L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
+27
Critias
pierre_b
Leleu
dedale
oscillator
Geveil
Jean Doute
Magnus
Rio sur Seine
Bean
Gerard
_dede 95
orthon7
JPG
mirage
le lynx
JO
Nuage
Golem
Ling
AC*
Jipé
gaston21
Bulle
cana
zizanie
M'enfin
31 participants
Page 18 sur 40
Page 18 sur 40 • 1 ... 10 ... 17, 18, 19 ... 29 ... 40
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Ce très bon documentaire par exemple, donc les orientations en terme physiques vise à résoudre les équations de Enstein des champs unifiés sur la base des travaux de Karl Schwarzschild, et à unifier toute la physique, biologie et métaphysique incluses. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]gaston21 a écrit:Rio, pourrais-tu nous dire tes sources? Je n'arrive plus à suivre. Pourtant, c'est un sujet qui me passionne, mais je suis loin d'être spécialiste de la question.
Rio sur Seine- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1744
Localisation : Sud Ouest
Identité métaphysique : Bouddhiste
Humeur : ça dépend
Date d'inscription : 13/02/2012
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
C'est possible en effet, mais, pour l'instant, ce n'est qu'une possibilité.Rio sur Seine a écrit:C'est parce que tu penses que le vide est vide. Évidemment lorsqu'on a une telle croyance certaines choses en matière de science physique paraissent tout à fait bizarres, car le vide n'est pas vide.
Bien sûr que mon modèle en tient compte, voyons, puisqu'il cherche à expliquer la masse.D'autre part dans ta modélisation des "petits pas" tu ne tiens pas compte que pour chaque action il y une réaction non seulement égale mais aussi opposée, c'est la toute première loi de la physique.
Tu oublies que le mouvement constant résulte de la masse. Ce dont tu veux parler, c'est du mouvement d'action/réaction, donc de l'accélération, et le principe des petits pas en tient compte aussi puisque la masse y est aussi en cause.Ta théorie est un système de progression linéaire et irradiant où tu as vu qu'il y aurait quelque part une résistance. Or selon la première loi de la physique il ne peut pas y avoir de résistance puisque s'il y a des petits qui avance quelque part il y a quelque chose qui recule.
Là où il y a utilisation d'énergie, il y a toujours une part de résistance, sinon les chose se passeraient de manière instantanée.Dans un système en équilibre de part ce principe physique de base, la résistance est égale à Zéro. Si l'on trouve quelque part une résistance c'est que l'équation est fausse.
Les petits pas aussi sont composés d'expansion et de contraction, et ils sont causés par le même genre d'effet doppler.Si l'univers est en expansion c'est qu'il y a quelque part quelque chose qui est en contraction, c'est une dynamique de rétro alimentation, expansion, contraction.
Plein d'énergie potentielle sous forme d'ondes électromagnétiques, mais pas nécessairement plein de matière encore techniquement impalpable.Il n'y a jamais d'énergie perdue ni d'énergie gagnée, ainsi le vide est plein. Le vide est plein d'énergie et la matière est constitués de 99,999 % de vide, et tout ce vide c'est de l'énergie.
Vi.Vide que l'on retrouve ...... avec les même pourcentage dans les atomes et les moindres particules.
Le boson de Higgs est supposé en être la fin alors que, en réalité, nous n'en savons rien. Si les chercheurs augmentent suffisamment la vitesse des particules, ils risquent d'en trouver de plus petites et là, il vont avoir de la difficulté à expliquer leur masse.On part donc de l'atome que l'on croyait être à une époque le plus petit éléments de l'univers, puis on découvre des particules en série toujours plus petites, pratiquement à l'infini puisque on n'en voit jamais la fin.
On ne peut pas voir un corps si on ne le regarde pas. Si on regarde un coin de ciel sans étoiles par exemple, on ne voit que du noir, mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'ondes EM qui le traversent, ça veut juste dire qu'elles ne viennent pas vers nous. Ce que nous appelons contraction ou expansion de l'espace, c'est la contraction ou l'expansion de ces ondes EM: le fameux effet doppler spatial. L'espace, lui, n'est que la mesure de la distance entre deux corps vue de manière instantanée, c'est à dire comme s'il n'y avait aucun effet doppler entre eux, donc aucun mouvement, ce qui n'est pas la réalité puisque tout est en mouvement partout.C'est un système fractal de division du vide. Le vide étant le système en contraction de la structure de la réalité ..... qui s'éloigne de nous et qu'on ne voit pas, nous disons donc que c'est vide.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Le problème c'est qu'un atome est dans le même temps une particule physique et une onde.M'enfin a écrit:Bien sûr que mon modèle en tient compte, voyons, puisqu'il cherche à expliquer la masse.
- Si l'on a deux portes sur un mur, un corps humain passe l'une ou l'autre mais pas le deux à la foi.
- Si l'on dirige une source de lumière, c'est à dire photonique vers ces deux portes ouvertes, elle passe par les deux à la fois.
Un atome étant à la foi un corps physique et une onde a la particularité de passer par les deux portes en même temps. Mécaniquement ça change beaucoup de choses, autrement c'est du Playmobile. Au stade de l'atome nous sommes au delà de la logique élémentaire, je ne parle même pas du nuage de protons et d'électrons qui change de nature en fonction de l'observation que l'on veut d'eux.
Rio sur Seine- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1744
Localisation : Sud Ouest
Identité métaphysique : Bouddhiste
Humeur : ça dépend
Date d'inscription : 13/02/2012
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
N'as-tu pas réalisé que les petits pas se comportaient justement comme une onde, au point où il a fallu que je les nomme petits pas au lieu d'impulsions parce qu'on dit déjà "impulsions lumineuses" pour parler des ondes lumineuses? Je te rappelle que les petits pas en question sont exécutés par des sources lumineuses qui accélèrent et décélèrent au même rythme que les impulsions lumineuses qu'elles perçoivent et ce, afin d'annuler l'effet doppler éventuel.Rio sur Seine a écrit:Le problème c'est qu'un atome est dans le même temps une particule physique et une onde.M'enfin a écrit:Bien sûr que mon modèle en tient compte, voyons, puisqu'il cherche à expliquer la masse.
Avec les petits pas qu'ils exécutent, les atomes cherchent à annuler l'effet doppler tout en en provoquant, mais ce dont je parle moins parce que nous n'en sommes pas encore rendus là dans nos discussions ici, c'est que ces pas annulent aussi l'aberration lumineuse tout en provoquant le décalage transversal des sources, ce qui rend compte du mouvement transversal des sources les unes par rapport aux autres lors de leur reptation et permet, entre autre, d'expliquer le mouvement orbital sans avoir recours à la courbure de l'espace-temps. En accélérant pour annuler l'effet doppler cosmique, les sources accélèrent donc aussi pour annuler l'aberration, ce qui provoque cette impression que la lumière des étoiles est courbée par la présence du soleil, la fameuse courbure annoncée par Einstein et vérifiée très peu de temps après.Un atome étant à la foi un corps physique et une onde a la particularité de passer par les deux portes en même temps.
Quand nous observons les étoiles et que le soleil est de l'autre côté de la terre, les petits pas de la terre ne prennent pas la même direction que si le soleil était devant nous lors d'une éclipse parce qu'ils accélèrent à la fois par rapport aux étoiles et par rapport au soleil. De la même manière, si j'observe deux galaxies lointaines qui sont éloignées l'une de l'autre mais dont la lumière suit une trajectoire semblable par rapport à moi, la lumière la moins intense ne provoquera pas la même accélération que celle qui l'est plus, et les deux petits pas simultanés que mes atomes effectuent par rapport à ces deux lumières peut donner l'impression qu'elles sont alignées alors qu'elles ne le sont pas, ce qui provoque les zones d'interférence que les chercheurs attribuent à la courbure de la lumière de la plus lointaine galaxie car, dans leur idée, il s'agit de deux galaxies alignées.
Je suis convaincu que le phénomène de diffraction dont tu parles s'explique de la même manière, mais je n'ai pas encore réussi à l'expliquer aussi clairement que pour l'aberration et la courbure.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
J'avance, j'annule...Je "n'y entrave que dalle", mais c'est toujours du genre "Si tu avances quand je recule...". Sourire dans un froid digne du Canada : -5°, brouillard et givre...
