Vivant et en marche...
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Re: Vivant et en marche...
JO a écrit:le vice du verbe être est qu'il demande presque toujours une épithète qui le qualifie .
Soit une page blanche, infinie, sans bords. Blanc, c'est tout . ( Il y a une pièce, géniale, sur un tableau blanc de partout ... "l'art, je crois ? ")
Une tache s'y pose : c'est une tache sur la page blanche, qui, du coup, est double : la tache et ce qui est autour . J'imagine assez l'origine comme ça ... Et la tache grandit, se dédouble, invente la sexualité et, donc la diversité infinie des possibles ...
Peut-être , plutôt, un gigantesque origami . Un pli, c'est un début, et puis, ça devient un animal ou une construction : ça prend sens ...La page blanche est toujours là . Si on la défroisse , le sens n'est plus visible ... restent les plis ???
le sens n'est plus visible ... restent les plis ???
Oui !!! Magnifique !
Les plis !!!
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
"Un faire, un fonctionnement plutôt qu'être." Il faut vous lire lentement, tous les deux, le matin, l'esprit encore vierge , ouvert .Il y a des moments où l'âme est confiante et d'autres où elle se ferme et "JE" se replie dans la défense .
Tournant autour de cette lancinante question de l'origine : pour qu'il y ait, il a bien fallu que QUELQU'UN soit ? je me suis répondu, comme Sartre : et si l'existence précédait l'essence ? si Dieu "devenait", à travers nous , s'originant dans un "yod hé vav hé" inconscient, potentialité pure, pour parvenir, dans un interminable devenir darwinien, matière organisée, progressivement consciente, puis soi-consciente en l'homme ...En somme, un cerveau d'abord de nouveau-né, puis fait de myriades de connexions neuronales . L'homme étant un neurone parmi tant d'autres et, ce qui compte, ce sont les connexions, pas les cellules, mortelles, qui font devenir , et l'homme et Dieu, l'un en l'autre, l'un étant l'autre, indissolublement ?
C'est clair ou pas du tout, pour vous ?
Tournant autour de cette lancinante question de l'origine : pour qu'il y ait, il a bien fallu que QUELQU'UN soit ? je me suis répondu, comme Sartre : et si l'existence précédait l'essence ? si Dieu "devenait", à travers nous , s'originant dans un "yod hé vav hé" inconscient, potentialité pure, pour parvenir, dans un interminable devenir darwinien, matière organisée, progressivement consciente, puis soi-consciente en l'homme ...En somme, un cerveau d'abord de nouveau-né, puis fait de myriades de connexions neuronales . L'homme étant un neurone parmi tant d'autres et, ce qui compte, ce sont les connexions, pas les cellules, mortelles, qui font devenir , et l'homme et Dieu, l'un en l'autre, l'un étant l'autre, indissolublement ?
C'est clair ou pas du tout, pour vous ?
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
Pour moi, JO, c' est encore plus obscur ! J 'en reviens toujours à mes formules mathématiques qui régissent le fonctionnement de l' Univers, physique quantique ou pas . Depuis le quark , le lepton etc...jusqu' à la ronde des galaxies..., depuis la nucléotide de mon foie jusqu' à...
Difficile de croire qu' il y a création continuelle de je ne sais quoi .
Evolution oui . Mais l' homme n'est pas le but ni la fin de l' histoire; ce serait trop idiot .
Difficile de croire qu' il y a création continuelle de je ne sais quoi .
Evolution oui . Mais l' homme n'est pas le but ni la fin de l' histoire; ce serait trop idiot .
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Vivant et en marche...
J'ai tendance a me méfier des convictions, aussi innocente qu'elle puissent paraitre dans leur resultat. Cependant, ici, c'est la tienne, je ne peux donc rien y redire, surtout que tu prends bien soin de ne pas l'imposer, de la reconnaitre comme telle.Une croyance ? Un espoir ? Non, une conviction… mais aucune base vérifiable également pour cette conviction… Et aussi, oui, pour moi : c’est le propre de tout être humain d’être une personne avant même sa venue au monde... et mon Dieu ! Si tu savais combien cette pensée m’enthousiasme…
Une question: Pourquoi cette pensée d'être une personne avant sa venue au monde t'enthousiame t elle?
Et comment vois tu le pourquoi de la venue au monde d'une personne?
J'entends. Une partie de moi se demande parfois...… Je marchais dans une des rues de ma ville, lorsque je fus arrêtée par le nom d’un petit bistrot très sympathique : l’Intemporel, en un instant je revis les images d’un reportage qui racontait les difficultés que rencontrent, et ont rencontrées, de tous temps, nos paysans de montagnes. De magnifiques images en noir et blanc, nous montraient ces hommes, ces femmes et enfants d’un autre âge, regards graves, attelés à la tâche… Je me souviens avoir pensé : tous ces gens… je ne peux croire qu’ils aient à jamais disparus… Le nom de ce petit bistrot avait fait comme un lien dans ma mémoire, et avait donné un sens à ma question d’alors : les hommes traversent l’espace et le temps, quand bien même ils disparaissent : ils demeurent !! Une conviction. Une allégresse. Un pur moment de bonheur. Mais qu’aucune preuve ne pouvait et ne peut encore étayer.
Parole d'humain n'est ce pas?Je comprends… Mais dans ma pensée, en reprenant ta métaphore, un pommier ou un oranger existe, il n’ESTt pas !
Qui étant sensible, pourrait vouloir faire d'un arbre un homme, pour trouver de quoi se le comparer? Il a ses facultés, et nous les nôtres? Sans doutes ne sait il pas grand choses des nôtres, sans doute ne savons nous pas grand choses des siennes...Un arbre fera bourgeons, feuilles fleurs et fruits propre à son espèce, mais l’homme, quand à lui, peut si il le désire, se rendre présent à sa présence et à la Présence. Il peut si il le veut, dire : JE veux, ou JE ne veux pas. J’aime ou je n’aime pas. Ou encore : je vais mourir… Ce que l’arbre ne peut faire...
Pourtant plus d'une fois j'ai appris de l'arbre, plus d'une fois je l'ai senti, aimer, plus d'une fois nous avons parler notre langage, a hauteur l'un de l'autre;
"Etre fait pour"peut paraitre excessif ou même faux, je te l'accorde, pourtant je pense que nous allons vers ce qui nous ressemble plus, vers ce qui nous attire plus, vers ce pour quoi nous sommes ou croyons être plus fait. C'est juste une manière de dire.Je ne crois pas que l’on soit fait "pour" être ceci ou cela, je crois seulement que tous, nous sommes.
En son propre nom? Je crois que lorsqu'un homme parle en son Propre Nom, vraiment, il est fait fils de dieu, fils d'Homme, et pas seulement une petite conscience d'être. C'est ainsi que je vois la chose, car pour moi, la conscience d'être est une mort, un arrêt sur image.Et survient, à un moment ou à un autre, pour chacun d’entre, une venue, une levée, cette conscience d’être, et lorsqu’il parlera, cet homme, ayant conscience d’être, le fera vraiment en son propre nom...
Oui. Il me semble parfois que la création est une sorte de mathématique ou la "Vie" fait son œuvre a travers un de ses instruments, alors que je vois l'engendrement comme une "inconnue" qui viendrai d'un Ailleurs.pourtant le sujet qui apparaît là n’est l’œuvre de personne, par principe, pourrait-on dire. Nul ne peut créer un sujet libre et souverain. Engendré, non pas créé si tu vois ce que je veux dire.
Quelle grâce que de savoir un cœur touchée si délicatement! Quelle bonté que de partagé cela.Et me voilà émue et totalement gagnée !
vrai, mais celui qui en est a ce point, ne parle plus tant selon lui même, que selon ce que l'autre est capable de recevoir.Lorsque quelqu’un découvre que c’est lui qui parle quand il parle, cet extraordinaire phénomène ne relève ni de la nature, ni de la divinité telle qu’elle est habituellement enseignée. Invisible comme toute la vie psychique, et même inaudible, l’instance sujet peut cependant être perçue par la même instance chez autrui…
En vérité cela est vrai, et un peu plus loin... faux. Car aussi vrai que cela soit, et cela m'as touché de te l'entendre dire, aussi faux cela est il, car il n'est pas de "Je" capable de dire la Vérité.Avant de témoigner à propos de fait, je témoigne de la vérité de mon âme qui, elle, a le plus grand rapport possible avec la vérité, au point que si l’on suppose un JE véritable, JE jure de dire la vérité est pour ainsi dire une tautologie.
Merci a toi imala, l'effet est partagé. En te montrant aussi perspicace, attentive, tu m'obliges à formuler, a devenir. Que ce que nous disions soit juste ou faux n'est pas le problème a mes yeux, mais que ce qui doivent être dit ici et maintenant puisse l'être, au Nom de la Vérité en nous, bon dieu, cela n'est pas rien pour moi.Vivifiant ! Merci Virgule.
Pas encore assez, il faudrait a partir de ta vision, que tu précises ce qu'est ton Dieu "de toute éternité", ce qu'il était avant que l'homme et le reste du vivant ne soit, avant que la "connexion neuronale" n'existe?Jo: C'est clair ou pas du tout, pour vous ?
Que tu précises comment, a partir d'une pure inconscience première(que tu sembles lui supposer) la création a pu avoir lieu, comment a t elle pu être conduite vers l'homme et autres faune et flore.
Que tu précises comment la perfection de certain être a t elle bien pu être avant moi l'imparfait en tout sens, puisque je devrais être selon la logique utilisé, plus évolué encore que les plus illustres de l'antiquité, et que force est de le constaté: je ne le suis pas.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Avant d'être embryon, il y a le spermatozoïde paternel, et l'ovule maternel : pur potentiel, qui, en aucun cas, ne peut dire "Je" et qui pourtant, unifié, deviendra un humain individualisé, d'abord pure inconscience, puis petit à petit , enfin, un "JE" .
Pourquoi, avant que rien ne soit, ne peut-on imaginer une pure énergie -si on tient à l'appeler dieu, pourquoi pas , mais surtout pas anthropomorphe ... même si l'homme est dans le big-bang, comme l'arbre est dans la graine ?
Pourquoi, avant que rien ne soit, ne peut-on imaginer une pure énergie -si on tient à l'appeler dieu, pourquoi pas , mais surtout pas anthropomorphe ... même si l'homme est dans le big-bang, comme l'arbre est dans la graine ?
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
JO, nos points de vus sont proches .
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Vivant et en marche...
J'ai tendance a me méfier des convictions, aussi innocente qu'elle puissent paraitre dans leur resultat.Une croyance ? Un espoir ? Non, une conviction… mais aucune base vérifiable également pour cette conviction… Et aussi, oui, pour moi : c’est le propre de tout être humain d’être une personne avant même sa venue au monde... et mon Dieu ! Si tu savais combien cette pensée m’enthousiasme…
!!!
Cependant, ici, c'est la tienne, je ne peux donc rien y redire, surtout que tu prends bien soin de ne pas l'imposer, de la reconnaitre comme telle.
Une question: Pourquoi cette pensée d'être une personne avant sa venue au monde t'enthousiame t elle?
C'est difficile à expliquer.
…Tu es là… tu penses à autre chose… sans que tu t’en avises tu tournes la tête et ton regard croise celui de l’autre qui alors se détourne, gêné d’avoir été pris en flagrant délit de curiosité, tu souris en toi-même, et tu regrettes quelque peu son retrait, la fugacité de l’échange, tu sais qu’il y a là quelque chose d’important, et tu voudrais oser, et tu voudrais qu’il ou elle ose, tu sais que c’est possible, un sourire, une venue, oui : une venue !! Mais il retourne à ses affaires, et toi aux tiennes. Néanmoins, il arrive que tu sois plus rapides, tu ne souris pas qu’en-dedans, tu lui souris, là, dans l’instant, et l’autre se détourne moins vite, te souris en retour, et si tu as de la chance, laisse là sa curiosité, se rend présent à toi et te regarde dans les yeux, et là tu sais, parce que tu le reconnais !
Il est là et je suis là, et c’est bien dira l’enfant.
Parce que c’était lui, parce que c’était toi dirait Montaigne…
Et moi je dis : c’est éternel…
Tu vas rire peut-être ! Parce que : la joie !Et comment vois tu le pourquoi de la venue au monde d'une personne?
Mais pas la petite joie, non, pas celle qui tient aux petits bonheurs de la vie, mais celle de la rencontre, cette joie parfaite dont parle le Christ et qui tient à la rencontre.
… Je marchais dans une des rues de ma ville(...)
J'entends. Une partie de moi se demande parfois...
Que te demandes-tu parfois ?
Je comprends… Mais dans ma pensée, en reprenant ta métaphore, un pommier ou un oranger existe, il n’ESTt pas !
Parole d'humain n'est ce pas?
Oui.
Qui étant sensible, pourrait vouloir faire d'un arbre un homme, pour trouver de quoi se le comparer? Il a ses facultés, et nous les nôtres? Sans doutes ne sait il pas grand choses des nôtres, sans doute ne savons nous pas grand choses des siennes...Un arbre fera bourgeons, feuilles fleurs et fruits propre à son espèce, mais l’homme, quand à lui, peut si il le désire, se rendre présent à sa présence et à la Présence. Il peut si il le veut, dire : JE veux, ou JE ne veux pas. J’aime ou je n’aime pas. Ou encore : je vais mourir… Ce que l’arbre ne peut faire...
Pourtant plus d'une fois j'ai appris de l'arbre, plus d'une fois je l'ai senti, aimer, plus d'une fois nous avons parler notre langage, a hauteur l'un de l'autre;
J’aime douloureusement ce que tu dis ici. Et je dis oui. Entendre et acquiescer, parce que ce que l’on entend résonne, raisonne au fond de soi, et trouve : chemin de vérité.
"Etre fait pour"peut paraitre excessif ou même faux, je te l'accorde, pourtant je pense que nous allons vers ce qui nous ressemble plus, vers ce qui nous attire plus, vers ce pour quoi nous sommes ou croyons être plus fait.Je ne crois pas que l’on soit fait "pour" être ceci ou cela, je crois seulement que tous, nous sommes.
Oui.
Et survient, à un moment ou à un autre, pour chacun d’entre, une venue, une levée, cette conscience d’être, et lorsqu’il parlera, cet homme, ayant conscience d’être, le fera vraiment en son propre nom...
En son propre nom? Je crois que lorsqu'un homme parle en son Propre Nom, vraiment, il est fait fils de dieu, fils d'Homme, et pas seulement une petite conscience d'être.
Oui. Je note que tu as inversé les majuscules…
En effet ai-je pensé : Dieu n’a pas besoin de majuscule pour être Dieu… et le Christ, n’est-IL pas l’Homme, l’Adam par excellence ?
...Pilate ne le pressent-il pas lui, qui, quand il le présente à la foule, dira : voici l’homme ?...
C'est ainsi que je vois la chose, car pour moi, la conscience d'être est une mort, un arrêt sur image.
Je crois comprendre : tu fais une différence entre ce qui nous fait dire : je pense donc je suis et ce qui nous fait fils de Dieu et fils d’Homme ?
Oui. Il me semble parfois que la création est une sorte de mathématique ou la "Vie" fait son œuvre a travers un de ses instruments, alors que je vois l'engendrement comme une "inconnue" qui viendrai d'un Ailleurs.pourtant le sujet qui apparaît là n’est l’œuvre de personne, par principe, pourrait-on dire. Nul ne peut créer un sujet libre et souverain. Engendré, non pas créé si tu vois ce que je veux dire.
Oui.
Quelle grâce que de savoir un cœur touchée si délicatement! Quelle bonté que de partagé cela.Et me voilà émue et totalement gagnée !
Et pour moi, quelle joie !!!
vrai, mais celui qui en est a ce point, ne parle plus tant selon lui même, que selon ce que l'autre est capable de recevoir.Lorsque quelqu’un découvre que c’est lui qui parle quand il parle, cet extraordinaire phénomène ne relève ni de la nature, ni de la divinité telle qu’elle est habituellement enseignée. Invisible comme toute la vie psychique, et même inaudible, l’instance sujet peut cependant être perçue par la même instance chez autrui…
...Je le dirai autrement : celui qui en est à ce point, ni parle plus, et préfère le silence à la parole dès lors qu’il ne peut parler selon lui-même, car ce serait se nier, et du même coup, interdire à l’autre cette possibilité d’être, l’entraîner dans une relation qui serait non relationnelle au sens absolu du terme… Alors oui, il se taira devant qui est incapable de recevoir…
Avant de témoigner à propos de fait, je témoigne de la vérité de mon âme qui, elle, a le plus grand rapport possible avec la vérité, au point que si l’on suppose un JE véritable, JE jure de dire la vérité est pour ainsi dire une tautologie.
En vérité cela est vrai, et un peu plus loin... faux. Car aussi vrai que cela soit, et cela m'as touché de te l'entendre dire, aussi faux cela est il, car il n'est pas de "Je" capable de dire la Vérité.
Oui, absolument, tu as raison. Cette vérité que nous disons n’est finalement qu’interprétation du réel que nous vivons.
Mais néanmoins, nous disons la vérité en notre âme et conscience, n’est-ce pas ?
Que ce que nous disions soit juste ou faux n'est pas le problème a mes yeux, mais que ce qui doivent être dit ici et maintenant puisse l'être, au Nom de la Vérité en nous, bon dieu, cela n'est pas rien pour moi.
Ni pour moi, mais tellement précieux !
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
salut imala,!!!
J'ai pas compris ce que signifiait ces points d'exclamations. Ai je dis une bêtise?
Virgule en lui même et repondant a la même situation: J'hallucine!!! C'est quoi ce truc! waaaah! t'as vu ça! Tu as vu ses yeux, et ce coeur, comme il est pur! Tu te rends compte toi, de ce qu'il se passe! j'en reviens pas! Comme c'est beau! oh! comme j'Aime! Tu crois que c'est aussi ça une vérité? J'en sais rien! mais en tout cas, merci seigneur qui que tu sois, merci la terre de m'avoir permis de connaitre cela! d'être cela... et tout aussi joyeux que benefiquement perturbé s'en irai le pauvre et riche virgule.C'est difficile à expliquer.
…Tu es là… tu penses à autre chose… sans que tu t’en avises tu tournes la tête et ton regard croise celui de l’autre qui alors se détourne, gêné d’avoir été pris en flagrant délit de curiosité, tu souris en toi-même, et tu regrettes quelque peu son retrait, la fugacité de l’échange, tu sais qu’il y a là quelque chose d’important, et tu voudrais oser, et tu voudrais qu’il ou elle ose, tu sais que c’est possible, un sourire, une venue, oui : une venue !! Mais il retourne à ses affaires, et toi aux tiennes. Néanmoins, il arrive que tu sois plus rapides, tu ne souris pas qu’en-dedans, tu lui souris, là, dans l’instant, et l’autre se détourne moins vite, te souris en retour, et si tu as de la chance, laisse là sa curiosité, se rend présent à toi et te regarde dans les yeux, et là tu sais, parce que tu le reconnais !
Il est là et je suis là, et c’est bien dira l’enfant.
Parce que c’était lui, parce que c’était toi dirait Montaigne…
Et moi je dis : c’est éternel…
Tant de choses imala.Que te demandes-tu parfois ?
Pourquoi douloureusement?virgule: Qui étant sensible, pourrait vouloir faire d'un arbre un homme, pour trouver de quoi se le comparer? Il a ses facultés, et nous les nôtres? Sans doutes ne sait il pas grand choses des nôtres, sans doute ne savons nous pas grand choses des siennes...
Pourtant plus d'une fois j'ai appris de l'arbre, plus d'une fois je l'ai senti, aimer, plus d'une fois nous avons parler notre langage, a hauteur l'un de l'autre;
imala: J’aime douloureusement ce que tu dis ici. Et je dis oui. Entendre et acquiescer, parce que ce que l’on entend résonne, raisonne au fond de soi, et trouve : chemin de vérité.
Comment ne pas faire une difference a cet endroit? Nous passons ici de l'etat embryonnaire, a la naissance.Je crois comprendre : tu fais une différence entre ce qui nous fait dire : je pense donc je suis et ce qui nous fait fils de Dieu et fils d’Homme ?
Je suis d'accords a condition de pouvoir nuancer car en réalité, il ne se taira pas malgrés le silence apparent. Les corps et attitudes sont un langage a part entière. Aussi ce qui doit être dit sera tout de même dis, de manière parfaite fonction de leur nature respective...Je le dirai autrement : celui qui en est à ce point, ni parle plus, et préfère le silence à la parole dès lors qu’il ne peut parler selon lui-même, car ce serait se nier, et du même coup, interdire à l’autre cette possibilité d’être, l’entraîner dans une relation qui serait non relationnelle au sens absolu du terme… Alors oui, il se taira devant qui est incapable de recevoir…
Nous disons dans ce cas, ce que nous pensons en étant aussi vrai et sincère que possible.Oui, absolument, tu as raison. Cette vérité que nous disons n’est finalement qu’interprétation du réel que nous vivons.
Mais néanmoins, nous disons la vérité en notre âme et conscience, n’est-ce pas ?
Pure potentialité compris dans une réalité établi, réalité qui fait de lui ce qu'il est, donc une potentialité dirigé par... .Jo:
Avant d'être embryon, il y a le spermatozoïde paternel, et l'ovule maternel : pur potentiel, qui, en aucun cas, ne peut dire "Je" et qui pourtant, unifié, deviendra un humain individualisé, d'abord pure inconscience, puis petit à petit , enfin, un "JE" .
Ah... une pure énergie? Donc, en quoi consiste la nature de cette pure énergie, quelles sont ses qualités intrinsèques?Pourquoi, avant que rien ne soit, ne peut-on imaginer une pure énergie -si on tient à l'appeler dieu, pourquoi pas , mais surtout pas anthropomorphe ... même si l'homme est dans le big-bang, comme l'arbre est dans la graine ?
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Vivant et en marche...
"Un faire, un fonctionnement plutôt qu'être." Il faut vous lire lentement, tous les deux, le matin, l'esprit encore vierge , ouvert .Il y a des moments où l'âme est confiante et d'autres où elle se ferme et "JE" se replie dans la défense .
Tournant autour de cette lancinante question de l'origine je me suis répondu, comme Sartre : et si l'existence précédait l'essence ? si Dieu "devenait", à travers nous , s'originant dans un "yod hé vav hé" inconscient, potentialité pure, pour parvenir, dans un interminable devenir darwinien, matière organisée, progressivement consciente, puis soi-consciente en l'homme ...En somme, un cerveau d'abord de nouveau-né, puis fait de myriades de connexions neuronales . L'homme étant un neurone parmi tant d'autres et, ce qui compte, ce sont les connexions, pas les cellules, mortelles, qui font devenir , et l'homme et Dieu, l'un en l'autre, l'un étant l'autre, indissolublement ?
C'est clair ou pas du tout, pour vous ?
Coucou JO,
...Il me semble que tu poses la question en inversant quelque peu le sens de ce que disait Maître Eckhart…
Qu’est-ce que Dieu ? Celui sans lequel rien n’est. Il est autant impossible que quelque chose soit sans lui que lui, sans lui-même. Il est l’Être de lui-même et de toutes choses et ainsi, en quelque façon, lui seul EST, qui est son propre Être et l’Être de toutes choses. Citant la Bible, il dira encore : Si lui n’est pas, qui donc est ?
Dieu avait répondu ainsi à Moïse : Je suis celui qui est.
Le livre de l’Apocalypse quand à lui propose un chemin de sens approfondis de ce nom : Celui qui EST qui ETAIT et qui VIENT… Ainsi non seulement Dieu semble embrasser tous les temps, mais encore les précèder…
Thomas Merton quand à lui ira jusqu’à traduire ainsi le nom de Dieu : Je suis celui qui n’existe pas, pour rappeler que Dieu n’est pas un existant comme les autres, sinon il serait mortel comme tout ce qui existe.
Mais ta pensée :...
et si l'existence précédait l'essence ? si Dieu "devenait", à travers nous
... semble aussi rejoindre le sens du verbe hébreu qui signifie plutôt un devenir : Je suis qui je serai...
Pour E. Jacob YHWH est Celui qui Est, mais en un sens relationnel et non métaphysique : Dieu est Celui qui est avec quelqu’un, rejoignant ainsi l’interprétation talmudique et midrashique : Je suis avec eux dans cette détresse,(Israël en Egypte) et Je suis avec eux dans les autres détresses ...
l’ Emmanuel nom que retiendra la tradition chrétienne, littéralement : Dieu avec nous.
et si l'existence précédait l'essence ? si Dieu "devenait", à travers nous , s'originant dans un "yod hé vav hé" inconscient, potentialité pure, pour parvenir, dans un interminable devenir darwinien, matière organisée, progressivement consciente, puis soi-consciente en l'homme …
Pour moi, la question se pose autrement...dans le sens où je l'entends, il n’y a pas vraiment de devenir darwinien, même et surtout interminable. Il y a, là, maintenant, tout de suite, la possibilité d’être, mais... autant de freins et d’interdictions, de "puits bouchés", de détours et d’errance, de "ronces et d’épines" empêchant cette possibilité, -qu’il y a d’imagination humaine pour ces freins et interdictions, etc…
d'abord pure inconscience, puis petit à petit , enfin, un "JE" .
Il arrive que cela se passe ainsi, mais quand à moi, je crois que ce n’est pas la norme… Il arrive plus souvent qu’on ne le croit, que l’homme meurt sans avoir jamais vécu. La plupart du temps, presque toujours, l'homme n'est que l'expression de ses automatismes, qu'ils viennent d'une lointaine enfance, ou qu'ils viennent des ses origines animales, peu importe, l'homme presque toujours est préfabriqué et agit conformément à ses préfabrications... combien de fois n’entend-on pas dire :
- Ahhh !... Si c’était à refaire… et pris dans le filet des regrets, y reste ! Et lui, elle, fantôme d’homme, de femme retranché(e), ne se manifeste plus que dans la fuite…
Mais... Mais il peut se faire, devenir une personne responsable, libre... Et moi je crois que dans cette possibilité se trouve la grandeur de la vocation humaine.
Mais, mais encore, et pour revenir à ta pensée : pour être, tu parles de connexion, et moi je parle de relation…
Si Dieu est unique Il n’est pas solitaire… et c'est là où je te rejoints : ...ne faut-il pas qu’il y ait connexion pour que la relation soit ?
Si JE est un autre, ne peut-on dire que Dieu n’a prise sur soi qu’en se communiquant ?
Dès lors, en lui le rapport de soi à soi est pure relation à un autre, et savoir qui Il est, importe moins que de le rencontrer, oui ?...
Bisou JO.
Bernard a dit :
Mais l' homme n'est pas le but ni la fin de l' histoire; ce serait trop idiot .
En l’état, ce serait une catastrophe, mais justement,au final, ce n’est pas de l’homme en l’état qu'il s'agit, mais de l’homme que révèle le Christ …sans qu’il n’y ait de fin. Et là, c’est juste merveilleux !! Parce que si le JE SUIS aimant du Christ est Réel, on retrouve Sa présence dans toute expérience authentique où l'homme devient une personne libre et responsable. L'homme devient ainsi l'espèrance de Dieu... mais je te l'accorde, le tragique dans la vie, c'est que l'homme mû par diverses influences extérieures, est capable de toutes les justifier et d'en faire le supplice de soi et des autres.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Imala, c' est vraiment un plaisir de te lire . Tu fais preuve d' une sensibilité exceptionnelle . Face à toi, j' ai l'impression d' avoir de gros sabots ! Sourire !
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Vivant et en marche...
Hello Virgule,
Je t’aime Virgule !!
Mais dis-moi, dis-moi… ne puis-je t’y accompagner ?
Parce que je l’ai entendu comme une révélation !
A hauteur l’un de l’autre, et ça me fait pleurer (ce que c’est que de nous, hein ?!!)
Tu ne pouvais le savoir, mais j’aime les arbres plus que tout dans le monde végétal, (et les éléphants dans le monde animal… d’ailleurs, bien que douce et sensible, n’a-t-il pas une peau d’arbre… mais je m’égare !)
Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre: rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…
Oui, bien sûr : le langage non-verbal, tu as raison.
… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
Oui, d’autres mots pour dire la même réalité.
Non ce n'est pas ainsi que je le ressens, si tant est que ce sont de gros sabots, moi je les aime Bernard ! Fais donc encore, et encore souvent, résonner tes pas ici, chaussés de tes gros sabots : ils sont ce que méritent le malheur et la douleur : être dit et questionnés sans relâche pour qu'enfin, peut-être, eux fassent... relâche !!
Imala
Non, bien sûr que non ! C’était pour souligner mon approbation.J'ai pas compris ce que signifiait ces points d'exclamations. Ai je dis une bêtise?
…Tu es là… tu penses à autre chose… sans que tu t’en avises tu tournes la tête et ton regard croise celui de l’autre qui alors se détourne, gêné d’avoir été pris en flagrant délit de curiosité, tu souris en toi-même, et tu regrettes quelque peu son retrait, la fugacité de l’échange, tu sais qu’il y a là quelque chose d’important, et tu voudrais oser, et tu voudrais qu’il ou elle ose, tu sais que c’est possible, un sourire, une venue, oui : une venue !! Mais il retourne à ses affaires, et toi aux tiennes. Néanmoins, il arrive que tu sois plus rapides, tu ne souris pas qu’en-dedans, tu lui souris, là, dans l’instant, et l’autre se détourne moins vite, te souris en retour, et si tu as de la chance, laisse là sa curiosité, se rend présent à toi et te regarde dans les yeux, et là tu sais, parce que tu le reconnais !
Il est là et je suis là, et c’est bien dira l’enfant.
Parce que c’était lui, parce que c’était toi dirait Montaigne…
Et moi je dis : c’est éternel…
Virgule en lui même et repondant a la même situation: J'hallucine!!! C'est quoi ce truc! waaaah! t'as vu ça! Tu as vu ses yeux, et ce coeur, comme il est pur! Tu te rends compte toi, de ce qu'il se passe! j'en reviens pas! Comme c'est beau! oh! comme j'Aime! Tu crois que c'est aussi ça une vérité? J'en sais rien! mais en tout cas, merci seigneur qui que tu sois, merci la terre de m'avoir permis de connaitre cela! d'être cela... et tout aussi joyeux que benefiquement perturbé s'en irai le pauvre et riche virgule.
Je t’aime Virgule !!
Tant de choses imala.Que te demandes-tu parfois ?
Mais dis-moi, dis-moi… ne puis-je t’y accompagner ?
Pourquoi douloureusement?imala: J’aime douloureusement ce que tu dis ici. Et je dis oui. Entendre et acquiescer, parce que ce que l’on entend résonne, raisonne au fond de soi, et trouve : chemin de vérité.virgule: Qui étant sensible, pourrait vouloir faire d'un arbre un homme, pour trouver de quoi se le comparer? Il a ses facultés, et nous les nôtres? Sans doutes ne sait il pas grand choses des nôtres, sans doute ne savons nous pas grand choses des siennes...
Pourtant plus d'une fois j'ai appris de l'arbre, plus d'une fois je l'ai senti, aimer, plus d'une fois nous avons parler notre langage, a hauteur l'un de l'autre;
Parce que je l’ai entendu comme une révélation !
A hauteur l’un de l’autre, et ça me fait pleurer (ce que c’est que de nous, hein ?!!)
Tu ne pouvais le savoir, mais j’aime les arbres plus que tout dans le monde végétal, (et les éléphants dans le monde animal… d’ailleurs, bien que douce et sensible, n’a-t-il pas une peau d’arbre… mais je m’égare !)
Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre: rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…
Je suis d'accords a condition de pouvoir nuancer car en réalité, il ne se taira pas malgrés le silence apparent. Les corps et attitudes sont un langage a part entière. Aussi ce qui doit être dit sera tout de même dis,..Je le dirai autrement : celui qui en est à ce point, ni parle plus, et préfère le silence à la parole dès lors qu’il ne peut parler selon lui-même, car ce serait se nier, et du même coup, interdire à l’autre cette possibilité d’être, l’entraîner dans une relation qui serait non relationnelle au sens absolu du terme… Alors oui, il se taira devant qui est incapable de recevoir…
Oui, bien sûr : le langage non-verbal, tu as raison.
de manière parfaite fonction de leur nature respective.
… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
Nous disons dans ce cas, ce que nous pensons en étant aussi vrai et sincère que possible.Oui, absolument, tu as raison. Cette vérité que nous disons n’est finalement qu’interprétation du réel que nous vivons.
Mais néanmoins, nous disons la vérité en notre âme et conscience, n’est-ce pas ?
Oui, d’autres mots pour dire la même réalité.
Bernard a dit :
Imala, c' est vraiment un plaisir de te lire . Tu fais preuve d' une sensibilité exceptionnelle . Face à toi, j' ai l'impression d' avoir de gros sabots ! Sourire !
Non ce n'est pas ainsi que je le ressens, si tant est que ce sont de gros sabots, moi je les aime Bernard ! Fais donc encore, et encore souvent, résonner tes pas ici, chaussés de tes gros sabots : ils sont ce que méritent le malheur et la douleur : être dit et questionnés sans relâche pour qu'enfin, peut-être, eux fassent... relâche !!
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Salut imala,
La vérité toute nue autant que je puisse la dire c'est donc que: j'ai aimé que tu m'aimes, j'ai aimé te savoir capable de le dire sans fard, sans detour.
J'ai aussi aimé ce que tu as aimé.
Et tu sais pourquoi j'ai aimé cela?
Parce que je me dis que ce que tu as aimé, ce n'est pas ce virgule que tu ne connais pas, mais ce qui a animé le cœur de virgule: cette Inconnue au cœur entier qui regarde une fleur sans la cueillir...pour la laisser vivre...
et je crois que si tu ne l'avais pas toi aussi, ce même coeur, ce même amour, si tu n'en était pas nourri, tu ne m'entendrais pas, et surtout pas aussi facilement ce que je dis. Aussi, grâce a ta sincérité, et a ce que tu sembles être, ici, je me sens un peu moins seul au milieu de nulle part.
Donc merci!
Si cela n'y aie pas, c'est le contenu du contexte qui prendrai le relais, et permettrai de formuler.
Or ici, il n'y a pas assez de tout ça, pas assez pour se dire autrement que comme on le fait a présent. Mais c'est déjà un bien.
En tout cas, celui dont je parles n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
Je me suis demandé longtemps comment j'allais répondre a cela, a ce mouvement, que j'ai pris comme un mouvement du cœur qui a eu le besoin de s'exprimer, qui a eu l'honnêteté et le courage de le faire si simplement. Je me suis dis en moi même, qu'est ce tu veux que je réponde, qu'est ce qu'il faut que je dise? Je me suis dis, il faut que tu sois a la hauteur. Puis je me suis suis rendu compte qu'en fait je cherchais a me cacher, derriere des mots.Je t’aime Virgule !!
La vérité toute nue autant que je puisse la dire c'est donc que: j'ai aimé que tu m'aimes, j'ai aimé te savoir capable de le dire sans fard, sans detour.
J'ai aussi aimé ce que tu as aimé.
Et tu sais pourquoi j'ai aimé cela?
Parce que je me dis que ce que tu as aimé, ce n'est pas ce virgule que tu ne connais pas, mais ce qui a animé le cœur de virgule: cette Inconnue au cœur entier qui regarde une fleur sans la cueillir...pour la laisser vivre...
et je crois que si tu ne l'avais pas toi aussi, ce même coeur, ce même amour, si tu n'en était pas nourri, tu ne m'entendrais pas, et surtout pas aussi facilement ce que je dis. Aussi, grâce a ta sincérité, et a ce que tu sembles être, ici, je me sens un peu moins seul au milieu de nulle part.
Donc merci!
C'est difficile car je pense que ces questionnements sont d'ordre absolument intime, et il faut pour qu'ils jaillissent en tant que formulation concrète, une autre intimité offerte et capable d'entendre, qui elle même contribuera a la chose. En un mot, une presence.imala: Que te demandes-tu parfois ?
virgule: Tant de choses imala.
imala: Mais dis-moi, dis-moi… ne puis-je t’y accompagner ?
Si cela n'y aie pas, c'est le contenu du contexte qui prendrai le relais, et permettrai de formuler.
Or ici, il n'y a pas assez de tout ça, pas assez pour se dire autrement que comme on le fait a présent. Mais c'est déjà un bien.
Mais qui es tu imala?Parce que je l’ai entendu comme une révélation !
A hauteur l’un de l’autre, et ça me fait pleurer (ce que c’est que de nous, hein ?!!)
Tu ne pouvais le savoir, mais j’aime les arbres plus que tout dans le monde végétal, (et les éléphants dans le monde animal… d’ailleurs, bien que douce et sensible, n’a-t-il pas une peau d’arbre… mais je m’égare !)
Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre: rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…
Je ne suis pas sur de comprendre ce que tu veux dire ici.… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
En tout cas, celui dont je parles n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Hello Virgule,
Au moment de l’écrire, j’ai pensé : tu es folle !! Que va-t-il penser ?... Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !… Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
...La sensibilité de chacun, c’est son génie... Baudelaire
C’est à mon tour de ne savoir que dire…
Je comprends.
Oui.
ou mais
Je souris, mais cette question me fait vraiment plaisir !
Petit préambule :
Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
Nous sommes, les uns pour les autres : Autres ! Et celui qui ne le comprend pas, ou ne veut l'accepter se prépare des jours amers... des jours de : moi... moi... moi, sans toi ! comme je les appelle...
Donc : autres = posés dans l’altérité, et c’est elle, l’altérité qui permet à la relation de se déployer. Si l’autre avec qui je communique, ne parle pas dans la vérité de son être, s’il s’avance au devant de moi en tant que non sujet de ce qu’il dit, pense et ressent vraiment, veut et ne veut pas, il ne pourra me recevoir, et il n’y aura pas de véritable relation entre lui et moi.
... Tu as été élevé dans le meilleur des mondes possible où tout allait toujours bien, et où l’on t’évitait toujours tous problèmes… Un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur… Mais voilà, c’est là que réside le malheur, parce que cela n’existe pas un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur, un monde où il n’y aurait aucun problème, alors, les problèmes, dans ce monde là, on ne t’a pas appris à les affronter, mais, par la culture du : tout va toujours très bien, souriez vous êtes filmés, on te l’a même interdit.
Ton "être au monde" même, à dû servir la cause du meilleur monde possible, et ton père, ta mère s’y sont employé.
Il ne s’agissait pas d’être, mais d’être en harmonie ou ne pas être. Tout devait être sans problème, ou si cela n’était pas, il fallait le rendre tel.
Sur tout : qu’une opinion ; une divergence d’opinion eût été la fin de tout… Tout le monde, toujours du même avis…
Fils, fille de Babel.
Pas de sujet possible ici, et dès lors que tu te lèves et que tu t’avances en tant que tel, tu ne peux être ni reçu, ni compris. Alors, oui, le silence est préférable à la parole. Le silence pour ne pas se nier face à l’autre qui ne veut pas de toi, mais seulement ce qui peut, en toi, le conforter dans ses dysfonctionnements, -et éviter, autant que faire se peut, les malentendus.
C’est là ce que je voulais dire. Tu comprends ?
Mais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?
Oui, tout ou partie, en effet.
Imala
Je t’aime Virgule !!
Je me suis demandé longtemps comment j'allais répondre a cela, a ce mouvement, que j'ai pris comme un mouvement du cœur qui a eu le besoin de s'exprimer, qui a eu l'honnêteté et le courage de le faire si simplement. Je me suis dis en moi même, qu'est ce tu veux que je réponde, qu'est ce qu'il faut que je dise? Je me suis dis, il faut que tu sois a la hauteur. Puis je me suis suis rendu compte qu'en fait je cherchais a me cacher, derriere des mots.
La vérité toute nue autant que je puisse la dire c'est donc que: j'ai aimé que tu m'aimes, j'ai aimé te savoir capable de le dire sans fard, sans detour.
Au moment de l’écrire, j’ai pensé : tu es folle !! Que va-t-il penser ?... Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !… Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
J'ai aussi aimé ce que tu as aimé.
Et tu sais pourquoi j'ai aimé cela?
Parce que je me dis que ce que tu as aimé, ce n'est pas ce virgule que tu ne connais pas, mais ce qui a animé le cœur de virgule: cette Inconnue au cœur entier qui regarde une fleur sans la cueillir...pour la laisser vivre...
...La sensibilité de chacun, c’est son génie... Baudelaire
et je crois que si tu ne l'avais pas toi aussi, ce même cœur, ce même amour, si tu n'en était pas nourri, tu ne m'entendrais pas, et surtout pas aussi facilement ce que je dis. Aussi, grâce a ta sincérité, et a ce que tu sembles être, ici, je me sens un peu moins seul au milieu de nulle part.
C’est à mon tour de ne savoir que dire…
(...) ne puis-je t'y accompagner
C'est difficile car je pense que ces questionnements sont d'ordre absolument intime, et il faut pour qu'ils jaillissent en tant que formulation concrète, une autre intimité offerte et capable d'entendre, qui elle même contribuera a la chose. En un mot, une presence.
Si cela n'y aie pas, c'est le contenu du contexte qui prendrai le relais, et permettrai de formuler.
Or ici, il n'y a pas assez de tout ça, pas assez pour se dire autrement que comme on le fait a présent.
Je comprends.
Mais c'est déjà un bien.
Oui.
Parce que je l’ai entendu comme une révélation !Mais qui es tu imala?rien d’inférieur dans la création : tout de même valeur, et alors douloureusement, oui, parce que sachant cela, beaucoup d’autres ne le savent pas, ou ne veulent le savoir, et la douleur alors…Nous avons parlé notre langage, a hauteur l'un de l'autre:
ou mais
Je souris, mais cette question me fait vraiment plaisir !
Je ne suis pas sur de comprendre ce que tu veux dire ici.… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
Petit préambule :
Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
Nous sommes, les uns pour les autres : Autres ! Et celui qui ne le comprend pas, ou ne veut l'accepter se prépare des jours amers... des jours de : moi... moi... moi, sans toi ! comme je les appelle...
Donc : autres = posés dans l’altérité, et c’est elle, l’altérité qui permet à la relation de se déployer. Si l’autre avec qui je communique, ne parle pas dans la vérité de son être, s’il s’avance au devant de moi en tant que non sujet de ce qu’il dit, pense et ressent vraiment, veut et ne veut pas, il ne pourra me recevoir, et il n’y aura pas de véritable relation entre lui et moi.
... Tu as été élevé dans le meilleur des mondes possible où tout allait toujours bien, et où l’on t’évitait toujours tous problèmes… Un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur… Mais voilà, c’est là que réside le malheur, parce que cela n’existe pas un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur, un monde où il n’y aurait aucun problème, alors, les problèmes, dans ce monde là, on ne t’a pas appris à les affronter, mais, par la culture du : tout va toujours très bien, souriez vous êtes filmés, on te l’a même interdit.
Ton "être au monde" même, à dû servir la cause du meilleur monde possible, et ton père, ta mère s’y sont employé.
Il ne s’agissait pas d’être, mais d’être en harmonie ou ne pas être. Tout devait être sans problème, ou si cela n’était pas, il fallait le rendre tel.
Sur tout : qu’une opinion ; une divergence d’opinion eût été la fin de tout… Tout le monde, toujours du même avis…
Fils, fille de Babel.
Pas de sujet possible ici, et dès lors que tu te lèves et que tu t’avances en tant que tel, tu ne peux être ni reçu, ni compris. Alors, oui, le silence est préférable à la parole. Le silence pour ne pas se nier face à l’autre qui ne veut pas de toi, mais seulement ce qui peut, en toi, le conforter dans ses dysfonctionnements, -et éviter, autant que faire se peut, les malentendus.
C’est là ce que je voulais dire. Tu comprends ?
Mais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
de manière parfaite fonction de leur nature respective.
… susceptible de les séparer… Par l’un : mal entendu de l’autre, peut-être, et ce qui est là, mal entendu, pourrait bien se dresser entre eux comme un... malentendus justement !
En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
En tout cas, celui dont je parle n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?
Oui, tout ou partie, en effet.
Imala
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Re: Vivant et en marche...
Imala écrit
Je connais très peu d'adultes qui ont été élevés selon ce schéma .Personne ne peut apprendre à ses enfants : on fait comme on peut pour devenir grand "malgré" les parents, la société dans laquelle on grandit et c'est la vie qui nous forme, le milieu où on baigne en prenant l'exemple, en le comparant aux discours lénifiants officiels et en tirant les conclusions : à société hypocrite et pourrie ... équipe de France à jeter ...
Tu as été élevé dans le meilleur des mondes possible où tout allait toujours bien, et où l’on t’évitait toujours tous problèmes… Un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur… Mais voilà, c’est là que réside le malheur, parce que cela n’existe pas un monde où tout n’est que délice, harmonie et bonheur, un monde où il n’y aurait aucun problème, alors, les problèmes, dans ce monde là, on ne t’a pas appris à les affronter, mais, par la culture du : tout va toujours très bien, souriez vous êtes filmés, on te l’a même interdit.
Je connais très peu d'adultes qui ont été élevés selon ce schéma .Personne ne peut apprendre à ses enfants : on fait comme on peut pour devenir grand "malgré" les parents, la société dans laquelle on grandit et c'est la vie qui nous forme, le milieu où on baigne en prenant l'exemple, en le comparant aux discours lénifiants officiels et en tirant les conclusions : à société hypocrite et pourrie ... équipe de France à jeter ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Vivant et en marche...
Imala, je t'en prie, surtout ne te soucie pas de ce que je pourrai penser, j'aime tant cette folie!... Dis ce que tu as sur le coeur sans jamais te soucier de moi, sinon on va mourir trop vite.Au moment de l’écrire, j’ai pensé : tu es folle !! Que va-t-il penser ?...
Et quoi!... devrait on cacher le Vivant? C'est un crime!Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !…
Dieu merci, tu nous l'a accordée.Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
Imala, je te demande ça comme la plus Précieuse Faveur, tout mon Cœur te supplie de cela: soit toujours Vrai, que ce soit dans l'amour, dans l'insulte ou dans tout ce que tu voudras, peu importe, mais soit Vrai, et moi, je m'adapterai toujours aux contenus, quel qu'ils soient. Je préfère pas de relation, qu'une demi relation, laissons cette derniere a ceux qui ont peur du Vivant.
En vérité quand je croise Vraiment une personne Rare selon mon coeur... J'implose en inconnu... Mon coeur est projeté par candeur dans des espaces sans contour, il ne comprends pas comment autant d'Amour, autant de Vérité peuvent vivre chez un autre. Il voit dans l'étincelle du regard de cet autre, tout ce qu'il souhaite pour lui même. Il comprends ce qu'il tient pour précieux, il veut la vie, il veut la sainte lumiere de cet Amour, de cette Vérité perçu, il veut oui, mais pas en convoitant; plutot en trouvant par sa propre force naturelle le chemin qui lui permettra a lui aussi d'être purifier a cette source qu'il vénère quand elle lui apparait.J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
J'imagine...(sourire), alors saisis toi en, et n'aie pas peur! Parle, si tu as quelque chose a dire.Je souris, mais cette question me fait vraiment plaisir !
Je n'ai pas vraiment compris le sens qu'il fallait donner a la photo?
A vrai dire, il n'est personne non plus qui puisse dire cela au sujet de lui même, sans dire des bêtises.Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
Et souvent pour nous même aussi.Nous sommes, les uns pour les autres : Autres !
Je parlais bien de personnes, tout comme toi imalaMais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
Je parle aussi de la relation entre deux êtres, dont l'un serait abouti.En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
Le langage non verbal n'est pas forcement un miroir parfait, car il est sujet a interprétation, mais il devient au même titre que le reste, miroir parfait, chez celui dont je parle.virgule: En tout cas, celui dont je parle n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
imala: Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : rathée de peu... divin quand même!
Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Vivant et en marche...
JO a écrit :
Je connais très peu d'adultes qui ont été élevés selon ce schéma .Personne ne peut apprendre à ses enfants : on fait comme on peut pour devenir grand "malgré" les parents, la société dans laquelle on grandit et c'est la vie qui nous forme, le milieu où on baigne en prenant l'exemple, en le comparant aux discours lénifiants officiels et en tirant les conclusions : à société hypocrite et pourrie ... équipe de France à jeter ...
Heeeuu… Je n’ai pas compris grand-chose JO. Que veux-tu dire ?
Imala, je t'en prie, surtout ne te soucie pas de ce que je pourrai penser, j'aime tant cette folie!... Dis ce que tu as sur le coeur sans jamais te soucier de moi,
...Et me voilà confrontée à un vrai problème : comment ne pas se soucier de ce que pense l’autre lorsque l’on va se découvrir, donner à voir quelque chose de soi qui nous rend vulnérable ?
J’ai du mal… lorsque j’y parviens, je n’ai plus qu’une envie : me retirer dans ma coquille, et surtout, surtout que l’on ne m’approche plus !
Apparemment j’ai raté le coche puisque tu ne t’es pas enfui en courant, et que quelque part, en continuant à me répondre tu me forces à faire face…
sinon on va mourir trop vite.
…Le grillon de la fable disait le contraire… Je te taquine !
Et quoi!... devrait on cacher le Vivant? C'est un crime!Et ceux qui font un petit tour, passent ici, et lisent ?... tu vas les rendre mal à l’aise !…
...Tu pousses, et tu pousses fort Virgule… Naître ne va pas de soi…
Mais plus que tout, j’ai eu envie d’être vraie, spontanée. Alors oui, c’était un mouvement du cœur.
Dieu merci, tu nous l'a accordée.
Oui, l’autre que je parviens à être de temps en temps te l’a accordé... et se l'est accordé... mais ceux qui passent n’en n’ont probablement rien à faire !
Imala, je te demande ça comme la plus Précieuse Faveur, tout mon Cœur te supplie de cela: soit toujours Vrai, que ce soit dans l'amour, dans l'insulte ou dans tout ce que tu voudras, peu importe, mais soit Vrai, et moi, je m'adapterai toujours aux contenus, quel qu'ils soient. Je préfère pas de relation, qu'une demi relation, laissons cette derniere a ceux qui ont peur du Vivant.
...Pas de demi-mesure donc… J’ai beau être derrière un clavier, et vraisemblablement à des kilomètres de là où tu te trouves ; avoir tout loisir d’éteindre ce p***** d’ordinateur, j’ai quand même peur !!!
(Donc pas de grâce pour moi aujourd’hui JO ! )
En vérité quand je croise Vraiment une personne Rare selon mon coeur... J'implose en inconnu... Mon coeur est projeté par candeur dans des espaces sans contour, il ne comprends pas comment autant d'Amour, autant de Vérité peuvent vivre chez un autre. Il voit dans l'étincelle du regard de cet autre, tout ce qu'il souhaite pour lui même. Il comprends ce qu'il tient pour précieux, il veut la vie, il veut la sainte lumiere de cet Amour, de cette Vérité perçu, il veut oui, mais pas en convoitant; plutot en trouvant par sa propre force naturelle le chemin qui lui permettra a lui aussi d'être purifier a cette source qu'il vénère quand elle lui apparait.J’ai lu tes mots… comment tu exprimais et vivais ces moments, rares, de vraies rencontres parfois, dans les regards de ceux qui se croisent, et je me suis découvert un frère… j’ai eu envie de le manifester.
Un jour un conférencier de grand renom est venu dans l’église qui était alors la mienne en ce temps-là, nous parler d’un sujet qui nous tenait à cœur. C’était un juif, très aimé et admiré, et d’une grande simplicité. Lorsque le moment fut arrivé pour lui de nous saluer tous, il a fait quelque chose qui m’a profondément marquée : à la porte de l’église de manière à pouvoir tous nous saluer, il a enlevé ses lunettes, et nous a attendus avec un visage et un regard nu, sans artifice…
Cette source dont tu parles plus haut, je l’ai rencontrée en cet homme, et je comprends parfaitement ce que tu dis ici.
Je n'ai pas vraiment compris le sens qu'il fallait donner a la photo?
Je suis comme ce que cette photo représente : j’essaie de m’extraire de ce qui me retient dans la mort !
A vrai dire, il n'est personne non plus qui puisse dire cela au sujet de lui même, sans dire des bêtises.Nous sommes tous unique. Je veux dire : dans l’absolu, il n’est personne qui puisse prétendre ceci : je te connais, sous-entendus : je connais tout de toi ! Je sais qui tu es vraiment !
C’est exact…
Et souvent pour nous même aussi.Nous sommes, les uns pour les autres : Autres !
…Et combien vrai.
Je parlais bien de personnes, tout comme toi imalaMais en te lisant, au plus près du texte, cette question : est-ce que je ne t’aurais pas mal compris ?
Lorsque tu parles de leur nature respective, tu veux dire celle du langage : verbal et non-verbal, et non de la nature respective de deux être humains en relation ? Si oui, alors c’est ce qui a amené le quipropos chez moi… Je parle de malentendus… et j’entends mal !!!!
Alors je n’ai pas compris, et il faudra que tu m’expliques.
En partant du fait que je parlais moi du principe de relation et non du langage, est-ce que c’est plus clair avec les explications que je te donne plus haut ?
Je parle aussi de la relation entre deux êtres, dont l'un serait abouti.
D’accord, mais alors explique-moi, et réponds aussi à ma question : est-ce que ce que j’ai développé fait sens pour toi ?
Le langage non verbal n'est pas forcement un miroir parfait, car il est sujet a interprétation, mais il devient au même titre que le reste, miroir parfait, chez celui dont je parle.imala: Le langage non-verbal : miroir parfait reflétant l’être, en effet ?virgule: En tout cas, celui dont je parle n'est pas capable de susciter le moindre mal entendu, etant lui même un miroir parfait.
Je ne comprends toujours pas...
Pour moi le langage non-verbal reflète ce que je pense en sous-bassement, sans que j’y prenne garde.
Si je suis perplexe devant un problème par exemple, il se peut que je me gratte le front, ou me tapote les lèvres avec ce que j’ai dans la main. Si je suis angoissée, et pour peu que mon angoisse soit vive, je vais me tordre les mains… Si je suis en colère et qu’il faut que je me calme je vais frotter mon visage, ou tout autre geste susceptible de détourner mon attention de la colère. Et bien sûr, il y a toute les émotions beaucoup plus subtiles : la fierté qui te fait imperceptiblement relever le menton ; la jalousie, et tu remets tes cheveux en place ;l’impatience et tu pinces les lèvres, etc… Toutes ces émotions sont lisibles, et oui : sujettes à interprétation par celui qui les "lit", mais elles n’en reflètent pas moins de manière parfaite ce que toi tu vis dans l’instant : elles sont vraiment ce miroir parfait qui reflète l’être dans ce qu’il vit quand il le vit.
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Je comprends, mais alors... quoi!?...Et me voilà confrontée à un vrai problème : comment ne pas se soucier de ce que pense l’autre lorsque l’on va se découvrir, donner à voir quelque chose de soi qui nous rend vulnérable ?
Je n'ai pas envie de passer a coté de toi, sans te voir imala; Si ton cœur vibre comme je le crois, il faut que j'en aie l'écho, il faut que tu aies l'écho du miens.
Et comme je te comprends, comme je respecterai ta coquille si c'est pour y conserver intacte ta pudeur. Je n'en forcerai pas l'entrée, et du plus profonds de mon coeur je regretterai chacun de mes actes si tu devais ressentir un mal que j'aurai plus que tout au monde voulu eviter.J’ai du mal… lorsque j’y parviens, je n’ai plus qu’une envie : me retirer dans ma coquille, et surtout, surtout que l’on ne m’approche plus !
Sache entendre imala, que je ne te pousse pas vers l'impudicité, jamais je ne le voudrai, je ne suis pas un pillard, mais j'espère en l'émergence de la Vérité de vie, c'est a cela que je nous appelle.
Ne crois tu pas que c'est plutot ton coeur qui te force a faire face? Peut être reconnait il un courant d'air sur lequel il pourrait ouvrir sa voile plus pleinement! Pourquoi ne pas avoir confiance?Apparemment j’ai raté le coche puisque tu ne t’es pas enfui en courant, et que quelque part, en continuant à me répondre tu me forces à faire face…
Me taquines tu vraiment?…Le grillon de la fable disait le contraire… Je te taquine !
Naitre??? Que puis je donc a l'affaire?...Tu pousses, et tu pousses fort Virgule… Naître ne va pas de soi…
Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme. Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Ecoute, je donne ici tout ce que j'ai, et qu'importe ce qu'il adviendra de moi. Ne vois tu pas deja comme je me livre, imbécile que je suis, au yeux de tous ce qui pourraient lire ces lignes! Imbécile, mais honnête.
Je m'offre, et je répondrai a tout sans aucune tricherie. Je fais le premier pas, aussi maladroitement qu'a mon accoutumé..., mais je le fais; Soit libre d'en faire autant si jamais tu en as envie! si je ne suis pas trop indigne de recevoir.
Et alors!? Il y trente six mille sujets d'ouvert par ailleurs, n'as t on pas le droit d'exister un peu sur celui là? Vivant et en marche n'en est il pas le titre? devrions nous avoir toujours peur d'être Vivant selon soi même sous prétexte des autres? Crois moi imala, les autres ont aussi un cœur qui bat en leur poitrine, il n'y a pas de résultat a rechercher pour eux, juste a laisser ce cœur une fois exister en vérité!Oui, l’autre que je parviens à être de temps en temps te l’a accordé... et se l'est accordé... mais ceux qui passent n’en n’ont probablement rien à faire !
Crois tu que je baratine? Crois tu que je parle, et qu'après avoir parler tout est fini?
Arrête ici si tu me crois menteur! Si tu crois que j'entourloupe.
Je dis les choses telle qu'elles me viennent, et je décide de ne pas m'en cacher; non par manque de pudeur, mais par amour de la liberté qui m'est avec toi accordée.
Je comprends... Tout ce que je peu dire c'est : aie confiance en l'élan de vie, en l'amour qui te traverse, ne les laisse pas être enfermer par la peur de tout ce qui ne leur ressemble pas... Si tu ne t'y risque pas ici, ou pourra tu le faire en étant toi?...Pas de demi-mesure donc… J’ai beau être derrière un clavier, et vraisemblablement à des kilomètres de là où tu te trouves ; avoir tout loisir d’éteindre ce p***** d’ordinateur, j’ai quand même peur !!!
Et si jamais c'est un elan de haine et de mort qui doit sortir, alors que cela sorte aussi, ça ne me fais pas peur, oh non! et je préfère bien au dela de ce que tu imagines, un tel elan, a celui caché par un simple et banal mensonge.
J'ai soif.
Tu as peut être un peu de ce que tu demandes, ici, saisi le.Je suis comme ce que cette photo représente : j’essaie de m’extraire de ce qui me retient dans la mort !
Je ne sais plus quoi dire, tout emporté que je suis par le reste... mais soit..., je me reprends...D’accord, mais alors explique-moi, et réponds aussi à ma question : est-ce que ce que j’ai développé fait sens pour toi ?
Un être humain ayant était engendré, te parle sans avoir a te parler, t'éclaire sans amoindrir ta lumiere, et t'apporte la réponse a tes questions sans que tu es a la demander. Sa présence suffit.
Ce que tu dis, je l'entends oui, mais je ne suis pas trés fort en mathématique.
Voici une analyse psychologique. Une codification du langage du corps. C'est verbal.Je ne comprends toujours pas...
Pour moi le langage non-verbal reflète ce que je pense en sous-bassement, sans que j’y prenne garde.
Si je suis perplexe devant un problème par exemple, il se peut que je me gratte le front, ou me tapote les lèvres avec ce que j’ai dans la main. Si je suis angoissée, et pour peu que mon angoisse soit vive, je vais me tordre les mains… Si je suis en colère et qu’il faut que je me calme je vais frotter mon visage, ou tout autre geste susceptible de détourner mon attention de la colère. Et bien sûr, il y a toute les émotions beaucoup plus subtiles : la fierté qui te fait imperceptiblement relever le menton ; la jalousie, et tu remets tes cheveux en place ;l’impatience et tu pinces les lèvres, etc… Toutes ces émotions sont lisibles, et oui : sujettes à interprétation par celui qui les "lit", mais elles n’en reflètent pas moins de manière parfaite ce que toi tu vis dans l’instant : elles sont vraiment ce miroir parfait qui reflète l’être dans ce qu’il vit quand il le vit.
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Re: Vivant et en marche...
Je comprends, mais alors... quoi!?Et me voilà confrontée à un vrai problème : comment ne pas se soucier de ce que pense l’autre lorsque l’on va se découvrir, donner à voir quelque chose de soi qui nous rend vulnérable ?
C'est alors qu'apparut le renard :
- Bonjour dit le Renard.
- Bonjour répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien ...
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince, je suis tellement triste ...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
- Ah ! Pardon, fit le petit prince. Mais, après réflexion, il ajouta
- Qu'est-ce que ça signifie "apprivoisé" ? ..
...
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie "créer des liens"
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à 100.000 petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à 100.000 renards. Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde ... Si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique ... s'il te plaît, apprivoise-moi ! dit-il
- Que faut-il faire ? dit le petit prince
- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près.
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eut mieux valu revenir à la même heure, dit le renard ... si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur ... il faut des rites.
Je n'ai pas envie de passer a coté de toi, sans te voir imala; Si ton cœur vibre comme je le crois, il faut que j'en aie l'écho, il faut que tu aies l'écho du miens.
Sans me voir… mon Dieu ! Tu ne sais pas ce que tu réveilles là !...
Et comme je te comprends, comme je respecterai ta coquille si c'est pour y conserver intacte ta pudeur.J’ai du mal… lorsque j’y parviens, je n’ai plus qu’une envie : me retirer dans ma coquille, et surtout, surtout que l’on ne m’approche plus !
Non, mais pour ne pas avoir à constater que ce n’est pas moi qui intéresse celui qui semble s’intéresser, mais tel Narcisse se penchant sur les eaux, le reflet que je serais peut-être susceptible de lui renvoyer...
Je n'en forcerai pas l'entrée, et du plus profonds de mon coeur je regretterai chacun de mes actes si tu devais ressentir un mal que j'aurai plus que tout au monde voulu eviter.
A mon tour de poser cette question : mais qui es-tu Virgule ?
Sache entendre imala, que je ne te pousse pas vers l'impudicité, jamais je ne le voudrai, je ne suis pas un pillard, mais j'espère en l'émergence de la Vérité de vie, c'est a cela que je nous appelle.
Tu parles de pudeur, d'impudicité... et cela résonne étrangement à mes oreilles, mais il y a la pudeur des sentiments, c'est vrai...
….Je sais discourir sur l’être… j’ai bien peur de ne pas savoir… l’être.
Et me masquer, et être à moi-même, à moi-même d’abord, un imposteur (c’est drôle : pas de féminin pour ce mot…)
J’écrivais dans mon journal intime : je joue un rôle, le "hic" c’est que je ne connais pas les répliques !!!
Vois, j’entends l’appel…
Ne crois tu pas que c'est plutot ton coeur qui te force a faire face? Peut être reconnait il un courant d'air sur lequel il pourrait ouvrir sa voile plus pleinement! Pourquoi ne pas avoir confiance?Apparemment j’ai raté le coche puisque tu ne t’es pas enfui en courant, et que quelque part, en continuant à me répondre tu me forces à faire face…
60 ans d’habitudes, 60 ans d’expériences… personne pour … mais … alors : juste rester à la surface des choses parce qu’aller au-delà, ou plus profond fait peur, demande un réel intérêt...
Non, c’était ma devise.Me taquines tu vraiment?…Le grillon de la fable disait le contraire… Je te taquine !
Pendant longtemps.
Et à force, c’est devenu fort comme une habitude. Et lorsque je me risque au-dehors, je ne me reconnais plus, et les autres non plus… ils ne veulent pas, et moi je ne sais plus ce que je veux…
Naitre??? Que puis je donc a l'affaire?...Tu pousses, et tu pousses fort Virgule… Naître ne va pas de soi…
Par le fait même d'y être, d'y être en vérité, et d'appeler tu "pousses" Virgule... Tu encourages à ce que cela se fasse.
Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme.
Un imposteur te dis-je…
Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Pourquoi ?
Ecoute, je donne ici tout ce que j'ai, et qu'importe ce qu'il adviendra de moi. Ne vois tu pas deja comme je me livre, imbécile que je suis, au yeux de tous ce qui pourraient lire ces lignes! Imbécile, mais honnête.
Pourquoi, pourquoi, pourquoi… Je ne m’y attendais pas. Je ne veux pas que tu puisses te sentir mal, je ne veux pas que tu puisses te traiter d’imbécile justement…
Je m'offre, et je répondrai a tout sans aucune tricherie. Je fais le premier pas, aussi maladroitement qu'a mon accoutumé..., mais je le fais; Soit libre d'en faire autant si jamais tu en as envie!
Il faut essayer ai-je écrit un jour… Je vais essayer…
Mais ce soir je m'arrête là.
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Vivant et en marche...
Imala... je ne sais plus trop quoi penser, je suis un peu soucieux... j'ai bien l'impression que nos sensibilités sont très forte, et que si pour d'autre cela ne serait qu'un jeu, pour nous il me semble que ça ne le soit pas. Doit on se révéler de la sorte, peut on s'offrir de cette maniere au regard des inconnu(e)s? Je sais pas.
J'avance dans l'inconnu, purement et simplement, j'avance de toute mes forces, mais deja j'ai l'impression d'en manqué.
Je m'en suis voulu du message que j'ai pu écrire hier, j'etais deja pret a m'en excusé. J'avais si peur d'avoir pu être une fois de plus l'éléphant dans un magasin de porcelaine. J'avais peur d'avoir abusé, et de t'avoir mis en situation difficile, de n'avoir suivi que mon chemin hasardeux, sans vraiment tenir compte de ce que toi tu voulais, de ce que tu pouvais. Bien sur j'avais suivi mon intuition, mon ressenti, mais devais je aller jusqu'a vouloir t'entrainer a ma suite de cette manière. Quelque part je crois que j'ai voulu te montrer quelque chose. Je sais pas. En tout cas, j'en ai été troublé, affecté. Je me suis aperçu que... bah! allez va, j'arrete là le roman des justifications...
Si tu ne veux pas continuer, si tu sents que ce n'est pas pret pour toi, je t'en supplie refuse de continuer, ralenti moi, arrete moi, mais surtout ne tolère rien pour me faire plaisir, ce serait la pire chose qu'il puisse arriver ici.
Voila, je devais te dire cela, c'est surement mal exprimer mais bon... je fais avec mes moyens.
Tout ce que je peux offrir c'est ce que tu vois de moi.
Je ne veux pas t'apprivoiser.
Si tu es un renard, je te respecte en tant que renard.
Si tu es un renard, je ne veux pas te donner des principes d'hommes.
Si j'aime le renard, et si le renard m'aime, il n'y a pas besoin de s'apprivoiser.
Pas besoin n'ont plus de sécurité établi par l'intermédiaire de conventions, cela serait un meurtre a ce niveau.
Il faut laisser faire, et ce qui devra être, sera... en liberté.
Ne dis rien sur ce sujet pour le moment, sauf si tu le veux, sauf si tu crois que je doive l'entendre. C'est que je ne voudrais pas forcer le lieu, et la serrure, et ici, je vois comme une porte secrète et verrouiller.
Le reflet aide aussi à comprendre qui est l'autre. C'est par ce que tu vas refleter de moi que je vais comprendre quel accords nous pouvons ensemble composé, sentir jusqu'où il sera possible d'aimer.
Mais s'il fallait que je réponde absolument alors peut être qu'aujourd'hui je répondrai par une grimace amusante et spontané; Demain, tout a l'heure, qui sait?
Si c'est conscient et voulu je n'ai rien a redire, sinon, je peux juste te proposer le reflet de mon âme comme revelateur, si tant est qu'il y ait en elle assez de vérité.
Il faut peut être bien choisir ses autres au début.
L'imposteur n'est pas ton coeur; Tu sais cela, tu le sais.
Qui serait tu imala sans ce Coeur?
Te plairai tu a toi même?
Je suis mon intuition, c'est elle qui dirige mes dires, peu importe le contenu, peu importe ce qui doit être dis. Apprenons a assumer les conséquences.
J'attendrai ou je te suivrai si nos rythmes divergent.
Si les chemins choisi ne se ressemble plus, ou si la vie sépare, alors s'aura déjà été un bien d'avoir pu marcher un peu ensemble.
Si le résultat est une catastrophe, alors au moins elle nous aura ressemblé, si tant est que l'on aie pu Être au moins un peu.
J'avance dans l'inconnu, purement et simplement, j'avance de toute mes forces, mais deja j'ai l'impression d'en manqué.
Je m'en suis voulu du message que j'ai pu écrire hier, j'etais deja pret a m'en excusé. J'avais si peur d'avoir pu être une fois de plus l'éléphant dans un magasin de porcelaine. J'avais peur d'avoir abusé, et de t'avoir mis en situation difficile, de n'avoir suivi que mon chemin hasardeux, sans vraiment tenir compte de ce que toi tu voulais, de ce que tu pouvais. Bien sur j'avais suivi mon intuition, mon ressenti, mais devais je aller jusqu'a vouloir t'entrainer a ma suite de cette manière. Quelque part je crois que j'ai voulu te montrer quelque chose. Je sais pas. En tout cas, j'en ai été troublé, affecté. Je me suis aperçu que... bah! allez va, j'arrete là le roman des justifications...
Si tu ne veux pas continuer, si tu sents que ce n'est pas pret pour toi, je t'en supplie refuse de continuer, ralenti moi, arrete moi, mais surtout ne tolère rien pour me faire plaisir, ce serait la pire chose qu'il puisse arriver ici.
Voila, je devais te dire cela, c'est surement mal exprimer mais bon... je fais avec mes moyens.
Merci imala. Merci; J'entends le message.C'est alors qu'apparut le renard :
- Bonjour dit le Renard.
- Bonjour répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien ...
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince, je suis tellement triste ...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
- Ah ! Pardon, fit le petit prince. Mais, après réflexion, il ajouta
- Qu'est-ce que ça signifie "apprivoisé" ? ..
...
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ca signifie "créer des liens"
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à 100.000 petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à 100.000 renards. Mais si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde ... Si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique ... s'il te plaît, apprivoise-moi ! dit-il
- Que faut-il faire ? dit le petit prince
- Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près.
Le lendemain revint le petit prince.
- Il eut mieux valu revenir à la même heure, dit le renard ... si tu viens n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le cœur ... il faut des rites.
Tout ce que je peux offrir c'est ce que tu vois de moi.
Je ne veux pas t'apprivoiser.
Si tu es un renard, je te respecte en tant que renard.
Si tu es un renard, je ne veux pas te donner des principes d'hommes.
Si j'aime le renard, et si le renard m'aime, il n'y a pas besoin de s'apprivoiser.
Pas besoin n'ont plus de sécurité établi par l'intermédiaire de conventions, cela serait un meurtre a ce niveau.
Il faut laisser faire, et ce qui devra être, sera... en liberté.
Le crois tu? Peut être qu' il y a des choses que je ressens...Sans me voir… mon Dieu ! Tu ne sais pas ce que tu réveilles là !...
Ne dis rien sur ce sujet pour le moment, sauf si tu le veux, sauf si tu crois que je doive l'entendre. C'est que je ne voudrais pas forcer le lieu, et la serrure, et ici, je vois comme une porte secrète et verrouiller.
Il faut peut être un peu des deux. Regarder et se regarder en...Non, mais pour ne pas avoir à constater que ce n’est pas moi qui intéresse celui qui semble s’intéresser, mais tel Narcisse se penchant sur les eaux, le reflet que je serais peut-être susceptible de lui renvoyer...
Le reflet aide aussi à comprendre qui est l'autre. C'est par ce que tu vas refleter de moi que je vais comprendre quel accords nous pouvons ensemble composé, sentir jusqu'où il sera possible d'aimer.
Je sais pas.A mon tour de poser cette question : mais qui es-tu Virgule ?
Mais s'il fallait que je réponde absolument alors peut être qu'aujourd'hui je répondrai par une grimace amusante et spontané; Demain, tout a l'heure, qui sait?
C'est un peu ce que je ressent, j'ai l'impression que le discours sur l'être est devenu ta cachette de choix, ou au moins une maniere de tester si oui ou non, il te sera un jour possible d'Etre telle que ton coeur te le propose. Je crois que c'est normal comme processus.….Je sais discourir sur l’être… j’ai bien peur de ne pas savoir… l’être.
Si c'est conscient et voulu je n'ai rien a redire, sinon, je peux juste te proposer le reflet de mon âme comme revelateur, si tant est qu'il y ait en elle assez de vérité.
Je vois, et j'admire...J’écrivais dans mon journal intime : je joue un rôle, le "hic" c’est que je ne connais pas les répliques !!!
Vois, j’entends l’appel…
Qu'est ce qui te fait peur?60 ans d’habitudes, 60 ans d’expériences… personne pour … mais … alors : juste rester à la surface des choses parce qu’aller au-delà, ou plus profond fait peur, demande un réel intérêt...
Il m'avait bien semblé...Non, c’était ma devise.
Pendant longtemps.
Et à force, c’est devenu fort comme une habitude. Et lorsque je me risque au-dehors, je ne me reconnais plus, et les autres non plus… ils ne veulent pas, et moi je ne sais plus ce que je veux…
Il faut peut être bien choisir ses autres au début.
Je ne te crois pas. Tu voudrais qu'il en soit ainsi, comme ça tu aurais encore ou te cacher.virgule: Je ne veux qu'entendre un vrai cœur de femme.
imala: Un imposteur te dis-je…
L'imposteur n'est pas ton coeur; Tu sais cela, tu le sais.
Que reste t il au monde, si on lui enlève ce Cœur?Je crois en ce cœur, je crois en toi!
Pourquoi ?
Qui serait tu imala sans ce Coeur?
Te plairai tu a toi même?
Merci imala pour cette reaction, merci, mais ne t'inquiète pas. Il faut laisser aller... Si a un moment, je me sens un imbécile, je le dis; il ne faut pas tricher.Pourquoi, pourquoi, pourquoi… Je ne m’y attendais pas. Je ne veux pas que tu puisses te sentir mal, je ne veux pas que tu puisses te traiter d’imbécile justement…
Je suis mon intuition, c'est elle qui dirige mes dires, peu importe le contenu, peu importe ce qui doit être dis. Apprenons a assumer les conséquences.
Marche a ton aise sur le chemin que tu choisis.Il faut essayer ai-je écrit un jour… Je vais essayer…
Mais ce soir je m'arrête là.
J'attendrai ou je te suivrai si nos rythmes divergent.
Si les chemins choisi ne se ressemble plus, ou si la vie sépare, alors s'aura déjà été un bien d'avoir pu marcher un peu ensemble.
Si le résultat est une catastrophe, alors au moins elle nous aura ressemblé, si tant est que l'on aie pu Être au moins un peu.
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Re: Vivant et en marche...
... Je n'ai jamais été confrontée à ce qui se passe ici... Ni de près, ni de loin. Personne qui ne m'aie vraiment forcée (au sens positif du terme) à la vérité et à la vie...
Les discours, oui ! Les concepts intellectualisés, oui... mais pas de concret, ou à peine...
Je reviens Virgule... dès que cela m'est possible. Passe une bonne journée mon ami, et surtout ne t'en veux pas. Ne t'en veux de rien.
Imala
Les discours, oui ! Les concepts intellectualisés, oui... mais pas de concret, ou à peine...
Je reviens Virgule... dès que cela m'est possible. Passe une bonne journée mon ami, et surtout ne t'en veux pas. Ne t'en veux de rien.
Imala
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Re: Vivant et en marche...
On n'ose plus s'immiscer dans ce dialogue intense et très personnel .
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .Qu'est-ce qui caractérise le vivant, en marche ?
Il y a marche et marche . Celle du pèlerin, du croyant, de l'humain qui va vers "l'inaccessible étoile" don quichottesque . Et celle du forçat, boulet aux pieds, qui marche à la schlague, il ne sait même pas vers tout . Et, enre les deux , toutes les sortes d'intermédiaires .
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .Qu'est-ce qui caractérise le vivant, en marche ?
Il y a marche et marche . Celle du pèlerin, du croyant, de l'humain qui va vers "l'inaccessible étoile" don quichottesque . Et celle du forçat, boulet aux pieds, qui marche à la schlague, il ne sait même pas vers tout . Et, enre les deux , toutes les sortes d'intermédiaires .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Vivant et en marche...
Jo tu es pessimiste?
Marcher et méditer : les deux mots vont tellement bien ensemble qu'ils en deviennent inséparables. Car dans le processus de la marche se découvre le processus même de toute méditation.
Marcher et méditer : les deux mots vont tellement bien ensemble qu'ils en deviennent inséparables. Car dans le processus de la marche se découvre le processus même de toute méditation.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Vivant et en marche...
Merci de m'avertir, et reviens lorsqu'il te plaira de le faire.Imala: Je reviens Virgule... dès que cela m'est possible. Passe une bonne journée mon ami, et surtout ne t'en veux pas. Ne t'en veux de rien.
Il faut juste que je sois assuré de ne pas avoir blesser l'oiseau avant qu'il ne s'envole; A partir de la pas d'inquiétude.
Merci de ta considération et de ta confiance,
","
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C'est vrai qu'a l'intérieur même de ce dialogue la place est réduite, l'intimité seule permet ce type de rencontre, et même si cette intimité se veut offerte, si elle s'offre a vous, elle est si fragile...On n'ose plus s'immiscer dans ce dialogue intense et très personnel .
Pourtant, il faut que l'espace reste ouvert à tous .
Ne te rends tu pas comptes du courage énorme qu'il faut a imala pour accepter cela?
Ne rends tu pas grace au ciel qu'elle te permette d'entrer dans son coeur, dans ses douleurs aussi, dans ses joies? Quelle bonté! quelle générosité d'âme!
Je pense qu'il faudrait plutot penser a la remercier d'oser cela; Elle vous offre sa vie. Elle me l'offre.
Cela dit le sujet reste absolument ouvert, et chaque fois que tu as posté, toi ou d'autre, il me semble que les réponses ne se sont pas faite attendre de la part des autres participant, imala et moi y compris.
Il ne faut pas avoir peur jo, que des choses comme celle ci se passent, il ne faut surtout pas les freiner, elles sont le plus grand bien pour certain d'entre nous. Elle ouvrent des portes.
Cela se passe ici, laissons faire la vie, profite en.
virgule- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1064
Localisation : Dans un haricot.
Identité métaphysique : rathée de peu... divin quand même!
Humeur : Pourquoi y penser?...
Date d'inscription : 30/08/2009
Re: Vivant et en marche...
Je trouve cet échange très beau, plein de délicatesse, d'émotion, de sensibilité.
C'en est émouvant et redonne un espoir en l'Humain...
Merci et pour ma part vous pouvez continuer
C'en est émouvant et redonne un espoir en l'Humain...
Merci et pour ma part vous pouvez continuer
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Vivant et en marche...
bien entendu : ce n'était pas critique . Juste une pause, pour rentrer dans l'échange multiparticipatif . Je n'ai pas peur : la preuve, j'interviens quand j'ai envie de dire quelque chose .
Teoma: j'énonçais qu'il y a tant de façons de marcher, justement ...
Teoma: j'énonçais qu'il y a tant de façons de marcher, justement ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
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