l'avortement, un dernier recours ou un droit?
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l'avortement, un dernier recours ou un droit?
l'avortement est un sujet qui me touche, je suis plutôt contre, par nature plus que par religion même, mais je pense qu'il y a des cas où il est impossible (ou très difficile ) de l'éviter.
mais si je reconnais "le droit des femmes à disposer librement de leur corps", je pense qu'il y a un moment où il ne faut pas exagérer.
avorter pour un oui ou pour un non, juste parce que "ça dérange madame ou mademoiselle dans ses projets" je trouve ça vraiment limite.
l'avortement est un acte trop grave, trop dangereux pour celle qui le subit,( sans parler du bébé, ou du fœtus) pour qu'il soit à ce point devenu aussi banal que de prendre un cachet d'aspirine!
sous prétexte que ce n'est pas encore "vraiment" un futur bébé, les infirmières délivrent aux élèves étourdies la fameuse "pilule du lendemain" abortive. Une fois, je peux (à la rigueur) comprendre, mais 2 fois, 10 fois?
les femmes sont-elles tombées si bas qu'elle ne sont plus capables d'assumer leurs actes?
la pilule, le stérilet, le préservatif et autres moyens de contraception, ce n'est pas fait pour les chiens!
trouvez vous que c'est un réel progrès?
le droit à l'avortement en cas de grave problème, oui.
mais la banalisation?
parce qu'il ne faut pas se leurrer, ce ne sont pas les femmes dans une grande misère physique ou sociale qui profitent le plus de l'avortement, mais les "belles dames bien de chez nous" par simple confort, le plus souvent!
qu'en pensez-vous?
mais si je reconnais "le droit des femmes à disposer librement de leur corps", je pense qu'il y a un moment où il ne faut pas exagérer.
avorter pour un oui ou pour un non, juste parce que "ça dérange madame ou mademoiselle dans ses projets" je trouve ça vraiment limite.
l'avortement est un acte trop grave, trop dangereux pour celle qui le subit,( sans parler du bébé, ou du fœtus) pour qu'il soit à ce point devenu aussi banal que de prendre un cachet d'aspirine!
sous prétexte que ce n'est pas encore "vraiment" un futur bébé, les infirmières délivrent aux élèves étourdies la fameuse "pilule du lendemain" abortive. Une fois, je peux (à la rigueur) comprendre, mais 2 fois, 10 fois?
les femmes sont-elles tombées si bas qu'elle ne sont plus capables d'assumer leurs actes?
la pilule, le stérilet, le préservatif et autres moyens de contraception, ce n'est pas fait pour les chiens!
trouvez vous que c'est un réel progrès?
le droit à l'avortement en cas de grave problème, oui.
mais la banalisation?
parce qu'il ne faut pas se leurrer, ce ne sont pas les femmes dans une grande misère physique ou sociale qui profitent le plus de l'avortement, mais les "belles dames bien de chez nous" par simple confort, le plus souvent!
qu'en pensez-vous?
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
ElBilqîs a écrit:l'avortement est un sujet qui me touche, je suis plutôt contre, par nature plus que par religion même, mais je pense qu'il y a des cas où il est impossible (ou très difficile ) de l'éviter.
mais si je reconnais "le droit des femmes à disposer librement de leur corps", je pense qu'il y a un moment où il ne faut pas exagérer.
avorter pour un oui ou pour un non, juste parce que "ça dérange madame ou mademoiselle dans ses projets" je trouve ça vraiment limite.
l'avortement est un acte trop grave, trop dangereux pour celle qui le subit,( sans parler du bébé, ou du fœtus) pour qu'il soit à ce point devenu aussi banal que de prendre un cachet d'aspirine!
Le droit de disposer librement de son corps n'emporte pas celui de disposer du droit de vie ou de mort sur un être vivant. Selon moi, seule la femme qui s'est fait violer a le droit de recourir à l'avortement. Dans tous les autres cas, l'avortement devrait être interdit. La femme a eu le droit de disposer librement de son corps avant de tomber enceinte. Si elle n'a pas pris ses précautions pour ne pas l'être, elle n'a qu'à assumer. S'il s'agit d'une gamine de 14 ans, ses parents n'ont qu'à assumer aussi.
sous prétexte que ce n'est pas encore "vraiment" un futur bébé, les infirmières délivrent aux élèves étourdies la fameuse "pilule du lendemain" abortive. Une fois, je peux (à la rigueur) comprendre, mais 2 fois, 10 fois?
