le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Revenons au sujet et sur quelques points car j'aimerais savoir ce qui est crédible ou pas.
1)N’y a-t-il pas erreur de penser que l’on est réactionnaire quand on est contre l’évolution de la société puisqu’il semble quand même préférable de se positionner contre une évolution négative ?
Ou alors certains seraient réactionnaires parce qu’ils sont contre une évolution qui voudrait revenir en arrière ! … Ainsi seraient réactionnaires ceux qui s’opposaient à l’évolution du régime de Vichy !
2)Quand marine2010 dit : « Quelle petite fille n'a jamais dit "je veux me marier avec papa." On en a même fait un conte, Peau d’âne. C'est quoi? Si ce n'est le fantasme de toute petite fille que son père soit amoureux d'elle. », elle fait une constatation pertinente ?
Alors qu’elle disait (« tout ce que tu décris concerne les garçons qui voit leur mère comme toute puissante ») qu’il n’y avait que les garçons qui voyaient leur maman toute-puissante ( il y a donc déjà ici acceptation que le maman est perçue toute-puissante et si on en restait là qu’il y a une différence entre le garçon et la fille), ne montre-t-elle pas que la petite fille ne fantasme pas sur son père mais rêve que son père fantasme sur elle comme il peut fantasmer sur sa compagne.
Le garçon et la fille fantasme sur la maman toute-puissante. La différence est que la fille croit qu’elle va devenir toute-puissante comme sa maman alors que le garçon sait, même s’il ne voudrait ne pas le savoir, que pour lui ce n’est pas possible.
Marine2010 qui ne peut être accusée de sortir des absurdités, nous dit bien qu’il y a une maman perçue toute-puissante et qu’il y a différence entre le garçon et la fille ! Simplement avec ces deux lignes, elle remettrait en cause la théorie du genre...
Alors êtes-vous d’accord ou pas avec ce qu’elle dit et pourquoi ?
1)N’y a-t-il pas erreur de penser que l’on est réactionnaire quand on est contre l’évolution de la société puisqu’il semble quand même préférable de se positionner contre une évolution négative ?
Ou alors certains seraient réactionnaires parce qu’ils sont contre une évolution qui voudrait revenir en arrière ! … Ainsi seraient réactionnaires ceux qui s’opposaient à l’évolution du régime de Vichy !
2)Quand marine2010 dit : « Quelle petite fille n'a jamais dit "je veux me marier avec papa." On en a même fait un conte, Peau d’âne. C'est quoi? Si ce n'est le fantasme de toute petite fille que son père soit amoureux d'elle. », elle fait une constatation pertinente ?
Alors qu’elle disait (« tout ce que tu décris concerne les garçons qui voit leur mère comme toute puissante ») qu’il n’y avait que les garçons qui voyaient leur maman toute-puissante ( il y a donc déjà ici acceptation que le maman est perçue toute-puissante et si on en restait là qu’il y a une différence entre le garçon et la fille), ne montre-t-elle pas que la petite fille ne fantasme pas sur son père mais rêve que son père fantasme sur elle comme il peut fantasmer sur sa compagne.
Le garçon et la fille fantasme sur la maman toute-puissante. La différence est que la fille croit qu’elle va devenir toute-puissante comme sa maman alors que le garçon sait, même s’il ne voudrait ne pas le savoir, que pour lui ce n’est pas possible.
Marine2010 qui ne peut être accusée de sortir des absurdités, nous dit bien qu’il y a une maman perçue toute-puissante et qu’il y a différence entre le garçon et la fille ! Simplement avec ces deux lignes, elle remettrait en cause la théorie du genre...
Alors êtes-vous d’accord ou pas avec ce qu’elle dit et pourquoi ?
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Bulle a écrit:Oui mais c'était sans compter sur le nouveau sauveur du monde, car mesdames, messieurs, le gabard nouveau est arrivé !!!Jean GABARD a écrit:
Quand on croit très fort à son utopie il est "logique" de passer au totalitarisme... (de même que lorsque l'on croit très fort à sa religion ... de passer à l'intégrisme)
et certains féministes extrémistes n'en sont pas très loin. Ils en emploient déjà les méthodes (dénigrement, mis à l'écart, intimidation, censure ...) en étant persuadés qu'ils luttent pour le bien de l'humanité contre le MAL
Mais voyons Jean GABARD, essaie de prendre un peu conscience que ton raisonnement ne tient pas debout ! Tu pars de données fausses, de phrases sorties du contextes récupérées ici ou là pour ne rien faire d'autre que de tenter de faire passer une misogynie caractérisée pour une théorie sociologique éclairée !
Les dérivantes et dérivants du féminisme, le genders studies se sont emparés du monde, et sont la raison des échecs scolaires, de l'enfant roi, de la démission des pères lorsqu'elle existe etc etc...et gare au nazisme !
Tu te fais mettre minable à peu près partout pour ces propos purement réactionnaires, et tu n'arrives pas encore à admettre que tes arguments n'ont rien, absolument rien de crédibles ?
Et si tu critiquais ce que j'ai dit sur utopie et totalitarisme plutôt que ce que tu me fais dire. J'aimerais avoir ton avis ...
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 179
Date d'inscription : 01/11/2011
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
casimir a écrit:Bulle a écrit:
Tu te fais mettre minable à peu près partout pour ces propos purement réactionnaires, et tu n'arrives pas encore à admettre que tes arguments n'ont rien, absolument rien de crédibles ?
Quand tout le monde commence à penser comme tout le monde,
plus personne ne pense par lui même.
il n'y a même plus besoin de penser ... c'est ce que recherchent les régimes totalitaires ...
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 01/11/2011
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Ce n'est pas l'enfant (garçon ou fille) qui est masculin mais le mot "enfant". Tout comme "parent" ce sont des mots masculins mais ce qu'ils désignent est neutre. Tu le dis toi même. "(mot masculin valable pour un garçon ou une fille)" Ce qu'il désigne et ni masculin ou ni féminin mais neutre jusqu'à ce qu'on le spécifie. On ne sait pas si on parle d'un "parent" masculin ou féminin si on ne le précise pas de même avec "enfant". Après ce bref cour de grammaire, reprenons depuis le début ses deux phrases et remettons-les dans leur contexte.Jean gabard a écrit:Remettons les choses au clair, si vous voulez bien
Ma première phrase était page 9 du forum:
« L’enfant garde dans son inconscient cette image de la déesse créatrice omnipotente qui ne peut avoir mis au monde qu’un dieu tout-puissant. »
Un dieu tout-puissant correspond à l’enfant (mot masculin valable pour un garçon ou une fille)
Ma deuxième phrase était :
« je rappelle que l'enfant (garçon ou fille) est masculin et donc qu'il ne peut pas se prendre pour une déesse. »
Ici est masculin : l’enfant
1/ Dit moi pourquoi Gérard Mendel contrairement à toi utilise le mot homme et non le mot être humain ou Homme avec un grand H pour désigner aussi bien l'homme que la femme?Jean Gabard le 12/11/2011 à 8H29 a écrit:L’enfant garde dans son inconscient cette image de la déesse créatrice omnipotente qui ne peut avoir mis au monde qu’un dieu tout-puissant. Il se refuse, même en grandissant, à en faire le deuil et reste dans la nostalgie : « Cette première phase, remarque Gérard Mendel, est ineffaçable chez l’homme adulte .» Cette image, qui se retrouve dans de nombreux mythes, (Gaïa engendre seule Ouranos, la Vierge Marie…) est une vision fantasmée de la mère que l’humain reporte sur toutes les femmes capables d’enfanter. Ainsi, tout au long de sa vie, il voit dans toute femme qu’il rencontre, non pas une femme telle qu’elle est, mais « La femme » de ses fantasmes. Lacan, voulant rappeler à l’humain que sa vision des femmes est déformée, disait en provoquant : « La femme n’existe pas ».
2/ Ensuite il est clair qu'on parle des hommes et non des femmes. On le comprend très bien dans ce passage même si tu as remplacé dans tes explications le sens en remplaçant le mot homme par être humain. Pour te permettre d'inclure les femmes, qui normalement ne sont pas concerné. On va le démontrer tout de suite avec en petit a) la version homme et en petit b) la version femme. Normalement les deux doivent être logique puisqu'on parle d'être humain, homme-femme peut importe le sexe n'est-ce pas. Tous dans le même délire du MOTHER POWER. Alors allons-y!!
a) Cette image, qui se retrouve dans de nombreux mythes, (Gaïa engendre seule Ouranos, la Vierge Marie…) est une vision fantasmée de la mère que l’homme reporte sur toutes les femmes capables d’enfanter. Ainsi, tout au long de sa vie, il voit dans toute femme qu’il rencontre, non pas une femme telle qu’elle est, mais « La femme » de ses fantasmes. Lacan, voulant rappeler à l’homme que sa vision des femmes est déformée, disait en provoquant : « La femme n’existe pas ».
b) Cette image, qui se retrouve dans de nombreux mythes, (Gaïa engendre seule Ouranos, la Vierge Marie…) est une vision fantasmée de la mère que la femme reporte sur toutes les femmes capables d’enfanter. Ainsi, tout au long de sa vie, la femme voit dans toute femme qu’elle rencontre, non pas une femme telle qu’elle est, mais « La femme » de ses fantasmes. Lacan, voulant rappeler à la femme que sa vision des femmes est déformée, disait en provoquant : « La femme n’existe pas ».
Faut m'expliquer une chose là. Pourquoi la femme comme l'homme a le fantasme d'enfanté? Apparemment les femmes sont comme les hommes, elles ne peuvent pas enfanter donc elles fantasment de pouvoir le faire. Apparemment les femmes veulent elles aussi rencontrer des femmes et non des hommes . Bah oui toutes des lesbiennes. Faut arrêter la moquette! Et m'expliquer pourquoi tu remixes le sens de la phrase de Gérard Mendel qui parle bien des hommes des mâles et non des deux féminin et masculin. Et que tu l'incorpores à ton texte en prenant le soin de ne plus dire homme mais être humain. C'est quoi encore ce vice à deux balles? Quelle en est le but?
Invité- Invité
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Bah oui il y a différence entre une fille et un garçon. LE SEXE!! C'est bien pour ça que ta théorie est ridicule car justement elle ne fait pas la différence entre fille et garçon. Tout le monde fantasme sur la mère et pourtant personne ne se comporte de la même façon avec elle. Le fils rêve de se marier avec sa mère et la fille rêve de se marier avec son père. Donc il y a bien un malaise dans ta théorie mère toute puissante. Pour toi surement maman est toute puissante mais pas pour les femelles je suis désolée on préfère King Kong et pas Chita! Sinon on serait toutes lesbiennes à la recherche de la femme de nos fantasmes. Comme dit plus haut! Du coup les hommes seraient obligé d'être gays, donc de fantasmer sur l'homme et plus sur la femme.Jean Gabard a écrit:lors qu’elle disait (« tout ce que tu décris concerne les garçons qui voit leur mère comme toute puissante ») qu’il n’y avait que les garçons qui voyaient leur maman toute-puissante ( il y a donc déjà ici acceptation que le maman est perçue toute-puissante et si on en restait là qu’il y a une différence entre le garçon et la fille),
Pourquoi tu ne parles pas de mon post ou je dis que le petit garçon veut se marier avec sa maman? Comme d'hab tu fais une sélection pour nous faire ta vinaigrette maman fleurette. Maintenant si on suit ta logique c'est la même chose avec le petit garçon qui veut se marier avec sa mère. Si je comprends bien il ne fantasme pas sur sa mère mais rêve que sa mère fantasme sur lui comme elle peut fantasmer sur son compagnon. Le père est donc perçu tout puissant lui aussi.Jean Gabard a écrit:ne montre-t-elle pas que la petite fille ne fantasme pas sur son père mais rêve que son père fantasme sur elle comme il peut fantasmer sur sa compagne.
Gabard faut te faire une raison, je sais que c'est difficile mais Freud a raison! Au faîte tu as parlé avec des femmes pour faire ton livre? Tu as observé le comportement des petites filles comme des petits garçons avec leur mère comme leur père? Car faut le faire quand même pour dire que la femme fantasme sur l'enfantement. C'est le bouquet!! Je t'offre une rose pour l'occasion, merci de me faire marrer!!
Bah non Gab tu délires les deux ne fantasment pas sur le même personnage. Je te l'ai démontré plus haut. Mais puisque tu ne veux pas comprendre on va encore inverser et faire comme si le père était tout puissant pour les deux. Tu verras une nouvelle fois que c'est ridicule. Je reprends :Le garçon et la fille fantasme sur la maman toute-puissante. La différence est que la fille croit qu’elle va devenir toute-puissante comme sa maman alors que le garçon sait, même s’il ne voudrait ne pas le savoir, que pour lui ce n’est pas possible.
"Le garçon et la fille fantasment sur le papa tout-puissant. La différence est que le garçon croit qu’il va devenir tout-puissant comme son papa alors que la fille sait, même si elle ne voudrait ne pas le savoir, que pour elle ce n’est pas possible."
Magie des mots! Sa marche aussi! Gab une nouvelle fois comment expliques-tu cela?
Mais si faut m'accuser sinon je vais continuer dans l'absurde. Surtout si je te réponds, je suis obligé de tomber dans l'absurde. Ce que tu dis m'y pousse. On nage en plein dedans depuis le premier mot de ce fil. Gabard le renard ruse de ruses pour essayer de tourner mes propos dans son délire MOTHER POWER désolée sa marche pas! Merci de ne pas tourner mes affirmations et me faire dire tes idées et non les miennes en faisant ta technique qui commence à périmer "je sélection ce qu'il me plaît". Car depuis le début j'affirme que la mère est perçu toute puissante pour les garçons, pour les filles c'est le père qui est tout puissant. C'est donc l'égalité créée par les opposés. Ce qui fait que ta phrase :Jean Gabard a écrit:Marine2010 qui ne peut être accusée de sortir des absurdités, nous dit bien qu’il y a une maman perçue toute-puissante et qu’il y a différence entre le garçon et la fille ! Simplement avec ces deux lignes, elle remettrait en cause la théorie du genre...
Alors êtes-vous d’accord ou pas avec ce qu’elle dit et pourquoi ?
"nous dit bien qu’il y a une maman perçue toute-puissante."
Elle s'écroule car comme d'hab tu sélection que la partie MOTHER POWER! Le père est tout puissant lui aussi pour l'enfant de sexe opposé, ce que tu ne veux pas admettre. Vu que pour toi la petite fille est à classer dans le masculin. Apparemment elle a un zizi qu'elle perd dès lors ou elle tombe enceinte. Son fantasme d'enfanté se réalise et devient réalité, contrairement au garçon qui hélas garde son zizi.
Gab je te laisse, mes abdos son stock grâce à toi. Je te donne une info les femmes ne fantasme pas d'enfanter vu qu'elles peuvent le faire mais de pénétrer (d'avoir un zizi). Ton passage de dire que la femme fantasme d'enfanter c'est du même registre que de dire que l'homme fantasme de pénétrer. Tu comprends pourquoi je te conseille d'arrêter la boisson. C'est
pare ce que je m'inquiète pour toi! Ne pas faire de différence entre une femelle et un mâle c'est chaud cacao! Sur ceux ça a était un plaisir de rigoler avec toi. Bonne continuation pour ton show! Je suis sure que tu ambiance là salle avec le MOTHER POWER!!
- @Bulle :
- PS : Bulle je t'en supplie fait une suite à jean le gab! J'en peux plus je vais me pisser dessus.
Invité- Invité
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Et le bon sens tu en fais quoi ?casimir a écrit:Quand tout le monde commence à penser comme tout le monde,Bulle a écrit:
Tu te fais mettre minable à peu près partout pour ces propos purement réactionnaires, et tu n'arrives pas encore à admettre que tes arguments n'ont rien, absolument rien de crédibles ?
plus personne ne pense par lui même.
Alors selon toi sous le prétexte de ne pas penser comme tout le monde on peut pondre un soi-disant "essai" sociologique (qui je le rappelle au passage est un exercice qui demande un minimum de rigueur et d'honnêteté intellectuelle et particulièrement dans ce domaine) bourré d'éléments parfaitement dénués de fondement comme : "l'histoire d'une féminite fascinante et terrifiante" !
Elle est où la "féminite" de Gabard à part dans son cerveau ? Elles sont où les dérives féministes
- responsables de l'échec scolaire,
- responsables des enfants hors la loi,
- menace du retour au goulag ou au nazisme ?
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
- Merci de citer correctement on ne sait pas qui dit quoi...:
- [quote="marine2010"][justify]
Ce n'est pas l'enfant (garçon ou fille) qui est masculin mais le mot "enfant". Tout comme "parent" ce sont des mots masculins mais ce qu'ils désignent est neutre. Tu le dis toi même. "(mot masculin valable pour un garçon ou une fille)" Ce qu'il désigne et ni masculin ou ni féminin mais neutre jusqu'à ce qu'on le spécifie. On ne sait pas si on parle d'un "parent" masculin ou féminin si on ne le précise pas de même avec "enfant". Après ce bref cour de grammaire, reprenons depuis le début ses deux phrases et remettons-les dans leur contexte.Jean gabard a écrit:Remettons les choses au clair, si vous voulez bien
Ma première phrase était page 9 du forum:
« L’enfant garde dans son inconscient cette image de la déesse créatrice omnipotente qui ne peut avoir mis au monde qu’un dieu tout-puissant. »
Un dieu tout-puissant correspond à l’enfant (mot masculin valable pour un garçon ou une fille)
Ma deuxième phrase était :
« je rappelle que l'enfant (garçon ou fille) est masculin et donc qu'il ne peut pas se prendre pour une déesse. »
Ici est masculin : l’enfant
en grammaire le terme enfant est un terme générique qui désigne peut-être le neutre mais qui est un terme masculin. Donc l'enfant ne peut pas se prendre pour une déesse ! A "enfant" correspond le mot "dieu", pas "déesse" désolé !
je ne pouvais pas dire :"« L’enfant garde dans son inconscient cette image de la déesse créatrice omnipotente qui ne peut avoir mis au monde (qu’une déesse toute-puissante) qu'un dieu tout-puissant. »
Je n'y suis pour rien si en français le masculin l'emporte sur le féminin. Ceci est un autre débat. Ne mélangeons pas tout
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 01/11/2011
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Gabard,
tu "quotes" comme un goret, on ne comprends plus ce que tu dis et ce que disait Marine....Ressaisis toi, tu m'as l'air paumé là
tu "quotes" comme un goret, on ne comprends plus ce que tu dis et ce que disait Marine....Ressaisis toi, tu m'as l'air paumé là
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- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
- Merci de faire l'effort de citer correctement : on ne sait plus qui dit quoi:
- il est possible d’inverser homme et femme et faire une phrase correcte en français. Mais ce n’est pas parce que la phrase est correcte en français qu’elle est juste
Par contre cette phrase « Cette image, qui se retrouve dans de nombreux mythes, (Gaïa engendre seule Ouranos, la Vierge Marie…) est une vision fantasmée de la mère que la femme reporte sur toutes les femmes capables d’enfanter. Ainsi, tout au long de sa vie, la femme voit dans toute femme qu’elle rencontre, non pas une femme telle qu’elle est, mais « La femme » de ses fantasmes. Lacan, voulant rappeler à la femme que sa vision des femmes est déformée, disait en provoquant : « La femme n’existe pas ». » est totalement valable pour une femme.
« Pourquoi la femme comme l'homme a le fantasme d'enfanté? » L’homme et la femme n’ont pas le fantasme d’enfanter mais fantasment sur la femme capable d’enfanter.
Les hommes effectivement recherchent dans leur compagne leur mère et ce n’est pas possible. Mais les femmes (même celles qui ne sont pas lesbiennes) recherchent aussi leur mère dans leur compagnon. Et ce n’est toujours pas possible et en plus l’illusion est beaucoup plus difficile à tenir !
« m'expliquer pourquoi tu remixes le sens de la phrase de Gérard Mendel qui parle bien des hommes des mâles et non des deux féminin et masculin. »
Le terme homme même sans majuscule est (comme enfant) le terme générique qui désigne l’humain, homme et femme.
L’homme et la femme fantasme sur la femme et la démonstration est faite dans cette phrase :
« le fantasme de toute petite fille que son père soit amoureux d'elle. » Dans cette très juste remarque, non seulement il est montré que la fille ou la femme ne fantasme pas sur l’homme mais qu’elle trouve « normal » que l’on fantasme sur elle, sur cette femme qui n’existe pas dans la réalité mais uniquement dans le fantasme de l’humain, homme et femme.
C'est exactement ce que dit Lacan "l'homme désire la femme et la femme désire le désir de l'homme"
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Merci pour la rose. Elle est magnifique !
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 179
Date d'inscription : 01/11/2011
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
« les femmes ne fantasme pas d'enfanter vu qu'elles peuvent le faire mais de pénétrer (d'avoir un zizi). »
Les femmes effectivement ne fantasment pas d’enfanter puisqu’elles sont potentiellement capable de le faire mais elles fantasment sur La femme capable d’enfanter.
Mais les femmes ne fantasment pas de pénétrer avec un zizi et donc d’avoir un zizi.
Les femmes trouvent simplement injuste de ne pas en avoir alors que l’autre l’a. Pourquoi ne l’aurait-elles pas si elles sont toutes-puissantes ?
Pénétrer la femme avec un zizi n’est pas un fantasme mais le désir primaire de l’homme
Chez la femme le désir primaire n’est pas de pénétrer avec un zizi, ni même d’être pénétrée par un zizi mais d’être fécondée.
Par contre les femmes ont un "zizi" dans leur tête et elles prennent un très grand plaisir à pénétrer la tête des hommes. Les femmes ont le « con », l’homme a le (ou est) « con » dans sa tête ! …
L’homme éprouve une jouissance à prendre le corps d’une femme ; la femme éprouve une jouissance à prendre la tête d’un homme !
Prendre la tête d'un homme = faire en sorte qu’il fantasme sur elle, qu’il lui confirme bien qu’elle est toute-puissante
Les femmes effectivement ne fantasment pas d’enfanter puisqu’elles sont potentiellement capable de le faire mais elles fantasment sur La femme capable d’enfanter.
Mais les femmes ne fantasment pas de pénétrer avec un zizi et donc d’avoir un zizi.
Les femmes trouvent simplement injuste de ne pas en avoir alors que l’autre l’a. Pourquoi ne l’aurait-elles pas si elles sont toutes-puissantes ?
Pénétrer la femme avec un zizi n’est pas un fantasme mais le désir primaire de l’homme
Chez la femme le désir primaire n’est pas de pénétrer avec un zizi, ni même d’être pénétrée par un zizi mais d’être fécondée.
Par contre les femmes ont un "zizi" dans leur tête et elles prennent un très grand plaisir à pénétrer la tête des hommes. Les femmes ont le « con », l’homme a le (ou est) « con » dans sa tête ! …
L’homme éprouve une jouissance à prendre le corps d’une femme ; la femme éprouve une jouissance à prendre la tête d’un homme !
Prendre la tête d'un homme = faire en sorte qu’il fantasme sur elle, qu’il lui confirme bien qu’elle est toute-puissante
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 01/11/2011
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Oulah tu aurais du penser à mettre une GABARDine pour éviter de tomber dans la zizite aigüeJean GABARD a écrit:Par contre les femmes ont un "zizi" dans leur tête et elles prennent un très grand plaisir à pénétrer la tête des hommes. Les femmes ont le « con », l’homme a le (ou est) « con » dans sa tête ! …
On est en plein délire là ...
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
"les femmes", "les hommes" , sont des expressions racistes, à l'instar des expressions "les juifs" "les arabes", "les riches", "les prolos" ...l'humanité a passé le stade du générique, non ?
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Je suis entièrement d'accord avec cela JO ...JO a écrit:"les femmes", "les hommes" , sont des expressions racistes, à l'instar des expressions "les juifs" "les arabes", "les riches", "les prolos" ...l'humanité a passé le stade du générique, non ?
Ce qui est curieux c'est que l'un des éléments essentiels de la relation couple manque dans les théories sexistes : l'amour et le respect de l'un à l'autre. Comme si ça passait au dessus de la tête de certains...
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
JO a écrit:"les femmes", "les hommes" , sont des expressions racistes, à l'instar des expressions "les juifs" "les arabes", "les riches", "les prolos" ...l'humanité a passé le stade du générique, non ?
le racisme comme le sexisme consiste à ne pas accepter la différence de l'autre.
ainsi il y a sexisme quand des hommes pendant des millénaires dénigrent et infériorisent la femme C'était une manière de ne pas reconnaitre leur différence comme normale
il y a aussi sexisme quand des hommes et des femmes veulent se comporter comme s'il n'y avait pas de différences. L'autre différent n'est alors plus respecté. Il n'est respecté que s'il se conforme à ce que la majorité a décidé qu'il devait être.
« N’être qu’un, oui, mais lequel ? » (Alphonse Allais)
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Jipé a écrit:Gabard,
tu "quotes" comme un goret, on ne comprends plus ce que tu dis et ce que disait Marine....Ressaisis toi, tu m'as l'air paumé là
1000 excuses, c'est vrai que je suis un peu paumé pour ces choses là.
j'espère quand même que l'on voit la différence de propos ...
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 179
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Pas tous les humains, apparemment.JO a écrit:"les femmes", "les hommes" , sont des expressions racistes, à l'instar des expressions "les juifs" "les arabes", "les riches", "les prolos" ...l'humanité a passé le stade du générique, non ?
Et oui, je suis tout à fait d'accord. Ni "les femmes", ni "les hommes" n'existent. Moi je ne connais que des individus.
Il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal.Jean Gabard a écrit:le racisme comme le sexisme consiste à ne pas accepter la différence de l'autre.
ainsi il y a sexisme quand des hommes pendant des millénaires dénigrent et infériorisent la femme C'était une manière de ne pas reconnaitre leur différence comme normale
il y a aussi sexisme quand des hommes et des femmes veulent se comporter comme s'il n'y avait pas de différences. L'autre différent n'est alors plus respecté. Il n'est respecté que s'il se conforme à ce que la majorité a décidé qu'il devait être.
« N’être qu’un, oui, mais lequel ? » (Alphonse Allais)
Croire que les hommes et les femmes sont fondamentalement différents c'est sexiste. "Accepter la différence de l'autre", comme tu dis, c'est l'enfermer dans sa différence.
Même si on ne met pas de rapport hiérarchique, si on dis que l'autre n'est pas inférieur mais juste différent, c'est aussi discriminatoire. Voire pour moi c'est pire ; je trouve ça totalement hypocrite.
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : Chevalier Solitaire
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Que des militants de gauche (ou censés l'être) soient passés à l’extrême droite n'a rien de "logique" ; ça s'appelle se renier. Ca arrive parfois, malheureusement. De là à penser que les utopistes de gauche sont des dictateurs d’extrême-droite en puissance, ça me parait un gros raccourci.Jean GABARD a écrit:Tibouc a écrit:Traite moi d'ignorant pendant que tu y est. Ton "il suffit de" est une tentative d'évitement pour ne pas me donner un exemple précis. De là à penser que tu n'en as pas...
Effectivement je ne devrais pas avoir à te donner d'exemples. Soit tu ne les connais pas (pourquoi pas, ce n'est pas une tare), soit tu les connais et tu fais preuve de mauvaise foi ! L'important pour toi n'est apparemment pas qu'il y en ait mais que tu puisses me "coincer". Dommage !
Ceux de Mussolini, Laval sont les plus connus. Et de simples militants passés du socialisme au national socialisme !
Quand on croit très fort à son utopie il est "logique" de passer au totalitarisme... (de même que lorsque l'on croit très fort à sa religion ... de passer à l'intégrisme)
Quand on croit en une utopie, il est logique de rester utopiste. Or un vrai utopiste ne commet jamais aucune violence. Si des personnes ayant été utopistes tombent dans la violence, c'est justement parce qu'elles cessent d'être utopistes.
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Tibouc a écrit:Que des militants de gauche (ou censés l'être) soient passés à l’extrême droite n'a rien de "logique" ; ça s'appelle se renier. Ca arrive parfois, malheureusement. De là à penser que les utopistes de gauche sont des dictateurs d’extrême-droite en puissance, ça me parait un gros raccourci.Jean GABARD a écrit:Tibouc a écrit:Traite moi d'ignorant pendant que tu y est. Ton "il suffit de" est une tentative d'évitement pour ne pas me donner un exemple précis. De là à penser que tu n'en as pas...
Effectivement je ne devrais pas avoir à te donner d'exemples. Soit tu ne les connais pas (pourquoi pas, ce n'est pas une tare), soit tu les connais et tu fais preuve de mauvaise foi ! L'important pour toi n'est apparemment pas qu'il y en ait mais que tu puisses me "coincer". Dommage !
Ceux de Mussolini, Laval sont les plus connus. Et de simples militants passés du socialisme au national socialisme !
Quand on croit très fort à son utopie il est "logique" de passer au totalitarisme... (de même que lorsque l'on croit très fort à sa religion ... de passer à l'intégrisme)
Quand on croit en une utopie, il est logique de rester utopiste. Or un vrai utopiste ne commet jamais aucune violence. Si des personnes ayant été utopistes tombent dans la violence, c'est justement parce qu'elles cessent d'être utopistes.
"un vrai utopiste ne commet jamais aucune violence." Est-ce aussi vrai pour la violence verbale ? ...
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Tibouc a écrit:Pas tous les humains, apparemment.JO a écrit:"les femmes", "les hommes" , sont des expressions racistes, à l'instar des expressions "les juifs" "les arabes", "les riches", "les prolos" ...l'humanité a passé le stade du générique, non ?
Et oui, je suis tout à fait d'accord. Ni "les femmes", ni "les hommes" n'existent. Moi je ne connais que des individus.Il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal.Jean Gabard a écrit:le racisme comme le sexisme consiste à ne pas accepter la différence de l'autre.
ainsi il y a sexisme quand des hommes pendant des millénaires dénigrent et infériorisent la femme C'était une manière de ne pas reconnaitre leur différence comme normale
il y a aussi sexisme quand des hommes et des femmes veulent se comporter comme s'il n'y avait pas de différences. L'autre différent n'est alors plus respecté. Il n'est respecté que s'il se conforme à ce que la majorité a décidé qu'il devait être.
« N’être qu’un, oui, mais lequel ? » (Alphonse Allais)
Croire que les hommes et les femmes sont fondamentalement différents c'est sexiste. "Accepter la différence de l'autre", comme tu dis, c'est l'enfermer dans sa différence.
Même si on ne met pas de rapport hiérarchique, si on dis que l'autre n'est pas inférieur mais juste différent, c'est aussi discriminatoire. Voire pour moi c'est pire ; je trouve ça totalement hypocrite.
Il est faux de dire "Il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal."
il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre est considéré inférieur et qu'il est discriminé
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Avec plaisir Marine !marine2010 a écrit:
PS : Bulle je t'en supplie fait une suite à jean le gab! J'en peux plus je vais me pisser dessus.
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Etant donné que "discriminer" veut dire "établir une distinction", il y a discrimination (sexiste ou raciste) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal. CQFDJ-Gab a écrit:Il est faux de dire "Il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal."
il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre est considéré inférieur et qu'il est discriminé
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Tibouc a écrit:Que des militants de gauche (ou censés l'être) soient passés à l’extrême droite n'a rien de "logique" ; ça s'appelle se renier. Ca arrive parfois, malheureusement. De là à penser que les utopistes de gauche sont des dictateurs d’extrême-droite en puissance, ça me parait un gros raccourci.Jean GABARD a écrit:Tibouc a écrit:Traite moi d'ignorant pendant que tu y est. Ton "il suffit de" est une tentative d'évitement pour ne pas me donner un exemple précis. De là à penser que tu n'en as pas...
Effectivement je ne devrais pas avoir à te donner d'exemples. Soit tu ne les connais pas (pourquoi pas, ce n'est pas une tare), soit tu les connais et tu fais preuve de mauvaise foi ! L'important pour toi n'est apparemment pas qu'il y en ait mais que tu puisses me "coincer". Dommage !
Ceux de Mussolini, Laval sont les plus connus. Et de simples militants passés du socialisme au national socialisme !
Quand on croit très fort à son utopie il est "logique" de passer au totalitarisme... (de même que lorsque l'on croit très fort à sa religion ... de passer à l'intégrisme)
Quand on croit en une utopie, il est logique de rester utopiste. Or un vrai utopiste ne commet jamais aucune violence. Si des personnes ayant été utopistes tombent dans la violence, c'est justement parce qu'elles cessent d'être utopistes.
"Quand on croit en une utopie, il est logique de rester utopiste." c'est très vrai : les communistes qui recherchaient l'unité de classe ne sont pas tous devenus des utopistes d'extrême-droite qui recherchaient l'unité de race. Beaucoup sont restés des utopistes de gauche.
Et cela a donné combien de morts en URSS ? ...
Jean GABARD- Affranchi des Paradoxes
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Bulle a écrit:
Et le bon sens tu en fais quoi ?
Le bon sens, c'est déjà de reconnaître les différences.
Ce qu'apparement les partisans de l'égalité ont bien du mal à reconnaître.
Ce sont d'ailleur plutôt les partisans du légale, l'égalité d'avoir à défaut d'égalité d'être,
ce qui conduit à l'uniformisation et non à l'unité.
Si il y a égalité, elle ne peut l'être que dans la nature humaine, ou alors l'humain n'est qu'un produit social.
La légalité qui promet l'égalité des rapports sociaux, ne résout pas le rapport humain, qui est d'individu à individu. Et l'individu avant d'être social est biologique, est-ce vraiment si dévalorisant de dire ça ?
Personnellement cela m'est complètement égale que ce monsieur soit sociologue, sexologue ou monologue. Il expose sa reflexion, celle-ci peut-être discutée, mais quand cela tourne à un petit jeu d'humiliation, cela ne sert aucune cause.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
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Re: le féminisme et ses dérives : Genre dans le trouble
Tu as raison Tibouc ! Mais Jean GABARD est dans la logique c'est pas moi c'est l'autre !Tibouc a écrit:Etant donné que "discriminer" veut dire "établir une distinction", il y a discrimination (sexiste ou raciste) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal. CQFDJ-Gab a écrit:Il est faux de dire "Il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre n'est pas considéré comme un égal."
il y a sexisme (ou racisme) quand l'autre est considéré inférieur et qu'il est discriminé
Voilà un gars qui vient ici pour faire la promotion d'une théorie fondée sur le déni des phénomènes sociaux et utilise à peu près tous les arguments fallacieux qu'il est capable d'utiliser pour prouver que c'est pas lui le méchant mais une poignée de femmes qui n'ont fait que réclamer ce qui leur est du.
Relis bien le premier message de Jean GABARD : tout y est !
ICI
Et tu as vraiment fait preuve d'une grande clairvoyance lorsque tu as répondu :
Alors déjà, annoncé en préambule qu'on n'est pas réactionnaire et défendre ensuite une idée réactionnaire est un procédé de rhétorique connu, et pas très subtil je trouve.
Ensuite, l'altérité n'a de sens que si elle débouche sur l'échange qui crée une nouvelle unité. C'est comme en cuisine, vous prenez deux ingrédients et vous les mélangez jusqu'à n'en obtenir qu'un seul.
Si on ne fait pas de mélange, on est dans l'immobilisme. C'est pourquoi considérer l'altérité comme une valeur "en soi" est une absurdité.
Autre chose, "dénier la différence des sexes", comme vous dites, n'empêche pas les hommes et les femmes d'être masculins ou féminins. Au contraire, cela donne la liberté à chacun de choisir d'être plutôt masculin ou plutôt féminin (ou les deux) indépendamment de son sexe physique.
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