la politique à sarkozy ...
+21
_Justícia
tango
Magnus
SALOMON
meulan
bad04
_athéesouhaits
Gerard
Geveil
troubaadour
p1rlou1t
JO
Lila
_La plume
Millenium
Lambda
bernard1933
Sebi
MrSonge
Tibouc
dan 26
25 participants
Page 5 sur 16
Page 5 sur 16 • 1, 2, 3, 4, 5, 6 ... 10 ... 16
Re: la politique à sarkozy ...
La blague du jour ! Lors de la cérémonie à l' Arc de Triomphe pour le 11 Novembre 1918, Sarkozy a dévoilé une plaque en souvenir des étudiants
qui ont manifesté en 1940 à cet endroit puis a posé devant cette plaque
avantageusement... Problème : une plaque existe déjà à 25 mètres de là !
Ah, j' oubliais que l' Histoire de France a commencé avec son
quinquennat...Combien de journaux vont soulever le lièvre ? Mais le lièvre s' est envolé avec son joli joujou à 176 millions d' euros , sans compter son entretien annuel de 15 millions d' euros . Vous êtes jaloux, les Belges, non ?
qui ont manifesté en 1940 à cet endroit puis a posé devant cette plaque
avantageusement... Problème : une plaque existe déjà à 25 mètres de là !
Ah, j' oubliais que l' Histoire de France a commencé avec son
quinquennat...Combien de journaux vont soulever le lièvre ? Mais le lièvre s' est envolé avec son joli joujou à 176 millions d' euros , sans compter son entretien annuel de 15 millions d' euros . Vous êtes jaloux, les Belges, non ?
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Il est bien le résultat des élections lui aussi . 4 millions de français dans les rues avec des enfants embrigadés n'a jamais fait la majorité par rapport à 62 millions de Français . [/quote]En 1969, le peuple avait voté par référendum contre un réforme que voulait De Gaulle. De Gaulle avait dit qu'il se retirerait du pouvoir si il perdait ce référendum. Il a agi de manière honnête tout en tenant compte de l'avis du peuple. [/quote]]quote="p1rlou1t"]
Bonjour p1rlou1t.
Si je ne me trompe c'etait sur la décentralisation, et il avait dit que si cette loi etait refoulée il se retirait . Donc il a considéré cela comme un election personnelle .
C'est de la betise de faire voter 62 milions de Français pour un texte trops long et confus. C'est comme si on essayait de se mettre d'accord à 62 millions pour un contrat d'assurance, un leurre total .Il y a des élements qui nous échapent totalement .Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa par-contre s'est assis sur le référendum concernant le traité de Lisbonne.
Il y avait des enjeux trop importants, si non nous aurions du revoter comme les hollandais !!!En effet, le peuple a majoritairement voté contre ce traité, Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa l'a quand-même ratifié. Lors de son premier discours devant le parlement européen, Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa a dit que le fait que les Français aient voté non voulait dire qu'ils avaient dit oui.
Reprend mes propos ceux sont deux choses différentes, je palais d'elections présidentielles, de Gaulle dans une certaine mesure a considéré ces elections sur la decentralsiation comme des élections présidentielles.Il y a donc d'un côté un De Gaulle qui respecte la volonté du peuple et qui agit de manière honorable, et de l'autre un Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa qui ne respecte pas la volonté du peuple.
Il faut rester sérieux, demander aux Français, si ils veulent gagner plus, vivre plus, partir plus tot à la retraite , ou ne plus travailler tout le monde dira oui !!! Cette réforme etait obligatoire car elle est un problème d'équilibre comptable , c'est mathématique , et obligatoire .Concernant les retraites, vous avez bien raison de dire que 4 millions ne représentent pas 62 millions. Pour savoir ce que veulent les Français, pourquoi ne pas alors faire un référendum? Je doute que les 58 millions qui ne sont pas dans la rue votent majoritairement en faveur de la réforme.
Tu n'as pas pris tous mes exemples etrange. Il me semble qu'à l'Europe Sarko au moment de la crise à sauvé tous tous les comptes bancaires des petites epargnants, en trouvant une solution que personne n'avait trouvé , et qu'il a sul' imposer au pays Européens .uote]Une autre différence qui me semble importante entre les deux présidents, c'est que De Gaulle s'est battu pour l'indépendance de la France, alors que Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa fait de la France un laquais d'intérêts étrangers.
Amicalement [/quote] C'est une hypothèse. Pouvez-vous dire quelle était le problème et quelle était la solution de Sarközy? Pouvez-vous aussi dire comment il a réussi à l'imposer à d'autres pays?
Il me vient d'autres questions à ce sujet en vous lisant. En 2008, Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa déclarait publiquement que les caisses étaient vides. Lors de la "crise" de 2009, d'où a donc bien pu sortir tout cet argent donné par Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa?
Je me demande aussi comment il se fait que la France doive payer pour une crise provoquée aux E-U?
[/quote]
Rapidement sans rentrer dans le détail technique problème : risque que toutes les banques Françaises et Européennes soient en faillites, et que tous les épargnants perdent leurs économies.
Solution proposée par Sarko(enfin ses conseillés surtout) , qui a été reprise par la majorité des Européens , emprunté des sommes magistrales à un taux de 3 % en mettant en garantie les Pays, et prêter pendant une période courte à 8 % aux Banques afin de leur permettre de se sauver financièrement . Opération qui a fait rentrer de l'argent dans les caisses de l'état .
Donc contrairement à ce qui a été raconté l'état n'a pas donné des milliards aux banques (c’est tellement bien!!! de le faire croire surtout pour les gauchos!!) , mais l'état s'est porté garant pour des prêts faits aux banques .
Amicalement
[/quote]
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
]quote="bernard1933"]La blague du jour ! Lors de la cérémonie à l' Arc de Triomphe pour le 11 Novembre 1918, Sarkozy a dévoilé une plaque en souvenir des étudiants
qui ont manifesté en 1940 à cet endroit puis a posé devant cette plaque
avantageusement... Problème : une plaque existe déjà à 25 mètres de là !
Ah, j' oubliais que l' Histoire de France a commencé avec son
quinquennat...Combien de journaux vont soulever le lièvre ?
Interressant je ne le savais pas , besoin peut etre de revaloriser l'action de jeunes pendant la guerre , apres ces grèves qui sait ?
A cette jalousie Bernard, 176 millions, 15 millions, des milliards et moi et moi et moi n'est ce pas.Mais le lièvre s' est envolé avec son joli joujou à 176 millions d' euros , sans compter son entretien annuel de 15 millions d' euros . Vous êtes jaloux, les Belges, non ?
Alors plus sérieusement, il me semble que les deux avions présidentiels (qui n'ont pas été acheté par sarko !!! ), arrivaient en fin de course ,et qu'ils vont être revendus pour diminuer la facture. D'autre par Sarko n'a pas acheté cela seulement pour lui et pour les 2 ans a venir, la flotte présidentielle existe depuis que les avions de ligne existent. Je doute sérieusement que ce soit lui qui ait pris la décision.
Dernier point 176 millions investis par exemple pour une utilité, de 20 ans alors que le budget de l'état annuel est de 354 milliard(moyenne sur quelques années ) . Cela revient à dire qu'ils ont dépensé 176 millions pour un budget de 7080 milliards sur 20 ans Comme si tu achetais une voiture de 17 600 Euros qui va te servir 20 ans, alors que tu va encaisser sur 20 ans 7 millions d’Euros.
Entretien 15 millions d'Euros sur 354 milliards soit 0,0004 % du budget de l'état effectivement sacrée dépense
C'est vraiment une broutille Bernard .
Essayons (nous tous) , de relativiser au lieu de toujours ramener cela à nos petites personnes. Nous ne sommes plus des enfants .
Amicalement.
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
«Je dis que Nicolas Sarkozy est aujourd’hui un des problèmes de la France et parmi les principaux problèmes qu’il faut régler, et qu’il est temps que la parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 soit refermée»
Tout est dit.
Tout est dit.
_La plume- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5987
Localisation : au sud du sud
Identité métaphysique : hérétique
Humeur : c'est selon avec qui
Date d'inscription : 17/07/2009
Re: la politique à sarkozy ...
BNP-Paribas et la Société Générale se pressent au portillon pour rembourser les aides publiques. L'Etat français encaissera au passage dans les 400 millions d'euros d'intérêts, s'asseyant sur une plus-value de... 12 milliards d'euros !
Au moment où l'Etat fait les fonds de tiroirs, allant jusqu'à proposer de taxer les accidentés du travail pour grappiller 150 malheureux millions d'euros, l'affaire est plutôt embarrassante. Lors de l'annonce du plan de sauvegarde des banques, nombreux sont ceux qui en avaient critiqué les modalités. Certes, les intérêts paraissaient élevés : de 8 à 14% sur un montant de 20 milliards d'euros, ce n'est pas rien ! Mais en juin, la Cour des Comptes critiquait le dispositif, précisant qu'en réalité ce pourcentage était trompeur, et que finalement, l'Etat pourrait même en être de sa poche.
12 milliards d'euros perdus
Hier, BNP-Paribas et la Société Générale ont annoncé leur intention de rembourser l'Etat. Les deux banques vont donc lui racheter les actions préférentielles au prix d'émission (5,1 milliards d'euros pour la première et 3,4 milliards pour la seconde), augmenté des intérêts, pour un peu moins de 400 millions d'euros. Bravo ! Sauf qu'entre la date d'achat des actions - le 31 mars 2009 - et aujourd'hui, le cours de bourse a augmenté de 113% pour BNP et 175% pour la Société Générale. Une perte évaluée à 12 milliards d'euros.
L'Etat ne spécule pas...
"Les modalités d'intervention de l'Etat pour sauver les banques françaises étaient contestables non pas dans leur principe mais dans leur forme" a déclaré mercredi Didier Migaud, président PS de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, lors de l'audition de Christine Lagarde. "Ces critiques s'avèrent malheureusement totalement pertinentes [...] Il est donc totalement inexact d'affirmer que l'Etat a fait une bonne affaire en l'espèce. Au contraire, il s'est privé d'une somme considérable", "à un moment où la situation critique des comptes publics rend une telle générosité encore plus coupable", a-t-il conclu, en demandant à la ministre de l'Economie de s'expliquer (propos rapportés par Reuters). Réponse de l'intéressée : "Les socialistes sont peut-être beaucoup plus spéculateurs que nous, c'est possible. [...] Nous avons encaissé 1,4 milliard d'euros au titre des prêts que nous avons consentis. C'est vrai qu'on n'a pas fait de la spéculation". Le gouvernement ne ferait pas de spéculation ? Seulement du déficit !
Point de spéculation, juste une question de bonne gestion !
Vivement la mise en oeuvre du plan Alzeihmer, car Christine Lagarde a - semble-t-il - perdu la mémoire. Il ne s'agit en aucun cas de "spéculation". En ce qui concerne BNP-Paribas, les prix de cession ont été fixés à l'avance, à savoir la moyenne du cours de bourse sur les 30 jours précédant le rachat, mais avec un plancher à 100% du prix d'acquisition et un plafond de 103% jusqu'au 30/06/2010, de 105% jusqu'au 30/06/2011... Dès lors, pourquoi ne pas avoir fixé les plafonds plus hauts, puisqu'ils ne généraient aucun risque (donc aucune "spéculation") et que les banques étaient, selon Nicolas Sarkozy, à la limite de la faillite... donc dans l'impossibilité de refuser ?
http://www.lesmotsontunsens.com/prets-aux-banques-etat-perd-12-milliards-euros-mauvaise-gestion-5703
Au moment où l'Etat fait les fonds de tiroirs, allant jusqu'à proposer de taxer les accidentés du travail pour grappiller 150 malheureux millions d'euros, l'affaire est plutôt embarrassante. Lors de l'annonce du plan de sauvegarde des banques, nombreux sont ceux qui en avaient critiqué les modalités. Certes, les intérêts paraissaient élevés : de 8 à 14% sur un montant de 20 milliards d'euros, ce n'est pas rien ! Mais en juin, la Cour des Comptes critiquait le dispositif, précisant qu'en réalité ce pourcentage était trompeur, et que finalement, l'Etat pourrait même en être de sa poche.
12 milliards d'euros perdus
Hier, BNP-Paribas et la Société Générale ont annoncé leur intention de rembourser l'Etat. Les deux banques vont donc lui racheter les actions préférentielles au prix d'émission (5,1 milliards d'euros pour la première et 3,4 milliards pour la seconde), augmenté des intérêts, pour un peu moins de 400 millions d'euros. Bravo ! Sauf qu'entre la date d'achat des actions - le 31 mars 2009 - et aujourd'hui, le cours de bourse a augmenté de 113% pour BNP et 175% pour la Société Générale. Une perte évaluée à 12 milliards d'euros.
L'Etat ne spécule pas...
"Les modalités d'intervention de l'Etat pour sauver les banques françaises étaient contestables non pas dans leur principe mais dans leur forme" a déclaré mercredi Didier Migaud, président PS de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, lors de l'audition de Christine Lagarde. "Ces critiques s'avèrent malheureusement totalement pertinentes [...] Il est donc totalement inexact d'affirmer que l'Etat a fait une bonne affaire en l'espèce. Au contraire, il s'est privé d'une somme considérable", "à un moment où la situation critique des comptes publics rend une telle générosité encore plus coupable", a-t-il conclu, en demandant à la ministre de l'Economie de s'expliquer (propos rapportés par Reuters). Réponse de l'intéressée : "Les socialistes sont peut-être beaucoup plus spéculateurs que nous, c'est possible. [...] Nous avons encaissé 1,4 milliard d'euros au titre des prêts que nous avons consentis. C'est vrai qu'on n'a pas fait de la spéculation". Le gouvernement ne ferait pas de spéculation ? Seulement du déficit !
Point de spéculation, juste une question de bonne gestion !
Vivement la mise en oeuvre du plan Alzeihmer, car Christine Lagarde a - semble-t-il - perdu la mémoire. Il ne s'agit en aucun cas de "spéculation". En ce qui concerne BNP-Paribas, les prix de cession ont été fixés à l'avance, à savoir la moyenne du cours de bourse sur les 30 jours précédant le rachat, mais avec un plancher à 100% du prix d'acquisition et un plafond de 103% jusqu'au 30/06/2010, de 105% jusqu'au 30/06/2011... Dès lors, pourquoi ne pas avoir fixé les plafonds plus hauts, puisqu'ils ne généraient aucun risque (donc aucune "spéculation") et que les banques étaient, selon Nicolas Sarkozy, à la limite de la faillite... donc dans l'impossibilité de refuser ?
http://www.lesmotsontunsens.com/prets-aux-banques-etat-perd-12-milliards-euros-mauvaise-gestion-5703
Millenium- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1975
Localisation : Ardenne Belge
Identité métaphysique : chercheur
Humeur : Motivé
Date d'inscription : 17/09/2008
Re: la politique à sarkozy ...
[/quote]]quote="La plume"]«Je dis que Nicolas Sarkozy est aujourd’hui un des problèmes de la France et parmi les principaux problèmes qu’il faut régler, et qu’il est temps que la parenthèse politique que nous vivons depuis 2007 soit refermée»
Tout est dit.
Depuis quand DDV, représente t'il le point de vue de tous les français?
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
[quote]
Explique nous pourquoi ? 400 millions de recettes fiscales suplémentaires , et une bouée pour sauver notre économie, et les comptes bancaires des français que demander de mieux,?
113 % et 175 % d'augmentation de la valeur boursière sur 1 ans peux tu etre plus précis .
BNP court entre 40,81 et 60,38 en 2010, et pour SG 53,12 pour 29,70 avec des variations tres tres alléatoires . Je rappelle au passage que le Cac 40 etait à 6000 Euros il y a 4 ans, qu'il est tombé à 2850 Euros, et qu'il est actuellement à 3890 Euros . Ce qui veut dire qu 'il a encore perdu beaucoup par rapport à il y a 4 ans Cette façon de déformer les chiffres est effrayante .
Il est important de parler de ce que l'on connait , et d'eviter de s'etendre sur des sujets que l'on ignore .
Amicalement
Et alors sans cette plus-value les banques seraient en faillite . C'est ce que tu voiudrais , tu es prêt a laisser s'évaporer tes économies, ou tous tes comptes !! tu es donc d'accord avec moi , ce n'est pas de l'argent qui a été donné aux banque . Il serait bon de le retenir au lieu de laisser colporter des contres- vérités.Millenium a écrit:BNP-Paribas et la Société Générale se pressent au portillon pour rembourser les aides publiques. L'Etat français encaissera au passage dans les 400 millions d'euros d'intérêts, s'asseyant sur une plus-value de... 12 milliards d'euros !
Au moment où l'Etat fait les fonds de tiroirs, allant jusqu'à proposer de taxer les accidentés du travail pour grappiller 150 malheureux millions d'euros, l'affaire est plutôt embarrassante.
Explique nous pourquoi ? 400 millions de recettes fiscales suplémentaires , et une bouée pour sauver notre économie, et les comptes bancaires des français que demander de mieux,?
Ce qui pour le moment n'a pas été le cas !!Lors de l'annonce du plan de sauvegarde des banques, nombreux sont ceux qui en avaient critiqué les modalités. Certes, les intérêts paraissaient élevés : de 8 à 14% sur un montant de 20 milliards d'euros, ce n'est pas rien ! Mais en juin, la Cour des Comptes critiquait le dispositif, précisant qu'en réalité ce pourcentage était trompeur, et que finalement, l'Etat pourrait même en être de sa poche.
Explique nous comment l'etat a t'il perdu 12 milliards , par ce dispositif je ne te suis pas ? Puisque tu dis plus haut qu'il a fait 400 millions de recettes .12 milliards d'euros perdus
Explique nous comment on veut savoir ? Je ne pense pas que l'etat soit actionnaire de ces banques ? Réponse précise STP.Hier, BNP-Paribas et la Société Générale ont annoncé leur intention de rembourser l'Etat. Les deux banques vont donc lui racheter les actions préférentielles au prix d'émission (5,1 milliards d'euros pour la première et 3,4 milliards pour la seconde), augmenté des intérêts, pour un peu moins de 400 millions d'euros. Bravo ! Sauf qu'entre la date d'achat des actions - le 31 mars 2009 - et aujourd'hui, le cours de bourse a augmenté de 113% pour BNP et 175% pour la Société Générale. Une perte évaluée à 12 milliards d'euros.
L'Etat ne spécule pas...
