Sagesse du pluvian
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Re: Sagesse du pluvian
Nuage a écrit:....de qui parle ce poème.
Est-ce de vous, est-ce de moi...
C'est de ma propre vie, cela inclut beaucoup de monde.
Les pluvians peuvent se partager leurs crocodiles.
Voir aussi la réaction de Curare :
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=verlaine/circonspection#c-2006281350
.
Chapelle en un quartier désert
Dans ce sobre édifice, abri pour le flâneur,
J’observe que parfois un vieillard vient et prie;
Moi, j’aime y contempler l’image de Marie,
Ou de saint Isidore, ou d’autres saints, mineurs.
Sur une croix se tient le charpentier sauveur
Dont la parole fut comme une poésie;
Pour les prêtres d’alors, ce fut une hérésie,
Mais nous en retenons la subtile saveur.
Au temps jadis, David a mis dans un poème
L’ardeur d’un noble roi qui sait que Dieu nous aime;
Tu t’en es souvenu à la fin de tes jours.
Tes mots qui donnent vie aux livres qu’on imprime
Nous apaisent le coeur mieux que de vaines rimes,
Tu désarmes la haine, il nous reste l’amour.
Re: Sagesse du pluvian
Tu sais Cochonfucius ...Cochonfucius a écrit:Nuage a écrit:....de qui parle ce poème.
Est-ce de vous, est-ce de moi...
C'est de ma propre vie, cela inclut beaucoup de monde.
Les pluvians peuvent se partager leurs crocodiles.
Voir aussi la réaction de Curare :
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=verlaine/circonspection#c-2006281350
.
Hier quand j'ai lu ton post et le lien .. tu sais ce que je me suis dit : "Non ! il a aussi osé le faire là-bas ... !" (en même temps, c'est l'endroit approprié)
Par contre effectivement je n'en n'avais pas fait le lien que "Curare" était le nom de "Esprit de Celle". Bien que Esprit de Celle, n'est pas Curare ...
Et aujourd'hui avec un peu moins d'une journée de recule, quand je relis ton post .... la présentation de ton post. Je me suis éclatée de rire ...
Et je t'assure que ce n'est absolument pas, ni par moquerie, ni par méchanceté, ni par non respect, ... mais par affection. Il faut de la dérision ....
Tu fais partie du forum à part entière, comme nous tous et en plus tu es un des plus anciens ....
Et là quand je dis cela, je suis absolument très sérieuse, je veux dire sincère ....
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Sagesse du pluvian
Non mais t'es quand même un sacré phénomène .. !!! D'une ampleur ... !
Alors toi tu oses tout ! Mais alors Tout ! Tout ! Tout ! Tout ... ! La totale ... !
Impressionnant ....
Mais tout va bien dans le meilleur des mondes ... Cochonfucius ....
Et là t'as Cochonfucius, qui se la ramène et qui dit :
- Je suis content que cela t'ai plu ... -
Alors toi tu oses tout ! Mais alors Tout ! Tout ! Tout ! Tout ... ! La totale ... !
Impressionnant ....
Mais tout va bien dans le meilleur des mondes ... Cochonfucius ....
Et là t'as Cochonfucius, qui se la ramène et qui dit :
- Je suis content que cela t'ai plu ... -
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Actinoptérygien de sinople
Ce poisson n’est pas rouge, il n’est pas non plus rose,
Il est d’un joli vert, sauf s’il est amoureux ;
Car quand ça lui arrive, il devient plutôt bleu,
Je n’ai jamais compris quelle en était la cause.
Il n’écrit pas de vers, mais pas non plus de prose,
Sa plume ne saurait choisir entre les deux ;
Il énonce parfois des propos hasardeux,
Mais c’est très anodin, nul ne s’en indispose.
Il aime l’eau de mer, et d’ailleurs, il en boit,
Un jour il prit du vin, ce fut une aventure,
Ce n’était pas vraiment conforme à sa nature.
Souvent, sur une épave, il prélève du bois
Pour orner le logis dans lequel il s’abrite,
Mais par aucun auteur n’est sa maison décrite.
Re: Sagesse du pluvian
Parce-que la salamandre bleue de feu ...Ce poisson n’est pas rouge, il n’est pas non plus rose,
Il est d’un joli vert, sauf s’il est amoureux ;
Car quand ça lui arrive, il devient plutôt bleu,
Je n’ai jamais compris quelle en était la cause.
C'est un très joli poème, tout en poésie douce.
