont pas Pèlerins d'Arès au sens spécifique que nous donnons à ce terme pour désigner un petit reste de pénitents et moissonneurs plus strictement proches du témoin d'Arès, de sa mission et de son enseignement. Ils ne sont pas Pèlerins d'Arès non par manque de foi, mais en raison d'un rendez-vous manqué avec l'assemblée, pour cause d'isolement social ou géographique, d'incompatibilités diverses, de déceptions ou mésententes purement humaines, de divergences de vue, de philosophie, d'esprit d'indépendance prononcé, etc. Ils font cependant partie de l'immense assemblée universelle de ceux qui, dans le monde, ont déjà entendu l'Appel lancé par le Père à Arès et le ils répercutent en toute liberté que ce soit de façon privée ou de façon publique.
J'ai pour ma part toujours respecté cette liberté. Je n'interviens pas dans la forme que ces frères et sœurs libres donnent à leur témoignage, parce que c'est au monde que le Père a donné son Message et parce que les Pèlerins d'Arès proprement dits forment seulement un petit reste de pénitents et moissonneurs plus spécifiquement, qui ne prétendent pas être une élite, mais qui sont par vocation plus étroitement moulés sur la personne du témoin, que La Révélation d'Arès appelle prophète, comme je le dis plus haut.
Laurent C. est donc un membre actif de ce grand reste (voir "Nous Croyons, Nous Ne Croyons Pas") qui, à côté du petit reste, où parce que le petit reste n'a pas su lui trouver sa place en son sein, continue de défendre publiquement l'authenticité et l'honorabilité du grand Message adressé à la Création à Arès en 1974 et 1977.
Notamment, il a récemment créé un site qu'il a intitulé "Alliance Pour Arès", totalement indépendant de nos missions, dont voici l'URL:
http://alliancepourares.blog4ever.com/blog/article-251192.html
et il participe à un forum "Esprits Libres" dont voici l'adresse:
http://www.forumdesforums.com/modules/news/article.php?storyid=16013
Je tiens à vous saluer, mon frère Laurent, et à vous dire toute mon estime et toute mon affection fraternelles"
à la page : freesoulblog.net/jHG/jHGtv.html
à suivre donc pour le reste (et d'autres preuves si vous en avez besoin),
bien amicalement, sincèrement,
Laurent
Re: De quel droit le droit ?
Que vous soyez un pèlerin d’Arès ou non ne change en rien le fait que vous faites du prosélytisme pour cette doctrine. Il n’y a qu’à voir le nombre de forums (fora) où vous encensez votre gourou et son enseignement.Unfrèredulibreesprit :
Je vous réponds juste ici concernant ma non-appartenance au mouvement des pèlerins d'Arès.
D’ailleurs à ce sujet (gourou), j’ai suivi votre conseil et j’ai recherché des renseignements sur le bonhomme. Et bien, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est plutôt ambigu comme prophète et pas réellement « catholique »….. dans tous les sens du terme. Déjà le nom Arès… qui est le dieu de la guerre, de la brutalité et du carnage, pour une doctrine basée sur l’amour, chercher l’erreur !! Puis, son passé plutôt trouble, ensuite la dîme (5 % des revenus) réclamée aux disciples, sa tricherie sur un forum de discussion (pour un envoyé de Dieu, ça la fout mal !) et les témoignages d’anciens pèlerins, assez édifiants sur les méthodes de la secte.
Alors que vous, vous y croyiez, c’est votre droit le plus absolu, que vous veniez en parler ici, pas de problèmes, mais souffrez que moi, je puisse rejeter ce « prophète », qui au mieux a eu des hallucinations et au pire est…… je vous laisse le choix du terme. Pour moi, dire que l’on parle à Dieu et se faire son porte voix ne va pas sans le couvre-chef d’Escape ou alors, c’est prendre les gens pour des…. cons.
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Désolé, je n'ai pas encore assez de temps ce matin!
J'espère savoir vous aporter des précisions et mes avis sans être trop long !
Ce que je peux dire ici, c'est que Michel Potay, à mon sens, est un homme profondément honnête.
Et aussi ceci : la révélation d'Arès est beaucoup plus puissante que n'importe quoi qu'il ait pu écrire !
