Testament (la suite... en construction)
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Testament (la suite... en construction)
Testament (la suite...) en construction
Je viens de loin, d’aussi loin
que les poussières interstellaires du berceau de la vie
mon tronc remonte au bigbang ;
tu es mon prolongement.
Puisque l’univers n’est qu’une multitude de cercles
nous reverrons-nous
dans le futur ou le passé?
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
Si mon cœur s’arrêtait de battre
dégoûté, épuisé de la vie
quel sillon va-t-il laisser
que tes souvenirs ne voudront plus recouvrir
de la terre meuble.
Pour toi, j’ai tenté l’amour, l’amour, l’amour
tel un torrent qui s’est abattu sur toi
un amour diluvien pour une toute petite fille
aux yeux verts comme la mer
aux lèvres rouge comme le corail
à la peau, naine blanche ;
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
puisque je ne possédais que ça, l’amour
j’étais brisée par l’angoisse du dedans
j’arrivais à le cacher à tous
j’ignorais qu’on ne cache pas notre âme à une enfant comme toi
tu es mon prolongement.
et la folie est venue me visiter
il t’a fallu survivre … isolée
désormais un mur entre toi et moi
mais tous avaient les bras tendus...
vers moi
de peur que je me perde...
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
il ne te restait plus qu’à fuir
de mes bras qui t’enlacent,
de ma bouche qui t’embrasse
fuir de la folie,
de cette « maman » qui pour toi n’existait plus…
tu es mon prolongement...
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
Chantal, 2011
Je viens de loin, d’aussi loin
que les poussières interstellaires du berceau de la vie
mon tronc remonte au bigbang ;
tu es mon prolongement.
Puisque l’univers n’est qu’une multitude de cercles
nous reverrons-nous
dans le futur ou le passé?
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
Si mon cœur s’arrêtait de battre
dégoûté, épuisé de la vie
quel sillon va-t-il laisser
que tes souvenirs ne voudront plus recouvrir
de la terre meuble.
Pour toi, j’ai tenté l’amour, l’amour, l’amour
tel un torrent qui s’est abattu sur toi
un amour diluvien pour une toute petite fille
aux yeux verts comme la mer
aux lèvres rouge comme le corail
à la peau, naine blanche ;
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
puisque je ne possédais que ça, l’amour
j’étais brisée par l’angoisse du dedans
j’arrivais à le cacher à tous
j’ignorais qu’on ne cache pas notre âme à une enfant comme toi
tu es mon prolongement.
et la folie est venue me visiter
il t’a fallu survivre … isolée
désormais un mur entre toi et moi
mais tous avaient les bras tendus...
vers moi
de peur que je me perde...
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
il ne te restait plus qu’à fuir
de mes bras qui t’enlacent,
de ma bouche qui t’embrasse
fuir de la folie,
de cette « maman » qui pour toi n’existait plus…
tu es mon prolongement...
on ne devrait jamais avoir à dire adieu.
Chantal, 2011
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