Tu as différents types de poésies. Les plus douces sont celles des histoires ayant besoin d'êtres accompagnés de dessins merveilleux faisant vivre cette histoire en liant le texte à l'image et faisant ressortir le "mouvement" ou les "tons" et ce qui s'en dégage. Tu as d'ailleurs d'anciens poèmes magnifiques, qui sont très mal imagés d'accompagnement, fadant ainsi l'histoire.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Sagesse du pluvian
Poésie douce et poésie double sens ... cela va de soit ... pardon, trois.
N'oublies pas le cadeau laissé au fond de l'eau ... il ne peut être que pour ceux qui peuvent l'utiliser ...
Savais-tu que j'avais lu quelque chose qui disait que dans la symbolique du feu de la Saint-Jean, il y avait également l'élément eau qui avec le feu, purifiait.
Regardes bien ce qu'il y avait d'écrit sous la carte.
Et c'est marrant, parce-que je n'avais strictement rien calculé, mais tout s'est assemblé, du début jusqu'à la fin de l'histoire, en passant par tous les niveaux, pour la carte.
C'est ça, la force d'un trésor ...
N'oublies pas le cadeau laissé au fond de l'eau ... il ne peut être que pour ceux qui peuvent l'utiliser ...
Savais-tu que j'avais lu quelque chose qui disait que dans la symbolique du feu de la Saint-Jean, il y avait également l'élément eau qui avec le feu, purifiait.
Regardes bien ce qu'il y avait d'écrit sous la carte.
Et c'est marrant, parce-que je n'avais strictement rien calculé, mais tout s'est assemblé, du début jusqu'à la fin de l'histoire, en passant par tous les niveaux, pour la carte.
C'est ça, la force d'un trésor ...
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Pavillon du confiné volontaire
Il quitte rarement son logis confortable,
Sauf s’il a décidé d’aller je ne sais où;
Il vit entre ces murs comme un rat dans son trou,
Mais cela n’est pas loin du bonheur véritable.
Son coeur et ses poumons sont dans un état stable,
Et quant à son travail, il n’en fait pas beaucoup;
Pour un peu de lecture il dépense trois sous,
Heureux quand un auteur lui semble inimitable.
En l’âme du reclus ne sont que tièdes flammes,
Mais il garde le goût du sourire des femmes;
Une d’elles lui parle et ça le rend heureux.
Son bureau contre un mur et sa petite chambre
Et de longs jours passés sans fatiguer ses membres,
Rien de bien remarquable et rien d’aventureux.
Un goinfre hybride
De l’aigle-porc la soif inassouvie
Est bien la soeur de sa voracité ;
Puis il a l’air de s’en féliciter,
Car il nous dit qu’il aime faire envie.
Or, sa compagne est loin d’être ravie
Qu’un tel monstre ait tant de capacité ;
Elle proteste avec férocité,
Vaine fureur, de nul effet suivie.
Mais peut-on lui trouver une vertu ?
Un tel sujet longtemps fut débattu,
Sans qu’il en pût sortir un arbitrage.
Donc, avec lui n’ayez pas de rapports,
C’est déplaisant, quand même, un aigle-porc,
Pour les humains, sa vue est un outrage.
Saint Portechef
Le cou tranché, sa tête n’est pas morte,
Car je l’entends qui parle toujours bien ;
Donc, pas question de la jeter aux chiens,
Le saint s’en va, sur la route il la porte.
Ne croyez pas que ça le réconforte,
De son orgueil il ne lui reste rien ;
Il va mourir, mais sa foi le soutient,
Qui rend son âme et sa tête plus fortes.
Quel grand tombeau pourra-t-il obtenir ?
En nos lieux saints, quel est son avenir ?
Son coeur a-t-il de ses bourreaux pitié ?
Au chef tranché viennent des souvenances,
Ce sont les mots d’une chanson de France ;
Ce sont des mots d’amour et d’amitié.
Ambiporc d’azur et d’or
Je suis l’ambicochon, vêtu d’un noble émail,
Je n’ai pour tout trésor que des pièces de cuivre;
Où sont les songes bleus que j’aimais tant poursuivre?
Fourbus de lassitude, ils dorment au bercail.
Une reine jadis admira mon travail,
Qui, je ne sais pourquoi, s’est transformée en vouivre;
Le roi me tutoyait quand il était bien ivre,
Puis me reconduisait jusqu’à son grand portail.
