nos échelles de valeurs
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Re: nos échelles de valeurs
Tu as donc été un organisme sans système nerveux
pour pouvoir me certifier que tu ne souffrais pas ?
Comment sais-tu que la bactérie ne peine pas dans son milieu aqueux ?
Et si tu étais un tabouret ou un proton cinq minutes
pour voir ?
pour pouvoir me certifier que tu ne souffrais pas ?
Comment sais-tu que la bactérie ne peine pas dans son milieu aqueux ?
Et si tu étais un tabouret ou un proton cinq minutes
pour voir ?
Invité- Invité
Re: nos échelles de valeurs
Avec une belle femme comme Bulle, c'est moi qui aimerais être un tabouret.
Ouaip, pas très frais :confus:
Ouaip, pas très frais :confus:
Geveil- Akafer
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Re: nos échelles de valeurs
Escape : je n'ai pas plus d'éléments que toi pour affirmer quoique ce soit de la souffrance d'une cellule. Je suis comme toi liée à l'état actuel des recherches.
Mon bon sens me dit que si une souffrance quelconque était décelée au niveau des embryons on ne pratiquerait pas (éthique médicale), par exemple, la réduction embryonnaire. Et qu'il y a dans ces domaines et bien heureusement 20 années de questionnements et recherche.
Je dis simplement que de mon point de vue entre la souffrance d'un enfant en vie et un embryon, si j'avais été au pied du mur, j'aurais probablement fait le choix de préserver le restant de la fratrie. Et probablement même avec des propositions de placement après abandon.
J'aurais même probablement en cas de dépistage de lourd handicap fait ce choix : non pas parce que je n'aurais pas eu le courage d'élever l'enfant, mais à l'idée de ce qu'il risquerait de devenir après la mort des parents.
Quand au cri de la bactérie sous une couche de pommade assassine ...
Gerêve : merci c'est très gentil
Mon bon sens me dit que si une souffrance quelconque était décelée au niveau des embryons on ne pratiquerait pas (éthique médicale), par exemple, la réduction embryonnaire. Et qu'il y a dans ces domaines et bien heureusement 20 années de questionnements et recherche.
Je dis simplement que de mon point de vue entre la souffrance d'un enfant en vie et un embryon, si j'avais été au pied du mur, j'aurais probablement fait le choix de préserver le restant de la fratrie. Et probablement même avec des propositions de placement après abandon.
J'aurais même probablement en cas de dépistage de lourd handicap fait ce choix : non pas parce que je n'aurais pas eu le courage d'élever l'enfant, mais à l'idée de ce qu'il risquerait de devenir après la mort des parents.
Quand au cri de la bactérie sous une couche de pommade assassine ...
Gerêve : merci c'est très gentil
Re: nos échelles de valeurs
Bulle a écrit:Bradou a dit :Le problème est qu'il y a des lois non écrites, du moins pas à l'encre, au-dessus des lois.
C’est ta croyance. Elle te regarde. Mais tes valeurs ne sont pas pour autant meilleures que celles des autres et à imposer.
La France, dieu merci, n’est pas une théocratie et n’oblige pas les citoyens à être avant tout des ventres. Ils ont le choix et à mon sens, c'est très bien ainsi.
Les lois non écrites dont je parle n'ont rien a voir avec la religion ou la théocratie et encore moins avec un pays quelconque.
Mon point de vue, que je ne veux évidemment pas imposer,c'est qu'avec toutes ces valeurs qu'on dit variables,virevoltantes, c'est l'homme qui finira par être tourné en bourrique. Il en faut des constantes,un peu plus que les seuls interdits de tuer et de voler, une ligne rouge à ne pas franchir(ne focalisons pas sur l'avortement).
Quelles constantes?
Celles qui préservent:
-l'humanité de l'homme.
-la noblesse de l'homme.
-sa supériorité par rapport aux autres règnes...
Se référer par exemple, comme on le fait fréquemment, au monde animal ou végétal pour justifier un comportement humain est une aberration.
_bradou- EXCLU DU FORUM
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Re: nos échelles de valeurs
Bradou tu dis:
la noblesse de l'homme.: noblesse par rapport à qui?
sa supériorité par rapport aux autres règnes...: Ah ? je ne suis pas sûr qu'il soit supérieur, il a plus de moyens oui.
Mais l'homme fait partie de l'évolution aux mêmes titres que les autres êtres vivants, il n'est que de passage et un jour il disparaîtra...et la terre continuera de tourner? Cela est normal !
