Jours de 2010
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Re: Jours de 2010
Voilà, grâce aux encouragement de notre amie Tarentule, j'ai continué le poème : pas bien gai, mais tu remarqueras, Cochon, comment notre échange évolue... de plus en plus spleen, comme elle dirait. Si tu veux continuer.... à toi.
Un livre jamais clos, où se sont épanché
Tant d'êtres. Tant de pages noircies où s'amoncèlent
Paroles de sagesse ou propos désabusés...
Les écrits dans leur tout ont valeur éternelle.
Certains livres ne s'ouvrent pas sans tremblements,
Alors que d'autres ne servent qu'à colmater
Des vides sur l'étagère, car ils sont pesants.
Sur le mur du salon ils vont un peu briller.
Je n'ai pas de penchant pour les textes mystiques.
Ils ne me font point rire, s'ils sont consolation
Pour ceux qui veulent croire à ces voix prophétiques
Et trouvent le repos dans la méditation.
Seuls les mots, ces cailloux, sont peut-être éternels,
Et leur rumeur aussi, qui dit avec passion
Le bonheur, le malheur, l'espoir sempiternel
Qui roule et roule encor dans nos belles fictions.
Les hommes sont bien fous, vacant à leurs affaires
Ou se berçant de folles imaginations.
Mais qui d'abord les a jetés sur cette terre,
Et quand finira cette course sans raison ?
Je préfère penser au Prince et à sa Rose ;
Ne plus rien faire d'autre, et céder à l'envie
De me taire ou d'écrire en vers ou bien en prose
Ou écouter les voix qui chantent dans la nuit.
Un livre jamais clos, où se sont épanché
Tant d'êtres. Tant de pages noircies où s'amoncèlent
Paroles de sagesse ou propos désabusés...
Les écrits dans leur tout ont valeur éternelle.
Certains livres ne s'ouvrent pas sans tremblements,
Alors que d'autres ne servent qu'à colmater
Des vides sur l'étagère, car ils sont pesants.
Sur le mur du salon ils vont un peu briller.
Je n'ai pas de penchant pour les textes mystiques.
Ils ne me font point rire, s'ils sont consolation
Pour ceux qui veulent croire à ces voix prophétiques
Et trouvent le repos dans la méditation.
Seuls les mots, ces cailloux, sont peut-être éternels,
Et leur rumeur aussi, qui dit avec passion
Le bonheur, le malheur, l'espoir sempiternel
Qui roule et roule encor dans nos belles fictions.
Les hommes sont bien fous, vacant à leurs affaires
Ou se berçant de folles imaginations.
Mais qui d'abord les a jetés sur cette terre,
Et quand finira cette course sans raison ?
Je préfère penser au Prince et à sa Rose ;
Ne plus rien faire d'autre, et céder à l'envie
De me taire ou d'écrire en vers ou bien en prose
Ou écouter les voix qui chantent dans la nuit.
Re: Jours de 2010
Un ange cette nuit sur mon lit s'est penché,
Son souffle a rafraîchi mon vieux front qui ruisselle.
Par les mots de cet ange, un instant abusé,
Je goûtais d'un jardin la douceur éternelle.
Ce jardin fut celui des tous premiers amants,
Eve et le père Adam qui ne surent mater
Le serpent, éveilleur de leur mauvais penchant;
Et de ce jour leurs yeux n'ont cessé de briller.
En rêve je revis ce grand jardin mystique.
Eve et Adam, voici votre consolation:
On rencontre aujourd'hui des anges prophétiques
Qui portent au jardin notre méditation.
Les rêves, cependant, ne sont pas éternels,
Pas même ceux qui sont livrés à nos passions.
Mais merci pour ce peu, Seigneur, Dieu paternel,
Toi qui pour moi n'es rien qu'un rêve, une fiction.
J'ai fini de dormir, je vais à mes affaires,
J'évite d'exciter mon imagination.
