Les poèmes de Fred973
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Fred973
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Les poèmes de Fred973
Seuls Dans le Froid
Il est assis sur le trottoir,
Le regard triste et fatigué,
Il joue un peu sur sa guitare,
Unique signe de son humanité.
Les gens traversent sans le voir,
Ils rentrent au chaud dans le foyer,
C’était peut-être son dernier soir,
Le froid de l’hiver n’a pas de pitié.
Et on surf sur Internet,
On étudie le génome humain,
On photographie la planète,
Mais on oublie que pour certain,
Le simple fait d’avoir un toit,
Une adresse, un oreiller,
Serait déjà un grand pas,
Pour l’homme et pour l’humanité.
Ils sont allongés sur les bancs,
Prés d’une gare, ou sous un pont,
Demain peut-être nos enfants,
S’endormirons sous les cartons,
Ils seront bien nombreux ce soir,
A affronté l’obscurité,
Dans un ultime désespoir,
Sans une étoile pour les accompagner.
Et on surf sur Internet,
On étudie le génome humain,
On photographie la planète,
Mais on oublie que pour certain,
Le simple fait d’avoir un toit,
Une adresse, un oreiller,
Serait déjà un grand pas,
Pour l’homme et pour l’humanité.
Ils sont assis sur les trottoirs,
Plus d’un millier privés de droit,
A nous crier leurs désespoirs,
Dans le silence…seuls dans le froid.
Il est assis sur le trottoir,
Le regard triste et fatigué,
Il joue un peu sur sa guitare,
Unique signe de son humanité.
Les gens traversent sans le voir,
Ils rentrent au chaud dans le foyer,
C’était peut-être son dernier soir,
Le froid de l’hiver n’a pas de pitié.
Et on surf sur Internet,
On étudie le génome humain,
On photographie la planète,
Mais on oublie que pour certain,
Le simple fait d’avoir un toit,
Une adresse, un oreiller,
Serait déjà un grand pas,
Pour l’homme et pour l’humanité.
Ils sont allongés sur les bancs,
Prés d’une gare, ou sous un pont,
Demain peut-être nos enfants,
S’endormirons sous les cartons,
Ils seront bien nombreux ce soir,
A affronté l’obscurité,
Dans un ultime désespoir,
Sans une étoile pour les accompagner.
Et on surf sur Internet,
On étudie le génome humain,
On photographie la planète,
Mais on oublie que pour certain,
Le simple fait d’avoir un toit,
Une adresse, un oreiller,
Serait déjà un grand pas,
Pour l’homme et pour l’humanité.
Ils sont assis sur les trottoirs,
Plus d’un millier privés de droit,
A nous crier leurs désespoirs,
Dans le silence…seuls dans le froid.
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : Athée
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Re: Les poèmes de Fred973
Le sourire de Morgane
Ils ne sont pas nés dictateurs
Hitler aussi fut un enfant
Bien avant les rancœurs
Un instant fut innocent
Qui fait du mal a un enfant
Ne se doute pas un seul instant
Qu'un jour il devra peut-être payer
Un crime envers l'humanité
Dans le sourire de Morgane
Il y a ce que l'homme a Fait de meilleur
Dans le sourire de Morgane
Toute l'innocence prend ses Valeurs
Ils ne sont pas nés terroristes
Bercés aux cœurs des idéaux
Souvent la proie des extrémistes
Les enfants suivent le troupeau
Qui donne une arme à un enfant
Condamne à mort un innocent
Qui ne sait même pas pourquoi
Il se retrouve au combat
Dans le sourire de Morgane
Il y a ce que l'homme a Fait de meilleur
Dans le sourire de Morgane
Toute l'innocence prend ses Valeurs
Ils ne sont pas nés pédophiles
Souvent Victimes sont les bourreaux
Petits garçons et petites filles
Qui échappent au tombeau
Quelques soit votre nation
Votre couleur, ou religions
Il n'y a pas de crime plus grand
Que faire du mal à un enfant.
Dans le sourire de Morgane
Il y a ce que l'homme a Fait de meilleur
Dans le sourire de Morgane
Toute l'innocence prend ses Valeurs
Ils ne sont pas nés dictateurs
Hitler aussi fut un enfant
Bien avant les rancœurs
Un instant fut innocent
Qui fait du mal a un enfant
Ne se doute pas un seul instant
Qu'un jour il devra peut-être payer
Un crime envers l'humanité
Dans le sourire de Morgane
Il y a ce que l'homme a Fait de meilleur
Dans le sourire de Morgane
Toute l'innocence prend ses Valeurs
Ils ne sont pas nés terroristes
Bercés aux cœurs des idéaux
Souvent la proie des extrémistes
Les enfants suivent le troupeau
Qui donne une arme à un enfant
Condamne à mort un innocent
Qui ne sait même pas pourquoi
Il se retrouve au combat
Dans le sourire de Morgane
Il y a ce que l'homme a Fait de meilleur
Dans le sourire de Morgane
Toute l'innocence prend ses Valeurs
Ils ne sont pas nés pédophiles
Souvent Victimes sont les bourreaux
Petits garçons et petites filles
Qui échappent au tombeau
Quelques soit votre nation
Votre couleur, ou religions
Il n'y a pas de crime plus grand
Que faire du mal à un enfant.
Dans le sourire de Morgane
Il y a ce que l'homme a Fait de meilleur
Dans le sourire de Morgane
Toute l'innocence prend ses Valeurs
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Les poèmes de Fred973
Ceiba
Il avait presque 200 ans,
Aurait pu vivre plus longtemps,
Mais dans la folie du moment,
Les hommes ont décidé autrement.
Le plus grand d’une forêt,
Il dépassait la canopée,
Pour certains, un arbre sacré,
Pour d’autre juste un arbre à couper.
On dit que les forêts,
Sont les poumons de la terre,
Mais chaque arbres coupés,
C’est un peu de vie qui se perd.
L’arbre était aussi la maison,
De quelques singes et oisillons,
Ils trouvaient tout ce qu’ils voulaient,
De quoi boire et de quoi manger.
Le bruit des hommes les ont chassé,
Jusqu’aux limites de la forêt,
Entre les routes et le béton,
Ces animaux disparaîtrons.
On dit que les forêts,
Sont les poumons de la terre,
Mais chaque arbres coupés,
C’est un peu de vie qui se perd.
Puis l’arbre a beaucoup voyagé,
Il est parti pour l’étranger,
Au milieu d’un super marché,
Une armoire de chambre à coucher.
On dit que les forêts,
Sont les poumons de la terre,
Mais chaque arbres coupés,
C’est un peu de vie qui se perd.
Il avait presque 200 ans,
Aurait pu vivre plus longtemps,
Mais dans la folie du moment,
Les hommes ont décidé autrement.
Le plus grand d’une forêt,
Il dépassait la canopée,
Pour certains, un arbre sacré,
Pour d’autre juste un arbre à couper.
On dit que les forêts,
Sont les poumons de la terre,
Mais chaque arbres coupés,
C’est un peu de vie qui se perd.
L’arbre était aussi la maison,
De quelques singes et oisillons,
Ils trouvaient tout ce qu’ils voulaient,
De quoi boire et de quoi manger.
Le bruit des hommes les ont chassé,
Jusqu’aux limites de la forêt,
Entre les routes et le béton,
Ces animaux disparaîtrons.
On dit que les forêts,
Sont les poumons de la terre,
Mais chaque arbres coupés,
C’est un peu de vie qui se perd.
Puis l’arbre a beaucoup voyagé,
Il est parti pour l’étranger,
Au milieu d’un super marché,
Une armoire de chambre à coucher.
On dit que les forêts,
Sont les poumons de la terre,
Mais chaque arbres coupés,
C’est un peu de vie qui se perd.
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Les poèmes de Fred973
Le rêve
Dans la pénombre de la chambre
Je m’endors tout doucement
Je m’envole dans les méandres
Et je plane au gré du vent
C’est un monde parallèle,
Je suis libre comme l’air
Ou je déploie mes ailes,
Dans ce monde imaginaire.
Le rêve ou la réalité
Lequel de ces deux mondes est vrai
Le rêve et la réalité
Nos vies sont ainsi partagées
Les images se mélangent
Tout semble pourtant bien réel
Une sensation étrange
Que le temps est éternel.
Je voyage dans le néant,
Et je flotte dans les airs,
Je suis maître du temps
J’ai pour moi tout l’univers.
Le rêve ou la réalité
Lequel de ces deux mondes est vrai
Le rêve ou la réalité
Nos vies sont ainsi partagées
C’est un monde un peu secret
Pourtant parfois je me souviens
De ces quelques moments passés
A la croisée d’autres chemins
Et si un jour nos regards
Se croisent dans un rêve
Alors je garde l’espoir
Que jamais le jour se lève…
Le rêve ou la réalité
Lequel de ces deux mondes est vrai
Le rêve ou la réalité
Nos vies sont ainsi partagées
Dans la pénombre de la chambre
Je m’endors tout doucement
Je m’envole dans les méandres
Et je plane au gré du vent
C’est un monde parallèle,
Je suis libre comme l’air
Ou je déploie mes ailes,
Dans ce monde imaginaire.
