A propos des préjugés
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A propos des préjugés
Pour essayer de fonder mon raisonnement sur quelquechose de vécu qui, je l’espère n’est pas un préjugé ( mais va savoir!) je ferai le constat que
tout système vivant a besoin, après un effort, de reconstituer ses réserves.
De cela il résulte que l’évolution n’est pas continue mais procède par bonds d’un palier à un autre. En particulier, les modèles que les hommes se font du monde changent. Mais avant de changer, ils doivent avoir été imaginés, expérimentés, appris, assimilés. Tout cela demande de l’énergie et l’on comprend qu’après un gros effort, qu’il soit individuel ou collectif, et qui a conduit à un nouveau modèle plus satisfaisant le système vivant se repose un certain temps sur ses lauriers. L’homme, du fait de sa fatigabilité, est comme un nageur qui pour se jeter à l’eau a besoin d’aller d’une île à une autre mais qui ne nage pas pour le simple plaisir. Toutefois il peut arriver qu’éprouvant du plaisir à nager et qu’ à force de nager,devenant de plus en plus vigoureux il puisse nager de plus en plus loin et y prendre de plus en plus de plaisir. A la limite, on peut concevoir un être qui ne chercherait plus à aborder une île mais se contenterait de nager. On imagine toutefois, qu’un tel être serait infatigable, une sorte de dieu. Les hommes n’en sont pas encore là et peut-être n’y seront-ils jamais. Mais on peut imaginer que notre évolution est assymptotique au divin autrement dit que nous ne serons pas éternellement des brutes idiotes. Déjà avec la formation de l’esprit scientifique ( Cf. Bachelard) et la déclaration des droits de l’homme nous avons fait un pas immense, il me semble. Les préjugés sont comme des îles. Peut-être arrivera-t-il un jour où nous contenteront de penser sans avoir besoin de modèles. Peut-être......
tout système vivant a besoin, après un effort, de reconstituer ses réserves.
De cela il résulte que l’évolution n’est pas continue mais procède par bonds d’un palier à un autre. En particulier, les modèles que les hommes se font du monde changent. Mais avant de changer, ils doivent avoir été imaginés, expérimentés, appris, assimilés. Tout cela demande de l’énergie et l’on comprend qu’après un gros effort, qu’il soit individuel ou collectif, et qui a conduit à un nouveau modèle plus satisfaisant le système vivant se repose un certain temps sur ses lauriers. L’homme, du fait de sa fatigabilité, est comme un nageur qui pour se jeter à l’eau a besoin d’aller d’une île à une autre mais qui ne nage pas pour le simple plaisir. Toutefois il peut arriver qu’éprouvant du plaisir à nager et qu’ à force de nager,devenant de plus en plus vigoureux il puisse nager de plus en plus loin et y prendre de plus en plus de plaisir. A la limite, on peut concevoir un être qui ne chercherait plus à aborder une île mais se contenterait de nager. On imagine toutefois, qu’un tel être serait infatigable, une sorte de dieu. Les hommes n’en sont pas encore là et peut-être n’y seront-ils jamais. Mais on peut imaginer que notre évolution est assymptotique au divin autrement dit que nous ne serons pas éternellement des brutes idiotes. Déjà avec la formation de l’esprit scientifique ( Cf. Bachelard) et la déclaration des droits de l’homme nous avons fait un pas immense, il me semble. Les préjugés sont comme des îles. Peut-être arrivera-t-il un jour où nous contenteront de penser sans avoir besoin de modèles. Peut-être......
Geveil- Akafer
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