Le bistrot est ouvert
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Re: Le bistrot est ouvert
On va faire le tour aujourd'hui...qui vient ?
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Cervantes
Re: Le bistrot est ouvert
j'arrive
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
et
(L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération)
Ling- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
"Une goutte" ? Sauf erreur de ma part, une expression qu'on ne trouve guère qu'en Franche-Comté-Bourgogne . Je ne me souviens pas l'avoir entendu dans le Midi ou ailleurs . Me trompe-je ?Bulle a écrit:Comme c'est adorable ! Merci beaucoup...
Manque peut-être "la goutte" pour certains garçons ?
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Pas facile à dire "me trompe-je".
Je me demande si ça se dit d'ailleurs.
Je me demande si ça se dit d'ailleurs.
_Krinou- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Se prononce "me trompé-je"
Ling- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Tu es sûre Stirica.
Dans le contexte de la phrase de Gaston, ne faudrait-il pas plutôt dire/écrire : me tromperais-je ?
Ou encore au présent : je me trompe ? Tout simplement.
Dans le contexte de la phrase de Gaston, ne faudrait-il pas plutôt dire/écrire : me tromperais-je ?
Ou encore au présent : je me trompe ? Tout simplement.
_Krinou- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Oui, ailleurs aussi, en Champagne, Picardie, Normandie, Bretagne, ...!gaston21 a écrit:
"Une goutte" ? Sauf erreur de ma part, une expression qu'on ne trouve guère qu'en Franche-Comté-Bourgogne . Je ne me souviens pas l'avoir entendu dans le Midi ou ailleurs . Me trompe-je ?
Il y a aussi le petit canard.
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
En Bretagne, une goutte ne suffit pas
maya- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Hé chez moi aussi on le dit ! J'suis du Sud-Est. Rhône-Alpes.gaston21 a écrit:"Une goutte" ? Sauf erreur de ma part, une expression qu'on ne trouve guère qu'en Franche-Comté-Bourgogne . Je ne me souviens pas l'avoir entendu dans le Midi ou ailleurs . Me trompe-je ?
"Goutte" et "Canard".
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Bonjour
Ling- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Très courant en Belgique aussi. Pas le Canard, la Goutte.Nuage a écrit:Hé chez moi aussi on le dit ! J'suis du Sud-Est. Rhône-Alpes.gaston21 a écrit:"Une goutte" ? Sauf erreur de ma part, une expression qu'on ne trouve guère qu'en Franche-Comté-Bourgogne . Je ne me souviens pas l'avoir entendu dans le Midi ou ailleurs . Me trompe-je ?
"Goutte" et "Canard".
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
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Re: Le bistrot est ouvert
bonjour, bonne journée ensoleillée à tous et à toutes.
http://www.birdsdessines.fr/
pour commencer avec le sourire :)
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cana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Mais ces dames me persécutent pour une question tout à fait secondaire !
Enfin...il y a pire ! Je pense que l'amour est le châtiment le plus cruel que Dieu ait inventé pour nous punir du péché originel...
http://actualite.portail.free.fr/toute-l-actu/?bloc_t
rubrique Actualité , " Elle voulait encore faire l'amour..."
Enfin...il y a pire ! Je pense que l'amour est le châtiment le plus cruel que Dieu ait inventé pour nous punir du péché originel...
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gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
oh ! le pauvre
Dernière édition par orthon7 le Ven 13 Avr 2012 - 12:26, édité 1 fois (Raison : erreur)
Re: Le bistrot est ouvert
Je m'interroge depuis fort longtemps sur l'origine de l'expression "avoir du nez", dans le sens avoir de l'intuition, sentir les choses avant qu'elles n'arrivent . Faut-il aller chercher la solution de l'énigme chez les pigeons? Il ne faudra plus jamais dire à quelqu'un " tu as une cervelle d'oiseau! " ! Quand je défends avec acharnement le degré très élevé de la conscience animale...
En définitive, quelle différence fondamentale entre une jolie dame parée de mille couleurs et la truite arc-en-ciel ? Si, une seule, la truite reste muette...
http://www.carevox.fr/sante-des-animaux/article/pigeon-voyageur-on-en-sait
En définitive, quelle différence fondamentale entre une jolie dame parée de mille couleurs et la truite arc-en-ciel ? Si, une seule, la truite reste muette...
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gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
C'est vrai Gaston, je suis d'accord avec toi. Mais n'oublie pas que Monsieur Truite, lui non plus il ne parle pas.
Et mon chéri, c'est vrai qu'il aimerait bien me faire taire, surtout le matin au réveil, mais quand je ne parle pas, ça lui manque. (sauf le matin )
Et mon chéri, c'est vrai qu'il aimerait bien me faire taire, surtout le matin au réveil, mais quand je ne parle pas, ça lui manque. (sauf le matin )
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Je suis entièrement d'accord avec Gaston.Les animaux ont beaucoup plus d'intelligence et de sensibilité que l'imaginent la plupart des gens.
Une anecdote:j'avais un caniche abricot,appelé Rusty,et une petite teckel,Ilda.J'habitais alors chez mes parents.
Mes chiens me comprenaient,et réciproquement.Vous me croirez si vous voulez,mais lorsque je disais"je t'aime"à l'un ou l'autre,ou"je ne t'aime plus"-ce qui les désolais-ils savaient parfaitement.
Une fois,j'ètais fâché contre ma petite chienne,et je lui ai dis,à plusieur reprises:"je ne t'aime plus!"Elle baissait la tête.Rusty observait.Je l'ai pris sur mes genoux,et je lui ai dis,plusieur fois aussi:"je t'aime"..Il avait l'air content,mais,juste après,il donnait un petit coup de tête en direction d'Ilda,comme s'il me demandait de l'aimer à nouveau elle aussi.
Et quand,à la fin,j'ai dis"je t'aime"à la chienne,Rusty a eu l'air tout content,et il a poussé un petit gémissement approbateur.
Je suis sûre de ne pas me tromper!
Une anecdote:j'avais un caniche abricot,appelé Rusty,et une petite teckel,Ilda.J'habitais alors chez mes parents.
Mes chiens me comprenaient,et réciproquement.Vous me croirez si vous voulez,mais lorsque je disais"je t'aime"à l'un ou l'autre,ou"je ne t'aime plus"-ce qui les désolais-ils savaient parfaitement.
Une fois,j'ètais fâché contre ma petite chienne,et je lui ai dis,à plusieur reprises:"je ne t'aime plus!"Elle baissait la tête.Rusty observait.Je l'ai pris sur mes genoux,et je lui ai dis,plusieur fois aussi:"je t'aime"..Il avait l'air content,mais,juste après,il donnait un petit coup de tête en direction d'Ilda,comme s'il me demandait de l'aimer à nouveau elle aussi.
Et quand,à la fin,j'ai dis"je t'aime"à la chienne,Rusty a eu l'air tout content,et il a poussé un petit gémissement approbateur.
Je suis sûre de ne pas me tromper!
stana- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Bonjour tout le monde
Ling- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
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Cervantes
Re: Le bistrot est ouvert
Je piaffe de rage ! Des vapeurs de colère s'échappent de mon crâne chauve ! Voilà où mènent ces années d'éducation laxiste ! Surtout ne pas traumatiser ces chers enfants ! Les laisser s'exprimer librement, développer leur propre personnalité ! Il leur a manqué des bonnes "torchées" ! J'en ai le pied qui me démange de ne pas pouvoir leur appliquer là où vous pensez ! La charia, je vous dis !
Côte-d'Or - Faits Divers. La fin de la « bande des petites barbares »
Dijon : les policiers de la brigade de protection de la famille viennent d’interpeller quatre adolescentes soupçonnées d’avoir commis 11 agressions dans l’agglomération dijonnaise. (Bien Public 14-4-2012)
Neuf semaines d’agressions, quatre auteures présumées âgées de 13 et 14 ans, onze victimes âgées de 11 à 13 ans, une violence incroyable allant crescendo… Les policiers de la brigade de protection de la famille de la sécurité publique viennent de mettre fin à une effrayante série d’attaques de collégiennes, commises à Dijon et dans l’agglomération.
Elle a débuté le 9 février, rue du Transvaal : vers 16 heures, une collégienne de 13 ans est encerclée par trois adolescentes. Elle reçoit des coups de pieds, des gifles, elles lui tirent les cheveux, l’insultent, la menacent. Elle s’enfuit. Un quart d’heure plus tard, au même endroit, même scène : cette fois, la victime a 12 ans, et elle est projetée contre un mur.
Le 16 février, toujours rue du Transvaal, deux adolescentes montent dans le bus en suivant une enfant de 11 ans. Elles descendent avec elle rue René-Coty, la suivent, lui assènent des gifles, lui font un croche-pied. La victime parvient à s’enfuir et à se réfugier chez des proches.
Le 2 mars, sur le parking aérien de l’hypermarché Carrefour de Quetigny, c’est une collégienne de 12 ans qui a rendez-vous avec quatre « barbares ». Elle est venue avec une amie. L’amie est tenue en respect, et les coups de poings, coups de pieds dans le ventre, insultes, humiliations, et menaces s’enchaînent.
Le 7 mars, vers 15 h 15, deux adolescentes accostent une jeune fille de 14 ans rue Maurice-Ravel, à Dijon. Elles l’entraînent près du parc de la Colombière, et lui donnent des gifles à tour de rôle, puis des coups de poings.
Le 8 mars, l’enfant de 12 ans qui avait été maintenue pendant que son amie était frappée à Quetigny est retrouvée par les quatre adolescentes, boulevard de l’Université. Elle est projetée au sol, les coups de pieds et les coups de poings pleuvent, elle subit elle aussi humiliations et menaces. Elle aura 10 jours d’ITT.
Le 13 mars, près du collège Dorgelès, à Longvic, la victime a 13 ans : coups de pieds, coups de poings, cheveux arrachés… C’est une surveillante qui fait cesser le passage à tabac.
Le 27 mars, une collégienne de 13 ans est abordée à la sortie de l’établissement des Lentillères, et entraînée rue du Gaz par quatre adolescentes qui la passent à tabac. La violence est encore montée d’un cran : deux la maintiennent pendant que deux autres la frappent à tour de rôle : coups de pieds, coups de genou dans la tête, puis lorsqu’elle s’effondre au sol, nouveaux coups de pieds dans les côtes et l’abdomen. Cette fois, la victime aura plus de 10 jours d’ITT.
Le 4 avril, vers 14 h 30, dans le parc de la Colombière, trois adolescentes sautent d’une Rosalie (voiture de promenade à pédales) alors qu’elles arrivent au niveau d’une collégienne de 13 ans. Elles lui demandent une cigarette. Elle n’en a pas. Elles lui arrachent son sac, déchirent ses vêtements, la giflent, lui donnent des coups de pieds, lui tirent les cheveux. Un quart d’heure plus tard, dans le même parc, nouvelle victime : elles tentent de lui arracher son téléphone portable. Elle résiste et reçoit une pluie de coups, tellement forts qu’elle finit par en vomir. Des passants interviennent et mettent en fuite la bande
Le 16 avril, à Longvic, la victime a 14 ans. Elle est menacée avec un couteau, entraînée un peu à l’écart, reçoit des coups de pieds, des coups de poings, a des poignées de cheveux arrachés.
En mars, les policiers de la brigade de protection de la famille commençaient à effectuer des rapprochements en examinant les plaintes : les agressions ne pouvaient pas être le fait d’une dispute isolée entre collégiennes. Réexamen des plaintes, recoupements, auditions de témoins… Ils avaient rapidement acquis la certitude qu’une « bande », autour d’une « meneuse », était à l’origine de l’effrayante série.
Les descriptions, les surnoms, puis les noms, les établissements scolaires près desquels les victimes avaient été abordées, l’examen des messages sur Facebook, la lecture des sms reçus par des témoins : autant d’éléments qui leur ont permis d’identifier quatre adolescentes, âgées de 13 et 14 ans, toutes domiciliées à Dijon.
Interpellées dans la cour du collège
Jeudi matin, deux d’entre elles ont été interpellées dans la cour de récréation de leur collège, après une prise de contact avec les responsables de l’établissement, et deux autres à leurs domiciles, puisqu’elles séchaient les cours.
Elles ont été placées en garde à vue en présence de leurs avocats et, à l’issue d’une audition de 24 heures au cours de laquelle elles auraient reconnu sans remords avoir commis les agressions, elles ont été déférées au parquet, puis conduites devant le juge des enfants.
Les quatre adolescentes (l’une devait fêter ses 14 ans hier) auraient filmé avec des téléphones portables certaines des agressions, et les enquêteurs disposeraient de films.
Les jeunes filles ont fait dans la soirée l’objet de mesures d’éloignement, et ont été réparties dans des centres éducatifs situés dans d’autres départements pour trois d’entre elles, et chez des membres de sa famille pour la quatrième.
Côte-d'Or - Faits Divers. La fin de la « bande des petites barbares »
Dijon : les policiers de la brigade de protection de la famille viennent d’interpeller quatre adolescentes soupçonnées d’avoir commis 11 agressions dans l’agglomération dijonnaise. (Bien Public 14-4-2012)
Neuf semaines d’agressions, quatre auteures présumées âgées de 13 et 14 ans, onze victimes âgées de 11 à 13 ans, une violence incroyable allant crescendo… Les policiers de la brigade de protection de la famille de la sécurité publique viennent de mettre fin à une effrayante série d’attaques de collégiennes, commises à Dijon et dans l’agglomération.
Elle a débuté le 9 février, rue du Transvaal : vers 16 heures, une collégienne de 13 ans est encerclée par trois adolescentes. Elle reçoit des coups de pieds, des gifles, elles lui tirent les cheveux, l’insultent, la menacent. Elle s’enfuit. Un quart d’heure plus tard, au même endroit, même scène : cette fois, la victime a 12 ans, et elle est projetée contre un mur.
Le 16 février, toujours rue du Transvaal, deux adolescentes montent dans le bus en suivant une enfant de 11 ans. Elles descendent avec elle rue René-Coty, la suivent, lui assènent des gifles, lui font un croche-pied. La victime parvient à s’enfuir et à se réfugier chez des proches.
Le 2 mars, sur le parking aérien de l’hypermarché Carrefour de Quetigny, c’est une collégienne de 12 ans qui a rendez-vous avec quatre « barbares ». Elle est venue avec une amie. L’amie est tenue en respect, et les coups de poings, coups de pieds dans le ventre, insultes, humiliations, et menaces s’enchaînent.
Le 7 mars, vers 15 h 15, deux adolescentes accostent une jeune fille de 14 ans rue Maurice-Ravel, à Dijon. Elles l’entraînent près du parc de la Colombière, et lui donnent des gifles à tour de rôle, puis des coups de poings.
Le 8 mars, l’enfant de 12 ans qui avait été maintenue pendant que son amie était frappée à Quetigny est retrouvée par les quatre adolescentes, boulevard de l’Université. Elle est projetée au sol, les coups de pieds et les coups de poings pleuvent, elle subit elle aussi humiliations et menaces. Elle aura 10 jours d’ITT.
Le 13 mars, près du collège Dorgelès, à Longvic, la victime a 13 ans : coups de pieds, coups de poings, cheveux arrachés… C’est une surveillante qui fait cesser le passage à tabac.
Le 27 mars, une collégienne de 13 ans est abordée à la sortie de l’établissement des Lentillères, et entraînée rue du Gaz par quatre adolescentes qui la passent à tabac. La violence est encore montée d’un cran : deux la maintiennent pendant que deux autres la frappent à tour de rôle : coups de pieds, coups de genou dans la tête, puis lorsqu’elle s’effondre au sol, nouveaux coups de pieds dans les côtes et l’abdomen. Cette fois, la victime aura plus de 10 jours d’ITT.
Le 4 avril, vers 14 h 30, dans le parc de la Colombière, trois adolescentes sautent d’une Rosalie (voiture de promenade à pédales) alors qu’elles arrivent au niveau d’une collégienne de 13 ans. Elles lui demandent une cigarette. Elle n’en a pas. Elles lui arrachent son sac, déchirent ses vêtements, la giflent, lui donnent des coups de pieds, lui tirent les cheveux. Un quart d’heure plus tard, dans le même parc, nouvelle victime : elles tentent de lui arracher son téléphone portable. Elle résiste et reçoit une pluie de coups, tellement forts qu’elle finit par en vomir. Des passants interviennent et mettent en fuite la bande
Le 16 avril, à Longvic, la victime a 14 ans. Elle est menacée avec un couteau, entraînée un peu à l’écart, reçoit des coups de pieds, des coups de poings, a des poignées de cheveux arrachés.
En mars, les policiers de la brigade de protection de la famille commençaient à effectuer des rapprochements en examinant les plaintes : les agressions ne pouvaient pas être le fait d’une dispute isolée entre collégiennes. Réexamen des plaintes, recoupements, auditions de témoins… Ils avaient rapidement acquis la certitude qu’une « bande », autour d’une « meneuse », était à l’origine de l’effrayante série.
Les descriptions, les surnoms, puis les noms, les établissements scolaires près desquels les victimes avaient été abordées, l’examen des messages sur Facebook, la lecture des sms reçus par des témoins : autant d’éléments qui leur ont permis d’identifier quatre adolescentes, âgées de 13 et 14 ans, toutes domiciliées à Dijon.
Interpellées dans la cour du collège
Jeudi matin, deux d’entre elles ont été interpellées dans la cour de récréation de leur collège, après une prise de contact avec les responsables de l’établissement, et deux autres à leurs domiciles, puisqu’elles séchaient les cours.
Elles ont été placées en garde à vue en présence de leurs avocats et, à l’issue d’une audition de 24 heures au cours de laquelle elles auraient reconnu sans remords avoir commis les agressions, elles ont été déférées au parquet, puis conduites devant le juge des enfants.
Les quatre adolescentes (l’une devait fêter ses 14 ans hier) auraient filmé avec des téléphones portables certaines des agressions, et les enquêteurs disposeraient de films.
Les jeunes filles ont fait dans la soirée l’objet de mesures d’éloignement, et ont été réparties dans des centres éducatifs situés dans d’autres départements pour trois d’entre elles, et chez des membres de sa famille pour la quatrième.
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Le bistrot est ouvert
Gaston:moi je suis abonnée au journal"le nouveau detective";il y a toujours des récits de ce genre.C'est vrai que ça fait peur;la jeunesse de notre pays,c'est de pire en pire!
A part ça...Bon week-end à tous!!
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stana- Seigneur de la Métaphysique
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