ECHEC
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ECHEC
ECHEC
Et tu es de retour
De retour dans la mémoire du vieil homme
De retour dans la mémoire du vieil homme épuisé
De revivre inlassablement
De revivre inlassablement obsessionnellement ton retour
Ton retour chaque année chaque mois chaque semaine chaque jour
Et te voila là
Te voilà là comme la première fois
Et te voilà là
Te voilà là comme la dernière fois
C'était au temps de nos vingt ans
Au temps d'un printemps de seulement deux ans
Deux ans pour vivre et pour mourir
Deux ans pour sourire et se flétrir
Il y avait en ce temps, en ce temps de l'antan
Une mère folle et maudite obscène hystérique
Un père lâche ivrogne fou et rampant
Qui te firent fuir demain comme Satan
Lui je l'ai vu mourir
Elle est seule aujourd'hui
Tous les soirs demande pardon
A toi à nous à lui pardon à l'infini
Alors que tout d'ores et déjà est fini
L'heure est immonde et sans nom
Toi-même dans la tombe peut-être ton prénom
Gravé à côté du nom d'un inconnu celui
Avec qui tu es partie c'était je crois en Italie
En tout cas pas ici mais dans un autre pays une autre ville
Un autre temps une autre vie une autre mémoire
C'est paraît-il le moment de croire, les murs sont jaunis
Ma compagne se vieillit les prés n'ont pas refleuri
Et dessus le lit des ébats abandonnés un vieux crucifix
Puis le chien jaune dans la ruelle étroite qui mène au bistrot
Des cuites qui te racontent en bafouillant la réalité
Pour s'enivrer d'une légende pure et dorée perdue cassée
Des bribes bégayées des pets des hoquets et des rots
Qui donc alors me fera croire que tu es revenue
Que tu es de retour au milieu de tout ce vomi :
Le père dans son trou, et la mère dans son lit
Psalmodiant ses litanies de regrets et de remords
Rejetant le passé tel un déchet et pleurant sans arrêt sur son sort
Tandis que vers minuit le dernier soûlard sort et que moi
Moi aussi je sors pour m'en aller rejoindre celle qui déjà dort
Celle qui depuis longtemps ne m'attend plus la nuit
Alors non, ton regard ébloui en plein midi, ce n'est pas toi qui es là et me souris :
C'est moi dans ma démence les volets clos
L'esprit abruti juste une image brève-claire
Entre deux somnolences hideuses et vaseuses
C'est le souvenir et sa clémence entre deux sanglots
C'est une longue errance dans les terres où tu fus heureuse
Il est quinze heures déjà
Sans un mot ma femme et moi
Hurlons d'indifférence
J'imagine que cette femme c'est toi...
Mon père pouvait mourir sans pleurer
Ma mère n'a plus rien du tout à regretter
Notre amour était mort avant que d'être né
Et me voila là
Me voilà là comme la dernière fois
Je n'avais déjà plus vingt ans j'avais cent ans
Et pourtant, tu sais,
Il y a encore en moi
Comme une âme d'enfant
Et pourtant, tu sais,
Mais à quoi bon, maintenant... .
Et tu es de retour
De retour dans la mémoire du vieil homme
De retour dans la mémoire du vieil homme épuisé
De revivre inlassablement
De revivre inlassablement obsessionnellement ton retour
Ton retour chaque année chaque mois chaque semaine chaque jour
Et te voila là
Te voilà là comme la première fois
Et te voilà là
Te voilà là comme la dernière fois
C'était au temps de nos vingt ans
Au temps d'un printemps de seulement deux ans
Deux ans pour vivre et pour mourir
Deux ans pour sourire et se flétrir
Il y avait en ce temps, en ce temps de l'antan
Une mère folle et maudite obscène hystérique
Un père lâche ivrogne fou et rampant
Qui te firent fuir demain comme Satan
Lui je l'ai vu mourir
Elle est seule aujourd'hui
Tous les soirs demande pardon
A toi à nous à lui pardon à l'infini
Alors que tout d'ores et déjà est fini
L'heure est immonde et sans nom
Toi-même dans la tombe peut-être ton prénom
Gravé à côté du nom d'un inconnu celui
Avec qui tu es partie c'était je crois en Italie
En tout cas pas ici mais dans un autre pays une autre ville
Un autre temps une autre vie une autre mémoire
C'est paraît-il le moment de croire, les murs sont jaunis
Ma compagne se vieillit les prés n'ont pas refleuri
Et dessus le lit des ébats abandonnés un vieux crucifix
Puis le chien jaune dans la ruelle étroite qui mène au bistrot
Des cuites qui te racontent en bafouillant la réalité
Pour s'enivrer d'une légende pure et dorée perdue cassée
Des bribes bégayées des pets des hoquets et des rots
Qui donc alors me fera croire que tu es revenue
Que tu es de retour au milieu de tout ce vomi :
Le père dans son trou, et la mère dans son lit
Psalmodiant ses litanies de regrets et de remords
Rejetant le passé tel un déchet et pleurant sans arrêt sur son sort
Tandis que vers minuit le dernier soûlard sort et que moi
Moi aussi je sors pour m'en aller rejoindre celle qui déjà dort
Celle qui depuis longtemps ne m'attend plus la nuit
Alors non, ton regard ébloui en plein midi, ce n'est pas toi qui es là et me souris :
C'est moi dans ma démence les volets clos
L'esprit abruti juste une image brève-claire
Entre deux somnolences hideuses et vaseuses
C'est le souvenir et sa clémence entre deux sanglots
C'est une longue errance dans les terres où tu fus heureuse
Il est quinze heures déjà
Sans un mot ma femme et moi
Hurlons d'indifférence
J'imagine que cette femme c'est toi...
Mon père pouvait mourir sans pleurer
Ma mère n'a plus rien du tout à regretter
Notre amour était mort avant que d'être né
Et me voila là
Me voilà là comme la dernière fois
Je n'avais déjà plus vingt ans j'avais cent ans
Et pourtant, tu sais,
Il y a encore en moi
Comme une âme d'enfant
Et pourtant, tu sais,
Mais à quoi bon, maintenant... .
Dernière édition par Magnus le Jeu 21 Avr 2011 - 16:21, édité 1 fois
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MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
Re: ECHEC
Mag, dis-nous que c'est pas vrai, que c'est pas toi ...
Mon Dieu, comme on porte en soi de blessures pas fermées, malgré les larmes et puis les rires , l'indifférence feinte et le sourire de bienséance ...
Toutes les peines se ressemblent et ravivent celles qu'on a subies .
Et même si on raconte en vers des histoires inventées, elles touchent en nous des chagrins
qu'on pensait oubliés .
Mon Dieu, comme on porte en soi de blessures pas fermées, malgré les larmes et puis les rires , l'indifférence feinte et le sourire de bienséance ...
Toutes les peines se ressemblent et ravivent celles qu'on a subies .
Et même si on raconte en vers des histoires inventées, elles touchent en nous des chagrins
qu'on pensait oubliés .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
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Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: ECHEC
Confidence pour conflit intense
Ma mère etait comme 1 chappe
au dessus de ma tête
Elle n'est plus, elle est morte
et c'est ma délivrance ..
Merci Mag donc pour ce dépôt
ça dépotte la rentrée ..
Sentence du jour,
Mieux vaut être culottée
qu'être déculottée.. ?
N'est ce pas ma Jo ?
Tu m'as manqué
toi aussi sourire..
Ma mère etait comme 1 chappe
au dessus de ma tête
Elle n'est plus, elle est morte
et c'est ma délivrance ..
Merci Mag donc pour ce dépôt
ça dépotte la rentrée ..
Sentence du jour,
Mieux vaut être culottée
qu'être déculottée.. ?
N'est ce pas ma Jo ?
Tu m'as manqué
toi aussi sourire..
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Humeur : -
Date d'inscription : 16/07/2010
Re: ECHEC
Mais j'aimais bien être déculottée, moi :lol!
Il aimait chantonner Brassens
Je pense parfois, en la chantonnant à mon tour, au petit bonheur posthume qu'il espérait .
Ses yeux , si bleus ...et sa peau de marin, salée, qui gardait l'odeur des cordages et des embruns ...
Ya dla mélancolie chez les survivants, ce matin !
Il aimait chantonner Brassens
La Camarde qui ne m'a jamais pardonné,
D'avoir semé des fleurs dans les trous de son nez,
Me poursuit d'un zèle imbécile.
Alors cerné de près par les enterrements,
J'ai cru bon de remettre à jour mon testament,
De me payer un codicille.
Trempe dans l'encre bleue du Golfe du Lion,
Trempe, trempe ta plume, ô mon vieux tabellion,
Et de ta plus belle écriture,
Note ce qu'il faudra qu'il advint de mon corps,
Lorsque mon âme et lui ne seront plus d'accord,
Que sur un seul point : la rupture.