Le cas est sensiblement différent : la femme qui prend la pilule du lendemain ne sait pas si elle est enceinte et son état est indécelable à ce moment-là. Dès lors, je suis dubitatif.
les femmes sont-elles tombées si bas qu'elle ne sont plus capables d'assumer leurs actes?
la pilule, le stérilet, le préservatif et autres moyens de contraception, ce n'est pas fait pour les chiens!
Sais-tu ce qu'est le stérilet ? C'est une guillotine qui laisse se développer l'embryon jusqu'à un certain point et qui le décapite au moment où il emprunte le chemin que barre le stérilet. C'est donc une forme d'avortement.
trouvez vous que c'est un réel progrès?
le droit à l'avortement en cas de grave problème, oui.
mais la banalisation?
parce qu'il ne faut pas se leurrer, ce ne sont pas les femmes dans une grande misère physique ou sociale qui profitent le plus de l'avortement, mais les "belles dames bien de chez nous" par simple confort, le plus souvent!
qu'en pensez-vous?
Je suis d'accord avec toi, en général. Mais toi, que penses-tu des points que je soulève ?
Amicalement,
Thiébault
Invité- Invité
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
J'avait trouvé ce site en cherchant des photos...
http://www.abortionno.org/Resources/pictures.html
Sans aborder la question pour ou contre, je trouve que les gens qui militent pour l'avortement
présentent la chose comme sans aucun problême pour personne,contrairement aux nombreux
témoignages de femmes qui sont devenir depressive après un avortement.
http://www.abortionno.org/Resources/pictures.html
Sans aborder la question pour ou contre, je trouve que les gens qui militent pour l'avortement
présentent la chose comme sans aucun problême pour personne,contrairement aux nombreux
témoignages de femmes qui sont devenir depressive après un avortement.
Invité- Invité
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
L'avortement existe depuis tjrs pour la bonne raison que: SI CA EXISTE C'EST QUE DIEU L'A BIEN VOULU, SINON CA N'EXISTERAIT PAS.
Donc c'est une question de choix... de la femme d'abord et de la société ensuite.
je pense pour ma part que l'avortement doit etre libre, un enfant malvenu est a coup sur un enfant malheureux.
Donc c'est une question de choix... de la femme d'abord et de la société ensuite.
je pense pour ma part que l'avortement doit etre libre, un enfant malvenu est a coup sur un enfant malheureux.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Thiébault a écrit:Sais-tu ce qu'est le stérilet ? C'est une guillotine qui laisse se développer l'embryon jusqu'à un certain point et qui le décapite au moment où il emprunte le chemin que barre le stérilet. C'est donc une forme d'avortement.
Le stérilet:
Son efficacité repose sur quelques principes :
* Sa présence provoque un processus d'inflammation à minima de la muqueuse qui la rend impropre à la nidation.
* Pour les stérilets qui sont gainés de cuivre, celui-ci se délite progressivement du filament et exerce une certaine toxicité sur les spermatozoïdes. Il leur ôte la faculté qu'ils avaient de traverser les membranes des autres cellules.
* La progestérone contenue dans certains stérilets bloque le développement de la muqueuse et la rend en quelque sorte aride.
Le stérilet n'est donc pas une "forme d'avortement", mais un outil contraceptif.
Ce qui n'est qu'un information dans le débat que nous développons.
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Oui mais non, là, où allez-vous, cher ami ? :roll:SEPTOUR a écrit:L'avortement existe depuis tjrs pour la bonne raison que: SI CA EXISTE C'EST QUE DIEU L'A BIEN VOULU, SINON CA N'EXISTERAIT PAS.
Donc c'est une question de choix... de la femme d'abord et de la société ensuite.
je pense pour ma part que l'avortement doit etre libre, un enfant malvenu est a coup sur un enfant malheureux.
Qu'un enfant malvenu soit à coup sûr un enfant malheureux, fort probablement.
Que l'avortement existe depuis toujours : oui.
Mais que si ça existe, c'est que Dieu l'a bien voulu sinon ça n'existerait pas... Outch !
Parce que si je suis ton raisonnement, les camps d'extermination, c'est parce que Dieu l'a voulu... Outch !
Je te concède que nous pouvons nous poser la question de l'existence d'un Dieu bon quand on voit toutes les atrocités qui se commettent, en son nom ou non, dans le monde depuis qu'il existe, soit, mais de là à dire que tout ce qui existe : si ça existe, c'est parce que Dieu l'a bien voulu... Outch !
Mais peut-être ne t'ai-je pas bien compris ?
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Magnus a écrit:Oui mais non, là, où allez-vous, cher ami ? :roll:SEPTOUR a écrit:L'avortement existe depuis tjrs pour la bonne raison que: SI CA EXISTE C'EST QUE DIEU L'A BIEN VOULU, SINON CA N'EXISTERAIT PAS.
