Tes yeux
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Tes yeux
J'ai chanté un matin pour le vert de tes yeux
Qui faisaient de ma vie un printemps merveilleux
Deux corps célestes en régnant sur l'horizon
Redonnent à ma vie du bonheur à foison
D'un regard tu perces l'abîme de mon cœur
Et y déposes tes mots comme des fleurs
Là sur mon corps, si sensible, et légère
Mon âme à ton âme se colle tout entière
De nos corps fous exaltés pleins d'ardeur
Nous nous ferons un ciel plein de douceur
P.S:
Merci.
Half-moon- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 163
Localisation : Un bout de nuage
Identité métaphysique : Pensive
Humeur : Indifférent
Date d'inscription : 24/05/2010
Re: Tes yeux
Je ne sais pas parler d'amour,
En cela tu es spéciale
Princesse Half^Moon.
En cela tu es spéciale
Princesse Half^Moon.
Curare-- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 479
Localisation : --
Identité métaphysique : -
Humeur : -
Date d'inscription : 16/07/2010
Re: Tes yeux
Merci ma douce
Half-moon- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 163
Localisation : Un bout de nuage
Identité métaphysique : Pensive
Humeur : Indifférent
Date d'inscription : 24/05/2010
Pour une chanson
Merci pour ta parole amoureuse qui chante,
Même si certains jours elle chante un tourment.
Quand l'amour te transforme en un tel instrument,
Tu nous fais éprouver des vibrations touchantes.
Lorsque je continue ma promenade lente,
Je vois une inconnue qui sourit en dormant,
Rêvant, sans aucun doute, à son prince charmant,
Tandis que le métro la transporte, indolente.
Merci pour ta chanson qui est joyeux présage,
Merci pour la douceur du calme paysage
Que par ces quelques vers, tu viens de dessiner ;
Ainsi, dans ce fatras du meilleur et du pire,
Quelqu'un trouve parfois des raisons de sourire,
Et le jour monotone en est illuminé.
Même si certains jours elle chante un tourment.
Quand l'amour te transforme en un tel instrument,
Tu nous fais éprouver des vibrations touchantes.
Lorsque je continue ma promenade lente,
Je vois une inconnue qui sourit en dormant,
Rêvant, sans aucun doute, à son prince charmant,
Tandis que le métro la transporte, indolente.
Merci pour ta chanson qui est joyeux présage,
Merci pour la douceur du calme paysage
Que par ces quelques vers, tu viens de dessiner ;
Ainsi, dans ce fatras du meilleur et du pire,
Quelqu'un trouve parfois des raisons de sourire,
Et le jour monotone en est illuminé.
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