à suivre,
bien amicalement
Laurent
J'espère savoir vous aporter des précisions et mes avis sans être trop long !
Ce que je peux dire ici, c'est que Michel Potay, à mon sens, est un homme profondément honnête.
Et aussi ceci : la révélation d'Arès est beaucoup plus puissante que n'importe quoi qu'il ait pu écrire !
à suivre,
bien amicalement
Laurent
apporter mon point de vue
Bon, je vais essayer de vous apporter mon point de vue sur les points que vous soulevez. Je me concentre sur ce qui me semble essentiel, mais si j’oublie quelque chose, vous me le direz ?
Peut-être qu’il serait mieux de « basculer » dans une « joute » ?
« Ah bon ! C’est le mot secte qui vous gène ? Parce que vous l’associez à une connotation péjorative, peut-être ? Je me permets de vous rappeler la définition de secte : « Ensemble de personnes qui font profession d’une même doctrine ». Cela correspond tout à fait au mouvement doctrinal enseigné par « Frère Michel ». »
- Allons, vous savez comme chacun que ce terme de « secte » est devenu péjoratif ! Apparu au XIIIe et XIVe siècle, le terme "secte" a deux racines qui le rattachent au verbe "suivre" ou au verbe "couper". Cette alternative sémantique explique le fait qu'on ne trouve pas des définitions identiques du mot "secte" dans les dictionnaires.Quant aux définitions « officielles »…
Aujourd’hui, c’est devenu un terme repoussoir, comme « gourou »,
« prosélytisme »...., que vous m’appliquez d'ailleurs aussi tranquillement.
D'où tirez-vous donc ce préjugé blasé ("bof...") ?
Avez-vous mené votre enquête personnelle ?...
Ben, justement c’est parce que j’ai mené mon enquête que j’exprime ce bof.
- Sauf que votre enquête n’a pas même pris soin d’investiguer directement à la source !
"Ben voyons, la Vérité enfin révélée !"
- Rappelée, oui.
Mais Elle a déjà été dite il y a 2000 ans.
« Si tu l’avais écoutée, homme Michel,
Je ne serais pas descendu vers toi. »
Il fonde dès à présent non un mouvement, mais une synergie libératrice, où chacun peut librement créer sa place en conscience (j'en suis un exemple).
Pas de chefs, pas de dogmes, juste l'évangile, donné à tous.
Ah ! Vous êtes un exemple, mais vous n’en faites pas partie. Il n’y a pas comme un paradoxe là ?
- Vous n’avez pas bien compris : je fais partie évidemment de la synergie libératrice enclenchée par l’évangile, mais sans faire partie des « pèlerins ». L’évangile ne demande pas d’adhésion, juste l’accomplissement, même venu d’incroyants. C'est d'ailleurs un message insistant dans ce texte.
Mais tout me porte au contraire à penser que la crise va finir par déboucher sur une véritable crise de l'homme, reconnue comme telle, - et qu'alors l'évangile aussi reviendra vivre parmi la population comme un poisson dans l'eau, comme projet et comme pratique.
Que peut-on savoir ce qui va déboucher à terme. Bien malin celui qui pourra le dire. A moins d’avoir discuté de cela avec Dieu….. Ah, mais bien sûr, j’oubliais !
- Ce serait un autre sujet de débat, trop long à exposer ici de mon point de vue.
A mes yeux du moins, mais je me trompe peut-être, les indicateurs se multiplient d’une remise en question radicale de notre façon de vivre sur Terre…
Si la "vertu" est suffisamment réactivée en suffisamment de gens, alors nous verrons, à l'exemple de Jésus et d'autres, "les forts" se mettre au service des "faibles", les "évolués" au service de ceux qui le sont moins, etc.
Inutile d'attendre le déluge.
Bon, il est nécessaire parfois de descendre de son petit nuage et de voir la réalité en face. C’est bien joli de rêver, mais la réalité nous rattrape toujours. Le monde est ce qu’il est et il faut faire avec. Un loup ne sera jamais un agneau, ne pas le comprendre c’est s’exposer à de durs retours de manivelle.
- Je ne rêve pas, et mon réveil date ! Je maintiens donc que la perspective que j’énonce à la suite de l’évangile est réalisable : il « suffit » de commencer, par son propre « loup » intérieur.