Donc c'est une question de choix... de la femme d'abord et de la société ensuite.
je pense pour ma part que l'avortement doit etre libre, un enfant malvenu est a coup sur un enfant malheureux.
Qu'un enfant malvenu soit à coup sûr un enfant malheureux, fort probablement.
Que l'avortement existe depuis toujours : oui.
Mais que si ça existe, c'est que Dieu l'a bien voulu sinon ça n'existerait pas... Outch !
Parce que si je suis ton raisonnement, les camps d'extermination, c'est parce que Dieu l'a voulu... Outch !
Je te concède que nous pouvons nous poser la question de l'existence d'un Dieu bon quand on voit toutes les atrocités qui se commettent, en son nom ou non, dans le monde depuis qu'il existe, soit, mais de là à dire que tout ce qui existe : si ça existe, c'est parce que Dieu l'a bien voulu... Outch !
Mais peut-être ne t'ai-je pas bien compris ?
On peut se poser la question, oui. Et la réponse est toute simple : selon les croyants (de quelque monothéisme que ce soit), Dieu a créé les hommes libres. Libres de Lui désobéir et libres de choisir le bien ou le mal. De ce fait, Dieu laisse une telle liberté aux hommes que certains sont en état de faire du mal à d'autres. Je comprends le questionnement. Mais en même temps, si Dieu nous avait bridé, on aurait gueulé contre lui.
En revanche, je suis d'accord avec toi : ce ne peut pas être Dieu qui a permis l'avortement.
Thiébault
Invité- Invité
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
malheureusement vous faites erreur: TOUT A POUR ORIGINE .....LE CREATEUR ET DE CE FAIT RIEN NE PEUT ÉTRE EN DEHORS DE SA VOLONTÉ.
maintenant quant a AUTORISER, bien sur que non, nous sommes entierement libres. mais la possibilité d'avorter reste sa decision et s'il n'avait pas créé cette possibilité.....avorter serait impossible.
maintenant quant a AUTORISER, bien sur que non, nous sommes entierement libres. mais la possibilité d'avorter reste sa decision et s'il n'avait pas créé cette possibilité.....avorter serait impossible.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
SEPTOUR a écrit:malheureusement vous faites erreur: TOUT A POUR ORIGINE .....LE CREATEUR ET DE CE FAIT RIEN NE PEUT ÉTRE EN DEHORS DE SA VOLONTÉ.
maintenant quant a AUTORISER, bien sur que non, nous sommes entierement libres. mais la possibilité d'avorter reste sa decision et s'il n'avait pas créé cette possibilité.....avorter serait impossible.
C'est un autre débat, on fait un peu du HS. J'ouvre un topic à cet effet car la discussion est intéressante.
Invité- Invité
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Je pense que l'avortement EST un dernier recours ET un droit.
Un dernier recours tout simplement par le fait d'être un acte médical, un curetage, et chaque acte hospitalier qui demande une anesthésie ne peut -être considérée d'une façon légère et abordée naïvement.
Un dernier recours aussi, dans la mesure ou notre monde qui se dit évolué doit être soucieux d'apporter ses connaissances sexuelles à sa jeunesse.
Hors, ce n'est pas le cas dans la transmission de son savoir pour la population concernée, à savoir des femmes de quatorze à quarante ans.
Croire que les femmes qui avortent ne sont en majorité que des dévergondées, jeunes, est une erreur.
L'avortement touche toutes les couches de la population, tous les milieux.
Nous sommes toujours dans le royaume de l'hypocrisie, de la culture du secret de famille, de la honte pour les femmes et leurs proches.
L'avortement est une pratique très ancienne et heureusement les pratiques ancestrales ont évolué.
De l'aiguille sous diverse forme et matière (pratique encore courante pour avorter il y a trente ans) , aux breuvages des plus incertains; la Femme à souffert dans son esprit et dans son corps, la menant parfois à la mort.
Pour être "contre" ou "pour", comme dans bien d'autres domaines; il faut connaitre la douleur humaine et ses conséquences à court et long termes sur les individus, avant d'affirmer d'une façon dogmatique une idée, qui est pour les intervenantes bien plus qu'un principe (tout aussi respectable qu'il soit); mais un droit, un choix.
Je ne pense pas que la grande majorité des femmes qui avortent pense que c'est un acte de facilité, banal et répétitif.
Un dernier recours tout simplement par le fait d'être un acte médical, un curetage, et chaque acte hospitalier qui demande une anesthésie ne peut -être considérée d'une façon légère et abordée naïvement.