Quand mon âme aura pris son vol à l'horizon,
Vers celle de Gavroche et de Mimi Pinson,
Celles des titis, des grisettes.
Que vers le sol natal mon corps soit ramené,
Dans un sleeping du Paris-Méditerranée,
Terminus en gare de Sète.
Mon caveau de famille, hélas ! n'est pas tout neuf,
Vulgairement parlant, il est plein comme un œuf,
Et d'ici que quelqu'un n'en sorte,
Il risque de se faire tard et je ne peux,
Dire à ces braves gens : poussez-vous donc un peu,
Place aux jeunes en quelque sorte.
Juste au bord de la mer à deux pas des flots bleus,
Creusez si c'est possible un petit trou moelleux,
Une bonne petite niche.
Auprès de mes amis d'enfance, les dauphins,
Le long de cette grève où le sable est si fin,
Sur la plage de la corniche.
C'est une plage où même à ses moments furieux,
Neptune ne se prend jamais trop au sérieux,
Où quand un bateau fait naufrage,
Le capitaine crie : "Je suis le maître à bord !
Sauve qui peut, le vin et le pastis d'abord,
Chacun sa bonbonne et courage".
Et c'est là que jadis à quinze ans révolus,
A l'âge où s'amuser tout seul ne suffit plus,
Je connu la prime amourette.
Auprès d'une sirène, une femme-poisson,
Je reçu de l'amour la première leçon,
Avalai la première arête.
Déférence gardée envers Paul Valéry,
Moi l'humble troubadour sur lui je renchéris,
Le bon maître me le pardonne.
Et qu'au moins si ses vers valent mieux que les miens,
Mon cimetière soit plus marin que le sien,
Et n'en déplaise aux autochtones.
Cette tombe en sandwich entre le ciel et l'eau,
Ne donnera pas une ombre triste au tableau,
Mais un charme indéfinissable.
Les baigneuses s'en serviront de paravent,
Pour changer de tenue et les petits enfants,
Diront : chouette, un château de sable !
Est-ce trop demander : sur mon petit lopin,
Planter, je vous en prie une espèce de pin,
Pin parasol de préférence.
Qui saura prémunir contre l'insolation,
Les bons amis venus faire sur ma concession,
D'affectueuses révérences.
Tantôt venant d'Espagne et tantôt d'Italie,
Tous chargés de parfums, de musiques jolies,
Le Mistral et la Tramontane,
Sur mon dernier sommeil verseront les échos,
De villanelle, un jour, un jour de fandango,
De tarentelle, de sardane.
Et quand prenant ma butte en guise d'oreiller,
Une ondine viendra gentiment sommeiller,
Avec rien que moins de costume,
J'en demande pardon par avance à Jésus,
Si l'ombre de sa croix s'y couche un peu dessus,
Pour un petit bonheur posthume.
Pauvres rois pharaons, pauvre Napoléon,
Pauvres grands disparus gisant au Panthéon,
Pauvres cendres de conséquence,
Vous envierez un peu l'éternel estivant,
Qui fait du pédalo sur la vague en rêvant,
Qui passe sa mort en vacances.
Vous envierez un peu l'éternel estivant,
Qui fait du pédalo sur la plage en rêvant,
Qui passe sa mort en vacances,
Je pense parfois, en la chantonnant à mon tour, au petit bonheur posthume qu'il espérait .
Ses yeux , si bleus ...et sa peau de marin, salée, qui gardait l'odeur des cordages et des embruns ...
Ya dla mélancolie chez les survivants, ce matin !
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: ECHEC
Pas du tout Jo
La preuve,
Je file faire ma prise de sang..
et je dépose 1 sonnet pour toi pour
ceux qui aiment ..la poésie !
La preuve,
Je file faire ma prise de sang..
et je dépose 1 sonnet pour toi pour
ceux qui aiment ..la poésie !
Curare-- Affranchi des Paradoxes
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Re: ECHEC
Je ne sais pas qui c'est. Peut-être un étranger, à la fois très proche et très lointain, dont j'ai hier partagé les émotions et le sentiment d'échec, que j'ai ici tenté de pousser à leur paroxysme.Jo a écrit:Mag, dis-nous que c'est pas vrai, que c'est pas toi ...
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: ECHEC
l'échec, c'est quand ça nous tue ...autrement, c'est juste une cicatrice de plus . Et les cicatrices, c'est comme des décorations .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: ECHEC
Pour compléter ce tableau d' épouvante, une poésie affreuse de Baudelaire :
Le Vin de l'Assassin
Ma femme est morte, je suis libre!