A mon sens, la vertu n'est pas une qualité morale à inculquer, mais une dynamique existentielle qui rayonne d'elle-même.
Allez dire ça à toutes les victimes qui ont subi les pires sévices, si la vertu rayonne d’elle-même.
- Oui, lisez les Dialogues avec l’ange, transmis en plein nazisme, et vous verrez que même l’enfer ne peut barrer la lumière.
Ce sont des « victimes » des pires sévices qui vous le montreront (3 des 4 personnes impliquées sont mortes dans les camps, où elles rayonnaient de Vie et d’Amour, selon les témoignages recueillis)!...
Que vous soyez un pèlerin d’Arès ou non ne change en rien le fait que vous faites du prosélytisme pour cette doctrine. Il n’y a qu’à voir le nombre de forums (fora) où vous encensez votre gourou et son enseignement.
- Je vous ai juste répondu… Oui, je m’exprime, partout où on m’en laisse la liberté ! Par contre, je n’ai aucun « gourou ». Dans mon combat pour un examen sérieux et honnête des évènements d’Arès, il est très rare que je parle de Michel Potay, vous avez dû vous en apercevoir ?
D’ailleurs à ce sujet (gourou), j’ai suivi votre conseil et j’ai recherché des renseignements sur le bonhomme. Et bien, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est plutôt ambigu comme prophète et pas réellement « catholique »….. dans tous les sens du terme. Déjà le nom Arès… qui est le dieu de la guerre, de la brutalité et du carnage, pour une doctrine basée sur l’amour, chercher l’erreur !! Puis, son passé plutôt trouble, ensuite la dîme (5 % des revenus) réclamée aux disciples, sa tricherie sur un forum de discussion (pour un envoyé de Dieu, ça la fout mal !) et les témoignages d’anciens pèlerins, assez édifiants sur les méthodes de la secte.
- Excusez-moi, mais vous n’avez suivi que la moitié de mon conseil : pourquoi vos « renseignements » sont-ils exclusivement puisés chez des détracteurs. Et quels détracteurs !
De quel passé « trouble » vous pensez vous sûr de pouvoir médire ? Mystère… Avez-vous cherché à vérifier vos informations (vieille habitude journalistique personnelle) ?
Mais quoi qu’il en soit, ce n’est pas le passé de cet homme qui importe, dans l’esprit même de l’évangile, mais son devenir prophétique.
« N’évoque pas ta vie passée, il n’y a rien là dont tu puisses être fier »,
« tu n’es plus rien pour toi-même », etc.
- La demi-dîme à présent. Je trouve sain d’aborder clairement la question.
La dîme — du latin decima, dixième — est, depuis le Moyen-âge et jusqu'à la Révolution française, une redevance en nature ou en argent, en faveur de l'église catholique. L'idée se trouve déjà dans la Bible (Genèse, XIV-20 et XXVIII-22).
Les capitulaires de 779 et 794, la rendent exigible de toute la population, y compris sur les biens personnels des membres du clergé, dans tout l'Empire franc.
Et oui, personne encore à ce jour, ne peut vivre que d’amour…
Ceci dit, l’évangile d’Arès n’en fait pas une obligation, mais un appel, et non pas aux disciples, mais aux « fidèles », aux plus proches du prophète, à ceux qui s’engagent au plus près de sa mission.
Ecoutez, une chose est bien certaine, on peut raconter et reprendre les pires malveillances sur Arès, elles ne manquent pas plus qu’elles ne manquèrent à Jésus, mais l’évangile est tout sauf une affaire d’argent !!!
Les comptes de Michel Potay, ultra-surveillés, sont exemplaires, sa vie des plus simples, etc.
Voici un commentaire qu’il a fait suite à l’entretien que j’ai donné au magazine Esprits Libres sur internet, suffisamment éclairant je trouve :
http://www.forumdesforums.com/modules/news/article.php?storyid=16013&com_id=13922&com_rootid=13889&
Alors que vous, vous y croyiez, c’est votre droit le plus absolu, que vous veniez en parler ici, pas de problèmes, mais souffrez que moi, je puisse rejeter ce « prophète », qui au mieux a eu des hallucinations et au pire est…… je vous laisse le choix du terme. Pour moi, dire que l’on parle à Dieu et se faire son porte voix ne va pas sans le couvre-chef d’Escape ou alors, c’est prendre les gens pour des…. cons.
- Ok. Moi, ce que j’aimerais, c’est un véritable dialogue, permettant une véritable investigation, et incluant au moins au départ la présomption d’authenticité.
Michel Potay, comme Moïse, a subi l’épreuve prophétique majeure :
Ce n’est ni un menteur, ni un illuminé, et il ne peut s’agir en tout cas d’hallucinations ; le Christ était physiquement présent durant les 40 apparitions de la révélation – ce qui en est une en soi !
Voilà…
N’oubliez pas : « c’est à leurs fruits que vous reconnaîtrez les faux-prophètes », mais sûrement pas dans les eaux glauques d’une malveillance minable, style « casser du pèlerin d’Arès ».
Ces gens-là méritent notre respect fraternel dans tous les cas !
Je vous remercie de votre attention,
Bien amicalement,
Laurent
Peut-être qu’il serait mieux de « basculer » dans une « joute » ?
« Ah bon ! C’est le mot secte qui vous gène ? Parce que vous l’associez à une connotation péjorative, peut-être ? Je me permets de vous rappeler la définition de secte : « Ensemble de personnes qui font profession d’une même doctrine ». Cela correspond tout à fait au mouvement doctrinal enseigné par « Frère Michel ». »
- Allons, vous savez comme chacun que ce terme de « secte » est devenu péjoratif ! Apparu au XIIIe et XIVe siècle, le terme "secte" a deux racines qui le rattachent au verbe "suivre" ou au verbe "couper". Cette alternative sémantique explique le fait qu'on ne trouve pas des définitions identiques du mot "secte" dans les dictionnaires.Quant aux définitions « officielles »…
Aujourd’hui, c’est devenu un terme repoussoir, comme « gourou »,
« prosélytisme »...., que vous m’appliquez d'ailleurs aussi tranquillement.
D'où tirez-vous donc ce préjugé blasé ("bof...") ?
Avez-vous mené votre enquête personnelle ?...
Ben, justement c’est parce que j’ai mené mon enquête que j’exprime ce bof.
- Sauf que votre enquête n’a pas même pris soin d’investiguer directement à la source !
"Ben voyons, la Vérité enfin révélée !"
- Rappelée, oui.
Mais Elle a déjà été dite il y a 2000 ans.
« Si tu l’avais écoutée, homme Michel,
Je ne serais pas descendu vers toi. »
Il fonde dès à présent non un mouvement, mais une synergie libératrice, où chacun peut librement créer sa place en conscience (j'en suis un exemple).
Pas de chefs, pas de dogmes, juste l'évangile, donné à tous.
Ah ! Vous êtes un exemple, mais vous n’en faites pas partie. Il n’y a pas comme un paradoxe là ?
- Vous n’avez pas bien compris : je fais partie évidemment de la synergie libératrice enclenchée par l’évangile, mais sans faire partie des « pèlerins ». L’évangile ne demande pas d’adhésion, juste l’accomplissement, même venu d’incroyants. C'est d'ailleurs un message insistant dans ce texte.
Mais tout me porte au contraire à penser que la crise va finir par déboucher sur une véritable crise de l'homme, reconnue comme telle, - et qu'alors l'évangile aussi reviendra vivre parmi la population comme un poisson dans l'eau, comme projet et comme pratique.
Que peut-on savoir ce qui va déboucher à terme. Bien malin celui qui pourra le dire. A moins d’avoir discuté de cela avec Dieu….. Ah, mais bien sûr, j’oubliais !
- Ce serait un autre sujet de débat, trop long à exposer ici de mon point de vue.
A mes yeux du moins, mais je me trompe peut-être, les indicateurs se multiplient d’une remise en question radicale de notre façon de vivre sur Terre…
Si la "vertu" est suffisamment réactivée en suffisamment de gens, alors nous verrons, à l'exemple de Jésus et d'autres, "les forts" se mettre au service des "faibles", les "évolués" au service de ceux qui le sont moins, etc.
Inutile d'attendre le déluge.