On peut vivre peinard sur cette vieille Terre,
Manger et travailler et garder sa raison.
Je ne suis pas un prince, et elle n'est pas rose;
Mais nous nous parlerons, si ça nous fait envie,
Dans le jardin d'Eden qu'un ruisselet arrose,
Où l'ange nous transporte en rêve chaque nuit.
Son souffle a rafraîchi mon vieux front qui ruisselle.
Par les mots de cet ange, un instant abusé,
Je goûtais d'un jardin la douceur éternelle.
Ce jardin fut celui des tous premiers amants,
Eve et le père Adam qui ne surent mater
Le serpent, éveilleur de leur mauvais penchant;
Et de ce jour leurs yeux n'ont cessé de briller.
En rêve je revis ce grand jardin mystique.
Eve et Adam, voici votre consolation:
On rencontre aujourd'hui des anges prophétiques
Qui portent au jardin notre méditation.
Les rêves, cependant, ne sont pas éternels,
Pas même ceux qui sont livrés à nos passions.
Mais merci pour ce peu, Seigneur, Dieu paternel,
Toi qui pour moi n'es rien qu'un rêve, une fiction.
J'ai fini de dormir, je vais à mes affaires,
J'évite d'exciter mon imagination.
On peut vivre peinard sur cette vieille Terre,
Manger et travailler et garder sa raison.
Je ne suis pas un prince, et elle n'est pas rose;
Mais nous nous parlerons, si ça nous fait envie,
Dans le jardin d'Eden qu'un ruisselet arrose,
Où l'ange nous transporte en rêve chaque nuit.
Re: Jours de 2010
Tarentule Acidulée a écrit:Là on commence à jouer dans la cour des grands mes chers amis -
Ah ? Je croyais qu'on jouait à la marelle !
Re: Jours de 2010
Oui Babylon de la Terre , vers le ciel , puis l'enfer ...
Je suis un peu destabilisée ...qu'est ce qu'il m'arrive ce matin...
Je suis un peu destabilisée ...qu'est ce qu'il m'arrive ce matin...
Invité- Invité
Re: Jours de 2010
Dans mon rêve à moi, je jouais à la marelle
Avec un vieux savant un peu désabusé
Qui parlait d'un jardin où sans cesse ruissèlent
Des courants d'eau claire sous des roseaux penchés.
Il disait avoir vu un soir en s'endormant
Le jardin merveilleux, où Eve il pu mater
Tandis qu'elle écoutait, ravie l'ancien serpent
Et mordait dans le fruit interdit à Adam.
Il vit tout se produire en ce jardin mystique :
Des deux amants la première fornication,
Et de même entendit un grand cri prophétique
Vouant Adam et Eve à la malédiction.
C'est depuis ce soir-là qu'il jette ses cailloux
Sur les cases marquant la voie du Paradis.
Il maudit tous les jours le serpent, ce voyou,
Mais pour la bagatelle, la bête il remercie.
Nous le savons tous deux : cela n'est que fiction,
Mais nous nous amusons chaque jour à ce jeu :
Jeunes et vieux y jouent toujours avec passion
Sous les yeux fort gênés de leurs différents dieux.
De mon rêve éveillée, je vaque à mes affaires.
J'arrose mon jardin, sans imagination,
Surtout les roses, le soir, quand trop sèche est la terre :
Mon jardin n'est point au ciel et n'est point fiction.
Avec un vieux savant un peu désabusé
Qui parlait d'un jardin où sans cesse ruissèlent
Des courants d'eau claire sous des roseaux penchés.
Il disait avoir vu un soir en s'endormant
Le jardin merveilleux, où Eve il pu mater
Tandis qu'elle écoutait, ravie l'ancien serpent
Et mordait dans le fruit interdit à Adam.
Il vit tout se produire en ce jardin mystique :
Des deux amants la première fornication,
Et de même entendit un grand cri prophétique
Vouant Adam et Eve à la malédiction.
C'est depuis ce soir-là qu'il jette ses cailloux
Sur les cases marquant la voie du Paradis.
Il maudit tous les jours le serpent, ce voyou,
Mais pour la bagatelle, la bête il remercie.
Nous le savons tous deux : cela n'est que fiction,
Mais nous nous amusons chaque jour à ce jeu :
Jeunes et vieux y jouent toujours avec passion
Sous les yeux fort gênés de leurs différents dieux.
De mon rêve éveillée, je vaque à mes affaires.
J'arrose mon jardin, sans imagination,
Surtout les roses, le soir, quand trop sèche est la terre :
Mon jardin n'est point au ciel et n'est point fiction.
Re: Jours de 2010
Tarentule Acidulée a écrit:Oui Babylon de la Terre , vers le ciel , puis l'enfer ...
Je suis un peu destabilisée ...qu'est ce qu'il m'arrive ce matin...
Très bien, l'idée de la marelle : voir ci-dessous. Ou plutôt ci-dessus.
Re: Jours de 2010
Ce forum, il ressemble à un jeu de marelle
Dans une cour d'école où le sol est usé,
Et les murs de la cour portent des aquarelles.
Attentifs les joueurs, sur le parcours penchés.
Plus tard leur reviendra, au lit, en s'endormant,
Cet endroit merveilleux où rien ne sut compter
Que la facile piste où, malgré le serpent,
La voie du paradis est bonne pour Adam.
Jamais rien n'avait lieu en cet endroit mystique.
Pas de meurtre, de vol, ni de fornication,
Cet endroit est pourtant hautement prophétique
Des grands bonheurs des gens et des malédictions.
Car nos désirs ne sont guère que des cailloux
Valant moins qu'un centime et bien moins qu'un radis.
On fait feu de tout bois quand on est un voyou,
On veut que la donzelle à tout coup remercie.
Un amour partagé n'est pas de la fiction,
Ce n'est pas une arnaque et ce n'est pas un jeu.
C'est la vie, c'est la mort, et c'est notre passion
Sous les yeux fort pensifs des tristes envieux.
Ce qui compte vraiment, bien sûr, c'est les affaires.
Il faut leur consacrer notre imagination,
Gardons, si nous pouvons, un peu les pieds sur terre;
Trop d'amour peut conduire à la désolation.
Dans une cour d'école où le sol est usé,
Et les murs de la cour portent des aquarelles.
Attentifs les joueurs, sur le parcours penchés.
Plus tard leur reviendra, au lit, en s'endormant,
Cet endroit merveilleux où rien ne sut compter
Que la facile piste où, malgré le serpent,
La voie du paradis est bonne pour Adam.
Jamais rien n'avait lieu en cet endroit mystique.
Pas de meurtre, de vol, ni de fornication,
Cet endroit est pourtant hautement prophétique
Des grands bonheurs des gens et des malédictions.
Car nos désirs ne sont guère que des cailloux
Valant moins qu'un centime et bien moins qu'un radis.
On fait feu de tout bois quand on est un voyou,
On veut que la donzelle à tout coup remercie.
Un amour partagé n'est pas de la fiction,
Ce n'est pas une arnaque et ce n'est pas un jeu.
C'est la vie, c'est la mort, et c'est notre passion
Sous les yeux fort pensifs des tristes envieux.
Ce qui compte vraiment, bien sûr, c'est les affaires.
Il faut leur consacrer notre imagination,
Gardons, si nous pouvons, un peu les pieds sur terre;
Trop d'amour peut conduire à la désolation.
Re: Jours de 2010
On reprend le jeu ?
Mais quand le soir vient comme une douce aquarelle
Colorer les vieux murs et les volets usés,
Les enfants s'en vont en courant dans les ruelles
Ou par les avenues aux grands arbres penchés.
Parfois dans mon lit je repense en m'endormant
A ce temps merveilleux où tout pouvait compter :
Un caillou, une plume, sous mon regard d'enfant
Pour jouer aux Indiens ou pour collectionner.
