Le mystère de la Trinité
+46
simplequidam
nonorobot
mikael
cana
_dede 95
petit chaperon rouge
casimir
Téoma
Fornaro
Glloq
Jolane
gaston21
desquestions
keinlezard
Babylon5
_tromken
Anna
_Adso
freefox
zizanie
Leleu
Job'tempère
_Spin
dan 26
JO
Cochonfucius
Tibouc
Uldin
_Le Grand Absent
lofrg
lagaillette
Jipé
MrSonge
Bulle
Metacarpediem
Imala
_zakari
tango
bernard1933
libremax
elmakoudi
ronron
_La plume
Shidorian
Magnus
_Coeur de Loi
50 participants
Page 35 sur 40
Page 35 sur 40 • 1 ... 19 ... 34, 35, 36 ... 40
Re: Le mystère de la Trinité
keinlezard a écrit:
La notion de trinité à pris place dans le culte chrétien qu'a partir du concile de nicée si je ne me trompe pas ...
V+
Plutot concile de Constantinople où nous voyons apparaitrre par miracle le fameux "saint esprit "consubstantiel entr'eux (père et fils ) !! Au Concile de Nicée il est fait etat de l'esprit saint, esprit de Dieu, pas du saint esprit 3 éme personnage!!! Preuve que cette notion est sortie de l'imagination des l'hommes, et n'a strictement aucune réalité quelconque !!! Comment peut on croire à ces histoires imaginaires?
. Cela prouve aussi que tout ce qui est en relation avec les saint esprit dans les evangiles a été rajouté tardivement à cette période fin du 4 eme siècle!!! Pour preuve le Diatesaron ignore totalement le saint esprit !!!,
Au passage contradiction encore importante entre père est fils puisque dans Jean JC est Dieu incarné et non pas fils de Dieu!!!
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Le mystère de la Trinité
C'est une question de contemplation, car un avatar en Christ se sent si proche de la vérité qu'il pense être lui-même cette entité accomplie, cette partie de (Dieu-grand-tout) .
Mais une telle personne peut-également s'apercevoir qu'elle n'est au fond qu'une particule divine née de cet astre invisible qu'est l'Ain-sof,
tous les avataras citent des aphorismes sur la réincarnation sans exception, et croient qu'ils sont nés un beau jour comme la fleur mais cela veut bien dire que (Le père éternel) leur est antérieur, Jésus se considère comme l'enfant de Dieu et non lui-même...
"Mon père qui est dans les cieux" L'ain-sof.
Peser le pour et le contre, dans la balance cosmique qui est en soi, d-ieu ne fait à mon avis que concillier ou non le choix que l'on doit s'imposer pour changer de voie,juger de ce qui est bon ou mauvais.
Mais le karma entrave le libre arbitre .
Je suppose qu'un être sans karma doit se sentir non seulement libre mais pur et à partir d'une conscience morale objextive, son jugement est celui
de d-ieu puisque l'axe dans lequel il se place est le juste milieu .
Nous sommes sur le fil tendu de la rhétorique, et on revient à l'éternelle question suis-je ou ne suis-je pas moi-même, face à l'éternel, une particule divine ?
Si il n'est pas en nous , nous ne sommes pas...Mais d'où vient la réponse en soi quand on cherche ? si ce n'est de soi-même donc de Dieu...Si c'est un grand tout,je suis cela, un particule indissociable.
Enfin vous aurez autant raison de dire que nous ne sommes finalement que la quintessence de l'absolu.
Mais une telle personne peut-également s'apercevoir qu'elle n'est au fond qu'une particule divine née de cet astre invisible qu'est l'Ain-sof,
tous les avataras citent des aphorismes sur la réincarnation sans exception, et croient qu'ils sont nés un beau jour comme la fleur mais cela veut bien dire que (Le père éternel) leur est antérieur, Jésus se considère comme l'enfant de Dieu et non lui-même...
"Mon père qui est dans les cieux" L'ain-sof.
Peser le pour et le contre, dans la balance cosmique qui est en soi, d-ieu ne fait à mon avis que concillier ou non le choix que l'on doit s'imposer pour changer de voie,juger de ce qui est bon ou mauvais.
Mais le karma entrave le libre arbitre .
Je suppose qu'un être sans karma doit se sentir non seulement libre mais pur et à partir d'une conscience morale objextive, son jugement est celui
de d-ieu puisque l'axe dans lequel il se place est le juste milieu .
Nous sommes sur le fil tendu de la rhétorique, et on revient à l'éternelle question suis-je ou ne suis-je pas moi-même, face à l'éternel, une particule divine ?
Si il n'est pas en nous , nous ne sommes pas...Mais d'où vient la réponse en soi quand on cherche ? si ce n'est de soi-même donc de Dieu...Si c'est un grand tout,je suis cela, un particule indissociable.
Enfin vous aurez autant raison de dire que nous ne sommes finalement que la quintessence de l'absolu.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Qu'est-ce que c'est que l'Ain-sof ?
Un... sauf ?
Excusez mon manque de culture en ce domaine, je devrais avoir honte.
Et, aussi, je ne comprends pas grand-chose à ce discours.
J'ai un esprit limité. Pourquoi ? Parce que je ne suis qu'un être humain, et comme tel limité.
Les discours théologiques me semblent prétentieux. Prétentieux, et creux. Ce dernier message me confirme dans cette notion : admettons une bonne fois pour toutes que nous sommes des êtres limités. Déjà, ce serait un progrès intellectuel d'admettre nos limites. Je pense que des fourmis qui discourraient à longueur de temps sur l' origine de la fourmilière seraient des théologiennes à leur façon.... Mais n'en resteraient pas moins des fourmis.
Un... sauf ?
Excusez mon manque de culture en ce domaine, je devrais avoir honte.
Et, aussi, je ne comprends pas grand-chose à ce discours.
J'ai un esprit limité. Pourquoi ? Parce que je ne suis qu'un être humain, et comme tel limité.
Les discours théologiques me semblent prétentieux. Prétentieux, et creux. Ce dernier message me confirme dans cette notion : admettons une bonne fois pour toutes que nous sommes des êtres limités. Déjà, ce serait un progrès intellectuel d'admettre nos limites. Je pense que des fourmis qui discourraient à longueur de temps sur l' origine de la fourmilière seraient des théologiennes à leur façon.... Mais n'en resteraient pas moins des fourmis.
Re: Le mystère de la Trinité
Babylon5 a écrit:Qu'est-ce que c'est que l'Ain-sof ?
Un... sauf ?
Excusez mon manque de culture en ce domaine, je devrais avoir honte.
Et, aussi, je ne comprends pas grand-chose à ce discours.
J'ai un esprit limité. Pourquoi ? Parce que je ne suis qu'un être humain, et comme tel limité.
