Re: Niqab

[Moustarchid]

un incroyant n'a pas de foi...ni bonne ni mauvaise...
tu collectionnes les perles moustarachid!!!

Tu confonds foi et croyance. La synonymie n'est pas vraiment parfaite... bon, je ne me permettrais de t'apprendre le français, tu as certainement quelques bagages.

___

En réalité, l'islam n'a pas de problèmes avec les chrétiens ou les coptes,

tu en es sur?

s9 v74/73à75/74 : « O Prophète ! mène combat contre les Infidèles et les Hypocrites et sois dur contre eux ! Leur refuge sera la Gehenne, et quel détestable "Devenir" ! Ils jurent par Allah [qu']ils n'ont point dit [ce qu'ils ont proféré], alors qu'ils ont certes dit la parole d'impiété et qu'ils ont été infidèles après leur conversion à l'Islam. Ils ont médité ce qu'ils n'ont point obtenu et non atteint d'autant qu'Allah et son Apôtre les ont pourvus [d'un peu] de Sa faveur. S'ils reviennent [de leur erreur], cela sera un bien pour eux. [Mais] s'ils se détournent, Allah leur infligera un tourment cruel, dans la [Vie] Immédiate et Dernière, et ils n'auront, sur la terre, ni patron, ni auxiliaire (ni allié ni secoureur).»

Cela confirme ce que je dis, l'islam ne combat nullement les autres religions, il combat surtout la fourberie, la déloyauté et la mauvaise foi. lol -

___

J'en ai fini avec ce thread qui est sorti carrément de son cadre en raison de votre animosité incontrolée. Je vous dis :

[bernard1933]

bradou, je te rappelle qu' il faut peu de choses pour que des gens qui vivaient en parfaite harmonie depuis des siècles se déchirent tout à coup.
Le drame du Kosovo n 'est pas loin . En Irak aussi, les chrétiens menaient une vie sans grave problème depuis des siècles, en Egypte les coptes...
Vous refusez de voir la vérité en face . Dommage...

[Tétraèdre]

Dans chaque pays catholiques ( plus de 50) que l'islam à envahi en massacrant depuis le 7 ième siècle , les islamistes ont obligés les catholiques à l'exode, ou à la conversion sous peine de mort, en plus de leur voler tous leurs biens tout en souillant les églises , les couvents et les monastères .
Et dire que ce sont des anciens catholiques les protestants hérétiques ( 1534 à 2010) devenus massacreurs qui accusent les catholiques d'avoir organisés des croisades contre ces barbares islamistes lorsqu'eux mêmes participaient à ces croisades de 700 à 1450 . On appelle cela se tirer dans les pieds

[bernard1933]

Ci-dessous un appel des évêques du Pakistan au pape . Pourquoi nier
l' évidence ? Il n' y a pas que les chrétiens qui sont révoltés par ce maintien de l' obscurantisme et cette barbarie stupide .

Asia Bibi : Les Evêques du Pakistan adresse un appel au Pape Benoît XVI

Le 13 novembre 2010, nous adressons un appel éploré au Saint-Père Benoît XVI afin qu’il puisse prier, intercéder et se prodiguer en faveur d’Asia Bibi, la chrétienne condamnée à mort injustement pour blasphème. Nous demandons que lui soit garanti le pardon et qu’elle soit libérée. Nous invitons la communauté internationale à hausser le ton, à faire des pressions et à œuvrer à tous les niveaux en faveur du salut de cette femme qui est innocente. Nous disons à toutes les mères pakistanaises : Asia est une maman comme vous, défendez-la, ne permettez pas que ses enfants deviennent orphelins » : c’est ce que déclare à l’Agence Fides S.Exc. Mgr Bernard Shaw OFM, Evêque auxiliaire de Lahore, le diocèse où s’est vérifié le cas d’Asia Bibi, la première femme pakistanaise chrétienne condamnée à mort pour blasphème.

L’Evêque déclare à Fides espérer en l’action et en la mobilisation de l’opinion publique de la société civile pakistanaise « au sein de laquelle existent des organisations chrétiennes et musulmanes qui travaillent pour la paix et l’harmonie, pour lutter contre le fanatisme religieux et affaiblir la polarisation entre les différentes communautés ». Le cas d’Asia Bibi est « un authentique outrage à la dignité humaine et à la vérité. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que la sentence soit modifiée en appel près la Haute Cour de Lahore » a déclaré à Fides Peter Jacob, Secrétaire exécutif de la Commission « Justice et Paix », signalant au moins cinq autres cas de fausses accusations de blasphèmes et de violations des droits de l’homme au cours des deux derniers mois seulement.

S.Exc. Mgr Joseph Coutts, Vice-Président de la Conférence épiscopale et héraut de la campagne en faveur de l’abolition de la loi en question s’arrête lui aussi sur les problèmes créés au sein de la société pakistanaise par la loi sur le blasphème, annonçant l’engagement de l’Eglise du Pakistan « pour soutenir la famille d’Asia Bibi et toutes les familles injustement frappées par cette loi ».