Je sais qu’au bout d’un temps la vie devient étrange,
Que ce soit pour un porc ou bien pour un archange;
Je n’ai pas d’opinion sur les décrets du Ciel.
Je termine mes jours sans maître et sans disciple,
Et je ne marche plus vers le pont Saint Michel,
Mais ces nouveaux quartiers ont des splendeurs multiples.
Punaise azurée
Cette sage punaise est du bouddhisme adepte,
Des maîtres de jadis elle a souvent rêvé;
Aux rideaux d’un vieux temple on pourra la trouver,
Méditant sur le Rien, cela n’est pas inepte.
Un grillon japonais lui transmit des préceptes,
Le chemin de sa vie en fut alors pavé;
Elle suit ce parcours sans jamais dériver,
Rencontrant un obstacle, elle rit et l’accepte.
L’insecte ne croit pas détenir l’excellence,
Mais peut déjà produire un assez beau silence;
Ces petits animaux sont de vaillants lutteurs.
Jamais elle n’envie la cigale qui chante,
Jamais elle ne craint une fourmi méchante;
Un fabuliste fut son interlocuteur.
Murmures d’un arbre imaginaire
En rêve j’entendis la rumeur d’un feuillage,
Cela me fit passer de savoureux instants ;
C’était un son bizarre et familier pourtant,
Impossible vraiment d’y trouver un message.
Dans l’onirique nuit je n’ai pas de visage,
Car en ces moments-là ce n’est pas important ;
Mon esprit vagabond, sur rien ne s’arrêtant,
Traverse d’étonnants et sombres paysages.
Mon âme se dissout, je sens mon coeur frémir,
Je me crois éloigné de la planète Terre;
Mon corps est animé d’un flamboyant désir.
Une douce clarté traverse mes paupières,
Une femme inconnue fait entendre un soupir ;
Tels sont les errements d’un rêveur solitaire.
Le cavalier invisible
Ce héros légendaire échappe à mon regard,
Je lui offre pourtant les notes de ma lyre;
Je ne peux le chanter qu’avec de grands égards
Ainsi que son cheval, dénommé «Noble Sire».
Il n’a point de manoir, il dort dans un hangar,
Le brave canasson n’y voit rien à redire;
Ils ont même squatté parfois le pont du Gard,
Et de leurs mauvais tours cela n’est pas le pire.
Cheval et cavalier sont du genre nerveux,
De plus, chacun des deux ne fait que ce qu’il veut,
Mais au long du chemin, la chance les précède.
S’ils rencontrent un diable, ils lui disent «Va t’en»,
Loin de leur résister, le noir démon leur cède,
Il n’est pas un danger pour ces deux combattants.
Porc-Valet en prière
Ce cochon ne craint pas les flammes
Du noir inframonde maudit ;
La prière affermit son âme,
Sa cellule est un paradis.
Il accomplit un saint programme
Du lundi jusqu’au samedi ;
Dimanche sur un lac il rame
Et son corps se désengourdit.
Une baronne est sa marraine,
Une aristocrate sereine ;
J’entends sa voix, c’est du velours.
Il réside en un lieu mystique
Auprès d’un plan d’eau fantastique ;
Sous sa fenêtre, un fleuve court.
Empereur des quatre mers
Ce monarque vit loin des ports,
Loin des golfes et loin des grèves ;
Nul ne descendra, même en rêve,
Vers son palais de marbre et d’or.
Proche de l’empire des morts,
Il sait que toute vie est brève ;
C’est une bulle qui se crève,
Un coeur fatigué qui s’endort.
C’est un homme à l’esprit limpide
Et cependant pas très rapide ;
Il aime écouter l’univers.
Tous ses murs sont couverts de livres,
Mais qui rarement sont ouverts ;
Car il lui faut le temps de vivre.
Planète Thornandra
Ici, les gens ne font que sculpter des gisants
Sur le socle desquels ils gravent des ballades;
Puis ils rentrent chez eux manger de la salade
Que produisent pour eux leurs frères paysans.
La fête du solstice est une mascarade
Où l’on voit défiler quelques chars imposants;
Le Grand Prêtre du Temple, aux rires s’exposant,
Suit l’amusant cortège en habit de parade.
Dessinant sur le sable une histoire qui ment,
Un prophète promeut sa sainte confrérie;
Deux vieux explorateurs en firent un roman.
La licorne invisible est alors bien nourrie,
Si l’on en use ainsi, c’est pour qu’elle sourie;
Mais elle aimerait mieux rejoindre son amant.