L'humanité de l'homme: de quoi parles-tu exactement? est-ce que l'homme doit être plus préservé que le reste ?Quelles constantes?
Celles qui préservent:
-l'humanité de l'homme.
-la noblesse de l'homme.
-sa supériorité par rapport aux autres règnes...
Se référer par exemple, comme on le fait fréquemment, au monde animal ou végétal pour justifier un comportement humain est une aberration.
la noblesse de l'homme.: noblesse par rapport à qui?
sa supériorité par rapport aux autres règnes...: Ah ? je ne suis pas sûr qu'il soit supérieur, il a plus de moyens oui.
Mais l'homme fait partie de l'évolution aux mêmes titres que les autres êtres vivants, il n'est que de passage et un jour il disparaîtra...et la terre continuera de tourner? Cela est normal !
Re: nos échelles de valeurs
Bradou a dit :
Pas obligatoirement pour justifier Bradou, mais pour tenter de comprendre oui.Se référer par exemple, comme on le fait fréquemment, au monde animal ou végétal pour justifier un comportement humain est une aberration.
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Re: nos échelles de valeurs
Voir ici
https://www.forum-metaphysique.com/philosophie-f46/conscience-humaine-et-conscience-animale-t3806.htm#79163
Conscience humaine et conscience animale.
https://www.forum-metaphysique.com/philosophie-f46/conscience-humaine-et-conscience-animale-t3806.htm#79163
Conscience humaine et conscience animale.
Re: nos échelles de valeurs
Jipé a écrit:
L'humanité de l'homme: de quoi parles-tu exactement? est-ce que l'homme doit être plus préservé que le reste ?
la noblesse de l'homme.: noblesse par rapport à qui?
sa supériorité par rapport aux autres règnes...: Ah ? je ne suis pas sûr qu'il soit supérieur, il a plus de moyens oui.
Mais l'homme fait partie de l'évolution aux mêmes titres que les autres êtres vivants, il n'est que de passage et un jour il disparaîtra...et la terre continuera de tourner? Cela est normal !
Supposons qu’il ne mérite pas d’être plus préservé que le reste.
Supposons qu’il n’est pas supérieur au reste.
Supposons qu’il n’est qu’un déchet parmi les déchets.
Supposons tout ce que tu dis……et supposons qu’il finira par disparaître.
Supposons, pour te faire le max de concessions, que tout cela soit prouvé.
Ne lui reste-t-il pas le choix, et ce choix il l’a, soit de vivre en déchet, soit de vivre en homme, d'avoir un idéal, celui d'être homme ? Mais comme tout le monde a l’esprit tortu, et qu’on t’a inoculé le même virus, celui de tisser des raisonnements contre la logique et d’exécuter des acrobaties logomachiques pour briser l’échine à la raison et au bon sens, tu vas me demander ce que signifie « vivre en homme », ce qu’est la logique, la raison et le bon sens, et on n’en finira jamais.
_bradou- EXCLU DU FORUM
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Re: nos échelles de valeurs
Mais non Bradou, je ne te demande rien...
Je pense simplement que l'homme est un pragmatique, qu'il a une étonnante capacité d'adaptation et qu'il évoluera jusqu'à sa disparition.
Ce qui me semble un parcours normal.
Je pense simplement que l'homme est un pragmatique, qu'il a une étonnante capacité d'adaptation et qu'il évoluera jusqu'à sa disparition.
Ce qui me semble un parcours normal.
Re: nos échelles de valeurs
Les échelles de valeurs sont subjectives, nous ne possédons jamais qu'un bout de la Vérité.
A chacun son code, à chacun de le respecter.
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Shahj- Sorti de l'oeuf
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Re: nos échelles de valeurs
@ Jipé
Mais le rôle de la loi est de dire le droit, et non pas de prétendre dire la vérité.
Les lois changent avec les circonstances, mais y a t-il des valeurs, des vérités qui demeurent MALGRE, ou en même temps, ou à travers les interdits de la loi ?
C'est la question la plus épineuse du monde : au nom de quelle VERITE la loi dit-elle (ou se permet-elle de dire) ce qui est légal ou non ? Au nom de quelle idée de l'homme, de la société, du bien et du mal enfin ? La plupart des maux qui détruisent le monde viennent de la conception que les lois ont de ce fantasme: "l'intérêt commun". Mais que sait-on de l'intérêt commun ? (Qui est en général celui des habitants d'une capitale d'ailleurs) ?
Est-ce l'intérêt commun d'avoir détruit tant de forêts et de villes et de villages pour cribler le monde d'autoroutes, couvrir la terre de goudron, polluer l'air de gazs toxiques issus de produits fossiles qui nous tiennent liés à des pouvoirs qui nous haïssent, d'avoir recouvert les mers de supertankers qui dégazent à tout vat entre deux marées noires et d'avoir réduit des populations entières d'africains à l'esclavage pour exploiter le pétrole pour finir par se rendre compte qu'une fois les réserves épuisées, tout les "intérêts communs" du monde entier vont finir dans une poubelle, englués dans les flaques pestilencielles des dernières gouttes de cette "merde du diable" qu'est le pétrole ? Et tout ça pour permettre à des veaux de partir en villégiatures dans des régions défigurées par des promoteurs sans vision qui défigurent horriblement les montagnes avec leurs "sports d'hiver" et les plus beaux bâtiments du monde par le passage de foules suant le suif...
Nous avons besoin de la vérité, ou du moins de vérité pour au moins être en mesure de faire la différence entre nos intérêts et nos intérêts BIEN COMPRIS.
Pour moi par exemple, ce vieux mot de "modération" (emploi économe de la consommation) a toujours été une "valeur". Il vient pour moi du fait que je ne crois pas au bonheur à base de biens matériels. (Je suis un athée du matérialisme) Je crois que tous ont droit à ce qui est vital (Je ne suis donc pas capitaliste) et pour le reste je crois que c'est à chacun de trouver en soi les ressources pour trouver EN LUI MEME sa plénitude. j'estime la nature assez remarquable pour permettre aux âmes les plus belles envolées, la plus belle liberté.
(C'était quoi le sujet déjà ? )
Mais le rôle de la loi est de dire le droit, et non pas de prétendre dire la vérité.
Les lois changent avec les circonstances, mais y a t-il des valeurs, des vérités qui demeurent MALGRE, ou en même temps, ou à travers les interdits de la loi ?
C'est la question la plus épineuse du monde : au nom de quelle VERITE la loi dit-elle (ou se permet-elle de dire) ce qui est légal ou non ? Au nom de quelle idée de l'homme, de la société, du bien et du mal enfin ? La plupart des maux qui détruisent le monde viennent de la conception que les lois ont de ce fantasme: "l'intérêt commun". Mais que sait-on de l'intérêt commun ? (Qui est en général celui des habitants d'une capitale d'ailleurs) ?
Est-ce l'intérêt commun d'avoir détruit tant de forêts et de villes et de villages pour cribler le monde d'autoroutes, couvrir la terre de goudron, polluer l'air de gazs toxiques issus de produits fossiles qui nous tiennent liés à des pouvoirs qui nous haïssent, d'avoir recouvert les mers de supertankers qui dégazent à tout vat entre deux marées noires et d'avoir réduit des populations entières d'africains à l'esclavage pour exploiter le pétrole pour finir par se rendre compte qu'une fois les réserves épuisées, tout les "intérêts communs" du monde entier vont finir dans une poubelle, englués dans les flaques pestilencielles des dernières gouttes de cette "merde du diable" qu'est le pétrole ? Et tout ça pour permettre à des veaux de partir en villégiatures dans des régions défigurées par des promoteurs sans vision qui défigurent horriblement les montagnes avec leurs "sports d'hiver" et les plus beaux bâtiments du monde par le passage de foules suant le suif...
Nous avons besoin de la vérité, ou du moins de vérité pour au moins être en mesure de faire la différence entre nos intérêts et nos intérêts BIEN COMPRIS.
Pour moi par exemple, ce vieux mot de "modération" (emploi économe de la consommation) a toujours été une "valeur". Il vient pour moi du fait que je ne crois pas au bonheur à base de biens matériels. (Je suis un athée du matérialisme) Je crois que tous ont droit à ce qui est vital (Je ne suis donc pas capitaliste) et pour le reste je crois que c'est à chacun de trouver en soi les ressources pour trouver EN LUI MEME sa plénitude. j'estime la nature assez remarquable pour permettre aux âmes les plus belles envolées, la plus belle liberté.
(C'était quoi le sujet déjà ? )
sylvain- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: nos échelles de valeurs
C'est correct. Je ne mets pas en cause le rôle de la loi qui elle-même ne peut-être objective. C'est d'ailleurs pour cela que l'on entretient deux rapports à la loi, son acceptation ou sa transgression.
Le choix entre ces deux rapports n'appartient qu'à chaque personne, à son code personnel.
Le choix entre ces deux rapports n'appartient qu'à chaque personne, à son code personnel.
Shahj- Sorti de l'oeuf
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Date d'inscription : 07/08/2009
Re: nos échelles de valeurs
Salut Shahj, c'est la première fois qu'on se rencontre il me semble ?
Porte-toi bien !
Garder une identité est difficile. Y compris et peut-être même plus encore quand on accepte les indications d'une religion. Pourtant, il faut savoir garder son NOM (ce qui nous identifie comme unique intérieurement). Et dans bien des endroits, et les lois et les religions essaient d'aplanir tout ce qui dis "je".
Croyant, je refuse cet aplanissement. Je préfère un homme libre à un paroissien soumis. Mais on peut être croyant et libre. L'histoire n'abonde pas dans mon sens, mais nombreuses sont les biographies individuelles qui peuvent en témoigner d'un bout du monde à l'autre, il me semble.
Porte-toi bien !
Je suppose que c'est drôlement composite...C'est ce qui est bien: ne pas être tous des machines déterminées par le système et de petits soldats insipides.à son code personnel.
Garder une identité est difficile. Y compris et peut-être même plus encore quand on accepte les indications d'une religion. Pourtant, il faut savoir garder son NOM (ce qui nous identifie comme unique intérieurement). Et dans bien des endroits, et les lois et les religions essaient d'aplanir tout ce qui dis "je".
Croyant, je refuse cet aplanissement. Je préfère un homme libre à un paroissien soumis. Mais on peut être croyant et libre. L'histoire n'abonde pas dans mon sens, mais nombreuses sont les biographies individuelles qui peuvent en témoigner d'un bout du monde à l'autre, il me semble.
sylvain- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 22/06/2009
Re: nos échelles de valeurs
Sylvain a dit :
Mais Sylvain je ne connais aucune loi qui impose de faire cela ! A la limite il existe/era des lois qui l’empêche.Est-ce l'intérêt commun d'avoir détruit tant de forêts et de villes et de villages pour cribler le monde d'autoroutes, couvrir la terre de goudron,(…) englués dans les flaques pestilencielles des dernières gouttes de cette "merde du diable" qu'est le pétrole ?
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Re: nos échelles de valeurs
Les lois décident tout de même de l'aménagement du territoire. Il y a même un ministère pour ça. Il faut des autorisations officielles pour monter une entreprise. Crois-tu qu'une municipalité a le choix de refuser une entreprise même polluante si elle lui rapporte gros en impots locaux ?
Imagines-tu ce qui se passerait si demain matin une loi ordonnait l'interdiction de l'utilisation de la voiture ? Cet outil "de liberté" qui a seulement augmenté le temps des transports pour aller bosser ?
Imagines-tu ce qui se passerait si demain matin une loi ordonnait l'interdiction de l'utilisation de la voiture ? Cet outil "de liberté" qui a seulement augmenté le temps des transports pour aller bosser ?
sylvain- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: nos échelles de valeurs
Shahj a écrit:Les échelles de valeurs sont subjectives, nous ne possédons jamais qu'un bout de la Vérité.
A chacun son code, à chacun de le respecter.
Oui, mais alors pourquoi la Cour pénale internationale condamne-t-elle les gens pour cannibalisme(à ne pas confondre avec homicide)? pourquoi leur applique-t-elle sa loi,alors que chez eux cette pratique n'est ni amorale, ni immorale.
_bradou- EXCLU DU FORUM
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Date d'inscription : 15/05/2008
Re: nos échelles de valeurs
Je ne sais pas si aujourd'hui, on condamnerait une société archaïque préservée et cannibale, on tenterait sûrement (est-ce un bien?) de leur apprendre le respect de la nature humaine...
Mais les cannibales condamnés aujourd'hui, sont complètement intégrés dans les sociétés occidentales ou orientales, qui considèrent le cannibalisme comme un crime!.. Et ils ne l'ignorent pas!
Cela dit, il me semble bien que les rescapés de l'avion n'ont pas été condamnés.
La liberté de l'un s'arrête où commence celles des autres, dit-on.
C'est ce qui fait qu'il y a des lois!
Mais les cannibales condamnés aujourd'hui, sont complètement intégrés dans les sociétés occidentales ou orientales, qui considèrent le cannibalisme comme un crime!.. Et ils ne l'ignorent pas!
Cela dit, il me semble bien que les rescapés de l'avion n'ont pas été condamnés.
La liberté de l'un s'arrête où commence celles des autres, dit-on.
C'est ce qui fait qu'il y a des lois!
Invité- Invité
Re: nos échelles de valeurs
Escape a écrit :
Et comment ne pas voir
que la mort est peut-être un processus très douloureux ?
Je me demande si je suis hors sujet, mais j’ai eu envie de réagir à ceci : je crois moi, que ce n’est pas la mort qui est un processus douloureux, mais la vie.
A mon sens, on naît mort, et il me semble que vivre ici, maintenant, comme ça, plus ou moins consciemment, est, d’où que l’on vienne, qui que l’on soit, une opportunité, que l’on saisit ou non, pour conquérir sa vie et son être …
Oserais-je dire ?… Un chemin de… résurrection ! Chemin difficile s’il en est !
Naître… et laisser naître ! Croire que ce chemin peut être trouvé et pratiqué par tout un chacun, quels que soit son nom, son lieu, sa terre, son… enfer ou son... paradis !
Bulle a écrit :
Mon bon sens me dit que si une souffrance quelconque était décelée au niveau des embryons on ne pratiquerait pas (éthique médicale), par exemple, la réduction embryonnaire. Et qu'il y a dans ces domaines et bien heureusement 20 années de questionnements et recherche.
En fait, jusqu'à il n'y a pas très longtemps, un peu plus de vingt ans en effet, les scientifiques estimaient que le système nerveux des nouveaux-nés n’était pas assez développé pour véhiculer des informations douloureuses.
Dans la deuxième moitié des années 70, des publications concernant des résultats d’observations allant toutes dans le même sens : l’enfant souffre, on peut le vérifier et mesurer sa souffrance commencent à paraître, mais ne sont pas vraiment prises en compte...
Néanmoins des études comparatives sont faites qui iront, notemment, dans le sens de la thèse de l'anesthésiste K.J.S. Anand : thèse qui étaie la conviction que l'anesthésie s’impose non seulement pour des raisons "humanitaires" ou philosophiques", (en effet,il n'était pas rare d'opérer des bébés sans anesthésie) mais pour des motifs techniques, qui tiennent à l’amélioration du pronostic des soins et "enfoncent le clou". Heureusement pour nous...
Un jour, qui sait, nous découvrirons peut-être que la souffrance, la douleur, n'épargne rien : de l'infiniment petit à l'infiniment grand, ni personne ?...
Bradou a écrit :
Quelles constantes?
Celles qui préservent:
-l'humanité de l'homme.
-la noblesse de l'homme.
-sa supériorité par rapport aux autres règnes...
Se référer par exemple, comme on le fait fréquemment, au monde animal ou végétal pour justifier un comportement humain est une aberration.
Je suis en complet accord avec ceci.
Ne lui reste-t-il pas le choix, et ce choix il l’a, soit de vivre en déchet, soit de vivre en homme, d'avoir un idéal, celui d'être homme ?
Oui !!!
Sylvain a écrit :
Les lois décident tout de même de l'aménagement du territoire. Il y a même un ministère pour ça. Il faut des autorisations officielles pour monter une entreprise. Crois-tu qu'une municipalité a le choix de refuser une entreprise même polluante si elle lui rapporte gros en impots locaux ?
Une municipalité, c’est un ensemble d’hommes ayant toujours le choix de se pencher sur les problèmes de sa commune, non ? Et de se montrer créatifs ! En cela, oui, je crois qu’elle a, et aura toujours le choix !
Imala
Imala- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: nos échelles de valeurs
Imala a dit :
Je cite :
Sincèrement je pense que si il y avait une souffrance embryonnaire on ferait systématiquement les IVG sous anesthésie générale, alors que ce n'est pas le cas puisqu'on laisse le choix à la patiente.
Alors, "naître et laissez naître" et bien c'est le choix de chacun. Et jamais un choix facile de toute manière. Personnellement je trouve charitable de ne pas, dans certains cas, de décider de ne pas mener une grossesse à therme. La vie est suffisamment difficile comme cela sans rajouter un malheur inéluctable.
Pas la peine d'en rajouter avec des souffrances qui n'existent pas.
Je ne vois même pas du point de vue de la réincarnation le tort qui pourrait être fait : si une âme n'a pas un corps pour se réincarner et bien elle en aura un autre de toute manière si elle doit se réincarner, non ? C'est une question, car je n'y connais pas grand chose
Comment peut-on mesurer la souffrance d'un embryon dont le système nerveux n'existe pas ? Quelles sont à ton avis les raisons pour lesquelles ces observations ne sont pas prises en compte ?Dans la deuxième moitié des années 70, des publications concernant des résultats d’observations allant toutes dans le même sens : l’enfant souffre, on peut le vérifier et mesurer sa souffrance commencent à paraître, mais ne sont pas vraiment prises en compte...
Oui mais il s'agit chez Anand de foetus, et là effectivement, le système nerveux a commencé à se mettre en place :Néanmoins des études comparatives sont faites qui iront, notemment, dans le sens de la thèse de l'anesthésiste K.J.S. Anand : thèse qui étaie la conviction que l'anesthésie s’impose non seulement pour des raisons "humanitaires" ou philosophiques", (en effet,il n'était pas rare d'opérer des bébés sans anesthésie) mais pour des motifs techniques, qui tiennent à l’amélioration du pronostic des soins et "enfoncent le clou". Heureusement pour nous...
Je cite :
SourceLes premières terminaisons de la sensibilité périphérique apparaissent dans la région buccale dès la 8ème semaine de la vie intra utérine; le visage, les paumes des mains, les pieds vont acquérir ces terminaisons à la 11ème semaine. L'ensemble des téguments sont couverts à la 20ème semaine. A la naissance, la densité de ces récepteurs cutanés est similaire à celle de l'adulte.
Sincèrement je pense que si il y avait une souffrance embryonnaire on ferait systématiquement les IVG sous anesthésie générale, alors que ce n'est pas le cas puisqu'on laisse le choix à la patiente.
Alors, "naître et laissez naître" et bien c'est le choix de chacun. Et jamais un choix facile de toute manière. Personnellement je trouve charitable de ne pas, dans certains cas, de décider de ne pas mener une grossesse à therme. La vie est suffisamment difficile comme cela sans rajouter un malheur inéluctable.
Pas la peine d'en rajouter avec des souffrances qui n'existent pas.
Je ne vois même pas du point de vue de la réincarnation le tort qui pourrait être fait : si une âme n'a pas un corps pour se réincarner et bien elle en aura un autre de toute manière si elle doit se réincarner, non ? C'est une question, car je n'y connais pas grand chose
Re: nos échelles de valeurs
Bonsoir Bulle,
En l’état on ne peut pas, en effet.
Vaste sujet ! (Soupir !)… Mais bon, allons-y un petit bout :
Mauvaise circulation de l’information à l’intérieur de la communauté scientifique
sorte de déni dans le monde médical
désintérêt (dans l’ouvrage : "Introduction à la psychiatrie fœtale" seules 8 lignes sur les 22 pages concernant le système sensoriel du fœtus, traitent de la douleur !)
sorte de retenue incompréhensible du corps médical devant des faits avérés, reconnus, crus (bien qu’une étude effectuée avec l’assentiment du Comité central d’éthique de la recherche d’Oxford démontre qu’un certain nombre de nouveau-nés meurent de douleur, le corps médical cultive le paradoxe qui veut que des chercheurs, qui savent ce qu’ils vont « trouver », sollicitent l’accord de parents avant d’opérer leurs enfants)
l’idée erronée selon laquelle il existe un niveau de douleur "correct".
L’affirmation de William Thierry Preyer qui reprend les propos de Genzmer qui veut que : pendant les premiers jours, (le nouveau-né) ne sent pas de douleur telles que des piqûres d’épingle, le refroidissement local avec de la glace, la suture de la plaie après une opération, car en présence de ces excitations il reste souvent parfaitement tranquille, et même s’endort
Déni de la douleur de la part des parents par peur du ridicule, déresponsabilisation sur le corps médical : lui sait !
Peur de la mère du mépris condescendant et psychologisant !!
Pédagogie noire : je te fais comme on m’a fait puisque l’enfant est un simulateur dit-on et croit-on couramment !
Oui, je ne le nie pas, mais moi je me dis que nous n’en n'avons pas fini avec les découvertes scientifiques. Médicales ou non. Et que dans le doute, nous devrions également écouter nos intuitions en attendant que ces découvertes scientifiques viennent étayer (peut-être) nos intuitions…
... Qui ne sont pas, en l’état de nos connaissances, sensées exister… nuance.
Je n’ai pas parlé de réincarnation mais de résurrection !
Mais bon, je n’ai fait état que de mes convictions.
A bien y réfléchir, du point de vue de la réincarnation, je suppose que tu as raison, cela paraît logique.
De mon point de vue : celui de la résurrection, il s’agit d’un processus prenant naissance (!!!) dès la conception…
Empêcher de naître revient alors à empêcher la VIE.
Ici je n’émets pas un jugement, je partage simplement mes convictions, étant par ailleurs pleinement d’accord avec ce que tu dis ici : La vie est suffisamment difficile comme cela sans rajouter un malheur inéluctable...