Ce forum a parfois cette valeur mystique :
On y vient bien souvent, dans ce monde fiction.
Nous prenons aux sérieux les phrases prophétiques
Et nous nous consolons de nos malédictions.
On peut s'y lancer des mots comme des cailloux
En gamins effrontés se voulant impunis ;
Nous moquer du prochain en vulgaires voyoux
Ou réconforter l'autre par quelque mot gentil.
Ce n'est qu'une marelle où nous nous retrouvons,
Oubliant pour un temps que tout n'est pas un jeu,
Tel l'amour partage, la vie et ses passions :
L'arnaque est interdite quand on vit à deux.
Car adultes nous sommes, il n'y a rien à faire ;
S'il est vrai que l'on peut, en imagination,
Jouer à la marelle, Paradis et Enfer,
Échapper au réel, à sa désolation.
Mais quand le soir vient comme une douce aquarelle
Colorer les vieux murs et les volets usés,
Les enfants s'en vont en courant dans les ruelles
Ou par les avenues aux grands arbres penchés.
Parfois dans mon lit je repense en m'endormant
A ce temps merveilleux où tout pouvait compter :
Un caillou, une plume, sous mon regard d'enfant
Pour jouer aux Indiens ou pour collectionner.
Ce forum a parfois cette valeur mystique :
On y vient bien souvent, dans ce monde fiction.
Nous prenons aux sérieux les phrases prophétiques
Et nous nous consolons de nos malédictions.
On peut s'y lancer des mots comme des cailloux
En gamins effrontés se voulant impunis ;
Nous moquer du prochain en vulgaires voyoux
Ou réconforter l'autre par quelque mot gentil.
Ce n'est qu'une marelle où nous nous retrouvons,
Oubliant pour un temps que tout n'est pas un jeu,
Tel l'amour partage, la vie et ses passions :
L'arnaque est interdite quand on vit à deux.
Car adultes nous sommes, il n'y a rien à faire ;
S'il est vrai que l'on peut, en imagination,
Jouer à la marelle, Paradis et Enfer,
Échapper au réel, à sa désolation.
Ce que les mots ont fait, peuvent-ils le défaire?
Es-tu donc, poésie, ma langue naturelle?
Mon coeur de tes accents peut-il encore user?
C'est d'avoir une muse et de compter sur elle
Qui m'a fait ces chansons et ces vers composer.
La muse et le mentor loin de l'autre dormant
Ne savent s'ils pourront l'un sur l'autre compter.
Un mentor ne doit pas devenir un amant,
Si pareille aventure il ne sait affronter.
Ce forum est ouvert aux délires mystiques,
Ce n'est pas un endroit pour chercher l'affection,
Ni pour vouloir tenir des discours prophétiques,
Ni déverser sur Dieu quelques malédictions.
Comme un ruisseau courant qui roule les cailloux,
La vie nous pousse et roule, unit et désunit
La bergère et le gueux, la dame et le voyou;
Ils n'iront boire ensemble au troquet de Cluny.
Les chemins sur lesquels, toi et moi, nous passions,
Les larmes, le bon temps, la tristesse et le jeu,
Nous avons tout brûlé dans l'excès de passion;
Même les jours d'hiver peuvent être orageux.
Ce que les mots ont fait, peuvent-ils le défaire?
Travaille sur cela, mon imagination!
Qui peut rien que de mots son âme satisfaire?
Un mot de toi serait tendre consolation.
Mon coeur de tes accents peut-il encore user?
C'est d'avoir une muse et de compter sur elle
Qui m'a fait ces chansons et ces vers composer.
La muse et le mentor loin de l'autre dormant
Ne savent s'ils pourront l'un sur l'autre compter.
Un mentor ne doit pas devenir un amant,
Si pareille aventure il ne sait affronter.
Ce forum est ouvert aux délires mystiques,
Ce n'est pas un endroit pour chercher l'affection,
Ni pour vouloir tenir des discours prophétiques,
Ni déverser sur Dieu quelques malédictions.
Comme un ruisseau courant qui roule les cailloux,
La vie nous pousse et roule, unit et désunit
La bergère et le gueux, la dame et le voyou;
Ils n'iront boire ensemble au troquet de Cluny.
Les chemins sur lesquels, toi et moi, nous passions,
Les larmes, le bon temps, la tristesse et le jeu,
Nous avons tout brûlé dans l'excès de passion;
Même les jours d'hiver peuvent être orageux.
Ce que les mots ont fait, peuvent-ils le défaire?
Travaille sur cela, mon imagination!
Qui peut rien que de mots son âme satisfaire?
Un mot de toi serait tendre consolation.
Re: Jours de 2010
On ne joue plus, alors.
D'ailleurs, à quoi ça sert ?
Chercher le ciel ou bien la terre
Essayer enfin d'y voir clair
Dans ce chaos de mots.
D'ailleurs, à quoi ça sert ?
Chercher le ciel ou bien la terre
Essayer enfin d'y voir clair
Dans ce chaos de mots.
Re: Jours de 2010
merci, Cochonfucius et Babylon!
J'ai suivi pas à pas votre chemin mystique
Avec vous j'ai croisé la rose et son p'tit prince
j'ai préféré me taire et rester dans l'optique
de votre échange fort, rester dans ma province
Et garder tous les mots qu'un jour vous échangeâtes
Pour les soirs de détresses, où même les sonates
De Beethoven ou Mozart me laissent indifférente
J'ai suivi pas à pas votre chemin mystique
Avec vous j'ai croisé la rose et son p'tit prince
j'ai préféré me taire et rester dans l'optique
de votre échange fort, rester dans ma province
Et garder tous les mots qu'un jour vous échangeâtes
Pour les soirs de détresses, où même les sonates
De Beethoven ou Mozart me laissent indifférente
Invité- Invité
Re: Jours de 2010
De Plaisir à Paris, il n'y a que quelques kilomètres!
Que je franchis allègrement pour boire un petit thé dans le quartier latin !
Que je franchis allègrement pour boire un petit thé dans le quartier latin !
Invité- Invité
Re: Jours de 2010
Mais c'est un peu triste de voir se fil se fermer. Tout fil a une fin, je sais, mais... Sais-tu, Cochon, qu'il m' énormément apporté ? (Dixit psy)
Re: Jours de 2010
Jours de deux mille et dix
Restent encore deux cent cinquante
"Le sage est calme et serein.
L'homme de peu est toujours accablé de soucis."
Etre calme et serein, qui s'en vante?
Cochonfucius est sage,
mais il n'est pas un saint .
Confucius,tant pis, tournons la page !
Restent encore deux cent cinquante
"Le sage est calme et serein.
L'homme de peu est toujours accablé de soucis."
Etre calme et serein, qui s'en vante?
Cochonfucius est sage,
mais il n'est pas un saint .
Confucius,tant pis, tournons la page !
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Jours de 2010
JO a écrit:
"Le sage est calme et serein.
L'homme de peu est toujours accablé de soucis."
Elle est de qui, cette citation ?
Re: Jours de 2010
Confucius, of course
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Jours de 2010
Je savais pas. Tu lis du Confucius ? Moi je connais que le Cochonfucius (un brin plus moderne -enfin ile me semble d'après ce que je glâne de propos Confuciusiens, ça et là)
Re: Jours de 2010
Je ne le lis pas : je feuillette Google pour essayer de répondre dans le sujet .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Jours de 2010
Pour lire du Confucius
http://www.confucius.org/lunyu/langf.htm
en français (j'aime beaucoup le chapitre 2 avec l'étoile polaire)
http://www.confucius.org/lunyu/langf.htm
en français (j'aime beaucoup le chapitre 2 avec l'étoile polaire)
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