mathieu 19:16
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Re: mathieu 19:16
spécialement pour Highlander
Dictionnaire de L'Académie française, 1st Edition (1694)
Metaphysique (Page 231)
Metaphysique. s. f. Les premiers principes de connoissance, les idées universelles, les estres spirituels. Traité de Metaphysique.
Version 1832
MÉTAPHYSIQUE. s. f. Science qui traite des facultés de l'entendement humain, des premiers principes de nos connaissances, et des idées universelles. Traité, cours de métaphysique. Il y a une bonne, une saine métaphysique dans cet ouvrage. S'enfoncer dans les profondeurs de la métaphysique. La métaphysique des langues, du langage.
Dictionnaire de L'Académie française, 1st Edition (1694)
Metaphysique (Page 231)
Metaphysique. s. f. Les premiers principes de connoissance, les idées universelles, les estres spirituels. Traité de Metaphysique.
Version 1832
MÉTAPHYSIQUE. s. f. Science qui traite des facultés de l'entendement humain, des premiers principes de nos connaissances, et des idées universelles. Traité, cours de métaphysique. Il y a une bonne, une saine métaphysique dans cet ouvrage. S'enfoncer dans les profondeurs de la métaphysique. La métaphysique des langues, du langage.
Dernière édition par leela le Mer 6 Jan 2010 - 19:43, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: mathieu 19:16
Quand nous employons le terme "métaphysique", peu importe son origine historique, qui est quelque peu douteuse, et qui serait purement fortuite s’il fallait admettre l’opinion, d’ailleurs assez peu vraisemblable, d’après laquelle il aurait servi tout d’abord à désigner simplement ce qui venait "après la physique" dans la collection des œuvres d’Aristote.
Il n’y a davantage à se préoccuper des acceptions diverses et plus ou moins abusives que certains ont pu juger bon d’attribuer à ce mot à une époque ou à une autre.
Le sens le plus naturel, même étymologiquement, est celui suivant lequel il désigne ce qui est "au-delà de la physique", en entendant d’ailleurs ici par "physique", comme le faisait toujours les anciens, l’ensemble de toutes les sciences de la nature, envisagé d’une façon générale, et non pas simplement une de ces sciences en particulier, selon l’acception restreinte qui est propre aux modernes.
La métaphysique, ainsi comprise, est essentiellement la connaissance de l’universel, ou, si l’on veut, des principes d’ordre universel.
En réalité, ne peut être défini que ce qui est limité, et la métaphysique est au contraire, dans son essence même, absolument illimitée, ce qui ne permet pas d’en enfermer la notion dans une formule plus ou moins étroite ; une définition serait ici d’autant plus inexacte qu’on s’efforcerait de la rendre plus précise.
Le domaine de la métaphysique n’est nullement, comme le pense certains philosophes qui ne savent guère de quoi il s’agit ici, ce que les diverses sciences peuvent laisser en dehors d’elles parce que leur développement actuel est plus ou moins incomplet, mais bien ce qui, par nature même échappe à l’atteinte de ces sciences et dépasse immensément la portée à laquelle elles peuvent légitimement prétendre.
Le domaine de toute science relève toujours de l’expérience, dans l’une quelconque de ses modalités diverses, tandis que la métaphysique est essentiellement constituée par ce dont il n’y a aucune expérience possible : étant "au-delà de la physique" et par là même, au-delà de l’expérience.
La métaphysique véritable reste toujours, au fond, parfaitement identique à elle-même, car son objet est essentiellement un, ou plus exactement "sans dualité", comme le disent les Hindous, et cet objet, toujours par là même qu’il est "au-delà de la nature", est aussi au-delà du changement : c’est ce que les Arabes expriment en disant que "la doctrine de l’Unité est unique".
On peut ajouter qu’il n’y a absolument pas de découvertes possibles en métaphysique. D’ailleurs, alors même qu’on admettrait que les idées d’évolution et de progrès peuvent avoir une certaine valeur relative en biologie et en sociologie, ce qui est fort loin d’être prouvé, il n’en est pas moins certain qu’elles n’ont aucune application possible par rapport à la métaphysique ; aussi ces idées sont-elles complètement étrangères aux Orientaux, comme elles le furent du reste, jusque vers la fin du XVIIIème siècle, aux Occidentaux eux-mêmes.
