Religions et Sexualité
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Re: Religions et Sexualité
ZELDA
l'orgasme, dit on, serait proche parent de l'extase mystique. d'ou ''pq se priver de ce mysticisme a bon marché'', il n'en coute rien de faire l'amour.
l'orgasme, dit on, serait proche parent de l'extase mystique. d'ou ''pq se priver de ce mysticisme a bon marché'', il n'en coute rien de faire l'amour.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Religions et Sexualité
ok. ça rejoint ce qu'on disait plus haut, l'orgasme permet en effet d'echapper un instant à l'illusion de dualité. dans ce sens c'est un apperçu de ce que peut être l'extase mystique.
la première fois que j'ai fait l'amour, j'ai eu l'impression d'avoir rencontré Dieu ! poutrant je n'étais pas encore croyant.
il ne s'agit pas de s'en priver. personne ne peut nous demander de nous en priver.
la première fois que j'ai fait l'amour, j'ai eu l'impression d'avoir rencontré Dieu ! poutrant je n'étais pas encore croyant.
il ne s'agit pas de s'en priver. personne ne peut nous demander de nous en priver.
Invité- Invité
Re: Religions et Sexualité
Si les religieux vivaient dans l'opulence et le sexe libre on pourrait s'interroger sur la question.BlingBlingTheGod a écrit:Ce que j'apprécie avec les croyants de ce forum c'est qu'ils nous expliquent comment leur religion est tellement progressiste en matière de sexualité.
Cela est bien entendu que du blabla
La religion a besoin de contrôler la sexualité car c'est un des fondements du comportement humain
Comment imaginer une seconde que les institutions religieuses pourraient passer à côté de ce formidable outil de contrôle ?
Mais vu que les autorités s'imposent les même choses ou pire (comme les prêtres) que leurs "exploités" ça n'a pas trop de sens.
Oui mais bon, comme tu dis, ce sont des religions et pas les religions...BlingBlingTheGod a écrit:Mais regardons de plus près quelles sont les valeurs religieuses couramment rencontrée :
- La femme doit être soumise sexuellement à l'homme
En islam avec le déjà fameux "laboure ta femme comme un champ, et cela lorsque tu le désire" -ce qui s'appel un viol conjugal dans nos pay civilisés
Dans le christianisme "la femme doit obéir à l'homme et l'homme à dieu"
-La femme en tant que tel (et son plaisir) est niée constamment car la femme n'est pas respectable ; la mère est respectable pas la femme.
Autrement dit la femme est une putain jusqu'à ce qu'elle ait fait sortir des marmots de son ventre
"le paradis est sous les pieds des mères"
Je ne sais pas si dans la bible on parle de masturbation a un endroit. quelqu'un a un verset à citer ?Dans le coran non plus je ne vois pas où.BlingBlingTheGod a écrit:-L'eunanisme (la branlette) est interdit ; car il est source de plaisir sans intention de reproduction
L'histoire d'Onan Spin à expliqué que ça parlait d'un coït interruptus, quelqu'un est en désaccord ?[/quote]
La sodomie entre un homme et une femme je ne vois pas où on en parle dans la bible ou le coran.BlingBlingTheGod a écrit:On voit bien là que le plaisir personnel en matière de sexualité est nié
Je rapel que des études scientifiques ont montrée que pour un garçon ne pas se masturber entrainé plus de cancers des testicules...
-La sodomie et autre pratiques sont également interdite car non source de bébés, encore une fois le but est clairememnt affiché : le plaisir non, la reproduction oui
-L'homosexualité est interdite
La bible interdit la sodomie entre hommes mais pas entre homosexuels comme on comprend ce mot aujourd'hui.
Le coran ne parle pas des homosexuels non plus , les gens ne savaient pas qu'il existait des hommes attiré par d'autres hommes apparemment
BlingBlingTheGod a écrit:Les croyants nous expliquent qu'un dieu créateur de l'univers leur enseigne les positions autorisées.
Sources ?
Masturbation ça m'interresse de voir où Dieu a dit ça, spin nous expliqué pour Onan j'irait vérifié moi même.BlingBlingTheGod a écrit:
Je trouve cela comique "dieu a dit non à la masturbation et à l'enculation !"
L'interdit de la sodomie dans l'exode je l'interprète comme ça :
Si vous avez un "désir" d'homme en tant qu'hétéro ne l'assouvissez pas parce que c'est mauvais pour vous ou pour l'autre.
Ou bien: si vous avez un désir d'homme en tant qu'homo ne l'assouvissez pas parce que ça peut être horrible pour un hétéro. Voir l'histoire de sodome.
Invité- Invité
Re: Religions et Sexualité
Les chrétiens disent bien qu'on ne peut pas comprendre la bible hébraïque sans les textes chrétiens non ?FramFrasson a écrit:Tous les chrétiens (catholiques, protestants, orthodoxes) reconnaissent l'AT comme le NT.Le christianisme, c'est le NT et non l'AT.
C'est pour ça qu'ils l'appellent l'ancien testament,c'est l'ancienne vision dépassé.
Quand on pense comme moi que cette vision n'est pas dépassé,on ne voit pas bien pourquoi ils ont cette obsession d'un livre qui ne leur parle que très peu.
Le grand absent je t'invite à parler de bible hébraïque plutôt que d'un ancien testament.
:salut:
Invité- Invité
Re: Religions et Sexualité
- Nous n'avons pas à décrire ici un acte malheureusement aussi connu qu'il est honteux", lit-on dans le Dictionnaire Encyclopédique de Pierre Larousse en 1873 à l'article "masturbation". Texte représentatif de la mentalité européenne de l'époque, traversée par une véritable "obsession anti-masturbatoire" si l'on en croit Anne Van Neck et Jean Stengers, directeur du séminaire d'histoire contemporaine à l'Université Libre de Bruxelles.
Péché, vice, autodestruction : les mots ne manquent pas pour qualifier la masturbation. "Tous les médecins s'accordent à reconnaître que la masturbation prédispose à un très grand nombre de maladies", poursuit l'article. Jusqu'au début du XXè siècle, cette idée de la masturbation destructrice règnera quasi sans partage aussi bien en France qu'en Allemagne, en Angleterre, aux Etats-Unis ou en Suède. C'est cette "grande peur", dont tout le XIXè siècle semble avoir été profondément imprégné, que les deux auteurs se sont attachés à décrire dans le présent ouvrage.
Les exemples cités ne manquent pas, témoignant de l'ampleur du phénomène: intellectuels, comme Proudhon, Sainte-Beuve, les frères Goncourt, Littré et même Kant, médecins, comme Raspail, hommes d'Eglise, comme Mgr Dupanloup ou Mgr Bouvier, directeurs de pensionnat, tous poursuivent assidûment ce qu'ils nomment le "fléau de l'onanisme". Les remèdes proposés par les spécialistes font frémir : surveillance permanente, camisoles de force, pieds et bras liés pendant le sommeil, régimes alimentaires adaptés, dissuasion par la fatigue et l'exercice physique quotidien, et même, chez les malades jugés "irrécupérables", interventions chirurgicales …
Peur ancestrale, pourrait-on penser, angoisse remontant à l'aube de l'humanité : il n'en est rien. La grande conclusion à laquelle aboutissent Jean Stengers et Anne Van Neck, c'est que la peur anti-masturbatoire, loin d'appartenir à l'histoire de l'humanité tout entière, est un phénomène d'origine relativement récente. Nulle manifestation d'une peur semblable, en effet, avant le XVIIIè siècle .En témoignent un sonnet de Malherbe décrivant on ne peut plus librement l'expérience de la masturbation, mais aussi des textes du médecin Galien qui mettent en garde contre les dangers de la rétention du sperme. C'est donc au XVIIè siècle, et pas avant, qu'il faut chercher l'élément déclencheur de cette "grande peur".
Cet élément ne serait autre qu'une brochure intitulée Onania, publiée en 1723, à des fins commerciales avant tout, par un charlatan anonyme de Londres. L'auteur, afin de favoriser la vente de ses remèdes contre le péché d'Onan, y fait un tableau très cru des souffrances endurées par de jeunes masturbateurs qu'il a eu à soigner. Pour la première fois, la masturbation se voit attribuer des effets destructeurs : vertiges, mélancolie, stupidité, impuissance, châtiment divin, mort, la liste des maux auxquels s'expose le masturbateur est infinie. Le succès rencontré par la brochure est immense, et c'est elle qui, au fil de ses innombrables rééditions, va imposer dans toute l'Europe la terreur de la masturbation. Mieux : elle reçoit quelques années plus tard la caution scientifique d'un médecin renommé de l'époque, Tissot, qui, dans son traité De l'onanisme publié en 1757 rejoint les conclusions inquiétantes d'Onania.
La grande peur de la masturbation est née. Elle va se propager durant tout le XIXè siècle, accumulant les ravages chez des générations entières d'adolescents dévorés par la culpabilité. Il faudra, à l'aube du XXè siècle, le bon sens et l'indépendance d'esprit de quelques hommes éclairés comme sir James Paget en Angleterre, Jules Christian en France et Wilhelm Stekel en Allemagne, pour voir reculer ces préjugés désormais profondément enracinés dans les esprits. Enfin, les premières enquêtes statistiques menées aux Etats-Unis, notamment par Kinsey en 1948, vont définitivement inscrire la masturbation dans la banalité et, du coup, dans la normalité.
Est-ce à dire pour autant que la masturbation ait cessé aujourd'hui d'être un tabou ? Rien n'est moins sûr. La "grande peur" a laissé des traces dans les esprits, et la masturbation continue de déranger : elle n'a toujours pas rejoint le cercle des plaisirs sexuels normaux, reconnus comme tels. La grande originalité de la thèse de Stengers et Van Neck tient, on le voit, à ce paradoxe : il n'y aurait, à l'origine du grand phénomène social que fut la peur anti-masturbatoire, que le cri d'alarme lancé par un obscur charlatan londonien. Avant ce cri, rien : "une indifférence, ou une semi-indifférence". Puissante illustration de la force des idées et de ce que peut être, dans des phénomènes réputés collectifs, le rôle de l'individu, dit Stengers. L'idée est séduisante.
Qu'il soit permis, cependant, de soulever quelques problèmes que l'essai n'aborde pas : en particulier, comment expliquer, si tout est effectivement parti de la brochure Onania, que l'ensemble de la société ait été aussi réceptif aux imprécations anti-masturbatoires d'un simple charlatan ? L'ampleur du phénomène ainsi que sa vitesse de propagation ne prouvent-ils pas qu'une angoisse était déjà présente au moins à l'état latent, prête à se révéler ? Stengers lui-même ne cesse de déplorer la rareté des sources, qui rend presque impossible une mesure exacte du phénomène : de fait, l'ouvrage, bien qu'extrêmement documenté -certaines anecdotes relatives à la médecine de l'époque ne manquent pas de pittoresque- bâtit toute sa démonstration sur des hypothèses échafaudées à partir de textes épars, dont il est impossible de savoir s'il sont réellement représentatifs des idées dominantes de l'époque.
Dès lors, la vraie question porte peut-être sur les raisons du triomphe de cette peur anti-masturbatoire : pourquoi un triomphe si rapide? Pourquoi au XIXè siècle et pas avant ? Faut-il attribuer ce succès à un contexte social et moral particulier, ou à un inconscient collectif bien plus ancien ? A l'évidence, cet essai de Stengers et Van Neck -l'un des rares consacrés à un sujet presque vierge encore de recherches- laisse en suspens bien des interrogations, peut-être tout simplement parce que celles-ci relèvent d'autres domaines que l'histoire. En cela, il appelle d'autres ouvrages, d'autres investigations, aussi bien dans le champ de la sociologie ou de l'ethnologie que dans celui de la psychanalyse. Une étude du statut de la masturbation dans les sociétés non occidentales, notamment, permettrait peut-être de déterminer si la peur de la masturbation est oui ou non un phénomène commun à toutes les organisations humaines. Le cas échéant, c'est sans doute à la psychanalyse que reviendrait la tâche de mettre en évidence les ressorts inconscients d'une telle peur. Avec, à l'horizon, cet enjeu : peut-on espérer que la masturbation cesse enfin pour de bon d'être un tabou ?
Sylvain Prudhomme
LienPéché, vice, autodestruction : les mots ne manquent pas pour qualifier la masturbation. "Tous les médecins s'accordent à reconnaître que la masturbation prédispose à un très grand nombre de maladies", poursuit l'article. Jusqu'au début du XXè siècle, cette idée de la masturbation destructrice règnera quasi sans partage aussi bien en France qu'en Allemagne, en Angleterre, aux Etats-Unis ou en Suède. C'est cette "grande peur", dont tout le XIXè siècle semble avoir été profondément imprégné, que les deux auteurs se sont attachés à décrire dans le présent ouvrage.
Les exemples cités ne manquent pas, témoignant de l'ampleur du phénomène: intellectuels, comme Proudhon, Sainte-Beuve, les frères Goncourt, Littré et même Kant, médecins, comme Raspail, hommes d'Eglise, comme Mgr Dupanloup ou Mgr Bouvier, directeurs de pensionnat, tous poursuivent assidûment ce qu'ils nomment le "fléau de l'onanisme". Les remèdes proposés par les spécialistes font frémir : surveillance permanente, camisoles de force, pieds et bras liés pendant le sommeil, régimes alimentaires adaptés, dissuasion par la fatigue et l'exercice physique quotidien, et même, chez les malades jugés "irrécupérables", interventions chirurgicales …
Peur ancestrale, pourrait-on penser, angoisse remontant à l'aube de l'humanité : il n'en est rien. La grande conclusion à laquelle aboutissent Jean Stengers et Anne Van Neck, c'est que la peur anti-masturbatoire, loin d'appartenir à l'histoire de l'humanité tout entière, est un phénomène d'origine relativement récente. Nulle manifestation d'une peur semblable, en effet, avant le XVIIIè siècle .En témoignent un sonnet de Malherbe décrivant on ne peut plus librement l'expérience de la masturbation, mais aussi des textes du médecin Galien qui mettent en garde contre les dangers de la rétention du sperme. C'est donc au XVIIè siècle, et pas avant, qu'il faut chercher l'élément déclencheur de cette "grande peur".
Cet élément ne serait autre qu'une brochure intitulée Onania, publiée en 1723, à des fins commerciales avant tout, par un charlatan anonyme de Londres. L'auteur, afin de favoriser la vente de ses remèdes contre le péché d'Onan, y fait un tableau très cru des souffrances endurées par de jeunes masturbateurs qu'il a eu à soigner. Pour la première fois, la masturbation se voit attribuer des effets destructeurs : vertiges, mélancolie, stupidité, impuissance, châtiment divin, mort, la liste des maux auxquels s'expose le masturbateur est infinie. Le succès rencontré par la brochure est immense, et c'est elle qui, au fil de ses innombrables rééditions, va imposer dans toute l'Europe la terreur de la masturbation. Mieux : elle reçoit quelques années plus tard la caution scientifique d'un médecin renommé de l'époque, Tissot, qui, dans son traité De l'onanisme publié en 1757 rejoint les conclusions inquiétantes d'Onania.
La grande peur de la masturbation est née. Elle va se propager durant tout le XIXè siècle, accumulant les ravages chez des générations entières d'adolescents dévorés par la culpabilité. Il faudra, à l'aube du XXè siècle, le bon sens et l'indépendance d'esprit de quelques hommes éclairés comme sir James Paget en Angleterre, Jules Christian en France et Wilhelm Stekel en Allemagne, pour voir reculer ces préjugés désormais profondément enracinés dans les esprits. Enfin, les premières enquêtes statistiques menées aux Etats-Unis, notamment par Kinsey en 1948, vont définitivement inscrire la masturbation dans la banalité et, du coup, dans la normalité.
Est-ce à dire pour autant que la masturbation ait cessé aujourd'hui d'être un tabou ? Rien n'est moins sûr. La "grande peur" a laissé des traces dans les esprits, et la masturbation continue de déranger : elle n'a toujours pas rejoint le cercle des plaisirs sexuels normaux, reconnus comme tels. La grande originalité de la thèse de Stengers et Van Neck tient, on le voit, à ce paradoxe : il n'y aurait, à l'origine du grand phénomène social que fut la peur anti-masturbatoire, que le cri d'alarme lancé par un obscur charlatan londonien. Avant ce cri, rien : "une indifférence, ou une semi-indifférence". Puissante illustration de la force des idées et de ce que peut être, dans des phénomènes réputés collectifs, le rôle de l'individu, dit Stengers. L'idée est séduisante.
Qu'il soit permis, cependant, de soulever quelques problèmes que l'essai n'aborde pas : en particulier, comment expliquer, si tout est effectivement parti de la brochure Onania, que l'ensemble de la société ait été aussi réceptif aux imprécations anti-masturbatoires d'un simple charlatan ? L'ampleur du phénomène ainsi que sa vitesse de propagation ne prouvent-ils pas qu'une angoisse était déjà présente au moins à l'état latent, prête à se révéler ? Stengers lui-même ne cesse de déplorer la rareté des sources, qui rend presque impossible une mesure exacte du phénomène : de fait, l'ouvrage, bien qu'extrêmement documenté -certaines anecdotes relatives à la médecine de l'époque ne manquent pas de pittoresque- bâtit toute sa démonstration sur des hypothèses échafaudées à partir de textes épars, dont il est impossible de savoir s'il sont réellement représentatifs des idées dominantes de l'époque.
Dès lors, la vraie question porte peut-être sur les raisons du triomphe de cette peur anti-masturbatoire : pourquoi un triomphe si rapide? Pourquoi au XIXè siècle et pas avant ? Faut-il attribuer ce succès à un contexte social et moral particulier, ou à un inconscient collectif bien plus ancien ? A l'évidence, cet essai de Stengers et Van Neck -l'un des rares consacrés à un sujet presque vierge encore de recherches- laisse en suspens bien des interrogations, peut-être tout simplement parce que celles-ci relèvent d'autres domaines que l'histoire. En cela, il appelle d'autres ouvrages, d'autres investigations, aussi bien dans le champ de la sociologie ou de l'ethnologie que dans celui de la psychanalyse. Une étude du statut de la masturbation dans les sociétés non occidentales, notamment, permettrait peut-être de déterminer si la peur de la masturbation est oui ou non un phénomène commun à toutes les organisations humaines. Le cas échéant, c'est sans doute à la psychanalyse que reviendrait la tâche de mettre en évidence les ressorts inconscients d'une telle peur. Avec, à l'horizon, cet enjeu : peut-on espérer que la masturbation cesse enfin pour de bon d'être un tabou ?
Sylvain Prudhomme
Re: Religions et Sexualité
Non, il s'agit de ne pas se tromper de poisson.c'est une technique pour noyer le poisson
Faire tout un débat pour parler de la sexualité des religions sans s'intéresser à ce que les religions en disent, c'est absurde.
Certains débats sont clos, oui. Quand un énoncé est faux, il est faux, il n'y a pas de débat à avoir.c'est une forme d'intégrisme. pour certains le débat est clos avant même d'avoir commencé.
"Le christianisme, c'est le NT et non l'AT.", c'est aussi stupide que de dire que "le handball, ça se joue avec les pieds et il n'y a pas de gardien". Tu ne vas pas qualifier les handballeurs d'intégristes si tu te fais rembarrer. Il te reste juste à te renseigner un peu mieux.
Que la sauce ne vous plaise pas, c'est votre problème. Mais n'appelez pas bolognaise, une sauce sans tomates.ils mélangent tout à leur sauce fétide et nous servent un résultat improbable et indigeste.
Avec des propositions de départ comme ça, c'est sûr que ca va voler haut.j'ose espérer qu'ils n'illusionnent qu'eux même.mais continuons le débat il était intéressant
Non plus, non. Aucun chrétien ne parle de vision dépassée pour l'ancien testament.C'est pour ça qu'ils l'appellent l'ancien testament,c'est l'ancienne vision dépassé.
Pourquoi affirmez-vous sans cesse des choses fausses, au nom des autres ? C'est quand même pas bien compliqué de se renseigner. Au pire si vous ne savez pas, ne parlez pas au nom des chrétiens.
FramFrasson- Affranchi des Paradoxes
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Re: Religions et Sexualité
RIEN, RIEN N'EST INTERDIT PAR DIEU.
Si ca existe c'est que DIEU l'a bien voulu, SINON CA N'EXISTERAIT TOUT SIMPLEMENT PAS.
Si DIEU est bien l'unique créateur de tout ce qui existe alors rien n'est interdit puisque ca existe et que DIEU en est l'auteur.
Si ca existe c'est que DIEU l'a bien voulu, SINON CA N'EXISTERAIT TOUT SIMPLEMENT PAS.
Si DIEU est bien l'unique créateur de tout ce qui existe alors rien n'est interdit puisque ca existe et que DIEU en est l'auteur.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Religions et Sexualité
SEPTOUR a écrit:RIEN, RIEN N'EST INTERDIT PAR DIEU.
Si ca existe c'est que DIEU l'a bien voulu, SINON CA N'EXISTERAIT TOUT SIMPLEMENT PAS.
Si DIEU est bien l'unique créateur de tout ce qui existe alors rien n'est interdit puisque ca existe et que DIEU en est l'auteur.
C'est une citation de baltar dans battlestar gallactica
J'ai bon ? :ouba:
Re: Religions et Sexualité
SEPTOUR a écrit:RIEN, RIEN N'EST INTERDIT PAR DIEU.
Si ca existe c'est que DIEU l'a bien voulu, SINON CA N'EXISTERAIT TOUT SIMPLEMENT PAS.
Si DIEU est bien l'unique créateur de tout ce qui existe alors rien n'est interdit puisque ca existe et que DIEU en est l'auteur.
Invité- Invité
Re: Religions et Sexualité
Ceci n'a aucun rapport avec la doctrine des Evangiles.Calice a écrit:Le Grand Absent a écrit:C'est vous qui n'avez rien compris aux Evangiles ; où Jésus y guérit-il une femme de sa stérilité ?Calice a écrit:Rien de plus faux , justement la sexualité est un tremplin pour accéder au Royaume , vous n'avez rien compris aux Evangiles. Seulement bien sur la sexualité dans le mariage corps et âme d'ou l'exhortation des églises qui prêchent la fidélité.La sexualité est un moyen pour se réaliser .Le Grand Absent a écrit:Le chrétien est censé vouloir accéder au royaume des cieux.
Donc il ne doit pas baiser.
Jésus peut faire bien des miracles mais ce n'est pas le propos ici .Le propos est que la sexualité est un moyen d'accès à la spiritualité quand l'énergie sexuelle est canalisée à bon escient .Le mariage du féminin et du masculin en nous pour aboutir à l'unité , la complétude et c'est le but de notre passage sur terre.
Si l'énergie est utilisée à des basses oeuvres , dans une sexualité perverse l'unité ne se fait pas et c'est pour celà que les religions dont le rôle est de guider considèrent des pratiques sexuelles harmonieuses (qui vont dans le sens de l'évolution de l'homme) et des pratiques dysharmonieuses qui vont dans le sens de la régression.
_Le Grand Absent- EXCLU DU FORUM
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Re: Religions et Sexualité
Raisonnement de fanatique. Le débat sert justement à prouver la valeur de l'énoncé.FramFrasson a écrit:Certains débats sont clos, oui. Quand un énoncé est faux, il est faux, il n'y a pas de débat à avoir.
Deuxième affirmation de fanatique. J'ai ouvert un débat à ce sujet."Le christianisme, c'est le NT et non l'AT.", c'est aussi stupide que de dire que "le handball, ça se joue avec les pieds et il n'y a pas de gardien". Tu ne vas pas qualifier les handballeurs d'intégristes si tu te fais rembarrer. Il te reste juste à te renseigner un peu mieux.
Viens y faire un tour si tu as du courage.
_Le Grand Absent- EXCLU DU FORUM
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Re: Religions et Sexualité
BB THE G
. LES MOTS SONT BIEN DE MOI, MAIS JE NE SUIS PAS LE SEUL A PENSER AINSI.
. LES MOTS SONT BIEN DE MOI, MAIS JE NE SUIS PAS LE SEUL A PENSER AINSI.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Religions et Sexualité
Si fanatique veut dire quelqu'un qui s'en tient aux faits et aux définitions, alors je suis fanatique.Raisonnement de fanatique.
Sinon, il faudrait me démontrer que le fait de ne pas perdre mon temps à discutailler chacune de vos énormités est du fanatisme.
Un débat est utile pour des énoncés discutables.Le débat sert justement à prouver la valeur de l'énoncé.
Pour les énoncés évidents, qui découlent d'une simple définition il n'y a pas lieu d'en faire un débat.
Je vous ai donné l'exemple du handball, pensez-vous réellement qu'il faille un débat pour déterminer si le hand se joue avec les pieds ?
Ce que vous avez dit sur le christianisme est complètement faux, toute personne qui connaît un petit peu la religion chrétienne le sait.
C'est aussi crétin que de prétendre que les athées reconnaissent le Coran comme venant de Dieu.
C'est d'un dictionnaire et d'un médecin dont vous avez besoin pas d'un débat.
Ce n'est pas une question de courage mais d'intérêt.Viens y faire un tour si tu as du courage.
Vous vous trompez sur des définitions très simples, vous refusez de vous documenter et de justifier vos aberrations par des sources.
Par ailleurs, je participe aux discussions si ça me plait et quand j'ai quelquechose à dire pas pour satisfaire les injonctions d'un ignorant.
FramFrasson- Affranchi des Paradoxes
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Re: Religions et Sexualité
FramFrasson a écrit:d'un ignorant.
_Le Grand Absent- EXCLU DU FORUM
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Re: Religions et Sexualité
SEPTOUR a écrit:BB THE G
. LES MOTS SONT BIEN DE MOI, MAIS JE NE SUIS PAS LE SEUL A PENSER AINSI.
Arrête d'écrire en tout en Grand, cela correspond a des gueulements, et c'est interdit
Re: Religions et Sexualité
desolé, mais je n'y vois pas tres bien.C'EST LA RAISON DE CETTE TAILLE D'ÉCRITURE.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Religions et Sexualité
FramFrasson a écrit:Si fanatique veut dire quelqu'un qui s'en tient aux faits et aux définitions, alors je suis fanatique.Raisonnement de fanatique.
Perdu :salut:
Sinon, il faudrait me démontrer que le fait de ne pas perdre mon temps à discutailler chacune de vos énormités est du fanatisme.
On a surtout remarqué la grande esquive, je t'ai cité des passages de tes romans favoris pourtant.Un débat est utile pour des énoncés discutables.Le débat sert justement à prouver la valeur de l'énoncé.
Si tu contestes même le sujet du thread, pourquoi restes tu là à en remplir les pages ?
Pour les énoncés évidents, qui découlent d'une simple définition il n'y a pas lieu d'en faire un débat.
Je vous ai donné l'exemple du handball, pensez-vous réellement qu'il faille un débat pour déterminer si le hand se joue avec les pieds ?
Je sais pas si tu te sers de tes pieds pour jouer au handbal, mais en tout cas ils ont l'air de t'être bien utile pour penser la religion.
Ce que vous avez dit sur le christianisme est complètement faux, toute personne qui connaît un petit peu la religion chrétienne le sait.
Boring... argument d'autorité.
C'est aussi crétin que de prétendre que les athées reconnaissent le Coran comme venant de Dieu.
C'est d'un dictionnaire et d'un médecin dont vous avez besoin pas d'un débat.
Puis-je a mon tour te suggérer une quelconque rigueur dans ton argumentation ?Ce n'est pas une question de courage mais d'intérêt.Viens y faire un tour si tu as du courage.
Par ailleurs, je participe aux discussions si ça me plait et quand j'ai quelquechose à dire
Tu veux dire .... non rien trop facile ...
Re: Religions et Sexualité
SEPTOUR a écrit:desolé, mais je n'y vois pas tres bien.C'EST LA RAISON DE CETTE TAILLE D'ÉCRITURE.
En même temps tu dois savoir ce que tu as écris...
Sinon sur mac tu peux augmenter la taille des caractères sur ton écran en appuyant sur "pomme"+ "+"
Et sur pc quelqu'un va nous le dire je pense
Re: Religions et Sexualité
Bonjour, Calice. Heureux de te retrouver ici. Sois la bienvenue ! Comment vas-tu ?
C'est l'enseigenement permanent de la Bible :
Genèse, 2:24- "C'est pourquoi l'homme quitte son père et sa mère et s'attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair.".
Bien, je suis parfaitement d'accord !
Bonne journée, chère Calice.
Calice a écrit:
...Le propos est que la sexualité est un moyen d'accès à la spiritualité quand l'énergie sexuelle est canalisée à bon escient .Le mariage du féminin et du masculin en nous pour aboutir à l'unité , la complétude et c'est le but de notre passage sur terre.
C'est l'enseigenement permanent de la Bible :
Genèse, 2:24- "C'est pourquoi l'homme quitte son père et sa mère et s'attache à sa femme, et ils deviennent une seule chair.".
Calice a écrit:Si l'énergie est utilisée à des basses oeuvres , dans une sexualité perverse l'unité ne se fait pas et c'est pour celà que les religions dont le rôle est de guider considèrent des pratiques sexuelles harmonieuses (qui vont dans le sens de l'évolution de l'homme) et des pratiques dysharmonieuses qui vont dans le sens de la régression.
Bien, je suis parfaitement d'accord !
Bonne journée, chère Calice.
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : catholique
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Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Religions et Sexualité
BlingBlingTheGod a écrit:
Et sur pc quelqu'un va nous le dire je pense
Pour les PC tu peux régler la taille en augmentant ou en réduisant le pourcentage (sachant que la base par défaut est 100)
vincent- Affranchi des Paradoxes
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Date d'inscription : 14/08/2008
Re: Religions et Sexualité
Il ne t'aura pas échappé l'ironie de ma définition qui sous entendait que le grand absent a parfois des problèmes de vocabulaire.Perdu
Non, tu inventes de toutes pièces certaines des "citations" et tu donnes ton interprétation stupide comme étant celle des croyants. Si tu veux un point de vue croyant, réfères toi à l'encyclique dont j'ai donné la source, ou au catéchisme de l'Eglise, ou a la Bible.On a surtout remarqué la grande esquive, je t'ai cité des passages de tes romans favoris pourtant.
Mais sans dire "Les croyants nous expliquent qu'un Dieu":.... avec une grosse ânerie derrière.
C'est de la malhonnêteté intellectuelle de parler pour les autres.
Je ne conteste pas le sujet du thread, je conteste les absurdités que certains énoncent, en prétendant donner le point de vue des croyants.Si tu contestes même le sujet du thread, pourquoi restes tu là à en remplir les pages ?
En plus de démontrer une capacité d'humour limitée, tu montres que tu ne réponds pas à la question posée. Traiterais-tu les handballeurs d'intégristes (ou de fanatiques même !) ?Je sais pas si tu te sers de tes pieds pour jouer au handbal, mais en tout cas ils ont l'air de t'être bien utile pour penser la religion.
Les mots ont une définition, il faut les connaître. Un débat, pour moi, ça doit voler plus haut que de la correction d'erreurs évidentes.
Votre mauvaise foi est absurde.Boring... argument d'autorité.
Ce n'est pas un argument d'autorité : chacun peut aller vérifier sur les textes des catholiques, orthodoxes et protestants s'ils rejettent l'AT ou non.
J'ai peut-être surestimé les lecteurs de ce forum en pensant qu'ils connaissaient déjà la réponse.
Maintenant puisque vous insistez tant pour faire un débat, apportez la preuve contraire.
Suggérez ce que vous voulez. Mais pour être crédible, il faudrait :Puis-je a mon tour te suggérer une quelconque rigueur dans ton argumentation ?
- savoir ce dont vous parlez et ne pas faire tout un foin pour contester des évidences.
- mettre en défaut mon argumentation. En quoi est-il moins débile de prétendre que les athées reconnaissent le Coran comme venant de Dieu ? C'est du même sous niveau d'intelligence.
FramFrasson- Affranchi des Paradoxes
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Re: Religions et Sexualité
mario a écrit:
Bien, je suis parfaitement d'accord !
Bonjour Mario , contente de te retrouver .
Pour Grand Absent qui déclare "Ceci n'a aucun rapport avec la doctrine des Evangiles."
bien au contraire , et non seulement dans les Evangiles mais dans tous les Livres sacrés , de l'hindouisme à l'islam , mais il ne faut pas être aveugle pour le comprendre.
L'accomplissement spirituel c'est l'union du féminin et du masculin en nous , et la sexualité bien comprise est un moyen d'y parvenir .C'est pour cela que les religions condamnent certaines pratiques qui vont dans le sens de la régression et de l'animalité.
Calice- Maître du Temps
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Re: Religions et Sexualité
Un recours à des théologiens me semble utile pour éclairer le débat.
La lumière des théologiens, c'est Dieu!
" Sexe et Erotisme selon les Théologiens.
1. On ne commet pas de péché si les époux réalisent l’acte sexuel sans éprouver de plaisir (Casuistique)
C'est suite à ce précepte que les femmes, afin de ne pas accomplir le péché de concupiscence duquel elles devaient ensuite se confesser (très probablement y a-t-il toujours des femmes comme celles-ci), récitaient durant le coït : " Je ne le fais pas pour mon plaisir mais pour donner un fils à Dieu ".
2. Si durant le coït un des deux époux désire ardemment l’autre, celui-ci commet un péché mortel. (St. Jérôme – Théologien).
3. Les attouchements qui précèdent le coït, qui doivent être considérés comme péché véniel s’ils se limitent à de simples caresses, sont d'une gravité mortelle s’ils sont effectués avec des baisers sur les organes génitaux et sur la bouche. Et surtout s’il y a introduction de la langue. (Debreyne – Théologien).
4. Le coït entre mari et femme ne doit pas être pratiqué plus de quatre fois par mois. (Sanchez – Théologien).
5. Ce n’est pas péché si à un coït fait durant le jour suit un autre durant la nuit suivante.
(Saint Alphonse de Liguori – Théologien).
6. Ce n’est pas péché si un des deux époux se retire du coït avant d’émettre la semence. (Ceci car l’on croyait que la femme aussi produisait du liquide séminal). (Sanchez – Théologien).
7. Étant donné que l’homme s’affaiblit avant, la femme commet péché si elle prétend à deux prestations consécutives. (Zacchie – Théologien).
8. Parmi les actes préliminaires du coït sont considérés véniels la pénétration du pénis dans la bouche et l’introduction d’un doigt dans l’anus de la femme. (Code ecclésiastique).
9. Commet un grave péché mortel l’homme qui mesure la longueur de son pénis. (Monsabré – Théologien).
10. La masturbation féminine, considérée vénielle si effectuée sur la partie externe du vagin, devient péché mortel si elle est pratiquée avec l’introduction des doigts ou de n’importe quel autre instrument. (Debreyne – Théologien).
11. Étant donné que se coucher sur le dos est contre nature, afin de ne pas commettre péché la femme doit effectuer le coït en montrant à l’homme sa partie postérieure. (Casuistique)
12. Quand une femme dit avoir été violée par le démon, afin de pouvoir en vérifier les effets, on doit effectuer une analyse approfondie sur elle en lui observant minutieusement le vagin et l’anus.
(Pour avoir une idée de comment étaient effectués ces contrôles par les pères inquisiteurs dans les couvents quand les religieuses étaient possédées par le démon, il suffit de citer ce qu’écrivirent certains témoins des faits: " Le vice des inquisiteurs se réalisait lors de cérémonies scandaleusement obscènes " (Margaret Murray). " La curiosité des juges était insatiable, ils voulaient tout connaître des rapports sexuels que les sœurs avaient eus avec le démon en entrant dans chaque petit détail " (Henry Lea). C'est une pratique qui se fait encore aujourd’hui dans les confessionnaux et Jacques Fines, chroniqueur de l’époque, dit dans ses écrits avoir vu les inquisiteurs mêmes violer les religieuses durant leurs vérifications. En pratique, les inquisiteurs remplaçaient les doigts par le membre.
13. Afin que le coït ne constitue pas péché, le sperme doit être laissé à l’intérieur du vagin après les lèvres de l’utérus (Ultra uteri labra). (Zacchie – Théologien).
14. Pour combattre la frigidité qui se démontrait cause du manque d’érection du pénis, si selon Sanchez il fallait faire célébrer trois messes, pour les autres théologiens c’était au contraire plus efficace d’avoir recours à l’exorcisme ou à la pratique de la communion.
15. Le coït anal ne constitue pas péché mortel s’il est conclu dans le vagin. (Sanchez – Théologien).
16. Les séminaristes et les jeunes prêtres commettent seulement péché véniel s’ils arrivent à l’éjaculation par le moyen de simples caresses. (Diagonales).
17. Contrairement à la pollution involontaire qui ne génère pas de faute, il faut considérer péché très grave la masturbation car celle-ci, selon à qui s’adresse la pensée, correspond à l’adultère, à l’inceste et au viol. La masturbation devient ensuite un horrible sacrilège si l’objet du désir est la Sainte Vierge Marie. (Sanchez – Théologien).
Il suffirait seulement de ceci, c’est-à-dire considérer le fait que les prêtres admettent que l’on puisse se masturber face à l’image de la Madone, pour comprendre à quels niveaux de perversion peut amener la morale chrétienne ! "
A noter que les sex-toys sont interdits ( ils ont dû être inventés par des mécréants ), de même que la position du missionnaire, un comble!
Monsabré! Celui-là, il avait un nom prédestiné, mais les desseins de Dieu sont impénétrables... Vous me suivez?
Quant à se masturber en pensant à la Vierge Marie, ça, il fallait y penser! Ils sont trapus, les théologiens!
La lumière des théologiens, c'est Dieu!
" Sexe et Erotisme selon les Théologiens.
1. On ne commet pas de péché si les époux réalisent l’acte sexuel sans éprouver de plaisir (Casuistique)
C'est suite à ce précepte que les femmes, afin de ne pas accomplir le péché de concupiscence duquel elles devaient ensuite se confesser (très probablement y a-t-il toujours des femmes comme celles-ci), récitaient durant le coït : " Je ne le fais pas pour mon plaisir mais pour donner un fils à Dieu ".
2. Si durant le coït un des deux époux désire ardemment l’autre, celui-ci commet un péché mortel. (St. Jérôme – Théologien).
3. Les attouchements qui précèdent le coït, qui doivent être considérés comme péché véniel s’ils se limitent à de simples caresses, sont d'une gravité mortelle s’ils sont effectués avec des baisers sur les organes génitaux et sur la bouche. Et surtout s’il y a introduction de la langue. (Debreyne – Théologien).
4. Le coït entre mari et femme ne doit pas être pratiqué plus de quatre fois par mois. (Sanchez – Théologien).
5. Ce n’est pas péché si à un coït fait durant le jour suit un autre durant la nuit suivante.
(Saint Alphonse de Liguori – Théologien).
6. Ce n’est pas péché si un des deux époux se retire du coït avant d’émettre la semence. (Ceci car l’on croyait que la femme aussi produisait du liquide séminal). (Sanchez – Théologien).
7. Étant donné que l’homme s’affaiblit avant, la femme commet péché si elle prétend à deux prestations consécutives. (Zacchie – Théologien).
8. Parmi les actes préliminaires du coït sont considérés véniels la pénétration du pénis dans la bouche et l’introduction d’un doigt dans l’anus de la femme. (Code ecclésiastique).
9. Commet un grave péché mortel l’homme qui mesure la longueur de son pénis. (Monsabré – Théologien).
10. La masturbation féminine, considérée vénielle si effectuée sur la partie externe du vagin, devient péché mortel si elle est pratiquée avec l’introduction des doigts ou de n’importe quel autre instrument. (Debreyne – Théologien).
11. Étant donné que se coucher sur le dos est contre nature, afin de ne pas commettre péché la femme doit effectuer le coït en montrant à l’homme sa partie postérieure. (Casuistique)
12. Quand une femme dit avoir été violée par le démon, afin de pouvoir en vérifier les effets, on doit effectuer une analyse approfondie sur elle en lui observant minutieusement le vagin et l’anus.
(Pour avoir une idée de comment étaient effectués ces contrôles par les pères inquisiteurs dans les couvents quand les religieuses étaient possédées par le démon, il suffit de citer ce qu’écrivirent certains témoins des faits: " Le vice des inquisiteurs se réalisait lors de cérémonies scandaleusement obscènes " (Margaret Murray). " La curiosité des juges était insatiable, ils voulaient tout connaître des rapports sexuels que les sœurs avaient eus avec le démon en entrant dans chaque petit détail " (Henry Lea). C'est une pratique qui se fait encore aujourd’hui dans les confessionnaux et Jacques Fines, chroniqueur de l’époque, dit dans ses écrits avoir vu les inquisiteurs mêmes violer les religieuses durant leurs vérifications. En pratique, les inquisiteurs remplaçaient les doigts par le membre.
13. Afin que le coït ne constitue pas péché, le sperme doit être laissé à l’intérieur du vagin après les lèvres de l’utérus (Ultra uteri labra). (Zacchie – Théologien).
14. Pour combattre la frigidité qui se démontrait cause du manque d’érection du pénis, si selon Sanchez il fallait faire célébrer trois messes, pour les autres théologiens c’était au contraire plus efficace d’avoir recours à l’exorcisme ou à la pratique de la communion.
15. Le coït anal ne constitue pas péché mortel s’il est conclu dans le vagin. (Sanchez – Théologien).
16. Les séminaristes et les jeunes prêtres commettent seulement péché véniel s’ils arrivent à l’éjaculation par le moyen de simples caresses. (Diagonales).
17. Contrairement à la pollution involontaire qui ne génère pas de faute, il faut considérer péché très grave la masturbation car celle-ci, selon à qui s’adresse la pensée, correspond à l’adultère, à l’inceste et au viol. La masturbation devient ensuite un horrible sacrilège si l’objet du désir est la Sainte Vierge Marie. (Sanchez – Théologien).
Il suffirait seulement de ceci, c’est-à-dire considérer le fait que les prêtres admettent que l’on puisse se masturber face à l’image de la Madone, pour comprendre à quels niveaux de perversion peut amener la morale chrétienne ! "
A noter que les sex-toys sont interdits ( ils ont dû être inventés par des mécréants ), de même que la position du missionnaire, un comble!
Monsabré! Celui-là, il avait un nom prédestiné, mais les desseins de Dieu sont impénétrables... Vous me suivez?
Quant à se masturber en pensant à la Vierge Marie, ça, il fallait y penser! Ils sont trapus, les théologiens!
bernard1933- Aka Tpat
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Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Religions et Sexualité
Bernard , il ne faut pas confondre Livres sacrés et comment les hommes les ont interprétés .Tout ce que vous citez là n'existe pas dans les Evangiles mais c'est une invention des hommes .
Calice- Maître du Temps
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Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : spirituelle
Humeur : Harmonieuse
Date d'inscription : 11/08/2008
Re: Religions et Sexualité
FramFrasson, je crains qu'il n'y ait eut un malentendu entre nous.
je suis d'accord avec toi au sujet de l'AT et du NT qui forment un tout pour le chrétien. l'un expliquant l'autre et vice-versa.
tu n'étais pas visé dans mon post.
cordialement.
je suis d'accord avec toi au sujet de l'AT et du NT qui forment un tout pour le chrétien. l'un expliquant l'autre et vice-versa.
tu n'étais pas visé dans mon post.
cordialement.
Invité- Invité
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