Je puis donc boire tout mon soûl.
Lorsque je rentrais sans un sou,
Ses cris me déchiraient la fibre.
5 Autant qu'un roi je suis heureux;
L'air est pur, le ciel admirable...
Nous avions un été semblable
Lorsque j'en devins amoureux!
L'horrible soif qui me déchire
10 Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut tenir
Son tombeau; — ce n'est pas peu dire:
Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle
15 Tous les pavés de la margelle.
— Je l'oublierai si je le puis!
Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier,
Et pour nous réconcilier
20 Comme au beau temps de notre ivresse,
J'implorai d'elle un rendez-vous,
Le soir, sur une route obscure.
Elle y vint — folle créature!
Nous sommes tous plus ou moins fous!
25 Elle était encore jolie,
Quoique bien fatiguée! et moi,
Je l'aimais trop! voilà pourquoi
Je lui dis: Sors de cette vie!
Nul ne peut me comprendre. Un seul
30 Parmi ces ivrognes stupides
Songea-t-il dans ses nuits morbides
A faire du vin un linceul?
Cette crapule invulnérable
Comme les machines de fer
35 Jamais, ni l'été ni l'hiver,
N'a connu l'amour véritable,
Avec ses noirs enchantements,
Son cortège infernal d'alarmes,
Ses fioles de poison, ses larmes,
40 Ses bruits de chaîne et d'ossements!
— Me voilà libre et solitaire!
Je serai ce soir ivre mort;
Alors, sans peur et sans remords,
Je me coucherai sur la terre,
45 Et je dormirai comme un chien!
Le chariot aux lourdes roues
Chargé de pierres et de boues,
Le wagon enragé peut bien
Ecraser ma tête coupable
50 Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu,
Du Diable ou de la Sainte Table!
Le Vin de l'Assassin
Ma femme est morte, je suis libre!
Je puis donc boire tout mon soûl.
Lorsque je rentrais sans un sou,
Ses cris me déchiraient la fibre.
5 Autant qu'un roi je suis heureux;
L'air est pur, le ciel admirable...
Nous avions un été semblable
Lorsque j'en devins amoureux!
L'horrible soif qui me déchire
10 Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut tenir
Son tombeau; — ce n'est pas peu dire:
Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle
15 Tous les pavés de la margelle.
— Je l'oublierai si je le puis!
Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier,
Et pour nous réconcilier
20 Comme au beau temps de notre ivresse,
J'implorai d'elle un rendez-vous,
Le soir, sur une route obscure.
Elle y vint — folle créature!
Nous sommes tous plus ou moins fous!
25 Elle était encore jolie,
Quoique bien fatiguée! et moi,
Je l'aimais trop! voilà pourquoi
Je lui dis: Sors de cette vie!
Nul ne peut me comprendre. Un seul
30 Parmi ces ivrognes stupides
Songea-t-il dans ses nuits morbides
A faire du vin un linceul?
Cette crapule invulnérable
Comme les machines de fer
35 Jamais, ni l'été ni l'hiver,
N'a connu l'amour véritable,
Avec ses noirs enchantements,
Son cortège infernal d'alarmes,
Ses fioles de poison, ses larmes,
40 Ses bruits de chaîne et d'ossements!
— Me voilà libre et solitaire!
Je serai ce soir ivre mort;
Alors, sans peur et sans remords,
Je me coucherai sur la terre,
45 Et je dormirai comme un chien!
Le chariot aux lourdes roues
Chargé de pierres et de boues,
Le wagon enragé peut bien
Ecraser ma tête coupable
50 Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu,
Du Diable ou de la Sainte Table!
bernard1933- Aka Tpat
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Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
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Re: ECHEC
Ferré a admirablement chanté ce texte... .
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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Re: ECHEC
Sais-tu, Magnus, que ton poème me semble déchirant comme une chanson de Brel?
Terrible obsession de l'amour perdu...
Tu trouves vraiment les mots pour le dire...
Terrible obsession de l'amour perdu...
Tu trouves vraiment les mots pour le dire...
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Identité métaphysique : qu'importe
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Re: ECHEC
zut, on est en train de tomber amoureuses ! Quel coquin, ce Magnus
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Localisation : france du sud
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Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: ECHEC
Eh! Jo! Cool!
N'en a-t-il pas assez bavé?
N'en a-t-il pas assez bavé?
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Date d'inscription : 12/04/2008
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