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6875
Localisation : Bourgogne
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Copié-collé à partir du sujet "Le temps une onde"
Dans mon modèle de gravitation, les atomes accélèrent les uns envers les autres pour annuler l'effet doppler cosmique, celui que nous utilisons pour mesurer l'expansion du cosmos, et dans mon modèle de la masse inertielle, ils accélèrent et décélèrent à chaque impulsion lumineuse pour annuler l'effet doppler qu'ils causent eux-mêmes entre eux. Mais pour discuter de ce sujet, il faut se transporter [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sinon JP va m'étriper. C'est là que j'explique le principe des petits pas du mouvement inertiel et son corollaire, leur résistance à l'accélération: les deux seules propriétés de la masse inertielle.dedale a écrit:Que vient foutre l'effet doppler là-dedans? Où tu vois des ondes EM dans la gravitation?M'enfin a écrit:Des ondes EM envers lesquelles les atomes peuvent se déplacer pour annuler l'effet doppler, mais il faut d'abord que tu aies compris le principe des petits pas qui entretiennent le mouvement constant avant de comprendre ce que je veux dire à propos de la gravitation.dedale a écrit:Quel type d'info s'échange entre les corps soumis à gravitation.?
L'espace-temps courbe justifie la gravitation en général, donc il justifie aussi les trajectoires des satellites, ou celle d'une balle sur la terre, mais avec cette hypothèse, tout se passe comme si l'interaction était instantanée, alors qu'Einstein était parti de C comme prémisse. Avec son inversion du vecteur accélération et son nouveau champ de "charge", je trouve que Mathis explique difficilement la gravitation, et il n'explique pas du tout la masse inertielle. Mes petits pas ont l'avantage d'expliquer les deux en même temps.dedale a écrit:Ca n'a aucun rapport M'enfin. La masse de la terre n'est pas assez importante pour engendrer une courbure de l'espace-temps observable en termes d'astrophysique.Même s'il est en mesure de propager des ondes, l'espace ne freine pas le mouvement des corps comme le fait l'eau par exemple. Il a été démontré que le mouvement de la terre n'entraînait pas l'espace autour d'elle, alors pourquoi, inversement, l'espace entraînerait-il la terre?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Réponse à Dedale à propos des petits pas.
Imagine deux véhicules capables d'émettre des ondes de même fréquence, capables d'avancer par impulsions de même fréquence que les ondes qu'ils émettent, et programmés pour à la fois conserver leur fréquence propre et demeurer synchronisés ensembles. Ils sont immobiles l'un par rapport à l'autre et situés à un distance telle l'un de l'autre que l'un peut bouger et s'arrêter avant que l'autre ne perçoive de l'effet doppler. Si j'en bouge un premier en direction de l'autre, il va d'abord résister à son accélération pour pouvoir demeurer synchronisé avec l'autre, mais si j'arrive à le bouger quand même et que je le laisse aller, il va s'arrêter de bouger par lui-même pour retrouver son synchronisme avec l'autre. En avançant, il va produire de l'effet doppler en direction du deuxième, qui va lui-même avancer par petits pas à chaque impulsion ondulatoire en provenance du premier pour pouvoir demeurer synchronisé avec lui, puis il va s'arrêter quand il n'y aura plus d'effet doppler. En avançant, il aura produit de l'effet doppler en direction du premier, qui avancera lui aussi par petits pas dès qu'il le percevra pour demeurer synchronisé avec le deuxième. Une fois ce mouvement lancé, il ne s'arrêtera que si un obstacle se présente.
Ce mécanisme justifie à la fois la résistance à l'accélération et le mouvement constant qui suit une accélération, et ce sont là les deux seules propriétés de la masse. Quelles objections y vois-tu pour qu'il ne puisse pas s'appliquer aux atomes?
Imagine deux véhicules capables d'émettre des ondes de même fréquence, capables d'avancer par impulsions de même fréquence que les ondes qu'ils émettent, et programmés pour à la fois conserver leur fréquence propre et demeurer synchronisés ensembles. Ils sont immobiles l'un par rapport à l'autre et situés à un distance telle l'un de l'autre que l'un peut bouger et s'arrêter avant que l'autre ne perçoive de l'effet doppler. Si j'en bouge un premier en direction de l'autre, il va d'abord résister à son accélération pour pouvoir demeurer synchronisé avec l'autre, mais si j'arrive à le bouger quand même et que je le laisse aller, il va s'arrêter de bouger par lui-même pour retrouver son synchronisme avec l'autre. En avançant, il va produire de l'effet doppler en direction du deuxième, qui va lui-même avancer par petits pas à chaque impulsion ondulatoire en provenance du premier pour pouvoir demeurer synchronisé avec lui, puis il va s'arrêter quand il n'y aura plus d'effet doppler. En avançant, il aura produit de l'effet doppler en direction du premier, qui avancera lui aussi par petits pas dès qu'il le percevra pour demeurer synchronisé avec le deuxième. Une fois ce mouvement lancé, il ne s'arrêtera que si un obstacle se présente.
Ce mécanisme justifie à la fois la résistance à l'accélération et le mouvement constant qui suit une accélération, et ce sont là les deux seules propriétés de la masse. Quelles objections y vois-tu pour qu'il ne puisse pas s'appliquer aux atomes?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Mais les atomes sont une construction conceptuelle .Descends aux gluons et même au-delà et tu vois la matière devenir énergie ...cause première, diversement répartie entre entités actualisées macroscopiquement, mais où tout se tient par la barbichette . Oui: et après ? Philosophiquement, ça fait quoi ?
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
La matière de notre univers est sortit d'un endroit ou il y avait trop de matière et pas assez d'espace pour arriver dans notre espace ou il y à beaucoup de place libre encore.
De la même façon que des électrons peuvent traverser l'atmosphère pour descendre des nuages ou il y en à beaucoup pour aller sur terre ou il y en a moins, la matière de notre univers est sortit d'un trou noir engorgé par le trop plein et à traversé le non espace pour arriver dans notre espace qui était vide avant de se prendre un big bang dans son ventre mous, l'endroit le plus éloigné des noeuds.
La matière n'est pas de l'énergie en soi mais la manifestation d'une fuite d'énergie venant d'un univers plus énergétique que le notre et ayant traversé la frontière des espaces par l'attraction produite par la différence de potentiel.
La gravitation est le flux d'énergie qui se manifeste sous forme matérielle. Ce n'est pas la matière qui crée la gravitation, c'est la gravitation qui à engendré la matière.
De la même façon que des électrons peuvent traverser l'atmosphère pour descendre des nuages ou il y en à beaucoup pour aller sur terre ou il y en a moins, la matière de notre univers est sortit d'un trou noir engorgé par le trop plein et à traversé le non espace pour arriver dans notre espace qui était vide avant de se prendre un big bang dans son ventre mous, l'endroit le plus éloigné des noeuds.
La matière n'est pas de l'énergie en soi mais la manifestation d'une fuite d'énergie venant d'un univers plus énergétique que le notre et ayant traversé la frontière des espaces par l'attraction produite par la différence de potentiel.
La gravitation est le flux d'énergie qui se manifeste sous forme matérielle. Ce n'est pas la matière qui crée la gravitation, c'est la gravitation qui à engendré la matière.
Golem- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1888
Localisation : Soissons
Identité métaphysique : L'impossible réalisé.
Humeur : Toujours égale.
Date d'inscription : 21/02/2012
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Et si les deux dépendaient l'un de l'autre?Golem a écrit:Ce n'est pas la matière qui crée la gravitation, c'est la gravitation qui à engendré la matière.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Réponse à Oscillateur
Avec cette hypothèse, tout se mord la queue, mais tout fonctionne quand même. C'est en résistant au changement que nous changeons, et non seulement l'un ne va pas sans l'autre, mais l'un induit l'autre. Le plus surprenant dans cette hypothèse, c'est qu'elle signifie que le mouvement inertiel ne va pas de soi, qu'il possède son propre mécanisme, et puisque ce mécanisme est inhérent aux liaisons entre les particules, s'il existe vraiment, il pourrait expliquer un peu mieux les phénomènes qui concernent la dualité onde/particule.