Dame Biche
Présence inattendue en ce monde imparfait,
La biche se repose au champ de mandragores ;
Loin des champs labourés que le grand soleil dore,
Loin de l’antre du loup, ce fauteur de méfaits.
J’ai voulu lui parler, mais je n’en ai rien fait,
J’étais trop amoureux et trop craintif encore ;
Mon coeur, intimidé par tout ce qu’il adore,
Ne trouve rien à dire et reste stupéfait.
Demain, m’approcherai-je aux heures matinales
Pour venir lui narrer des histoires banales ?
Car demain, j’irai mieux, mais ce n’est pas certain.
Or, pouvons-nous savoir à quoi les choses tiennent ?
Comme le dit Montaigne à son très cher Étienne,
Ces muses nous ont fait perdre notre latin.
Monstrechien
C’est un être furtif, l’ambichien qui maraude,
Car jamais ce truand ne se met au soleil;
Il marche quand les bois sont livrés au sommeil,
À l’affût du gibier qu’il peut glaner en fraude.
Je croise rarement son regard d’émeraude,
Pour fuir une rencontre il n’a pas son pareil;
Même si je l’attire avec des fruits vermeils,
Cet animal se rit de mon offre pataude.
Autrefois de sa chaîne il rompit les maillons,
Voulant vagabonder comme les papillons;
Ainsi se termina sa servitude brève.
Des diables de ce monde il n’est pas le plus vil,
Il est bien raisonnable, et même assez subtil,
Sauf quand vient lui parler la Dame dont il rêve.
Dieu vêtu de grosse laine
Ce bélier réside en sa tour d’ivoire,
D’étranges portraits ornent chaque mur ;
S’il fait des efforts, c’est pour rester pur,
Son âme, du moins, fait semblant d’y croire.
C’est un dieu placide, un dieu sans histoires,
Son prophète élu n’écrit rien d’obscur ;
Dans le doux regard de ses yeux d’azur
Ne brille jamais nul désir de gloire.
Ce n’est pas le dieu du noble ou du preux,
Mais bien du poète et du cul-terreux ;
Je le vois dormir, blotti sous un charme.
Il se vêt de laine et non pas de crin,
Il reste sur terre, il n’est pas marin ;
À peine s’il ose un combat sans armes.
Re: Sagesse du pluvian
Un combat sans armes, cela me fait penser, tu sais à quoi ?
Tu vas en tomber à la renverse ....
A une saucisse de Francfort bien aiguisée voulant poignarder un chamallow ....
Tu vas en tomber à la renverse ....
A une saucisse de Francfort bien aiguisée voulant poignarder un chamallow ....
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Combat sans armes
L’arme de la vestale est le désarmement,
C’est son armure aussi, ce sont ses armoiries ;
Mais l’arme du démon n’est que bouffonnerie,
Qui, le jour du combat, s’exerce vainement.
L’arme de la vestale est le respect des morts,
Mais l’arme du démon, c’est le goût du naufrage,
C’est le torrent qui veut fracasser le barrage ;
Cette arme à son porteur réserve un triste sort.
L’arme de la vestale est le goût de l’espoir,
Mais l’arme du démon n’est qu’un flacon d’absinthe
Dont il tire souvent des joyeusetés feintes,
Puis se soumet, bien ivre, à l’approche du soir.
Re: Sagesse du pluvian
Je ne sais quoi dire ...
Et que ce passe-t-il maintenant ?
Et que ce passe-t-il maintenant ?
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Sagesse du pluvian
Tu sais ce qui "marrant" ... ?
C'est que deux fois dans "Silence !" j'ai mis le mot "bâton" en réponse à deux mots-situations complètements différentes (en opposition on pourrait dire) * et deux fois tu as pris en annexe, le mot pour des coups de bâton, alors que je pensais à l'assemblage des deux parties du bâton ....
*
- le premier bâton était suite à "serpent" ou "langues de vipères".
- le deuxième, je ne sais plus après quoi je l'avais mis, mais Jipé a ensuite répondu "carotte".
C'est que deux fois dans "Silence !" j'ai mis le mot "bâton" en réponse à deux mots-situations complètements différentes (en opposition on pourrait dire) * et deux fois tu as pris en annexe, le mot pour des coups de bâton, alors que je pensais à l'assemblage des deux parties du bâton ....
*
- le premier bâton était suite à "serpent" ou "langues de vipères".
- le deuxième, je ne sais plus après quoi je l'avais mis, mais Jipé a ensuite répondu "carotte".
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
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