Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Voyons Gaston, je n'ai pas dit que la seule conscience est signe de vie, j'ai dit que je crois que tout être vivant éprouve quelque chose, et même plus, qu'un être ne peut être qualifié de vivant que s'il ressent quelque chose. Un arbre, par exemple, ressent peut-être quelque chose, rien que nous humains puissions connaître, et encore, peut-être que dans certains états de méditation ?
Quand tu dis que dans le coma tu n'es pas conscient, certes, mais peut-être ressens-tu des choses dont tu ne te souviendras pas au réveil. Et peut-être qu'après ta mort, tu seras une endive !
Quand tu dis que dans le coma tu n'es pas conscient, certes, mais peut-être ressens-tu des choses dont tu ne te souviendras pas au réveil. Et peut-être qu'après ta mort, tu seras une endive !
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Il y a évolution du monde et des espèces dans le sens de la complexité croissante ou négentropie associée à une augmentation globale de l'entropie.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
J'aimerais savoir ce que peut bien ressentir une levure?
Mais le lion en a probablement une bonne idée pour affirmer cela.
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zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Mais je n'en sais rien, pas plus que je sais ce que TU ressens, en ce moment ! Ce que je crois, c'est qu'elle ressent quelque chose.zizanie a écrit:J'aimerais savoir ce que peut bien ressentir une levure?
Mais le lion en a probablement une bonne idée pour affirmer cela.
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Finalement, tu remplaces une tautologie par une croyance, nous tombons de Charybde en Scylla.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Quelque chose m'échappe...zizanie a écrit:Il y a évolution du monde et des espèces dans le sens de la complexité croissante ou négentropie associée à une augmentation globale de l'entropie.
Il m'apparaît pourtant que complexité croissante et évolution pointent vers une positivité alors qu'entropie donne l'impression d'une négativité...
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
L'entropie est juste le témoin de la combustion: quand le bois brûle, sa matière se disloque mais il produit de la chaleur . L'homme évolue par mort (entropie) et renaissance ... Un systême ouvert dégrade le milieu, qui lui permet de s'accroitre .L'existence terrestre pourrait être la bûche qui permet à une âme de relayer la chaleur de la vie .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
La mule est issue d'une reproduction. C'est simplement un accident de reproduction qui donne un être vivant stérile. Sans le processus de reproduction point de mule.Ahmed Ibn Majid a écrit:Une mûle n'est donc pas un être vivant?
La reproduction est le dénominateur commun au vivant.
Sans reproduction point de vivant. Et sans vivant point de reproduction.
Enfin il me semble.
c'est quand même nettement plus démontrable que la conscience ou l’émotion dans le monde du vivant.
troubaadour- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
l'entropie se compense par l'évolution néguentropique . Il fallait peut-être ces millénaires pour transformer en univers pensant un big bang de fusion matérielle .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Le paradoxe, c'est que de rien (peut-être) on a démarré avec une entropie maximale pour petit à petit augmenter la négentropie, alors que nécessairement la négentropie ne peut être localement augmentée qu'avec une augmentation globale de l'entropie.JO a écrit:l'entropie se compense par l'évolution néguentropique . Il fallait peut-être ces millénaires pour transformer en univers pensant un big bang de fusion matérielle .
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Oui, c'est une croyance, je dirais même plus, un acte de foi.zizanie a écrit:Finalement, tu remplaces une tautologie par une croyance, nous tombons de Charybde en Scylla.
Je suis d'accord, il ne sert strictement à rien pour expliquer comment la vie fonctionne, comment elle est apparue, autrement dit, d'un point de vue scientifique, ça ne fait pas avancer le schmilblick, mais d'un point de vue éthique, cette croyance est extrêmement importante. Si tu veux un exemple, il fut un temps, sous Descartes, on pensait que les animaux étaient insensibles, de simples automates, il n'y a pas si longtemps, on pensait que les nourrissons, faute d'être achevés, ne ressentaient rien et on ne se donnait pas la peine de faire d'anesthésie avant intervention chirurgicale. Comprends-tu pourquoi je soutiens qu'un être vivant est un être qui ressent ?
Dernière édition par Geveil le Mar 15 Jan 2013 - 12:49, édité 1 fois
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Ou dangereuse.Geveil a écrit:mais d'un point de vue éthique, cette croyance est extrêmement importante.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Alors là ! Quel est le danger ?
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Celui de prendre comme non vivants des êtres qui sortent de ces critères. Ou de méconnaitre le moyen de s'assurer de ces critères. Ou au contraire, de ne pas pouvoir dépasser ces critères pour faire un choix vital. Puisqu'il est question d'éthique.Geveil a écrit:Alors là ! Quel est le danger ?
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Mais comme ces critères n'en sont pas, autant supposer que tout est vivant, même une pierre.zizanie a écrit:Celui de prendre comme non vivants des êtres qui sortent de ces critères.Geveil a écrit:Alors là ! Quel est le danger ?
Il n'y a aucun moyen d'appliquer un tel critère, mais où est le danger ?Ou de méconnaitre le moyen de s'assurer de ces critères.
C'est plus facile, hein, de choisir d'implanter un cancer à un cobaye si on pense qu'il ne ressent rien !Ou au contraire, de ne pas pouvoir dépasser ces critères pour faire un choix vital.
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Le fait de ressentir est un état possible du vivant mais ne peut-on pas être vivant sans ressentir là est la quesiton...?Geveil a écrit:Mais comme ces critères n'en sont pas, autant supposer que tout est vivant, même une pierre.
Sinon pour définir le vivant il existe d'autres critères...
Tu pars du postulat que tout etre vivant ressent et donc qu'il ne faut pas lui faire de mal.C'est plus facile, hein, de choisir d'implanter un cancer à un cobaye si on pense qu'il ne ressent rien !
C'est louable.
Mais cela n'en fait pas une définition du vivant.
On peut aussi bien dire : Tout être vivant est susceptible de souffrir donc il faut éviter de lui faire du mal...
troubaadour- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
En effet, et alors ?troubaadour a écrit:
On peut aussi bien dire : Tout être vivant est susceptible de souffrir donc il faut éviter de lui faire du mal...
Par ailleurs, il n'y a pas d'autre définition du vivant que celle que j'ai donnée, toutes les autres définitions sont en fait des descriptions.
Geveil- Akafer
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
C'est le propre d'une définition non ?
D’ailleurs je ne vois pas en quoi ta définition n'est pas une description.
D’ailleurs je ne vois pas en quoi ta définition n'est pas une description.
troubaadour- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Pas si antiscientifique que cela, car d'un point de vue scientifique il n'est pas exclu... que dans le domaine subatomique certaines particules sont crées à ... partir de rien ! (Cf la théorie des particules virtuelles des trois Nobel de 1965 (Seymour-Schwinger-Feynman).ronron a écrit:J'en parle comme concept éminemment antiscientifique. Rien ne pouvant naître du néant, il faut quelque chose. Et je fais équivaloir ce quelque chose à ce qui est, à la réalité, au tout ce qui est, et donc au quelque chose de Leibniz...
Seulement dans une acception particulière du mot "réalité", c'est à dire dans le sens de ce qui s'oppose à l'imitation, de la copie ronron ! Et la nuance est importanteJ'avais trouvé intéressant de constater que le mot réalité se traduit en latin par Veritas (aussi Res)...
Mais ronron, le "quelque chose" de Leibniz concerne le fait d'être pas autre chose ; et c'est bien la raison pour laquelle elle reste, amha, par excellence (au delà des démonstrations philosophiques par l'à priori y compris celle de Leibniz) la seule question métaphysique qui ne vieillit pas, concerne et peut motiver chacun !Je ne parle pas de ce quelque chose comme étant un être au sens anthropomorphique du terme, une volonté, une intention... Mais en même temps, force est d'être perplexe devant l'éventualité que le monde soit sans raison... Mais alors, pour la personne qui le soutiendrait, la question de Leibniz n'a plus lieu d'être...
Et cela, même si je ne se préoccupe pas des causes (autres que la rencontre d'un homme et d'une femme ) qui font que, c'est un fait incontestable : "je suis" [donc ... quelque chose et pas rien].
Or, je ne vois aucune raison pour que tout être ne porte pas, comme le dit Leibniz (certes pas à propos du simple mortel) "la raison de son existence avec soi".
Autrement dit, la question de Leibniz va bien au delà de dieu and co (question obsolète car on ne pourra probablement jamais prouver l'existence ou la non existence de..) car pourquoi l'"être" signifie également bien entendu, pourquoi le "devenir" ; ainsi, il me reste, moi humain, à répondre, à mon niveau et mes possibilités bassement terriennes au "pourquoi = but" ; autrement dit à la question de mon évolution, de mon devenir que l'on pourrait plus simplement poser sous la forme : que vais-je faire de ma vie...
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Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
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JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Geveil a écrit:Voyons Gaston, je n'ai pas dit que la seule conscience est signe de vie, j'ai dit que je crois que tout être vivant éprouve quelque chose, et même plus, qu'un être ne peut être qualifié de vivant que s'il ressent quelque chose. Un arbre, par exemple, ressent peut-être quelque chose, rien que nous humains puissions connaître, et encore, peut-être que dans certains états de méditation ?
Quand tu dis que dans le coma tu n'es pas conscient, certes, mais peut-être ressens-tu des choses dont tu ne te souviendras pas au réveil. Et peut-être qu'après ta mort, tu seras une endive !
Je meurs demain. Mon âme s'échappe par la cheminée de Mirande. Et la voilà dans une graine d'endive . A l'automne, j'atterris sur la table du restaurant " l"Auvergnat matois" . Vieux Lion, le hasard fait que...tu me manges ! Qu'arrivera-t-il ? Souviens-toi du Fréron de Voltaire ! " Que croyez-vous qu'il arriva ?..."
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Je ne sais pas à quoi ça peut correspondre exactement mais si tu l'exprimes comme tu le fais, ton rien est quelque chose... Et quand tu hausses la soi-disant apparition au niveau du big bang, ça te pète littéralement une théorie...Bulle a écrit:Pas si antiscientifique que cela, car d'un point de vue scientifique il n'est pas exclu... que dans le domaine subatomique certaines particules sont crées à ... partir de rien ! (Cf la théorie des particules virtuelles des trois Nobel de 1965 (Seymour-Schwinger-Feynman).ronron a écrit:J'en parle comme concept éminemment antiscientifique. Rien ne pouvant naître du néant, il faut quelque chose. Et je fais équivaloir ce quelque chose à ce qui est, à la réalité, au tout ce qui est, et donc au quelque chose de Leibniz...
Pourquoi dans l'acception que tu choisis plutôt que dans une autre?Seulement dans une acception particulière du mot "réalité", c'est à dire dans le sens de ce qui s'oppose à l'imitation, de la copie ronron ! Et la nuance est importanteJ'avais trouvé intéressant de constater que le mot réalité se traduit en latin par Veritas (aussi Res)...
J'entends ici réalité dans le sens de la réponse que j'ai reçue à la question: Qu'est-ce que la vérité?
Je comprends le quelque chose dans la question de Leibniz comme englobant tout ce qui est, le fait de réalité, et donc inclusif de tout je suis...Mais ronron, le "quelque chose" de Leibniz concerne le fait d'être pas autre chose
Ah, oui? J'imagine que ça inclut le sens de la vie, de la mort, du mal, de l'existence avant la vie, après la mort, le pourquoi du questionnement métaphysique, etc.; et c'est bien la raison pour laquelle elle reste, amha, par excellence (au delà des démonstrations philosophiques par l'à priori y compris celle de Leibniz) la seule question métaphysique qui ne vieillit pas, concerne et peut motiver chacun !
On ne sait pas ce qu'est dieu...Autrement dit, la question de Leibniz va bien au delà de dieu and co (question obsolète car on ne pourra probablement jamais prouver l'existence ou la non existence de..)
Or si tu dis que dieu, c'est tout ce qui est, tu n'as pas besoin de le prouver puisque tu es face à l'évidence (t'incluant évidemment)... La question devient donc : Qu'est-ce qui me prouve que c'est cela, dieu?
Pour t'amuser, tu peux aussi poser l'hypothèse que dieu existe. Et alors te demander: Mais pourquoi est-il impossible de le prouver?
À la question de Leibniz, m'en vient une autre : Que faut-il pour que quelque chose soit?
ronron- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : ciel bleu
Date d'inscription : 07/03/2011
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
Geveil a écrit:Toutes les autres définitions sont en fait des descriptions.
Pas faux. La vie est une expérience avant tout. Le reste n'est qu'analogies.
Ahmed Ibn Majid- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : Bonne
Date d'inscription : 10/01/2013
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
En effet, je définis la vie comme un ensemble de sensations ou d'émotions ou de sentiments ou de pensées, c'est donc bien une description.troubaadour a écrit:C'est le propre d'une définition non ?
D’ailleurs je ne vois pas en quoi ta définition n'est pas une description.
Donc, je précise: les définitions " scientifiques" qu'on donne de la vie décrivent les processus vitaux, pas la vie elle-même qui ne peut-être connue que de l'intérieur, donc non observable.
Geveil- Akafer
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Date d'inscription : 18/05/2008
Re: Ma courte réponse à La fameuse question de Leibniz
la vie, c'est ce qui meurt .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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