« Le danger – explique l’Evêque à Fides – vient de l’abus de cette loi. En demandant son abrogation, nous ne voulons pas encourager ceux qui désacralisent le nom du Prophète. Nous déplorons ce qui se passe en ce qui concerne l’application de la loi : toutes les excuses sont bonnes : si l’on veut frapper un adversaire ou un ennemi, on l’accuse de blasphème ». La loi se prête à de tels abus parce qu’elle ne prévoit pas la charge de la preuve pour l’accusateur : il suffit d’un témoignage ou d’une déclaration. « Et souvent, on a pu vérifier que les accusations sont totalement fausses » remarque-t-il. « L’Eglise – conclut l’Evêque – en demande l’abolition mais il est difficile que cela arrive au Parlement en ce qui l’on touche là un sujet qui suscite de fortes émotions. Les leaders religieux musulmans disent que la loi sert à protéger l’honneur du Prophète. Le gouvernement devrait au moins accomplir une démarche sérieuse afin de prévenir et de contrôler la prolifération de fausses accusations, qui frappent souvent les chrétiens mais également les citoyens musulmans. Les hommes politiques subissent cependant des pressions de la part des groupes islamiques radicaux et ceci au niveau des autorités locales et de la police. La situation se trouve donc dans une impasse ». (PA)

Mobilisation des avocats musulmans et des militants des droits de l’homme en faveur d’Asia Bibi

La société civile au Pakistan – et non seulement les communautés chrétiennes – se mobilise actuellement en faveur d’Asia Bibi, la première femme chrétienne condamnée à mort pour blasphème. « Nous soutenons Asia Bibi et nous organiserons une vaste campagne de protestation en sa faveur. Nous ferons tout ce qui est nécessaire au niveau légal pour que le jugement soit complètement réformé en appel par la Haute Cour de Lahore. Son cas est emblématique de l’abus de la loi sur le blasphème aux dépens des minorités religieuses. Il s’agit de violations flagrantes des droits de l’homme », déclare à l’Agence Fides Mehdi Hasan, journaliste et universitaire, Président de la « Human Rights Commission of Pakistan » (HRCP), l’une des ONG les plus importantes et les plus répandues au sein de la société pakistanaise. « En tant que Commission pour les Droits de l’homme, nous mènerons des enquêtes soigneuses et crédibles sur ce cas. Je peux déjà dire que tous les cas enregistrés pour blasphème sont basés sur de fausses accusations, et sont le fruit de la haine interreligieuse ou du sectarisme. Nous n’avons aucune confiance dans l’enquête annoncée par le gouvernement par le biais du Ministre chargé des Minorités religieuses », remarque Hasan. « Depuis des années – conclut-il – nous demandons l’abolition de cette loi qui est un mauvais héritage du passé : elle fut voulue par le Général Zia afin de faire taire l’extrémisme religieux. Des cas comme celui d’Asia Bibi imposent de poursuivre notre engagement ».

Aslam Khaki, avocat connu et chercheur musulman, se déclare lui aussi favorable à l’abrogation de la loi, racontant devoir souvent défendre des citoyens faussement accusés de blasphème « seulement pour des motifs d’hostilité religieuse ou de sectarisme ». Dans le cas d’Asia Bibi, Aslam Khaki se déclare prêt à assurer gratuitement sa défense et suggère un double appel : l’un devant la Haute Cour de Lahore, dans le cadre duquel pourra être demandé à l’accusation de présenter des preuves concrètes et l’autre devant la « Federal Sharia Court » attendu que « la loi islamique elle-même interdit la peine de mort à l’encontre des femmes et des non musulmans ». « La loi sur le blasphème devrait être abolie – remarque-t-il dans un entretien avec Fides – mais le gouvernement est faible et s’il essayait de le faire, les groupes radicaux islamiques descendraient dans la rue. Ce qui peut se faire pour l’instant est de modifier au moins les procédures légales : pour enregistrer officiellement une plainte pour blasphème, un témoignage ne devrait pas suffire mais des preuves concrètes devraient être présentées. Cela constituerait déjà un progrès et éviterait beaucoup de souffrance ». L’avocat explique à Fides : « Au niveau juridique, il faut remarquer que la Cour d’appel renverse 95% des condamnations pour blasphème infligées en premier degré. Le système juridique national reconnaît donc le manque de fondement des accusations. Mais entre temps, nombre de personnes souffrent, victimes de discriminations, de menaces de mort et d’années de prison ». (PA)

Asia Bibi : Les Evêques du Pakistan adresse un appel au Pape Benoît XVI

Le 13 novembre 2010 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde -« Nous adressons un appel éploré au Saint-Père Benoît XVI afin qu’il puisse prier, intercéder et se prodiguer en faveur d’Asia Bibi, la chrétienne condamnée à mort injustement pour blasphème. Nous demandons que lui soit garanti le pardon et qu’elle soit libérée. Nous invitons la communauté internationale à hausser le ton, à faire des pressions et à œuvrer à tous les niveaux en faveur du salut de cette femme qui est innocente. Nous disons à toutes les mères pakistanaises : Asia est une maman comme vous, défendez-la, ne permettez pas que ses enfants deviennent orphelins » : c’est ce que déclare à l’Agence Fides S.Exc. Mgr Bernard Shaw OFM, Evêque auxiliaire de Lahore, le diocèse où s’est vérifié le cas d’Asia Bibi, la première femme pakistanaise chrétienne condamnée à mort pour blasphème.

L’Evêque déclare à Fides espérer en l’action et en la mobilisation de l’opinion publique de la société civile pakistanaise « au sein de laquelle existent des organisations chrétiennes et musulmanes qui travaillent pour la paix et l’harmonie, pour lutter contre le fanatisme religieux et affaiblir la polarisation entre les différentes communautés ». Le cas d’Asia Bibi est « un authentique outrage à la dignité humaine et à la vérité. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que la sentence soit modifiée en appel près la Haute Cour de Lahore » a déclaré à Fides Peter Jacob, Secrétaire exécutif de la Commission « Justice et Paix », signalant au moins cinq autres cas de fausses accusations de blasphèmes et de violations des droits de l’homme au cours des deux derniers mois seulement.

S.Exc. Mgr Joseph Coutts, Vice-Président de la Conférence épiscopale et héraut de la campagne en faveur de l’abolition de la loi en question s’arrête lui aussi sur les problèmes créés au sein de la société pakistanaise par la loi sur le blasphème, annonçant l’engagement de l’Eglise du Pakistan « pour soutenir la famille d’Asia Bibi et toutes les familles injustement frappées par cette loi ».

« Le danger – explique l’Evêque à Fides – vient de l’abus de cette loi. En demandant son abrogation, nous ne voulons pas encourager ceux qui désacralisent le nom du Prophète. Nous déplorons ce qui se passe en ce qui concerne l’application de la loi : toutes les excuses sont bonnes : si l’on veut frapper un adversaire ou un ennemi, on l’accuse de blasphème ». La loi se prête à de tels abus parce qu’elle ne prévoit pas la charge de la preuve pour l’accusateur : il suffit d’un témoignage ou d’une déclaration. « Et souvent, on a pu vérifier que les accusations sont totalement fausses » remarque-t-il. « L’Eglise – conclut l’Evêque – en demande l’abolition mais il est difficile que cela arrive au Parlement en ce qui l’on touche là un sujet qui suscite de fortes émotions. Les leaders religieux musulmans disent que la loi sert à protéger l’honneur du Prophète. Le gouvernement devrait au moins accomplir une démarche sérieuse afin de prévenir et de contrôler la prolifération de fausses accusations, qui frappent souvent les chrétiens mais également les citoyens musulmans. Les hommes politiques subissent cependant des pressions de la part des groupes islamiques radicaux et ceci au niveau des autorités locales et de la police. La situation se trouve donc dans une impasse ». (PA)

Mobilisation des avocats musulmans et des militants des droits de l’homme en faveur d’Asia Bibi

La société civile au Pakistan – et non seulement les communautés chrétiennes – se mobilise actuellement en faveur d’Asia Bibi, la première femme chrétienne condamnée à mort pour blasphème. « Nous soutenons Asia Bibi et nous organiserons une vaste campagne de protestation en sa faveur. Nous ferons tout ce qui est nécessaire au niveau légal pour que le jugement soit complètement réformé en appel par la Haute Cour de Lahore. Son cas est emblématique de l’abus de la loi sur le blasphème aux dépens des minorités religieuses. Il s’agit de violations flagrantes des droits de l’homme », déclare à l’Agence Fides Mehdi Hasan, journaliste et universitaire, Président de la « Human Rights Commission of Pakistan » (HRCP), l’une des ONG les plus importantes et les plus répandues au sein de la société pakistanaise. « En tant que Commission pour les Droits de l’homme, nous mènerons des enquêtes soigneuses et crédibles sur ce cas. Je peux déjà dire que tous les cas enregistrés pour blasphème sont basés sur de fausses accusations, et sont le fruit de la haine interreligieuse ou du sectarisme. Nous n’avons aucune confiance dans l’enquête annoncée par le gouvernement par le biais du Ministre chargé des Minorités religieuses », remarque Hasan. « Depuis des années – conclut-il – nous demandons l’abolition de cette loi qui est un mauvais héritage du passé : elle fut voulue par le Général Zia afin de faire taire l’extrémisme religieux. Des cas comme celui d’Asia Bibi imposent de poursuivre notre engagement ».

