Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
+39
troubaadour
Jy
lennonslegacy
AC*
noureddine2
JPG
Escape
Half-moon
freefox
_InfinimentGrand
Cochonfucius
Magnus
_dede 95
Thomas2
Nuage
Bulle
JO
Bean
gaston21
Jipé
personne
_Spin
Athéna
ronron
Leleu
maya
zizanie
tango
Theo55
Nailsmith
Geveil
Ling
Octavien
cana
Golem
manuramolo
Egeen
casimir
_4mol
43 participants
Page 28 sur 38
Page 28 sur 38 • 1 ... 15 ... 27, 28, 29 ... 33 ... 38
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Stirica a écrit:A partir de quand est-on?
Pourrais-tu répondre à ma question s'il te plait?, le débat ici ce n'est pas l'avortement (hehehe)
lennonslegacy- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 238
Localisation : Canada - 3ieme roche à partir du Soleil
Identité métaphysique : Organisme à base de carbone
Humeur : Agréablement Contagieuse
Date d'inscription : 23/09/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Sourire.
En espagnol, il y a "ser" et "estar".
Le vide pourrait "estar"
Sans "ser".
D'où ma question....
Qui dit vide dit également abscence de temps... Que reste-t'il de l'être sans temps, sans espace...
Il n'est même pas possible de conceptualiser "absence d'espace" et "absence de temps".
En espagnol, il y a "ser" et "estar".
Le vide pourrait "estar"
Sans "ser".
D'où ma question....
Qui dit vide dit également abscence de temps... Que reste-t'il de l'être sans temps, sans espace...
Il n'est même pas possible de conceptualiser "absence d'espace" et "absence de temps".
Ling- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 21694
Localisation : .
Identité métaphysique : .
Humeur : .
Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Stirica a écrit:Sourire.
En espagnol, il y a "ser" et "estar".
Le vide pourrait "estar"
Sans "ser".
D'où ma question....
Qui dit vide dit également abscence de temps... Que reste-t'il de l'être sans temps, sans espace...
Il n'est même pas possible de conceptualiser "absence d'espace" et "absence de temps".
Je pense que c'est dans le concept lui-même du néant de ne pas exister, alors pourquoi se poser la question si il existe?
lennonslegacy- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 238
Localisation : Canada - 3ieme roche à partir du Soleil
Identité métaphysique : Organisme à base de carbone
Humeur : Agréablement Contagieuse
Date d'inscription : 23/09/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Pas exister. Je posai simplement la question:
Le néant est-il possible?
Le néant est-il possible?
Ling- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 21694
Localisation : .
Identité métaphysique : .
Humeur : .
Date d'inscription : 09/07/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Stirica a écrit:Pas exister. Je posai simplement la question:
Le néant est-il possible?
Selon moi , non. La négativité d'existence absolu, si elle existe, ce n'est qu'en opposition à ce qui existe. On ne peut définir quelque chose par son contraire. Alors, si le néant existe, c'est au même titre que le froid et la noirceurs...
lennonslegacy- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 238
Localisation : Canada - 3ieme roche à partir du Soleil
Identité métaphysique : Organisme à base de carbone
Humeur : Agréablement Contagieuse
Date d'inscription : 23/09/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Non, Lennon, rien n'est pas plus illogique que "il y a ". Simplement, tu as du mal à imaginer qu'il n'y ait rien, moi je peux. Un obstacle conceptuel à franchir: il ne faut pas confondre le vide et le rien. Le vide est vide de quelque chose, alors que rien, c'est rien.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : universelle
Humeur : changeante
Date d'inscription : 18/05/2008
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Geveil a écrit:Non, Lemon, rien n'est pas plus illogique que "il y a ". Simplement, tu as du mal à imaginer qu'il n'y ait rien, moi je peux. Un obstacle conceptuel à franchir: il ne faut pas confondre le vide et le rien. Le vide est vide de quelque chose, alors que rien, c'est rien.
Tu ne peux concevoir rien. Le concept dans ta tête est quelque chose , non? Le rien que tu conceptualise, il a des qualités? Le rien que tu conceptualise est un concept? Un concept ce n'est pas rien. Je crois que c'est toi qui prend le vide pour le rien. J'ai déjà conçu Rien dans ma tête... Lors d'absences épileptiques... On en revient à Descartes, si tout est faux, il reste du moins moi pour douter..Il y a au moins moi Et toi hihihi.
En privé, tu me feras l'honneur de m'instruire de comment on peut imaginer rien. Du moment que tu y pense, sa devient quelque chose et quelque chose ce n'est pas rien.
lennonslegacy- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 238
Localisation : Canada - 3ieme roche à partir du Soleil
Identité métaphysique : Organisme à base de carbone
Humeur : Agréablement Contagieuse
Date d'inscription : 23/09/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
En cosmologie et suivant l'équation d'Einstein, la gravité (énergie négative) compense exactement la création de matière (énergie positive) de manière à ce que l'univers soit énergiquement à l'équilibre E=0
De ce point de vue, il n'y a rien globalement et quelque chose localement.
De ce point de vue, il n'y a rien globalement et quelque chose localement.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
lennonslegacy a écrit:J'ai déjà conçu Rien dans ma tête... Lors d'absences épileptiques...
Tu viens juste de dire que tu l'as conçu !En privé, tu me feras l'honneur de m'instruire de comment on peut imaginer rien.
Je constate qu'il y a quelque chose, mais peut très bien concevoir qu'il n'y ait rien, c'est tout simplement une extrapolation du concept d'abscence. Je présume que tu peux très bien concevoir l'absence, tu l'as même sans doute vécue, absence de l'être aimé, par exemple. Le rien est l'absence de tout, il n'y a plus de "il y a", plus de galaxies, plus de terre, plus de copains, plus de partenaires, plus de lumière, plus de sons, plus de chaleur, et.... plus de lennon pour penser.Du moment que tu y pense, sa devient quelque chose et quelque chose ce n'est pas rien.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : universelle
Humeur : changeante
Date d'inscription : 18/05/2008
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Geveil a écrit:lennonslegacy a écrit:J'ai déjà conçu Rien dans ma tête... Lors d'absences épileptiques...Tu viens juste de dire que tu l'as conçu !En privé, tu me feras l'honneur de m'instruire de comment on peut imaginer rien.Je constate qu'il y a quelque chose, mais peut très bien concevoir qu'il n'y ait rien, c'est tout simplement une extrapolation du concept d'abscence. Je présume que tu peux très bien concevoir l'absence, tu l'as même sans doute vécue, absence de l'être aimé, par exemple. Le rien est l'absence de tout, il n'y a plus de "il y a", plus de galaxies, plus de terre, plus de copains, plus de partenaires, plus de lumière, plus de sons, plus de chaleur, et.... plus de lennon pour penser.Du moment que tu y pense, sa devient quelque chose et quelque chose ce n'est pas rien.
La question principale était celle de Leibniz, Pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien? Dans mon post j'affirme que le néant si il existe, implique l'existence de quelque chose. Ce que tu dis, en affirmant ton histoire d'absence, c'est exactement ce que j'ai dis. Et oui, si il n'y a un Rien, c'est par absence de quelque chose. Nous sommes d'accord, ne l'avais-tu pas constaté?
lennonslegacy- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 238
Localisation : Canada - 3ieme roche à partir du Soleil
Identité métaphysique : Organisme à base de carbone
Humeur : Agréablement Contagieuse
Date d'inscription : 23/09/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Donc, le sujet ne peut l'être que face à un objet . S'il y a quelque chose, c'est juste parceque je me pose en sujet . Pour le rocher, la question ne se pose pas . La seule question est : qu'est-ce que je fais là , à penser un objet qui n'y est peut-être que dans ma tête ?
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Rien de tel que l'expérience sensitive.JO a écrit:Donc, le sujet ne peut l'être que face à un objet . S'il y a quelque chose, c'est juste parceque je me pose en sujet . Pour le rocher, la question ne se pose pas . La seule question est : qu'est-ce que je fais là , à penser un objet qui n'y est peut-être que dans ma tête ?
Cogne-toi la tête sur le rocher et tu verras bien.
Le rocher ne se posera pas plus de question mais toi, tu te demanderas d'où peut venir ce mal de tête.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Argument irrecevable, il peut y avoir aussi des rochers dans nos rêves sur lesquels on se cogne.zizanie a écrit:Le rocher ne se posera pas plus de question mais toi, tu te demanderas d'où peut venir ce mal de tête.
Tu me diras que dans " la réalité" tu te fais une plaie au cuir chevelu et pas dans le rêve. C'est vrai, mais dans mon post sur " rêve et réalité", je dis que la différence entre les deux est une question de durée et de logique. Ainsi, dans un rêve, on peut voir un parapluie se transformer en orange, et sûrement pas dans la réalité, par contre, on peut voir l'orange se transformer en pourriture et le parapluie se déchirer, à la longue, donc comme l'on si bien compris les bouddhistes, tout est impermanent. La réalité a une certaine solidité, mais qu'en est-il de cette solidité? Pour un rayon gamma, un diamant est comme du gaz.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : universelle
Humeur : changeante
Date d'inscription : 18/05/2008
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
question de vitesses comparées? carbone 14 ou éphémère ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Certes mais tu ne contredis pas mon argument dans l'instant. Hors la réalité se vit dans l'instant. Seul le présent est réel. Le passé est un souvenir et donc, il est un peu comme un rêve, à la cohérence logique prêt.Geveil a écrit:Argument irrecevable, il peut y avoir aussi des rochers dans nos rêves sur lesquels on se cogne.zizanie a écrit:Le rocher ne se posera pas plus de question mais toi, tu te demanderas d'où peut venir ce mal de tête.
Tu me diras que dans " la réalité" tu te fais une plaie au cuir chevelu et pas dans le rêve. C'est vrai, mais dans mon post sur " rêve et réalité", je dis que la différence entre les deux est une question de durée et de logique. Ainsi, dans un rêve, on peut voir un parapluie se transformer en orange, et sûrement pas dans la réalité, par contre, on peut voir l'orange se transformer en pourriture et le parapluie se déchirer, à la longue, donc comme l'on si bien compris les bouddhistes, tout est impermanent. La réalité a une certaine solidité, mais qu'en est-il de cette solidité? Pour un rayon gamma, un diamant est comme du gaz.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Bonjour lennonslegacy
Le seul « rien » qui puisse être ne peut-être que relatif comme un vide par rapport à un plein.
Mais dans l'Absolu, là où se pose la question, en amont du Relatif donc, il ne peut y avoir rien sinon même pas rien.
Cette question est une façon de dire que l'être seul est possible et que le non-être ne l'est pas puisque la question se pose. Au Commencement (qui n'est pas à comprendre comme un début, d'où la majuscule), au Commencement (sans début ni fin) Est le Verbe ; le verbe être bien évidemment et ce verbe être est une entité en soi à qui il fut donné le nom de Dieu.
Puis ce Être, ce non rien, se décline, se conjuge : je Suis, je Suis celui qui Est.
Cette déclinaison du verbe être est ce que l'on nomme la Création, le Verbe de l'Être (Le Fils)
Création, au passage, qui ne peut être confondu avec formalisation ; Création signifiant Manifestation, manifestation de l'Être puisqu'il est ; Être c'est se manifester, une évidence, le non-être ne peut se manifester ! Thomas d'Aquin, autrement, ne dit pas autre chose.
La métaphysique au sens réel du terme s'appliquant à l'Origine est de la Philosophie (avec majuscule) ce qui est La Pensée. Dieu Crée au seul moyen de sa Pensée. Être est quand être se Pense Être : je Pense donc je Suis. Il ne suffit pas à l'Être d'être pour Être, il lui faut se savoir Être(*), c'est ce que l'on nomme la Conscience. Ainsi l'on peut dire que la Pensée est de la Conscience en Action.
(*) Cela implique (pour ceux qui suivent) qu'il y aurait un non-Manifeste avant le Manifeste : oui, c'est l'Imprononçable qui par le fait de son imprononçabilité ne se nomme même pas D..., Imprononçable qui fait que « même pas rien » ne peut-être.
Le seul « rien » qui puisse être ne peut-être que relatif comme un vide par rapport à un plein.
Mais dans l'Absolu, là où se pose la question, en amont du Relatif donc, il ne peut y avoir rien sinon même pas rien.
Cette question est une façon de dire que l'être seul est possible et que le non-être ne l'est pas puisque la question se pose. Au Commencement (qui n'est pas à comprendre comme un début, d'où la majuscule), au Commencement (sans début ni fin) Est le Verbe ; le verbe être bien évidemment et ce verbe être est une entité en soi à qui il fut donné le nom de Dieu.
Puis ce Être, ce non rien, se décline, se conjuge : je Suis, je Suis celui qui Est.
Cette déclinaison du verbe être est ce que l'on nomme la Création, le Verbe de l'Être (Le Fils)
Création, au passage, qui ne peut être confondu avec formalisation ; Création signifiant Manifestation, manifestation de l'Être puisqu'il est ; Être c'est se manifester, une évidence, le non-être ne peut se manifester ! Thomas d'Aquin, autrement, ne dit pas autre chose.
La métaphysique au sens réel du terme s'appliquant à l'Origine est de la Philosophie (avec majuscule) ce qui est La Pensée. Dieu Crée au seul moyen de sa Pensée. Être est quand être se Pense Être : je Pense donc je Suis. Il ne suffit pas à l'Être d'être pour Être, il lui faut se savoir Être(*), c'est ce que l'on nomme la Conscience. Ainsi l'on peut dire que la Pensée est de la Conscience en Action.
(*) Cela implique (pour ceux qui suivent) qu'il y aurait un non-Manifeste avant le Manifeste : oui, c'est l'Imprononçable qui par le fait de son imprononçabilité ne se nomme même pas D..., Imprononçable qui fait que « même pas rien » ne peut-être.
Leleu- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1538
Localisation : Jura
Identité métaphysique : chercheur
Humeur : sociable
Date d'inscription : 16/12/2008
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
D'autant qu'on peut prouver l'être mais pas le non-être.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Même avec 39 majusculeszizanie a écrit:D'autant qu'on peut prouver l'être mais pas le non-être.
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
En parlant de Majuscule, j'attends encore la réponse de Leleu ici...
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
C'est vrai qu'il est très majusculaire Leleu. Moi peu.Bulle a écrit:Même avec 39 majusculeszizanie a écrit:D'autant qu'on peut prouver l'être mais pas le non-être.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Même conception du Rien que Lennon . Le Rien est une conception de l'esprit, sans plus . Il existe une Réalité, et c'est nous, mentalement, qui avons conçu le Rien. Leleu l'exprime beaucoup plus savamment.
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6875
Localisation : Bourgogne
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Idem : Leleu a tout dit .Et pas mal d'autres, avant . Si nous posons la question de l'être, c'est que nous sommes, mon cher Descartes .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Le rien, c'est l'ensemble vide ... mais ensemble tout de même.
Raymond Devos aurait dit que rien c'est quelque chose.
Raymond Devos aurait dit que rien c'est quelque chose.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Ça me fait penser au fait que tu ne peux pas ne pas avoir de style vestimentaire. Ne pas avoir de style vestimentaire est un style en soi. :)
lennonslegacy- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 238
Localisation : Canada - 3ieme roche à partir du Soleil
Identité métaphysique : Organisme à base de carbone
Humeur : Agréablement Contagieuse
Date d'inscription : 23/09/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
oui mais ne pas avoir d'argent....... ce n'est pas en avoir !
troubaadour- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4355
Localisation : France
Identité métaphysique : Athée Libéral-humaniste
Humeur : contrariant
Date d'inscription : 24/06/2008
Page 28 sur 38 • 1 ... 15 ... 27, 28, 29 ... 33 ... 38
Sujets similaires
» La réponse est dans la question
» Sagesse du pluvian
» Deleuze expique Leibniz
» Autour de la fameuse citation de malraux
» Commentaire sur : : @le lynx, pour qu'il me pose ses fameuse
» Sagesse du pluvian
» Deleuze expique Leibniz
» Autour de la fameuse citation de malraux
» Commentaire sur : : @le lynx, pour qu'il me pose ses fameuse
Page 28 sur 38
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum