LE MENSONGE DES DARWINIENS
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LE MENSONGE DES DARWINIENS
Je ne crois pas en la théorie de Darwine et je vais en donner la démonstration.
L'on veut nous faire croire que l'homme descendrait du singe mais pourquoi ne descendrait-il pas plutôt du porc ? En effet, on a tout en commun avec le porc. En médecine, on peut faire des greffes de peaux, des greffes de valvuves cardiaques, on utilise l'insuline pour soigner les diabétiques, les hormones thyroïdiennes pour soigner les malades de la thyroïdes etc ... tout cela démontre que selon la théorie de l'évolution le porc est beaucoup plus proche de l'homme que le singe. Alors pourquoi continuer a faire croire que l'on descendrait du singe ?
CQFD.
Marie
L'on veut nous faire croire que l'homme descendrait du singe mais pourquoi ne descendrait-il pas plutôt du porc ? En effet, on a tout en commun avec le porc. En médecine, on peut faire des greffes de peaux, des greffes de valvuves cardiaques, on utilise l'insuline pour soigner les diabétiques, les hormones thyroïdiennes pour soigner les malades de la thyroïdes etc ... tout cela démontre que selon la théorie de l'évolution le porc est beaucoup plus proche de l'homme que le singe. Alors pourquoi continuer a faire croire que l'on descendrait du singe ?
CQFD.
Marie
lechanteur- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
:roll: Si tu veux !
:D Oui, peut-être que Darwin s'est trompé, peut-être qu'on descend du porc ou du panda...
Tout est crédible.
La seule chose qui ne l'est pas :
c'est qu'on soit les descendants d'un couple unique fabriquée avec de la glaise. Des espèces de "Golem" ou de "créature de Frankenstein"...
:rj:
:D Oui, peut-être que Darwin s'est trompé, peut-être qu'on descend du porc ou du panda...
Tout est crédible.
La seule chose qui ne l'est pas :
c'est qu'on soit les descendants d'un couple unique fabriquée avec de la glaise. Des espèces de "Golem" ou de "créature de Frankenstein"...
:rj:
_________________
" On sait tout sur rien et on sait rien sur tout. "
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
Que rajouté a ce que Gerard a dit??
Jonathan l- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
lechanteur a écrit:Je ne crois pas en la théorie de Darwine et je vais en donner la démonstration.
L'on veut nous faire croire que l'homme descendrait du singe mais pourquoi ne descendrait-il pas plutôt du porc ? En effet, on a tout en commun avec le porc. En médecine, on peut faire des greffes de peaux, des greffes de valvuves cardiaques, on utilise l'insuline pour soigner les diabétiques, les hormones thyroïdiennes pour soigner les malades de la thyroïdes etc ... tout cela démontre que selon la théorie de l'évolution le porc est beaucoup plus proche de l'homme que le singe. Alors pourquoi continuer a faire croire que l'on descendrait du singe ?
CQFD.
Marie
Premièrement qu'est ce que ça fait dans «interreligion»?
Deuxièmement pourrais-tu nous donner un lien, car à ma connaissance, je n'ai jamais entendu ça :eto: , à part le fait que la peau du cochon soit semblable à l'homme, le reste j'ai jamais entendu parler de ça... Merci de nous donner un lien (si c'est vrai je pourrai augmenter mes connaissance).
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
D'habitude, il y a une ressemblance ''morphologique'' un peu plus présente que ca lorsqu'un individu descend d'un autre !
J'avais deja entendu parler de la greffe du foie du porc .. mais pas de ce que tu as cité ...
On utilise de l'insuline de boeuf aussi .. ets ce que ca veut dire que l,on pourrait decende de celui ci ??
.. il y a plein de ''sous-produit'' animal (hormones/venin/glandes ..) que l'on utilise sur des milliers d'animaux .. le porc n'est qu'un parmis ces autres !
Tu ne connais pas assez l'évolution pour postulé un tel constat !!
J'avais deja entendu parler de la greffe du foie du porc .. mais pas de ce que tu as cité ...
on utilise l'insuline pour soigner les diabétiques, les hormones thyroïdiennes pour soigner les malades de la thyroïdes
On utilise de l'insuline de boeuf aussi .. ets ce que ca veut dire que l,on pourrait decende de celui ci ??
.. il y a plein de ''sous-produit'' animal (hormones/venin/glandes ..) que l'on utilise sur des milliers d'animaux .. le porc n'est qu'un parmis ces autres !
Tu ne connais pas assez l'évolution pour postulé un tel constat !!
WerdoX- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
L'homme est un singe en fait :bom:
CQFD
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SaN- Jeune Padawan
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
On a 99% de notre patrimoine génétique en commun avec la mouche. Tu trouves qu'on leur ressemble ?
Marie
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lechanteur- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
J'aurais dit + ^^
Dernière édition par SaN le Mer 2 Avr 2008 - 18:15, édité 1 fois
SaN- Jeune Padawan
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
^^ Ca ne marche pas de cette manière...
Notre corps est composé à 80% d'eau, comme la tomate, serait on alors des cousins de la tomate ?? :golri:
Notre corps est composé à 80% d'eau, comme la tomate, serait on alors des cousins de la tomate ?? :golri:
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
Toutes les espèces vivantes sont cousines :lol:
Sa me fait penser que Dieu à le sens de l'humour, voyez l'ornithorynque.
:golri:
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SaN- Jeune Padawan
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
lechanteur a écrit:On a 99% de notre patrimoine génétique en commun avec la mouche. Tu trouves qu'on leur ressemble ?
Marie
Je ne connais pas ce fait... Comme je te l'ai demandé au début de ton message (pour ton autre affirmation), j'aurais apprécié un lien.
Merci.
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
Oui c'est avec la mouche drosophile (pas sûr du 99% je me rapel d'un 90% en cours de biologie)
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
lechanteur a écrit:Je ne crois pas en la théorie de Darwine et je vais en donner la démonstration.
L'on veut nous faire croire que l'homme descendrait du singe
Ta démonstration est incorrecte étant donné que Darwin (pbsl) n'a jamais affirmé que l'homme descend du singe.
p1rlou1t- Maître du Temps
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
en admettant que ce soit vrai, cela ne démontre pas que l'homme est plus proche du porc que du singe, seulement qu'il y a des points communs entre l'homme et le porc. Ce qui s'explique très bien par l'évolution.En médecine, on peut faire des greffes de peaux, des greffes de valvuves cardiaques, on utilise l'insuline pour soigner les diabétiques, les hormones thyroïdiennes pour soigner les malades de la thyroïdes etc
et le créationnisme qu'est ce qu'il en pense? rien. Il ne pense pas , il affirme.
Invité- Invité
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
Mouche = 90-93% environ !
Le singe, si je me rappelle bien = 96-98% !
Ton information est donc erroné et ne vaut donc rien du tout ..
Bon d'accord .. les miens ne sont pas exact non plus mais c'est dans ces barems la !
Le singe, si je me rappelle bien = 96-98% !
Ton information est donc erroné et ne vaut donc rien du tout ..
Bon d'accord .. les miens ne sont pas exact non plus mais c'est dans ces barems la !
WerdoX- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
Source CNRS (donc ce qui se fait de plus sérieux en france en matière de recherche)
L'évolution expliquée précisment a travers les mutations génétiques.
Une forte proportion du génome est formée d’éléments transposables (ET). Leur capacité à se déplacer les a longtemps fait passer pour des parasites du génome. Ces éléments mobiles sont en grande partie responsables de la variabilité génétique. Grâce à leur capacité à provoquer des mutations dans le génome, ils constituent aussi des moteurs de l’évolution. Ils semblent même avoir, à certains égards, un rôle fonctionnel.
Le séquençage des grands génomes (le ver nématode, la mouche drosophile, l’homme et certaines plantes) permet d’accumuler une somme considérable de connaissances sur leurs constituants et leur organisation. L’un des problèmes fondamentaux soulevés par la possession de nombreuses séquences de gènes est de comprendre comment ces gènes interagissent, et comment le génome interagit avec son environnement. Dans ce contexte, il est remarquable de constater que les séquences génétiques ayant un rôle fonctionnel clair pour l’organisme ne représentent qu’une petite pro-portion (5 % chez l’homme) de l’ensemble d’un génome. Le reste est constitué d’ADN non codant et de nombreuses séquences répétées de taille diverse, parmi lesquelles les éléments transposables (ET) forment un groupe à part (42 % du génome humain) mais d’un intérêt considérable. On sait en effet que des variations dans la quantité de tels éléments sont responsables des variations de taille des génomes entre espèces. Ainsi, on estime que le génome du maïs a doublé ces 3 derniers millions d’années par suite d’une invasion d’un type particulier d’éléments proches des rétrovirus.
Pendant longtemps, on a considéré les ET comme des parasites des génomes. Le problème était alors de savoir comment les génomes supportaient ces éléments et par quels mécanismes ils luttaient contre leur pouvoir d’invasion. Les ET possèdent en effet toutes les enzymes nécessaires à leur propre déplacement (ou transposition). Ils ont ainsi la capacité à provoquer des mutations et des réarrangements chromosomiques (recombinaisons, inversions, translocations…). C’est cette propriété de mutateur qui confère à ces ET un intérêt au cours de l’évolution (ils modifient la variabilité génétique) : il a ainsi été montré que leurs mouvements au sein d’un génome participaient à la variabilité génétique de certains caractères quantita-tifs chez la drosophile. Il est donc possible de supposer que la variabilité liée aux éléments transposables a permis et permet encore aux populations de s’adapter par exemple à des changements dans l’environnement.
Cependant, même si cette variabilité a un effet bénéfique à long terme, un génome ne peut pas tolérer un trop grand brassage continuel. Aussi, de nombreuses régula-tions se sont-elles mises en place pour limiter l’activité des ET en agissant sur leur transposition, leur transcription ou sur l’expression de leurs protéines. Un mécanisme particulier dit de méthylation des cytosines a même été considéré chez les plantes comme l’un des principaux processus mis en place pour s’opposer à l’invasion des ET. Devant la quantité considérable de copies de nombreux éléments dans le génome des plantes, on peut cependant douter de l’efficacité réelle de ce mécanisme. En fait, de nombreuses séquences d’ET sont effectivement inactives, mais il a été montré, notamment chez la levure, chez des bactéries et des plantes, que certaines séquences pouvaient se réactiver sous l’influence de stress de l’environnement (chaleur, irradiation aux UV, blessures…) et contribuer ainsi à l’apparition, au moins temporaire, d’une nouvelle variabilité génétique.
Si le rôle mutateur des ET et leur influence sur la variabilité génétique ont été immédiatement reconnus, leur influence au cours de l'évolution a mis plus de temps à être acceptée. Or on sait maintenant que ces éléments ont joué une part considérable dans la mise en place de certains systèmes de régulation des gènes. Leurs rôles comme protecteurs des extrémités des chromosomes (les télomères) de la drosophile, dans la formation des introns (les séquences non codantes des gènes) et des exons (les séquences codantes des gènes) ainsi que dans la mise en place de la variabilité du système immunologique des vertébrés sont de remarquables illustrations de leur pouvoir de remodelage de la structure et du fonctionnement du génome et, donc, de leur impact au cours de l’évolution des organismes. Le génome apparaît de plus en plus comme un ensemble dynamique soumis à des forces complexes et parfois opposées, qui peuvent varier selon les conditions de l’environnement. C’est l’ensemble de ces forces et de leurs interactions qui forme le moteur de l’évolution.
L'évolution expliquée précisment a travers les mutations génétiques.
Une forte proportion du génome est formée d’éléments transposables (ET). Leur capacité à se déplacer les a longtemps fait passer pour des parasites du génome. Ces éléments mobiles sont en grande partie responsables de la variabilité génétique. Grâce à leur capacité à provoquer des mutations dans le génome, ils constituent aussi des moteurs de l’évolution. Ils semblent même avoir, à certains égards, un rôle fonctionnel.
Le séquençage des grands génomes (le ver nématode, la mouche drosophile, l’homme et certaines plantes) permet d’accumuler une somme considérable de connaissances sur leurs constituants et leur organisation. L’un des problèmes fondamentaux soulevés par la possession de nombreuses séquences de gènes est de comprendre comment ces gènes interagissent, et comment le génome interagit avec son environnement. Dans ce contexte, il est remarquable de constater que les séquences génétiques ayant un rôle fonctionnel clair pour l’organisme ne représentent qu’une petite pro-portion (5 % chez l’homme) de l’ensemble d’un génome. Le reste est constitué d’ADN non codant et de nombreuses séquences répétées de taille diverse, parmi lesquelles les éléments transposables (ET) forment un groupe à part (42 % du génome humain) mais d’un intérêt considérable. On sait en effet que des variations dans la quantité de tels éléments sont responsables des variations de taille des génomes entre espèces. Ainsi, on estime que le génome du maïs a doublé ces 3 derniers millions d’années par suite d’une invasion d’un type particulier d’éléments proches des rétrovirus.
Pendant longtemps, on a considéré les ET comme des parasites des génomes. Le problème était alors de savoir comment les génomes supportaient ces éléments et par quels mécanismes ils luttaient contre leur pouvoir d’invasion. Les ET possèdent en effet toutes les enzymes nécessaires à leur propre déplacement (ou transposition). Ils ont ainsi la capacité à provoquer des mutations et des réarrangements chromosomiques (recombinaisons, inversions, translocations…). C’est cette propriété de mutateur qui confère à ces ET un intérêt au cours de l’évolution (ils modifient la variabilité génétique) : il a ainsi été montré que leurs mouvements au sein d’un génome participaient à la variabilité génétique de certains caractères quantita-tifs chez la drosophile. Il est donc possible de supposer que la variabilité liée aux éléments transposables a permis et permet encore aux populations de s’adapter par exemple à des changements dans l’environnement.
Cependant, même si cette variabilité a un effet bénéfique à long terme, un génome ne peut pas tolérer un trop grand brassage continuel. Aussi, de nombreuses régula-tions se sont-elles mises en place pour limiter l’activité des ET en agissant sur leur transposition, leur transcription ou sur l’expression de leurs protéines. Un mécanisme particulier dit de méthylation des cytosines a même été considéré chez les plantes comme l’un des principaux processus mis en place pour s’opposer à l’invasion des ET. Devant la quantité considérable de copies de nombreux éléments dans le génome des plantes, on peut cependant douter de l’efficacité réelle de ce mécanisme. En fait, de nombreuses séquences d’ET sont effectivement inactives, mais il a été montré, notamment chez la levure, chez des bactéries et des plantes, que certaines séquences pouvaient se réactiver sous l’influence de stress de l’environnement (chaleur, irradiation aux UV, blessures…) et contribuer ainsi à l’apparition, au moins temporaire, d’une nouvelle variabilité génétique.
Si le rôle mutateur des ET et leur influence sur la variabilité génétique ont été immédiatement reconnus, leur influence au cours de l'évolution a mis plus de temps à être acceptée. Or on sait maintenant que ces éléments ont joué une part considérable dans la mise en place de certains systèmes de régulation des gènes. Leurs rôles comme protecteurs des extrémités des chromosomes (les télomères) de la drosophile, dans la formation des introns (les séquences non codantes des gènes) et des exons (les séquences codantes des gènes) ainsi que dans la mise en place de la variabilité du système immunologique des vertébrés sont de remarquables illustrations de leur pouvoir de remodelage de la structure et du fonctionnement du génome et, donc, de leur impact au cours de l’évolution des organismes. Le génome apparaît de plus en plus comme un ensemble dynamique soumis à des forces complexes et parfois opposées, qui peuvent varier selon les conditions de l’environnement. C’est l’ensemble de ces forces et de leurs interactions qui forme le moteur de l’évolution.
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
De plus, Darwin à l'époque où il a émis sa théorie ne pouvait pas identifier le génome, donc s'était de la pure spéculation. A notre époque on pense que l'on a moins de 95% de notre matériel génétique en commun avec le singe.
De plus, on a 75 % de notre patrimoine génétique en commun avec le verre de terre. (Etude du génome par des scientifiques en californie).
Marie
De plus, on a 75 % de notre patrimoine génétique en commun avec le verre de terre. (Etude du génome par des scientifiques en californie).
Marie
lechanteur- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
mais tu cherches a prouver quoi au juste?
que l'on descende du singe est l'hypothèse la plus probable, sinon la vérité.
tu as sans doute une une autre hypothèse ?
si tu ne crois pas a la théorie de l'évolution tu crois a quoi?
que l'on descende du singe est l'hypothèse la plus probable, sinon la vérité.
tu as sans doute une une autre hypothèse ?
si tu ne crois pas a la théorie de l'évolution tu crois a quoi?
ATSOUHAITS- Sorti de l'oeuf
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
De plus, Darwin à l'époque où il a émis sa théorie ne pouvait pas identifier le génome, donc s'était de la pure spéculation.
En effet, lui il se basait sur les ossements ; ce qui peut néamoins etre une ''preuve'' meme si elle ne peut etre vérifié a 100% !
De plus, spéculation ou pas, aujourd'hui c'est un FAIT !!
De plus, on a 75 % de notre patrimoine génétique en commun avec le verre de terre. (Etude du génome par des scientifiques en californie
Et alors ??
WerdoX- Affranchi des Paradoxes
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Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
C'est comme la théorie de la relativité restreinte et ensuite de la relativité tout court.
darwin a donné le coup d'envoi mais depuis cela a bcp avancé.
Vous pouvez mettre en faute darwin sur certains détail, mais certainement pas la théorie de l'évolution, démontré XXXXXXX fois par toutes les branches de la science en rapport
darwin a donné le coup d'envoi mais depuis cela a bcp avancé.
Vous pouvez mettre en faute darwin sur certains détail, mais certainement pas la théorie de l'évolution, démontré XXXXXXX fois par toutes les branches de la science en rapport
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
ATSOUHAITS a écrit:que l'on descende du singe est l'hypothèse la plus probable, sinon la vérité.
A ma connaissance Darwin n'a pas dit que l'homme descend du singe.
Il a dit que nous avions un ancêtre commun avec les singes, ce qui fût caricaturé par les croyants en la phrase "l'homme descend du singe" pour ridiculiser sa théorie.
Et de quel singe on est censé descendre?
Parce que, entre descendre du ouistiti ou du gorille ou du chimpanzé ou encore du nasique, c'est pas vraiment la même chose.
p1rlou1t- Maître du Temps
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Date d'inscription : 02/04/2008
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
ben ca prouve que nous sommes le fruit d'une évolution et non d'une création quelconque
mickael_keul- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 22/03/2008
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
lechanteur a écrit:De plus, Darwin à l'époque où il a émis sa théorie ne pouvait pas identifier le génome, donc s'était de la pure spéculation. A notre époque on pense que l'on a moins de 95% de notre matériel génétique en commun avec le singe.
De plus, on a 75 % de notre patrimoine génétique en commun avec le verre de terre. (Etude du génome par des scientifiques en californie).
Marie
Écoute, j'ai été gentil jusqu'à date, je te demande un lien où tu trouves toutes ces informations... Si tu n'as pas de lien internet, met le titre de l'ouvrage et le nom de l'auteur. Que ce soit une simple revue, un livre, ...
Ou au pire dit moi que tu as entendu ça dans ton cours de bio... Je voudrais juste savoir où tu l'as entendu et si c'est vrai élargir mes propres connaissances...
Merci de bien vouloir nous donner un lien.
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 27/03/2008
Re: LE MENSONGE DES DARWINIENS
L'université d'état de Wayne, à Détroit (Etats-Unis) a annalysé les 97 gènes fonctionnels de l'homme et du chimpanzé.
La coïncidence entre les deux génomes est de 99.4 % !
Devant tant de ressemblances ils ont proposé de classer les Pan troglodytes et les Pan paniscus dans le genre Homo !
Pour mémoire, actuellement, l'Homo sapiens est l'unique représentant du genre !
Tien donc, mes approximations était fausse ; en fait la ressemblances des gènes n'est pas de 96-98% mais bien de 99,4$ (du moin pour ce primate en particulier ; mes approximation doivent etre une moyenne alors !)
Pour plus d'information + le lien ou j'ai pris ma source ;
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Je cherche cependant toujours celle du porc/mouche et du ver de terre ... (pour etre plus précis bien sure !)
WerdoX- Affranchi des Paradoxes
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