Aslam Khaki, avocat connu et chercheur musulman, se déclare lui aussi favorable à l’abrogation de la loi, racontant devoir souvent défendre des citoyens faussement accusés de blasphème « seulement pour des motifs d’hostilité religieuse ou de sectarisme ». Dans le cas d’Asia Bibi, Aslam Khaki se déclare prêt à assurer gratuitement sa défense et suggère un double appel : l’un devant la Haute Cour de Lahore, dans le cadre duquel pourra être demandé à l’accusation de présenter des preuves concrètes et l’autre devant la « Federal Sharia Court » attendu que « la loi islamique elle-même interdit la peine de mort à l’encontre des femmes et des non musulmans ». « La loi sur le blasphème devrait être abolie – remarque-t-il dans un entretien avec Fides – mais le gouvernement est faible et s’il essayait de le faire, les groupes radicaux islamiques descendraient dans la rue. Ce qui peut se faire pour l’instant est de modifier au moins les procédures légales : pour enregistrer officiellement une plainte pour blasphème, un témoignage ne devrait pas suffire mais des preuves concrètes devraient être présentées. Cela constituerait déjà un progrès et éviterait beaucoup de souffrance ». L’avocat explique à Fides : « Au niveau juridique, il faut remarquer que la Cour d’appel renverse 95% des condamnations pour blasphème infligées en premier degré. Le système juridique national reconnaît donc le manque de fondement des accusations. Mais entre temps, nombre de personnes souffrent, victimes de discriminations, de menaces de mort et d’années de prison ». (PA)

Asia Bibi : Les Evêques du Pakistan adresse un appel au Pape Benoît XVI

Le 13 novembre 2010 - Eucharistie Sacrement de la Miséricorde -« Nous adressons un appel éploré au Saint-Père Benoît XVI afin qu’il puisse prier, intercéder et se prodiguer en faveur d’Asia Bibi, la chrétienne condamnée à mort injustement pour blasphème. Nous demandons que lui soit garanti le pardon et qu’elle soit libérée. Nous invitons la communauté internationale à hausser le ton, à faire des pressions et à œuvrer à tous les niveaux en faveur du salut de cette femme qui est innocente. Nous disons à toutes les mères pakistanaises : Asia est une maman comme vous, défendez-la, ne permettez pas que ses enfants deviennent orphelins » : c’est ce que déclare à l’Agence Fides S.Exc. Mgr Bernard Shaw OFM, Evêque auxiliaire de Lahore, le diocèse où s’est vérifié le cas d’Asia Bibi, la première femme pakistanaise chrétienne condamnée à mort pour blasphème.

L’Evêque déclare à Fides espérer en l’action et en la mobilisation de l’opinion publique de la société civile pakistanaise « au sein de laquelle existent des organisations chrétiennes et musulmanes qui travaillent pour la paix et l’harmonie, pour lutter contre le fanatisme religieux et affaiblir la polarisation entre les différentes communautés ». Le cas d’Asia Bibi est « un authentique outrage à la dignité humaine et à la vérité. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que la sentence soit modifiée en appel près la Haute Cour de Lahore » a déclaré à Fides Peter Jacob, Secrétaire exécutif de la Commission « Justice et Paix », signalant au moins cinq autres cas de fausses accusations de blasphèmes et de violations des droits de l’homme au cours des deux derniers mois seulement.

S.Exc. Mgr Joseph Coutts, Vice-Président de la Conférence épiscopale et héraut de la campagne en faveur de l’abolition de la loi en question s’arrête lui aussi sur les problèmes créés au sein de la société pakistanaise par la loi sur le blasphème, annonçant l’engagement de l’Eglise du Pakistan « pour soutenir la famille d’Asia Bibi et toutes les familles injustement frappées par cette loi ».

« Le danger – explique l’Evêque à Fides – vient de l’abus de cette loi. En demandant son abrogation, nous ne voulons pas encourager ceux qui désacralisent le nom du Prophète. Nous déplorons ce qui se passe en ce qui concerne l’application de la loi : toutes les excuses sont bonnes : si l’on veut frapper un adversaire ou un ennemi, on l’accuse de blasphème ». La loi se prête à de tels abus parce qu’elle ne prévoit pas la charge de la preuve pour l’accusateur : il suffit d’un témoignage ou d’une déclaration. « Et souvent, on a pu vérifier que les accusations sont totalement fausses » remarque-t-il. « L’Eglise – conclut l’Evêque – en demande l’abolition mais il est difficile que cela arrive au Parlement en ce qui l’on touche là un sujet qui suscite de fortes émotions. Les leaders religieux musulmans disent que la loi sert à protéger l’honneur du Prophète. Le gouvernement devrait au moins accomplir une démarche sérieuse afin de prévenir et de contrôler la prolifération de fausses accusations, qui frappent souvent les chrétiens mais également les citoyens musulmans. Les hommes politiques subissent cependant des pressions de la part des groupes islamiques radicaux et ceci au niveau des autorités locales et de la police. La situation se trouve donc dans une impasse ». (PA)

Mobilisation des avocats musulmans et des militants des droits de l’homme en faveur d’Asia Bibi

La société civile au Pakistan – et non seulement les communautés chrétiennes – se mobilise actuellement en faveur d’Asia Bibi, la première femme chrétienne condamnée à mort pour blasphème. « Nous soutenons Asia Bibi et nous organiserons une vaste campagne de protestation en sa faveur. Nous ferons tout ce qui est nécessaire au niveau légal pour que le jugement soit complètement réformé en appel par la Haute Cour de Lahore. Son cas est emblématique de l’abus de la loi sur le blasphème aux dépens des minorités religieuses. Il s’agit de violations flagrantes des droits de l’homme », déclare à l’Agence Fides Mehdi Hasan, journaliste et universitaire, Président de la « Human Rights Commission of Pakistan » (HRCP), l’une des ONG les plus importantes et les plus répandues au sein de la société pakistanaise. « En tant que Commission pour les Droits de l’homme, nous mènerons des enquêtes soigneuses et crédibles sur ce cas. Je peux déjà dire que tous les cas enregistrés pour blasphème sont basés sur de fausses accusations, et sont le fruit de la haine interreligieuse ou du sectarisme. Nous n’avons aucune confiance dans l’enquête annoncée par le gouvernement par le biais du Ministre chargé des Minorités religieuses », remarque Hasan. « Depuis des années – conclut-il – nous demandons l’abolition de cette loi qui est un mauvais héritage du passé : elle fut voulue par le Général Zia afin de faire taire l’extrémisme religieux. Des cas comme celui d’Asia Bibi imposent de poursuivre notre engagement ».

Aslam Khaki, avocat connu et chercheur musulman, se déclare lui aussi favorable à l’abrogation de la loi, racontant devoir souvent défendre des citoyens faussement accusés de blasphème « seulement pour des motifs d’hostilité religieuse ou de sectarisme ». Dans le cas d’Asia Bibi, Aslam Khaki se déclare prêt à assurer gratuitement sa défense et suggère un double appel : l’un devant la Haute Cour de Lahore, dans le cadre duquel pourra être demandé à l’accusation de présenter des preuves concrètes et l’autre devant la « Federal Sharia Court » attendu que « la loi islamique elle-même interdit la peine de mort à l’encontre des femmes et des non musulmans ». « La loi sur le blasphème devrait être abolie – remarque-t-il dans un entretien avec Fides – mais le gouvernement est faible et s’il essayait de le faire, les groupes radicaux islamiques descendraient dans la rue. Ce qui peut se faire pour l’instant est de modifier au moins les procédures légales : pour enregistrer officiellement une plainte pour blasphème, un témoignage ne devrait pas suffire mais des preuves concrètes devraient être présentées. Cela constituerait déjà un progrès et éviterait beaucoup de souffrance ». L’avocat explique à Fides : « Au niveau juridique, il faut remarquer que la Cour d’appel renverse 95% des condamnations pour blasphème infligées en premier degré. Le système juridique national reconnaît donc le manque de fondement des accusations. Mais entre temps, nombre de personnes souffrent, victimes de discriminations, de menaces de mort et d’années de prison ». (PA)

[_bradou]

Là, Bernard, c'est totalement différent.
-Il y a donc bien au Pakistan des chrétiens, des évêques, des églises, etc, c'est bon à souligner parce que ça nous éloigne beaucoup de l'image d'intolérance vis à vis du christianisme qu'on a voulu nous donner.

-Dans ce pays, la blasphème est un crime. C'est la loi. C'est la loi, parce que ce peuple ne tolère pas le blasphème, une loi qui traduit le sentiment populaire. S'il n'y avait pas la loi, il y aurait troubles à l'ordre public aux conséquences encore plus graves, le peuple ferait justice lui-même. Que veux-tu faire en pareil cas. Supprimer le peuple?

-Mais attention, quand je dis peuple, sentiment populaire, j'y inclus les chrétiens, car ce ne sont pas des martiens, mais partie du peuple avec exactement la même mentalité, et tout comme leurs concitoyens musulmans ils doivent eux aussi ne pas supporter le blasphème. Ce ne sont pas des chrétiens de France, et même les chrétiens de France....

-Il faut être très naïf pour penser que si la majorité était chrétienne dans ce pays, le blasphème n'aurait pas été condamné.

-Crois-tu que si un musulman avait blasphémé, il aurait été épargné? Crois-tu que cette loi a été spécialement promulguée pour être appliquée uniquement aux chrétiens?

-Cette dame a donc tout simplement enfreint la loi.
Ni l'islam, ni les musulmans ne sont donc en cause.
Je crois, Bernard, que ton acuité visuelle n'est pas tout à fait au top, que le contour des images se fait un peu flou pour toi.

[_Florent51]

Je demeure convaincu qu'un incroyant ne peut être que de mauvaise foi, même s'il lui arrive d'être exceptionnellement de bonne foi.

Venant d'un homme comme toi c'est l'hommage du vice à la vertu, merci beaucoup.

[_bradou]

Là, Bernard, c'est totalement différent.
J'avais donc vu juste, comme toujours: la mouture précédente est un tissu de mensonges.

-Il y a donc bien au Pakistan des chrétiens, des évêques, des églises, etc, c'est bon à souligner parce que ça nous éloigne beaucoup de l'image d'intolérance vis à vis du christianisme qu'on a voulu nous donner.

-Dans ce pays, la blasphème est un crime. C'est la loi. C'est la loi, parce que ce peuple ne tolère pas le blasphème, une loi qui traduit le sentiment populaire. S'il n'y avait pas la loi, il y aurait troubles à l'ordre public aux conséquences encore plus graves, le peuple ferait justice lui-même. Que veux-tu faire en pareil cas. Supprimer le peuple?

-Mais attention, quand je dis peuple, sentiment populaire, j'y inclus les chrétiens, car ce ne sont pas des martiens, mais partie du peuple avec exactement la même mentalité, et tout comme leurs concitoyens musulmans ils doivent eux aussi ne pas supporter le blasphème. Ce ne sont pas des chrétiens de France, et même les chrétiens de France....

-Il faut être très naïf pour penser que si la majorité était chrétienne dans ce pays, le blasphème n'aurait pas été condamné.

-Crois-tu que si un musulman avait blasphémé, il aurait été épargné? Crois-tu que cette loi a été spécialement promulguée pour être appliquée uniquement aux chrétiens?

-Cette dame a donc tout simplement enfreint la loi.
Ni l'islam, ni les musulmans ne sont donc en cause.
Je crois, Bernard, que ton acuité visuelle n'est pas tout à fait au top, que le contour des images se fait un peu flou pour toi.

[Tétraèdre]

Les Chrétiens protestants US qui contrôle le Pakistan sont des anti catholiques et persécutent comme les musulmanc les catholiques dans tous les pays .

[bernard1933]

bradou, trouve-moi un seul exemple d' un individu condamné à mort pour blasphème dans un pays chrétien , en dehors des temps barbares de
l' Inquisition . Si oui, je te donne mon épagneul pour en faire un méchoui ! Des blasphèmes, j' en fais tous les jours, j' ai l' impression que ça me blanchit les dents ! Non, c' est indéfendable et criminel !

[_bradou]

bradou, Non, c' est indéfendable et criminel !

Tu dois avoir des osselets dans les oreilles. C'est indéfendable et criminel, mais c'est la volonté du peuple pakistanais dans toutes ses composantes musulmane et chrétienne.

[meulan]

bradou, trouve-moi un seul exemple d' un individu condamné à mort pour blasphème dans un pays chrétien , en dehors des temps barbares de
l' Inquisition . Si oui, je te donne mon épagneul pour en faire un méchoui ! Des blasphèmes, j' en fais tous les jours, j' ai l' impression que ça me blanchit les dents ! Non, c' est indéfendable et criminel !

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Est-ce un épagneul breton ?

[Tétraèdre]

Les sectaires musulmans et protestants eux ne condamnent pas suite à des procès équitables ils exécutent des populations entières
Plus de 200 millions de victimes de leurs guerres sales en un seul siècle.

[bernard1933]

bradou, trouve-moi un seul exemple d' un individu condamné à mort pour blasphème dans un pays chrétien , en dehors des temps barbares de
l' Inquisition . Si oui, je te donne mon épagneul pour en faire un méchoui ! Des blasphèmes, j' en fais tous les jours, j' ai l' impression que ça me blanchit les dents ! Non, c' est indéfendable et criminel !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Est-ce un épagneul breton ?

Oui, un vrai de vrai , avec une généalogie de grand duc ! C' est moi le manant !

[Chems]

m'enfin Bernard ...tu es naïf a ce point?
tu sais très bien qu'ils n'ont pas d'opinion personnelle c'est Allah qui seul sait...
donc si elle a été jugée coupable c'est qu'allah l'a décidé ainsi...

il n'y a rien a attendre d'individus qui réagissent comme il y a 1400 ans...

Non, tu te trompes, on a bien une opinion personnelle : Le Coran.

a mettre dans les perles!!!

highlight ^^ n'empêche que c'est un discours très répandu dans l'orthodoxie musulmane. Comme si le vecteur humain n'avait pas été essentiel dans l'élaboration de la doctrine coranique, puis dans son interprétation au fil des siècles. Malgré cette évidence, de nombreux croyants pensent que l'invocation de l'immaculé - supposé - les exonèrent de faire usage de leur entendement. Ce que je pense est ce que Dieu dit: pour nourrir cette certitude, ils sont près à sacrifier leurs propres intuitions. Curieuse démarche quand le Coran lui-même appelle à l'examen empirique.

[Chems]

un incroyant n'a pas de foi...ni bonne ni mauvaise...
tu collectionnes les perles moustarachid!!!

Tu confonds foi et croyance. La synonymie n'est pas vraiment parfaite... bon, je ne me permettrais de t'apprendre le français, tu as certainement quelques bagages.

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En réalité, l'islam n'a pas de problèmes avec les chrétiens ou les coptes,

tu en es sur?

s9 v74/73à75/74 : « O Prophète ! mène combat contre les Infidèles et les Hypocrites et sois dur contre eux ! Leur refuge sera la Gehenne, et quel détestable "Devenir" ! Ils jurent par Allah [qu']ils n'ont point dit [ce qu'ils ont proféré], alors qu'ils ont certes dit la parole d'impiété et qu'ils ont été infidèles après leur conversion à l'Islam. Ils ont médité ce qu'ils n'ont point obtenu et non atteint d'autant qu'Allah et son Apôtre les ont pourvus [d'un peu] de Sa faveur. S'ils reviennent [de leur erreur], cela sera un bien pour eux. [Mais] s'ils se détournent, Allah leur infligera un tourment cruel, dans la [Vie] Immédiate et Dernière, et ils n'auront, sur la terre, ni patron, ni auxiliaire (ni allié ni secoureur).»

Cela confirme ce que je dis, l'islam ne combat nullement les autres religions, il combat surtout la fourberie, la déloyauté et la mauvaise foi. lol -

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J'en ai fini avec ce thread qui est sorti carrément de son cadre en raison de votre animosité incontrolée. Je vous dis :

Vous avez largement participé au hors-sujet avec vos digressions mettant en cause la foi de vos interlocuteurs. En matière de self-control chacun semble avoir ses limites. Le sujet sur le niqab est peut-être aussi épuisé en raison de l'absence de justifications coraniques quant à sa prescription pour la musulmane. Dans ce fil je n'ai en tous cas trouvé aucune explication nouvelle, encore moins avancée par une femme.

[stana]

Ce sujet me rappel un musulman que j'ai fréquenté autrefois:il disait justement que le voile(burka ou autre)rendait la femme libre,dans le sens où elle est ainsi délivrée du désir des hommes,de leurs regards lubriques,du fait d'être draguée...Il disait que les femmes occidentales ne comprenaient rien;que seules les femmes voilées avaient"compris"...et qu'une femme pudique(selon ses critères extrêmes!)était heureuse,parce-que les hommes les respectaient,ne les approchaient pas,tandis que celles qui"aguichent"les hommes cèdent tôt ou tard,et vivent de successifs chagrins d'amour...contrairement à celles qui se"montrent"à un seul homme,bien sûr...Le pire était qu'il méprisait ouvertement,et insultait les filles en débardeur,par exemple.Pour lui,c'était des prostituées(ce n'était pas le mot qu'il employait,je traduit poliment...).Je dèmontrais qu'un homme occidental est fier de la beauté de sa femme,du fait qu'elle sois admirée.Ce à quoi il répliqua que c'était un maquereau,puisqu'il"offre"la femme aux regards d'autres hommes,et que quand un homme regarde une autre que son épouse,il trompe déjà cette dernière...Quels raisonnements imbéciles,vous ne trouvez pas?Et ce manque de tolérance,ce mépris affiché...

[_Justícia]

Le port du voile est dicté par le Coran, on aura beau retourné la question dans tous les sens, ça sera toujours écrit, même si le problème est masculin comme vient de le dire Stana.

C'est un peu comme le porc, 1000 raisons d'en manger ou de ne pas en manger, mais au final ils n'en mangent pas, parce que c'est prescrit.

Un peu comme prôner la tolérance et le respect de l'autre quand on interdit aux gens adultes d'avoir la sexualité de leurs choix entre partenaires consentants, quand on tolère qu'un musulman épouse une femme non musulmane, mais pas qu'une femme musulmane épouse un non musulman.

Si un père de famille chrétien ( pratiquant ou non) refuse que sa fille fréquente un musulman, c'est un "islamophobe", si un père de famille musulman se retrouve en situation similaire, c'est religieux, cultuel, culturel, il faut respecter.

Un chrétien dira qu'il ne peut manger une viande sacrifiée à une idole et que donc il ne peut manger Halal, il se trompe, parce que le Coran a rendu la viande égorgée envers sa ka'ba licite et bonne pour lui.

etc etc... Il ne faut pas chercher de logique dans une théocratie comme l'Islam, la logique islamique ne peut être perçu que si l'on est musulman , ou si l'on fait un travail psychologique pour savoir ce qui se passe quand on croit comme eux que le Coran est "l'incarnation en Livre de la Parole divine", l'inlivration.


A partir de là et progressivement on commence à comprendre ce qui dicte leurs vies, les observations deviennent plus claires.

[_zakari]

En touchant au voile , on remet en cause le voile de la kaa ba

S'est intéressant pour le choc matière et anti matière (comme exemple d'actualité ) ou il n'y aurait plus de secret
Et comme la kaa ba est le pôle ou coeur , s'est l'émotionnel qui va en prendre un coup et s'est également au travers de l'émotionnel lié à l' anthropomorphisme (christianisme de culture avec toutes ses branches , même non pratiquant ) que cela se soulève

face-bock est un aspect similaire avec son face a face

[SkyD]

Le port du voile est dicté par le Coran, on aura beau retourné la question dans tous les sens, ça sera toujours écrit, même si le problème est masculin comme vient de le dire Stana.

Peut-être pas.
Selon Sami Aldeeb, le verset qui parle du voile pourrait très bien avoir un sens différent.

Voilà ce qu'il en est:
Le Coran de Sami Aldeeb propose une nouvelle traduction d'un célèbre verset qui intime aux femmes l'ordre de porter un voile: «Dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur sexe, de ne faire apparaître de leur ornement que ce qui est apparent et de rabattre leurs voiles sur leurs fentes.» «Fente» est ici un synonyme de «sexe» selon le chercheur. Le terme arabe «juyub» est utilisé dans une variante d'un verset du Coran «dans le sens de la fente du corps de la femme», précise la note qui accompagne la traduction. D'autres traductions du Coran proposent poitrine, échancrures, gorges, seins.

«A l'époque du Prophète, les femmes portaient des vêtements flottants qui n'étaient pas fermés devant, explique Sami Aldeeb. En marchant, il arrivait qu'elles découvrent leur sexe. C'est pourquoi il m'a semblé plus vraisemblable que Mahomet ait demandé aux femmes de couvrir leur sexe plutôt que leur poitrine.» [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

[_Justícia]

Je suis pour la libre parole, mais Zakari parasite les fils. :(

[_Justícia]

J'apprécie beaucoup les travaux de Sami Aldeeb, ce Palestinien chrétien, il s'y connait.

Son défaut, tout comme des islamologues particulièrement érudits : Il n'est pas musulman donc sa perception et sa vision ne seront jamais vraiment crédibles à moins d'etre reprises par des oulémas.

Luxenberg qui tente l'approche syro-araméenne du Coran était peut être dans le juste aussi, mais il remet en question le dogme islamique tout entier, insupportable pour les leaders, donc Fatwa.

Ce n'est pas rien ce qu'il disait, par exemple les Houris ne sont pas des vierges mais des raisins délicieux.
La nuit du Destin , Jour le plus sacré du mois le plus sacré serait la Nuit de la Nativité,Noel, Mahomet ne serait pas le dernier et sceau des prophètes mais leur ultime témoin etc etc... insupportable pour eux. L'homme qui prend un pseudo est philologue étudie l'arabe littéraire ( Coranique ) et l'arabe classique ( pré islamique) , l'araméen et le syriaque langues parlées par des croyants juifs et nazaréens dans la péninsule arabique. Les musulmans y ont vu un danger potentiel et ont menacé sous couvert du Blasphème.

[_bradou]

..Quels raisonnements imbéciles,vous ne trouvez pas?Et ce manque de tolérance,ce mépris affiché...

Je ne sais pas comment il faut juger ce raisonnement.....mais j'ai déjà eu l'occasion de citer ici un passage du "manifeste" où Marx, dont personne ne peut nier l'intransigeance, affirmait au 19° siècle que le communisme des femmes était DEJA réalisé dans le monde occidental. Que dirait-il s'il avait vécu plus longtemps?
C'est sans doute cela que l'ami qui parle de la burqa refuse de voir s'instaurer en pays d'islam.

[stana]

Peut-être bien,en effet.Imbécile n'est sans doute pas le mot,plutôt étriqué.Ce que j'ai dis n'est pas du racisme.Ces hommes musulmans-ou femmes d'ailleurs-qui méprisent les femmes ayant un style vestimentaire et mode de vie différent ont certe le courage de leurs opinions,mais n'ont aucun droit de juger ceux et celles qui agissent autrement.C'est un monde:si un occidental critique les idées de personnes d'origines différentes,il est raciste,et dans le sens inverse,non...

[_bradou]

Peut-être bien,en effet.Imbécile n'est sans doute pas le mot,plutôt étriqué.Ce que j'ai dis n'est pas du racisme.Ces hommes musulmans-ou femmes d'ailleurs-qui méprisent les femmes ayant un style vestimentaire et mode de vie différent ont certe le courage de leurs opinions,mais n'ont aucun droit de juger ceux et celles qui agissent autrement.C'est un monde:si un occidental critique les idées de personnes d'origines différentes,il est raciste,et dans le sens inverse,non...

C'est bien dit et tu as bien raison. Quand ceux et celles qui ne portent pas la burqa, comme c'est le cas de tous les peuples d'Occident, critiquent celles qui en portent une, c'est effectivement comme tu le dis du racisme.

[stana]

Merci,bradou;j'avais peu de m'être mal exprimée.