Le rêve ou la réalité
Lequel de ces deux mondes est vrai
Le rêve et la réalité
Nos vies sont ainsi partagées
Les images se mélangent
Tout semble pourtant bien réel
Une sensation étrange
Que le temps est éternel.
Je voyage dans le néant,
Et je flotte dans les airs,
Je suis maître du temps
J’ai pour moi tout l’univers.
Le rêve ou la réalité
Lequel de ces deux mondes est vrai
Le rêve ou la réalité
Nos vies sont ainsi partagées
C’est un monde un peu secret
Pourtant parfois je me souviens
De ces quelques moments passés
A la croisée d’autres chemins
Et si un jour nos regards
Se croisent dans un rêve
Alors je garde l’espoir
Que jamais le jour se lève…
Le rêve ou la réalité
Lequel de ces deux mondes est vrai
Le rêve ou la réalité
Nos vies sont ainsi partagées
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : Athée
Humeur : Attentif - Calme
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Re: Les poèmes de Fred973
Genèse
Juste au milieu coule une rivière,
Charriant les larmes de la terre,
Des larmes chaudes de lumières,
Puisque la terre vient d’être mère.
C’est la vie qui vient au monde,
Dans un rayon de soleil,
Eclair reluisant sur l’onde,
Sortant la mer du sommeil.
Et la mère
Enfanta la vie
De la terre,
Endolorie.
La rivière,
A quitté son lit,
De lumière,
La galaxie.
Depuis la vie suiva son cours,
Comme un voyage sans retour,
Laissant derrière elle tous ses enfants,
Comme la rivière au fil des temps,
Mais le voyage n’est pas fini,
Il continu encore aujourd’hui,
Et la rivière suit son chemin,
Et dans sa course nos destins.
Juste au milieu coule une rivière,
Charriant les larmes de la terre,
Des larmes chaudes de lumières,
Puisque la terre vient d’être mère.
C’est la vie qui vient au monde,
Dans un rayon de soleil,
Eclair reluisant sur l’onde,
Sortant la mer du sommeil.
Et la mère
Enfanta la vie
De la terre,
Endolorie.
La rivière,
A quitté son lit,
De lumière,
La galaxie.
Depuis la vie suiva son cours,
Comme un voyage sans retour,
Laissant derrière elle tous ses enfants,
Comme la rivière au fil des temps,
Mais le voyage n’est pas fini,
Il continu encore aujourd’hui,
Et la rivière suit son chemin,
Et dans sa course nos destins.
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Identité métaphysique : Athée
Humeur : Attentif - Calme
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Re: Les poèmes de Fred973
La même lune.
Toi qui habite aussi loin,
A l’autre boute de la terre.
Toi qui es déjà demain,
Quand moi je suis encore hier.
Toi tu parles avec les indiens,
Ils te racontent leurs esprits.
Moi je parle avec mon voisin,
Des banalités de la vie.
On regarde pourtant,
La même Lune.
Même si ce n’est pas,
En même temps.
Toi du haut de ta dune,
Moi de ma tour de ciment.
Toi tu pris en t’agenouillant,
Toi tu pris aux pieds d’un mur.
Moi je ne suis pas croyant,
Mais à chacun sa culture.
Toi tu porte une Burka,
Et toi tu pose les seins nus.
Toi tu t’habille en Prada,
Quand d’autre dorment dans la rue…
On regarde pourtant,
La même Lune.
Même si ce n’est pas,
En même temps.
Toi du haut de ta dune,
Moi de ma tour de ciment.
Toi tu habite un grand palais
Dans un pays totalitaire.
Toi tu habite le pavé,
Au pays de Molière.
Toi qui habite aussi loin,
A l’autre boute de la terre.
Toi qui es déjà demain,
Dis-moi s’il faut que j’espère….
On regarde pourtant,
La même Lune.
Même si ce n’est pas,
En même temps.
Toi du haut de ta dune,
Moi de ma tour de ciment.
Toi qui habite aussi loin,
A l’autre boute de la terre.
Toi qui es déjà demain,
Quand moi je suis encore hier.
Toi tu parles avec les indiens,
Ils te racontent leurs esprits.
Moi je parle avec mon voisin,
Des banalités de la vie.
On regarde pourtant,
La même Lune.
Même si ce n’est pas,
En même temps.
Toi du haut de ta dune,
Moi de ma tour de ciment.
Toi tu pris en t’agenouillant,
Toi tu pris aux pieds d’un mur.
Moi je ne suis pas croyant,
Mais à chacun sa culture.
Toi tu porte une Burka,
Et toi tu pose les seins nus.
Toi tu t’habille en Prada,
Quand d’autre dorment dans la rue…
On regarde pourtant,
La même Lune.
Même si ce n’est pas,
En même temps.
Toi du haut de ta dune,
Moi de ma tour de ciment.
Toi tu habite un grand palais
Dans un pays totalitaire.
Toi tu habite le pavé,
Au pays de Molière.
Toi qui habite aussi loin,
A l’autre boute de la terre.
Toi qui es déjà demain,
Dis-moi s’il faut que j’espère….
On regarde pourtant,
La même Lune.
Même si ce n’est pas,
En même temps.
Toi du haut de ta dune,
Moi de ma tour de ciment.
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1055
Localisation : Les pieds sur terre et la tête dans les étoiles...
Identité métaphysique : Athée
Humeur : Attentif - Calme
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Les poèmes de Fred973
J'en entends presque la mélodie.
Les mets-tu en musique?
Les chantes-tu?
Les mets-tu en musique?
Les chantes-tu?
zizanie- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 7436
Localisation : France
Identité métaphysique : Matérialiste
Humeur : Taquine
Date d'inscription : 19/06/2011
Re: Les poèmes de Fred973
zizanie a écrit: J'en entends presque la mélodie.
Les mets-tu en musique?
Les chantes-tu?
Oui, je suis également compositeur, chanteur, et guitariste...
Je joue ces chansons avec mon groupe DièseT#ne en Guyane.
Je n'en ai mis 5 pour l'instant mais j'en mettrai d'autre plus tard si les gens aiment
Voici le clip de Seuls Dans le Froid:
SDF
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1055
Localisation : Les pieds sur terre et la tête dans les étoiles...
Identité métaphysique : Athée
Humeur : Attentif - Calme
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Les poèmes de Fred973
Fred973 a écrit:zizanie a écrit: J'en entends presque la mélodie.
Les mets-tu en musique?
Les chantes-tu?
Oui, je suis également compositeur, chanteur, et guitariste...
Je joue ces chansons avec mon groupe DièseT#ne en Guyane.
Je n'en ai mis 5 pour l'instant mais j'en mettrai d'autre plus tard si les gens aiment
Voici le clip de Seuls Dans le Froid:
SDF
J'espère que tu nous fera écouté, un jour.
Sorcière- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1016
Localisation : Quebec
Identité métaphysique : Wicca
Humeur : le plus possitif possible
Date d'inscription : 15/11/2011
Re: Les poèmes de Fred973
Salut Fred,
Tu fais là quelque chose que je suis incapable de faire, de la poésie à laquelle il suffit de rajouter de la musique pour faire une belle chanson.
J'aime beaucoup "seul dans le froid" imprégné de ton ampathie.
La gènèse aussi car il y a cette alternance de vers courts et plus longs.
J'aime qu'on allie le fond et la forme.
J'avais pas vu le clip ! bravo!!
Tu fais là quelque chose que je suis incapable de faire, de la poésie à laquelle il suffit de rajouter de la musique pour faire une belle chanson.
J'aime beaucoup "seul dans le froid" imprégné de ton ampathie.
La gènèse aussi car il y a cette alternance de vers courts et plus longs.
J'aime qu'on allie le fond et la forme.
J'avais pas vu le clip ! bravo!!
manuramolo- Maître du Temps
- Nombre de messages : 888
Localisation : vaulx en velin
Identité métaphysique : Athée
Humeur : courageuse
Date d'inscription : 10/03/2012
Re: Les poèmes de Fred973
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Les poèmes de Fred973
Merci beaucoup pour vos encouragements !
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1055
Localisation : Les pieds sur terre et la tête dans les étoiles...
Identité métaphysique : Athée
Humeur : Attentif - Calme
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Les poèmes de Fred973
Sondage terminé. Bravo à Fred qui a gagné un e.book sur le site de notre forum.
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
Re: Les poèmes de Fred973
Bravo, Fred ! On a oublié un peu la poésie ces derniers mois, et c'est dommage ! Et où sont passées nos poétesses ? Baby, Pandore, et j'en oublie !
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6875
Localisation : Bourgogne
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Les poèmes de Fred973
Bravo Fred ! Je suis contente pour toi. et
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Les poèmes de Fred973
gaston21 a écrit:Bravo, Fred ! On a oublié un peu la poésie ces derniers mois, et c'est dommage ! Et où sont passées nos poétesses ? Baby, Pandore, et j'en oublie !
C'est vrai ! Nous n'avons pas été très poètes ces derniers temps....
En tous cas merci à tous pour vos encouragements !
Fred
Fred973- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1055
Localisation : Les pieds sur terre et la tête dans les étoiles...
Identité métaphysique : Athée
Humeur : Attentif - Calme
Date d'inscription : 22/09/2011
Re: Les poèmes de Fred973
_________________
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