113 % et 175 % d'augmentation de la valeur boursière sur 1 ans peux tu etre plus précis .
BNP court entre 40,81 et 60,38 en 2010, et pour SG 53,12 pour 29,70 avec des variations tres tres alléatoires . Je rappelle au passage que le Cac 40 etait à 6000 Euros il y a 4 ans, qu'il est tombé à 2850 Euros, et qu'il est actuellement à 3890 Euros . Ce qui veut dire qu 'il a encore perdu beaucoup par rapport à il y a 4 ans Cette façon de déformer les chiffres est effrayante .
Mais ce n'est pas possible le gouvernement ne peux intervenir dans les entreprises privées , nous ne sommes pas un régime communiste ."Les modalités d'intervention de l'Etat pour sauver les banques françaises étaient contestables non pas dans leur principe mais dans leur forme" a déclaré mercredi Didier Migaud, président PS de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, lors de l'audition de Christine Lagarde. "Ces critiques s'avèrent malheureusement totalement pertinentes [...] Il est donc totalement inexact d'affirmer que l'Etat a fait une bonne affaire en l'espèce. Au contraire, il s'est privé d'une somme considérable", "à un moment où la situation critique des comptes publics rend une telle générosité encore plus coupable", a-t-il conclu, en demandant à la ministre de l'Economie de s'expliquer (propos rapportés par Reuters). Réponse de l'intéressée : "Les socialistes sont peut-être beaucoup plus spéculateurs que nous, c'est possible. [...] Nous avons encaissé 1,4 milliard d'euros au titre des prêts que nous avons consentis. C'est vrai qu'on n'a pas fait de la spéculation". Le gouvernement ne ferait pas de spéculation ? Seulement du déficit !
Non "d'intervention dans le privé ", ce qui est impossible heureusement .Point de spéculation, juste une question de bonne gestion !
mais ce n'est pas possible de dire des choses pareilles, c'est comme si l'on repprochait à un joueur de ne pas avoir choisi les bon cheveaux,........ apres la course . La bourse consiste à spéculer "avant "les faits , avec tous les risques que celà comporte (voir affaire Kerviel) , apres c'est tellement facile de critiquer . Et si l'action avait chuté entre les deux comment auraient ils fait ?Vivement la mise en oeuvre du plan Alzeihmer, car Christine Lagarde a - semble-t-il - perdu la mémoire. Il ne s'agit en aucun cas de "spéculation". En ce qui concerne BNP-Paribas, les prix de cession ont été fixés à l'avance, à savoir la moyenne du cours de bourse sur les 30 jours précédant le rachat, mais avec un plancher à 100% du prix d'acquisition et un plafond de 103% jusqu'au 30/06/2010, de 105% jusqu'au 30/06/2011... Dès lors, pourquoi ne pas avoir fixé les plafonds plus hauts, puisqu'ils ne généraient aucun risque (donc aucune "spéculation") et que les banques étaient, selon Nicolas Sarkozy, à la limite de la faillite... donc dans l'impossibilité de refuser ?
Il est important de parler de ce que l'on connait , et d'eviter de s'etendre sur des sujets que l'on ignore .
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Voila dan ,un article plus facile à comprendre.
http://www.liberation.fr/economie/0101594394-les-banques-remboursent-l-etat-perd-12-milliards
http://www.liberation.fr/economie/0101594394-les-banques-remboursent-l-etat-perd-12-milliards
Millenium- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1975
Localisation : Ardenne Belge
Identité métaphysique : chercheur
Humeur : Motivé
Date d'inscription : 17/09/2008
Re: la politique à sarkozy ...
C'est bin l'Etat a joué son role. Il a prété de l'argent avec des interets forts. Si il avait acheté des actions et que le cours avait été divisé par deux, les memes qu'aujourd'hui criaient au scandale. OU alors que les donneurs de leçon d'aujourd'hui nous prête leur boule de cristal.
L'Etat a prété de l'argent , non pas pour investir et spéculer, mais pour sauver les banques.
L'Etat a prété de l'argent , non pas pour investir et spéculer, mais pour sauver les banques.
troubaadour- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4355
Localisation : France
Identité métaphysique : Athée Libéral-humaniste
Humeur : contrariant
Date d'inscription : 24/06/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Les actions n'auraient pu faire que remonter.
Millenium- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1975
Localisation : Ardenne Belge
Identité métaphysique : chercheur
Humeur : Motivé
Date d'inscription : 17/09/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Bonjour dan26,
Le traité de Lisbonne est sans doute un texte long et confus, mais la substance en était malgré tout simple et claire. Il s'agissait de savoir si les Français voulaient une europe libérale ou non. Je crois que la plupart des Français qui ont voté avaient compris cela.
Je me souviens que les européistes défendaient le traité au moment du référendum en expliquant que c'était une garantie de croissance et de sécurité. Certains disaient aussi que c'était une chance de se protéger face à l'impérialisme anglo-saxon. Je trouve intéressant de reprendre leurs arguments à postériori en ayant pris connaissance de l'article du Daily telagraph paru en 2000 et qui évoque des documents déclassifiés:
"Daily Telegraph du 19 septembre 2000 - Extraits :
« - 19/09/2000 - (de notre correspondant à Bruxelles Ambrose Evans-Pritchard) - Des documents secrets du gouvernement américain qui viennent d’être déclassifiés montrent que la communauté des services secrets américains a mené une campagne, tout au long des années 50 et 60, afin de promouvoir l’unification européenne. [...]
Les dirigeants du Mouvement Européen (Retinger, le visionnaire Robert Schuman et l’ancien premier ministre belge Paul-Henri Spaak) étaient tous traités comme des employés par leur parrains américains. Le rôle des États-Unis fut camouflé comme pour une opération secrète.
L’argent de l’ACUE (American Committee on United Europe : Comité Américain pour l’Europe Unie) provenait des fondations Ford et Rockefeller, aussi bien que des milieux d’affaires ayant des liens étroits avec le gouvernement américain. [...] .Le Département d’État jouait aussi un rôle.
Une note émanant de la Direction Europe, datée du 11 juin 1965, conseille au vice-président de la Communauté Économique Européenne, Robert Marjolin, de poursuivre de façon subreptice l’objectif d’une union monétaire. Cette note recommande d'empêcher tout débat jusqu'au moment où l'adoption de de telles propositions deviendraient virtuellement inévitables."
Pour complément d'information à ce sujet, on peut se référer au dossier "la-face-cachee-de-robert-schuman"(PDF, 2mg), de François Asselineau, qui fait une analyse plus complète de la création de l'union européenne. Disponible sur le lien suivant:
http://u-p-r.fr/wp-content/uploads/2010/05/upr-dossier-la-face-cachee-de-robert-schuman-9-mai-2010.pdf
Ce qui m'intéresse dans cette affaire, c'est de savoir à qui l'Etat français a emprunté ces sommes? L'Etat est un organisme surendetté. Pourquoi les banques en danger n'ont pas emprunté directement aux organismes qui ont été capables de prêter l'argent à l'Etat français?
Et que voulez-vous dire par "mettre en garantie le pays"?
Il y a quelque chose que je ne comprends pas dans vos raisonnements sur Sarközy de Nagy-Bocsa en tant que président. Vous semblez penser qu'il a encore un pouvoir de décision. Pourtant sa marge de manoeuvre est extrêmement limitée tant que la France est dans l'union européenne. La grande majorité des lois qui sont votées au parlement français ne sont que la traduction en droit français de directives européennes. De plus, la France n'a plus de souveraineté territoriale, elle n'a plus non plus de souveraineté monétaire. Quel est donc encore le pouvoir d'un président dans ce contexte?
Quel est le pouvoir d'un Sarközy de Nagy-Bocsa dans ce contexte face aux pouvoirs du président de l'europe, Van Rompuy? Président qui n'a aucune légitimité démocratique en passant.
Quelle que soit la justification, il est un fait que Sarközy de Nagy-Bocsa s'est assis sur la volonté du peuple.dan26 a écrit:C'est de la betise de faire voter 62 milions de Français pour un texte trops long et confus. C'est comme si on essayait de se mettre d'accord à 62 millions pour un contrat d'assurance, un leurre total .Il y a des élements qui nous échapent totalement .
Le traité de Lisbonne est sans doute un texte long et confus, mais la substance en était malgré tout simple et claire. Il s'agissait de savoir si les Français voulaient une europe libérale ou non. Je crois que la plupart des Français qui ont voté avaient compris cela.
Vous semblez défendre l'idée que l'adhésion à ce traité était une nécessité incontournable. Pouvez-vous dire quelle était cette nécessité?Il y avait des enjeux trop importants, si non nous aurions du revoter comme les hollandais !!!
Je me souviens que les européistes défendaient le traité au moment du référendum en expliquant que c'était une garantie de croissance et de sécurité. Certains disaient aussi que c'était une chance de se protéger face à l'impérialisme anglo-saxon. Je trouve intéressant de reprendre leurs arguments à postériori en ayant pris connaissance de l'article du Daily telagraph paru en 2000 et qui évoque des documents déclassifiés:
"Daily Telegraph du 19 septembre 2000 - Extraits :
« - 19/09/2000 - (de notre correspondant à Bruxelles Ambrose Evans-Pritchard) - Des documents secrets du gouvernement américain qui viennent d’être déclassifiés montrent que la communauté des services secrets américains a mené une campagne, tout au long des années 50 et 60, afin de promouvoir l’unification européenne. [...]
Les dirigeants du Mouvement Européen (Retinger, le visionnaire Robert Schuman et l’ancien premier ministre belge Paul-Henri Spaak) étaient tous traités comme des employés par leur parrains américains. Le rôle des États-Unis fut camouflé comme pour une opération secrète.
L’argent de l’ACUE (American Committee on United Europe : Comité Américain pour l’Europe Unie) provenait des fondations Ford et Rockefeller, aussi bien que des milieux d’affaires ayant des liens étroits avec le gouvernement américain. [...] .Le Département d’État jouait aussi un rôle.
Une note émanant de la Direction Europe, datée du 11 juin 1965, conseille au vice-président de la Communauté Économique Européenne, Robert Marjolin, de poursuivre de façon subreptice l’objectif d’une union monétaire. Cette note recommande d'empêcher tout débat jusqu'au moment où l'adoption de de telles propositions deviendraient virtuellement inévitables."
Pour complément d'information à ce sujet, on peut se référer au dossier "la-face-cachee-de-robert-schuman"(PDF, 2mg), de François Asselineau, qui fait une analyse plus complète de la création de l'union européenne. Disponible sur le lien suivant:
http://u-p-r.fr/wp-content/uploads/2010/05/upr-dossier-la-face-cachee-de-robert-schuman-9-mai-2010.pdf
Il ne faut pas tout mélanger si l'on veut rester sérieux. Il est évident que tout le monde veut gagner plus et vivre plus. Un référendum sur ces deux points serait très probablement positif. Mais sur les deux derniers points, je doute, car certains ne veulent pas partir plus tôt à la retraite. Et je doute que la majorité des Français ne veuillent pas travailler. Un élément qui permet de douter est que Sarközy de Nagy-Bocsa a été élu en partie sur l'idée de "travailler plus pour gagner plus" et de l'ascenceur social.Il faut rester sérieux, demander aux Français, si ils veulent gagner plus, vivre plus, partir plus tot à la retraite , ou ne plus travailler tout le monde dira oui !!!
Dans un cadre ultra-libéral, il est indispensable de détruire les acquis sociaux octroyés par les Etats, je suis d'accord sur ce point. C'est pourquoi, si l'on élargit ce cadre ultra-libéral au monde, les acquis sociaux européens sont attaqués et présentés comme un frein à l'économie. Pour arriver à détruire les acquis sociaux, il était indispensable de détruire les souverainetés nationales et démocratiques qui les protégeaient.Cette réforme etait obligatoire car elle est un problème d'équilibre comptable , c'est mathématique , et obligatoire .
Merci pour ces éclaircissements. L'article de libération vous donne raison sur le constat pour le moment. Selon cet article, l'Etat a gagné 226 millions d’euros dans l'affaire. Il faudra voir ce qu'il en reste quand l'Etat français aura remboursé la dette contractée pour sauver les banques.Rapidement sans rentrer dans le détail technique problème : risque que toutes les banques Françaises et Européennes soient en faillites, et que tous les épargnants perdent leurs économies.
Solution proposée par Sarko(enfin ses conseillés surtout) , qui a été reprise par la majorité des Européens , emprunté des sommes magistrales à un taux de 3 % en mettant en garantie les Pays, et prêter pendant une période courte à 8 % aux Banques afin de leur permettre de se sauver financièrement . Opération qui a fait rentrer de l'argent dans les caisses de l'état .
Ce qui m'intéresse dans cette affaire, c'est de savoir à qui l'Etat français a emprunté ces sommes? L'Etat est un organisme surendetté. Pourquoi les banques en danger n'ont pas emprunté directement aux organismes qui ont été capables de prêter l'argent à l'Etat français?
Et que voulez-vous dire par "mettre en garantie le pays"?
Il y a quelque chose que je ne comprends pas dans vos raisonnements sur Sarközy de Nagy-Bocsa en tant que président. Vous semblez penser qu'il a encore un pouvoir de décision. Pourtant sa marge de manoeuvre est extrêmement limitée tant que la France est dans l'union européenne. La grande majorité des lois qui sont votées au parlement français ne sont que la traduction en droit français de directives européennes. De plus, la France n'a plus de souveraineté territoriale, elle n'a plus non plus de souveraineté monétaire. Quel est donc encore le pouvoir d'un président dans ce contexte?
Quel est le pouvoir d'un Sarközy de Nagy-Bocsa dans ce contexte face aux pouvoirs du président de l'europe, Van Rompuy? Président qui n'a aucune légitimité démocratique en passant.
p1rlou1t- Maître du Temps
- Nombre de messages : 676
Localisation : Belgique
Identité métaphysique : Aucune
Humeur : Aucune
Date d'inscription : 02/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Mais oui, dan, Sarko sait gérer la France avec sagesse ! Le budget de
l' Elysée est étale ! Ta as vraiment le sens de la plaisanterie...
Sarkozy fait payer les autres pour épargner le budget de l'Elysée ( Rue 89 )
Par Vincent Quivy | Journaliste | 12/11/2010
Trente millions sous Chirac, 100 millions sous Sarkozy en 2008, 114 millions aujourd'hui. Pour reprendre l'expression du député René Dosière, le budget de l'Elysée « ne connaît pas la crise ».
En constante hausse, battant les records des pays occidentaux, l'enveloppe que s'attribue le chef de l'Etat paraît en totale contradiction avec une politique qui appelle les Français aux sacrifices. Et encore, une grande partie des dépenses est dissimulée.
L'avion, La Lanterne, les sondages…
Comment mener grand train sans laisser s'inscrire durablement dans l'opinion l'image d'un chef d'Etat nageant dans le bling-bling grâce aux deniers publics tout en imposant aux Français des économies drastiques ? Simplement en faisant payer les autres. S'il existe un domaine où Nicolas Sarkozy consent à déléguer, c'est celui-là.
* Le nouvel avion présidentiel, 176 millions d'euros, est ainsi financé par le ministère de la Défense et ne viendra donc pas grossir le budget élyséen déjà pharamineux.
* Les travaux effectués au pavillon de La Lanterne, la résidence secondaire du Premier ministre que Nicolas Sarozy a annexée dès 2007, sont eux pris en charge par le budget de Matignon.
* Les sondages, si nombreux et si coûteux qu'ils avaient valu au Président les réprimandes de la Cour des comptes ? L'ardoise est, elle aussi, désormais en grande partie payée par le serviable François Fillon.
Ces postes budgétaires lourds et importants qui, une fois dégagés de l'ardoise élyséenne, permettent à Nicolas Sarkozy de maintenir, à l'heure des économies, un budget sans hausse excessive.
Le député Jean Launay parle d'un « retour de la tentation d'externaliser un certain nombre de ses dépenses, ce qui permet à la présidence de la République d'afficher une demande de dotation stable ».
Quel est aujourd'hui le budget réel de l'Elysée ?
Ce budget en trompe-l'œil montre la limite de cette transparence voulue et revendiquée par le Président. Si, dans un premier temps, cette dernière avait engendré une utilisation décomplexée de l'argent public, elle entraîne désormais, la crise aidant, un ensemble de subterfuges pour éviter d'alourdir l'ardoise.
Il est plus que fondamental pour l'image du Président d'apparaître en responsable soucieux des deniers publics. Ce que, au regard des hausses réelles et constantes de son propre budget, il n'est pas.
Cette fameuse transparence apparue comme un progrès et une compensation majeure à la hausse excessive du budget de l'Elysée est en fait un simple effet d'annonce, un gadget de communication qui n'a ni effet ni conséquence et nous ramène à l'ère de l'opacité quand, sous Jacques Chirac, on tentait vainement d'évaluer les dépenses de la Présidence.
Quel est aujourd'hui le budget réel de l'Elysée, avion, sondages, travaux et personnels compris ? 150, 200 millions ? Bien plus, en tout cas, que les 114 millions annoncés.
l' Elysée est étale ! Ta as vraiment le sens de la plaisanterie...
Sarkozy fait payer les autres pour épargner le budget de l'Elysée ( Rue 89 )
Par Vincent Quivy | Journaliste | 12/11/2010
Trente millions sous Chirac, 100 millions sous Sarkozy en 2008, 114 millions aujourd'hui. Pour reprendre l'expression du député René Dosière, le budget de l'Elysée « ne connaît pas la crise ».
En constante hausse, battant les records des pays occidentaux, l'enveloppe que s'attribue le chef de l'Etat paraît en totale contradiction avec une politique qui appelle les Français aux sacrifices. Et encore, une grande partie des dépenses est dissimulée.
L'avion, La Lanterne, les sondages…
Comment mener grand train sans laisser s'inscrire durablement dans l'opinion l'image d'un chef d'Etat nageant dans le bling-bling grâce aux deniers publics tout en imposant aux Français des économies drastiques ? Simplement en faisant payer les autres. S'il existe un domaine où Nicolas Sarkozy consent à déléguer, c'est celui-là.
* Le nouvel avion présidentiel, 176 millions d'euros, est ainsi financé par le ministère de la Défense et ne viendra donc pas grossir le budget élyséen déjà pharamineux.
* Les travaux effectués au pavillon de La Lanterne, la résidence secondaire du Premier ministre que Nicolas Sarozy a annexée dès 2007, sont eux pris en charge par le budget de Matignon.
* Les sondages, si nombreux et si coûteux qu'ils avaient valu au Président les réprimandes de la Cour des comptes ? L'ardoise est, elle aussi, désormais en grande partie payée par le serviable François Fillon.
Ces postes budgétaires lourds et importants qui, une fois dégagés de l'ardoise élyséenne, permettent à Nicolas Sarkozy de maintenir, à l'heure des économies, un budget sans hausse excessive.
Le député Jean Launay parle d'un « retour de la tentation d'externaliser un certain nombre de ses dépenses, ce qui permet à la présidence de la République d'afficher une demande de dotation stable ».
Quel est aujourd'hui le budget réel de l'Elysée ?
Ce budget en trompe-l'œil montre la limite de cette transparence voulue et revendiquée par le Président. Si, dans un premier temps, cette dernière avait engendré une utilisation décomplexée de l'argent public, elle entraîne désormais, la crise aidant, un ensemble de subterfuges pour éviter d'alourdir l'ardoise.
Il est plus que fondamental pour l'image du Président d'apparaître en responsable soucieux des deniers publics. Ce que, au regard des hausses réelles et constantes de son propre budget, il n'est pas.
Cette fameuse transparence apparue comme un progrès et une compensation majeure à la hausse excessive du budget de l'Elysée est en fait un simple effet d'annonce, un gadget de communication qui n'a ni effet ni conséquence et nous ramène à l'ère de l'opacité quand, sous Jacques Chirac, on tentait vainement d'évaluer les dépenses de la Présidence.
Quel est aujourd'hui le budget réel de l'Elysée, avion, sondages, travaux et personnels compris ? 150, 200 millions ? Bien plus, en tout cas, que les 114 millions annoncés.
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Remaniement
un article du point d'aujourd'hui
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/
un article du point d'aujourd'hui
http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/
"
Nicolas Sarkozy est bien embarrassé. Il sait que son remaniement fera forcément gicler du sang sur les murs. Les victimes potentielles se ramassent, en effet, à la pelle. S'il confirme François Fillon, comme cela semble probable à quelques jours de la nomination de la nouvelle équipe, la première victime sera Sarkozy lui-même. Comment l'hyperprésident, qui s'est coulé dans les pas du fondateur de la Ve République au point d'insister, lors de son discours d'hommage à de Gaulle le 9 novembre, sur le pouvoir de nomination du chef de l'État à tous les emplois, pourrait-il échapper à ce constat humiliant : il se serait fait imposer le choix de son Premier ministre, dans un étonnant renversement du rapport de forces entre l'hôte de l'Élysée et le locataire de Matignon. On sait qu'il avait le projet de remplacer ce dernier. L'opinion, via les sondages, les parlementaires UMP, par leur opposition ouverte à Jean-Louis Borloo, et le chef du gouvernement lui-même, en campagne lors d'une primaire inédite pour le poste de Premier ministre, auraient dicté leur choix. Pas très gaulliste...
C'est ce qui, jusqu'au bout, chiffonne le Président et alimente les rumeurs sur un possible troisième homme. Quelle que soit la solution finalement adoptée, que de blessés sanguinolents laissés sur le bord de la route de la future présidentielle ! Le ministre de l'Écologie, même s'il revendique une "élégance" à toute épreuve, va longtemps ruminer les semaines d'horreur qu'il vient de vivre. Les snipers, au premier rang desquels il place François Fillon, l'ont torpillé de la plus vilaine manière. La vengeance est un plat qui se mange froid. Elle viendra tôt ou tard. Tous ceux qui rêvaient d'un poste ou auront été déplacés sans joie vont également bouder dans un silence plus ou moins assourdissant. Quand il s'agira de défendre le Président, il faudra qu'ils se forcent, plus occupés à panser leurs plaies qu'à faire campagne avec enthousiasme. Les sarkozystes historiques vont se sentir terriblement frustrés et en voudront secrètement à celui qu'ils ont servi à ses heures sombres alors qu'il promeut surtout des convertis tardifs.
Que de rancoeur en perspective ! Sans compter les membres de cabinet remerciés dans un gouvernement resserré. Beaucoup d'entre eux, s'ils ne sont pas correctement recasés, seront tentés par le mauvais esprit, voire par la dissidence au service de concurrents ou d'opposants. Pour tous les perdants, ministres ou non, huit mois d'angoisse suivis par une éviction, une déception ou un abaissement, l'avenir sera saumâtre. Ce n'est pas la meilleure manière, pour un candidat, de préparer ses troupes à une nouvelle victoire. Alors que c'était l'objectif de cet infernal remaniement !
_La plume- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5987
Localisation : au sud du sud
Identité métaphysique : hérétique
Humeur : c'est selon avec qui
Date d'inscription : 17/07/2009
Re: la politique à sarkozy ...
Millenium a écrit: Voila dan ,un article plus facile à comprendre.
[/quote]
journal "libération" fortement marqué à gauche . Pour information ce n'est pas une perte c'est un manque a gagné si l'etat avait pris autant de risques que la banque .
Un peu comme si tu refuses de jouer au tiercé avec ton voisin, et que celui ci gagne une grosse somme, tu n'iras jamais dire que tu as perdu une grosse , mais que tu est passé à coté d'une grosse somme. Voila comment on fait de la désinformation .
amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Quand ai je dis cela Bernard, j'ai affirmé qu'il y a plus de 30 ans que l'on fait des pertes annuelles entre 15 et 35 % par an .]quote="bernard1933"]Mais oui, dan, Sarko sait gérer la France avec sagesse ! Le budget de
l' Elysée est étale ! Ta as vraiment le sens de la plaisanterie...
Le chef de l'eta rappelle toi, a voulu mettre au clair toutes les rémunérations non déclarées et opaques , qui etaient pratiquée jusqu'à sa venue !!En constante hausse, battant les records des pays occidentaux, l'enveloppe que s'attribue le chef de l'Etat paraît en totale contradiction avec une politique qui appelle les Français aux sacrifices. Et encore, une grande partie des dépenses est dissimulée.
L'avion, La Lanterne, les sondages…
tous les président on eu un train de vie de président sauf de Gaulle .Comment mener grand train sans laisser s'inscrire durablement dans l'opinion l'image d'un chef d'Etat nageant dans le bling-bling grâce aux deniers publics tout en imposant aux Français des économies drastiques ? Simplement en faisant payer les autres. S'il existe un domaine où Nicolas Sarkozy consent à déléguer, c'est celui-là.
Mais ce n'est pas possible de dire celà Bernard, tu confonds les budjets de fonctionnemement et d'investissement* Le nouvel avion présidentiel, 176 millions d'euros, est ainsi financé par le ministère de la Défense et ne viendra donc pas grossir le budget élyséen déjà pharamineux.
Et alors il fallait bien payer , où est le problème .* Les travaux effectués au pavillon de La Lanterne, la résidence secondaire du Premier ministre que Nicolas Sarozy a annexée dès 2007, sont eux pris en charge par le budget de Matignon.
Là aussi où est le problème, les chefs d'etats on toujours fait des dépenses.* Les sondages, si nombreux et si coûteux qu'ils avaient valu au Président les réprimandes de la Cour des comptes ? L'ardoise est, elle aussi, désormais en grande partie payée par le serviable François Fillon.
FAut il t'expliquer la différence entre des frais de faonctionnement repartiq sur une année, et d'investissement sur plusieurs années, ?Ces postes budgétaires lourds et importants qui, une fois dégagés de l'ardoise élyséenne, permettent à Nicolas Sarkozy de maintenir, à l'heure des économies, un budget sans hausse excessive.
Pour information depuis des années la cours des comptes epingles des centaines d'irrégularités de la part de tous les services de l'etat et de la fonction publique depuis quelle a été crée , et jamais il n'a été demandé de corriger ces excés !!! C'est effarant il n'y a pas qu'à l'Elysée . Tous nos hommes politiques de tous bords sont des incapables dans ce domaine, je l'ai déjà dit lLe député Jean Launay parle d'un « retour de la tentation d'externaliser un certain nombre de ses dépenses, ce qui permet à la présidence de la République d'afficher une demande de dotation stable ».
Quel est aujourd'hui le budget réel de l'Elysée ?
Peu importe le budjet consolidé fait ressortir un deficit enorme ........depuis 30 ans .Ce budget en trompe-l'œil montre la limite de cette transparence voulue et revendiquée par le Président. Si, dans un premier temps, cette dernière avait engendré une utilisation décomplexée de l'argent public, elle entraîne désormais, la crise aidant, un ensemble de subterfuges pour éviter d'alourdir l'ardoise.
On el sait, on el dit personen depuis 30 ans ne bouge .
Il me semble que l'Assemblée Nationnale a prevue de revoir le traitement des députés, et les conditions de retraite .Il est plus que fondamental pour l'image du Président d'apparaître en responsable soucieux des deniers publics. Ce que, au regard des hausses réelles et constantes de son propre budget, il n'est pas.
.
Je me repette le budjet de l'Elysée ne peut etre que du fonctionnement , cela doit se retrouver sur internet , je vais voir. " Goggle Budget fonctionnement Elysée "Quel est aujourd'hui le budget réel de l'Elysée, avion, sondages, travaux et personnels compris ? 150, 200 millions ? Bien plus, en tout cas, que les 114 millions annoncés.
.
Je me rer re re repette aucun président de la république n'a été parfait dans ce domaine(les finances) c'est impossible .
Amicalement
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
[quote="bernard1933"]
Un element trouvé sur le fonctionnement du budget de l'Elysée . Cela vaut ce que ça vaut!!!
Comment est établi le budget de l'Elysée ?
Jusqu'en 2007, les dépenses de l'Elysée étaient éclatées entre les différents ministères, qui prenaient à leur charge une partie des dépenses de la Présidence : le Ministère des Affaires étrangères payait les frais des voyages à l'étranger, le Ministère de l'Intérieur couvrait les dépenses de sécurité du Président et les voyages (hors diplomatie) et le Ministère de la Défense les charges de transport par avion militaire. De la même manière, les fonctionnaires mis à disposition de la Présidence continuaient à être payés par leur ministère d'origine. Jusqu'en 2007, le budget affiché de l'Elysée ne représentait en fait qu'une partie des dépenses engagées par la Présidence.
En 2008, à la demande du Président Nicolas Sarkozy, le budget de la Présidence a été «consolidé», c'est-à-dire que toutes les dépenses des ministères concernés ont été intégrées au budget global de la Présidence. Le budget de l'Elysée regroupe donc maintenant l'ensemble des crédits publics qui concourent à l'action du Président, de ses collaborateurs et des services de la Présidence.
Il respecte donc les règles de transparence des comptes publics attendues par le Parlement et les Français.
Quel est le montant du budget de la Présidence ?
Pour l'année 2010, la dotation votée par le Parlement s'élève à 112 533 700 € ce qui représente une augmentation de 0,18 % par rapport au budget 2009.
Ce dernier n'avait lui-même augmenté que de 2,10 % par rapport au budget 2008.
Avec un montant de 112 533 700 €, le budget de la Présidence pour 2010 représente 0,029 % du budget de l'Etat.
Qu'y a-t-il dans le budget de la Présidence ?
Comme dans toute administration, les frais de personnel constituent le principal poste de dépenses de la Présidence de la République. Ils représentent 58 % de l'ensemble des dépenses. Il faut noter cependant qu'en 2009 la masse salariale a diminué de 3,75 % par rapport à 2008, les effectifs étant passés, du 31 décembre 2008 au 31 décembre 2009, de 1032 à 943 agents soit une diminution de 8,5 %.
Nicolas Sarkozy avait en effet demandé que la Présidence soit soumise comme toutes les autres administrations à une réduction d'effectifs et même qu'elle donne l'exemple en la matière.
Les charges liées aux déplacements, internationaux et nationaux, représentent 19,25 % des dépenses. Ce poste comprend le remboursement au Ministère de la Défense des frais de transport à bord des avions militaires utilisés pour les voyages du Président. Les déplacements ont été multipliés par trois par rapport au mandat précédent en raison de l'activité intense déployée par le Président.
Les frais de fonctionnement des services constituent 18,6 % du total des charges; les principaux postes sont les charges de gestion courante, les dépenses de téléphonie, d'informatique et d'intendance.
Ces postes de dépenses font l'objet d'une étroite surveillance et d'une analyse permanente, avec le double souci de permettre au chef de l'Etat d'accomplir sa mission dans les meilleures conditions et de réduire les coûts. Les services de l'Elysée ont aujourd'hui, l'obligation de mettre systématiquement en concurrence les fournisseurs. Enfin, un contrôle de gestion adapté à la Présidence a été mis en place.
Les dépenses personnelles du Président de la République ne sont pas comprises dans le budget de la Présidence. Elles sont entièrement à sa charge. La Cour des comptes a noté dans son rapport que cette séparation des dépenses publiques et des dépenses privées était strictement respectée.
Qui contrôle le budget de la Présidence ?
La Cour des Comptes : Conformément à son engagement sur la transparence du budget de l'Elysée, le Président de la République a décidé de soumettre les comptes de la Présidence au contrôle de la Cour des Comptes. C'est un fait historique sans précédent sous la République, puisque le dernier contrôle des opérations du chef de l'Etat par un organe indépendant remonte à la monarchie. Le 15 juillet 2009, Philippe SEGUIN Premier Président de la Cour des Comptes a publié le 1er rapport sur le contrôle des comptes de la Présidence de la République.
Le Parlement : Parallèlement, le budget de la Présidence est soumis à un examen attentif du Parlement, la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale et celle du Sénat adressant annuellement un questionnaire détaillé à la Présidence. Les personnes responsables du budget de la Présidence (le directeur de cabinet notamment) ont été auditées à plusieurs reprises par les membres de ces commissions.
Comme il s'y était engagé, le Président de la République a également remis au Parlement, l'été dernier, un rapport de gestion sur l'exercice 2008.
En résumé, la Présidence de la république présente aujourd'hui un budget sincère et transparent qui recouvre la totalité de ses dépenses. Ce budget est voté par le Parlement après qu'il ait obtenu toutes les informations qu'il souhaite. Ce budget est exécuté dans le strict respect des règles qui s'imposent à toutes les administrations de l'Etat notamment celles du code des marchés publics. Enfin les dépenses de la Présidence sont contrôlées chaque année par la Cour des Comptes, elles sont les seules à l'être ainsi de manière permanente.
amicalement , bonne lecture, etrange que le transport aeriens soit facturé par la defens celà sous entend que ce n'est pas sarko qui a changé d'avion!!!
amicalement
|
Un element trouvé sur le fonctionnement du budget de l'Elysée . Cela vaut ce que ça vaut!!!
Comment est établi le budget de l'Elysée ?
Jusqu'en 2007, les dépenses de l'Elysée étaient éclatées entre les différents ministères, qui prenaient à leur charge une partie des dépenses de la Présidence : le Ministère des Affaires étrangères payait les frais des voyages à l'étranger, le Ministère de l'Intérieur couvrait les dépenses de sécurité du Président et les voyages (hors diplomatie) et le Ministère de la Défense les charges de transport par avion militaire. De la même manière, les fonctionnaires mis à disposition de la Présidence continuaient à être payés par leur ministère d'origine. Jusqu'en 2007, le budget affiché de l'Elysée ne représentait en fait qu'une partie des dépenses engagées par la Présidence.
En 2008, à la demande du Président Nicolas Sarkozy, le budget de la Présidence a été «consolidé», c'est-à-dire que toutes les dépenses des ministères concernés ont été intégrées au budget global de la Présidence. Le budget de l'Elysée regroupe donc maintenant l'ensemble des crédits publics qui concourent à l'action du Président, de ses collaborateurs et des services de la Présidence.
Il respecte donc les règles de transparence des comptes publics attendues par le Parlement et les Français.
Quel est le montant du budget de la Présidence ?
Pour l'année 2010, la dotation votée par le Parlement s'élève à 112 533 700 € ce qui représente une augmentation de 0,18 % par rapport au budget 2009.
Ce dernier n'avait lui-même augmenté que de 2,10 % par rapport au budget 2008.
Avec un montant de 112 533 700 €, le budget de la Présidence pour 2010 représente 0,029 % du budget de l'Etat.
Qu'y a-t-il dans le budget de la Présidence ?
Comme dans toute administration, les frais de personnel constituent le principal poste de dépenses de la Présidence de la République. Ils représentent 58 % de l'ensemble des dépenses. Il faut noter cependant qu'en 2009 la masse salariale a diminué de 3,75 % par rapport à 2008, les effectifs étant passés, du 31 décembre 2008 au 31 décembre 2009, de 1032 à 943 agents soit une diminution de 8,5 %.
Nicolas Sarkozy avait en effet demandé que la Présidence soit soumise comme toutes les autres administrations à une réduction d'effectifs et même qu'elle donne l'exemple en la matière.
Les charges liées aux déplacements, internationaux et nationaux, représentent 19,25 % des dépenses. Ce poste comprend le remboursement au Ministère de la Défense des frais de transport à bord des avions militaires utilisés pour les voyages du Président. Les déplacements ont été multipliés par trois par rapport au mandat précédent en raison de l'activité intense déployée par le Président.
Les frais de fonctionnement des services constituent 18,6 % du total des charges; les principaux postes sont les charges de gestion courante, les dépenses de téléphonie, d'informatique et d'intendance.
Ces postes de dépenses font l'objet d'une étroite surveillance et d'une analyse permanente, avec le double souci de permettre au chef de l'Etat d'accomplir sa mission dans les meilleures conditions et de réduire les coûts. Les services de l'Elysée ont aujourd'hui, l'obligation de mettre systématiquement en concurrence les fournisseurs. Enfin, un contrôle de gestion adapté à la Présidence a été mis en place.
Les dépenses personnelles du Président de la République ne sont pas comprises dans le budget de la Présidence. Elles sont entièrement à sa charge. La Cour des comptes a noté dans son rapport que cette séparation des dépenses publiques et des dépenses privées était strictement respectée.
Qui contrôle le budget de la Présidence ?
La Cour des Comptes : Conformément à son engagement sur la transparence du budget de l'Elysée, le Président de la République a décidé de soumettre les comptes de la Présidence au contrôle de la Cour des Comptes. C'est un fait historique sans précédent sous la République, puisque le dernier contrôle des opérations du chef de l'Etat par un organe indépendant remonte à la monarchie. Le 15 juillet 2009, Philippe SEGUIN Premier Président de la Cour des Comptes a publié le 1er rapport sur le contrôle des comptes de la Présidence de la République.
Le Parlement : Parallèlement, le budget de la Présidence est soumis à un examen attentif du Parlement, la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale et celle du Sénat adressant annuellement un questionnaire détaillé à la Présidence. Les personnes responsables du budget de la Présidence (le directeur de cabinet notamment) ont été auditées à plusieurs reprises par les membres de ces commissions.
Comme il s'y était engagé, le Président de la République a également remis au Parlement, l'été dernier, un rapport de gestion sur l'exercice 2008.
En résumé, la Présidence de la république présente aujourd'hui un budget sincère et transparent qui recouvre la totalité de ses dépenses. Ce budget est voté par le Parlement après qu'il ait obtenu toutes les informations qu'il souhaite. Ce budget est exécuté dans le strict respect des règles qui s'imposent à toutes les administrations de l'Etat notamment celles du code des marchés publics. Enfin les dépenses de la Présidence sont contrôlées chaque année par la Cour des Comptes, elles sont les seules à l'être ainsi de manière permanente.
amicalement , bonne lecture, etrange que le transport aeriens soit facturé par la defens celà sous entend que ce n'est pas sarko qui a changé d'avion!!!
amicalement
|
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
[quote="bernard1933"]
Et pour finir Bernard le rapport officiel de la court des comptes sur l'Elysée en 2009 .
Bonne lecture
Amicalement c)
S’agissant enfin du bilan, il donne une image fidèle de la situation financière et comptable de l’Elysée
A signaler toutefois que sont toujours présentes dans les comptes, des rémunérations pour les personnels mis à disposition de l’Elysée par les administrations qui ne leur ont pas été remboursées, car les ministères ont tardé malgré les relances à émettre des ordres de recettes. Dès lors, au 31 décembre 2009, les services de la Présidence restaient débiteurs à leur égard pour 11,3 M€.
Les progrès accomplis dans la gestion des services de l’Elysée montrent, je crois l’utilité des contrôles de la Cour et la détermination des services de l’Elysée sous l’impulsion du directeur de cabinet du Président de la République.
3.
Troisième point, il reste que des économies apparaissent encore pouvoir être dégagées.
a)
Tout d’abord dans les déplacements présidentiels :
Ils ont représenté en 2009 une charge de 19,7 M€, soit près de 18 % du budget de la Présidence, davantage qu’en 2008. Mais cette année là, il y avait les crédits spécifiques pour la Présidence française de l’Union européenne. Donc la comparaison d’une année sur l’autre n’est pas totalement pertinente.
La Cour a conduit une étude d’ensemble sur 13 voyages officiels.
Le coût des voyages est évidemment fonction de l’importance des délégations qui accompagnent le Président. Mais c’est là une question d’opportunité sur laquelle la Cour n’a évidemment pas à se prononcer.
Du travail minutieux auquel elle s’est livrée, la Cour a tiré quatre enseignements :
1) Premièrement, il nous est tout d’abord apparu que la désignation par le Président d’une autorité coordinatrice, capable d’arbitrer entre des initiatives dispersées, pourrait éviter des dépenses dont la nécessité n’est pas toujours avérée.
Je n’en donnerai qu’un exemple : à Pittsburgh, pour le G20 de septembre 2009, le service audio-visuel a jugé la salle de presse mise à la disposition des délégations, je le cite, « absolument incompatible avec les contraintes liées à la conférence de presse du Président de la République ». L’aménagement de sa propre salle de presse a représenté un coût de 25 000 €.
Seul le prononcé fait foi
4
2) Deuxièmement, la médiatisation des déplacements du président engendre des coûts de plus en plus élevés :
Globalement les dépenses engagées à l’initiative du service de l’audiovisuel sont passées de 465 000 € en 2008 à 1 060 000 € en 2009.
3)
Troisièmement, c’est sans doute dans la préparation des voyages que les économies les plus substantielles pourraient être réalisées.
Chacun des voyages est en effet précédé d’une mission préparatoire d’abord, puis à quelques jours du départ, d’un déplacement de précurseurs.
Dans les deux cas, il n’apparaissait pas jusqu’ici que des règles précises aient fixé la composition de ces missions, les choix individuels tendant à prévaloir en la matière. Il en est résulté des coûts qui sont loin d’être négligeables. Ainsi, lors de l’assemblée générale de l’ONU, en septembre 2009, la mission préparatoire ne comportait pas moins de 14 personnes et a coûté 73 000 €.
Pour ce même voyage, le déplacement de précurseurs a comporté 22 personnes, pour un coût de 112 000 € dont 45 000 € de location de véhicules et 36 000 € de frais d’hébergement.
4)
Enfin, la Cour a constaté que les plateaux repas qui étaient servis aux invités du Président lors de ses déplacements étaient facturés très chers, la société Air France prenant une commission telle que le coût du plateau ressortait en moyenne de 120 à 160 euros.
Pour répondre aux observations et aux recommandations de la Cour, le directeur de cabinet de la Présidence nous a fait connaître que des règles nouvelles avaient êté adoptées afin d’assurer une meilleure maîtrise et une réduction des dépenses entraînées par les voyages présidentiels.
b)
Deuxième secteur où des économies peuvent être réalisées, la restauration
Le service de restauration à l’Elysée se subdivise en deux branches : la restauration administrative et la table du Palais.
S’agissant de la restauration administrative, elle n’emploie pas moins de 32 agents pour 100 000 repas servis par an. Le prix de revient du repas pris au self excède le double de la moyenne relevée dans les autres administrations. Il est de l’ordre de 20 €. La charge nette pour le budget de l’Elysée avoisine les 17 € par convive, soit 1,6 M€ sur l’année.
Pour ce qui intéresse la table du Palais, la Cour a relevé qu’elle requiert les services de 35 agents et représente une charge de 6,7 M€.
A la suite de nos observations, le Président de la République vient lui-même de décider une réduction des effectifs de la restauration de 10 % sur trois ans et l’intendance du Palais espère réduire les dépenses de denrées alimentaires en recourant à des appels d’offres.
Voilà, Mesdames et Messieurs, les principales conclusions auxquelles la Cour est parvenue au terme du contrôle qu’elle vient de faire porter sur l’année 2009.
Je vous remercie de votre attention et suis à présent à votre disposition pour répondre à vos questions.
Et pour finir Bernard le rapport officiel de la court des comptes sur l'Elysée en 2009 .
Bonne lecture
Amicalement c)
S’agissant enfin du bilan, il donne une image fidèle de la situation financière et comptable de l’Elysée
A signaler toutefois que sont toujours présentes dans les comptes, des rémunérations pour les personnels mis à disposition de l’Elysée par les administrations qui ne leur ont pas été remboursées, car les ministères ont tardé malgré les relances à émettre des ordres de recettes. Dès lors, au 31 décembre 2009, les services de la Présidence restaient débiteurs à leur égard pour 11,3 M€.
Les progrès accomplis dans la gestion des services de l’Elysée montrent, je crois l’utilité des contrôles de la Cour et la détermination des services de l’Elysée sous l’impulsion du directeur de cabinet du Président de la République.
3.
Troisième point, il reste que des économies apparaissent encore pouvoir être dégagées.
a)
Tout d’abord dans les déplacements présidentiels :
Ils ont représenté en 2009 une charge de 19,7 M€, soit près de 18 % du budget de la Présidence, davantage qu’en 2008. Mais cette année là, il y avait les crédits spécifiques pour la Présidence française de l’Union européenne. Donc la comparaison d’une année sur l’autre n’est pas totalement pertinente.
La Cour a conduit une étude d’ensemble sur 13 voyages officiels.
Le coût des voyages est évidemment fonction de l’importance des délégations qui accompagnent le Président. Mais c’est là une question d’opportunité sur laquelle la Cour n’a évidemment pas à se prononcer.
Du travail minutieux auquel elle s’est livrée, la Cour a tiré quatre enseignements :
1) Premièrement, il nous est tout d’abord apparu que la désignation par le Président d’une autorité coordinatrice, capable d’arbitrer entre des initiatives dispersées, pourrait éviter des dépenses dont la nécessité n’est pas toujours avérée.
Je n’en donnerai qu’un exemple : à Pittsburgh, pour le G20 de septembre 2009, le service audio-visuel a jugé la salle de presse mise à la disposition des délégations, je le cite, « absolument incompatible avec les contraintes liées à la conférence de presse du Président de la République ». L’aménagement de sa propre salle de presse a représenté un coût de 25 000 €.
Seul le prononcé fait foi
4
2) Deuxièmement, la médiatisation des déplacements du président engendre des coûts de plus en plus élevés :
Globalement les dépenses engagées à l’initiative du service de l’audiovisuel sont passées de 465 000 € en 2008 à 1 060 000 € en 2009.
3)
Troisièmement, c’est sans doute dans la préparation des voyages que les économies les plus substantielles pourraient être réalisées.
Chacun des voyages est en effet précédé d’une mission préparatoire d’abord, puis à quelques jours du départ, d’un déplacement de précurseurs.
Dans les deux cas, il n’apparaissait pas jusqu’ici que des règles précises aient fixé la composition de ces missions, les choix individuels tendant à prévaloir en la matière. Il en est résulté des coûts qui sont loin d’être négligeables. Ainsi, lors de l’assemblée générale de l’ONU, en septembre 2009, la mission préparatoire ne comportait pas moins de 14 personnes et a coûté 73 000 €.
Pour ce même voyage, le déplacement de précurseurs a comporté 22 personnes, pour un coût de 112 000 € dont 45 000 € de location de véhicules et 36 000 € de frais d’hébergement.
4)
Enfin, la Cour a constaté que les plateaux repas qui étaient servis aux invités du Président lors de ses déplacements étaient facturés très chers, la société Air France prenant une commission telle que le coût du plateau ressortait en moyenne de 120 à 160 euros.
Pour répondre aux observations et aux recommandations de la Cour, le directeur de cabinet de la Présidence nous a fait connaître que des règles nouvelles avaient êté adoptées afin d’assurer une meilleure maîtrise et une réduction des dépenses entraînées par les voyages présidentiels.
b)
Deuxième secteur où des économies peuvent être réalisées, la restauration
Le service de restauration à l’Elysée se subdivise en deux branches : la restauration administrative et la table du Palais.
S’agissant de la restauration administrative, elle n’emploie pas moins de 32 agents pour 100 000 repas servis par an. Le prix de revient du repas pris au self excède le double de la moyenne relevée dans les autres administrations. Il est de l’ordre de 20 €. La charge nette pour le budget de l’Elysée avoisine les 17 € par convive, soit 1,6 M€ sur l’année.
Pour ce qui intéresse la table du Palais, la Cour a relevé qu’elle requiert les services de 35 agents et représente une charge de 6,7 M€.
A la suite de nos observations, le Président de la République vient lui-même de décider une réduction des effectifs de la restauration de 10 % sur trois ans et l’intendance du Palais espère réduire les dépenses de denrées alimentaires en recourant à des appels d’offres.
Voilà, Mesdames et Messieurs, les principales conclusions auxquelles la Cour est parvenue au terme du contrôle qu’elle vient de faire porter sur l’année 2009.
Je vous remercie de votre attention et suis à présent à votre disposition pour répondre à vos questions.
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Allez pour montrer la méthode de ce que l'on appelle l'opposition systématique, et que j'appelle primaire , ou primate .
Dites moi d'après vous comment Sarko devrait modifier son gouvernement ; et essayez après le résultat , de dire si il a bien fait , ou non .
En sachant d'avance que les anti Sarko epidermiques dans tous les cas de figure ne seront pas d’accord.
Je reconnais par contre que d'annoncer si tôt, un remaniement est une erreur, de stratégie .
Amicalement
Dites moi d'après vous comment Sarko devrait modifier son gouvernement ; et essayez après le résultat , de dire si il a bien fait , ou non .
En sachant d'avance que les anti Sarko epidermiques dans tous les cas de figure ne seront pas d’accord.
Je reconnais par contre que d'annoncer si tôt, un remaniement est une erreur, de stratégie .
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Le Sarkozy nouveau est arrivé avec quelques jours d'avance sur le beaujolais. Il semblerait qu'il ait pris des cours d'élocution, un langage très compassé, une voix douce pas naturelle, un faux air contrit, en fait, il est simplement entré en campagne électorale, il a changé de masque pour mieux tromper les français en vue de 2012. Sûr qu'il y a des naïfs qui vont encore se faire avoir ...
Cette fois-ci, Pujadas, a voulu se rattraper, il s'est montré incisif, au point d'agacer notre PR, il risque bien de le payer ... Quant à Claire Chazal elle s'est fait rétamée.
Cette fois-ci, Pujadas, a voulu se rattraper, il s'est montré incisif, au point d'agacer notre PR, il risque bien de le payer ... Quant à Claire Chazal elle s'est fait rétamée.
_La plume- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5987
Localisation : au sud du sud
Identité métaphysique : hérétique
Humeur : c'est selon avec qui
Date d'inscription : 17/07/2009
Re: la politique à sarkozy ...
C'est aussi de la bêtise de faire voter environ 12 millions de français de moins de 18 ans et en particulier les nourrissons et les bébés.dan26 a écrit:C'est de la betise de faire voter 62 millions de Français pour un texte trops long et confus.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : universelle
Humeur : changeante
Date d'inscription : 18/05/2008
Re: la politique à sarkozy ...
Il lui manquait le masque de Grosminet! Pas thétique, mais presque ... On y croirait si on ne savait que les faits démentent ses dires .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: la politique à sarkozy ...
...
...Petit résumé du show Sarkozy de hier soir :
- Pourquoi changer de premier ministre pour reprendre le même ?
- Parce que Fillon est trés bon ! Pourquoi j'en changerais ?
Evidemment, aucun journaliste n'a pensé à lui demander : "Pourquoi l'avoir viré alors ?"
Sauf peut-être Denisot qui a osé dire :
- Beh oui, mais aprés 6 mois d'attente, les français ont un peu l'impression que le remaniement accouche d'une souris...
- Non Monsieur Denisot, les français ne sont pas préoccupés par ça. Ce sont les MEDIAS qui le sont.
- En tout cas, c'est la fin de "l'ouverture à gauche".
- Cela n'est pas exact, j'ai toujours un homme de gauche, un socialiste : Monsieur BESSON !
- Oui mais il a sa carte de l'UMP maintenant...
- L'Administrateur de l'Assemblée Nationale est bien socialiste, lui !
- Beh oui, mais il n'est pas ministre !
- Bon ça suffit : je vous dis que l'ouverture à gauche est toujours dans mes objectifs !
Bref.. le festival de la mauvaise foi dès le début.. et ça n'a pas arrêté. L'affaire des roms ? " A cause des medias"... la réforme de la retraite ? "Les syndicats étaient POUR mais ils ne voulaient pas se couper de leur base"...
Et le ponpon de ses projets : la suppression de l'ISF et du bouclier fiscal :
"Vous voulez qu'on cesse de rendre aux riches ? Eh bien prenons leur moins d'argent !"
....Sarko ne changera jamais !
...
...Petit résumé du show Sarkozy de hier soir :
- Pourquoi changer de premier ministre pour reprendre le même ?
- Parce que Fillon est trés bon ! Pourquoi j'en changerais ?
Evidemment, aucun journaliste n'a pensé à lui demander : "Pourquoi l'avoir viré alors ?"
Sauf peut-être Denisot qui a osé dire :
- Beh oui, mais aprés 6 mois d'attente, les français ont un peu l'impression que le remaniement accouche d'une souris...
- Non Monsieur Denisot, les français ne sont pas préoccupés par ça. Ce sont les MEDIAS qui le sont.
- En tout cas, c'est la fin de "l'ouverture à gauche".
- Cela n'est pas exact, j'ai toujours un homme de gauche, un socialiste : Monsieur BESSON !
- Oui mais il a sa carte de l'UMP maintenant...
- L'Administrateur de l'Assemblée Nationale est bien socialiste, lui !
- Beh oui, mais il n'est pas ministre !
- Bon ça suffit : je vous dis que l'ouverture à gauche est toujours dans mes objectifs !
Bref.. le festival de la mauvaise foi dès le début.. et ça n'a pas arrêté. L'affaire des roms ? " A cause des medias"... la réforme de la retraite ? "Les syndicats étaient POUR mais ils ne voulaient pas se couper de leur base"...
Et le ponpon de ses projets : la suppression de l'ISF et du bouclier fiscal :
"Vous voulez qu'on cesse de rendre aux riches ? Eh bien prenons leur moins d'argent !"
....Sarko ne changera jamais !
...
_________________
" On sait tout sur rien et on sait rien sur tout. "
Re: la politique à sarkozy ...
Ah non dan ! Au contraire, faire poiroter les français pendant plusieurs mois permet que l'on soit concentrer sur le remaniement à venir. Et que l'on parle moins du fond du coup.Je reconnais par contre que d'annoncer si tôt, un remaniement est une erreur, de stratégie .
C'est donc au contraire, une très bonne stratégie.
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4585
Localisation : Pas de ce Monde
Identité métaphysique : Mystique Humaniste
Humeur : Chevalier Solitaire
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: la politique à sarkozy ...
c'est un prestidigitateur de première force . Mais il risque d'être réélu .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: la politique à sarkozy ...
Gerève !Gereve a écrit:C'est aussi de la bêtise de faire voter environ 12 millions de français de moins de 18 ans et en particulier les nourrissons et les bébés.dan26 a écrit:C'est de la betise de faire voter 62 millions de Français pour un texte trops long et confus.
La bétise n'a pas été de vouloir faire voter les français à ce sujet. La bétise ce fut d'écrire ce texte trop long et confus qu'était la constitution européenne.
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4585
Localisation : Pas de ce Monde
Identité métaphysique : Mystique Humaniste
Humeur : Chevalier Solitaire
Date d'inscription : 15/02/2009
Page 5 sur 16 • 1, 2, 3, 4, 5, 6 ... 10 ... 16
Sujets similaires
» la politique à sarkozy ...
» L'avenir de Sarkozy
» Le candidat Sarkozy
» [Sarkozy] Agressé par un homme à Brax
» Euthanasie - Sarkozy a dit non à Rémy
» L'avenir de Sarkozy
» Le candidat Sarkozy
» [Sarkozy] Agressé par un homme à Brax
» Euthanasie - Sarkozy a dit non à Rémy
Page 5 sur 16
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum