Tuer le temps
+8
Jipé
TheHitch
M'enfin
_nawel
stana
animou
Bean
aleph
12 participants
Page 2 sur 5
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Re: Tuer le temps
Je me demandais où tu t'en allais encore avec ton amour!
Pas mal le rapprochement avec le changement!
Manque juste la résistance au changement.
Pas mal le rapprochement avec le changement!
Manque juste la résistance au changement.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Tuer le temps
Ta première affirmation, je suis toujours "aux anges" !
Ta deuxième affirmation, merci M'enfin tu es un copain !
Ta troisième affirmation, tu veux un coup de main ? je réfléchis encore et je reviens demain si toutefois dans la nuit j'ai une illumination, on ne sait jamais.
Ta deuxième affirmation, merci M'enfin tu es un copain !
Ta troisième affirmation, tu veux un coup de main ? je réfléchis encore et je reviens demain si toutefois dans la nuit j'ai une illumination, on ne sait jamais.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Tuer le temps
Bravo, c'est la bonne réponse dans tous les cas, parce que pour vaincre la résistance au changement, il faut du hasard, donc il faut attendre qu'il se manifeste, ou encore prendre le risque de tirer la réponse au sort, encore faut-il avoir au moins deux réponses en lice!
Comme ça, tu vas pouvoir dormir sur tes deux oreilles....
...à condition qu'elles soient assez grandes, bien sûr!
Comme ça, tu vas pouvoir dormir sur tes deux oreilles....
...à condition qu'elles soient assez grandes, bien sûr!
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Tuer le temps
et que le temps lui laisse le temps de le faire,à moins qu'elle le force et le tue, comma ça elle aura tous le temps pour elle toute seule
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Re: Tuer le temps
J'ai fiat le premier test, pour voir ...
croyant : 1
agnostique : 8
athée : 11
chercheur : 7
Est-il nécessaire de commenter ?
croyant : 1
agnostique : 8
athée : 11
chercheur : 7
Est-il nécessaire de commenter ?
TheHitch- Maître du Temps
- Nombre de messages : 738
Localisation : IdF
Identité métaphysique : libre-penseur humaniste
Humeur : calme
Date d'inscription : 02/05/2016
Re: Tuer le temps
Encore un effort, on attend la suite
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Re: Tuer le temps
Nn ça vas, ce genre de test parle de lui-même
Celui-là non plus il ne faut surtout pas regarder les résultats avant d'avoir répondu aux questions:
ETES-VOUS NORMAL?
Vous êtes-vous jamais demandé si votre esprit est normal ou s'il est différents?
Le test:
Combien font:
4+2
5+1
3+3
Maintenant rèpètez le chiffre 6 aussi vite que vous pouvez pendant 15 secondes.
Maintenant pensez à un légume. Lequel se présente instinctivement à votre esprit?...
Vous avez pensé à une carrotte pas vrai?
Si ce n'est pas le cas, vous faites partie des 2% de la population dont l'esprit est assez différent pour penser à autre chose.
98% de la population répondrait "une carrotte" sans hésiter. Ca fous les boules non? Faites passé le message à vos amis et découvrez s'ils sont normaux ou pas.
Je n'ai absolument pas tricher, ce qui s'est imprimé spontanément dans ma tête c'est un poivron rouge lol 2%...
Celui-là non plus il ne faut surtout pas regarder les résultats avant d'avoir répondu aux questions:
ETES-VOUS NORMAL?
Vous êtes-vous jamais demandé si votre esprit est normal ou s'il est différents?
Le test:
Combien font:
4+2
5+1
3+3
Maintenant rèpètez le chiffre 6 aussi vite que vous pouvez pendant 15 secondes.
Maintenant pensez à un légume. Lequel se présente instinctivement à votre esprit?...
Vous avez pensé à une carrotte pas vrai?
Si ce n'est pas le cas, vous faites partie des 2% de la population dont l'esprit est assez différent pour penser à autre chose.
98% de la population répondrait "une carrotte" sans hésiter. Ca fous les boules non? Faites passé le message à vos amis et découvrez s'ils sont normaux ou pas.
Je n'ai absolument pas tricher, ce qui s'est imprimé spontanément dans ma tête c'est un poivron rouge lol 2%...
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Tuer le temps
C'est curieux à la question quel légume, je pensais six six son, saucisson ... étrange.
Bean- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6964
Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Tuer le temps
Lisez rapidement, à voix haute, la phrase suivante:
IL
VA
A LA
LA PLAGE
Maintenant relisez-là lentement. 9 fois sur 10, un "LA" est èludé.
Effectivement
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Tuer le temps
aleph a écrit:et que le temps lui laisse le temps de le faire,à moins qu'elle le force et le tue, comma ça elle aura tous le temps pour elle toute seule
En fait je n'ai pas le temps.
Il faut tout le temps que je le lui dise, mais lui me dit tout le temps, j'ai le temps alors que moi je ne l'ai pas.
Lui il l'a, il l'a je te dis.... moi non ....
bref il y a quelque chose que nous devons élucider lui et moi, j'ai beau le forcer, mais c'est la douceur qui lui plait, j'arrive à le comprendre toutefois, je t'ai écouté, il m'a répondu, tu me forces tu perds ton temps...... à moi on ne me force pas......
bref, je suis remontée ...... pas le temps...plus le temps, j'aimerais que nous nous mettions d'accord, que nous mettions nos pendules à l'heure, moi je les mets tout le temps, mais lui refuse de m'accorder ne serait ce qu'une minute de son temps....
Toute seule ! toute seule ! j'aimerais bien aleph !! mais je dois le partager mon temps, et je suis assez jalouse, alors peut être que je l'enfermerais de cette manière il sera pour moi toute seule, pour l'éternité....
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Tuer le temps
Voilà qui est bien dis nawell
Ma personnalité est rouge-parce-qu'il n'y avait pas de noir proposé
Ma personnalité est rouge-parce-qu'il n'y avait pas de noir proposé
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Tuer le temps
Pour ce qui est du dernier test, j'ai identifié ce que pour quoi, principalement:
Je n'ai aucun enthousiasme ni aucune connaissance: les mathématiques
Peu d'enthousiasme mais des connaissances: l'aide à domicile
Beaucoup d'enthousiasme mais peu de connaissance: l'informatique
Beaucoup d'enthousiasme et beaucoup de connaissances: l'ésotérisme.
Dans la dernière collonne l'une des réponses ètant aussi la littérature, j'ai identifié:
l'informatique
l'ésotérisme
la littérature.
Le lien, ce doit être que j'aime apprendre et transmettre toujours davantage dans le domaine de ma foi personnelle, par la littérature en écrivant moi-même comme en lisant les autres, et idem par internet interposé.
Passionnant!
Je n'ai aucun enthousiasme ni aucune connaissance: les mathématiques
Peu d'enthousiasme mais des connaissances: l'aide à domicile
Beaucoup d'enthousiasme mais peu de connaissance: l'informatique
Beaucoup d'enthousiasme et beaucoup de connaissances: l'ésotérisme.
Dans la dernière collonne l'une des réponses ètant aussi la littérature, j'ai identifié:
l'informatique
l'ésotérisme
la littérature.
Le lien, ce doit être que j'aime apprendre et transmettre toujours davantage dans le domaine de ma foi personnelle, par la littérature en écrivant moi-même comme en lisant les autres, et idem par internet interposé.
Passionnant!
Dernière édition par stana le Sam 14 Mai 2016 - 14:00, édité 1 fois
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Tuer le temps
Une éutde de l'ursitinveé de Cbmagrdie a mortné que l'on puet sans proèmlbe lire un ttxee dnot les lteters snot dans le désdrroe puor peu que la peièrmre et la dernrèie lrttee de caquhe mot rnetest à la bnone pclae. Ceci monrte que le ceraveu ne lit pas tuetos les lretets mias pnerd le mot cmmoe un tout. La pevure : aoeuvz que vuos n'avez pas eu de mal à lire ce ttxee.
TheHitch- Maître du Temps
- Nombre de messages : 738
Localisation : IdF
Identité métaphysique : libre-penseur humaniste
Humeur : calme
Date d'inscription : 02/05/2016
Re: Tuer le temps
Absolument
stana- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7810
Localisation : Epinal, Vosges
Identité métaphysique : sataniste pratiquante
Humeur : mystique, aux portes de la perception
Date d'inscription : 25/12/2010
Re: Tuer le temps
Je driias mmêe puls, tuot a fiat!
Qoui que puor les mtos tèrs lnog ou icnonuns cmome "airsottéilcein" c'est un peu puls cmopiluqé.
Cbmagrdie est illisible à qui ne connait pas Cambridge
Qoui que puor les mtos tèrs lnog ou icnonuns cmome "airsottéilcein" c'est un peu puls cmopiluqé.
Cbmagrdie est illisible à qui ne connait pas Cambridge
Bean- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6964
Localisation : Bretagne
Identité métaphysique : Farceur
Humeur : Joyeux
Date d'inscription : 16/04/2012
Re: Tuer le temps
Faute de pouvoir tuer l'ancien temps, notre cerveau s'en sert pour anticiper le futur temps, et il y en a pour croire que ce nouveau-né se perçoit au présent!
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Tuer le temps
présent évanescent mort une fois né, même pas eu le temps de le nommer, le temps que je me décide il n'est plus là. comment veux-tu que j'use d'une chose qui fuit à mesure qu'on la rattrape ?
Dernière édition par aleph le Sam 14 Mai 2016 - 17:56, édité 1 fois
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Re: Tuer le temps
nawel a écrit:
Toute seule ! toute seule ! j'aimerais bien aleph !! mais je dois le partager mon temps, et je suis assez jalouse, alors peut être que je l'enfermerais de cette manière il sera pour moi toute seule, pour l'éternité....
C'est une belle proposition que tu me fais là Nawel. : : Mais je pense que le temps est encore plus jaloux du bonheur des hommes, il ne le supporte. le temps est le plus implacable des fossoyeur
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Re: Tuer le temps
Tout est relatif.
Un avion qui chute, panne de moteur, les passagers en 8 minutes vivront 1h30 de cauchemar et une après midi entre amis, trois heures en bonne compagnie, quand l'un d'eux regarde la montre et dit à voix haute, "déjà, j'ai l'impression que je viens d'arriver et je dois déjà partir"....
Est ce que le mot magique dans notre existence ne serait pas le mot "relatif".
Surtout en matière de temps, une rage de dent en pleine nuit, une nuit interminable, un matin que l'on attend si ardemment. Une soirée arrosée, un coucher tardif, et dès que l'on sombre, voilà le réveil qui sonne alors que l'on vient de se coucher, pourtant 5 heures sont passées....
J'ai le souvenir d'un rêve à ce propos, une anectode
Plongée dans un sommeil paradoxal, je rêve, je suis en pleine guerre, bombardements, tirs de toutes parts, je cours dans les tranchées, oui 14-18 peut être, un rêve mouvementée, une intrigue..... et voilà que je me réveille, un bruit assourdissant, mon réveil fait des bonds sur le sol, sa sonnette le met en branle, il a chu les vibrations l'ont fait choir, et je fais le lien..... la mitraillette dans mon rêve c'est mon réveil, toute une nuit en somme de rêve n'a duré que l'espace d'un moment, un moment court car le bruit du réveil m'a sortie du sommeil, instantanément je dirais .....
Décidemment le temps est coquin.
Un avion qui chute, panne de moteur, les passagers en 8 minutes vivront 1h30 de cauchemar et une après midi entre amis, trois heures en bonne compagnie, quand l'un d'eux regarde la montre et dit à voix haute, "déjà, j'ai l'impression que je viens d'arriver et je dois déjà partir"....
Est ce que le mot magique dans notre existence ne serait pas le mot "relatif".
Surtout en matière de temps, une rage de dent en pleine nuit, une nuit interminable, un matin que l'on attend si ardemment. Une soirée arrosée, un coucher tardif, et dès que l'on sombre, voilà le réveil qui sonne alors que l'on vient de se coucher, pourtant 5 heures sont passées....
J'ai le souvenir d'un rêve à ce propos, une anectode
Plongée dans un sommeil paradoxal, je rêve, je suis en pleine guerre, bombardements, tirs de toutes parts, je cours dans les tranchées, oui 14-18 peut être, un rêve mouvementée, une intrigue..... et voilà que je me réveille, un bruit assourdissant, mon réveil fait des bonds sur le sol, sa sonnette le met en branle, il a chu les vibrations l'ont fait choir, et je fais le lien..... la mitraillette dans mon rêve c'est mon réveil, toute une nuit en somme de rêve n'a duré que l'espace d'un moment, un moment court car le bruit du réveil m'a sortie du sommeil, instantanément je dirais .....
Décidemment le temps est coquin.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Tuer le temps
Le rêve, le temps, une époque....
Un rêve, je suis une bonne sœur..... (normal diront x y z .... je ne les cite pas la liste est longue) Je suis missionnée et vole dans les coursives de ce que j'appellerais un château, un couvent (normal rediront x y z.... ils se reconnaitront).
Terminée, ma mission terminée, je vais prendre du bon temps, je vais promener et je descends dans le village.
Les rues sont sympa, j'ai toujours ma soutane, et j'aperçois des ados.
Je les croise et les interpelle, une question me démange.
Nous sommes quel jour je demande, quelle année ? Un d'eux me dit nous sommes le 22 mai 1665.
Tiens tiens, je pense, je pense il y a un souci ou non en fait, les ados me disent que nous sommes en 1665 et ils sont en jeans et baskets !!
Je pense, normal je rêve, donc dans un rêve il peut y avoir des incohérences.
Je continue je croise 3 hommes assez forts et armés de grands couteaux machettes. Je cherche l'épicerie, ils ne veulent pas que je m'y rende et me somme de ne pas y aller en me menaçant, l'un d'eux abat un grand couteau sur moi, me touche au doigt, je rapproche mon doigt de mes yeux pour m'assurer que tout va bien, car je pense, je pense je rêve, il ne faut pas t'inquiéter, tu as reçu un coup de gros couteau sur ton doigt mais tu ne risques rien, vérifies toutefois au cas où et....... voilà que le sang coule..... mon doigt je le remue, et je sens non pas une douleur mais mon os qui est disloqué........ mince....... le gars va pour m'asséner un autre coup, et là je dis non !!!!! stop, réveilles toi, car là je n'adhère pas.......
Qu'est ce qu'il se passe pendant que nous rêvons ? Ce temps là, comment le définir !!! et comment être actrice et non spectatrice dans un rêve, je ne me voyais pas évoluer, j'évoluais....
A quoi passons nous notre temps pendant que nous rêvons, celui ci m'a laissé perplexe sachant que j'ai vécu cette histoire là.
Un rêve, je suis une bonne sœur..... (normal diront x y z .... je ne les cite pas la liste est longue) Je suis missionnée et vole dans les coursives de ce que j'appellerais un château, un couvent (normal rediront x y z.... ils se reconnaitront).
Terminée, ma mission terminée, je vais prendre du bon temps, je vais promener et je descends dans le village.
Les rues sont sympa, j'ai toujours ma soutane, et j'aperçois des ados.
Je les croise et les interpelle, une question me démange.
Nous sommes quel jour je demande, quelle année ? Un d'eux me dit nous sommes le 22 mai 1665.
Tiens tiens, je pense, je pense il y a un souci ou non en fait, les ados me disent que nous sommes en 1665 et ils sont en jeans et baskets !!
Je pense, normal je rêve, donc dans un rêve il peut y avoir des incohérences.
Je continue je croise 3 hommes assez forts et armés de grands couteaux machettes. Je cherche l'épicerie, ils ne veulent pas que je m'y rende et me somme de ne pas y aller en me menaçant, l'un d'eux abat un grand couteau sur moi, me touche au doigt, je rapproche mon doigt de mes yeux pour m'assurer que tout va bien, car je pense, je pense je rêve, il ne faut pas t'inquiéter, tu as reçu un coup de gros couteau sur ton doigt mais tu ne risques rien, vérifies toutefois au cas où et....... voilà que le sang coule..... mon doigt je le remue, et je sens non pas une douleur mais mon os qui est disloqué........ mince....... le gars va pour m'asséner un autre coup, et là je dis non !!!!! stop, réveilles toi, car là je n'adhère pas.......
Qu'est ce qu'il se passe pendant que nous rêvons ? Ce temps là, comment le définir !!! et comment être actrice et non spectatrice dans un rêve, je ne me voyais pas évoluer, j'évoluais....
A quoi passons nous notre temps pendant que nous rêvons, celui ci m'a laissé perplexe sachant que j'ai vécu cette histoire là.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Tuer le temps
Finalement le temps qui compte est celui qui dure juste un instant, fugace, il s'en va à peine arrivé nous laissant le goût en bouche de l'ineffable inachevé.
Dernière édition par aleph le Sam 14 Mai 2016 - 21:25, édité 1 fois
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Re: Tuer le temps
A ce propos, au hasard du net, je tombe sur Jankélévitch et copie colle ce qui est dit sur lui....
Procédant par variations autour de quelques thèmes dominants - le temps et la mort, la pureté et l'équivoque, la musique et l'ineffable - la philosophie de Jankélévitch s'efforce de retraduire, dans l'ordre du discours, la précarité de l'existence. C'est tout d'abord l'essence très fragile de la moralité qui retient l'attention du philosophe : la fugace intention morale n'est qu'un « Je-ne-sais-quoi », constamment menacé de déchéance, c'est-à-dire de chute dans l'impureté. Seul l'amour en effet, inestimable dans sa générosité infinie, confère une valeur à tout ce qui est. Apaisante et voluptueuse, la musique témoigne elle aussi de ce « presque-rien » - présence éloquente, innocence purifiante - qui est pourtant quelque chose d'essentiel. Expression de la « plénitude exaltante de l'être » en même temps qu'évocation de l'« irrévocable », la musique constitue l'image exemplaire de la temporalité, c'est-à-dire de l'humaine condition. Car la vie, « parenthèse de rêverie dans la rhapsodie universelle », n'est peut-être qu'une « mélodie éphémère » découpée dans l'infini de la mort. Ce qui ne renvoie pourtant pas à son insignifiance ou à sa vanité : car le fait d'avoir vécu cette vie éphémère reste un fait éternel que ni la mort ni le désespoir ne peuvent annihiler.
L'inéluctable où le temps est maitre.
Toujours sur Wikipédia il est dit :
La métaphysique du « je ne sais quoi » et du « presque rien »
Vladimir Jankélévitch est, à la suite de Bergson, le philosophe du devenir, qu'il veut surprendre « sur le fait », « en train de » devenir, en flagrant délit, en équilibre sur la fine pointe de l'instant7! Qu'il parle de la mort, de la liberté, de l'intention, de l'intuition, de l'acte, et finalement de l'amour, il tente d'encercler l'instant au plus près et des deux côtés (avant, dans le « pas encore », et après, dans le « jamais plus », qui ne sont pas symétriques), tout en rappelant sans cesse que c'est impossible.
Il a d'ailleurs été désigné par Bergson, avec Jean Guitton, comme l'héritier de sa pensée
Dans la continuité de l'intervalle qui conduit à cet instant, tout est possible et l'être « s'arrondit » sur ce capital en espérance, sur cette potentialité : il est bien question de liberté, d'intuition, de création, d'amour, mais de loin et à la troisième personne (surtout dans le cas de la mort). Après, dans l'autosatisfaction du fait accompli, l'être se reforme autour de son égoïté, de ses souvenirs teintés de complaisance et de nostalgie : de mort, de liberté, d'amour, il n'est déjà plus question. Mais il reste de cet instant brèvissime, de ce « presque rien » où l'être s'est amenuisé jusqu'à n'être presque plus rien pour aimer, un « je ne sais quoi » qui traine dans l'atmosphère, comme un charme, et rien ne sera plus comme avant
Il est le chantre de la transcendance quotidienne, le philosophe mystique, puisqu'il dit emprunter cette expression « je-ne-sais-quoi » à saint Jean de la Croix lui-même qu'il cite d'ailleurs abondamment sans en partager la foi, ce saut dans l'inconnu. Le seul saut qu'il a expérimenté est celui de l'instant quel qu'il soit, celui de l'amour ou, par exemple, celui de la tentation : il décrit, comme seul peut le faire quiconque l'a expérimenté, le pécheur encore en équilibre, entraîné vers l'avant et retenu vers l'arrière, « en train » de basculer.
Sa conception de la liberté n'est pas statique, figée dans un état de conscience mais dynamique et progression constante vers un au-delà de conscience toujours à conquérir: « la liberté c'est de rester fidèle à la prise de conscience elle-même, laquelle n'est pas un exposant, ni un cryptogramme, mais un dynamisme et une mobilité »10.
La morale de l'intention bienfaisante
« Ce qui est vrai du mystère de la mort... n'est pas moins vrai du mystère de l'amour... L'expérience morale enfin suppose à la fois la notion universelle et rationnelle d'une loi inhérente à la dignité de l'humain en général et, au vif du for intime, une expérience privilégiée, urgente, hyperbolique qui nous pousse toujours au-delà de notre devoir... Aussi la morale, dès qu'elle cesse d'être une pure déduction cognitive et synonymique des devoirs, ne se distingue-t-elle plus de la métaphysique. »
Procédant par variations autour de quelques thèmes dominants - le temps et la mort, la pureté et l'équivoque, la musique et l'ineffable - la philosophie de Jankélévitch s'efforce de retraduire, dans l'ordre du discours, la précarité de l'existence. C'est tout d'abord l'essence très fragile de la moralité qui retient l'attention du philosophe : la fugace intention morale n'est qu'un « Je-ne-sais-quoi », constamment menacé de déchéance, c'est-à-dire de chute dans l'impureté. Seul l'amour en effet, inestimable dans sa générosité infinie, confère une valeur à tout ce qui est. Apaisante et voluptueuse, la musique témoigne elle aussi de ce « presque-rien » - présence éloquente, innocence purifiante - qui est pourtant quelque chose d'essentiel. Expression de la « plénitude exaltante de l'être » en même temps qu'évocation de l'« irrévocable », la musique constitue l'image exemplaire de la temporalité, c'est-à-dire de l'humaine condition. Car la vie, « parenthèse de rêverie dans la rhapsodie universelle », n'est peut-être qu'une « mélodie éphémère » découpée dans l'infini de la mort. Ce qui ne renvoie pourtant pas à son insignifiance ou à sa vanité : car le fait d'avoir vécu cette vie éphémère reste un fait éternel que ni la mort ni le désespoir ne peuvent annihiler.
L'inéluctable où le temps est maitre.
Toujours sur Wikipédia il est dit :
La métaphysique du « je ne sais quoi » et du « presque rien »
Vladimir Jankélévitch est, à la suite de Bergson, le philosophe du devenir, qu'il veut surprendre « sur le fait », « en train de » devenir, en flagrant délit, en équilibre sur la fine pointe de l'instant7! Qu'il parle de la mort, de la liberté, de l'intention, de l'intuition, de l'acte, et finalement de l'amour, il tente d'encercler l'instant au plus près et des deux côtés (avant, dans le « pas encore », et après, dans le « jamais plus », qui ne sont pas symétriques), tout en rappelant sans cesse que c'est impossible.
Il a d'ailleurs été désigné par Bergson, avec Jean Guitton, comme l'héritier de sa pensée
Dans la continuité de l'intervalle qui conduit à cet instant, tout est possible et l'être « s'arrondit » sur ce capital en espérance, sur cette potentialité : il est bien question de liberté, d'intuition, de création, d'amour, mais de loin et à la troisième personne (surtout dans le cas de la mort). Après, dans l'autosatisfaction du fait accompli, l'être se reforme autour de son égoïté, de ses souvenirs teintés de complaisance et de nostalgie : de mort, de liberté, d'amour, il n'est déjà plus question. Mais il reste de cet instant brèvissime, de ce « presque rien » où l'être s'est amenuisé jusqu'à n'être presque plus rien pour aimer, un « je ne sais quoi » qui traine dans l'atmosphère, comme un charme, et rien ne sera plus comme avant
Il est le chantre de la transcendance quotidienne, le philosophe mystique, puisqu'il dit emprunter cette expression « je-ne-sais-quoi » à saint Jean de la Croix lui-même qu'il cite d'ailleurs abondamment sans en partager la foi, ce saut dans l'inconnu. Le seul saut qu'il a expérimenté est celui de l'instant quel qu'il soit, celui de l'amour ou, par exemple, celui de la tentation : il décrit, comme seul peut le faire quiconque l'a expérimenté, le pécheur encore en équilibre, entraîné vers l'avant et retenu vers l'arrière, « en train » de basculer.
Sa conception de la liberté n'est pas statique, figée dans un état de conscience mais dynamique et progression constante vers un au-delà de conscience toujours à conquérir: « la liberté c'est de rester fidèle à la prise de conscience elle-même, laquelle n'est pas un exposant, ni un cryptogramme, mais un dynamisme et une mobilité »10.
La morale de l'intention bienfaisante
« Ce qui est vrai du mystère de la mort... n'est pas moins vrai du mystère de l'amour... L'expérience morale enfin suppose à la fois la notion universelle et rationnelle d'une loi inhérente à la dignité de l'humain en général et, au vif du for intime, une expérience privilégiée, urgente, hyperbolique qui nous pousse toujours au-delà de notre devoir... Aussi la morale, dès qu'elle cesse d'être une pure déduction cognitive et synonymique des devoirs, ne se distingue-t-elle plus de la métaphysique. »
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Tuer le temps
la mort et l'amour n'ont rien à voir l'une avec l'autre
et
beaucoup à voir
si
le temps de l'amour et de la mort se rencontrent
ainsi
le mort ne peut être une expérience désirable
que
si
l'amour permet de l'approcher aussi souvent qu'on le désire !
et
beaucoup à voir
si
le temps de l'amour et de la mort se rencontrent
ainsi
le mort ne peut être une expérience désirable
que
si
l'amour permet de l'approcher aussi souvent qu'on le désire !
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Re: Tuer le temps
Comme le dit Jankélévitch, ou plutôt le parallèle est fait entre l'amour et la mort car il dit que tout comme la mort l'amour encercle l'instant.
L'amour car il a ce côté éphémère et sa caractéristique est qu'il ne peut exister que s'il l'est.
La mort encercle l'instant car l'inéluctable est là.
Il y a dans les deux notions, l'intensité du moment, le premier ne peut se révéler que s'il a des contours, le deuxième, même en l'absence de doctrine religieuse est intense que parce qu'il entoure vigoureusement celui qu'il vise.
Tu penses que c'est comme cela qu'il faut le comprendre, tout du moins chez Jankélévitch ?
Se rencontrent ils ? toujours sur le même principe que leur préciosité ne vaut que si l'on donne à la rareté le goût suprême sachant qu'en ce qui concerne l'amour, aucun doute, mais la mort, est elle autant précieuse par la mystique qui donne l'excitation par l'inéluctable mettant un terme à une vie, par l'encerclement qui lui confère un rapprochement familier, une amie, un amour que l'on ne peut pas mettre de côté.
L'amour pas de doute, la mort, elle est une amie, nous l'aimons, elle est amour car nous ne n'avons pas le choix, il faut faire avec elle, et l'aimer, car à l'attendre, nous apprenons à le faire. L'amour est l'instant T, la mort est l'instant I comme inéluctable ou infini.
L'amour car il a ce côté éphémère et sa caractéristique est qu'il ne peut exister que s'il l'est.
La mort encercle l'instant car l'inéluctable est là.
Il y a dans les deux notions, l'intensité du moment, le premier ne peut se révéler que s'il a des contours, le deuxième, même en l'absence de doctrine religieuse est intense que parce qu'il entoure vigoureusement celui qu'il vise.
Tu penses que c'est comme cela qu'il faut le comprendre, tout du moins chez Jankélévitch ?
Se rencontrent ils ? toujours sur le même principe que leur préciosité ne vaut que si l'on donne à la rareté le goût suprême sachant qu'en ce qui concerne l'amour, aucun doute, mais la mort, est elle autant précieuse par la mystique qui donne l'excitation par l'inéluctable mettant un terme à une vie, par l'encerclement qui lui confère un rapprochement familier, une amie, un amour que l'on ne peut pas mettre de côté.
L'amour pas de doute, la mort, elle est une amie, nous l'aimons, elle est amour car nous ne n'avons pas le choix, il faut faire avec elle, et l'aimer, car à l'attendre, nous apprenons à le faire. L'amour est l'instant T, la mort est l'instant I comme inéluctable ou infini.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4501
Localisation : Sud
Identité métaphysique : Catholique
Humeur : Excellente
Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Tuer le temps
Non, je ne connais pas Jankélévitch, et je n’ai jamais rien lu de lui.
Mais je partage les idées de proximité entre l’amour et la mort, ce que tu appelles les contours et l’encerclement et je défends aussi l’idée antagoniste d’éloignement à l’infini entre l’amour et la mort.
paradoxalement, loin de l’être aimé, l’amour renie la mort et la rejette.
et c’est l’un près de l’autre que l’amour les pousse aux portes de la mort dans leur désirs de fusion
Mais je partage les idées de proximité entre l’amour et la mort, ce que tu appelles les contours et l’encerclement et je défends aussi l’idée antagoniste d’éloignement à l’infini entre l’amour et la mort.
paradoxalement, loin de l’être aimé, l’amour renie la mort et la rejette.
et c’est l’un près de l’autre que l’amour les pousse aux portes de la mort dans leur désirs de fusion
aleph- Maître du Temps
- Nombre de messages : 628
Localisation : Grand Est
Identité métaphysique : Alchimiste
Humeur : Poétique
Date d'inscription : 05/03/2016
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Sujets similaires
» la bible dit de tuer les homosexuels
» Omar m'a tuer...(le film)
» Quand peut-on tuer......
» Fallait-il tuer Ben Laden?
» Est-il vrai que l'on veut nous tuer?
» Omar m'a tuer...(le film)
» Quand peut-on tuer......
» Fallait-il tuer Ben Laden?
» Est-il vrai que l'on veut nous tuer?
Page 2 sur 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum