Le désir humain est infini
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Le désir humain est infini
J'ouvre ce fil à partir d'une phrase de Sylvain, qui aborde un sujet intéressant (merci à lui)
Je suggère qu'on parle ici de cette soif d'infini (quoiqu'il soit difficile de mettre la frontière)
Personnellement, j'aurais dit le désir d'infini, parce qu'il y a une grande différence entre les désirs matériels et cette "soif d'infini" qu'on retrouve chez les humains de toutes religion et aussi chez les incroyants.sylvain a écrit:Le désir humain est infini. Le fini le frustre. C'est pourquoi même sans chercher de Dieu, on cherche ad minima tous un absolu y compris les athées.
Je suggère qu'on parle ici de cette soif d'infini (quoiqu'il soit difficile de mettre la frontière)
Invité- Invité
Re: Le désir humain est infini
On peut la définir de manière négative : l'homme n'aime pas être enfermé dans des limites trop étroites, or si on le cadre dans un paradigme dont il expérimente lui-même la limitation, au bout d'un moment, il étouffe...
Invité- Invité
Re: Le désir humain est infini
L’homme souffrirait-il de cette soif ?
Tant qu’il ne la dépasse pas il n’est pas encore tout à fait né. Il s’invente une eau-au-delà et patauge dans son Aquaroyaume.
Et qui sait, si il lui survit, même un grain de sable abreuve quand l’eau manque et que l’on ne cours plus après les mirages.
Mais, tout ces caprices mis à part, quelque chose le pousse vers je ne sais quelle abstrait, peut-être l’appel de l’infini !? Disons, la "connaissance". L’homme à connaissance d’un chemin et les bruit de pas qui le traverse résonne à travers lui, il l’avait oublié, refuser la pomme par culpabilité.
Et parfois dans son silence, elle lui revient.
Tant qu’il ne la dépasse pas il n’est pas encore tout à fait né. Il s’invente une eau-au-delà et patauge dans son Aquaroyaume.
Et qui sait, si il lui survit, même un grain de sable abreuve quand l’eau manque et que l’on ne cours plus après les mirages.
Mais, tout ces caprices mis à part, quelque chose le pousse vers je ne sais quelle abstrait, peut-être l’appel de l’infini !? Disons, la "connaissance". L’homme à connaissance d’un chemin et les bruit de pas qui le traverse résonne à travers lui, il l’avait oublié, refuser la pomme par culpabilité.
Et parfois dans son silence, elle lui revient.
Talek- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 103
Localisation : P2 Dôme
Identité métaphysique : bof
Humeur : Serein
Date d'inscription : 28/06/2009
Re: Le désir humain est infini
En ce qui me concerne, je ne ressens pas du tout cette "soif d'infini", je le définirais plutôt comme une envie de "plus", mais je n'arrive pas à le définir. Peut-être simplement comme une amélioration personnelle: devenir plus "moi-même", corriger mes défauts qui m'empêchent de faire ce que j'aime ?
Je ne vois rien d'autre.
Je ne vois rien d'autre.
Invité- Invité
Re: Le désir humain est infini
L'eau-delà est une eau-de-vie, et l'eau-de-vie, un pinard mystique. Il est permis de mettre de l'Oh! dans ce vin.
Invité- Invité
Re: Le désir humain est infini
Moi-même,
Ombre sur la terre qui rappel le soleil
À l’heure du crépuscule, j’oublie qu'un jour j'ai cherché, qu'un jour j'ai voulu
Et tous mes rêves sont réalisés.
Demain est un autre soleil trop brûlant pour les yeux.
Les ombres dansent dans l'infini,
Ne faisant que passer.
A la votre.
Ombre sur la terre qui rappel le soleil
À l’heure du crépuscule, j’oublie qu'un jour j'ai cherché, qu'un jour j'ai voulu
Et tous mes rêves sont réalisés.
Demain est un autre soleil trop brûlant pour les yeux.
Les ombres dansent dans l'infini,
Ne faisant que passer.
A la votre.
Talek- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 103
Localisation : P2 Dôme
Identité métaphysique : bof
Humeur : Serein
Date d'inscription : 28/06/2009
Re: Le désir humain est infini
A peine ombres
_dansant dans l'in-
__fini, ces pans
___du Vrai m'en-
____vironnent.
_____Dieux naissent, passent...
______Ni l'Amor du cri
______Ni la mort du Christ,
_____Dieu, n'est-ce pas ce
____Vir aux noeuds
___du << vraiment
__fini >> ? S'épan-
_dent encens dans l'Un
à pénombre.
_dansant dans l'in-
__fini, ces pans
___du Vrai m'en-
____vironnent.
_____Dieux naissent, passent...
______Ni l'Amor du cri
______Ni la mort du Christ,
_____Dieu, n'est-ce pas ce
____Vir aux noeuds
___du << vraiment
__fini >> ? S'épan-
_dent encens dans l'Un
à pénombre.
Invité- Invité
Re: Le désir humain est infini
Sans désir , nous ne serions pas là;
Il n'a rien d'humain,
Il est bien antérieur à nous,
Peut-être qu'il est...depuis toujours !
Il n'a rien d'humain,
Il est bien antérieur à nous,
Peut-être qu'il est...depuis toujours !
Opaline- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3483
Date d'inscription : 01/10/2009
Re: Le désir humain est infini
Le désir humain est bien infini et encore heureux, car il est nécessaire à l’existence. Je m’explique, afin d’épurer cette intervention qui peut sembler quelques peu flou.
Par définition le désir c’est l’épreuve douloureuse d’une absence. Nous pourrions simplifier cette définition quelques peu formelle en définissant le désir comme un manque que nous cherchons à combler. La citation de sylvain, n’évoque pas le type de désir, pourtant, cette définition permet de mettre en évidence différents type de désir, dont certains nous sont indispensables, (exemple : ce nourrir). Si je mange, c’est que je le désir, car j’ai faim. Le désir est dans ce cas sollicité par un besoin je dirais « primaire » nécessaire à la vie et par extension à l’existence et qui est bien sans fin. Je suis donc condamné a être soumit à mes désirs ne serait-ce-que les plus élémentaires.
Mais l’infinité du désir ne se cantonne pas à ces besoins organiques communs à tous. En effet, qu’est-ce-qui nous fait nous mouvoir, nous déplacer d’un point A a un point B en vu d’une fin ( que cela soit, l’obtention d’un bien matériel, ou d’une satisfaction personnel) ? Rien de plus que le désir qui motive ma recherche. En outre j’agis parce-que toutes actions est motivé par un désir ; un acte ne serait-être purement désintéressé, et si intérêt il y’a il y’ a plaisir, qui est la finalité du désir (la manifestation d’un désir comblé).
Comment je sais qu’un être vivant existe ? En le voyant se mouvoir, ce qui distingue le vivant de l’inanimé. Or comme mentionné plus-haut il ne serait y avoir mouvement ni accomplissement sans le désir qu’il anime et si je suis impuissant a me manifester ( par le mouvement ou la parole par exemple) alors je ne peux prétendre exister, puisque même si je suis doté de pensée, je ne serais l’exprimer.
Enfin, comme le mentionne la citation donné :
« … C'est pourquoi même sans chercher de Dieu, on cherche ad minima tous un absolu y compris les athées. »
L’absolu, renvoi ici à la recherche du Vrai. Or l’absolu ce traduit comme un réel immuable, ce que la Philosophie nomme le Réel en soi qui est imperceptible par la sensation et donc vu que la sensation est intrinsèque à l’Homme, cette quête du vrai est sans fin puisque inaccessible par la sensation d’une part et limité par les moyens technique de la science d’autre part. La recherche de l’absolu est donc sans fin, par conséquent, le désir est bien infini.
Par définition le désir c’est l’épreuve douloureuse d’une absence. Nous pourrions simplifier cette définition quelques peu formelle en définissant le désir comme un manque que nous cherchons à combler. La citation de sylvain, n’évoque pas le type de désir, pourtant, cette définition permet de mettre en évidence différents type de désir, dont certains nous sont indispensables, (exemple : ce nourrir). Si je mange, c’est que je le désir, car j’ai faim. Le désir est dans ce cas sollicité par un besoin je dirais « primaire » nécessaire à la vie et par extension à l’existence et qui est bien sans fin. Je suis donc condamné a être soumit à mes désirs ne serait-ce-que les plus élémentaires.
Mais l’infinité du désir ne se cantonne pas à ces besoins organiques communs à tous. En effet, qu’est-ce-qui nous fait nous mouvoir, nous déplacer d’un point A a un point B en vu d’une fin ( que cela soit, l’obtention d’un bien matériel, ou d’une satisfaction personnel) ? Rien de plus que le désir qui motive ma recherche. En outre j’agis parce-que toutes actions est motivé par un désir ; un acte ne serait-être purement désintéressé, et si intérêt il y’a il y’ a plaisir, qui est la finalité du désir (la manifestation d’un désir comblé).
Comment je sais qu’un être vivant existe ? En le voyant se mouvoir, ce qui distingue le vivant de l’inanimé. Or comme mentionné plus-haut il ne serait y avoir mouvement ni accomplissement sans le désir qu’il anime et si je suis impuissant a me manifester ( par le mouvement ou la parole par exemple) alors je ne peux prétendre exister, puisque même si je suis doté de pensée, je ne serais l’exprimer.
Enfin, comme le mentionne la citation donné :
« … C'est pourquoi même sans chercher de Dieu, on cherche ad minima tous un absolu y compris les athées. »
L’absolu, renvoi ici à la recherche du Vrai. Or l’absolu ce traduit comme un réel immuable, ce que la Philosophie nomme le Réel en soi qui est imperceptible par la sensation et donc vu que la sensation est intrinsèque à l’Homme, cette quête du vrai est sans fin puisque inaccessible par la sensation d’une part et limité par les moyens technique de la science d’autre part. La recherche de l’absolu est donc sans fin, par conséquent, le désir est bien infini.
Dernière édition par Pangloss le Sam 12 Juil 2014 - 10:31, édité 1 fois
Pangloss- Sorti de l'oeuf
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Re: Le désir humain est infini
Le désir humain est heureux ? Pourrais-tu développer ce point Pangloss ?Pangloss a écrit:Le désir humain est bien infini est encore heureux, car il est nécessaire à l’existence.
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Re: Le désir humain est infini
C'était un problème d'orthographe, je vois que Pangloss l'a corrigé.
Je ne le dirai jamais assez : soignez votre orthographe, faites attention aux conjugaisons, donnez aux autres un texte présentable.
Prévisualisez avant de poster.
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MES POEMES :
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: Le désir humain est infini
Le désir est un moteur, mais à ménager si l'on ne veut pas en devenir les esclaves.
Parfois le chemin parcouru, pour le réaliser, et l'espoir qui nous porte est beaucoup plus jouissif que sa réalisation.
Comme quoi, l'espoir fait vivre, dit-on par ici
Parfois le chemin parcouru, pour le réaliser, et l'espoir qui nous porte est beaucoup plus jouissif que sa réalisation.
Comme quoi, l'espoir fait vivre, dit-on par ici
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le désir humain est infini
En effet, l'Homme est impuissant à s'absoudre des désirs qui l'animent, mais il doit les satisfaire sous le commandement de la raison afin de d'éviter que certains désirs ne causes au final des souffrances plus grandes que le plaisir initiale qu'ils prétendaient offrir.
Pangloss- Sorti de l'oeuf
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Re: Le désir humain est infini
Principe épicurien
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Re: Le désir humain est infini
Plutôt platonicien, Epicure en effet considérait que seul les désirs ayant une limite naturelle et donc pouvant être assouvit, se devaient d'être satisfait ( c'est-à-dire les besoins primaire tel que l'alimentation) . Les autres désirs étant pour lui source de souffrance car ne trouvaient pas de limites ( celui qui est fortuné désir toujours plus d'argent et celui qui est puissant toujours plus de pouvoir) L'Homme dans ce cas est condamné à la souffrance, puisque le désir étant comme je l'ai déjà mentionné l'épreuve douloureuse d'une absence.
Aussi Epicure ne se contente pas de dire qu'il faut limiter ses désirs, mais ce contenter du nécessaire, ce qui peut-être satisfait, pleinement en vu d'atteindre l'ataraxie ( la paix de l'âmes). L'Epicurisme considère donc qu'il est possible de s'absoudre de désirs (dans la mesure ou ils ne sont pas nécessaire et porte atteinte à l'ataraxie).
Or ici j'évoque l'impossibilité de s'absoudre du désir car par définition
Eprouver= Subir l'action d'une force.
La douleur ne peut être voulu pour soi (elle est donc involontaire)
L'absence: ne peut être voulu, sinon la volonté porte sur le néant.
Le désir , étant ressentit intérieurement, est donc une sensation, qui elle même se traduit comme quelques chose d'extérieur à moi qui s'impose à moi ( donc involontaire).
Petite illustration: Si j'accorde une grande valeur à ma famille et qu'un individu insulte un de mes parents, cela me frustre, je ressent de la colère et je l'exprime.