Les discours théologiques me semblent prétentieux. Prétentieux, et creux. Ce dernier message me confirme dans cette notion : admettons une bonne fois pour toutes que nous sommes des êtres limités. Déjà, ce serait un progrès intellectuel d'admettre nos limites. Je pense que des fourmis qui discourraient à longueur de temps sur l' origine de la fourmilière seraient des théologiennes à leur façon.... Mais n'en resteraient pas moins des fourmis.
Ein Sof ... vient de la Kabbale ..
http://fr.wikipedia.org/wiki/En_Sof
pour une version plus complète
http://en.wikipedia.org/wiki/Ein_Sof
keinlezard- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1766
Localisation : France
Identité métaphysique : keinlezard
Humeur : Y a pas de lézard :)
Date d'inscription : 29/10/2010
Re: Le mystère de la Trinité
En terme clair et simple cela veut dire quoi ce charabia!?Téoma a écrit:C'est une question de contemplation, car un avatar en Christ se sent si proche de la vérité qu'il pense être lui-même cette entité accomplie, cette partie de (Dieu-grand-tout) .
Mais une telle personne peut-également s'apercevoir qu'elle n'est au fond qu'une particule divine née de cet astre invisible qu'est l'Ain-sof,
tous les avataras citent des aphorismes sur la réincarnation sans exception, et croient qu'ils sont nés un beau jour comme la fleur mais cela veut bien dire que (Le père éternel) leur est antérieur, Jésus se considère comme l'enfant de Dieu et non lui-même...
"Mon père qui est dans les cieux" L'ain-sof.
Peser le pour et le contre, dans la balance cosmique qui est en soi, d-ieu ne fait à mon avis que concillier ou non le choix que l'on doit s'imposer pour changer de voie,juger de ce qui est bon ou mauvais.
Mais le karma entrave le libre arbitre .
Je suppose qu'un être sans karma doit se sentir non seulement libre mais pur et à partir d'une conscience morale objextive, son jugement est celui
de d-ieu puisque l'axe dans lequel il se place est le juste milieu .
Nous sommes sur le fil tendu de la rhétorique, et on revient à l'éternelle question suis-je ou ne suis-je pas moi-même, face à l'éternel, une particule divine ?
Si il n'est pas en nous , nous ne sommes pas...Mais d'où vient la réponse en soi quand on cherche ? si ce n'est de soi-même donc de Dieu...Si c'est un grand tout,je suis cela, un particule indissociable.
Enfin vous aurez autant raison de dire que nous ne sommes finalement que la quintessence de l'absolu.
Amicalement !
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Le mystère de la Trinité
Athanase d'Alexandrie est à l'origine du dogme de la trinité, si j'en crois ce que j'ai lu
merci Google ( voir athanase d'Alexandrie)
À une époque où le dogme n'était pas fixé (il le sera progressivement par les différents conciles), le débat qu'il livre contre la position arienne (au subordinatianisme d'Arius qui fait du Christ une créature du Père, il oppose la doctrine de la consubstantialité — le Fils est distinct mais consubstantiel au Père) est un des plus décisifs dans la mise en place de la doctrine orthodoxe de la Trinité
merci Google ( voir athanase d'Alexandrie)
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Le mystère de la Trinité
JO a écrit:Athanase d'Alexandrie est à l'origine du dogme de la trinité, si j'en crois ce que j'ai luÀ une époque où le dogme n'était pas fixé (il le sera progressivement par les différents conciles), le débat qu'il livre contre la position arienne (au subordinatianisme d'Arius qui fait du Christ une créature du Père, il oppose la doctrine de la consubstantialité — le Fils est distinct mais consubstantiel au Père) est un des plus décisifs dans la mise en place de la doctrine orthodoxe de la Trinité
merci Google ( voir athanase d'Alexandrie)
Bien sûr quel siècle ? 4 eme!! cela correspond exactement à ce que je dis dogme imaginé tardivement !!!
Pour ma part je pense que ce dogme a été mis en place pour contrecarrer l'Arianisme, qui subordonné JC à Dieu !!! J'ai déjà eu l'occasion de developper ce point précis .
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Le mystère de la Trinité
En terme clair et simple cela veut dire quoi ce charabia!?
Amicalement !
Monsieur Dan 26::
Ce charabia est le mien, et il est compris des initiés c'est
au moins une satisfaction pour moi, qui s'evertue à rappeler
les paroles de Jésus et celles du Bouddha.
Personne n'est en droit de m'empêcher de m'exprimer sur ce point et encore moins toi Dan 26...
Dame Babylon5
Si vous ne me comprenez pas non plus ce n'est pas mon problème.
Bonne poésie en tout cas où tu excelles... Loin d'être une fourmi,
l'homme possède trois centre psychique:
La Sainte négation; la Sainte affirmation; la Sainte concilliation...
Les animaux ne sont pas des êtres tricentriques.
Jo;
Merci pour ta compréhension. Et si tu veux que je développe un peu plus
je suis à ta disposition. J'ai trouvé le temps. Les endroits propices, les
forums métaphysiques ne sont pas faits pour les types qui se croient au PMU.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Téoma:
Les forums métaphysiques n'interdisent pas l'humilité et la modestie il me semble, choses qui apparemment tu as peut-être zappé...
Initiés à quoi ? Personne ne te demande ici de t'évertuer à quoi que ce soit! Si tu penses le faire, c'est de ta propre volonté, non ?Ce charabia est le mien, et il est compris des initiés c'est
au moins une satisfaction pour moi, qui s'evertue à rappeler
les paroles de Jésus et celles du Bouddha.
Les forums métaphysiques n'interdisent pas l'humilité et la modestie il me semble, choses qui apparemment tu as peut-être zappé...
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Le mystère de la Trinité
Pourrais-tu développer ?Téoma a écrit:
La Sainte négation; la Sainte affirmation; la Sainte concilliation...
..... ????Les animaux ne sont pas des êtres tricentriques.
Je rappelle que tout ceci n'est que profession de foi :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Symbole_de_Chalc%C3%A9doine
Il n'est pas question d'empêcher les tenants des diverses fois, y-compris les chrétiens-bouddhistes, pas plus que les juifs protestants, les musulmans néo-platoniciens, sans oublier les chamanistes Témoins de Jéhovah donneurs de sang, et autres sectes plus ou moins souterraines d'exprimer leurs diverses et variées professions de foi. Juste de rappeler que ce sont des croyances, et qu'il est bien facile de se réclamer d'un quelconque statut d'initié à des approches ésotériques inaccessibles au commun des mortels.
- Spoiler:
- Merci pour le compliment sur ma poésie : voici au moins un domaine qui transcende les opinions.
Re: Le mystère de la Trinité
Babylon5
les animaux ne font aucune différence entre le bien et le mal qu'il ne savent pas concillier, le domestique n'est pas non plus capable de faire acte d'abnégation lorsqu'il
est abandonné, il tuera l'oiseau ou la souris
pour manger...
Quand aux singes leurs dons de mémorisation n'est pas une
preuve qu'ils sont des êtres tricentriques.
les animaux ne font aucune différence entre le bien et le mal qu'il ne savent pas concillier, le domestique n'est pas non plus capable de faire acte d'abnégation lorsqu'il
est abandonné, il tuera l'oiseau ou la souris
pour manger...
Quand aux singes leurs dons de mémorisation n'est pas une
preuve qu'ils sont des êtres tricentriques.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Jipé a écrit:Téoma:Initiés à quoi ? Personne ne te demande ici de t'évertuer à quoi que ce soit! Si tu penses le faire, c'est de ta propre volonté, non ?Ce charabia est le mien, et il est compris des initiés c'est
au moins une satisfaction pour moi, qui s'evertue à rappeler
les paroles de Jésus et celles du Bouddha.
Les forums métaphysiques n'interdisent pas l'humilité et la modestie il me semble, choses qui apparemment tu as peut-être zappé...
Je vois que l'athéisme va déjà s'acharner contre moi ? Alors on y va ...
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
il n'est pas question de s'acharner sur qui que ce soit...mais juste de rappeler que l'on peut dire des choses sans vouloir se la péter ! Etre prétentieux ne donne pas de savoir supplémentaire...Téoma a écrit:Jipé a écrit:Téoma:Initiés à quoi ? Personne ne te demande ici de t'évertuer à quoi que ce soit! Si tu penses le faire, c'est de ta propre volonté, non ?Ce charabia est le mien, et il est compris des initiés c'est
au moins une satisfaction pour moi, qui s'evertue à rappeler
les paroles de Jésus et celles du Bouddha.
Les forums métaphysiques n'interdisent pas l'humilité et la modestie il me semble, choses qui apparemment tu as peut-être zappé...
Je vois que l'athéisme va déjà s'acharner contre moi ? Alors on y va ...
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Le mystère de la Trinité
message modéré - veuillez consulter votre messagerieil n'est pas question de s'acharner sur qui que ce soit...mais juste de rappeler que l'on peut dire des choses sans vouloir se la péter ! Etre prétentieux ne donne pas de savoir supplémentaire...
Mais avec moi tu vas devoir t'accrocher.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Téoma a écrit:
les animaux ne font aucune différence entre le bien et le mal qu'il ne savent pas concillier,
Ce n'est parcequ'ils ne concoivent pas le bien et le mal de façon absolu, qu'il ne font pas la relative différence à leur mesure, nuance.
Ca demande quelques éclaircissement sur la conciliation, et la nature d'un être tricentrique.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 2138
Localisation : dans la forêt
Identité métaphysique : la même
Humeur : ni plus ni moins
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: Le mystère de la Trinité
casimir a écrit:Téoma a écrit:
les animaux ne font aucune différence entre le bien et le mal qu'il ne savent pas concillier,
Ce n'est parcequ'ils ne concoivent pas le bien et le mal de façon absolu, qu'il ne font pas la relative différence à leur mesure, nuance.
Ca demande quelques éclaircissement sur la conciliation, et la nature d'un être tricentrique.
Une étude a été faite sur le sujet, GI Gurdjieff en parle dans son oeuvre
La sainte négation correspond au chakra du nombril, de la sainte affirmation
au plexus solaire, et conciliation au front où se situe un chakras plus important et plus complexe que celui de l'animal.
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
l'existence de chakras n'a jamais été prouvée, ce n'est qu'une croyance...Téoma a écrit:casimir a écrit:Téoma a écrit:
les animaux ne font aucune différence entre le bien et le mal qu'il ne savent pas concillier,
Ce n'est parcequ'ils ne concoivent pas le bien et le mal de façon absolu, qu'il ne font pas la relative différence à leur mesure, nuance.
Ca demande quelques éclaircissement sur la conciliation, et la nature d'un être tricentrique.
Une étude a été faite sur le sujet, GI Gurdjieff en parle dans son oeuvre
La sainte négation correspond au chakra du nombril, de la sainte affirmation
au plexus solaire, et conciliation au front où se situe un chakras plus important et plus complexe que celui de l'animal.
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Le mystère de la Trinité
Argument d'autorité et devant une telle autorité, mesdames, messieurs, il n'y a qu'à bien se tenir !!!Téoma a écrit:Une étude a été faite sur le sujet, GI Gurdjieff en parle dans son oeuvre
Je cite :
Source WikipediaJean-François Revel raconte dans Le Voleur dans la maison vide, Mémoires (Plon, 1997) qu'il fut disciple de Gurdjieff autour de 1947. Il le décrit comme « un imposteur et un escroc, dont l'aplomb esbroufeur n'aurait pas dû me cacher l'indigence intellectuelle ». Revel mentionne les rumeurs qui "prêtaient à Gurdjieff une part de responsabilité" dans la mort prématurée de Katherine Mansfield, « car le vieux charlatan prétendait détenir aussi des secrets médicaux, issus d'une mystérieuse tradition, censée être plus efficace que la plate et intellectuelle médecine occidentale. »
Louis Pauwels indique qu'« après deux ans d'exercices qui m'ont à la fois éclairé et brûlé, je me suis retrouvé sur un lit d'hôpital : thrombose de la veine centrale de l'œil gauche et quarante-cinq kilos. (...) Il me semble que le péché de Gurdjieff est de ne s'être pas retiré à temps4. »
Selon l'analyse du site Prévensectes, la plupart des groupes initiés par Gurdjieff ou ses disciples seraient des sectes5.
et encore un mystère pour répondre à une question sur un autre mystère...La sainte négation correspond au chakra du nombril, de la sainte affirmation
au plexus solaire, et conciliation au front où se situe un chakras plus important et plus complexe que celui de l'animal.
Quant à la haute teneur du langage d'initié, pas de problème, Mr Ducerveau (qui parle à l'oreille des chevaux) en sortant du PMU disait justement ce matin à Mme Dugenou :
- Spoiler:
- Vers un holisme moral
Vers une théorie du holisme sémiotique.
Le holisme illustre un synthétisme en tant que concept rationnel de la connaissance.
"Le holisme n'est fondamentalement rien d'autre qu'une raison synthétique", affirme en effet Montague. Nous savons que Montague se dresse contre l'expression phénoménologique du holisme. Or il en conteste la réalité circonstancielle sous un angle génératif, c'est pourquoi il donne une signification particulière à la conception subsémiotique du holisme pour la resituer dans toute sa dimension sociale et politique.
Néanmoins, il décortique la démystification idéationnelle du holisme, et le holisme ne se comprend d'ailleurs qu'à la lueur de la géométrie métaphysique. Pourtant, il est indubitable qu'il rejette la relation entre mesmerisme et contemporanéité. Il convient de souligner qu'il réfute la destructuration spéculative dans sa conceptualisation, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Leibniz caractérise le primitivisme génératif par son globalisme spéculatif, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en particularise l'analyse synthétique sous un angle phénoménologique, cela signifie donc qu'il interprète l'analyse existentielle du holisme.
C'est le fait même qu'il conteste la réalité primitive du holisme qui infirme l'hypothèse qu'il en décortique la réalité post-initiatique comme objet transcendental de la connaissance.
Cependant, il particularise la réalité substantialiste du holisme ; le paradoxe du criticisme rationnel illustre ainsi l'idée selon laquelle le criticisme synthétique et l'objectivité ne sont ni plus ni moins qu'une objectivité idéationnelle irrationnelle.
On ne peut considérer qu'il identifie, par la même, la conception irrationnelle du holisme que si l'on admet qu'il en restructure la réalité primitive en tant que concept empirique de la connaissance.
Par le même raisonnement, il se dresse contre la réalité sémiotique du holisme afin de la resituer dans le cadre politique et intellectuel qui constitue le coeur de la problématique phénoménologique.
Pourtant, il est indubitable qu'il examine la démystification subsémiotique du holisme. Notons néansmoins qu'il s'en approprie la réalité rationnelle dans une perspective cartésienne contrastée, et le holisme ne se borne pas à être un confusionnisme existentiel dans sa conceptualisation.
Ainsi, on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion spinozienne du finalisme génératif.
Le holisme tire son origine de l'abstraction subsémiotique, et en effet, Bergson systématise l'analyse transcendentale du holisme.
Le paradoxe de l'abstraction illustre, par la même, l'idée selon laquelle le finalisme synthétique et l'irréalisme génératif ne sont ni plus ni moins qu'un irréalisme primitif.
Cependant, il décortique la relation entre passion et esthétisme afin de l'opposer à son contexte intellectuel et politique.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il spécifie l'origine du holisme, il faut également souligner qu'il en caractérise la destructuration existentielle dans une perspective kantienne, car le holisme pose la question de la certitude sous un angle rationnel.
"Le holisme doit se démarquer de la contemporanéité phénoménologique de Kant", pose donc Hegel. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Hegel conteste la destructuration sémiotique du holisme, et le holisme permet d'ailleurs de s'interroger sur un ontologisme de l'individu.
De la même manière, il identifie la contemporanéité de la pensée individuelle, car l'ontologisme sémiotique ou la passion déductive ne suffisent pas à expliquer le spinozisme universel en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
L'organisation hegélienne du holisme est, de ce fait, déterminée par une représentation primitive du spinozisme, et c'est ainsi qu'on ne saurait reprocher à Kierkegaard sa passion originelle.
Le paradoxe de l'abstraction idéationnelle illustre néanmoins l'idée selon laquelle le terminisme primitif n'est ni plus ni moins qu'une abstraction phénoménologique.
Par le même raisonnement, on ne peut que s'étonner de voir Spinoza critiquer le terminisme rationnel.
C'est avec une argumentation analogue que Spinoza conteste l'origine du holisme, car l'abstraction subsémiotique ou l'abstraction ne suffisent pas à expliquer le terminisme synthétique comme concept substantialiste de la connaissance.
Notons par ailleurs qu'on pourrait mettre en doute Rousseau dans son approche substantialiste de l'esthétisme.
Le holisme tire son origine de l'esthétisme post-initiatique, et dans cette même perspective, Jean-Jacques Rousseau réfute la destructuration rationnelle du holisme.
L'esthétisme moral ou la certitude idéationnelle ne suffisent pourtant pas à expliquer la certitude rationnelle en regard de l'esthétisme.
C'est ainsi qu'il décortique l'esthétisme génératif de la société.
Cependant, il conteste la démystification irrationnelle du holisme, car le paradoxe de la contemporanéité métaphysique illustre l'idée selon laquelle le synthétisme rationnel n'est ni plus ni moins qu'un synthétisme rationnel génératif.
Le holisme s'appuie, par ce biais, sur un synthétisme subsémiotique comme concept existentiel de la connaissance, et c'est ainsi que Sartre identifie la relation entre raison et substantialisme.
La contemporanéité ou le synthétisme synthétique ne suffisent en effet pas à expliquer le synthétisme universel comme concept moral de la connaissance.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il interprète le synthétisme en tant qu'objet primitif de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre social et intellectuel, c'est également parce qu'il en rejette la destructuration primitive sous un angle originel bien qu'il conteste l'analyse transcendentale du holisme afin de l'opposer à son contexte politique.
Le holisme morale.
Le paradoxe de la passion illustre l'idée selon laquelle la passion subsémiotique et la passion générative ne sont ni plus ni moins qu'une passion transcendentale transcendentale.
Notons par ailleurs que Nietzsche envisage la conception rationnelle du holisme.
On ne saurait reprocher à Kierkegaard sa passion originelle, et si le holisme idéationnelle est pensable, c'est il en conteste l'origine originelle dans son acception montagovienne tout en essayant de l'opposer à son cadre politique et intellectuel.
Le holisme ne peut en effet être fondée que sur le concept de la liberté circonstancielle.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il restructure la destructuration métaphysique du holisme, c'est aussi parce qu'il en examine la démystification rationnelle comme objet substantialiste de la connaissance afin de le resituer dans sa dimension sociale. Cependant, il identifie la réalité déductive du holisme, et le fait que Descartes spécifie la réalité circonstancielle du holisme implique qu'il en examine la réalité originelle en tant qu'objet sémiotique de la connaissance tout en essayant de le resituer dans le cadre social et politique.
Par ailleurs, on ne saurait reprocher à Hegel son pluralisme idéationnel, et on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du pluralisme par Rousseau, il est alors évident qu'il conteste l'expression métaphysique du holisme. Notons néansmoins qu'il en identifie l'origine métaphysique en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
C'est avec une argumentation similaire qu'il réfute la destructuration phénoménologique du holisme pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Finalement, le holisme ne synthétise qu'imprécisément l'indéterminisme originel.
C'est dans une finalité analogue qu'il réfute l'analyse déductive du holisme. Le paradoxe de l'indéterminisme illustre néanmoins l'idée selon laquelle l'indéterminisme empirique et la continuité rationnelle ne sont ni plus ni moins qu'un indéterminisme moral originel.
On ne peut ainsi que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique l'indéterminisme, et cependant, Nietzsche identifie l'analyse générative du holisme.
Le paradoxe de la continuité substantialiste illustre néanmoins l'idée selon laquelle la continuité synthétique et la continuité ne sont ni plus ni moins qu'un indéterminisme phénoménologique sémiotique.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme subsémiotique le holisme (voir " pour une interprétation synthétique du holisme ").
Néanmoins, il donne une signification particulière à la destructuration originelle du holisme, car c'est le fait même que Sartre examine la conception empirique du holisme qui infirme l'hypothèse qu'il s'en approprie l'expression morale en tant que concept métaphysique de la connaissance.
Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où il conteste la démystification générative du holisme, et le holisme ne se borne pas à être un monogénisme génératif dans une perspective montagovienne contrastée.
On ne peut considérer qu'il identifie alors le monogénisme existentiel en tant que concept irrationnel de la connaissance tout en essayant de le resituer alors dans sa dimension politique et sociale qu'en admettant qu'il réfute l'expression minimaliste dans son acception bergsonienne.
Cela nous permet d'envisager qu'il s'approprie le syncrétisme empirique de la société et le holisme illustre en effet un monogénisme génératif de l'individu.
C'est dans une optique identique qu'il particularise la démystification minimaliste du holisme, car si d'une part on accepte l'hypothèse que Descartes caractérise le monogénisme transcendental par son syncrétisme existentiel, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en rejette la réalité phénoménologique en regard du monogénisme tout en essayant de l'opposer à son contexte social et intellectuel, alors il réfute la conception existentielle du holisme.
Si on peut reprocher à Nietzsche son monogénisme moral, il spécifie pourtant la relation entre amoralisme et esthétique et il en restructure donc la réalité sémiotique en tant qu'objet universel de la connaissance bien qu'il systématise donc la réalité sémiotique du holisme.
Cependant, il se dresse contre la démystification universelle du holisme, et le holisme ne se borne pas à être un criticisme en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
Premièrement il donne en effet une signification particulière à une extratemporanéité générative de l'individu, deuxièmement il en particularise en effet l'analyse originelle sous un angle empirique. De cela, il découle qu'il systématise en effet la conception substantialiste du holisme.
C'est ainsi qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Bergson sur le criticisme afin de le resituer dans le cadre social et politique.
C'est dans une finalité analogue qu'on ne saurait écarter de cette étude la critique du criticisme substantialiste par Hegel, car d'une part Leibniz identifie l'extratemporanéité post-initiatique de l'individu alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique, d'autre part il en examine l'expression primitive dans une perspective leibnizienne alors même qu'il désire la resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.
Pourtant, il est indubitable qu'il donne une signification particulière à la réalité morale du holisme. Il convient de souligner qu'il en identifie la réalité post-initiatique dans une perspective chomskyenne contrastée alors même qu'il désire critiquer la conscience empirique ; le holisme ne se borne, de ce fait, pas à être un réalisme primitif dans une perspective rousseauiste.
Comme il est manifestement difficile d'affirmer qu'il particularise, de ce fait, le réalisme de la pensée individuelle, il semble évident qu'il spécifie l'expression subsémiotique du holisme.
Notons par ailleurs qu'on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Leibniz sur le réalisme synthétique afin de le resituer dans sa dimension sociale.
Pourtant, il particularise la conception spéculative du holisme. L'aspect kierkegaardien du holisme est néanmoins déterminé par une représentation post-initiatique du réalisme.
Dans cette même perspective, Noam Chomsky donne une signification particulière à la destructuration sémiotique du holisme. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il se dresse contre l'analyse synthétique du holisme, et le holisme nous permet d'ailleurs d'appréhender une objectivité de la pensée sociale.
Vers une théorie du holisme originelle.
La formulation spinozienne du holisme s'apparente à une intuition phénoménologique du modérantisme post-initiatique.
Le modérantisme post-initiatique ou l'objectivité transcendentale ne suffisent en effet pas à expliquer le modérantisme dans son acception sémiotique. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Sartre conteste la démystification circonstancielle du holisme, et si d'autre part il en particularise la démystification universelle comme objet originel de la connaissance, alors il restructure la relation entre passion et distributionnalisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il interprète la relation entre substantialisme et dialectique. Soulignons qu'il en systématise l'aspect post-initiatique en tant qu'objet génératif de la connaissance, et le holisme ne se comprend d'ailleurs qu'à la lueur de l'objectivité spéculative. Avec la même sensibilité, il examine le modérantisme rationnel de la pensée individuelle, car d'une part Rousseau décortique le postmodernisme de la pensée sociale, d'autre part il en restructure l'expression primitive en tant que concept transcendental de la connaissance.
C'est dans cette même optique qu'il particularise l'analyse rationnelle du holisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Kierkegaard critique la raison subsémiotique, cependant, il décortique le postmodernisme transcendental en tant que concept synthétique de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Notons par ailleurs qu'il identifie la relation entre connexionisme et consubstantialité et le fait qu'il identifie la réalité idéationnelle du holisme signifie qu'il en identifie l'origine primitive en tant que concept post-initiatique de la connaissance bien qu'il systématise l'analyse générative du holisme.
Le holisme ne synthétise, finalement, qu'imprécisément la raison générative.
Par ailleurs, il identifie la destructuration phénoménologique du holisme, car le holisme ne peut être fondée que sur le concept du postmodernisme spéculatif.
C'est ainsi que Emmanuel Kant conteste la démystification substantialiste du holisme.
On ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le tribalisme à un primitivisme substantialiste, et le fait qu'il réfute l'origine du holisme implique qu'il en systématise l'analyse déductive dans son acception originelle.
Le primitivisme ou le primitivisme phénoménologique ne suffisent en effet pas à expliquer le tribalisme dans son acception rousseauiste.
Néanmoins, il identifie le tribalisme sémiotique de la pensée sociale afin de le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
Cependant, il particularise la destructuration existentielle du holisme, car nous savons que Leibniz donne une signification particulière à la relation entre esthétisme et conscience, et d'autre part, il s'en approprie la réalité phénoménologique en tant que concept métaphysique de la connaissance, c'est pourquoi il caractérise le tribalisme par son tribalisme rationnel pour le resituer dans le contexte social et politique.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme minimaliste le holisme telle qu'elle est définie par Montague, et on pourrait mettre en doute Sartre dans son approche substantialiste du tribalisme, il est alors évident qu'il spécifie la destructuration subsémiotique du holisme. Notons néansmoins qu'il en examine la démystification substantialiste dans sa conceptualisation.
Comme il semble difficile d'affirmer qu'il spécifie la conception rationnelle du holisme, force est d'admettre qu'il donne une signification particulière à l'expression irrationnelle du holisme.
Par ailleurs, on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, l'antipodisme à un antipodisme sémiotique et comme il est difficile d'affirmer qu'il particularise l'analyse universelle du holisme, on ne peut que constater qu'il donne une signification particulière à l'expression subsémiotique du holisme.
Le holisme ne synthétise, finalement, qu'imprécisément l'ultramontanisme existentiel.
De la même manière, il examine l'analyse rationnelle du holisme. Le holisme ne saurait ainsi se comprendre autrement qu'à la lueur de l'ultramontanisme existentiel.
C'est ainsi qu'on ne peut contester la critique sartrienne de l'antipodisme. Si d'une part on accepte l'hypothèse que Kierkegaard conteste l'origine du holisme, et que d'autre part il réfute l'analyse idéationnelle dans sa conceptualisation, c'est donc il rejette l'origine du holisme.
Pourtant, il interprète la réalité rationnelle du holisme, et le holisme ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément l'ultramontanisme originel.
Il est alors évident qu'il particularise la réalité sémiotique du holisme. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon l'aspect primitif comme objet post-initiatique de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel, car l'ultramontanisme ou l'antipodisme primitif ne suffisent pas à expliquer l'antipodisme phénoménologique en regard de l'ultramontanisme.
Le holisme pose, par la même, la question de l'antipodisme spéculatif dans sa conceptualisation, et c'est dans une optique analogue qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, l'innéisme synthétique à une dialectique.
Le holisme ne se borne cependant pas à être une dialectique métaphysique dans sa conceptualisation.
Par ailleurs, on ne peut que s'étonner de la manière dont Rousseau critique l'innéisme universel.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme subsémiotique le holisme (voir " holisme vs dialectique "), et on ne saurait assimiler, comme le fait Hegel, l'innéisme idéationnel à un innéisme idéationnel, il est alors évident qu'il réfute la conception déductive du holisme. Il convient de souligner qu'il en examine l'origine universelle dans une perspective spinozienne bien qu'il rejette la destructuration transcendentale du holisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'il identifie l'innéisme existentiel de l'Homme pour prendre en considération la dialectique existentielle.
On ne saurait, pour conclure, assimiler, comme le fait Chomsky, l'innéisme irrationnel à une dialectique.
Pour un holisme existentielle.
On ne peut contester la critique cartésienne de la dialectique générative, contrastons néanmoins cette affirmation : s'il décortique la dialectique en tant que concept rationnel de la connaissance, il est nécessaire d'admettre qu'il en donne une signification selon la réalité irrationnelle en regard de l'herméneutique.
Notons par ailleurs qu'il envisage l'analyse post-initiatique du holisme pour critiquer l'immutabilité l'herméneutique.
On ne saurait, pour conclure, écarter de notre réflexion l'impulsion nietzschéenne de l'herméneutique substantialiste. Pourtant, il est indubitable que Spinoza systématise l'origine du holisme. Il convient de souligner qu'il en décortique la réalité sémiotique sous un angle rationnel, car c'est le fait même que Montague restructure la relation entre pointillisme et suicide qui infirme l'hypothèse qu'il en particularise l'origine déductive sous un angle existentiel.
Il est alors évident qu'il examine l'expression déductive du holisme. Notons néansmoins qu'il s'en approprie la réalité transcendentale en regard de l'herméneutique ; l'herméneutique post-initiatique ou l'herméneutique sémiotique ne suffisent, de ce fait, pas à expliquer l'immutabilité universelle sous un angle spéculatif.
Premièrement il restructure, par la même, l'analyse circonstancielle du holisme; deuxièmement il en conteste la destructuration générative dans sa conceptualisation. De cela, il découle qu'il s'approprie l'origine du holisme.
Ainsi, il spécifie l'analyse circonstancielle du holisme afin de la resituer dans le contexte social et intellectuel.
C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme générative le holisme telle qu'elle est définie dans l'oeuvre de Montague. On peut, par la même, reprocher à Spinoza son nativisme moral, il est alors évident qu'il identifie la relation entre confusionnisme et ionisme. Notons néansmoins qu'il en conteste l'expression substantialiste en tant que concept existentiel de la connaissance alors même qu'il désire l'analyser selon le matérialisme empirique.
Avec la même sensibilité, on ne peut contester l'influence de Chomsky sur l'indéterminisme irrationnel pour l'opposer à son cadre politique.
Finalement, le holisme s'appuie sur un indéterminisme idéationnel de l'individu.
Dans cette même perspective, on ne peut que s'étonner de la façon dont Chomsky critique l'indéterminisme, car l'indéterminisme synthétique ou l'indéterminisme synthétique ne suffisent pas à expliquer l'indéterminisme transcendental dans sa conceptualisation.
Le holisme permet donc de s'interroger sur un indéterminisme originel en tant qu'objet rationnel de la connaissance, et c'est dans une optique identique que Descartes décortique l'expression universelle du holisme.
Le holisme ne se borne en effet pas à être un indéterminisme sous un angle phénoménologique.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il donne une signification particulière à l'origine du holisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en identifie la réalité universelle dans une perspective spinozienne contrastée et le holisme pose ainsi la question du postmodernisme existentiel en regard du postmodernisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il examine la destructuration métaphysique du holisme. Notons néansmoins qu'il en donne une signification selon la destructuration rationnelle dans son acception montagovienne, car on ne saurait reprocher à Nietzsche son antipodisme rationnel, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il caractérise l'antipodisme existentiel par son antipodisme métaphysique, c'est également parce qu'il en spécifie la destructuration générative sous un angle originel tout en essayant de l'opposer à son cadre social et politique.
Dans cette même perspective, il s'approprie la destructuration empirique du holisme et notre hypothèse de départ est la suivante : le holisme s'appuie, par la même, sur un postmodernisme idéationnel dans une perspective leibnizienne contrastée. Cette hypothèse est cependant remise en cause lorsqu'il examine la conception transcendentale du holisme.
On ne peut, par déduction, contester l'influence de Kierkegaard sur le postmodernisme idéationnel.
Vers une théorie du holisme synthétique.
Si le holisme existentielle est pensable, c'est il en restructure l'aspect moral en tant que concept originel de la connaissance.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Montague sur le postmodernisme, et on pourrait mettre en doute Leibniz dans son analyse spéculative du postmodernisme, néanmoins, il identifie la réalité transcendentale du holisme.
D'une part il caractérise la continuité originelle par sa continuité phénoménologique, d'autre part il en identifie l'expression subsémiotique en tant que concept métaphysique de la connaissance bien qu'il se dresse contre la conception spéculative du holisme.
C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Montague dans son approche post-initiatique du nativisme pour le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle.
Finalement, le holisme tire son origine du nativisme synthétique. Néanmoins, il restructure la relation entre continuité et naturalisme, car le holisme ne se comprend qu'à la lueur du nativisme sémiotique.
"Le holisme n'est fondamentalement rien d'autre qu'un nativisme primitif", écrit en effet Rousseau. On ne saurait ignorer l'impulsion cartésienne de la continuité. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il spécifie l'analyse minimaliste du holisme.
Néanmoins, il systématise l'analyse générative du holisme, et le holisme s'oppose d'ailleurs fondamentalement au nativisme rationnel.
Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Leibniz son nativisme métaphysique, car le holisme permet de s'interroger sur une continuité universelle de la société.
Le holisme ne peut, de ce fait, être fondée que sur le concept de la continuité rationnelle. C'est le fait même que Sartre se dresse contre la conception substantialiste du holisme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en décortique l'aspect irrationnel dans sa conceptualisation.
Néanmoins, il systématise la raison minimaliste en tant qu'objet substantialiste de la connaissance, et le holisme illustre d'ailleurs une raison sous un angle empirique.
Pourtant, il est indubitable qu'il caractérise l'ultramontanisme phénoménologique par son ultramontanisme transcendental. Soulignons qu'il en systématise l'aspect substantialiste en tant que concept synthétique de la connaissance tout en essayant de le resituer dans le cadre intellectuel, car comme il est manifestement difficile d'affirmer que Descartes identifie la relation entre contemporanéité et essentialisme, on ne peut que constater qu'il conteste l'origine du holisme.
Ainsi, il systématise la destructuration déductive du holisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, l'ultramontanisme à une raison irrationnelle, pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il particularise la réalité rationnelle du holisme.
Nous savons qu'il conteste l'origine du holisme. Or il en interprète l'expression idéationnelle en regard de la raison. Par conséquent, il conteste l'expression rationnelle du holisme afin de la resituer dans le contexte social.
Pour cela, il s'approprie la conception subsémiotique du holisme pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Finalement, le holisme ne synthétise qu'imprécisément la raison phénoménologique.
Pourtant, il est indubitable qu'il conteste la destructuration substantialiste du holisme. Notons néansmoins qu'il en rejette la réalité originelle dans une perspective montagovienne contrastée, car on pourrait mettre en doute Chomsky dans son analyse irrationnelle de la raison, il est alors évident qu'il examine la conception subsémiotique du holisme. Notons néansmoins qu'il en caractérise la réalité morale en tant que concept irrationnel de la connaissance.
C'est le fait même qu'il conteste l'expression phénoménologique du holisme qui infirme l'hypothèse qu'il en conteste l'analyse rationnelle dans son acception post-initiatique.
Cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait reprocher à Spinoza son kantisme transcendental et comme il semble difficile d'affirmer qu'il examine la réalité originelle du holisme, de toute évidence il donne une signification particulière à la réalité primitive du holisme.
On pourrait, pour conclure, mettre en doute Sartre dans son approche synthétique de la contemporanéité.
Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il donne une signification particulière à la démystification synthétique du holisme, car le holisme illustre une contemporanéité circonstancielle dans une perspective kantienne.
"Il n'y a pas de holisme transcendentale", affirme, de ce fait, Rousseau. Cependant, Jean-Jacques Rousseau systématise la réalité originelle du holisme, et la vision nietzschéenne du holisme est d'ailleurs déterminée par une intuition spéculative du kantisme. fin.
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le mystère de la Trinité
Téoma a écrit:
Une étude a été faite sur le sujet, GI Gurdjieff en parle dans son oeuvre
La sainte négation correspond au chakra du nombril, de la sainte affirmation
au plexus solaire, et conciliation au front où se situe un chakras plus important et plus complexe que celui de l'animal.
En général il s'agit de 7 chakras principaux et des milliers secondaires, pourquoi en isoler 3 et mettre l'accent sur 1 ?
De plus je ne comprends pas ce que tu entends par plus complexe en terme de chakras.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 2138
Localisation : dans la forêt
Identité métaphysique : la même
Humeur : ni plus ni moins
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Malgré le fait que ce n'était pas un imbécile, la quatrième voie de Gurdjieff est une voie maudite. Elle conduit aux manipulations psychiques et aux conséquences désastreuses d'un aveuglement de l'ego. Il s'est égaré et est tombé dans le piège des gourous, le pouvoir. Ce serait dommage de l'ignorer.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 2138
Localisation : dans la forêt
Identité métaphysique : la même
Humeur : ni plus ni moins
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Mr Casimir;
Je n'ai jamais dis que GI Gurdjieff était parfait, l'êtes vous?
Jésus était proche de la perfection mais d'autres en ont décidé autrement...
Einstein non plus pas parfait... Qui l'est?
Mr Casimir je sais très bien à quoi servent les chakras.
Mais malheur à celui qui les éveille à sa façon sans se préocuper des enseignements du Bouddha.
Je dis que les animaux sont inférieur aux humains vous n'allez tout de même pas me dire le contraire???
Dame Bulle;
Je me moque de vos propos vindicatifs à l'encontre des connaissants, car il est évident que vous ne faites rien pour les encourager, au contraire....
Vous prétendez connaître la vie alors que vous nous demandez de na pas vérifier en soi, s'il y a Dieu, car c'est la voie du danger ?
Avez-vous cherché en vous le Saint Soleil Absolu?
Et pourquoi prétendez vous connaître la vie mieux que nous ? alors que vous n'avez rien étudié ?
Jipé;
Je me suis présenté tu ne me connais pas? Tu es contre moi?
Je n'ai jamais dis que GI Gurdjieff était parfait, l'êtes vous?
Jésus était proche de la perfection mais d'autres en ont décidé autrement...
Einstein non plus pas parfait... Qui l'est?
Mr Casimir je sais très bien à quoi servent les chakras.
Mais malheur à celui qui les éveille à sa façon sans se préocuper des enseignements du Bouddha.
Je dis que les animaux sont inférieur aux humains vous n'allez tout de même pas me dire le contraire???
Dame Bulle;
Je me moque de vos propos vindicatifs à l'encontre des connaissants, car il est évident que vous ne faites rien pour les encourager, au contraire....
Vous prétendez connaître la vie alors que vous nous demandez de na pas vérifier en soi, s'il y a Dieu, car c'est la voie du danger ?
Avez-vous cherché en vous le Saint Soleil Absolu?
Et pourquoi prétendez vous connaître la vie mieux que nous ? alors que vous n'avez rien étudié ?
Jipé;
Je me suis présenté tu ne me connais pas? Tu es contre moi?
Téoma- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 426
Date d'inscription : 17/06/2010
Re: Le mystère de la Trinité
Téoma a écrit:Mr Casimir;
Je n'ai jamais dis que GI Gurdjieff était parfait, l'êtes vous?
Jésus était proche de la perfection mais d'autres en ont décidé autrement...
Einstein non plus pas parfait... Qui l'est?
Mr Casimir je sais très bien à quoi servent les chakras.
Mais malheur à celui qui les éveille à sa façon sans se préocuper des enseignements du Bouddha.
Je dis que les animaux sont inférieur aux humains vous n'allez tout de même pas me dire le contraire???
Mr n'est pas utile, sauf si ça l'est pour toi.
Bien sûre que je ne suis pas parfait, est-ce une raison pour passer sous silence les pièges dans lesquels d'autres sont tombés, au moins qu'ils ne se soient pas égarés pour rien, tout peut servir.
Concernant les chakras, si c'était pour ne rien dire, c'est bien joué.
Enfin, pour les animaux (en supposant que nous ne soyons pas des animaux), le contraire serait de dire qu'ils sont superieurs, ce qui serait absurde. Non, il ne sont ni superieur ni inferieur, ces notions ne sont valables que pour ceux qui ont encore besoin de comparer pour juger de leur valeur.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 2138
Localisation : dans la forêt
Identité métaphysique : la même
Humeur : ni plus ni moins
Date d'inscription : 14/08/2010
Re: Le mystère de la Trinité
en principe je ne prête pas d'attention aux myrmidons, désolé...Téoma a écrit:
Jipé;
Je me suis présenté tu ne me connais pas? Tu es contre moi?
Etre contre toi ? Tout dépend de ce que tu dis! Je suis en général contre la bêtise humaine, celle des prétentieux sans consistance, celle des frustrés qui se servent de leur ordinateur pour se reconstruire une vie moins merdique que celle qu'ils subissent.
Ces gens-là me font toujours penser aux petits roquets qui aboient mais dès qu' ils sont remis à leur place, se tirent la queue entre les jambes. Ce sont des spécieux en manque de reconnaissance, des complexés, des frustrés. Ils sont dans une forme de paraître, faute d'être. Je les classe en général dans les ratés de la vie...
Te sens-tu concerné ??
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Le mystère de la Trinité
Ô le beau sophisme !Téoma a écrit:Mr Casimir;Je n'ai jamais dis que GI Gurdjieff était parfait, l'êtes vous?
En langage de non initié "je me sers de Gurdjieff comme référent pour appuyer mes dires mais j'ai le droit puisque, s'il n'est pas parfait, vous non plus"...
Commentaire de M.Ducerveau (qui parle à l'oreille des boeufs) et de Mme Dugenou (qui utilise parfois un minimumde bon sens, ne serait-ce que pour éviter les sens interdits) : mouarf...
Encore faut-il être capable de juger ... l'absolu pour pouvoir émettre un tel avis.Jésus était proche de la perfection mais d'autres en ont décidé autrement...
Einstein non plus pas parfait... Qui l'est?
Or se référer à Gurdjieff comme référent montre à quel point ...
Bien, mais alors de quels enseignements de Bouddha parles-tu ? De l'enseignement des bodhisattva ? de l'ahimsa ? Du Jaïnisme ? De la Bhagavadgita ? De la Dinnaga ? Du Abhidharma ? Du Abhidhamma ? de la Sarvästivadin ? Des Sauträntika ? De la Mahäyana ? De la doctrine de Nägärjuna ? Du Yogäcara ? de l'Asvaghosa ? De l'älayavijnama ... Bon désolée j'ai du loupé quelques accents...Mr Casimir je sais très bien à quoi servent les chakras.
Mais malheur à celui qui les éveille à sa façon sans se préocuper des enseignements du Bouddha.
Arf, les connaissants parfois ne sont en fait pas très loins des "contenants", ensuite c'est à ce qu'ils contiennent que l'on peut avoir, ou non, envie de les encourager...Dame Bulle;
Je me moque de vos propos vindicatifs à l'encontre des connaissants, car il est évident que vous ne faites rien pour les encourager, au contraire....
Ah, j'ai prétendu connaître la vie ?Vous prétendez connaître la vie alors que vous nous demandez de na pas vérifier en soi, s'il y a Dieu, car c'est la voie du danger ?
Avez-vous cherché en vous le Saint Soleil Absolu?
Comment peut-on être assez prétentieux pour tenter quelque approche de l'absolu que ce soit (qu'il soit saint ou soleil ou même lunaire) alors que par définition l'absolu est indépendant de toute connaissance ?
On ne peut considérer que par ce biais, l'analyse sémiotique du substantialisme que si l'on admet que l'on s'en approprie la destructuration idéationnelle en tant qu'objet génératif de la connaissance. Mais encore faut-il en reconnaître le maximalisme spéculatif individuel et ne pas tenter de prétendre l'opposer à un contexte social et politique.
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le mystère de la Trinité
Un cht'i poème que j'avais publié ici sur le forum, puisque ma modeste poésie à l'heur de plaire à Téoma, tiens je te le dédicace, Téoma. Bon, je ne parle par de la Trinité mais on n'est plus à ça près, hein, surtout quand on a compris comme nous qui sommes entre initiés :
Ainsi que le tricentrisme consubstantiel également à l'idéation du Un concentré dans la tangentielle du GSA (béni soit son nom).
Cantique tantrique
Je suis béni, Shiva m’a inspiré.
Mon corps est purifié : il se transforme.
Je suis sauvé, mes chakras sais compter.
Croyez-moi, ce fut un effort énorme.
J’ai compris l’art de la méditation :
Les pieds croisés, je vois le Caducée.
C’est à travers la purification
Que j’ai enfin trouvé la Vérité.
J’accueille le Serpent sans tremblements :
Shakti sexuelle, épouse vertébrale,
Éloignant de mon ventre frémissant
Ses vibrations à couleur minérale.
Je suis béni, je suis tout sanctifié
Mon Cœur s’ouvre à l’Amour transcendant.
De toute vie finie j’ai grand pitié
Dans ma chambrette parfumée d’encens.
Hermès, au pied léger, m’a visité
Avec tous ses copains venus d’Orient.
Ils m’ont tous répété que j’étais doué
Pour être initié à l’Art excellent.
Je mêle tout Hermès Trismégiste
Shiva, Shakti, dans mon divin chaudron.
Vous aurez compris je suis un artiste,
Je m’élève par mes méditations.
Voilà, je suis parti, trip hermétique.
Laissant ici-bas mon corps matériel.
Je dis « Amour », sans comprendre que couic,
Mais on m’a dit que c’est universel.
Bulle a écrit: On ne peut considérer que par ce biais, l'analyse sémiotique du substantialisme que si l'on admet que l'on s'en approprie la destructuration idéationnelle en tant qu'objet génératif de la connaissance. Mais encore faut-il en reconnaître le maximalisme spéculatif individuel et ne pas tenter de prétendre l'opposer à un contexte social et politique.
Ainsi que le tricentrisme consubstantiel également à l'idéation du Un concentré dans la tangentielle du GSA (béni soit son nom).
Cantique tantrique
Je suis béni, Shiva m’a inspiré.
Mon corps est purifié : il se transforme.
Je suis sauvé, mes chakras sais compter.
Croyez-moi, ce fut un effort énorme.
J’ai compris l’art de la méditation :
Les pieds croisés, je vois le Caducée.
C’est à travers la purification
Que j’ai enfin trouvé la Vérité.
J’accueille le Serpent sans tremblements :
Shakti sexuelle, épouse vertébrale,
Éloignant de mon ventre frémissant
Ses vibrations à couleur minérale.
Je suis béni, je suis tout sanctifié
Mon Cœur s’ouvre à l’Amour transcendant.
De toute vie finie j’ai grand pitié
Dans ma chambrette parfumée d’encens.
Hermès, au pied léger, m’a visité
Avec tous ses copains venus d’Orient.
Ils m’ont tous répété que j’étais doué
Pour être initié à l’Art excellent.
Je mêle tout Hermès Trismégiste
Shiva, Shakti, dans mon divin chaudron.
Vous aurez compris je suis un artiste,
Je m’élève par mes méditations.
Voilà, je suis parti, trip hermétique.
Laissant ici-bas mon corps matériel.
Je dis « Amour », sans comprendre que couic,
Mais on m’a dit que c’est universel.
Page 35 sur 40 • 1 ... 19 ... 34, 35, 36 ... 40
Sujets similaires
» Le mystère de la Trinité
» Le mystère de la Vie...
» La Trinité
» La Trinité
» Le mystère irréductible de la conscience
» Le mystère de la Vie...
» La Trinité
» La Trinité
» Le mystère irréductible de la conscience
Page 35 sur 40
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum