Re: Les femmes en politique : les quotas

[_Coeur de Loi]

Et alors ? la femme du président n'a aucune fonction officielle, elle n'est pas censée diriger quoique ce soit.

C'est hors sujet.

[desquestions]

Et alors ? la femme du président n'a aucune fonction officielle, elle n'est pas censée diriger quoique ce soit.

C'est hors sujet.

Tout CdL qu'il est, il a raison.

[Tibouc]

Et on ne devrait même pas utiliser l'expression "Première Dame de France".

[desquestions]

Et on ne devrait même pas utiliser l'expression "Première Dame de France".

En effet, on devrait l'appeler Madame, point.
Sinon ça sous-entend qu'on lui doit quelque chose, même si ce n'est que plus ou moins symbolique.

[_Coeur de Loi]

Heureusement qu'il y avait 34 postes de ministre, sinon c'est fichu pour la parité avec un nombre impair...

Et s'il y en a un ou une transexuelle, on le met où dans le quota ?
Ou un hermaphrodite, il compte double ?

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Et apres pour les races, religion, couleur de cheveux et yeux, sexualité... etc... Ça va pas être évident pour selectionner les ministres suivant tous ces critères...

"Il me manque un ministre jaune au yeux vert et au cheveux roux, homo et du judaisme."

[_Matoll]

Et on ne devrait même pas utiliser l'expression "Première Dame de France".

En effet, on devrait l'appeler Madame, point.
Sinon ça sous-entend qu'on lui doit quelque chose, même si ce n'est que plus ou moins symbolique.

Puisqu'on parle de la "première dame de France", quand va t-on supprimer ce titre ridicule ?

On est en République, pas dans une monarchie.

L'épouse ou la petite-amie du président n'a pas été élue par le peuple que je sache.

Pour le sujet, je me suis déjà exprimé : cette histoire de parité est de la discrimination par le sexe, alors que le critère premier doit être la compétence.

[Magnus]

Tiens, je vois que CdL peut avoir de l'humour quand il veut...

Matoll : il me semble évident à moi aussi que le seul critère doit être la compétence.
Si c'est une femme, c'est une femme; si c'est un homme, c'est un homme. Mais vouloir à tous prix la parité risque de se faire au détriment de la compétence (d'hommes ou de femmes, peu importe).

[Tibouc]

il me semble évident à moi aussi que le seul critère doit être la compétence.
Si c'est une femme, c'est une femme; si c'est un homme, c'est un homme. Mais vouloir à tous prix la parité risque de se faire au détriment de la compétence (d'hommes ou de femmes, peu importe).

Mais le problème c'est que faire un gouvernement paritaire est moins contraignant que de trouver des ministres compétents.
Entre deux contraintes, on choisit la plus facile à respecter.

[gaston21]

Il ne faut pas oublier les femmes de nos chers ministres et présidents successifs , de tout temps même si elles n'ont jamais trouvé place dans l'hémicycle , elles ont influencé plus qu'on ne peut l'imaginer .
Les quotas n'étaient pas de mise il y a 30 ans et certaines femmes bien qu'en minorité à l'époque ont su se faire entendre .Comme dit plus haut la compétence devrait être le premier critère .

Et les maîtresses alors ? La femme est dans le Limousin ou en Lozère, le ministre à Paris...Qui lui susurre des conseils sur l'oreiller...
Appliquer d'autorité la parité me paraît un peu trop formel. Les hommes se sont toujours plus beaucoup plus impliqués en politique que les femmes. Et puis, un homme politique engagé consacre à son mandat tout son temps, soirées et week-end compris .Une femme peut-elle le faire, sauf à être célibataire ou n'avoir pas d'enfants ? Si elle en a, ce sont les enfants qu'elle sacrifie. Je ne doute en rien des capacités de nos compagnes, mais vouloir à tout prix la parité me paraît pour le moins curieux. A quand un match de rugby avec une équipe d'hommes et une équipe de femmes au nom de la parité ? Ah, les prises...