La colère issue de la frustration ressentit, par l'atteinte a mes valeurs n'est pas un choix volontaire et raisonné, cela ne m'est pas agréable, je le subit indépendamment de ma volonté. Je ne peux donc m'absoudre à ce qui relève de la sensation. C'est en ce sens que mes propos coïncide plus avec les principes de Platon qu'Epicure. ;-)
Aussi Epicure ne se contente pas de dire qu'il faut limiter ses désirs, mais ce contenter du nécessaire, ce qui peut-être satisfait, pleinement en vu d'atteindre l'ataraxie ( la paix de l'âmes). L'Epicurisme considère donc qu'il est possible de s'absoudre de désirs (dans la mesure ou ils ne sont pas nécessaire et porte atteinte à l'ataraxie).
Or ici j'évoque l'impossibilité de s'absoudre du désir car par définition
Eprouver= Subir l'action d'une force.
La douleur ne peut être voulu pour soi (elle est donc involontaire)
L'absence: ne peut être voulu, sinon la volonté porte sur le néant.
Le désir , étant ressentit intérieurement, est donc une sensation, qui elle même se traduit comme quelques chose d'extérieur à moi qui s'impose à moi ( donc involontaire).
Petite illustration: Si j'accorde une grande valeur à ma famille et qu'un individu insulte un de mes parents, cela me frustre, je ressent de la colère et je l'exprime.
La colère issue de la frustration ressentit, par l'atteinte a mes valeurs n'est pas un choix volontaire et raisonné, cela ne m'est pas agréable, je le subit indépendamment de ma volonté. Je ne peux donc m'absoudre à ce qui relève de la sensation. C'est en ce sens que mes propos coïncide plus avec les principes de Platon qu'Epicure. ;-)
Pangloss- Sorti de l'oeuf
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Localisation : Paris
Identité métaphysique : Métaphysicien, Philosophe
Humeur : Joie
Date d'inscription : 11/07/2014
Re: Le désir humain est infini
- Spoiler:
- Mon chers PLAGOSS
Le désire humain est infini :
J’apprécie tes écrits, mais il me semble que certain pourrait être réfuter.
« Or ici j'évoque l'impossibilité de s'absoudre du désir car par définition
Eprouver= Subir l'action d'une force.
La douleur ne peut être voulu pour soi (elle est donc involontaire)
L'absence: ne peut être voulu, sinon la volonté porte sur le néant. »
Dans le discours même d’Epicure tu oublies qu'il existe la classification des désirs et c'est ainsi qu'il s'agit de savoir quels désirs sont susceptibles, de procurer une vraie satisfaction et quels désirs sont susceptibles de rester insatisfait.
Dans la classification des désires EPICURIEN. Il y a les désirs naturels et tu en as fait allusion en disant qu’il s’agit là du besoins alimentaires un besoin primaire celui de se nourrir.
Je mettrais donc un nom à l’exemple que tu as donné, en le classifiant d’après Épicure dans les désirs vains. ( Celui qui est fortuné désir toujours plus d'argent ».
Seulement selon moi tu fais une erreur quand tu dis que « la douleur ne peut être voulu pour soi ».
C’est que tu as oublié ce que Épicure appelle la Métriopathie (la mesure de la douleur).
En d’autres termes c’est l’idée qu’il faut calculer les plaisirs et les peines à attendre de la satisfaction d’un désir.
Je soutiens-moi que certains plaisirs sont suivis de douleur et comme toute chose à son contraire que certaines douleurs sont suivit de plaisir. Le tout sous la quête d’un certain désir
Il en va pour un homme qui adorant les bonnes choses passerez de l'état d'un homme maigre à un homme obèse en se laissant aller au plaisir infini de la nourriture, donc par excès de nourriture donc par excès et de désir.
Et à en lire tes propos je crois que la dessus nous sommes tout à fait d’accord.
Mais tu oublies par exemple qu’un athlètes qui désirent devenir champion olympique se levant tous les matins à des heures bien précise pour aller courir, ressentir la douleur, ayant ses pieds meurtrie par des kilomètres accumulés, accumulant les blessures et contracture musculaire, ce même homme si il devenait champion olympique aura le plaisir d’atteindre son désire.
Il a voulu pour lui-même la douleur.
Il en va de même pour la vaccination. (Douleur après plaisir)
L’absence de désir vain peut-être voulu pour soi, à ce moment là, la volonté se tourne vers la raison et non vers le néant.
"Petite illustration: Si j'accorde une grande valeur à ma famille et qu'un individu insulte un de mes parents, cela me frustre, je ressent de la colère et je l'exprime.
La colère issue de la frustration ressentit, par l'atteinte à mes valeurs n'est pas un choix volontaire et raisonné, cela ne m'est pas agréable, je le subis indépendamment de ma volonté. Je ne peux donc m'absoudre à ce qui relève de la sensation. C'est en ce sens que mes propos coïncide plus avec les principes de Platon qu'Epicure. ;-)"
Le désir est un sentiment intérieur, intrinsèque à l’homme.
La colère issue de la frustration ressentie par l’homme, reste un choix volontaire.
Dans ton exemple ce qui ne dépend pas de toi, ce qui est involontaire et l’insulte. Je dis souvent ce ne sont pas les choses qui blessent l’homme c’est les opinions qu’ils en ont. Il n’appartient qu’à toi de te mettre en colère ou non et je dirais pire encore d’exprimer cette colère. Mon cher ami il appartient à tout à chacun de ne pas laisser n’importe quelle vulgaires individus avoir une emprise sur les sentiments intérieur qui sont les notre.
Merci de bien vouloir refaire votre message conformément aux recommandations de la Charte articles 5 et 6
Kemitos- Sorti de l'oeuf
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Date d'inscription : 27/08/2014
Re: Le désir humain est infini
Eprouver et exprimer sont deux choses différentes. On peut maitriser ses émotions mais on n'est pas maitre de les éprouver ou non .
De même, il faut distinguer les besoins et le désir : les premiers doivent être satisfaits, pas les désirs . Un désir satisfait n'en est plus un . C'est le grand danger du couple .
De même, il faut distinguer les besoins et le désir : les premiers doivent être satisfaits, pas les désirs . Un désir satisfait n'en est plus un . C'est le grand danger du couple .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Le désir humain est infini
Mon chers PLAGOSS
Le désire humain est infini :
J’apprécie tes écrits, mais il me semble que certain pourrait être réfuter.
« Or ici j'évoque l'impossibilité de s'absoudre du désir car par définition
Eprouver= Subir l'action d'une force.
La douleur ne peut être voulu pour soi (elle est donc involontaire)
L'absence: ne peut être voulu, sinon la volonté porte sur le néant. »
Dans le discours même d’Epicure tu oublies qu'il existe la classification des désirs et c'est ainsi qu'il s'agit de savoir quels désirs sont susceptibles, de procurer une vraie satisfaction et quels désirs sont susceptibles de rester insatisfait.
Dans la classification des désires EPICURIEN. Il y a les désirs naturels et tu en as fait allusion en disant qu’il s’agit là du besoins alimentaires un besoin primaire celui de se nourrir.
Je mettrais donc un nom à l’exemple que tu as donné en le classifiant d’après Épicure dans les désirs vains. ( Celui qui est fortuné désir toujours plus d'argent ».
Seulement selon moi tu fais une erreur quand tu dis que « la douleur ne peut être voulu pour soi ».
C’est que tu as oublié ce que Épicure appelle la Métriopathie (la mesure de la douleur).
En d’autres termes c’est l’idée qu’il faut calculer les plaisirs et les peines à attendre de la satisfaction d’un désir.
Je soutiens-moi que certains plaisirs sont suivis de douleur et comme toute chose à son contraire que certaines douleurs sont suivit de plaisir. Le tout sous la quête d’un certain désir
Il en va pour un homme qui adorant les bonnes choses passerez de l'état d'un homme maigre à un homme obèse en se laissant aller au plaisir infini de la nourriture, donc par excès de nourriture donc par excès et de désir.
Et à en lire tes propos je crois que la dessus nous sommes tout à fait d’accord.
Mais tu oublies par exemple qu’un athlètes qui désirent devenir champion olympique se levant tous les matins à des heures bien précise pour aller courir, ressentir la douleur, ayant ses pieds meurtrie par des kilomètres accumulés, accumulant les blessures et contracture musculaire, ce même homme si il devenait champion olympique aura le plaisir d’atteindre son désire.
Il a voulu pour lui-même la douleur.
Il en va de même pour la vaccination. (Douleur après plaisir)
L’absence de désir vain peut-être voulu pour soi, à ce moment là, la volonté se tourne vers la raison et non vers le néant.
Petite illustration: Si j'accorde une grande valeur à ma famille et qu'un individu insulte un de mes parents, cela me frustre, je ressent de la colère et je l'exprime.
La colère issue de la frustration ressentit, par l'atteinte à mes valeurs n'est pas un choix volontaire et raisonné, cela ne m'est pas agréable, je le subis indépendamment de ma volonté. Je ne peux donc m'absoudre à ce qui relève de la sensation. C'est en ce sens que mes propos coïncide plus avec les principes de Platon qu'Epicure. ;-)
Le désir est un sentiment intérieur intrinsèque à l’homme.
La colère issue de la frustration ressentie par l’homme reste un choix volontaire.
Dans ton exemple ce qui ne dépend pas de toi, ce qui est involontaire et l’insulte. Je dis souvent ce ne sont pas les choses qui blessent l’homme c’est les opinions qu’ils en ont. Il n’appartient qu’à toi de te mettre en colère ou non et je dirais pire encore d’exprimer cette colère. Mon cher ami il appartient à tout à chacun de ne pas laisser n’importe quelle vulgaires individus avoir une emprise sur les sentiments intérieur qui sont les notre.
Espérant respecter la charte.
Le désire humain est infini :
J’apprécie tes écrits, mais il me semble que certain pourrait être réfuter.
« Or ici j'évoque l'impossibilité de s'absoudre du désir car par définition
Eprouver= Subir l'action d'une force.
La douleur ne peut être voulu pour soi (elle est donc involontaire)
L'absence: ne peut être voulu, sinon la volonté porte sur le néant. »
Dans le discours même d’Epicure tu oublies qu'il existe la classification des désirs et c'est ainsi qu'il s'agit de savoir quels désirs sont susceptibles, de procurer une vraie satisfaction et quels désirs sont susceptibles de rester insatisfait.
Dans la classification des désires EPICURIEN. Il y a les désirs naturels et tu en as fait allusion en disant qu’il s’agit là du besoins alimentaires un besoin primaire celui de se nourrir.
Je mettrais donc un nom à l’exemple que tu as donné en le classifiant d’après Épicure dans les désirs vains. ( Celui qui est fortuné désir toujours plus d'argent ».
Seulement selon moi tu fais une erreur quand tu dis que « la douleur ne peut être voulu pour soi ».
C’est que tu as oublié ce que Épicure appelle la Métriopathie (la mesure de la douleur).
En d’autres termes c’est l’idée qu’il faut calculer les plaisirs et les peines à attendre de la satisfaction d’un désir.
Je soutiens-moi que certains plaisirs sont suivis de douleur et comme toute chose à son contraire que certaines douleurs sont suivit de plaisir. Le tout sous la quête d’un certain désir
Il en va pour un homme qui adorant les bonnes choses passerez de l'état d'un homme maigre à un homme obèse en se laissant aller au plaisir infini de la nourriture, donc par excès de nourriture donc par excès et de désir.
Et à en lire tes propos je crois que la dessus nous sommes tout à fait d’accord.
Mais tu oublies par exemple qu’un athlètes qui désirent devenir champion olympique se levant tous les matins à des heures bien précise pour aller courir, ressentir la douleur, ayant ses pieds meurtrie par des kilomètres accumulés, accumulant les blessures et contracture musculaire, ce même homme si il devenait champion olympique aura le plaisir d’atteindre son désire.
Il a voulu pour lui-même la douleur.
Il en va de même pour la vaccination. (Douleur après plaisir)
L’absence de désir vain peut-être voulu pour soi, à ce moment là, la volonté se tourne vers la raison et non vers le néant.
Petite illustration: Si j'accorde une grande valeur à ma famille et qu'un individu insulte un de mes parents, cela me frustre, je ressent de la colère et je l'exprime.
La colère issue de la frustration ressentit, par l'atteinte à mes valeurs n'est pas un choix volontaire et raisonné, cela ne m'est pas agréable, je le subis indépendamment de ma volonté. Je ne peux donc m'absoudre à ce qui relève de la sensation. C'est en ce sens que mes propos coïncide plus avec les principes de Platon qu'Epicure. ;-)
Le désir est un sentiment intérieur intrinsèque à l’homme.
La colère issue de la frustration ressentie par l’homme reste un choix volontaire.
Dans ton exemple ce qui ne dépend pas de toi, ce qui est involontaire et l’insulte. Je dis souvent ce ne sont pas les choses qui blessent l’homme c’est les opinions qu’ils en ont. Il n’appartient qu’à toi de te mettre en colère ou non et je dirais pire encore d’exprimer cette colère. Mon cher ami il appartient à tout à chacun de ne pas laisser n’importe quelle vulgaires individus avoir une emprise sur les sentiments intérieur qui sont les notre.
Espérant respecter la charte.
Kemitos- Sorti de l'oeuf
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Humeur : vertu
Date d'inscription : 27/08/2014
Le désir humain est infini
Jo,
je suis d'accord avec toi mais définissons éprouver:
éprouver selon moi, c'est le fait de se soumettre à des épreuves des expériences ; « ce cancer là profondément éprouvées ». C’est le fait de ressentir ; « comme ressentir de la tristesse ». En d’autres termes éprouvés veux dire supporter ou subir. Je suis donc d’accord avec toi éprouver et exprimer son deux choses diamétralement opposées.
Ce que je réfute donc, dans tes écrits c’est que tu soutiens que l'on peut maîtriser ses émotions, sans pour autant être le maître de les éprouver.
Je soutiens-moi qu’il nous appartient ou non d’éprouver de la colère, qu’il nous appartient ou non d’éprouver de la tristesse.
Si un homme dans la rue venait à m’insulter il m’appartient d’éprouver, donc de subir ou de ressentir ces insultes comme une agression.
Ce n’est pas les insultes qui vexent l’homme mais plutôt les opinions qu’ils en ont.
Ainsi si pour toi ce que dit l’homme est une vérité, si tu prêtes audience à ces propos, est que tu laisses le premier vulgaire insensé avoir une emprise sur ton âme. Tu te mettras en colère et alors tu ne seras pas mettre d’éprouver de la colère. En revanche si tu considères que les propos tenus par cet inconnu ne sont pas dignes du souverain bien et donc ne sont pas digne de ce que tu penses, et donc ne peuvent avoir aucune répercussion sur ton âme, tu seras bien là, maître de tes émotions et donc de les ressentir, ou de les éprouver ou non.
Il en va de même pour la tristesse, regarde ! Un homme écoute un matin a la radio, qui il y a eu quelque part en France un accident de voiture dans lequel une famille avec deux enfants est décédé.
Il soutiendra que c’est triste sans ressentir une profonde tristesse et finira par dire: "mais la vie est ainsi faite, chacun de nous naissons pour mourir."
Si le lendemain il apprenait que sa femme et ses enfants sur la même route venaient à perdre la vie, il dira Dieu que je ressens une profonde tristesse c’est une misère qui sabbat sur moi, c’est le sol qui s’écroule sous mes pieds.
Cela te prouve ici que ce n’est pas la mort qui blesse l’homme c’est l’idée qu’il s’en fait.
Car un jour la vie est ainsi faite, on né pour mourir, lorsque cela concerne des étrangers, des êtres humains lointains. Et le lendemain c'est une atrocité une tyrannie que de perdre quelqu'un qui vous est proche.
On peut donc être maître de l'émotion tristesse, quand il s’agit d'étrangers parce que lointain. On ne pleure pas on se fait une raison et donc au contrôle cette émotion tristesse on n’en est le maître. Et on a l'impression de subir cette tristesse quant-il s'agit de proche, de notre famille. Mais en réalité ce que je soutiens, c'est que ce n'est pas la mort ou la perte de l’être proches qui nous fait mal c’est l’opinion que l’on en a.
On peut donc être maître ou non quant à éprouver nos émotions.
Et pour finir je dirais que si un désir satisfait n’est plus un désir, un besoin satisfait n’est plus un besoin.
C'est la raison pour laquelle lors ce que j'ai faim je mange, une fois que j'ai mangé je n'ai plus faim, lors ce que j'ai soif je bois une fois que j’ai bu, je n’ai plus soif la faim et la soif sont des besoins une fois satisfaits, ils n’ont plus a êtres satisfaits jusqu'à la prochaine envi de satisfaire le besoin.
Il en va de même pour le désir.
je suis d'accord avec toi mais définissons éprouver:
éprouver selon moi, c'est le fait de se soumettre à des épreuves des expériences ; « ce cancer là profondément éprouvées ». C’est le fait de ressentir ; « comme ressentir de la tristesse ». En d’autres termes éprouvés veux dire supporter ou subir. Je suis donc d’accord avec toi éprouver et exprimer son deux choses diamétralement opposées.
Ce que je réfute donc, dans tes écrits c’est que tu soutiens que l'on peut maîtriser ses émotions, sans pour autant être le maître de les éprouver.
Je soutiens-moi qu’il nous appartient ou non d’éprouver de la colère, qu’il nous appartient ou non d’éprouver de la tristesse.
Si un homme dans la rue venait à m’insulter il m’appartient d’éprouver, donc de subir ou de ressentir ces insultes comme une agression.
Ce n’est pas les insultes qui vexent l’homme mais plutôt les opinions qu’ils en ont.
Ainsi si pour toi ce que dit l’homme est une vérité, si tu prêtes audience à ces propos, est que tu laisses le premier vulgaire insensé avoir une emprise sur ton âme. Tu te mettras en colère et alors tu ne seras pas mettre d’éprouver de la colère. En revanche si tu considères que les propos tenus par cet inconnu ne sont pas dignes du souverain bien et donc ne sont pas digne de ce que tu penses, et donc ne peuvent avoir aucune répercussion sur ton âme, tu seras bien là, maître de tes émotions et donc de les ressentir, ou de les éprouver ou non.
Il en va de même pour la tristesse, regarde ! Un homme écoute un matin a la radio, qui il y a eu quelque part en France un accident de voiture dans lequel une famille avec deux enfants est décédé.
Il soutiendra que c’est triste sans ressentir une profonde tristesse et finira par dire: "mais la vie est ainsi faite, chacun de nous naissons pour mourir."
Si le lendemain il apprenait que sa femme et ses enfants sur la même route venaient à perdre la vie, il dira Dieu que je ressens une profonde tristesse c’est une misère qui sabbat sur moi, c’est le sol qui s’écroule sous mes pieds.
Cela te prouve ici que ce n’est pas la mort qui blesse l’homme c’est l’idée qu’il s’en fait.
Car un jour la vie est ainsi faite, on né pour mourir, lorsque cela concerne des étrangers, des êtres humains lointains. Et le lendemain c'est une atrocité une tyrannie que de perdre quelqu'un qui vous est proche.
On peut donc être maître de l'émotion tristesse, quand il s’agit d'étrangers parce que lointain. On ne pleure pas on se fait une raison et donc au contrôle cette émotion tristesse on n’en est le maître. Et on a l'impression de subir cette tristesse quant-il s'agit de proche, de notre famille. Mais en réalité ce que je soutiens, c'est que ce n'est pas la mort ou la perte de l’être proches qui nous fait mal c’est l’opinion que l’on en a.
On peut donc être maître ou non quant à éprouver nos émotions.
Et pour finir je dirais que si un désir satisfait n’est plus un désir, un besoin satisfait n’est plus un besoin.
C'est la raison pour laquelle lors ce que j'ai faim je mange, une fois que j'ai mangé je n'ai plus faim, lors ce que j'ai soif je bois une fois que j’ai bu, je n’ai plus soif la faim et la soif sont des besoins une fois satisfaits, ils n’ont plus a êtres satisfaits jusqu'à la prochaine envi de satisfaire le besoin.
Il en va de même pour le désir.
Kemitos- Sorti de l'oeuf
- Nombre de messages : 10
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Humeur : vertu
Date d'inscription : 27/08/2014
Re: Le désir humain est infini
Invité a écrit:J'ouvre ce fil à partir d'une phrase de Sylvain, qui aborde un sujet intéressant (merci à lui)Personnellement, j'aurais dit le désir d'infini, parce qu'il y a une grande différence entre les désirs matériels et cette "soif d'infini" qu'on retrouve chez les humains de toutes religion et aussi chez les incroyants.sylvain a écrit:Le désir humain est infini. Le fini le frustre. C'est pourquoi même sans chercher de Dieu, on cherche ad minima tous un absolu y compris les athées.
Je suggère qu'on parle ici de cette soif d'infini (quoiqu'il soit difficile de mettre la frontière)
Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que dès le début de ce forum y'a un malentendu.
L'un parle du désir humain qui est infini et l'autre du désir d'infini qui est humain... croyez-vous que ce soit la même chose?
pierre_b- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Humeur : c'est suivant
Date d'inscription : 09/07/2014
Re: Le désir humain est infini
A quoi bon la soif de l'ocean, si on n'a qu'une petite barque ?
J'aime bien le quatorzième chemin du tarot : "Tempérance": une femme en rouge et bleu verse le contenu d'un pot bleu dans un pot rouge... la juste mesure . L'humain est un être de milieu, entre infiniment petit et infiniment grand . Il doit assumer sa mesure, toute sa mesure, mais seulement elle . C'est du moins ce que j'ai demandé - et obtenu- dans la vie .
J'aime bien le quatorzième chemin du tarot : "Tempérance": une femme en rouge et bleu verse le contenu d'un pot bleu dans un pot rouge... la juste mesure . L'humain est un être de milieu, entre infiniment petit et infiniment grand . Il doit assumer sa mesure, toute sa mesure, mais seulement elle . C'est du moins ce que j'ai demandé - et obtenu- dans la vie .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Le désir humain est infini
JO.... il y aurait un milieu à l'infini???????
pierre_b- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1214
Localisation : nord du lot
Identité métaphysique : c'est à dire?
Humeur : c'est suivant
Date d'inscription : 09/07/2014
Re: Le désir humain est infini
mais oui: là où je suis est le centre du monde: centres partout et circonférence nulle part... Mon monde est modeste, mais j'en suis le centre . Comme impact du caillou sur l'eau, les ondes s'élargissent, concentriques ...
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
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