Les seules lois qui entrent dans cette hypothèse sont celles qui concernent la masse et la lumière. Et pour ce qui est du principe de Match, je trouve que cette hypothèse l'appuie sans réserve, car elle implique que la masse gravitationnelle n'est pas seulement équivalente à la masse inertielle, mais que les deux masses proviennent exactement du même principe.
Avec cette hypothèse, tout se mord la queue, mais tout fonctionne quand même. C'est en résistant au changement que nous changeons, et non seulement l'un ne va pas sans l'autre, mais l'un induit l'autre. Le plus surprenant dans cette hypothèse, c'est qu'elle signifie que le mouvement inertiel ne va pas de soi, qu'il possède son propre mécanisme, et puisque ce mécanisme est inhérent aux liaisons entre les particules, s'il existe vraiment, il pourrait expliquer un peu mieux les phénomènes qui concernent la dualité onde/particule.
Les seules lois qui entrent dans cette hypothèse sont celles qui concernent la masse et la lumière. Et pour ce qui est du principe de Match, je trouve que cette hypothèse l'appuie sans réserve, car elle implique que la masse gravitationnelle n'est pas seulement équivalente à la masse inertielle, mais que les deux masses proviennent exactement du même principe.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Selon moi la notion inertielle remonte bien avant la notion de particule quantique et de ses interactions. Elle est inséparable de l'oscillateur stochastique 1D qui est le seul habilité à représenter le néant. Sa seule présence implique 3 acteurs inséparables: masse-espace-temps, et appelle la notion forte de dualité. C'est cette dualité intrinsèque de l'oscillateur dual qui permet d'annuler l'action dynamique. Le principe d'action nulle (PAN) n'est pas une hypothèse mais une contrainte incontournable (the first constraint).
Parler de "rien", de "vide" ou de "néant" ne veut absolument rien dire. Il faut être beaucoup plus précis !!
En revanche dire qu'une infinité d'oscillateurs 1D duaux, stochastiques, non connexes, forment l'état d'univers stochastique où la parfaite symétrie autour du point zéro de chacun respecte le PAN, est la seule solution envisageable pour expliquer et décrire (encore une dualité) un état précurseur permanent et fluctuant* ne possédant aucun écoulement de temps global (consolidé).
Dire ensuite que cette non connexité annulant l'expression du temps global (et du reste d'ailleurs) ouvre un champ de possibilités ,infini pour la combinatoire de mélange (ou superposition) des points zéro, se traduit par la probabilité unitaire (inexorable) d'avoir un nombre significatif d'oscillateurs en état de superposition des points zéro, est une contrainte physique incontournable, démontrable et démontrée.
Dire ensuite qu'il existe un phénomène de synchronisation universel entre oscillateurs bien au delà de la loi de Huygens (mécanique, électronique, quantique, moléculaire, biologique, cognitif, etc...) révélé par autant d'études qu'il y a de domaines scientifiques, n'est pas évident car chacune de ces études reste cloisonnée dans son domaine de prédilection.
Dire que cette synchronisation s'applique à l'univers duquel tout est issu me parait incontournable. Je dirais même plutôt que c'est de ce phénomène – créateur des constantes universelles {masse-espace-temps} – que provient toutes ces applications où l'on observe cette robuste tendance à la synchronisation.
Dire la dualité de l'univers s'exprime par les deux états {stochastique - quantique} et la transformation de l'un à l'autre passe par cette synchronisation alliée aux probabilités dans le cadre de la non connexité impliquant le non écoulement du temps, n'est pas une hypothèse, me parait incontournable.
Dire que cette synchronisation d'oscillateur-bosons amène la formation d'un immense condensat de Bose Einstein (BEC), est conforme à la connaissance que l'on a de ce phénomène.
Dire que la mitose de ce BEC fossile est incontournable car l'aléa ne saurait donner la bonne densité, est une contrainte incontournable.
Dire que cette mitose est fractale s'appuie sur de longues réflexions et surtout sur l'observation {locale + non locale}, est réel.
Dire que cette modalité fractale se révèle par plusieurs biais observationnels** qui donnent de suite l'explication de la cause de la gravitation et les équations quantitatives précises sur la base des constantes observables, est juste un tout petit résumé d'un long travail sur un modèle d'univers qui remplace la notion d'hypothèse par la notion de contrainte.
* fluctuant veut oscillant et implique des règles précises.
** j'ai vu dans ce forum des débats sur la suite de Fibonacci et son association à la mitose fractale (voir la reproduction des lapins). Je rajouterai qu'il n'y a pas de départ à zéro** mais une origine à l'unité et que le nombre d'Or associé impliquant, 8 et 5, est fondamental. On retrouve la cause de la règle octuple de Gell-Mann et la cinquième dimension du puits subquantique....La matérialisation physique de cette unité est justement le BEC fossile.
Parler de "rien", de "vide" ou de "néant" ne veut absolument rien dire. Il faut être beaucoup plus précis !!
En revanche dire qu'une infinité d'oscillateurs 1D duaux, stochastiques, non connexes, forment l'état d'univers stochastique où la parfaite symétrie autour du point zéro de chacun respecte le PAN, est la seule solution envisageable pour expliquer et décrire (encore une dualité) un état précurseur permanent et fluctuant* ne possédant aucun écoulement de temps global (consolidé).
Dire ensuite que cette non connexité annulant l'expression du temps global (et du reste d'ailleurs) ouvre un champ de possibilités ,infini pour la combinatoire de mélange (ou superposition) des points zéro, se traduit par la probabilité unitaire (inexorable) d'avoir un nombre significatif d'oscillateurs en état de superposition des points zéro, est une contrainte physique incontournable, démontrable et démontrée.
Dire ensuite qu'il existe un phénomène de synchronisation universel entre oscillateurs bien au delà de la loi de Huygens (mécanique, électronique, quantique, moléculaire, biologique, cognitif, etc...) révélé par autant d'études qu'il y a de domaines scientifiques, n'est pas évident car chacune de ces études reste cloisonnée dans son domaine de prédilection.
Dire que cette synchronisation s'applique à l'univers duquel tout est issu me parait incontournable. Je dirais même plutôt que c'est de ce phénomène – créateur des constantes universelles {masse-espace-temps} – que provient toutes ces applications où l'on observe cette robuste tendance à la synchronisation.
Dire la dualité de l'univers s'exprime par les deux états {stochastique - quantique} et la transformation de l'un à l'autre passe par cette synchronisation alliée aux probabilités dans le cadre de la non connexité impliquant le non écoulement du temps, n'est pas une hypothèse, me parait incontournable.
Dire que cette synchronisation d'oscillateur-bosons amène la formation d'un immense condensat de Bose Einstein (BEC), est conforme à la connaissance que l'on a de ce phénomène.
Dire que la mitose de ce BEC fossile est incontournable car l'aléa ne saurait donner la bonne densité, est une contrainte incontournable.
Dire que cette mitose est fractale s'appuie sur de longues réflexions et surtout sur l'observation {locale + non locale}, est réel.
Dire que cette modalité fractale se révèle par plusieurs biais observationnels** qui donnent de suite l'explication de la cause de la gravitation et les équations quantitatives précises sur la base des constantes observables, est juste un tout petit résumé d'un long travail sur un modèle d'univers qui remplace la notion d'hypothèse par la notion de contrainte.
* fluctuant veut oscillant et implique des règles précises.
** j'ai vu dans ce forum des débats sur la suite de Fibonacci et son association à la mitose fractale (voir la reproduction des lapins). Je rajouterai qu'il n'y a pas de départ à zéro** mais une origine à l'unité et que le nombre d'Or associé impliquant, 8 et 5, est fondamental. On retrouve la cause de la règle octuple de Gell-Mann et la cinquième dimension du puits subquantique....La matérialisation physique de cette unité est justement le BEC fossile.
oscillator- Sorti de l'oeuf
- Nombre de messages : 17
Localisation : grenoble
Identité métaphysique : laïque
Humeur : bonne
Date d'inscription : 22/03/2014
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Salut Oscillateur, et bienvenue dans mon fil sur la Reptation.
Tu sembles t'intéresser beaucoup aux maths reliées à la physique. Si c'est le cas, ça tombe pile, car c'est justement le côté obscur de ma thèse si je puis dire, parce qu'elle n'en contient pas pour l'instant, et que je n'ai pas l'intention de me remettre aux maths alors qu'il y a plein de matheux qui ne font que ça. J'attends qu'un mordu s'intéresse à ce que je propose et allonge quelques équations, histoire de voir de quoi il retourne avec ces petits pas imbriqués les uns dans les autres, parce que si leur application au mouvement inertiel va de soi pour moi, leur application à la gravitation est beaucoup plus difficile à visualiser.
Mais avant d'entreprendre de modéliser ce mécanisme, j'aimerais que tu me dises si tu le comprends.
Tu sembles t'intéresser beaucoup aux maths reliées à la physique. Si c'est le cas, ça tombe pile, car c'est justement le côté obscur de ma thèse si je puis dire, parce qu'elle n'en contient pas pour l'instant, et que je n'ai pas l'intention de me remettre aux maths alors qu'il y a plein de matheux qui ne font que ça. J'attends qu'un mordu s'intéresse à ce que je propose et allonge quelques équations, histoire de voir de quoi il retourne avec ces petits pas imbriqués les uns dans les autres, parce que si leur application au mouvement inertiel va de soi pour moi, leur application à la gravitation est beaucoup plus difficile à visualiser.
Mais avant d'entreprendre de modéliser ce mécanisme, j'aimerais que tu me dises si tu le comprends.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Très honnêtement je trouve qu'il y a des idées intéressantes mais la rigueur de l'expression fait beaucoup défaut et ne me permet pas de tout comprendre. Les mathématiques restent le meilleur moyen pour l'expression rigoureuse. Cependant quand elles manquent de prémisses physiques vraiment sérieuses , la redoutable efficacité des mathématiques est redoutable au sens où elle est assez puissante pour s'en passer. Cependant, sur des sujets aussi fondamentaux et de nature non locale, (naissance de l'univers), le surf analytique mène souvent à des voies spéculatives.
Je dirais en substance :
1/ Il faut aborder ce type de problème (la cause de l'inertie) dans le cadre du continuum {masse-espace-temps} et ce dans le cadre de la dualité {oscillateur-probabilité}.
2/ l'approche réductionniste (local) doit est confirmée par l'approche holiste (non locale).
Tous les mots ont un poids et je rappelle que la notion de "résistance" en la matière, devrait être remplacée par la notion d'impédance. L'impédance (mécanique ou électrique) est le contrepoint de la force (tension) dans tous les systèmes oscillants. Ce qui est vraiment fondamental se voit toujours aux limites. Par exemple, l'absence d'impédance Z = o amènerait v = infini.
Cependant tu approches un sujet très pointu comme l'auto-synchronisation. Il se trouve que c'est mon sujet de prédilection. On trouve dans les publications scientifiques, nombre d'applications dans différents domaines, qui relèvent tous de diverses extension modernes du principe (mécanique de Huygens).
- électronique
- quantique
- chimique
- biologie
- et même la cognition
Dans chacun des domaines, les spécialistes vantent l'universalité de ce phénomène de synchronisation. C'est également ce qui semble être le fond de ta réflexion.
Je crois être le seul (malheureusement pour l'instant) à consolider cette synchronisation universelle et l'appliquer à la naissance de l'univers non pas en posant une hypothèse mais en montrant qu'elle est une contrainte induite du fameux principe d'action nulle des oscillateurs duaux stochastiques.
Ainsi (c'est le mal du siècle) plusieurs spécialistes redécouvrent chacun dans leur domaine, la robustesse de la synchronisation mais personne ne fait le lien entre eux. Ce rôle de généraliste dinosaure n'est plus tenu que par quelques uns car la maladie du spécialiste nous a envahi. BOHM l'avait prédit surtout dans le domaine roi de la cosmologie.
Le CNRS, conscient du problème, a mis récemment en place un cellule "cosmos-particule". Las c'est constitué une flopée de spécialistes qui – comme dans tous les domaines – ne savent pas échanger horizontalement. Soyons clair, je ne cherche pas à me placer comme généraliste, je suis trop vieux pour cela. Je dis juste qu'il convient de rétablir une parité {généraliste-spécialiste}.
Je ne parle même pas des nombreux ouvrages de philosophie qui cherchent à nous alerter du règne des spécialistes.
J'ai plusieurs dizaines de publications scientifiques (hors comité de lecture car mes idées sont trop révolutionnaires) gravitant autour de ce sujet et j'ai publié un livre (un peu raide) en 2012. Je suis en train d'écrire un second livre plus didactique (sans équations) mais prenant référence au premier. Il m'est donc difficile de trop m'investir ailleurs Cependant je vais ouvrir un fil ici pour parler de la localité qui fait crise en physique fondamental. Heureusement je ne suis pas le seul à le dire.
J'aborderai ce fil sous l'angle de la localité. Pourquoi? C'est un problème global qui touche tous les domaines de l'univers et qui fait crise. Je vais montrer les malaises de la physique fondamentale et la remontée du dogmatisme (pas à pas). Heureusement chez les cosmologistes, ils restent une bonne fraction qui n'adhère pas au "calcule et tais-toi" de l'école de Copenhague. Cependant il reste pas mal de psychorigides dans les comités de lecture et à qui cette formule plait tout à fait. Il faut le dire au grand public.
Je dénoncerai ce qu'avait dénoncé d'ailleurs le grand Feynman à savoir la supercherie "standard" qui a conduit à un calcul des plus spéculatifs, de l'anomalie du moment magnétique de l'électron. Mais dénoncer sans résoudre n'est pas correct et je montrerai un calcul basé sur les mêmes prémisses physiques du modèle, plus clair et plus précis et surtout sans apport numérologique comme celui considéré comme standard.
Exit les hypothèses et la seule localité et bonjour les contraintes physiques et la non localité.
Je dirais en substance :
1/ Il faut aborder ce type de problème (la cause de l'inertie) dans le cadre du continuum {masse-espace-temps} et ce dans le cadre de la dualité {oscillateur-probabilité}.
2/ l'approche réductionniste (local) doit est confirmée par l'approche holiste (non locale).
Tous les mots ont un poids et je rappelle que la notion de "résistance" en la matière, devrait être remplacée par la notion d'impédance. L'impédance (mécanique ou électrique) est le contrepoint de la force (tension) dans tous les systèmes oscillants. Ce qui est vraiment fondamental se voit toujours aux limites. Par exemple, l'absence d'impédance Z = o amènerait v = infini.
Cependant tu approches un sujet très pointu comme l'auto-synchronisation. Il se trouve que c'est mon sujet de prédilection. On trouve dans les publications scientifiques, nombre d'applications dans différents domaines, qui relèvent tous de diverses extension modernes du principe (mécanique de Huygens).
- électronique
- quantique
- chimique
- biologie
- et même la cognition
Dans chacun des domaines, les spécialistes vantent l'universalité de ce phénomène de synchronisation. C'est également ce qui semble être le fond de ta réflexion.
Je crois être le seul (malheureusement pour l'instant) à consolider cette synchronisation universelle et l'appliquer à la naissance de l'univers non pas en posant une hypothèse mais en montrant qu'elle est une contrainte induite du fameux principe d'action nulle des oscillateurs duaux stochastiques.
Ainsi (c'est le mal du siècle) plusieurs spécialistes redécouvrent chacun dans leur domaine, la robustesse de la synchronisation mais personne ne fait le lien entre eux. Ce rôle de généraliste dinosaure n'est plus tenu que par quelques uns car la maladie du spécialiste nous a envahi. BOHM l'avait prédit surtout dans le domaine roi de la cosmologie.
Le CNRS, conscient du problème, a mis récemment en place un cellule "cosmos-particule". Las c'est constitué une flopée de spécialistes qui – comme dans tous les domaines – ne savent pas échanger horizontalement. Soyons clair, je ne cherche pas à me placer comme généraliste, je suis trop vieux pour cela. Je dis juste qu'il convient de rétablir une parité {généraliste-spécialiste}.
Je ne parle même pas des nombreux ouvrages de philosophie qui cherchent à nous alerter du règne des spécialistes.
J'ai plusieurs dizaines de publications scientifiques (hors comité de lecture car mes idées sont trop révolutionnaires) gravitant autour de ce sujet et j'ai publié un livre (un peu raide) en 2012. Je suis en train d'écrire un second livre plus didactique (sans équations) mais prenant référence au premier. Il m'est donc difficile de trop m'investir ailleurs Cependant je vais ouvrir un fil ici pour parler de la localité qui fait crise en physique fondamental. Heureusement je ne suis pas le seul à le dire.
J'aborderai ce fil sous l'angle de la localité. Pourquoi? C'est un problème global qui touche tous les domaines de l'univers et qui fait crise. Je vais montrer les malaises de la physique fondamentale et la remontée du dogmatisme (pas à pas). Heureusement chez les cosmologistes, ils restent une bonne fraction qui n'adhère pas au "calcule et tais-toi" de l'école de Copenhague. Cependant il reste pas mal de psychorigides dans les comités de lecture et à qui cette formule plait tout à fait. Il faut le dire au grand public.
Je dénoncerai ce qu'avait dénoncé d'ailleurs le grand Feynman à savoir la supercherie "standard" qui a conduit à un calcul des plus spéculatifs, de l'anomalie du moment magnétique de l'électron. Mais dénoncer sans résoudre n'est pas correct et je montrerai un calcul basé sur les mêmes prémisses physiques du modèle, plus clair et plus précis et surtout sans apport numérologique comme celui considéré comme standard.
Exit les hypothèses et la seule localité et bonjour les contraintes physiques et la non localité.
oscillator- Sorti de l'oeuf
- Nombre de messages : 17
Localisation : grenoble
Identité métaphysique : laïque
Humeur : bonne
Date d'inscription : 22/03/2014
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Dis-moi ce que tu ne comprends pas des petits pas entre les atomes, parce que si on veut aller plus loin, il faut d'abord se mettre d'accord sur leur possibilité.oscillator a écrit:Très honnêtement je trouve qu'il y a des idées intéressantes mais la rigueur de l'expression fait beaucoup défaut et ne me permet pas de tout comprendre.
Je n'aime pas l'amalgame espace-temps puisqu'il implique l'instantanéité, mais puisque les petits pas expliquent la masse, et qu'ils viennent du nécessaire synchronisme des particules, je préfèrerais l'amalgame {lumière-distance-synchronisme} pour le premier cadre. Et pour le deuxième, je suis partiellement d'accord avec ton choix, car pour briser le synchronisme des petits pas le temps d'une accélération, il me semble que le hasard doit être en cause quelque part au cœur des particules, de sorte qu'une fois le changement microscopique effectué, il se répercute ensuite à notre échelle, justifiant ainsi le mouvement inertiel que nous observons. En calcul, il s'agirait effectivement de probabilité, mais j'aime mieux utiliser le mot hasard dans mes discussions, car malgré la réticence de certains, ce terme me semble plus significatif. Quand au terme oscillateur, je le remplacerais par celui de reptation, un concept inédit qui explique le mouvement d'oscillation, mais aussi le mouvement inertiel et le mouvement gravitationnel. Pour le cadre de la dualité, j'opterais donc pour le duo {reptation-hasard}. Ceci dit, ce n'est pas sur des mots qu'il faut s'entendre si nous voulons progresser puisque nous semblons d'accord sur le fond, mais sur la possibilité des petits pas.Je dirais en substance :
1/ Il faut aborder ce type de problème (la cause de l'inertie) dans le cadre du continuum {masse-espace-temps} et ce dans le cadre de la dualité {oscillateur-probabilité}.
Toute ma thèse est basée sur la finitude de c, alors je n'ai pas de problème avec l'approche non-locale à condition qu'elle n'implique pas l'instantanéité. Quand à l'approche locale, la masse telle que je la décris ne peut pas être plus locale puisqu'elle vient du rapport direct entre deux particules liées, bien que pour elles, cette localité prenne vraisemblablement une toute autre dimension.2/ l'approche réductionniste (local) doit est confirmée par l'approche holiste (non locale).
On peut bien parler d'impédance au lieu de résistance si tu insistes, mais certains auront plus de difficulté à nous suivre. J'essaie de rendre ce que je dis le plus simple possible, pour que, quand j'assimile résistance à l'accélération et résistance au changement par exemple, la transposition se fasse plus facilement. Il faut dire que ma thèse concerne le changement, donc qu'elle s'applique à tout ce qui bouge, y compris à nous, humbles humains.Tous les mots ont un poids et je rappelle que la notion de "résistance" en la matière, devrait être remplacée par la notion d'impédance. L'impédance (mécanique ou électrique) est le contrepoint de la force (tension) dans tous les systèmes oscillants.
À la bonne heure, c'est déjà ça de pris!Cependant tu approches un sujet très pointu comme l'auto-synchronisation. Il se trouve que c'est mon sujet de prédilection....
Si ma thèse est juste, et s'il est possible de la modéliser, elle devrait nous aider à mieux comprendre les transitions entre les phénomènes, donc leurs débuts et leurs fins, ce qui fait qu'elle devrait t'être utile dans ta recherche.Dans chacun des domaines, les spécialistes vantent l'universalité de ce phénomène de synchronisation. C'est également ce qui semble être le fond de ta réflexion. Je crois être le seul (malheureusement pour l'instant) à consolider cette synchronisation universelle et l'appliquer à la naissance de l'univers non pas en posant une hypothèse mais en montrant qu'elle est une contrainte induite du fameux principe d'action nulle des oscillateurs duaux stochastiques.
Ma seule spécialité est l'imagination, le reste, j'aime bien l'apprendre sur le tas. C'est probablement cette caractéristique qui m'a fait découvrir cette possibilité.Ainsi (c'est le mal du siècle) plusieurs spécialistes redécouvrent chacun dans leur domaine, la robustesse de la synchronisation mais personne ne fait le lien entre eux. Ce rôle de généraliste dinosaure n'est plus tenu que par quelques uns car la maladie du spécialiste nous a envahi. BOHM l'avait prédit surtout dans le domaine roi de la cosmologie.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Réponse à Dedale au sujet de la matière noire.
Mon hypothèse au sujet de la matière noire, c'est que les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas. Comme pour tout mouvement périodique, pour connaître la période de rotation réelle d'une galaxie, il faut tenir compte de l'effet doppler. Puisque les galaxies sont considérées en éloignement, tenir compte de l'effet doppler signifie augmenter leur période de rotation. Autrement dit, puisque les scientifiques considèrent que les galaxies observées tournent trop lentement ils les accélèrent, alors que s'il ne les accéléraient pas elles tourneraient juste à la bonne vitesse. Selon moi, ce décalage spectral se produit chez les atomes eux-mêmes pendant que leur lumière voyage d'une galaxie à l'autre, et lorsque cette lumière atteint une galaxie, chaque atome appartenant à cette galaxie accélère sur chacune des impulsions lumineuses incidentes pour y demeurer synchronisé. Il accélère donc en direction des autres galaxies puisque c'est la seule manière pour lui d'annuler l'effet doppler. Voilà comment les petits pas entre les atomes justifient la gravitation.
Mon hypothèse au sujet de la matière noire, c'est que les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas. Comme pour tout mouvement périodique, pour connaître la période de rotation réelle d'une galaxie, il faut tenir compte de l'effet doppler. Puisque les galaxies sont considérées en éloignement, tenir compte de l'effet doppler signifie augmenter leur période de rotation. Autrement dit, puisque les scientifiques considèrent que les galaxies observées tournent trop lentement ils les accélèrent, alors que s'il ne les accéléraient pas elles tourneraient juste à la bonne vitesse. Selon moi, ce décalage spectral se produit chez les atomes eux-mêmes pendant que leur lumière voyage d'une galaxie à l'autre, et lorsque cette lumière atteint une galaxie, chaque atome appartenant à cette galaxie accélère sur chacune des impulsions lumineuses incidentes pour y demeurer synchronisé. Il accélère donc en direction des autres galaxies puisque c'est la seule manière pour lui d'annuler l'effet doppler. Voilà comment les petits pas entre les atomes justifient la gravitation.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Réponse à Dedale au sujet de la matière noire.
