Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Magnus citant une internaute a écrit:
C’est vous qui êtes ridicule avec vos idées vaseuses et votre mauvaise foi ! Vous survolez le problème de la FIN DE VIE ou de la MALADIE INCURABLE DES AUTRES...
Vous êtes TOUBIB, vous avez des oeillères et trop d’EGO ! Vous avez la science infuse ? Vous êtes un pro de la technique et un cul-béni ? Tous les autres sont des idiots du village ? Je plains vos patients !
Vous êtes sans doute un ami de LEONETTI, grand inquisiteur dans une vie antérieure ( ?), sans aucune compassion authentique, sans psychologie, assujetti aux instances religieuses, borné...
Vous n’êtes plus de la première jeunesse ! Ce sont ceux qui REFUSENT la loi de liberté qui ont une peur PANIQUE de la MORT ! Méditez...
Au fond, vous n’aimez pas les PERSONNES MALADES ou MOURANTES que rien ne vous autorise à JUGER !
Adragante, en réponse, a écrit:C’est vous Magnus qui m’envoyez cela, moi je n’ai jamais été insultant envers personne vous oui et en plus vous vous abritez derrière les paroles d’une autre personne et puisque vous me les rapportez je les prends de vous.
Revoyez votre lien, Adragante : si insulte il y a, c'est une insulte de Silviane Le Menn à Michel Cavay. Je l'ai rapportée à titre informatif pour qu'on puisse éventuellement discuter de ce genre de réaction, non à titre personnel pour vous insulter.
Le procédé peut bien sûr paraître ambigu, levons donc ce malentendu : mon intention (et n'est-ce pas l'intention qui compte?) n'était pas de vous insulter.
Mais oui, la question est éthique, je n'en disconviens pas. Une éthique de liberté de choix et de compassion. Mais nous ne sommes visiblement pas tout à fait sur la même longueur d'ondes.Non je ne voterais pas « ne se prononce pas » parce que la question est pas bien posée selon moi. Pour moi il s’agit d’une question d’éthique humaine pas d’opinion. Le délire médical actuel nous pousse dans une situation folle et ma troisième voie désigne la faute à la fausse vie présentée comme un progrès, alors que des pauvres gens servent de cobayes. Voilà le scandale, et ne pas le reconnaitre en face nous enfonce à entériner cette état de fait en réclamant les aménagements necessaires afin de palier aux problèmes trop visibles qu’il engendre.
Je ne suis pas certain d'avoir compris ce que vous désignez comme "fausse vie présentée comme un progrès". Pour moi, dans ce domaine, une fausse vie est une vie agonisante sous acharnement thérapeutique et qui n'en finit pas d'agoniser lorsque la victime se voit accablée par la non-liberté de choix, un calvaire infernal sur lequel elle n'a aucune prise car la loi ne lui permet pas de choisir.
Si la liberté de choix lui est donnée et qu'elle ne réclame pas l'euthanasie, c'est une décision de sa part : elle décide d'affronter ce calvaire jusqu'au bout. C'est un choix qu'elle fait. Elle a donc, quelque part, "prise" sur ses souffrances.
Hélas, si elle veut faire le choix contraire, elle est laissée à l'abandon d'une loi qui interdit tout choix.
Pour moi, le choix se fait sans nous à partir du moment où aucune dépénalisation n'offre le choix, justement, c'est le cas de le dire.Vouloir légiférer c’est collaborer avec les multinationales de la chimie et c’est se proposer à faire le boulot à leur place. Quelle société voulons-nous c’est cela la question et je crois que le choix se fait sans nous.
Je crois que celui qui souffre atrocement et incurablement, et qui désire abréger ses souffrances et bénéficier d'une agonie douce et digne, se fout bien pas mal, excusez-moi, de l'au-delà de l'aspect sentimental. Un au-delà pour lequel, personnellement, je n'imagine du reste aucun scénario-catastrophe.Encore une fois je ne m’oppose pas à vous qui souffrez de cet état de fait et j’en souffre aussi, mais il se trouve que je vois l’enjeu au delà du seul aspect sentimental et c’est cela que je veux dire et j’en ai le droit n’en déplaise à toutes sortes de sectes.
Et, bien sûr, vous avez le droit de dire ce que vous estimez avoir à dire, ---mais n'en déplaise à quelles sectes ? Considérez-vous l'ADMD comme une secte ou ai-je mal compris ?
Il va de soi que tous les avis sont permis, sur ce thread comme sur les autres. Discuter ne me dérange pas dans mes certitudes, car, dans ce domaine, mes certitudes sont tellement... certaines, que rien, je pense, ne pourrait les ébranler. "Prosélytisme" ? Mais nous faisons tous du prosélytisme, peu ou prou, nous parlons tous pour notre chapelle ! En tout début de sujet, j'ai placé des liens vers l'ADMD afin de mieux la faire connaître, oui, tout comme quelqu'un d'autre aurait pu placer un lien vers un site du Vatican, ou que sais-je encore. Ce n'est pas un lien publicitaire, rassurez-vous, je ne suis pas payé par l'ADMD.Si discuter vous dérange dans vos certitudes, alors pourquoi un forum ? prosélytisme ?
Que dire encore ? Que la réponse de Bernard1933 à Calice est la réponse que j'aurais pu lui faire.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Adragante, la pilule ou la potion magique ne va pas enrichir les laboratoires, c'est plutôt l'inverse! La Générale de Santé se fait plutôt du gras sur les vieux ...
Les membres de l'ADMD sont de toutes religions et l'association se limite strictement à son but, aider les gens et leur venir en aide. Je regrette d'ailleurs qu'elle ne soit pas plus explicite... Mais le cul-bénit Barrot est passé par là!
Nous ne demandons que la liberté pour nous-mêmes et rien de plus! Qu'y-a-t-il de scandaleux?
Je rappelle que les toubibs n'ont jamais été à la tête des
progrès en matière morale : la masturbation? Quelle horreur? Les préservatifs? Il a fallu le SIDA! La pilule? Quel combat contre l'Ordre! L'IVG? Tous aux meurtrières
pour chasser les avorteurs! L'éthique et Hippocrate ont
"bon dos"!
Les membres de l'ADMD sont de toutes religions et l'association se limite strictement à son but, aider les gens et leur venir en aide. Je regrette d'ailleurs qu'elle ne soit pas plus explicite... Mais le cul-bénit Barrot est passé par là!
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progrès en matière morale : la masturbation? Quelle horreur? Les préservatifs? Il a fallu le SIDA! La pilule? Quel combat contre l'Ordre! L'IVG? Tous aux meurtrières
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bernard1933- Aka Tpat
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Adragante a écrit:
Le délire médical actuel nous pousse dans une situation folle et ma troisième voie désigne la faute à la fausse vie présentée comme un progrès, alors que des pauvres gens servent de cobayes. Voilà le scandale, et ne pas le reconnaitre en face nous enfonce à entériner cette état de fait en réclamant les aménagements necessaires afin de palier aux problèmes trop visibles qu’il engendre. Vouloir légiférer c’est collaborer avec les multinationales de la chimie et c’est se proposer à faire le boulot à leur place.
Entièrement d'accord , c'est bien du délire médical dont il s'agit , qui consiste sans respect de la personne à maintenir artificiellement en vie sous prétexte de progrès , des gens qui naturellement et sans acharnement thérapeutique (radiothérapie , chimiothérapie etc) serait parti avant .
Le problème est celui de laisser faire la nature plutôt qu'intervenir , sur certaines pathologies lourdes et cela va du nouveau - né non viable naturellement , et qu'on réanime in extrémis et qui sera handicapé toute sa vie , à la personne qu'on requinque artificiellement à coup de traitements honéreux (mais ô combien juteux pour les labos) et qui vit comme un légume ou un robot .Et c'est comme ca que les statistiques sur l'espérance de vie augmente :il suffit d'aller voir du coté des maisons de retraite médicalisées:les gens restent en vie plus longtemps mais en état de légume.
Le problème serait plutôt de reconsidérer le rôle de la médecine actuelle , qui avec l'avancée des techniques modernes , s'est complètement déshumanisée et traite l'être humain comme une machine dont on répare les pièces quand elles sont en panne.
C'est la question de la mort qui se pose , la mort est considérée comme quelque chose de honteux , comme un échec , une injustice , et non pour ce qu'elle est :un évènement naturel .C'est donc contre cette médecine là qu'il faut lutter qui robotise l'homme , c'est donc plutôt du coté des labos qui s'enrichissent sur la misère humaine qu'il faut tirer.
Calice- Maître du Temps
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Calice a écrit:Adragante a écrit:
Le délire médical actuel nous pousse dans une situation folle et ma troisième voie désigne la faute à la fausse vie présentée comme un progrès, alors que des pauvres gens servent de cobayes. Voilà le scandale, et ne pas le reconnaitre en face nous enfonce à entériner cette état de fait en réclamant les aménagements necessaires afin de palier aux problèmes trop visibles qu’il engendre. Vouloir légiférer c’est collaborer avec les multinationales de la chimie et c’est se proposer à faire le boulot à leur place.
Entièrement d'accord , c'est bien du délire médical dont il s'agit , qui consiste sans respect de la personne à maintenir artificiellement en vie sous prétexte de progrès , des gens qui naturellement et sans acharnement thérapeutique (radiothérapie , chimiothérapie etc) serait parti avant .
Le problème est celui de laisser faire la nature plutôt qu'intervenir , sur certaines pathologies lourdes et cela va du nouveau - né non viable naturellement , et qu'on réanime in extrémis et qui sera handicapé toute sa vie , à la personne qu'on requinque artificiellement à coup de traitements honéreux (mais ô combien juteux pour les labos) et qui vit comme un légume ou un robot .Et c'est comme ca que les statistiques sur l'espérance de vie augmente :il suffit d'aller voir du coté des maisons de retraite médicalisées:les gens restent en vie plus longtemps mais en état de légume.
Le problème serait plutôt de reconsidérer le rôle de la médecine actuelle , qui avec l'avancée des techniques modernes , s'est complètement déshumanisée et traite l'être humain comme une machine dont on répare les pièces quand elles sont en panne.
C'est la question de la mort qui se pose , la mort est considérée comme quelque chose de honteux , comme un échec , une injustice , et non pour ce qu'elle est :un évènement naturel .C'est donc contre cette médecine là qu'il faut lutter qui robotise l'homme , c'est donc plutôt du coté des labos qui s'enrichissent sur la misère humaine qu'il faut tirer.
Contre ce délire médical-là, je suis totalement d'accord avec vous, et n'ai rien à rajouter, sinon que c'est ce délire, précisément, qui effraye pas mal de partisans de l'euthanasie qui voient en elle un secours salvateur contre ces pratiques. Ils ont peur et se disent :
- A quoi bon rester si longtemps en vie dans ces conditions-là ? c'est inhumain !
- A quoi bon rester si longtemps en vie dans ces conditions-là ? c'est inhumain !
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
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France :
La légalisation de l'euthanasie rejetée par un rapport.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Totalement en phase, avec cet article, tout y est dit. Bravo les parlementaires, pour une fois.
Invité- Invité
Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
pierre a écrit:Totalement en phase, avec cet article, tout y est dit. Bravo les parlementaires, pour une fois.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Dernières nouvelles du :
Grand-Duché du Luxembourg :
A cause de la loi dépénalisant l'euthanasie, le Grand-Duché du Luxembourg connaît aujourd'hui une crise constitutionnelle.
Au nom de ses convictions, le Grand-Duc Jean refuse de ratifier cette loi.
Le Roi Baudouin avait fait de même en Belgique lors de la dépénalisation de l'avortement.
Il avait été mis "hors-règne" pendant 3 jours, le temps que la loi "passe".
Le Luxembourg tente aujourd'hui de réaliser le même scénario pour le Grand-Duc Jean.
C'est en effet la seule chose à faire afin que les convictions de la majorité ne soient écrasées par celles d'une seule personne, fût-elle à la tête d'un pays.
Le Grand-Duc Jean est connu comme étant très catholique, ce qui était également le cas du Roi Baudouin.
Un député luxembourgeois avance qu'"il s'est peut-être laissé influencer par l'Eglise. Ces derniers temps, dans la presse, l'Eglise a dit un tas de méchancetés contre l'euthanasie, en n'hésitant pas à dire des mensonges qui prétendaient que la loi tuerait tous les vieillards dans les hospices et qu'elle tuerait même des bébés !". Fin de citation.
Sources : JT de la RTBF1 et de RTL ce mardi 2 décembre.
Grand-Duché du Luxembourg :
A cause de la loi dépénalisant l'euthanasie, le Grand-Duché du Luxembourg connaît aujourd'hui une crise constitutionnelle.
Au nom de ses convictions, le Grand-Duc Jean refuse de ratifier cette loi.
Le Roi Baudouin avait fait de même en Belgique lors de la dépénalisation de l'avortement.
Il avait été mis "hors-règne" pendant 3 jours, le temps que la loi "passe".
Le Luxembourg tente aujourd'hui de réaliser le même scénario pour le Grand-Duc Jean.
C'est en effet la seule chose à faire afin que les convictions de la majorité ne soient écrasées par celles d'une seule personne, fût-elle à la tête d'un pays.
Le Grand-Duc Jean est connu comme étant très catholique, ce qui était également le cas du Roi Baudouin.
Un député luxembourgeois avance qu'"il s'est peut-être laissé influencer par l'Eglise. Ces derniers temps, dans la presse, l'Eglise a dit un tas de méchancetés contre l'euthanasie, en n'hésitant pas à dire des mensonges qui prétendaient que la loi tuerait tous les vieillards dans les hospices et qu'elle tuerait même des bébés !". Fin de citation.
Sources : JT de la RTBF1 et de RTL ce mardi 2 décembre.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
à entendre ce qui se dit en France, on ne sait plus à quel saint se vouer!
la loi veut-elle se cacher derrière le voile de l'hypocrisie?
= on sait que ça se pratique, mais débrouillez-vous, faut pas que ça transpire!
mais ne demandez pas trop de morphine, c'est trop cher!
la loi veut-elle se cacher derrière le voile de l'hypocrisie?
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mais ne demandez pas trop de morphine, c'est trop cher!
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Le mérite de ce débat est de mettre en avant l’absurdie du maintient artificielle de la vie. A partie de ce rapport il semble que les
« autorités » s’engagent (mais pour raisons économiques) à calmer le délire en la matière. Beaucoup reste à faire en matière de soins palliatifs et traitement de la douleur. Toujours est-il que par le refus de dépénaliser l’euthanasie peut-être nous échappons à la spirale infernale qui consiste à corriger une erreur par une faute.
Rd.
« autorités » s’engagent (mais pour raisons économiques) à calmer le délire en la matière. Beaucoup reste à faire en matière de soins palliatifs et traitement de la douleur. Toujours est-il que par le refus de dépénaliser l’euthanasie peut-être nous échappons à la spirale infernale qui consiste à corriger une erreur par une faute.
Rd.
Ronsard- Affranchi des Paradoxes
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Ronsard a écrit:Le mérite de ce débat est de mettre en avant l’absurdité du maintien artificiel de la vie. A partir de ce rapport il semble que les
« autorités » s’engagent (mais pour raisons économiques) à calmer le délire en la matière. Beaucoup reste à faire en matière de soins palliatifs et traitement de la douleur. Toujours est-il que par le refus de dépénaliser l’euthanasie peut-être nous échappons à la spirale infernale qui consiste à corriger une erreur par une faute.
Rd.
oui, peut-être, mais ton point de vue n'est-il pas "religieux" (la faute) ?
sachant que la douleur est quelque chose de très personnel, il arrive que des soignants refusent d'en tenir compte en traitant les malades de "douillets" ou de "mauviettes" quand ce n'est pas de simulateurs!
et puis, quand elle devient insupportable, au delà de "l'échelle de 1 à10", et qu'il n'y a plus que la morphine (= drogue, = accoutumance, = risque d'overdose)? On arrête pour ne pas se faire traiter d'assassin? on oublie que le malade est humain et préfèrerait cesser de hurler de douleurs?
les "conseilleurs", les "beaux parleurs" n'ont-ils jamais rencontré un homme ou une femme à l'agonie? oui, je sais, je manque de recul, de froideur, je suis trop "sensible", me direz-vous!
peut-être, mais je persiste à penser que mourir dans la dignité, ça devrait être un droit.
mais pas non plus une règle, c'est vrai... nous sommes si pervers que nous pourrions la détourner....
dura lex, sed lex?
ou bien sommes nous tellement dans la décadence que tout aujourd'hui est sans importance?
sauf le profit, bien sûr!
à qui profite cette "non-loi"?
aux malades? pas si sûr?
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Bravo, Elbi, tu amènes un peu de compassion et de tendresse dans ce monde froid et moraliste! quand il s'agit de profit, on est moins légaliste!
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Ronsard a écrit:Le mérite de ce débat est de mettre en avant l’absurdité du maintien artificielle de la vie. A partie de ce rapport il semble que les « autorités » s’engagent (mais pour raisons économiques) à calmer le délire en la matière. Beaucoup reste à faire en matière de soins palliatifs et traitement de la douleur. Toujours est-il que par le refus de dépénaliser l’euthanasie peut-être nous échappons à la spirale infernale qui consiste à corriger une erreur par une faute.
Quelle spirale infernale ? Celle des scénarii-catastrophes, uniquement, écrits par la peur.
Les statistiques belges et hollandaises, elles, montrent bien qu'il n'y a PAS spirale infernale.
Les statistiques belges et hollandaises, elles, montrent bien qu'il n'y a PAS spirale infernale.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
La crainte est un ressort qu'il faut ménager. MontesquieuQuelle spirale infernale ? Celle des scénarii-catastrophes, uniquement, écrits par la peur.
Le scénario catastrophe nous a déjà porté jusque là.
Ce sont des pays encore assez raisonnables ! Mais le projet espagnol l’est déjà beaucoup moins.Les statistiques belges et hollandaises, elles, montrent bien qu'il n'y a PAS spirale infernale.
Rd.
Ronsard- Affranchi des Paradoxes
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
ElBilqîs dit :
Celui de Babylone ?
Rd.
Pourquoi ? toi en tant que chrétienne ton point de vue est quoi ?oui, peut-être, mais ton point de vue n'est-il pas "religieux" (la faute) ?
Celui de Babylone ?
Rd.
Ronsard- Affranchi des Paradoxes
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Et, pour relancer le débat, un cas italien où, bien sûr, le Vatican intervient bruyamment ! Pauvre Italie, elle ne peut bouger une oreille sans que le grand méchant loup intervienne ! La Shoah, le grand méchant loup n'en a rien à br..., mais abréger les souffrances rédemptrices d'un individu ou d'une famille, alors, là oui, il montre ses grosses saintes dents !
La mort annoncée d'Eluana divise l'Italie
Richard Heuzé, à Rome
04/02/2009 Eluana Englaro a sombré dans le coma en 1992 après un accident de voiture.
Au terme d'un long combat judiciaire qui a suscité la polémique, la jeune femme, plongée dans un coma irréversible, a été transférée dans une clinique privée.
Lundi, dans la nuit, Eluana a entrepris en ambulance son dernier voyage. La jeune femme de 38 ans, tombée dans un coma irréversible à la suite d'un accident de voiture il y a dix-sept ans, a été transférée dans une structure médicale privée. «Je l'emmène mourir dans notre Frioul natal», a déclaré son père, Beppe, qui se bat depuis des années pour que les médecins suspendent l'alimentation forcée maintenant sa fille en vie. Eluana aurait choisi cette solution, n'a-t-il cessé de répéter. La jeune fille à la longue chevelure de jais, radieuse sur les dernières photos du temps où elle était consciente, ne répond plus depuis longtemps aux sollicitations des instruments médicaux. L'encéphalogramme est plat.
À l'annonce de son transfert, des militants catholiques pour le droit à la vie ont manifesté devant la clinique de Lecco en Lombardie, gérée par les sœurs de la Miséricorde, qui l'ont hébergée depuis le début de son calvaire. «Eluanina» (petite Eluana), a lancé entre deux sanglots et des prières la religieuse qui prenait soin d'elle, lui caressant la joue comme pour la ranimer.
La jeune femme s'est retrouvée ces derniers mois au cœur d'un intense débat, politique et judiciaire, devenant le symbole de la lutte pour le droit à mourir. Fin 2007, la Cour de cassation avait renvoyé la décision de suspendre les soins devant la cour d'appel de Milan qui l'a jugée recevable huit mois plus tard. La Cour constitutionnelle a entériné cette décision l'été dernier en vertu de l'article 32 de la Constitution qui précise : «Personne ne saurait être contraint à suivre un traitement sanitaire.» La famille a définitivement obtenu gain de cause par un arrêt de la Cour de cassation le 13 novembre. Malgré cette décision, le ministre des Affaires sociales, Maurizio Sacconi, a adressé en décembre une mise en garde aux établissements qui accepteraient d'accueillir Eluana et promulgué une ordonnance interdisant aux hôpitaux publics de suspendre les soins.
En dépit des multiples pressions de l'Église, du Vatican et du gouvernement, la clinique d'Udine, spécialisée dans les soins à des personnes en situation désespérée, s'est déclarée en janvier disposée à recevoir la malade. Pour le ministre, «Eluana n'est pas en état de mort cérébrale ni soumise à un acharnement thérapeutique, elle est seulement alimentée et hydratée par une sonde, condition dans laquelle se trouvent de nombreux handicapés.»
«Une fausse solution au drame de la souffrance»
L'Église dénonce le risque d'euthanasie. Le cardinal Javier Lozano Barragan, président du conseil pontifical pour les opérateurs sanitaires du Vatican, a réagi au transfert d'Eluana, lançant un appel pour que soit arrêté «cet abominable assassinat». Le pape Benoît XVI s'est également exprimé, estimant que l'euthanasie était «une fausse solution au drame de la souffrance» et un «acte indigne de l'homme».
Il appartient maintenant au corps médical de prendre l'ultime décision. Eluana est suivie jour et nuit par une équipe de quatorze personnes. Le protocole prévoit de réduire de moitié la thérapie le deuxième jour et de suspendre l'alimentation au quatrième. Seule une sonde sera maintenue, tandis que les médicaments, notamment les antiépileptiques et les antidouleurs, seront administrés par voie musculaire. La mort devrait survenir dans un délai de 15 à 20 jours. «Le moment est venu de se taire et de prier», a estimé Mgr Crociata, secrétaire général de la Conférence épiscopale, dans un souci d'apaisement.
J'admire la miséricorde des bien-pensants...Elle va mourir...en crevant de faim ! Pas beau, tout ça ? Mais la morale sera sauve !
La mort annoncée d'Eluana divise l'Italie
Richard Heuzé, à Rome
04/02/2009 Eluana Englaro a sombré dans le coma en 1992 après un accident de voiture.
Au terme d'un long combat judiciaire qui a suscité la polémique, la jeune femme, plongée dans un coma irréversible, a été transférée dans une clinique privée.
Lundi, dans la nuit, Eluana a entrepris en ambulance son dernier voyage. La jeune femme de 38 ans, tombée dans un coma irréversible à la suite d'un accident de voiture il y a dix-sept ans, a été transférée dans une structure médicale privée. «Je l'emmène mourir dans notre Frioul natal», a déclaré son père, Beppe, qui se bat depuis des années pour que les médecins suspendent l'alimentation forcée maintenant sa fille en vie. Eluana aurait choisi cette solution, n'a-t-il cessé de répéter. La jeune fille à la longue chevelure de jais, radieuse sur les dernières photos du temps où elle était consciente, ne répond plus depuis longtemps aux sollicitations des instruments médicaux. L'encéphalogramme est plat.
À l'annonce de son transfert, des militants catholiques pour le droit à la vie ont manifesté devant la clinique de Lecco en Lombardie, gérée par les sœurs de la Miséricorde, qui l'ont hébergée depuis le début de son calvaire. «Eluanina» (petite Eluana), a lancé entre deux sanglots et des prières la religieuse qui prenait soin d'elle, lui caressant la joue comme pour la ranimer.
La jeune femme s'est retrouvée ces derniers mois au cœur d'un intense débat, politique et judiciaire, devenant le symbole de la lutte pour le droit à mourir. Fin 2007, la Cour de cassation avait renvoyé la décision de suspendre les soins devant la cour d'appel de Milan qui l'a jugée recevable huit mois plus tard. La Cour constitutionnelle a entériné cette décision l'été dernier en vertu de l'article 32 de la Constitution qui précise : «Personne ne saurait être contraint à suivre un traitement sanitaire.» La famille a définitivement obtenu gain de cause par un arrêt de la Cour de cassation le 13 novembre. Malgré cette décision, le ministre des Affaires sociales, Maurizio Sacconi, a adressé en décembre une mise en garde aux établissements qui accepteraient d'accueillir Eluana et promulgué une ordonnance interdisant aux hôpitaux publics de suspendre les soins.
En dépit des multiples pressions de l'Église, du Vatican et du gouvernement, la clinique d'Udine, spécialisée dans les soins à des personnes en situation désespérée, s'est déclarée en janvier disposée à recevoir la malade. Pour le ministre, «Eluana n'est pas en état de mort cérébrale ni soumise à un acharnement thérapeutique, elle est seulement alimentée et hydratée par une sonde, condition dans laquelle se trouvent de nombreux handicapés.»
«Une fausse solution au drame de la souffrance»
L'Église dénonce le risque d'euthanasie. Le cardinal Javier Lozano Barragan, président du conseil pontifical pour les opérateurs sanitaires du Vatican, a réagi au transfert d'Eluana, lançant un appel pour que soit arrêté «cet abominable assassinat». Le pape Benoît XVI s'est également exprimé, estimant que l'euthanasie était «une fausse solution au drame de la souffrance» et un «acte indigne de l'homme».
Il appartient maintenant au corps médical de prendre l'ultime décision. Eluana est suivie jour et nuit par une équipe de quatorze personnes. Le protocole prévoit de réduire de moitié la thérapie le deuxième jour et de suspendre l'alimentation au quatrième. Seule une sonde sera maintenue, tandis que les médicaments, notamment les antiépileptiques et les antidouleurs, seront administrés par voie musculaire. La mort devrait survenir dans un délai de 15 à 20 jours. «Le moment est venu de se taire et de prier», a estimé Mgr Crociata, secrétaire général de la Conférence épiscopale, dans un souci d'apaisement.
J'admire la miséricorde des bien-pensants...Elle va mourir...en crevant de faim ! Pas beau, tout ça ? Mais la morale sera sauve !
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Oui j'ai vue ça et bien que je ne soit pas pour l'euthanasie a tout prix ,il semble que dans se cas je serait pour .
Laissez les gens mourir de cette manière c'est de la torture !
Et tu sait que dans les maison de "vieux" on fait pareil on arrête tout et ils meurent de faim .
Laissez les gens mourir de cette manière c'est de la torture !
Et tu sait que dans les maison de "vieux" on fait pareil on arrête tout et ils meurent de faim .
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Mais je trouve bien plus cruel de laisser mourir de faim non ?
Un peu de charité tout de même !
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
La loi pure et dure passe avant la miséricorde ! Et les mêmes disent ; "Aimez-vous les uns les autres! " Quand je vous dis qu'on programme les cerveaux aussi sûrement qu' un disque dur ! Heureusement que n' existent plus les tribunaux de l'Inquisition !
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Le choix de choisir sa propre fin aussi doit être un droit à condition d'être conscient. Donc je suis pour.
Les vieux il aurait fallu les euthanasier dès la naissance
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Ils reviennent, ils reviennent ! On a même des juges stagiaires ici :sri:bernard1933 a écrit:La loi pure et dure passe avant la miséricorde ! Et les mêmes disent ; "Aimez-vous les uns les autres! " Quand je vous dis qu'on programme les cerveaux aussi sûrement qu' un disque dur ! Heureusement que n' existent plus les tribunaux de l'Inquisition !
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
D'où l'intérêt d'une loi qui, comme en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg, officialise les demandes : une demande écrite, des papiers à remplir lorqu'on est encore conscient pour, par anticipation, demander la mort douce en cas d'inconscience.Jayrâm a écrit:Le choix de choisir sa propre fin aussi doit être un droit à condition d'être conscient. Donc je suis pour.
Demeure le problème de la maladie d'Alzheimer : elle n'est pas, en Belgique toutefois, dans la liste des maladies permettant une demande anticipée d'euthanasie, même si au demeurant il est permis de l'indiquer dans ses choix personnels "en cas de...".
Et une demande verbale de la part du souffrant déjà légèrement atteint, est considérée comme nulle car le pauvre ne se trouve pas encore dans une situation incurable.
Une fois atteint plus sévèrement : il est trop tard.
Hugo Klaus, certes, aura tout de même créé un précédent.
Mais il faut voir la réalité en face : cet écrivain flamand avait de très nombreuses relations et avait sans doute élaboré avec elles toute une stratégie pour au cas où il serait atteint de cette maladie.
Ainsi, et pour résumer, lorsqu'il a appris qu'il était atteint d'Alzheimer, il a fait une demande verbale et a demandé aux spécialistes à partir de quand, environ, il ne serait plus à même de la réitérer.
Ce qui lui a permis de revenir "à temps" pour obtenir la délivrance.
Il faut dire aussi qu'il a su déceler lui-même les signes avant-coureurs : lorsqu'il s'est aperçu qu'il commençait à avoir des difficultés à terminer un chapitre.
Ajoutons qu'il était flamand, et qu'en Flandres la loi sur l'euthanasie est mieux observée qu'en Wallonie.
Un seul exemple, que j'ai déjà souligné dans une autre rubrique : le patient flamand a le droit de demander une liste de médecins et d'hôpitaux acceptant de pratiquer l'euthanasie.
Le patient wallon : non !
(-T'es wallon ? Démerde-toi, mon vieux !)
En Wallonie, il n'y a que des cliniques catholiques. Ce qui n'est pas le cas en Flandres.
Mais bien sûr, on vous dira que ça n'a rien à voir... .
Un peu d'humour dans une rubrique aussi délicate ne peut en effet pas faire de tort.Les vieux il aurait fallu les euthanasier dès la naissance
Les choses vont peut-être bouger, en Belgique, en ce qui concerne Alzheimer. C'est toutefois à espérer, car la pseudo-logique de la loi sur cette maladie s'enferme dans un cercle vicieux ridicule, absurde et hypocrite.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Un médecin se fait lui-même la piqûre létale.
Un médecin de ma région, âgé de 52 ans, a été retrouvé mort dans un bois.
Il venait d'apprendre qu'il était atteint du cancer de la prostate.
Il a pris sa voiture et est allé s'isoler dans un bois pour se faire lui-même la piqûre létale.
Un médecin de ma région, âgé de 52 ans, a été retrouvé mort dans un bois.
Il venait d'apprendre qu'il était atteint du cancer de la prostate.
Il a pris sa voiture et est allé s'isoler dans un bois pour se faire lui-même la piqûre létale.
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Re: Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ? 1ière partie
Je suis à la fois INCROYANT et POUR, mais ce qui me gêne, c'est mot "totalement".Dans le sondage, il est a écrit:Pour ou contre la dépénalisation de l'euthanasie ?
1. -> Je suisCROYANTettotalementPOUR.
2. -> Je suis INCROYANT ettotalementPOUR.
3. -> Je suisCROYANTet totalementCONTRE..
4. -> Je suis INCROYANT et totalementCONTRE.
5. -> Je suisCROYANTetje ne me prononce pas.
6. -> Je suis INCROYANT etje ne me prononce pas.
L'euthanasie doit être encadré et rester dans un cadre bien défini... et pas "systématique", et chaque décision doit être étudiée au cas par cas.
Il ne faudrait pas dériver jusqu'au "suicide" médicalement assisté.
Dragoon- Affranchi des Paradoxes
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