Alors quoi ?...
Alors rien, si ce n’est qu'à mon avis, il nous est nécessaire de vivre chacun "en son âme et conscience".
Imala
Imala a dit :
Dans la deuxième moitié des années 70, des publications concernant des résultats d’observations allant toutes dans le même sens : l’enfant souffre, on peut le vérifier et mesurer sa souffrance commencent à paraître, mais ne sont pas vraiment prises en compte...
Comment peut-on mesurer la souffrance d'un embryon dont le système nerveux n'existe pas ?
En l’état on ne peut pas, en effet.
Quelles sont à ton avis les raisons pour lesquelles ces observations ne sont pas prises en compte ?
Vaste sujet ! (Soupir !)… Mais bon, allons-y un petit bout :
Mauvaise circulation de l’information à l’intérieur de la communauté scientifique
sorte de déni dans le monde médical
désintérêt (dans l’ouvrage : "Introduction à la psychiatrie fœtale" seules 8 lignes sur les 22 pages concernant le système sensoriel du fœtus, traitent de la douleur !)
sorte de retenue incompréhensible du corps médical devant des faits avérés, reconnus, crus (bien qu’une étude effectuée avec l’assentiment du Comité central d’éthique de la recherche d’Oxford démontre qu’un certain nombre de nouveau-nés meurent de douleur, le corps médical cultive le paradoxe qui veut que des chercheurs, qui savent ce qu’ils vont « trouver », sollicitent l’accord de parents avant d’opérer leurs enfants)
l’idée erronée selon laquelle il existe un niveau de douleur "correct".
L’affirmation de William Thierry Preyer qui reprend les propos de Genzmer qui veut que : pendant les premiers jours, (le nouveau-né) ne sent pas de douleur telles que des piqûres d’épingle, le refroidissement local avec de la glace, la suture de la plaie après une opération, car en présence de ces excitations il reste souvent parfaitement tranquille, et même s’endort
Déni de la douleur de la part des parents par peur du ridicule, déresponsabilisation sur le corps médical : lui sait !
Peur de la mère du mépris condescendant et psychologisant !!
Pédagogie noire : je te fais comme on m’a fait puisque l’enfant est un simulateur dit-on et croit-on couramment !
il s'agit chez Anand de foetus, et là effectivement, le système nerveux a commencé à se mettre en place :
Je cite :
Les premières terminaisons de la sensibilité périphérique apparaissent dans la région buccale dès la 8ème semaine de la vie intra utérine; le visage, les paumes des mains, les pieds vont acquérir ces terminaisons à la 11ème semaine. L'ensemble des téguments sont couverts à la 20ème semaine. A la naissance, la densité de ces récepteurs cutanés est similaire à celle de l'adulte.
Source
Sincèrement je pense que si il y avait une souffrance embryonnaire on ferait systématiquement les IVG sous anesthésie générale, alors que ce n'est pas le cas puisqu'on laisse le choix à la patiente.
Oui, je ne le nie pas, mais moi je me dis que nous n’en n'avons pas fini avec les découvertes scientifiques. Médicales ou non. Et que dans le doute, nous devrions également écouter nos intuitions en attendant que ces découvertes scientifiques viennent étayer (peut-être) nos intuitions…
Alors, "naître et laissez naître" et bien c'est le choix de chacun. Et jamais un choix facile de toute manière. Personnellement je trouve charitable de ne pas, dans certains cas, de décider de ne pas mener une grossesse à therme. La vie est suffisamment difficile comme cela sans rajouter un malheur inéluctable.
Pas la peine d'en rajouter avec des souffrances qui n'existent pas.
... Qui ne sont pas, en l’état de nos connaissances, sensées exister… nuance.
Je ne vois même pas du point de vue de la réincarnation le tort qui pourrait être fait : si une âme n'a pas un corps pour se réincarner et bien elle en aura un autre de toute manière si elle doit se réincarner, non ?
Je n’ai pas parlé de réincarnation mais de résurrection !
Mais bon, je n’ai fait état que de mes convictions.
A bien y réfléchir, du point de vue de la réincarnation, je suppose que tu as raison, cela paraît logique.
De mon point de vue : celui de la résurrection, il s’agit d’un processus prenant naissance (!!!) dès la conception…
Empêcher de naître revient alors à empêcher la VIE.
Ici je n’émets pas un jugement, je partage simplement mes convictions, étant par ailleurs pleinement d’accord avec ce que tu dis ici : La vie est suffisamment difficile comme cela sans rajouter un malheur inéluctable...
Alors quoi ?...
Alors rien, si ce n’est qu'à mon avis, il nous est nécessaire de vivre chacun "en son âme et conscience".
Imala
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Re: nos échelles de valeurs
Y avait une haie d'honneur qui t'attendait à l'entrée de la galerie présentations. Allez, bon, on annule. Content de te revoir, Imala :yahoo:
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Re: nos échelles de valeurs
Imala si mais si je suis ton raisonnement, il suffit de rendre obligatoire l'anesthésie générale lors des interruptions volontaires de grossesses pour que le choix ne soit plus un choix "criminel" ?Imala a écrit:... Qui ne sont pas, en l’état de nos connaissances, sensées exister… nuance.
Mais la résurrection "dès la conception" c'est bien une résurrection d'une âme ou d'un esprit peu importe le terme "dans la chair" ; donc c'est bien la réincarnation non ?Je n’ai pas parlé de réincarnation mais de résurrection !
(...)
De mon point de vue : celui de la résurrection, il s’agit d’un processus prenant naissance (!!!) dès la conception…
Oui voilà je pense que c'est la sagesse ; et je crois que souvent, chacun fait ce qu'il peut et du mieux qu'il peut ...Alors rien, si ce n’est qu'à mon avis, il nous est nécessaire de vivre chacun "en son âme et conscience"
Re: nos échelles de valeurs
Imala si mais si je suis ton raisonnement, il suffit de rendre obligatoire l'anesthésie générale lors des interruptions volontaires de grossesses pour que le choix ne soit plus un choix "criminel" ?Alors, "naître et laissez naître" et bien c'est le choix de chacun. Et jamais un choix facile de toute manière. Personnellement je trouve charitable de ne pas, dans certains cas, de décider de ne pas mener une grossesse à therme. La vie est suffisamment difficile comme cela sans rajouter un malheur inéluctable.
Pas la peine d'en rajouter avec des souffrances qui n'existent pas.
... Qui ne sont pas, en l’état de nos connaissances, sensées exister… nuance.
Hors contexte, on pourrait penser que c’est ce que je crois, tu as raison.
En fait, je ne me prononce pas sur (pour ou contre / criminels ou non) les interruptions de grossesses,je dis simplement que, tant qu’à faire, si par malheur l’embryon devait souffrir "physiquement", et puisqu’on en a les moyens, anesthésier et la mère et le fœtus serait plus... humain…
Mais la résurrection "dès la conception" c'est bien une résurrection d'une âme ou d'un esprit peu importe le terme "dans la chair" ; donc c'est bien la réincarnation non ?
J’allais te répondre très rapidement : pas dans la chair, mais dans sa chair. La sienne. Glorifiée.
Puis en regard des textes bibliques, (textes auxquels je me suis longtemps référée) aujourd’hui, je ne sais plus !!...
...Peut-être, lors de la résurrection, n’y aura-t-il même pas de "chair", puisque l’apôtre Paul parle d’un changement d’état (voir ICor.15)…
Pour "revenir à nos moutons", si il s’agit bien d’un changement d’état (un corps spirituel au lieu d’un corps mortel), ce que nos corps de chair auront subi ou non ici-bas, ne devrait pas influer sur ce corps spirituel… Mais je ne sais pas… L’Evangile semble laisser entendre que le Christ est ressuscité dans son corps de chair (plus dans le tombeau, flanc, pieds, mains percés réf.Thomas) —d’un autre côté, IL n’a pas été immédiatement reconnu (ce qui peut tout à fait s’expliquer psychologiquement ) mais bref, je m’éloigne !
J’ai seulement cette forte conviction, tout au fond de moi, qu'il nous est important de "mourir vivant", et que lorsque je mourrai, JE, l'essence de mon être ne se réincarnera pas en ceci ou en cela, ni même en celui-ci ou celle-là, mais ne disparaîtra pas non plus...
Alors corps spirituel, matériel ?... Finalement,à mes yeux, ce n'est pas très important, par contre, ce qui l'est vraiment pour moi, c'est de devenir. Etre vivante et ne rien faire qui empêche la vie et le devenir de l'autre.
je crois que souvent, chacun fait ce qu'il peut et du mieux qu'il peut ...
Oui.
Bradou a écrit :Y avait une haie d'honneur qui t'attendait à l'entrée de la galerie présentations. Allez, bon, on annule. Content de te revoir, Imala
Une haie d'honneur !! Où ça ??? Où ça ???
Sinon... merci pour l'accueil Bradou !
Imala
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