Le point de vue métaphysique, dans son immuabilité essentielle, est la négation même des idées d’évolution et de progrès. Il ne s’agit point, comme dans l’ordre du relatif et du contingent, de "croyances" ou d’ "opinions" plus ou moins variables et changeantes, parce que plus ou moins douteuses, mais exclusivement de certitude permanente et immuable.
Ceci implique la condamnation formelle de toute tentative d’application de la "méthode historique" à ce qui est d’ordre métaphysique.
Les conceptions métaphysiques, par leur nature universelle, ne sont jamais totalement exprimable, ni même imaginable, ne pouvant être atteintes dans leur essence que par l’intelligence pure et "informelle" ; elles dépassent immensément toutes les formes possibles, et spécialement les formules où le langage voudrait les enfermer, formules toujours inadéquates qui tendent à les restreindre, et par là à les dénaturer.
Les vérités métaphysiques ne peuvent être conçues que par une faculté qui n’est point de l’ordre individuelle, et que le caractère immédiat de son opération permet d’appeler intuitive, à la condition d’ajouter qu’elle n’a absolument rien de commun avec ce que certains philosophes contemporains appellent intuition, faculté purement sensitive et vitale qui est proprement au-dessous de la raison, et non plus au-dessus d’elle.
Pour être précis, cette faculté dont je parle ici est l’intuition intellectuelle, dont la philosophie moderne a nié l’existence parce qu’elle ne la comprenait pas, à moins qu’elle n’ait préféré l’ignorer purement et simplement.
On peut encore la désigner comme l’intellect pur, suivant en cela l’exemple d’Aristote et de ses continuateurs scolastiques, pour qui l’intellect est ce qui possède immédiatement la connaissance des principes.
La mentalité occidentale, tournée à peu près exclusivement vers les choses sensibles, fait une confusion constante entre concevoir et imaginer, à tel point que ce qui n’est susceptible d’aucune représentation sensible lui paraît véritablement impensable par là même.
Si l’on ajoute encore à ces considérations une autre confusion ordinaire, celle du rationnel et de l’intellectuel, on s’aperçoit que la prétendue intellectualité occidentale n’est en réalité, surtout chez les modernes, que l’exercice de ces facultés tout individuelles et formelles que sont la raison et l’imagination.
Et l’on peut comprendre alors tout ce qui la sépare de l’intellectualité orientale, pour qui il n’est de connaissance vraie et valable que celle qui a sa racine profonde dans l’universel et dans l’informel.
Il n’y a davantage à se préoccuper des acceptions diverses et plus ou moins abusives que certains ont pu juger bon d’attribuer à ce mot à une époque ou à une autre.
Le sens le plus naturel, même étymologiquement, est celui suivant lequel il désigne ce qui est "au-delà de la physique", en entendant d’ailleurs ici par "physique", comme le faisait toujours les anciens, l’ensemble de toutes les sciences de la nature, envisagé d’une façon générale, et non pas simplement une de ces sciences en particulier, selon l’acception restreinte qui est propre aux modernes.
La métaphysique, ainsi comprise, est essentiellement la connaissance de l’universel, ou, si l’on veut, des principes d’ordre universel.
En réalité, ne peut être défini que ce qui est limité, et la métaphysique est au contraire, dans son essence même, absolument illimitée, ce qui ne permet pas d’en enfermer la notion dans une formule plus ou moins étroite ; une définition serait ici d’autant plus inexacte qu’on s’efforcerait de la rendre plus précise.
Le domaine de la métaphysique n’est nullement, comme le pense certains philosophes qui ne savent guère de quoi il s’agit ici, ce que les diverses sciences peuvent laisser en dehors d’elles parce que leur développement actuel est plus ou moins incomplet, mais bien ce qui, par nature même échappe à l’atteinte de ces sciences et dépasse immensément la portée à laquelle elles peuvent légitimement prétendre.
Le domaine de toute science relève toujours de l’expérience, dans l’une quelconque de ses modalités diverses, tandis que la métaphysique est essentiellement constituée par ce dont il n’y a aucune expérience possible : étant "au-delà de la physique" et par là même, au-delà de l’expérience.
La métaphysique véritable reste toujours, au fond, parfaitement identique à elle-même, car son objet est essentiellement un, ou plus exactement "sans dualité", comme le disent les Hindous, et cet objet, toujours par là même qu’il est "au-delà de la nature", est aussi au-delà du changement : c’est ce que les Arabes expriment en disant que "la doctrine de l’Unité est unique".
On peut ajouter qu’il n’y a absolument pas de découvertes possibles en métaphysique. D’ailleurs, alors même qu’on admettrait que les idées d’évolution et de progrès peuvent avoir une certaine valeur relative en biologie et en sociologie, ce qui est fort loin d’être prouvé, il n’en est pas moins certain qu’elles n’ont aucune application possible par rapport à la métaphysique ; aussi ces idées sont-elles complètement étrangères aux Orientaux, comme elles le furent du reste, jusque vers la fin du XVIIIème siècle, aux Occidentaux eux-mêmes.
Le point de vue métaphysique, dans son immuabilité essentielle, est la négation même des idées d’évolution et de progrès. Il ne s’agit point, comme dans l’ordre du relatif et du contingent, de "croyances" ou d’ "opinions" plus ou moins variables et changeantes, parce que plus ou moins douteuses, mais exclusivement de certitude permanente et immuable.
Ceci implique la condamnation formelle de toute tentative d’application de la "méthode historique" à ce qui est d’ordre métaphysique.
Les conceptions métaphysiques, par leur nature universelle, ne sont jamais totalement exprimable, ni même imaginable, ne pouvant être atteintes dans leur essence que par l’intelligence pure et "informelle" ; elles dépassent immensément toutes les formes possibles, et spécialement les formules où le langage voudrait les enfermer, formules toujours inadéquates qui tendent à les restreindre, et par là à les dénaturer.
Les vérités métaphysiques ne peuvent être conçues que par une faculté qui n’est point de l’ordre individuelle, et que le caractère immédiat de son opération permet d’appeler intuitive, à la condition d’ajouter qu’elle n’a absolument rien de commun avec ce que certains philosophes contemporains appellent intuition, faculté purement sensitive et vitale qui est proprement au-dessous de la raison, et non plus au-dessus d’elle.
Pour être précis, cette faculté dont je parle ici est l’intuition intellectuelle, dont la philosophie moderne a nié l’existence parce qu’elle ne la comprenait pas, à moins qu’elle n’ait préféré l’ignorer purement et simplement.
On peut encore la désigner comme l’intellect pur, suivant en cela l’exemple d’Aristote et de ses continuateurs scolastiques, pour qui l’intellect est ce qui possède immédiatement la connaissance des principes.
La mentalité occidentale, tournée à peu près exclusivement vers les choses sensibles, fait une confusion constante entre concevoir et imaginer, à tel point que ce qui n’est susceptible d’aucune représentation sensible lui paraît véritablement impensable par là même.
Si l’on ajoute encore à ces considérations une autre confusion ordinaire, celle du rationnel et de l’intellectuel, on s’aperçoit que la prétendue intellectualité occidentale n’est en réalité, surtout chez les modernes, que l’exercice de ces facultés tout individuelles et formelles que sont la raison et l’imagination.
Et l’on peut comprendre alors tout ce qui la sépare de l’intellectualité orientale, pour qui il n’est de connaissance vraie et valable que celle qui a sa racine profonde dans l’universel et dans l’informel.
Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
leela a écrit:j'ai été catholique 20 ans, et ne n'ai jamais entendu parler de cela non plus, Leleu, et une (courte) recherche sur Google ne donne rien.
Merci de satisfaire notre curiosité
Hello Leela
Catholique 20 ans ? Fichtre ! et cela consiste en quoi ?
Bon, Google c’est pas la mémoire akashique non plus
J’ai trouvé çà tout de même.
http://saintebible.com/revelation/20-7.htm
Leleu- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: mathieu 19:16
une éducation intégriste, une mantille noire pour la messe en semaine et blanche le dimanche, le passage par des étapes naïves, superstitieuses, un doute permanent, et puis aussi une phase mystique. Des conversations à n'en plus finir sur la dernière encyclique ou des passages de l'Evangile (l'AT était à l'index, on n'avait qu'une version expurgée), puis un père diacre qui ramenait des idées révolutionnaires à la maison: pensez vous: les évangélistes n'auraient pas connu Jésus ! Bref, la totale. Je suis la seule de la famille qui en soit sortie.Leleu a écrit:Catholique 20 ans ? Fichtre ! et cela consiste en quoi ?
Pour ce qui est de la mémoire akashique, une anecdote, qui date d'avant internet. J'avais publié un petit livre sur l'enseignement des sciences ésotériques*, et comme je ne prends décidément rien au sérieux, je l'ai fait illustrer par un ami humoriste: Serdu. Pour le chapitre "la mémoire akashique", il avait représenté un homme devant son ordinateur, qui disait "j'essaie d'atteindre la mémoire akashique". Visionnaire ?
Merci pour l"info. L'Apocalypse n'était pas lue, trop incompréhensible, ce qui explique...
- Spoiler:
- * je l'ai bien vendu, mais il m'en reste quelques dizaines, si cela intéresse quelqu'un
Invité- Invité
Re: mathieu 19:16
C’est beau une jeune femme en mantille noire !
Leleu- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: mathieu 19:16
je les prefère en bas resille
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Vous faites une confusion, chère Jo.Ce n'est pas Jacques le majeur qui était le frère cadet de Jésus, mais Jacques le mineur, aussi appelé Jacques le Juste. Il fut nommé évêque de Jérusalem par Jésus soi-même...JO a écrit:Il y a deux figures christiques, à ce que j'ai cru établir. Celle de Jacques le majeur, faisant référence à Jesus historique,dont il était le frère cadet, à son histoire et à son enseignement sur terre .
Et celle de Paul, totalement issue de la vision de Damas et imprégnée des convictions pauliniennes, avec un jesus-post mortem, donnant depuis l'au-delà ses inspirations divines, spirites et "consubstantialisées" ...Reste à savoir si les deux se confondent , ce que je ne crois pas .
Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
Bonjour,
D'après Actes 15 et Galates 1, il est clair que "Jacques frère de Jésus" est le grand patron.
à+
Heu, je veux bien, mais où ça ?Highlander a écrit:
Vous faites une confusion, chère Jo.Ce n'est pas Jacques le majeur qui était le frère cadet de Jésus, mais Jacques le mineur, aussi appelé Jacques le Juste. Il fut nommé évêque de Jérusalem par Jésus soi-même...
D'après Actes 15 et Galates 1, il est clair que "Jacques frère de Jésus" est le grand patron.
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Matthieu 13,55 et Marc 6,3...Spin a écrit:Bonjour,Heu, je veux bien, mais où ça ?Highlander a écrit:
Vous faites une confusion, chère Jo.Ce n'est pas Jacques le majeur qui était le frère cadet de Jésus, mais Jacques le mineur, aussi appelé Jacques le Juste. Il fut nommé évêque de Jérusalem par Jésus soi-même...
D'après Actes 15 et Galates 1, il est clair que "Jacques frère de Jésus" est le grand patron.
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Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
Où il est dit que Jésus avait un frère du nom de Jacques (Jacob à l'origine, et entre autres frères), pas qu'il l'a nommé évêque de Jérusalem. Malentendu ?Highlander a écrit:Matthieu 13,55 et Marc 6,3...Spin a écrit:Bonjour,Heu, je veux bien, mais où ça ?Highlander a écrit:
Vous faites une confusion, chère Jo.Ce n'est pas Jacques le majeur qui était le frère cadet de Jésus, mais Jacques le mineur, aussi appelé Jacques le Juste. Il fut nommé évêque de Jérusalem par Jésus soi-même...
D'après Actes 15 et Galates 1, il est clair que "Jacques frère de Jésus" est le grand patron.
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Non non, pas de malentendu. C'est bien Jacques qui était le chef de l'église primitive à Jérusalem...
Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
Jacques dit le majeur est le frère de Jean.
Par contre le « patron », le premier des Apotres dans la synarchie Jacques, Jean, Pierre, c’est le Majeur, Boanerges, fils du tonnerre.
Par contre le « patron », le premier des Apotres dans la synarchie Jacques, Jean, Pierre, c’est le Majeur, Boanerges, fils du tonnerre.
Leleu- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: mathieu 19:16
Je n'ai pas dit le contraire, mais je n'ai vu nulle part qu'il avait été nommé à cette fonction par Jésus...Highlander a écrit:Non non, pas de malentendu. C'est bien Jacques qui était le chef de l'église primitive à Jérusalem...
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Leleu a écrit:Jacques dit le majeur est le frère de Jean.
Par contre le « patron », le premier des Apotres dans la synarchie Jacques, Jean, Pierre, c’est le Majeur, Boanerges, fils du tonnerre.
Oui. Mais il s'agit ici du frère de Jésus, Jacques le mineur ou le juste...
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Re: mathieu 19:16
Mais pour Jacques, ce n'est mentionné nulle part autant que je sache. A part ça ,un certain Albino Luciani, Jean-Paul Ier, a très mal supporté la corvée infligée par le Saint-Esprit.Cochonfucius a écrit:C'est plutôt le Saint-Esprit qui procède aux nominations.
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Spin a écrit:Mais pour Jacques, ce n'est mentionné nulle part autant que je sache. A part ça ,un certain Albino Luciani, Jean-Paul Ier, a très mal supporté la corvée infligée par le Saint-Esprit.Cochonfucius a écrit:C'est plutôt le Saint-Esprit qui procède aux nominations.
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En effet, ce n'est pas mentionné dans les évangiles, puisque Jésus est supposé ne pas avoir de frères.
Certes. Faut dire qu'on l'a beaucoup aidé, à ne pas la supporter...
Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
Albino Luciani a cru qu'il ressusciterait le troisième jour pour continuer son mandat... puis finalement il a pas voulu déranger le gars de Cracovie qui semblait s'en sortir pas trop mal.
Re: mathieu 19:16
Il a surtout donné des sueurs froides et effacé quelques sourires, lorsqu'il a mis le nez dans les comptes de la banque du Vatican, dont le patron était à l'époque, Mgr Marcikus, évêque de Chicago, et membre de la Loge P2...Cochonfucius a écrit:Albino Luciani a cru qu'il ressusciterait le troisième jour pour continuer son mandat... puis finalement il a pas voulu déranger le gars de Cracovie qui semblait s'en sortir pas trop mal.
Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
( Ce n'est pas Jésus qui a attribué leurs églises respectives aux apôtres. Il s'agit sans aucun doute d'une organisation propre aux apôtres eux-mêmes. )
libremax- Aka Taulique
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Re: mathieu 19:16
Sincèrement, j'ai lu le bouquin qui soutient ça, ça ne tient pas la route, c'est une accumulation de procès d'intention, et ça contredit gratuitement trop de chose que par ailleurs le bouquin admet en passant (sur l'état de ses veines par exemple, qui l'exposait à un accident vasculaire). Et trop d'éléments montrent qu'il se sentait, et était réellement, atrocement dépassé, qu'il en arrivait à fuir son secrétaire Villot* non parce qu'il le soupçonnait d'intentions meurtrières mais parce qu'il avait peur de voir débouler de nouveaux dossiers délicats. Je me souviens que le Canard enchaîné, notamment, faisait ses choux gras des maladresses papales. On sait aussi qu'il a supplié ses pairs de ne pas l'élire, et qu'avant le conclave il avait écrit à ses proches en se déclarant personnellement "hors de danger".Highlander a écrit:
Il a surtout donné des sueurs froides et effacé quelques sourires, lorsqu'il a mis le nez dans les comptes de la banque du Vatican, dont le patron était à l'époque, Mgr Marcikus, évêque de Chicago, et membre de la Loge P2...
S'il y a quelque chose de nauséabond à soupçonner, à mon humble avis, c'est plutôt le suicide. Il paraît que le malheureux comptait lui-même, chaque soir, les gouttes d'un médicament pas du tout anodin...
Bon, s'écarte du sujet (mea culpa)...
* listé parmi les suspects simplement parce que le Pape allait paraît-il demander sa mise à la retraite. Mais il l'a demandée de lui-même, en tout cas il l'a eue, après le décès du Pape... et il n'a pas fait de vieux os ensuite, totalement démoralisé. Bon, en passant, il m'aura confirmé, il a vraiment tout raté, cet homme...
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Je ne crois pas qu'il ait tout raté. C'est ce que l'on veut nous faire croire. Mais bon !!! Comme vous dites, hors sujet...
Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
Hé ! Ho ! C'était une boutade par rapport à ma confirmation ! (je l'avais trouvé sympa à l'époque).Highlander a écrit:Je ne crois pas qu'il ait tout raté. C'est ce que l'on veut nous faire croire. Mais bon !!! Comme vous dites, hors sujet...
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Re: mathieu 19:16
Spin a écrit:Hé ! Ho ! C'était une boutade par rapport à ma confirmation ! (je l'avais trouvé sympa à l'époque).Highlander a écrit:Je ne crois pas qu'il ait tout raté. C'est ce que l'on veut nous faire croire. Mais bon !!! Comme vous dites, hors sujet...
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Highlander- Affranchi des Paradoxes
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Re: mathieu 19:16
Il semblerait que celle de Jacques, si. Pour les autres, je suis d'accord avec vous...libremax a écrit:( Ce n'est pas Jésus qui a attribué leurs églises respectives aux apôtres. Il s'agit sans aucun doute d'une organisation propre aux apôtres eux-mêmes. )
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