Un dernier recours aussi, dans la mesure ou notre monde qui se dit évolué doit être soucieux d'apporter ses connaissances sexuelles à sa jeunesse.
Hors, ce n'est pas le cas dans la transmission de son savoir pour la population concernée, à savoir des femmes de quatorze à quarante ans.
Croire que les femmes qui avortent ne sont en majorité que des dévergondées, jeunes, est une erreur.
L'avortement touche toutes les couches de la population, tous les milieux.
Nous sommes toujours dans le royaume de l'hypocrisie, de la culture du secret de famille, de la honte pour les femmes et leurs proches.
L'avortement est une pratique très ancienne et heureusement les pratiques ancestrales ont évolué.
De l'aiguille sous diverse forme et matière (pratique encore courante pour avorter il y a trente ans) , aux breuvages des plus incertains; la Femme à souffert dans son esprit et dans son corps, la menant parfois à la mort.
Pour être "contre" ou "pour", comme dans bien d'autres domaines; il faut connaitre la douleur humaine et ses conséquences à court et long termes sur les individus, avant d'affirmer d'une façon dogmatique une idée, qui est pour les intervenantes bien plus qu'un principe (tout aussi respectable qu'il soit); mais un droit, un choix.
Je ne pense pas que la grande majorité des femmes qui avortent pense que c'est un acte de facilité, banal et répétitif.
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Thiébault a écrit:Magnus a écrit:Oui mais non, là, où allez-vous, cher ami ? :roll:SEPTOUR a écrit:L'avortement existe depuis tjrs pour la bonne raison que: SI CA EXISTE C'EST QUE DIEU L'A BIEN VOULU, SINON CA N'EXISTERAIT PAS.
Donc c'est une question de choix... de la femme d'abord et de la société ensuite.
je pense pour ma part que l'avortement doit etre libre, un enfant malvenu est a coup sur un enfant malheureux.
Qu'un enfant malvenu soit à coup sûr un enfant malheureux, fort probablement.
Que l'avortement existe depuis toujours : oui.
Mais que si ça existe, c'est que Dieu l'a bien voulu sinon ça n'existerait pas... Outch !
Parce que si je suis ton raisonnement, les camps d'extermination, c'est parce que Dieu l'a voulu... Outch !
Je te concède que nous pouvons nous poser la question de l'existence d'un Dieu bon quand on voit toutes les atrocités qui se commettent, en son nom ou non, dans le monde depuis qu'il existe, soit, mais de là à dire que tout ce qui existe : si ça existe, c'est parce que Dieu l'a bien voulu... Outch !
Mais peut-être ne t'ai-je pas bien compris ?
On peut se poser la question, oui. Et la réponse est toute simple : selon les croyants (de quelque monothéisme que ce soit), Dieu a créé les hommes libres. Libres de Lui désobéir et libres de choisir le bien ou le mal. De ce fait, Dieu laisse une telle liberté aux hommes que certains sont en état de faire du mal à d'autres. Je comprends le questionnement. Mais en même temps, si Dieu nous avait bridé, on aurait gueulé contre lui.
En revanche, je suis d'accord avec toi : ce ne peut pas être Dieu qui a permis l'avortement.
Thiébault
Non, je n'ai pas fait, quant à moi, cette conclusion sur l'avortement.
Je suis plutôt en accord avec ce qu'en dit Raphaël-Rodolphe.
Mon intervention ne visait qu'à m'interroger sur la formulation de Septour.
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
DIEU a créé ttes les possibilités de la vie, vivre est complexe et jamais la repetition d'un scenario deja écrit, donc tout est possible.
Avorter est une de ces possibilités, se suicider une autre, finir sa vie dans un camp d'extermination egalement, la boucherie des guerres une autre, etc, etc; TTES ces possibilités existent car il a fallu les creer et un seul étre a pu le faire: DIEU.
Mais ce ne sont que des possibilités et rien ne nous force a leur donner une réalité.DANS LA CRÉATION TOUT SE TIENT ET TTES LES POSSIBILITÉS DECOULENT L'UNE DE L'AUTRE EN UNE CHAINE ININTERROMPUE.
Avorter est une de ces possibilités, se suicider une autre, finir sa vie dans un camp d'extermination egalement, la boucherie des guerres une autre, etc, etc; TTES ces possibilités existent car il a fallu les creer et un seul étre a pu le faire: DIEU.
Mais ce ne sont que des possibilités et rien ne nous force a leur donner une réalité.DANS LA CRÉATION TOUT SE TIENT ET TTES LES POSSIBILITÉS DECOULENT L'UNE DE L'AUTRE EN UNE CHAINE ININTERROMPUE.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
.Thiébault a écrit:
Le droit de disposer librement de son corps n'emporte pas celui de disposer du droit de vie ou de mort sur un être vivant. Selon moi, seule la femme qui s'est fait violer a le droit de recourir à l'avortement. Dans tous les autres cas, l'avortement devrait être interdit. La femme a eu le droit de disposer librement de son corps avant de tomber enceinte. Si elle n'a pas pris ses précautions pour ne pas l'être, elle n'a qu'à assumer. S'il s'agit d'une gamine de 14 ans, ses parents n'ont qu'à assumer aussi
pour le viol, je suis entièrement d'accord, bien sûr. mais je pense qu'il peut y avoir d'autres raisons valables, comme par exemple pour une femme qui a déjà beaucoup d'enfants qu'elle ne peut que difficilement assumer et qui risque de mourir de faiblesse si elle accouche une fois de plus, (surtout si pour des raisons socio-culturelles, elle n'a pas droit à la contraception)
et dans les cas d'abus de confiance, qui ne sont pas toujours considérés comme des viols, pour des jeunes femmes victimes d'inceste, ou simplement trop "naïves", comme les jeunes femmes qui n'ont pas toutes leurs capacités mentales.
mais le problème, c'est que ce produit n'est pas "neutre", et je ne parle pas en l'air en disant que certaines jeunes en usent et abusent
le cas est sensiblement différent : la femme qui prend la pilule du lendemain ne sait pas si elle est enceinte et son état est indécelable à ce moment-là. Dès lors, je suis dubitatif.
il ne faut pas tout confondre, quand même.Sais-tu ce qu'est le stérilet ? C'est une guillotine qui laisse se développer l'embryon jusqu'à un certain point et qui le décapite au moment où il emprunte le chemin que barre le stérilet. C'est donc une forme d'avortement.
merci à Raphaël Rodolphe d'avoir répondu mieux que j'aurais su le faire
ElBilqîs
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
je n'ai pas dit cela; seulement pour la "pilule du lendemain", je trouve qu'elle est distribuée un peu facilement.raphael-rodolphe a écrit:
Je ne pense pas que la grande majorité des femmes qui avortent pense que c'est un acte de facilité, banal et répétitif.
je ne dis pas qu'il faut culpabiliser les femmes, comme on le faisait à tort et à travers avant 1975(?) date à laquelle une jeune femme que je connais bien s'est retrouvée à l'hôpital, après une fausse-couche terrible devant une armada de médecins et d'étudiants décidés à lui faire avouer qu'elle s'était fait avorter... alors qu'elle n'y avait même pas songé une seule seconde; je pense juste qu'il faut qu'elles apprennent à ne pas choisir uniquement selon leur humeur du moment.
ce n'est pas parce que l'homme et la femme ne sont pas égaux devant les conséquences d'un rapport sexuel (je ne parle pas du sida où là...) qu'il faut brandir l'étendard du "mon corps m'appartient, j'avorte si je veux"
transmettre la vie, ça n'est pas banal, c'est une responsabilité, certes, mais j'avoue que j'ai du mal à comprendre qu'on puisse dire "non", je n'ai pas envie de l'assumer, ou même "je ne suis pas prête", à 25 ou 30 ans
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Soyons bien clair sur ce sujet.
Que les catholiques ou autres croyants aient le droit de penser ce qu'ils veulent de l'avortement c'est très bien. Certains, comme je l'ai lu, pensent qu'il ne peut être légitime qu'en cas de viol. Pas de problème. Si c'est leur pensée ils sont libres de l'appliquer à eux-mêmes et de ne recourir à l'avortement qu'en cas de viol.
Mais ce qui est très différend c'est de vouloir (je ne dis pas que c'était forcément le cas de ceux qui ont dit ça) imposer, comme cela s'est fait pendant des siècles, leur vision à ceux qui n'ont pas les mêmes principes.
Si une personne veut en faire un dernier recours, c'est très bien, mais si elle veut en faire un droit, rien ne doit l'en empêcher.
Pour une raison très simple : si l'avortement était interdit en tant que droit alors on retomberait dans les situations glauques du passé où les femmes et les jeunes filles pratiquaient cela en secret, dans des conditions épouvantables et parfois mortelles. C'était une totale hypocrisie et de plus très dangereux. Il est donc strictement interdit là dessus de revenir en arrière.
Pour finir ma conviction personnelle est la suivante : il me semble clair qu'il faut éviter autant que possible de recourir à un avortement quand l'embryon est déjà bien développé car c'est un choc psychologique pour la femme. Par contre recourir comme on le veut à la pillule abortive prescrite par un médecin ne pose pas problème. En effet il faut savoir que de toute manière la nature elle-même élimine (souvent sans que la femme le sache) des embryons pour tout un tas de raisons et de hasards. Si l'embryon était sacré du point de vue de la nature il n'y aurait pas tant d'élimination d'embryon à différents stades et de fausses-couches. Les progrès de la médecine nous permettent juste aujourd'hui de faire de manière volontaire et rationnelle ce que la nature faisait jusque là de manière désordonnée. Enfin j'ajoute une dernière raison qui fait de l'avortement un droit : c'est le fait qu'il ne touche en tant que problème que les femmes. Avant les moyens dont on dispose aujourd'hui (du point de vue scientifique et légal) les grossesses non désirées ne concernaient que les femmes. C'était vas-y débrouille-toi ma vieille! Et l'homme qui était tout aussi responsable ne connaissait aucun problème. Au contraire pour les femmes c'était une situation épouvantable qui conduisait à un déclassement social, parfois à la mort en cas d'avortement sauvage, voire même en cas de suicide pour certaines (de peur de l'avouer à leur famille par exemple). Aujourd'hui il n'y a plus que dans les milieux les plus rétrogrades et les moins civilisés qu'une jeune fille peut souffrir de cette manière d'une grosesse non désirée. Personne ne peut dire que ce n'est pas un progrès.
Que les catholiques ou autres croyants aient le droit de penser ce qu'ils veulent de l'avortement c'est très bien. Certains, comme je l'ai lu, pensent qu'il ne peut être légitime qu'en cas de viol. Pas de problème. Si c'est leur pensée ils sont libres de l'appliquer à eux-mêmes et de ne recourir à l'avortement qu'en cas de viol.
Mais ce qui est très différend c'est de vouloir (je ne dis pas que c'était forcément le cas de ceux qui ont dit ça) imposer, comme cela s'est fait pendant des siècles, leur vision à ceux qui n'ont pas les mêmes principes.
Si une personne veut en faire un dernier recours, c'est très bien, mais si elle veut en faire un droit, rien ne doit l'en empêcher.
Pour une raison très simple : si l'avortement était interdit en tant que droit alors on retomberait dans les situations glauques du passé où les femmes et les jeunes filles pratiquaient cela en secret, dans des conditions épouvantables et parfois mortelles. C'était une totale hypocrisie et de plus très dangereux. Il est donc strictement interdit là dessus de revenir en arrière.
Pour finir ma conviction personnelle est la suivante : il me semble clair qu'il faut éviter autant que possible de recourir à un avortement quand l'embryon est déjà bien développé car c'est un choc psychologique pour la femme. Par contre recourir comme on le veut à la pillule abortive prescrite par un médecin ne pose pas problème. En effet il faut savoir que de toute manière la nature elle-même élimine (souvent sans que la femme le sache) des embryons pour tout un tas de raisons et de hasards. Si l'embryon était sacré du point de vue de la nature il n'y aurait pas tant d'élimination d'embryon à différents stades et de fausses-couches. Les progrès de la médecine nous permettent juste aujourd'hui de faire de manière volontaire et rationnelle ce que la nature faisait jusque là de manière désordonnée. Enfin j'ajoute une dernière raison qui fait de l'avortement un droit : c'est le fait qu'il ne touche en tant que problème que les femmes. Avant les moyens dont on dispose aujourd'hui (du point de vue scientifique et légal) les grossesses non désirées ne concernaient que les femmes. C'était vas-y débrouille-toi ma vieille! Et l'homme qui était tout aussi responsable ne connaissait aucun problème. Au contraire pour les femmes c'était une situation épouvantable qui conduisait à un déclassement social, parfois à la mort en cas d'avortement sauvage, voire même en cas de suicide pour certaines (de peur de l'avouer à leur famille par exemple). Aujourd'hui il n'y a plus que dans les milieux les plus rétrogrades et les moins civilisés qu'une jeune fille peut souffrir de cette manière d'une grosesse non désirée. Personne ne peut dire que ce n'est pas un progrès.
_Florent51- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
ElBilqîs a écrit:je n'ai pas dit cela; seulement pour la "pilule du lendemain", je trouve qu'elle est distribuée un peu facilement.raphael-rodolphe a écrit:
Je ne pense pas que la grande majorité des femmes qui avortent pense que c'est un acte de facilité, banal et répétitif.
Je ne sais pas si la pilule du lendemain rencontre un "succé" dans les lycées et dans le cabinet d'un praticien, aussi je ne me prononcerai pas sur cela.
Mais ce que je relate c'est d'avantage les avortements par répétition (de un à au moins deux).
... qu'il faut brandir l'étendard du "mon corps m'appartient, j'avorte si je veux"
C'est une phrase effectivement des féministes...
j'avoue que j'ai du mal à comprendre qu'on puisse dire "non", je n'ai pas envie de l'assumer, ou même "je ne suis pas prête", à 25 ou 30 ans
Et bien je vais vous dire une chose personnelle concernant ma vie.
Mon ex-épouse à avortée deux fois. Elle pouvait mener ses grossesses à chaque terme; mais elle ne le voulait pas.
Pourquoi ? Elle n'était pas prête me disait-elle.
Elle prenait la pilule, mais je me suis aperçu après qu'elle ne la prenais pas régulièrement...
Quand je dis que cela touche tous les milieux, mon ex-épouse est médecin...
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Tout a fait d'accord avec florent 51 et c'est tres bien exprimé.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Pour resumer:[u]avortement libre[u]
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Florent a écrit: Les progrès de la médecine nous permettent juste aujourd'hui de faire
de manière volontaire et rationnelle ce que la nature faisait jusque là
de manière désordonnée. Enfin j'ajoute une dernière raison qui fait de
l'avortement un droit : c'est le fait qu'il ne touche en tant que
problème que les femmes. Avant les moyens dont on dispose aujourd'hui
(du point de vue scientifique et légal) les grossesses non désirées ne
concernaient que les femmes. C'était vas-y débrouille-toi ma vieille!
Et l'homme qui était tout aussi responsable ne connaissait aucun
problème. Au contraire pour les femmes c'était une situation
épouvantable qui conduisait à un déclassement social, parfois à la mort
en cas d'avortement sauvage, voire même en cas de suicide pour
certaines (de peur de l'avouer à leur famille par exemple). Aujourd'hui
il n'y a plus que dans les milieux les plus rétrogrades et les moins
civilisés qu'une jeune fille peut souffrir de cette manière d'une
grossesse non désirée. Personne ne peut dire que ce n'est pas un progrès.
PS Merci Raphaël- Rodolphe de ton témoignage.
cette déc
je m'attendais à ce genre de réaction, et j'ai bien précisé au début, que c'était mon avis personnel.
je connais plusieurs femmes qui ont avorté et je ne leur ai jamais reproché leur acte puisqu'il est légal.
je trouve seulement que c'est bien triste, surtout lorsqu'on évoque de faux-prétextes, ce qui est souvent le cas, non chez des femmes en situation de détresse, ou chez les très jeunes filles, mais chez les femmes qui ont une "situation sociale qui passe avant l'idée de voir "déformer leur corps" et assumer un "marmot".
c'est vrai que je me pose en juge, en disant cela; c'est vrai que je n'en ai pas le droit.
c'est vrai aussi que l'on peut penser que l'homme et la femme ne sont pas égaux devant la grossesse!
mais tous les hommes ne sont pas des lâches!
et toutes les femmes ne sont pas innocentes (quand elles veulent un enfant, l'homme peut être mis devant le fait accompli!)
je n'imagine même pas le recours aux méthodes ancestrales, et je ne pensais pas aux simples interdits religieux, purs et durs.
je voulais juste dire que tolérance devient vite licence et, si je suis pour la fantaisie, je ne suis pas pour l'anarchie totale (du genre chacun fait ce qu'il veut, quand il veut, en se moquant éperdument des conséquences sur autrui)
donc, pour résumer, comme dirait Septour, l'avortement libre, peut-être, mais l'avortement mûrement réfléchi, à deux, de préférence, et en pensant aussi que ce petit être en devenir, n'est pas forcément là pour nous pourrir la vie.
transmettre et donner la vie, ça n'est pas banal comme aller chez le coiffeur, décidée envers et contre tous, à se couper les cheveux!
PS Merci Raphaël Rodolphe, de ton témoignage.
la décision d'avortement a-t-elle été unilatérale? ou prise à deux?
je n'attends pas de réponse, c'est juste pour dire que c'est un peu facile de poser la femme en "martyr" sous prétexte que c'est elle qui accouche!
j'en ai tellement assez que "nous, les femmes" (sauf moi?) revendiquions sans cesse une égalité totale!
dans le salaire, je veux bien, mais dans notre corps!!!
bon j'arrête je sais que je suis hs!
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
La conception d'un enfant ne regarde personne d'autre qu'un homme et une femme qui se le propose, et leur croyance. Quel est cet entretient de croire que la société peut se mêler de tout ce qui ne la regarde pas?
Les hommes conçoivent en eux la semence, la société a-t-elle le droit de leur interdire de perdre cette semence. S'il perd de la semence sans la mettre dans le corps d'une femme, sera-t-il accusé de gaspillage? C'est entre lui et sa conscience.
La femme qui reçoit la semence d'un homme en elle, est-ce toujours contre sa volonté? Naa! C'est là la décision de deux personnes, pas d'elle seul; alors, pour ceux qui disent que cela n'implique qu'elle même. Repensé-y. Mais l'homme est un foutu hypocrite dans cette affaire, car lui-même jette des milliards de spermatozoïdes, dans sa vie, comment peut-il tenter d'imposer à une femme qui n'en veut pas de porter un seul d'entre-eux?
Je dirais plutôt qu'il serait avantageux que les hommes et les femmes réfléchissent mieux avant de coucher ensemble.
Bon! Voilà que je ne me mêle pas de mes affaires.
JP
Les hommes conçoivent en eux la semence, la société a-t-elle le droit de leur interdire de perdre cette semence. S'il perd de la semence sans la mettre dans le corps d'une femme, sera-t-il accusé de gaspillage? C'est entre lui et sa conscience.
La femme qui reçoit la semence d'un homme en elle, est-ce toujours contre sa volonté? Naa! C'est là la décision de deux personnes, pas d'elle seul; alors, pour ceux qui disent que cela n'implique qu'elle même. Repensé-y. Mais l'homme est un foutu hypocrite dans cette affaire, car lui-même jette des milliards de spermatozoïdes, dans sa vie, comment peut-il tenter d'imposer à une femme qui n'en veut pas de porter un seul d'entre-eux?
Je dirais plutôt qu'il serait avantageux que les hommes et les femmes réfléchissent mieux avant de coucher ensemble.
Bon! Voilà que je ne me mêle pas de mes affaires.
JP
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
J'ai commencé mon témoignage et je pense que que toutes questions constructives méritent une réponse.ElBilqîs a écrit:
PS Merci Raphaël Rodolphe, de ton témoignage.... la décision d'avortement a-t-elle été unilatérale? ou prise à deux?
Pour les deux avortements, je n'ai eu aucun choix.
Les réponses étaient: "ce n'est pas le moments..., je suis trop jeune (22 et 23 ans), nous n'avons pas d'argent...".
Elle étaient étudiante en médecine, j'avais un emploi stable, un logement.
J'ai été mis sur le fait; un matin, peu de temps après en avoir parlé (pas discuté), je l'ai emmené à un rendez-vous..., c'était pour avorter.
Les deux fois se sont passées ainsi.
Pour la troisième grossesse, je n'ai pas eu le choix, tout était calculé, elle as voulu un enfant...
Nous sommes divorcé depuis quinze ans.
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
elle s'est certes fait violer, elle n'y est pour rien et l'enfant non plus, ça ne lui donne pas le droit de le tuer.Le droit de disposer librement de son corps n'emporte pas celui de disposer du droit de vie ou de mort sur un être vivant. Selon moi, seule la femme qui s'est fait violer a le droit de recourir à l'avortement
Invité- Invité
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Et qui décide de qui a le droit de faire ceci ou cela?loubnaen86 a écrit:elle s'est certes fait violer, elle n'y est pour rien et l'enfant non plus, ça ne lui donne pas le droit de le tuer.Le droit de disposer librement de son corps n'emporte pas celui de disposer du droit de vie ou de mort sur un être vivant. Selon moi, seule la femme qui s'est fait violer a le droit de recourir à l'avortement
_Florent51- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
a partir du moment où on considére que cet être qui vie dans ton ventre est vivant, pour moi c'est commetre un crime que d'avorter, tu lui otes le droit à la vie, ce droit que toi tu as eu et que tu refuse à l'autre c'est de l'egoisme!
Invité- Invité
Re: l'avortement, un dernier recours ou un droit?
Ok, tu décides pour toi. Tu as le droit de faire ce que tu veux en ce qui te concerne et les autres ont le droit de faire différemment si ça leur chante.loubnaen86 a écrit:a partir du moment où on considére que cet être qui vie dans ton ventre est vivant, pour moi c'est commetre un crime que d'avorter, tu lui otes le droit à la vie, ce droit que toi tu as eu et que tu refuse à l'autre c'est de l'egoisme!
De plus, notons au passage que cette notion de "droit" à la vie d'un embryon est assez absurde : comme je l'ai déjà dit la nature elle-même élimine souvent des embryons, dans ce cas elle agit contre le "droit" des embryons? Faut lui faire un procès?
_Florent51- Maître du Relatif et de l'Absolu
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