Blagues...
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Re: Blagues...
Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes.
> > > Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu.
> > > Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur.
> > > Il l'ouvrit et lut :
> > > « - Cher Dieu, Je suis une vieille veuve de 93 ans, qui vit sur une très petite pension. Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche. Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension. Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper. Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir. Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> > > S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide?
> > > Sincèrement, »
> > > Edna
> > > 66, rue Jean-Talon apt 2,
> > > 48310 Villois
> > > Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros. Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 96 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame.
> > > Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
> > > Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille.
> > > Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre.
> > > Il était écrit:
> > > « - Cher Dieu,
> > > Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> > > Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> > > Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait. Au fait, il manquait 4 euros sur le montant.
> > > J'ai bien peur que cela ait été volé par ces enculés d'employés du Bureau de Poste. »
> > >
> > > Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu.
> > > Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur.
> > > Il l'ouvrit et lut :
> > > « - Cher Dieu, Je suis une vieille veuve de 93 ans, qui vit sur une très petite pension. Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche. Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension. Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper. Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir. Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> > > S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide?
> > > Sincèrement, »
> > > Edna
> > > 66, rue Jean-Talon apt 2,
> > > 48310 Villois
> > > Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros. Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 96 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame.
> > > Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
> > > Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille.
> > > Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre.
> > > Il était écrit:
> > > « - Cher Dieu,
> > > Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> > > Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> > > Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait. Au fait, il manquait 4 euros sur le montant.
> > > J'ai bien peur que cela ait été volé par ces enculés d'employés du Bureau de Poste. »
> > >
tango- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Blagues...
2 histoires mignonnes que vous connaissez peut-être déjà?
Un poisson rouge à l'autre:
-"Vous voyez bien qu'il y a un Dieu puisque notre eau est changée tous les 8jours!"
_"Et lorsque l'eau est restée pendant 1mois sans être changée et que nous avons failli périr?"
-"C'est qu'il voulait éprouver notre foi!"
Un poisson avait pour ami une tortue. Un jour, elle lui dit:
- je viens d'aller faire un tour sur la terre.
- La terre? dit le poisson. Qu'est-ce? C'est transparent?
- Non
- il y a des algues, des coquillages?
- Non
- Voyons, vous me faites des contes, votre terre n'existe pas!
- Bien, bien, dit la tortue, je vais faire à nouveau un tour sur la terre.
Un poisson rouge à l'autre:
-"Vous voyez bien qu'il y a un Dieu puisque notre eau est changée tous les 8jours!"
_"Et lorsque l'eau est restée pendant 1mois sans être changée et que nous avons failli périr?"
-"C'est qu'il voulait éprouver notre foi!"
Un poisson avait pour ami une tortue. Un jour, elle lui dit:
- je viens d'aller faire un tour sur la terre.
- La terre? dit le poisson. Qu'est-ce? C'est transparent?
- Non
- il y a des algues, des coquillages?
- Non
- Voyons, vous me faites des contes, votre terre n'existe pas!
- Bien, bien, dit la tortue, je vais faire à nouveau un tour sur la terre.
Intégraal- Maître du Temps
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Re: Blagues...
Origine de la barre du chiffre sept ! 7
Encore aujourd'hui, de nombreuses personnes,
en écrivant le chiffre 7 utilisent une barre supplémentaire
horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu'à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :
Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï,
et que les 10 commandements lui furent dictés,
il redescendit vers son peuple et leur lut,
à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième commandement, il annonça :
« Tu ne commettras point d'adultère.
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain »
Et là... de nombreuses voix s'élevèrent parmi le peuple lui criant :
"Barre le sept, barre le sept, barre le sept !!!"
Et voilà… l'origine de la barre du sept
Encore aujourd'hui, de nombreuses personnes,
en écrivant le chiffre 7 utilisent une barre supplémentaire
horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu'à nos jours ?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :
Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï,
et que les 10 commandements lui furent dictés,
il redescendit vers son peuple et leur lut,
à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième commandement, il annonça :
« Tu ne commettras point d'adultère.
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain »
Et là... de nombreuses voix s'élevèrent parmi le peuple lui criant :
"Barre le sept, barre le sept, barre le sept !!!"
Et voilà… l'origine de la barre du sept
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 15/03/2010
Re: Blagues...
Salut Imala,Imala a écrit:Euh, on pourrait d'abord se mettre d'accord, sur ce qu'est une bonne blague... Bon, je sais pas vous, mais moi quelque chose me dit, qu'on n'est pas sortis de l'auberge comme dirait ma môman !! Imala
Une blague, c'est une blague, et elles sont toutes plus moins marrantes, Mais il y en a tellement sur le web, que presque tout le monde les connais. On les reçois par tonnes dans nos boites de réception. Comme elles sont presque toutes connues, nous avons tendance à poster celles que nous préférons le plus pour les partager. C'est mon but.
Je lis les vôtres avec grand plaisir, mais je ne trouve pas de mots pour les commenter.
A part : " Ah' Elle est bonne celle-là"
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 15/03/2010
Re: Blagues...
Encore une...
Amour sauvage
Un couple est en pleine action, la pression commence à monter....
Elle : vas-y sauvagement !
Lui : oui !
Elle : ne sois pas timide !
Lui : oui !
Elle : montre que tu es un homme !
Lui : oui, oui !
Elle : dis-moi des choses sales !
Lui : la cuisine, la salle de bains, le salon...
Amour sauvage
Un couple est en pleine action, la pression commence à monter....
Elle : vas-y sauvagement !
Lui : oui !
Elle : ne sois pas timide !
Lui : oui !
Elle : montre que tu es un homme !
Lui : oui, oui !
Elle : dis-moi des choses sales !
Lui : la cuisine, la salle de bains, le salon...
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 15/03/2010
Re: Blagues...
Le courage et le culot
Le courage, c'est rentrer saoul au milieu de la nuit, voir sa femme qui attend avec un balai en main et lui demander :
"t'es encore en train de nettoyer ou tu t'envoles quelque part ?"
Le culot, c'est rentrer saoul au milieu de la nuit, entouré d'un nuage de parfum, du rouge à lèvres sur les vêtements, voir sa femme qui attend avec un balai en main, lui taper sur les fesses et lui dire : "t'énerve pas,c'est ton tour
Le courage, c'est rentrer saoul au milieu de la nuit, voir sa femme qui attend avec un balai en main et lui demander :
"t'es encore en train de nettoyer ou tu t'envoles quelque part ?"
Le culot, c'est rentrer saoul au milieu de la nuit, entouré d'un nuage de parfum, du rouge à lèvres sur les vêtements, voir sa femme qui attend avec un balai en main, lui taper sur les fesses et lui dire : "t'énerve pas,c'est ton tour
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : Libre penseur
Humeur : Tolérante
Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Blagues...
clap clap clap clap elles déchirent, vos blagues
Djizeuss prêche la foi parmi les fidèles quand soudain, il vois une femme se faire lyncher sur la place publique. Il s'interpose et dit :
"Aimez vous les uns les autres"
Mais tout le monde s'en fout et répond :
"Vas-y dégage qu'on lui éclate sa gueule!"
Alors jésus prononce cette phrase "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre!"
Sur ce, une pierre arrive à pleine vitesse et atterri en plein dans la face de la pécheresse qui s'étale par terre en gémissant de douleur. Jésus se retourne alors et dit au lanceur de la pierre:
"Maman ! J't'ai déjà dit d'arrêter de me suivre!"
Djizeuss prêche la foi parmi les fidèles quand soudain, il vois une femme se faire lyncher sur la place publique. Il s'interpose et dit :
"Aimez vous les uns les autres"
Mais tout le monde s'en fout et répond :
"Vas-y dégage qu'on lui éclate sa gueule!"
Alors jésus prononce cette phrase "Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre!"
Sur ce, une pierre arrive à pleine vitesse et atterri en plein dans la face de la pécheresse qui s'étale par terre en gémissant de douleur. Jésus se retourne alors et dit au lanceur de la pierre:
"Maman ! J't'ai déjà dit d'arrêter de me suivre!"
apollonius- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : Amoureux de Philosophie Naturelle
Humeur : Eve entée
Date d'inscription : 24/09/2010
Toto et la cartomancienne
Le papa de Toto lui donne un peu d’argent pour aller à la fête du village. Vers la fin de la fête, Toto a encore de l’argent, alors il consulte la cartomancienne. Elle lui dit d’un air sinistre:
Va chez toi avant midi. Quand sonneront les douze coups à l’église, ton père mourra.
Toto court à la maison. Son père reste assis dans son fauteuil, sans savoir quoi penser. Le facteur s’approche de la maison avec une lettre. Les cloches de l’église se mettent à sonner. Le facteur tombe raide mort.
Va chez toi avant midi. Quand sonneront les douze coups à l’église, ton père mourra.
Toto court à la maison. Son père reste assis dans son fauteuil, sans savoir quoi penser. Le facteur s’approche de la maison avec une lettre. Les cloches de l’église se mettent à sonner. Le facteur tombe raide mort.
Re: Blagues...
Deux vieilles filles se cherchent une voiture d'occasion.
Finalement, elles trouvent une bonne affaire, paient et vont s' asseoir dedans.
Au bout de vingt minutes, le vendeur voit les deux femmes dans la voiture, qui n'a toujours pas bougé.
- Mesdemoiselles, est-ce que vous regrettez votre achat ?
- Oh ! Non, non !
- Alors pourquoi ne partez vous pas ?
- C'est parce qu'on a entendu dire que, lorsqu'on achète une voiture d'occasion, on se fait toujours baiser.
Alors on attend !!!
Finalement, elles trouvent une bonne affaire, paient et vont s' asseoir dedans.
Au bout de vingt minutes, le vendeur voit les deux femmes dans la voiture, qui n'a toujours pas bougé.
- Mesdemoiselles, est-ce que vous regrettez votre achat ?
- Oh ! Non, non !
- Alors pourquoi ne partez vous pas ?
- C'est parce qu'on a entendu dire que, lorsqu'on achète une voiture d'occasion, on se fait toujours baiser.
Alors on attend !!!
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Blagues...
Une blonde est sur l'autoroute en train de pousser à grand-peine une superbe Porche 911.
Un motard de la police l'aperçoit et lui propose son aide :
- Bonjour, vous êtes en panne ?
- Non, non tout va bien, elle est toute neuve !!
- Alors, pourquoi vous poussez votre voiture comme ça ?
- C'est le concessionnaire, il m'a dit :
"50 en ville maximum et toutes les semaines, vous la poussez un peu sur l'autoroute".
Un motard de la police l'aperçoit et lui propose son aide :
- Bonjour, vous êtes en panne ?
- Non, non tout va bien, elle est toute neuve !!
- Alors, pourquoi vous poussez votre voiture comme ça ?
- C'est le concessionnaire, il m'a dit :
"50 en ville maximum et toutes les semaines, vous la poussez un peu sur l'autoroute".
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Blagues...
La scène se passe en Angleterre, dans le château du Comte William de Slowbury.
Le Comte et son épouse dînent dans la grande salle à manger, de part et d’autre de la superbe table de cinq mètres de long, véritable fierté familiale. Le Comte et la Comtesse adorent ce moment d’intimité.
La Comtesse : (si vous pouviez lire avec l’accent anglais, ce serait mieux)
- William, my dear, notre fils Geoffrey est maintenant un grand garçon.
Ne pensez-vous pas qu’il serait temps de lui parler « des choses de la vie » ?
- Vous avez raison darling, j’y ai pensé aussi. Je m’en occupe dès demain.
Et effectivement, le lendemain matin, le Comte fait seller deux chevaux et emmène son fils faire un tour dans leur immense propriété. Ils s’arrêtent dans une clairière, attachent les chevaux.
Le Comte prends son fils par l’épaule et tout en marchant lui dit :
- Geoffrey, quand votre mère se rend dans la petite maison de notre garde-chasse, savez-vous ce qu’il font ?
- Oui père.
- Bien. Et quand je rends visite à Mary, notre cuisinière, savez-vous ce que nous faisons ?
- Oui père.
- Et vous-même, quand votre cousine Elisabeth vient dans votre chambre pour étudier Shakespeare, savez-vous ce que vous faites ?
- Oui père.
- Parfait. Eh bien, votre mère m’a prié de vous dire que les papillons font exactement la même chose.
Le Comte et son épouse dînent dans la grande salle à manger, de part et d’autre de la superbe table de cinq mètres de long, véritable fierté familiale. Le Comte et la Comtesse adorent ce moment d’intimité.
La Comtesse : (si vous pouviez lire avec l’accent anglais, ce serait mieux)
- William, my dear, notre fils Geoffrey est maintenant un grand garçon.
Ne pensez-vous pas qu’il serait temps de lui parler « des choses de la vie » ?
- Vous avez raison darling, j’y ai pensé aussi. Je m’en occupe dès demain.
Et effectivement, le lendemain matin, le Comte fait seller deux chevaux et emmène son fils faire un tour dans leur immense propriété. Ils s’arrêtent dans une clairière, attachent les chevaux.
Le Comte prends son fils par l’épaule et tout en marchant lui dit :
- Geoffrey, quand votre mère se rend dans la petite maison de notre garde-chasse, savez-vous ce qu’il font ?
- Oui père.
- Bien. Et quand je rends visite à Mary, notre cuisinière, savez-vous ce que nous faisons ?
- Oui père.
- Et vous-même, quand votre cousine Elisabeth vient dans votre chambre pour étudier Shakespeare, savez-vous ce que vous faites ?
- Oui père.
- Parfait. Eh bien, votre mère m’a prié de vous dire que les papillons font exactement la même chose.
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Re: Blagues...
Une petite histoire, spécialement pour Jipé (et quelques autres...)
Un alpiniste grimpe sur une montagne particulièrement vertigineuse.
A un moment, son pied glisse, il décroche et c’est la chute.
Ses piquets lachent les uns après les autres jusqu’au dernier.
Mais il parvient à s’accrocher à un rocher auquel il ne tient plus que par une main,
alors que son corps pend au-dessus du vide.
Au comble de la panique, l’alpiniste hurle :
- Au secours ! Au secours ! Y a-t-il quelqu’un pour me venir en aide ?
A ce moment Dieu apparaît et dit :
- Oui, je suis là, tu peux lacher, je vais réceptionner ta chute. Aie confiance, je te sauverai.
Alors le type hésite, puis hurle encore plus fort :
- Y a-t-il quelqu’un d’autre pour me venir en aide ?
Un alpiniste grimpe sur une montagne particulièrement vertigineuse.
A un moment, son pied glisse, il décroche et c’est la chute.
Ses piquets lachent les uns après les autres jusqu’au dernier.
Mais il parvient à s’accrocher à un rocher auquel il ne tient plus que par une main,
alors que son corps pend au-dessus du vide.
Au comble de la panique, l’alpiniste hurle :
- Au secours ! Au secours ! Y a-t-il quelqu’un pour me venir en aide ?
A ce moment Dieu apparaît et dit :
- Oui, je suis là, tu peux lacher, je vais réceptionner ta chute. Aie confiance, je te sauverai.
Alors le type hésite, puis hurle encore plus fort :
- Y a-t-il quelqu’un d’autre pour me venir en aide ?
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 22/05/2010
Re: Blagues...
merci ClaudeClaude Dorpierre a écrit:Une petite histoire, spécialement pour Jipé (et quelques autres...)
Un alpiniste grimpe sur une montagne particulièrement vertigineuse.
A un moment, son pied glisse, il décroche et c’est la chute.
Ses piquets lachent les uns après les autres jusqu’au dernier.
Mais il parvient à s’accrocher à un rocher auquel il ne tient plus que par une main,
alors que son corps pend au-dessus du vide.
Au comble de la panique, l’alpiniste hurle :
- Au secours ! Au secours ! Y a-t-il quelqu’un pour me venir en aide ?
A ce moment Dieu apparaît et dit :
- Oui, je suis là, tu peux lacher, je vais réceptionner ta chute. Aie confiance, je te sauverai.
Alors le type hésite, puis hurle encore plus fort :
- Y a-t-il quelqu’un d’autre pour me venir en aide ?
c'est évident que je ne ferai pas confiance au vieux gazeux du haut...
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Blagues...
Un jour dans la forêt, il y eut une très grande sécheresse. Tous les animaux étaient en train de mourir.
Le lion les rassembla tous afin de trouver une solution pour sauver la vie de ses sujets. Certains animaux suggérèrent alors de se manger mutuellement pour survivre puisque les temps étaient si durs et la situation si grave. Mais ils n'eurent pas non plus trop envie de se manger entre eux, ils firent donc une compétition. Chacun d'entre eux devait raconter une blague. La blague devait être très drôle, et la tortue devait rire. Si elle ne riait pas, alors cet animal devrait être mangé.
Ainsi l'éléphant raconta une blague. Mais la tortue ne rit pas.
L'éléphant fut mangé. Ensuite, ils continuèrent avec un autre animal, la girafe. Elle raconta aussi une blague. La tortue ne rit pas, et la girafe fut mangée, et bien d'autres.
Ce fut le tour du singe de raconter une blague, et il avait très peur. Il était nerveux et sa blague était un peu moyenne.
La tortue explosa de rire.
"Ha ha ha ! Trop marrante, celle de l'éléphant"
Le lion les rassembla tous afin de trouver une solution pour sauver la vie de ses sujets. Certains animaux suggérèrent alors de se manger mutuellement pour survivre puisque les temps étaient si durs et la situation si grave. Mais ils n'eurent pas non plus trop envie de se manger entre eux, ils firent donc une compétition. Chacun d'entre eux devait raconter une blague. La blague devait être très drôle, et la tortue devait rire. Si elle ne riait pas, alors cet animal devrait être mangé.
Ainsi l'éléphant raconta une blague. Mais la tortue ne rit pas.
L'éléphant fut mangé. Ensuite, ils continuèrent avec un autre animal, la girafe. Elle raconta aussi une blague. La tortue ne rit pas, et la girafe fut mangée, et bien d'autres.
Ce fut le tour du singe de raconter une blague, et il avait très peur. Il était nerveux et sa blague était un peu moyenne.
La tortue explosa de rire.
"Ha ha ha ! Trop marrante, celle de l'éléphant"
Re: Blagues...
Heureusement que Jésus n'est pas mort dans son lit.
Sinon, en Bretagne, il y aurait des matelas en granit à chaque carrefour.
Sinon, en Bretagne, il y aurait des matelas en granit à chaque carrefour.
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 22/05/2010
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Re: Blagues...
L'amour, c'est un sport.
Surtout, lorsqu'il y en a un des deux qui ne veut pas.
Surtout, lorsqu'il y en a un des deux qui ne veut pas.
Claude Dorpierre- Affranchi des Paradoxes
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Re: Blagues...
Bah! Les chrétiens semblent avoir un attrait particulier pour les grottes et les lieux sombres ...Cochonfucius a écrit:Et si les Romains l'avaient empalé, bonjour le signe de croix.
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Blagues...
Les catholiques oui, mais pas trop les autres.bernard1933 a écrit:Bah! Les chrétiens semblent avoir un attrait particulier pour les grottes et les lieux sombres ...Cochonfucius a écrit:Et si les Romains l'avaient empalé, bonjour le signe de croix.
SkyD- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Blagues...
Un jeune abbé, nouvellement nommé, se présente à son curé.
Ah! C'est vous, dit le curé. Bon ! Alors, voilà votre programme. Lever à cinq heures. Vous nettoyez l'église et vous allez chercher des fleurs pour l'autel. Vous dites votre messe à sept heures. A huit heures, vous avez le catéchisme des garçons. A neuf heures, le catéchisme des filles. A dix heures, vous allez visiter les malades de la paroisse, vous en avez bien pour jusqu'à midi. A midi, vous préparez la cuisine et vous mettez la table.
... Ici, on ne mange pas de viande. je suis végétarien.
En sortant de table, vous avez une demi-heure pour préparer la retraite des demoiselles qui commence à deux heures. A trois heures, vous allez faire votre service au couvent de Sainte Marie, à sept kilomètres d'ici. Vous prendrez ma bicyclette, je ne m'en sers plus. Entre quatre heures et demie et six heures, vous serez à la chapelle pour les confessions. A six heures, vous commencerez la retraite de saint Joseph pour les hommes seuls, et à sept heures, les dames de la Ligue catholique vous attendent. Puis vous préparerez le repas du soir et comme je suis trop vieux pour faire la vaisselle, vous en aurez bien jusqu'à neuf heures. Ensuite, je vous demanderai de me lire mon bréviaire, car j'ai les yeux bien malades. A dix heures, vous avez la lessive et le repassage des linges sacerdotaux. Ensuite, nous irons prier le Seigneur ensemble une petite demi-heure et, avant de vous coucher, il faudra balayer le presbytère.
Le mercredi et le samedi, vous aurez en plus la garde des enfants du patronage. Le dimanche, vous me préparerez mon sermon et vous tiendrez l'orgue. J'espère que vous êtes d'accord ?
... Oui, dit le jeune abbé... Mais... Est ce que vous avez de la terre glaise dans le jardin ?
Quelle question bizarre ?! Fait le curé. Pourquoi ?
... Eh bien, parce qu'entre minuit et cinq heures du matin, j'aurais pu faire des briques !...
Ah! C'est vous, dit le curé. Bon ! Alors, voilà votre programme. Lever à cinq heures. Vous nettoyez l'église et vous allez chercher des fleurs pour l'autel. Vous dites votre messe à sept heures. A huit heures, vous avez le catéchisme des garçons. A neuf heures, le catéchisme des filles. A dix heures, vous allez visiter les malades de la paroisse, vous en avez bien pour jusqu'à midi. A midi, vous préparez la cuisine et vous mettez la table.
... Ici, on ne mange pas de viande. je suis végétarien.
En sortant de table, vous avez une demi-heure pour préparer la retraite des demoiselles qui commence à deux heures. A trois heures, vous allez faire votre service au couvent de Sainte Marie, à sept kilomètres d'ici. Vous prendrez ma bicyclette, je ne m'en sers plus. Entre quatre heures et demie et six heures, vous serez à la chapelle pour les confessions. A six heures, vous commencerez la retraite de saint Joseph pour les hommes seuls, et à sept heures, les dames de la Ligue catholique vous attendent. Puis vous préparerez le repas du soir et comme je suis trop vieux pour faire la vaisselle, vous en aurez bien jusqu'à neuf heures. Ensuite, je vous demanderai de me lire mon bréviaire, car j'ai les yeux bien malades. A dix heures, vous avez la lessive et le repassage des linges sacerdotaux. Ensuite, nous irons prier le Seigneur ensemble une petite demi-heure et, avant de vous coucher, il faudra balayer le presbytère.
Le mercredi et le samedi, vous aurez en plus la garde des enfants du patronage. Le dimanche, vous me préparerez mon sermon et vous tiendrez l'orgue. J'espère que vous êtes d'accord ?
... Oui, dit le jeune abbé... Mais... Est ce que vous avez de la terre glaise dans le jardin ?
Quelle question bizarre ?! Fait le curé. Pourquoi ?
... Eh bien, parce qu'entre minuit et cinq heures du matin, j'aurais pu faire des briques !...
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Re: Blagues...
Claude Dorpierre a écrit:Le courage et le culot
Le courage, c'est rentrer saoul au milieu de la nuit, voir sa femme qui attend avec un balai en main et lui demander :
"t'es encore en train de nettoyer ou tu t'envoles quelque part ?"
Le culot, c'est rentrer saoul au milieu de la nuit, entouré d'un nuage de parfum, du rouge à lèvres sur les vêtements, voir sa femme qui attend avec un balai en main, lui taper sur les fesses et lui dire : "t'énerve pas,c'est ton tour
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