POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
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Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ?
Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
sandouX a écrit:le suiciderMagnus a écrit:Oser éliminer quelqu'un", c'est l'éliminer contre son gré !
Or le patient doit faire des demandes répétées.
Le suicide assisté, c’est une liberté individuelle, c'est le malade lui-même qui en est l’auteur, mais qui demande "l’assistance du médecin".
Cette forme d'euthanasie active doit être nettement distinguée du suicide accompli pour d’autres raisons. Le suicide, n’étant plus aujourd’hui considéré par la loi comme un acte criminel, pourquoi dès lors criminaliser "l’aide au suicide" à des personnes en fin de vie, surtout s’il s’agit de personnes qui n’ont plus la capacité physique de se donner elles-mêmes la mort ?
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Pour répondre à Ladysan, l'incitation au suicide serait interdite en France et ne coïncide pas avec ce qui est fait à propos de la prévention du suicide
L'aide médicalisée au suicide pourrait manipuler des esprits faibles ( c'est ce qu'on trouve sur le web comme argument pro-vie ) ...
L'aide médicalisée au suicide pourrait manipuler des esprits faibles ( c'est ce qu'on trouve sur le web comme argument pro-vie ) ...
Invité- Invité
Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
bulle a écrit:Faux.
L'article L1111-4 du code de la santé que tu cites tronqué stipule très exactement que la volonté du malade est respectée dans le cas où il décide d'interrompre un traitement. Et seulement dans ce cas.
Non, dans le cas ou le patient refuse l'arrêt du traitement puisque tu disais que dans la loi Léonetti, le médecin était décisionnaire.
Ce n'est pas un passage tronqué. Je ne sais pas qui s'amuserait à tronquer des articles parlementaires surtout avec l'en tête de l'assemblée nationale
http://www.assemblee-nationale.fr/14/rapports/r0970.asp
1. L’arrêt des traitements
Pour les patients qui peuvent exprimer leur volonté, la situation peut être délicate si le médecin estime que la poursuite des traitements relèverait de l’obstination déraisonnable, tandis que le malade refuse l’arrêt des traitements. Cette situation est cependant exceptionnelle. L’article L. 1111-4 du code de la santé publique dispose que « toute personne prend, avec le professionnel de santé (…) les décisions concernant sa santé » et que « le médecin doit respecter la volonté de la personne, après l’avoir informée des conséquences de ses choix ». C’est donc la volonté de la personne qui prime. En pratique, les désaccords se résolvent par le dialogue entre le médecin et le patient.
bulle a écrit:
J'ai répondu à ta remarque "Si dans les pays pauvres, les soins sont couteux pour le malade, dans les pays riches l'euthanasie peut aussi être une excellente solution pour l'état d'alléger les dépenses de santé." donc à une comparaison entre deux situations : pays pauvres vs pays riches que les pays riches n'attendaient pas après une loi de dépénalisation de l'euthanasie pour réduire les dépenses de santé.
Je n'avais pas vu de comparaison entre les pays pauvres et riches. Alors, je précisais seulement que l'euthanasie était une solution encore plus "interessante" que la loi Leonetti.
Mais le forfait hospitalier c'est la sécu qui paie !! Il rapporte à l'hopital bien sur, mais c'est un gouffre pour la sécurité sociale qui est l'état. Et c'est pour ça que les gouvernements on tout interet en la légalisation de l'euthanasie et en France on y viendra et on fera passer ça exclusivement sur les sacro-saintes raison de la souffrance, de l'amour et du respect de la personne concernant ses volontés.bulle a écrit:
où le malade n'a plus ni alimentation, ni hydratation jusqu'à ce que mort s'en suive, alors que lui seront néanmoins facturés le forfait hospitalier, voire la chambre particulière. Autrement dit l'euthanasier passif ne coûte pas, il rapporte.
sandouX- Sorti de l'oeuf
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Tu devrais te renseigner avant de dire n'importe quoi...sandouX a écrit:
Mais le forfait hospitalier c'est la sécu qui paie !! Il rapporte à l'hopital bien sur, mais c'est un gouffre pour la sécurité sociale qui est l'état. Et c'est pour ça que les gouvernements on tout interet en la légalisation de l'euthanasie et en France on y viendra et on fera passer ça exclusivement sur les sacro-saintes raison de la souffrance, de l'amour et du respect de la personne concernant ses volontés.
"Le forfait hospitalier représente la participation financière du patient aux frais d'hébergement et d'entretien entraînés par son hospitalisation. Il est dû pour chaque journée d'hospitalisation, y compris le jour de sortie."
Source Ameli.fr
Très forte pour faire de la désinformation, mais dans quel but exactement ?!
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Cervantes
Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Encore un fois je te parle de la loi Léonetti pas d'un rapport qu'il aurait pu faire 8 ans après où Léonetti défendait en fait l'inutilité d'une loi supplémentaire et commentait le rapport Sicard ! il est question dans cet article de loi, le L111-4 du refus de traitement et pas du refus de l'arrêt du traitement.sandouX a écrit:Non, dans le cas ou le patient refuse l'arrêt du traitement puisque tu disais que dans la loi Léonetti, le médecin était décisionnaire.bulle a écrit:Faux.
L'article L1111-4 du code de la santé que tu cites tronqué stipule très exactement que la volonté du malade est respectée dans le cas où il décide d'interrompre un traitement. Et seulement dans ce cas.
Rapport Sicard, entre parenthèse, où certains témoignages soulignent et précisent que les directives anticipées sont consultatives pas plus. Ce que la nouvelle loi devrait rectifier, si mes souvenirs sont bons.
Depuis quand les plaidoiries deviennent-elles des loi ?
Que ce soit toi ou Pierre ou Paul, l'article L111-4 du code de la santé est bel et bien tronquéCe n'est pas un passage tronqué. Je ne sais pas qui s'amuserait à tronquer des articles parlementaires surtout avec l'en tête de l'assemblée nationale
Faux, encore une fois : "Le forfait hospitalier représente la participation financière du patient aux frais d'hébergement et d'entretien entraînés par son hospitalisation. Il est dû pour chaque journée d'hospitalisation, y compris le jour de sortie." SourceMais le forfait hospitalier c'est la sécu qui paie !!
Avec des prémisses fausses on peut effectivement arriver à la conclusion que l'on souhaite. Et ce qui est remarquable c'est que ta conclusion te tire une autre balle dans le pied, car si comme tu le dis "les gouvernements [avaient] tout intérêt en la légalisation de l'euthanasie", il y a belle lurette que ce serait fait...Et c'est pour ça que les gouvernements on tout interet en la légalisation de l'euthanasie
L'amour n'a rien à voir là dedans : le respect de la personne concernant ses volontés a par contre tout à voir...et en France on y viendra et on fera passer ça exclusivement sur les sacro-saintes raison de la souffrance, de l'amour et du respect de la personne concernant ses volontés.
Il est une catégorie de personnes qui estiment que l'être humain a le droit de décider du jour de sa mort à la place de dieu et qu'il est normal de l'aider médicalement dans des conditions très précises de souffrance physique ou psychologiques impossibles à gérer. Et il y a les autres... qui ne réclament que le respect des volontés testamentaires concernant les biens...
Chacun est libre pour soi bien entendu. Mais je ne vois toujours pas à quel titre et selon quels arguments (autre que les sempiternels faux arguments pro-vie, reconditionnés ou pas) la décision personnelle de A devrait s'imposer à B...
Une loi de dépénalisation de l'euthanasie telle que la loi Belge n'impose rien à personne. Refuser une telle loi impose le prolongement des souffrances et le triste constat que, pour certains, l'humain vaut moins que son animal domestique préféré...
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Bulle a écrit:
L'expression "programmer la mort" sans souligner que le décisionnaire est le principal intéressé ressemble à un argumentum ad metum et me gêne.
Ciel ! Tu m’envoie chercher des mots en latin et je trouve « appel à la terreur » est un raisonnement fallacieux dans lequel une personne tente de créer l'approbation d'une proposition en utilisant des menaces ou des peurs existantes.
Ah bah non, je ne veux pas te terroriser! Et puis tu m’as pas l’air si facile que ça à intimider, et tant mieux.
Un accouchement programmé, c’est terrorisant aussi ?
Pour moi c’est juste l’idée que l’homme prend les devants. Il ne s’en remet pas au destin pour des choses qui ont été durant des siècles hors de notre contrôle. Bon, moi ça m’effraie un peu (je ne veux pas terroriser les autres pour autant) Mais j’en fais pas une maladie. Et puis la technologie et l’émancipation de l’homme face à la nature sont en route. Je crois que je ne peux que le constater, je ne sais même pas, très honnêtement s’il faut en penser du bien ou du mal.
Bulle a écrit:
Je ne permettrai à personne de mettre en doute la qualité de l'accompagnement qui a entouré les personnes en fin de vie de mon entourage.
Tu me fais rire Bulle ! On me reproche d’être susceptible mais je crois que tu me bats à plate coutures. Je ne pense aucun mal de la façon dont tu accompagnes ton entourage, promis.
D’accord, j’entends ton argument, la souffrance ne dépend pas uniquement de l’accompagnement qu’on en fait. Et je crois que les soignants font de leur mieux. Sincèrement. Mais le système chez nous (pas les gens qui font leur travail quotidiennement, mais la structure, la façon dont c’est pensé) doit être améliorée. Mais effectivement, ce n’est pas le sujet de ce débat.Bulle a écrit:Stop aux amalgames et au rejet des situations insupportables pour le malade sur les accompagnants ou les soignants dévoués à un point inimaginable ; un cancéreux en fin de vie aura beau être entouré de tout l'amour qui existe, de toutes les attentions et les caresses qui existent : si sa souffrance physique est trop forte et impossible à calmer elle peut être insupportable pour lui. Si être allongé sur un lit, le corps nu à la vue de toute personne passant ou venant le visiter parce qu'il ne supporte plus quelque contact que ce soit avec un drap, est une souffrance morale journalière, l'amour de sa famille n'y changera rien non plus...
amandine- Sorti de l'oeuf
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Jipé a écrit:Tu devrais te renseigner avant de dire n'importe quoi...
"Le forfait hospitalier représente la participation financière du patient aux frais d'hébergement et d'entretien entraînés par son hospitalisation.
Il est dû pour chaque journée d'hospitalisation, y compris le jour de sortie
Tu as raison de me reprendre, trop souvent dans les forums, les gens veulent avoir raison absolument.
"forfait journalier" s'utilise pour indiquer la part qui n'est pas pris en charge par la sécurité sociale et qui peut etre à la charge des mutuelles, s'il y en a.
Mais ce que paie la sécu à l'hôpital et qui est la part la plus importante, s'appelle également forfait journalier. Comme pour tous les établissements aidés et financés, ils reçoivent un "prix de journée" sous forme de forfait journalier.
Aucune désinformation volontaire, simplement une mauvaise utilisation du terme "forfait journalier" que j'ai pris dans le sens plus général.Jipé a écrit:Très forte pour faire de la désinformation, mais dans quel but exactement ?!
Bulle a écrit: car si comme tu le dis "les gouvernements [avaient] tout intérêt en la légalisation de l'euthanasie", il y a belle lurette que ce serait fait..
"Il ne faut pas brusquer la société française" (Marisol Touraine)
Bulle a écrit:Encore un fois je te parle de la loi Léonetti pas d'un rapport qu'il aurait pu faire 8 ans après où Léonetti défendait en fait l'inutilité d'une loi supplémentaire et commentait le rapport Sicard ! il est question dans cet article de loi, le L111-4 du refus de traitement et pas du refus de l'arrêt du traitement.
Rapport Sicard, entre parenthèse, où certains témoignages soulignent et précisent que les directives anticipées sont consultatives pas plus. Ce que la nouvelle loi devrait rectifier, si mes souvenirs sont bons.
Depuis quand les plaidoiries deviennent-elles des loi ?
Ecoutes, voilà ce que tu déclares : "La loi permettant de réduire les dépenses de santé en cessant tout soin et en pratiquant l'euthanasie passive existe déjà depuis 2005 et s'appelle la Loi Léonetti : le corps médical décide point barre"
Est ce que ça signifie : Dans la loi Léonetti, le médecin peut décider de tout arrêter, lui tout seul ?
Si oui, et c'est ce que je comprends, alors je cherche.....je cherche..... pour trouver la confirmation. Je te demande de me le confirmer.
sandouX- Sorti de l'oeuf
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
La décision appartient aux médecins après consultation collégiale, même si, c'est vrai, l'information est donnée à la famille, et/ou à la personne de confiance. Cette information ne remettra pas la décision des médecins, elle n'est qu'informative, pas plus.
Les médecins argumenteront que, poursuivre des traitements inefficaces et sans espoir curatif, les mèneraient à de l'acharnement thérapeutique et à une obstination déraisonnable qui pourrait leur être reprochées.
Les médecins argumenteront que, poursuivre des traitements inefficaces et sans espoir curatif, les mèneraient à de l'acharnement thérapeutique et à une obstination déraisonnable qui pourrait leur être reprochées.
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Cervantes
Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Il y a donc de quoi être gêné, d'autant que ce type d'argument (en gros euthanasie = nazi) fut régulièrement avancé dans les saisons précédentes de ce sujet-phare...amandine a écrit:Ciel ! Tu m’envoie chercher des mots en latin et je trouve « appel à la terreur » est un raisonnement fallacieux dans lequel une personne tente de créer l'approbation d'une proposition en utilisant des menaces ou des peurs existantes.Bulle a écrit:
L'expression "programmer la mort" sans souligner que le décisionnaire est le principal intéressé ressemble à un argumentum ad metum et me gêne.
Je ne serais certainement pas terrorisée mais le lecteur de ce forum fera peut-être, probablement même l'association, tant le terrain est préparé par les pro-vie.Ah bah non, je ne veux pas te terroriser! Et puis tu m’as pas l’air si facile que ça à intimider, et tant mieux.
Non ce n'est pas terrorisant du tout, et bien au contraire. Un enfant se désire, et par respect pour lui on programme sa naissance au moment où l'on est en condition de pouvoir l'élever dignement. Mais ce n'est pas le sujet.Un accouchement programmé, c’est terrorisant aussi ?
Mais cela fait des siècles que l'homme prend les devants ou tente de le faire, en soignant etc... ! Et s'en remettre au destin ne veut pas dire grand chose. Mais peut-être cela vaut-il l'ouverture d'un autre sujet ...Pour moi c’est juste l’idée que l’homme prend les devants. Il ne s’en remet pas au destin pour des choses qui ont été durant des siècles hors de notre contrôle.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Et il faut brusquer la société belge ?sandouX a écrit:"Il ne faut pas brusquer la société française" (Marisol Touraine)
Non pas UN médecin mais le corps médical.Ecoutes, voilà ce que tu déclares : "La loi permettant de réduire les dépenses de santé en cessant tout soin et en pratiquant l'euthanasie passive existe déjà depuis 2005 et s'appelle la Loi Léonetti : le corps médical décide point barre"
Est ce que ça signifie : Dans la loi Léonetti, le médecin peut décider de tout arrêter, lui tout seul ?
Si oui, et c'est ce que je comprends, alors je cherche.....je cherche..... pour trouver la confirmation. Je te demande de me le confirmer.
(source)
Cela étant, il est incontestable que le corps médical soit le mieux placé pour décider si oui ou non un traitement devient de l'acharnement thérapeutique interdit par la loi. C'est d'ailleurs les médecins (donc ce même corps médical) qui décident dans le cadre d'une loi de dépénalisation comme en Belgique si oui ou non le demandeur (puisque la loi ne fait que permettre de demander, au bout du compte) entre dans le cadre ou pas.
Mais les dépenses de santé ne sont pas le sujet : il s'agissait simplement de contre-argumenter ta remarque laissant entendre que l'euthanasie était, ou pouvait être : " une excellente solution pour l'état d'alléger les dépenses de santé."
Car si les motivations étaient la réduction des dépenses de santé, la loi Léonetti avec l'interdiction faite aux médecins de pratiquer l'acharnement thérapeutique et l'obstination déraisonnable était suffisante. D'autant que sauf erreur ou omission de ma part c'est sur les moins malades que les consommations sont en augmentation.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
bulle a écrit:il est incontestable que le corps médical soit le mieux placé pour décider si oui ou non un traitement devient de l'acharnement thérapeutique interdit par la loi.
Il y a une différence entre le fait de décider qu'il l'est, informer, mettre en avant l'acharnement et entre le passage effectif à l'arrêt des soins.
sinon il n'existerait pas de cas Lambert.
bulle a écrit:Car si les motivations étaient la réduction des dépenses de santé, la loi Léonetti avec l'interdiction faite aux médecins de pratiquer l'acharnement thérapeutique et l'obstination déraisonnable était suffisante.
Suffisante peut être mais pas aussi interessante que l'euthanasie car je le redis, après la mise en place de la loi Léonetti sur un malade, il y a d'autres soins. L'euthanasie ne necessite plus aucun soin.
Pourquoi exclure l'idée que ça peut être aussi une raison de vouloir légaliser l'euthanasie dans les pays qui prennent en charge la santé ? je ne comprends pas. Vous croyez qu'ils sont trop intègres et vertueux pour y penser ?
sandouX- Sorti de l'oeuf
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Miangemidemon a écrit:Pour répondre à Ladysan, l'incitation au suicide serait interdite en France et ne coïncide pas avec ce qui est fait à propos de la prévention du suicide
Je n’ai pas parlé d’incitation au suicide, ce qui est, et sera toujours pénalement sanctionné.
A ce sujet, voici un lien explicatif sur les étapes de la création d’un droit « conventionnel » au suicide assisté. Source :L'aide médicalisée au suicide pourrait manipuler des esprits faibles ( c'est ce qu'on trouve sur le web comme argument pro-vie ) ...
Dont un extrait :
Le suicide n’est plus pénalement ni civilement sanctionné dans les États membres du Conseil de l’Europe. Les individus peuvent donc attenter à leurs jours sans risquer la prison en cas d’échec ni des conséquences civiles sur leur sépulture ou leur patrimoine en cas de décès. Il s’agit d’une faculté qui ne dispense cependant pas l’État de sa responsabilité de faire ce qui est en son pouvoir pour prévenir les suicides.
D’une telle faculté , la Cour a progressivement glissé vers une liberté , et de là à un droit de se suicider. Tout ce qui n’est pas interdit sous peine de sanction est autorisé, donc le suicide est autorisé, donc j’ai le droit de me suicider. C’est alors qu’a surgi la question des personnes qui souhaitent se suicider mais ne sont pas en mesure de le faire par elles-mêmes, en raison de leur état de santé : leur liberté de se suicider n’est pas effective. L’État doit-il les « forcer » à vivre, notamment en sanctionnant ceux qui les aiderait à se suicider, ou fermer les yeux, voire les aider à mettre fin à leurs jours ?
Plus encore, l’État peut-il empêcher les individus de se suicider de façon « propre », sûre et sans douleur en leur interdisant l’accès aux poisons et services appropriés ? La jurisprudence de la Cour conduit clairement l’acceptation d’un droit au suicide assisté, progressivement élaboré depuis une douzaine d’années par les quatre arrêts qui vont être présentés ci-dessous. La Cour parle exclusivement de suicide assisté, même dans les cas où la situation du candidat au suicide le met dans l’impossibilité d’accomplir lui-même l’acte létal. Dans ce cas, il s’agit en réalité d’euthanasie.
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Bien évidemment et personne n'a dit le contraire. Je n'ai d'ailleurs nullement parlé d'information mais bien parlé de décision, puisque j'ai écrit : "il est incontestable que le corps médical soit le mieux placé pour décider si oui ou non un traitement devient de l'acharnement thérapeutique interdit par la loi.".sandouX a écrit:Il y a une différence entre le fait de décider qu'il l'est, informer, mettre en avant l'acharnement et entre le passage effectif à l'arrêt des soins.
sinon il n'existerait pas de cas Lambert.
Parce que cette idée est parfaitement stupide. Ce n'est pas parce que tu répèteras 1 000 fois une contre-vérité qu'elle deviendra une vérité la loi Léonetti s'impose à tous, l'euthanasie est le choix du malade.Suffisante peut être mais pas aussi interessante que l'euthanasie car je le redis, après la mise en place de la loi Léonetti sur un malade, il y a d'autres soins. L'euthanasie ne necessite plus aucun soin. Pourquoi exclure l'idée que ça peut être aussi une raison de vouloir légaliser l'euthanasie dans les pays qui prennent en charge la santé ? je ne comprends pas. Vous croyez qu'ils sont trop intègres et vertueux pour y penser ?
Stop avec ce raisonnement qui présente l'arrêt des soins rendus obligatoires par la loi (ce que tu niais) qui elle, même si ce n'est pas la motivation, peut accessoirement représenter une vraie économie vue le coût faramineux de certains traitements (particulièrement en oncologie) devenus parfaitement inutiles comme équivalent au choix que peut faire un malade de demander et d'obtenir s'il est dans les conditions admises par la loi, une aide à mourir.
Tout cela dans le but de présenter une loi de dépénalisation qui n'impose rien à personne comme une calamité accessoirement dangereuse pour tout un chacun (?) Ce n'est rien d'autre que de l'enfumage ce genre de raisonnement, car à partir du moment où c'est le principal intéressé qui décide, c'est lui le décisionnaire, pas un chef d'établissement cherchant la rentabilité ou quel qu’économiste que ce soit.
NB : le sujet est "êtes vous pour ou contre l'euthanasie" pas comment réduire les dépenses de santé ; sujet que tu peux, s'il t'intéresse, ouvrir dans une autre section du forum...
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Après avoir énoncé que :
"
"
on ne peut plus dire queil est incontestable que le corps médical soit le mieux placé pour décider si oui ou non un traitement devient de l'acharnement thérapeutique interdit par la loi.".
C'est, de fait, la concertation médecin-malade qui est déterminante.l'euthanasie est le choix du malade.
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Non JO. C'est bien le choix du malade : lorsqu'il est atteint d'une maladie entrant dans le cadre de la loi Belge, puisqu'en France on se contente toujours d'euthanasie passive, (qu'on a déjà énoncé mille fois et que je ne répéterai pas) c'est bien le malade qui fait le choix :
1) par ses directives anticipées/testament de fin de vie souvent bien antérieures
2) en réitérant son choix ou non après plusieurs concertations le cas échéant
Le corps médical lui décide juste que le malade en est à un stade ou tout traitement serait de la pure obstination déraisonnable.
1) par ses directives anticipées/testament de fin de vie souvent bien antérieures
2) en réitérant son choix ou non après plusieurs concertations le cas échéant
Le corps médical lui décide juste que le malade en est à un stade ou tout traitement serait de la pure obstination déraisonnable.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Bulle a écrit:le sujet est "êtes vous pour ou contre l'euthanasie" pas comment réduire les dépenses de santé
.
D'accord après une dernière précision j'arrête
Bulle a écrit:Je n'ai d'ailleurs nullement parlé d'information mais bien parlé de décision, puisque j'ai écrit : "il est incontestable que le corps médical soit le mieux placé pour décider si oui ou non un traitement devient de l'acharnement thérapeutique interdit par la loi."..
Ca, c'était après.
Avant, tu as parlé de décision du médecin en disant Point barre en cessant tout soin et en pratiquant l'euthanasie passive existe déjà depuis 2005 et s'appelle la Loi Léonetti : le corps médical décide point barre"
C'est pour cette raison que j'ai été surprise par le mot décision et que je souhaitais des précisions car entre celle ou il constate qu'il y a acharnement et celle, effective de la mise en pratique de l'abandon, il y a de la marge.
sandouX- Sorti de l'oeuf
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
J'ai effectivement toujours parlé de décision d'arrêt des soins prise par le corps médical au nom de la loi interdisant l'acharnement thérapeutique. Un constat c'est un constat, pas une décision.sandouX a écrit:Ca, c'était après.
Avant, tu as parlé de décision du médecin en disant Point barre en cessant tout soin et en pratiquant l'euthanasie passive existe déjà depuis 2005 et s'appelle la Loi Léonetti : le corps médical décide point barre"
C'est pour cette raison que j'ai été surprise par le mot décision et que je souhaitais des précisions car entre celle ou il constate qu'il y a acharnement et celle, effective de la mise en pratique de l'abandon, il y a de la marge.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Pour info ou l'art et la manière de revenir au point de départ...
(extrait de l’intervention prononcée en juin 2015 par André Vacheron au micro de Canal Académie au sujet de la fin de vie et des directives anticipées.)
Saints très conservateurs médecins, priez pour nous
(extrait de l’intervention prononcée en juin 2015 par André Vacheron au micro de Canal Académie au sujet de la fin de vie et des directives anticipées.)
(Source : Canal Académie)(...)Il est intéressant de voir ce qu’est devenue la nouvelle loi sur la fin de vie au cours de son parcours parlementaire. Elle avait été adoptée à l’Assemblée nationale au mois de mars 2015. Le 17 juin 2015, elle est arrivée au Sénat et les sénateurs l’ont examinée et l’ont modifiée profondément alors qu’elle avait été adoptée à une très large majorité transpartisane le 17 mars à l’Assemblée nationale. Le droit à la sédation profonde pour les patients atteints d’une affection grave et incurable a été amputé de l’expression “continue jusqu’au décès”, jugée dangereuse par le sénateur Dominique de Legge dans la mesure où elle prouvait que l’intention était bien de précipiter la mort. L’auteur de l’amendement a souligné qu’il fallait laisser de la souplesse aux équipes soignantes et aux patients aussi dans la décision de pratiquer et de poursuivre une sédation continue ou non jusqu’au décès ou non. Le député Alain Claeys, l’un des deux auteurs de la nouvelle loi, souligne que la possibilité d’un réveil du malade dans sa fin de vie est en fait la négation du droit de mourir dans le sommeil. Je pourrais faire une remarque sur la fluctuation de la phase terminale d’une vie. J’ai vu un malade en très grande insuffisance respiratoire, au stade terminal d’un cancer du poumon, intubé, ventilé, respirant par une machine et véritablement condamné, reprendre conscience et dire au médecin : “j’ai été heureux qu’on ne retrouve pas mes directives anticipées car j’ai encore envie de vivre quelques mois”. […]
Enfin, les sénateurs ont remplacé le caractère contraignant des directives anticipées en remplaçant l’expression “elles s’imposent au médecin” par la formulation “le médecin prend en compte les directives anticipées”, ce qui revient à la formulation antérieure de la loi Léonetti. Il est sûr que l’évolution de la fin de vie peut être fluctuante avec des améliorations qui peuvent susciter la volonté de survivre et, pour moi médecin, je pense que nous devons rester responsables de nos actes, qu’il serait peut-être préférable d’indiquer dans la rédaction des directives anticipées que l’auteur accorde toute sa confiance à l’équipe médicale qui le prend en charge et qui ne peut agir que dans son intérêt, mais qu’il demande en conséquence que les décisions de l’équipe médicale soient respectées et ne soient pas l’objet d’un débat familial.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Elle avait tué sa fille handicapée
"Un geste d'amour".
résultat en France 5 ans de Prison.
Si l'euthanasie était autorisée, ce genre
d'acte n'aurait pas lieu d'être.
http://www.europe1.fr/faits-divers/proces-meline-la-mere-condamnee-a-5-ans-avec-sursis-2515367
"Un geste d'amour".
résultat en France 5 ans de Prison.
Si l'euthanasie était autorisée, ce genre
d'acte n'aurait pas lieu d'être.
http://www.europe1.fr/faits-divers/proces-meline-la-mere-condamnee-a-5-ans-avec-sursis-2515367
Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Bah non Orthon le handicap n'implique pas forcément le droit à l'euthanasie... Un meilleur encadrement soulageant plus la maman aurait peut-être suffi...
En fait il faudrait connaître exactement la situation avant d'affirmer que la loi de dépénalisation concernait ce cas.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Entre la formule: "droit à " et l'expression "dépénalisation de", il y a l'énorme fossé de la volonté du sujet . Dans le cas évoqué, le "sujet" ne pouvait pas s'exprimer . On est hors sujet en faisant l'amalgame des situations .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Bulle a écrit:Un meilleur encadrement soulageant plus la maman aurait peut-être suffi...
Il faudrait déjà savoir ou avoir connu le sens de l’accompagnement d'une personne lourdement handicapée
où la minute précédente est aussi importante que la minute qui suit.
Et bien comprendre qu'il n'est pas facile de prendre une décision aussi lourde que cette femme
a prise, vu qu'en France il est impossible de supposer que donner la mort puisse être un acte d'Amour.
Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
là n'est pas la question.
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Je partage ton point de vue sur le "donner la mort" pouvant être un acte d'amour. Mais pour autant aimer ne donne pas le droit de tuer.
JO a raison de souligner ce point.
J'ajouterai que, de mon point de vue, c'est aussi un acte d'amour que de ne pas laisser ce genre de décision sur les seules épaules d'une mère dans le cas précis où l'enfant n'a pas l'âge ou la possibilité d'exprimer son point de vue.
C'est aussi pour cela que la loi Belge me semble particulièrement bien faite avec son système de "médiation".
JO a raison de souligner ce point.
J'ajouterai que, de mon point de vue, c'est aussi un acte d'amour que de ne pas laisser ce genre de décision sur les seules épaules d'une mère dans le cas précis où l'enfant n'a pas l'âge ou la possibilité d'exprimer son point de vue.
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Re: POUR OU CONTRE LA DÉPÉNALISATION DE L'EUTHANASIE ? 5 IÈME PARTIE
Bulle a écrit:C'est aussi pour cela que la loi Belge me semble particulièrement bien faite avec son système de "médiation".
Et j’approuve la loi Belge.
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