Mon hypothèse au sujet de la matière noire, c'est que les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas. Comme pour tout mouvement périodique, pour connaître la période de rotation réelle d'une galaxie, il faut tenir compte de l'effet doppler. Puisque les galaxies sont considérées en éloignement, tenir compte de l'effet doppler signifie augmenter leur période de rotation. Autrement dit, puisque les scientifiques considèrent que les galaxies observées tournent trop lentement ils les accélèrent, alors que s'il ne les accéléraient pas elles tourneraient juste à la bonne vitesse. Selon moi, ce décalage spectral se produit chez les atomes eux-mêmes pendant que leur lumière voyage d'une galaxie à l'autre, et lorsque cette lumière atteint une galaxie, chaque atome appartenant à cette galaxie accélère sur chacune des impulsions lumineuses incidentes pour y demeurer synchronisé. Il accélère donc en direction des autres galaxies puisque c'est la seule manière pour lui d'annuler l'effet doppler. Voilà comment les petits pas entre les atomes justifient la gravitation.
Tu te rappelles quand je disais qu'internet pullulait de pingouins qui nous remettent les sciences en question sans rien y connaître....
Je suis désolé d'être aussi désobligeant avec toi, parce que même au travers de l'écran froid et impersonnel de mon ordinateur, ta sympathie n'a aucun mal à transparaître.
Cependant, force est de constater que sur le plan de l'approche scientifique, dans le cadre des faits, tu es un fantaisiste.
Tu racontes absolument n'importe quoi.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5841
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Ai-je dis quelque chose d'inexact pour ce qui est des observations? Ou d'inexact en ce qui concerne le mécanisme proposé?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Réponse à JO.
Dans mon animation du début de ce fil, les deux atomes sont en mouvement inertiel, ils ne subissent aucun changement, et ils avancent l'un par rapport à l'autre suivant une règle stricte: ils doivent à tout prix demeurer synchronisés entre eux malgré la distance. Si je veux changer leur vitesse ou leur direction, je peux, mais je dois les désynchroniser durant ce temps. Pour retrouver leur synchronisme, ils devront conserver la vitesse et la direction que je leur ai donnée. Avec la reptation, on vois très bien comment, malgré la règle, le changement demeure possible, mais surtout comment, sans règle, le mouvement n'existerait pas.JO a écrit:Comment les lois universelles, immuables, sont-elles conciliables avec l'évolution toujours en mouvement ?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Ai-je dis quelque chose d'inexact pour ce qui est des observations?
Oui.
Mon hypothèse au sujet de la matière noire, c'est que les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas.
Comme pour tout mouvement périodique, pour connaître la période de rotation réelle d'une galaxie, il faut tenir compte de l'effet doppler.
Dans tes propos, je n'ai rien vu qui expliquait la matière noire alors que tu sembles parti pour avancer une hypothèse.
A mon avis, là, tu confonds plusieurs choses.
1 - Le redshift, ou décalage vers le rouge de l'ensemble du spectre, lorsqu'on observe l'univers visible dans son ensemble.
Ce décalage de l'ensemble du spectre vers les grandes longueurs d'ondes n'est pas, à proprement dit, lié à l'effet Doppler-Fizeau.
C'est un effet de l'expansion de l'univers qui tient de la Relativité et du phénomène de dilatation de l'espace.
2 - Puis il y a le décalage comprenant aussi bien le redshift pour les objets qui s'éloignent que le blueshift pour les objets qui se rapprochent, qui lui, est lié à l'effet Doppler-Fiseau.
Dans notre référentiel, certains objets s'éloignant mais d'autres se rapprochent, et cela indépendamment de l'expansion globale.
Ce décalage partant du bleu vers le rouge est lié à l'effet Doppler-Fizeau.
les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas
Ca,,je ne vois pas comment tu peux le démontrer. Tu es obligé de tout remettre en question : Aussi bien la loi de conservation de l'énergie;, la thermodynamique que l'effet doppler lui-même.
De plus, ça sous-entend quoi : Que l'univers est stationnaire? Ou que les corps entre eux ont toujours la même distance?
Il y a décalage en raison d'une mobilité et d'une vitesse d'éloignement/rapprochement des corps.
Puisque les galaxies sont considérées en éloignement, tenir compte de l'effet doppler signifie augmenter leur période de rotation.
La rotation d'une galaxie est définie selon la trajectoire et la vitesse des étoiles par rapport au centre de la galaxie.
C'est peut être un peu compliqué : Il faut d'abord regrouper les étoiles en fonction de leur spectre, en les différenciant de la luminosité totale de la galaxie.
Cela permet d'établir des positions, lesquelles conduisent à des courbes trajectographiques.
Autrement dit, puisque les scientifiques considèrent que les galaxies observées tournent trop lentement ils les accélèrent
Première nouvelle. Si tu veux parler du facteur de dilatation temporelle, tu sauras que c'est parfaitement maîtrisé. C'est de la relativité.
Il suffit d'aller sur wiki : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
- sommaire 3.2 : calcul relativiste rapide.
alors que s'il ne les accéléraient pas elles tourneraient juste à la bonne vitesse.
Le mouvement et la vitesse du référentiel combiné à celui de l'objet observé font que toutes les vitesses sont altérées.
Sans ce phénomène, il n'y aurait aucun besoin du Doppler-Fizeau.
Selon moi, ce décalage spectral se produit chez les atomes eux-mêmes pendant que leur lumière voyage d'une galaxie à l'autre, et lorsque cette lumière atteint une galaxie, chaque atome appartenant à cette galaxie accélère sur chacune des impulsions lumineuses incidentes pour y demeurer synchronisé. Il accélère donc en direction des autres galaxies puisque c'est la seule manière pour lui d'annuler l'effet doppler. Voilà comment les petits pas entre les atomes justifient la gravitation.
Sauf que les atomes n'accélèrent pas particulièrement en direction des autres galaxies, sauf bien entendu s'ils sont pris dans l'attraction de l'objet je suppose. Les galaxies s'éloignent les unes des autres.
Il n'y a pas d'annulation de l'effet doppler, même pas sur le plan local de la physique classique : Dès l'instant où l'on étudie des ondes reçues dans un système où les éléments sont mobiles, il y a effet Doppler.
Mais l'effet Doppler ne concerne pas les atomes, il concerne seulement celui qui mesure les fréquences de ces ondes, établit des spectres afin de déterminer des vitesses, des distances, des masses, pour celui qui transforme l'onde en information.
L'effet doppler est un effet de propagation.
C'est comme si tu mesures la luminosité d'une bougie à 10m, 50m, 100m, 1km : Toi, tu reçois une luminosité de plus en plus faible, mais celle de la bougie ne change pas. Il y a donc un décalage (vers le moins) de cette luminosité selon ta position, ton éloignement. C'est de la relativité. Très restreinte dans cet exemple.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5841
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Alors c'est que je me suis mal fait comprendre, car ce que je postule, c'est que le décalage spectral observé ne soit pas causé par une expansion macroscopique, mais par une accumulation de petits décalages inhérents à l'imbrication des petits pas des particules lors du mouvement constant des corps auxquels elles appartiennent. Si ce décalage spectral n'est pas causé par une expansion, il ne faut donc pas en tenir compte dans les calculs de rotation des galaxies, alors que les chercheurs en tiennent compte. L'hypothèse de la matière noire est basée sur ce calcul: si les galaxies tournent trop vite, c'est parce qu'elles sont supposées plus massives que prévu. Mais si elles tournent à la bonne vitesse comme mon hypothèse le suggère, il ne faudrait pas tenir compte du décalage spectral dans les calculs, mais seulement d'un éventuel effet doppler si elles se déplacent pour vrai, ce qui devrait donner des vitesses orbitales normales pour les étoiles observées.dedale a écrit:Dans tes propos, je n'ai rien vu qui expliquait la matière noire alors que tu sembles parti pour avancer une hypothèse.