Bon, il est nécessaire parfois de descendre de son petit nuage et de voir la réalité en face. C’est bien joli de rêver, mais la réalité nous rattrape toujours. Le monde est ce qu’il est et il faut faire avec. Un loup ne sera jamais un agneau, ne pas le comprendre c’est s’exposer à de durs retours de manivelle.
- Je ne rêve pas, et mon réveil date ! Je maintiens donc que la perspective que j’énonce à la suite de l’évangile est réalisable : il « suffit » de commencer, par son propre « loup » intérieur.
A mon sens, la vertu n'est pas une qualité morale à inculquer, mais une dynamique existentielle qui rayonne d'elle-même.
Allez dire ça à toutes les victimes qui ont subi les pires sévices, si la vertu rayonne d’elle-même.
- Oui, lisez les Dialogues avec l’ange, transmis en plein nazisme, et vous verrez que même l’enfer ne peut barrer la lumière.
Ce sont des « victimes » des pires sévices qui vous le montreront (3 des 4 personnes impliquées sont mortes dans les camps, où elles rayonnaient de Vie et d’Amour, selon les témoignages recueillis)!...
Que vous soyez un pèlerin d’Arès ou non ne change en rien le fait que vous faites du prosélytisme pour cette doctrine. Il n’y a qu’à voir le nombre de forums (fora) où vous encensez votre gourou et son enseignement.
- Je vous ai juste répondu… Oui, je m’exprime, partout où on m’en laisse la liberté ! Par contre, je n’ai aucun « gourou ». Dans mon combat pour un examen sérieux et honnête des évènements d’Arès, il est très rare que je parle de Michel Potay, vous avez dû vous en apercevoir ?
D’ailleurs à ce sujet (gourou), j’ai suivi votre conseil et j’ai recherché des renseignements sur le bonhomme. Et bien, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il est plutôt ambigu comme prophète et pas réellement « catholique »….. dans tous les sens du terme. Déjà le nom Arès… qui est le dieu de la guerre, de la brutalité et du carnage, pour une doctrine basée sur l’amour, chercher l’erreur !! Puis, son passé plutôt trouble, ensuite la dîme (5 % des revenus) réclamée aux disciples, sa tricherie sur un forum de discussion (pour un envoyé de Dieu, ça la fout mal !) et les témoignages d’anciens pèlerins, assez édifiants sur les méthodes de la secte.
- Excusez-moi, mais vous n’avez suivi que la moitié de mon conseil : pourquoi vos « renseignements » sont-ils exclusivement puisés chez des détracteurs. Et quels détracteurs !
De quel passé « trouble » vous pensez vous sûr de pouvoir médire ? Mystère… Avez-vous cherché à vérifier vos informations (vieille habitude journalistique personnelle) ?
Mais quoi qu’il en soit, ce n’est pas le passé de cet homme qui importe, dans l’esprit même de l’évangile, mais son devenir prophétique.
« N’évoque pas ta vie passée, il n’y a rien là dont tu puisses être fier »,
« tu n’es plus rien pour toi-même », etc.
- La demi-dîme à présent. Je trouve sain d’aborder clairement la question.
La dîme — du latin decima, dixième — est, depuis le Moyen-âge et jusqu'à la Révolution française, une redevance en nature ou en argent, en faveur de l'église catholique. L'idée se trouve déjà dans la Bible (Genèse, XIV-20 et XXVIII-22).
Les capitulaires de 779 et 794, la rendent exigible de toute la population, y compris sur les biens personnels des membres du clergé, dans tout l'Empire franc.
Et oui, personne encore à ce jour, ne peut vivre que d’amour…
Ceci dit, l’évangile d’Arès n’en fait pas une obligation, mais un appel, et non pas aux disciples, mais aux « fidèles », aux plus proches du prophète, à ceux qui s’engagent au plus près de sa mission.
Ecoutez, une chose est bien certaine, on peut raconter et reprendre les pires malveillances sur Arès, elles ne manquent pas plus qu’elles ne manquèrent à Jésus, mais l’évangile est tout sauf une affaire d’argent !!!
Les comptes de Michel Potay, ultra-surveillés, sont exemplaires, sa vie des plus simples, etc.
Voici un commentaire qu’il a fait suite à l’entretien que j’ai donné au magazine Esprits Libres sur internet, suffisamment éclairant je trouve :
http://www.forumdesforums.com/modules/news/article.php?storyid=16013&com_id=13922&com_rootid=13889&
Alors que vous, vous y croyiez, c’est votre droit le plus absolu, que vous veniez en parler ici, pas de problèmes, mais souffrez que moi, je puisse rejeter ce « prophète », qui au mieux a eu des hallucinations et au pire est…… je vous laisse le choix du terme. Pour moi, dire que l’on parle à Dieu et se faire son porte voix ne va pas sans le couvre-chef d’Escape ou alors, c’est prendre les gens pour des…. cons.
- Ok. Moi, ce que j’aimerais, c’est un véritable dialogue, permettant une véritable investigation, et incluant au moins au départ la présomption d’authenticité.
Michel Potay, comme Moïse, a subi l’épreuve prophétique majeure :
Ce n’est ni un menteur, ni un illuminé, et il ne peut s’agir en tout cas d’hallucinations ; le Christ était physiquement présent durant les 40 apparitions de la révélation – ce qui en est une en soi !
Voilà…
N’oubliez pas : « c’est à leurs fruits que vous reconnaîtrez les faux-prophètes », mais sûrement pas dans les eaux glauques d’une malveillance minable, style « casser du pèlerin d’Arès ».
Ces gens-là méritent notre respect fraternel dans tous les cas !
Je vous remercie de votre attention,
Bien amicalement,
Laurent
Re: De quel droit le droit ?
Vivre sans lois etablies par les puissants me conviendrait parfaitement. Mais aurais je tjrs la sagesse de savoir ou s'arrete ma liberté et ou commence celle d'autrui?pas sur!!
Quand a suivre les évangiles ou les 10 commandements, il faudrait pour cela savoir D'ABORD si les évangiles sont crédibles et si les 10 commandements ne seraient pas totalement faux.
j'ai voté OUI.
Quand a suivre les évangiles ou les 10 commandements, il faudrait pour cela savoir D'ABORD si les évangiles sont crédibles et si les 10 commandements ne seraient pas totalement faux.
j'ai voté OUI.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: De quel droit le droit ?
Aujourd'hui avec la mode du chanelling, ce genre de textes abondent.
La révélation d'Arès, c'est tout de même du christianisme à la base ? donc je pense que cela intéresse uniquement ceux qui croient déjà en la révélation chrétienne au départ ? N'est-ce pas une façon de plus de lire l'évangile parmi tant d'autres ? En quoi cela pourrait intéresser des non chrétiens ?
La révélation d'Arès, c'est tout de même du christianisme à la base ? donc je pense que cela intéresse uniquement ceux qui croient déjà en la révélation chrétienne au départ ? N'est-ce pas une façon de plus de lire l'évangile parmi tant d'autres ? En quoi cela pourrait intéresser des non chrétiens ?
Invité- Invité
Re: De quel droit le droit ?
Ouf ! Quoique encore minoritaire, le point de vue selon lequel nous pouvons vivre sans chefs, sans loi, n'est plus totalement abandonné...
Dans un monde libéré, nos sagesses se compléteront, s'épauleront, jusque dans les moments de faiblesse.
Dans un monde libéré, nos sagesses se compléteront, s'épauleront, jusque dans les moments de faiblesse.
Re: De quel droit le droit ?
Jayrâm a écrit:Aujourd'hui avec la mode du chanelling, ce genre de textes abondent.
La révélation d'Arès, c'est tout de même du christianisme à la base ? donc je pense que cela intéresse uniquement ceux qui croient déjà en la révélation chrétienne au départ ? N'est-ce pas une façon de plus de lire l'évangile parmi tant d'autres ? En quoi cela pourrait intéresser des non chrétiens ?
C'est effectivement du "christianisme à la base", je dirais même basique.
Mais le Christ n'a pas parlé pour les seuls chrétiens...
C'est un plan de vie heureuse universelle.
Plus encore, dans cet évangile, les non-croyants ont une primauté reconnue sur les croyants : "car il vaut mieux que la Parole s'accomplisse sans mon Nom, plutôt qu'en mon Nom règne ce que J'ai en horreur."
Merci de ce commentaire !
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