Je ne confond pas effet doppler et dilatation, mais les chercheurs utilisent le même calcul pour les deux décalages dans leur mesure de la vitesse de rotation des galaxies. Quelque soit le genre de mouvement, il a toujours le même effet sur les horloges, et les galaxies en rotation battent la même mesure que toutes les horloges.A mon avis, là, tu confonds plusieurs choses.
Voilà où je me suis mal exprimé, parce que je suis affirmatif alors j'aurais dû préciser qu'il s'agissait d'une hypothèse.Dedale a écrit:Ça, je ne vois pas comment tu peux le démontrer.les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas
Ce que je remets en question, c'est uniquement la manière de concevoir le mouvement inertiel. Ça ne change rien aux lois de conservation, et encore moins à l'effet doppler puisque c'est justement de lui que dépend cette conservation.Tu es obligé de tout remettre en question : Aussi bien la loi de conservation de l'énergie, la thermodynamique que l'effet doppler lui-même.
Pas nécessairement, il faudrait faire les calculs, mais l'accélération que nous supposons pourrait certainement être oubliée, et l'énergie sombre qui vient avec aussi.De plus, ça sous-entend quoi : Que l'univers est stationnaire?
Encore là, je sais tout ça! Ce dont je parle, c'est de l'effet virtuel que le mouvement inertiel a sur les horloges en mouvement: il les ralentit si elles s'éloignent, et les accélère si elles se rapprochent. Et puisque les galaxies sont supposées s'éloigner, leur mouvement les ralentit virtuellement, de sorte que les calculs les accélèrent, leur donnant ainsi une vitesse de rotation caculée plus rapide que celle que leur masse normale ne le permettrait, d'où l'ajout de la matière noire pour justifier qu'elles ne s'éparpillent pas dans l'espace.Dedale a écrit:La rotation d'une galaxie est définie selon la trajectoire et la vitesse des étoiles par rapport au centre de la galaxie.Puisque les galaxies sont considérées en éloignement, tenir compte de l'effet doppler signifie augmenter leur période de rotation.
Malgré leur vitesse d'éloignement, les galaxies demeurent nécessairement en mouvement orbital les unes avec les autres, et les mesures faites sur la rotation des super amas de galaxies le démontre. Quand deux corps gravitent l'un autour de l'autre, le calcul montre que ce sont bel et bien leurs atomes qui accélèrent les uns envers les autres: chaque atome appartenant à un des corps accélère régulièrement par rapport à tous les autres atomes appartenant à l'autre corps, et la grandeur de cette accélération dépend de la distance qu'il a par rapport chacun de ces atomes, de sorte que le calcul permet d'utiliser le centre de masse pour connaître l'accélération totale des deux corps. Tout ce que je fais, c'est de remplacer nos calculs par ceux que les atomes font individuellement pour demeurer coordonnés entre eux, car ils font nécessairement exactement les mêmes calculs que nous.Dedale a écrit:Sauf que les atomes n'accélèrent pas particulièrement en direction des autres galaxies, sauf bien entendu s'ils sont pris dans l'attraction de l'objet je suppose. Les galaxies s'éloignent les unes des autres.Selon moi, ce décalage spectral se produit chez les atomes eux-mêmes pendant que leur lumière voyage d'une galaxie à l'autre, et lorsque cette lumière atteint une galaxie, chaque atome appartenant à cette galaxie accélère sur chacune des impulsions lumineuses incidentes pour y demeurer synchronisé. Il accélère donc en direction des autres galaxies puisque c'est la seule manière pour lui d'annuler l'effet doppler. Voilà comment les petits pas entre les atomes justifient la gravitation.
Il y a pourtant annulation de la radiation par les électrons si un corps n'est ni accéléré ni excité, une annulation qui demeure inexplicable en théorie malgré les spéculations à cet effet. Les petits pas qui causent le mouvement inertiel annulent parfaitement le décalage temporel, mais ils ne l'annulent plus quand ils sont accélérés ou excités par une lumière externe, ce qui correspond justement à ce que nous observons. De plus, l'accélération d'un corps lors de sa gravitation a lieu exactement dans le sens de l'annulation du décalage spectral observé.Il n'y a pas d'annulation de l'effet doppler, même pas sur le plan local de la physique classique
Considérer que la lumière ne sert qu'à nos observations est on ne peut plus anthropocentrique. Nous utilisons l'effet doppler pour mesurer le mouvement des étoiles, mais nous n'accordons pas aux atomes la capacité de s'en servir pour eux-mêmes, pourtant, ce sont eux qui produisent la lumière, et ce sont eux que nous utilisons pour mesurer cet effet. Si leur spectre n'était pas si parfaitement constant, nous ne pourrions pas mesurer le mouvement des galaxies. Comment ce spectre aurait-il fait pour demeurer si parfaitement constant sans un mécanisme pour en assurer la constance? Les horloges atomiques sont précises, mais pas pour plusieurs milliers d'années. Par contre, si elles communiquent entre elles à mesure qu'elles s'éloignent l'une de l'autre, elles conserveront leur synchronisme. C'est ce que nous sommes forcés de faire pour les horloges du GPS, et je crois que c'est aussi ce que les atomes font, mais puisqu'ils ne peuvent pas modifier leur fréquence comme telle quand ils perçoivent de l'effet doppler sous peine de se désajuster par rapport à d,autres atomes, ils se déplacent simultanément pour l'annuler dans toutes les directions, ce qui produirait leur mouvement inertiel quand ils font partie d'une molécule, et ce qui produirait leur gravitation quand ils sont éloignés.Mais l'effet Doppler ne concerne pas les atomes, il concerne seulement celui qui mesure les fréquences de ces ondes, établit des spectres afin de déterminer des vitesses, des distances, des masses, pour celui qui transforme l'onde en information.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Malgré leur vitesse d'éloignement, les galaxies demeurent nécessairement en mouvement orbital les unes avec les autres
Globalement, il ne semble pas, non.
et les mesures faites sur la rotation des super amas de galaxies le démontre.
Les groupes, les amas, stellaires, galactiques, sont des systèmes avec des centres de gravitation.
Encore là, je sais tout ça! Ce dont je parle, c'est de l'effet virtuel que le mouvement inertiel a sur les horloges en mouvement: il les ralentit si elles s'éloignent, et les accélère si elles se rapprochent. Et puisque les galaxies sont supposées s'éloigner, leur mouvement les ralentit virtuellement, de sorte que les calculs les accélèrent, leur donnant ainsi une vitesse de rotation caculée plus rapide que celle que leur masse normale ne le permettrait, d'où l'ajout de la matière noire pour justifier qu'elles ne s'éparpillent pas dans l'espace.
Bon d'accord, c'est à peu près ça, oui. C'est même encore plus simple je dirais.
Il y a un problème vitesse de rotation / masse visible au vu de la théorie de la gravitation universelle : la vitesse de rotation observée indique que la masse visible est inférieure à la masse totale.
Pas nécessairement, il faudrait faire les calculs, mais l'accélération que nous supposons pourrait certainement être oubliée, et l'énergie sombre qui vient avec aussi.
L'accélération est observable.
Mais la matière noire censée compenser le rapport masse visible / masse totale, qui doit être obligatoirement de 1 (masse visible = masse totale), est une hypothèse.
Ca ne change rien aux vitesses observées, estimée ou calculées.
Mais ça change tout au niveau de la théorie newtonienne.
Voilà où je me suis mal exprimé, parce que je suis affirmatif alors j'aurais dû préciser qu'il s'agissait d'une hypothèse.Ça, je ne vois pas comment tu peux le démontrer.les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas
Peut être, mais si c'est une hypothèse, alors elle est fausse, puisque les faits la contredisent.
Ce que je remets en question, c'est uniquement la manière de concevoir le mouvement inertiel. Ça ne change rien aux lois de conservation, et encore moins à l'effet doppler puisque c'est justement de lui que dépend cette conservation.
Si tu penses que le décalage spectral n'est pas la conséquence d'une vitesse (radiale) d'éloignement, alors tu remets nécessairement tout en question.
et encore moins à l'effet doppler puisque c'est justement de lui que dépend cette conservation.
C'est le contraire. Lorsque les vitesses de rotations augmentent par exemple, la profondeur des raies spectrales diminue.
Il y a pourtant annulation de la radiation par les électrons si un corps n'est ni accéléré ni excité
Cette radiation n'est pas l'effet doppler. L'effet doppler c'est ce qui permet de mesurer la cinétique de ce rayonnement électronique - quand il a lieu bien sûr.
je continuerais
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5841
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Considérer que la lumière ne sert qu'à nos observations est on ne peut plus anthropocentrique.
Ce n'est pas du tout ça.
L'effet doppler est le produit de mesures effectuées sur les ondes.
La mesure rationnelle, paramétrée, effectuée dans un langage raisonné et articulé, est un principe propre à la pensée humaine.
Nous utilisons l'effet doppler pour mesurer le mouvement des étoiles, mais nous n'accordons pas aux atomes la capacité de s'en servir pour eux-mêmes, pourtant, ce sont eux qui produisent la lumière, et ce sont eux que nous utilisons pour mesurer cet effet.
Est-ce que tu parviens à utiliser l'effet doppler pour toi-même?
Comment ce spectre aurait-il fait pour demeurer si parfaitement constant sans un mécanisme pour en assurer la constance?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Les horloges atomiques sont précises, mais pas pour plusieurs milliers d'années. Par contre, si elles communiquent entre elles à mesure qu'elles s'éloignent l'une de l'autre, elles conserveront leur synchronisme. C'est ce que nous sommes forcés de faire pour les horloges du GPS, et je crois que c'est aussi ce que les atomes font, mais puisqu'ils ne peuvent pas modifier leur fréquence comme telle quand ils perçoivent de l'effet doppler sous peine de se désajuster par rapport à d,autres atomes, ils se déplacent simultanément pour l'annuler dans toutes les directions, ce qui produirait leur mouvement inertiel quand ils font partie d'une molécule, et ce qui produirait leur gravitation quand ils sont éloignés.
1 - je ne vois pas ce que la molécule vient faire là.
2 - Et je ne vois pas non plus ce que viennent faire les horloges atomiques.
3 - Comment les atomes peuvent-ils percevoir l'effet doppler?
4 - Est-ce que l'hypothèse d'un ajustement des atomes se tient en milieu fluidique, dans un état désordonné?
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5841
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Ce qui est observable, c'est le décalage spectral, l'accélération est seulement une interprétation, mais malheureusement, le calcul de la matière noire en dépend.dedale a écrit:L'accélération est observable.Pas nécessairement, il faudrait faire les calculs, mais l'accélération que nous supposons pourrait certainement être oubliée, et l'énergie sombre qui vient avec aussi.
Ce sont les interprétations qui la contredisent, pas les observations.Dedale a écrit:Peut être, mais si c'est une hypothèse, alors elle est fausse, puisque les faits la contredisent.Voilà où je me suis mal exprimé, parce que je suis affirmatif alors j'aurais dû préciser qu'il s'agissait d'une hypothèse.Dedale a écrit:Ça, je ne vois pas comment tu peux le démontrer.les scientifiques prennent pour acquis que le décalage spectral est causé par un mouvement d'éloignement, alors qu'il ne l'est pas
Quand nous mesurons le mouvement des étoiles, nous comparons leur lumière et celle d'atomes identiques pris ici, et nous faisons une analyse spectrale précise avec un spectromètre. C'est la différence de fréquence observée qui nous permet de calculer leur vitesse. Dans ce processus, nous prenons de la lumière émise par des atomes il y a plusieurs années, que nous comparons à la lumière émise par les mêmes atomes ici, parce que nous prenons pour acquis que leur spectre est constant avec le temps. Les deux lumières sont émises par des atomes, pas par nous. Ce que je propose, c'est que les atomes puissent se servir de leur propre lumière pour demeurer synchronisés entre eux malgré la distance, ce qui expliquerait la constance de leur spectre.Dedale a écrit:Ce n'est pas du tout ça. L'effet doppler est le produit de mesures effectuées sur les ondes. La mesure rationnelle, paramétrée, effectuée dans un langage raisonné et articulé, est un principe propre à la pensée humaine.Considérer que la lumière ne sert qu'à nos observations est on ne peut plus anthropocentrique.
Non, parce que je ne produis pas de lumière, et que je n'ai pas développé d'utilisation pour ce genre d'information, mais ce que je crois, c'est que les atomes bougent parce qu'ils ont acquis la capacité de se déplacer selon l'effet doppler qu'ils perçoivent.Dedale a écrit:Est-ce que tu parviens à utiliser l'effet doppler pour toi-même?Nous utilisons l'effet doppler pour mesurer le mouvement des étoiles, mais nous n'accordons pas aux atomes la capacité de s'en servir pour eux-mêmes, pourtant, ce sont eux qui produisent la lumière, et ce sont eux que nous utilisons pour mesurer cet effet.
Que le spectre et la masse soient conservés n'explique pas pourquoi ils le sont. Ce que nous appelons une loi n'en est pas une, c'est une constatation. Une loi nécessite une formulation mathématique, comme le principe d'action-réaction par exemple, ou celui de l'effet l'effet doppler justement, ou encore celui de la gravitation. Ce que je propose, c'est une explication.
Les deux atomes de mon animation font partie d'une même molécule, et leurs petits pas justifient son mouvement inertiel. Si nous voyons les corps moléculaires bouger à notre échelle, c'est que leurs atomes procèderaient par petits pas pour justifier leur mouvement.Dedale a écrit:1 - je ne vois pas ce que la molécule vient faire là.Les horloges atomiques sont précises, mais pas pour plusieurs milliers d'années. Par contre, si elles communiquent entre elles à mesure qu'elles s'éloignent l'une de l'autre, elles conserveront leur synchronisme. C'est ce que nous sommes forcés de faire pour les horloges du GPS, et je crois que c'est aussi ce que les atomes font, mais puisqu'ils ne peuvent pas modifier leur fréquence comme telle quand ils perçoivent de l'effet doppler sous peine de se désajuster par rapport à d'autres atomes, ils se déplacent simultanément pour l'annuler dans toutes les directions, ce qui produirait leur mouvement inertiel quand ils font partie d'une molécule, et ce qui produirait leur gravitation quand ils sont éloignés.
De la même manière que nous: en comparant leur spectre à celui des autres atomes semblables à eux, et puisqu'ils sont très rapprochés quand ils font partie d'une molécule, ils peuvent créer une liaison forte, ce qui a pour effet de créer des petits pas quand ils sont accélérés.3 - Comment les atomes peuvent-ils percevoir l'effet doppler?
J'imagine que tu veux parler de plasma. Dans mon principe, les pas entre les particules sont imbriqués les uns dans les autres: les pas entre les atomes sont justifiés pas les nombreux petits pas entre leurs composants, qui sont eux-mêmes justifiés par ceux entre leurs propres composants, ...etc. Je ne sais pas si tu peux le voir, mais ce principe explique la perte de masse au profit de la liaison, car avec la Reptation, la résistance à l'accélération dépend de la relation entre les particules, et non des particules elles-mêmes.4 - Est-ce que l'hypothèse d'un ajustement des atomes se tient en milieu fluidique, dans un état désordonné?
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
Et elles disent quoi les observations ?M'enfin a écrit:Ce sont les interprétations qui la contredisent, pas les observations.
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Page 18 sur 40 • 1 ... 10 ... 17, 18, 19 ... 29 ... 40
Sujets similaires
» L'universalité de la résistance au changement pourrait-elle provenir d'une même cause?
» Une piste qui pourrait aboutir à une validation scientifique de l'homéopathie
» Comment votre pensée croit-elle qu'elle fonctionne?
» "Dune" de Jodorowsky
» Un Pape pourrait-il être marié ?
» Une piste qui pourrait aboutir à une validation scientifique de l'homéopathie
» Comment votre pensée croit-elle qu'elle fonctionne?
» "Dune" de Jodorowsky
» Un Pape pourrait-il être marié ?
Page 18 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum