Mes premiers pas vers Dieu
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JO
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Mes premiers pas vers Dieu
Mes premiers vers Dieu:
Aujourd'hui je rends grâce à Dieu, de m'avoir fait privilégier, dans mon enfance, la voie qui m’autorise à tendre vers sa Toute-puissance, plutôt que de favoriser une évolution infructueuse.
Me contentant passablement de ce que la société m'a diffusé et qui ne m'a en aucun cas satisfaite, mon ouvrage est une interminable analyse réalisée par des observations et des études sur la compréhension de soi.
Comprendre la nature humaine, rechercher si notre développement est dû au mécanisme du spontané ou à une forme majestueuse qui dépasse notre entendement.
Les apprentissages réalisés m'ont permis de rejoindre Descartes et de réaffirmer la naissance de l'être. Il se construit à notre insu par rapport à nos inclinaisons, à l'effigie divine ou en une masse difforme, si nous ne faisons rien pour l'aider à se constituer, pour naître, et vivre dans un espace éternel.
Ma recherche spirituelle débuta en France.
Comme beaucoup d'émigrés de Tunisie, mes parents, pour échapper à la pauvreté, tentèrent en 1963 l'aventure de l'immigration, en nous installant en région parisienne.
Leur intégration se fit sans difficultés. Motivés par l'espoir qui se profilait à l'horizon, ils pouvaient parler d'avenir sans avoir peur du lendemain.
Une fois insérés, dans cette nouvelle vie, prometteuse de paix, ils se rendirent compte par la suite, de la difficulté à reformer leur espace spirituel.
Comme tous les expatriés, ils durent composer pour alimenter leur flamme, dans un pays, qui conjugue une religion qui diffère de la leur.
Comment inculquer le culte musulman, quand le pays d'accueil, se réfère à une autre doctrine ?
Du haut de mes sept ans je ne possédais pas la mesure de percevoir leurs difficultés.
J'étais animée par l'intérêt de connaître les us et les coutumes de ce peuple au contour affable.
Mes pas, m'entraînèrent vers l'église de notre ville. Je poussais la grande porte en bois qui n'était pas fermée.
Avec une sensation de crainte et de curiosité, prudemment j'avançais dans cette grande salle, au plafond creux, sous sa hauteur majestueuse imagée de peintures de l’humanité d’un autre temps.
Je vis à ma droite une imposante icône, celle d'une mère d'un grand charme, tenant dans ses bras un enfant. Posés sur le sol à ses pieds, des cierges allumés.
A ma gauche, un autre buste, celui d'une silhouette jeune, ayant entre ses mains une rose pourpre et un chapelet.
Tout en continuant d'errer, mes yeux se fixèrent sur l'autel séduisant. Accrochée au mur, une statue, celle d'un homme crucifié.
Malgré la peur, que j'éprouvais à cet instant, je trouvais le courage de courir vers la porte. Cette nuit-là, je ne pouvais pas pénétrer le sommeil. Dans mon lit, j'étais paralysée par la vision d'horreur.
Dès que je fermais les yeux, je revoyais sa souffrance dessinée avec soins.
Des plaies ouvertes à l'endroit de son noble cœur, des épines en fer tressées comme une couronne, fixées sur sa tête, le sang qui suintait sur son visage.
Ce diagramme d'effroi, m'envahit littéralement.
J'avais besoin pour continuer à vivre, de savoir qui était cet homme châtié. Je débutais ainsi ma quête vers notre Concepteur.
(On dit bien que les desseins de Dieu, sont impénétrables.)
J'étais plus motivée par mes tâtonnements sur le culte catholique, que par mon enseignement scolaire, relégué au second plan.
J'avais l'empreinte robuste d'une soif incessante, marchant dans le désert, avec le soleil du jour qui m'embrasait à chaque instant, et le ciré hostile de la nuit qui m'assénait le corps.
C'est ainsi qu'en allant vers l'exploration de ce peuple accueillant, je repérais au cours d'une flânerie dans un vide grenier, un livre qui devint mon outil d'inspiration.
Il relatait l'autobiographie de Thérèse de Lisieux. Ce consigné qui se laissait lire, me fit approcher une dimension nouvelle, l'univers inhabituel d'un être exceptionnel.
Je découvrais au fur et à mesure de ma lecture, son milieu familial, habité par la foi, qui domine leur sentir.
L'exprimé décrit avec une nitescence1 brillante, comment après son frère qui était entré dans les ordres, elle fut touchée à son tour par la même foi attisée, de suivre le passage percé par son complice, vers le manifeste astral.
Elle adjura ses parents, de lui consentir à souscrire, à son tour dans les installations de Dieu. Afin de consacrer entièrement sa dévotion à Jésus, par Amour.
Dans la contrition ils durent accepter, de se séparer de leur chair, comme ils l'avaient fait de leur fils, pour qu'elle accomplisse, la Volonté du Perpétuel. (Quelle épreuve douloureuse, cela a dû être pour eux ?)
Dans la sérénité, elle abandonna ses aisances habituelles, les troquant dans la fébrilité, contre une petite robe noire ajustée à l’attachement de l'Impérissable.
La petite-fille que j'étais, n'a pas pu traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une exaltation de privations et de chagrins. À l'inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions et les privations, pour faire partie de ma vie.
La seule chose qui me rapprochait d'elle, c'était le dévouement constant, au Versant Inconditionnel véhiculant sa fortune. Dieu qui nous mieux que nous nous connaissons savait qu’avec Sœur, je ne pourrais qu’être touché par l’Amour qu’elle transcende pour Dieu et Jésus.
Nacre[img][/img]
Aujourd'hui je rends grâce à Dieu, de m'avoir fait privilégier, dans mon enfance, la voie qui m’autorise à tendre vers sa Toute-puissance, plutôt que de favoriser une évolution infructueuse.
Me contentant passablement de ce que la société m'a diffusé et qui ne m'a en aucun cas satisfaite, mon ouvrage est une interminable analyse réalisée par des observations et des études sur la compréhension de soi.
Comprendre la nature humaine, rechercher si notre développement est dû au mécanisme du spontané ou à une forme majestueuse qui dépasse notre entendement.
Les apprentissages réalisés m'ont permis de rejoindre Descartes et de réaffirmer la naissance de l'être. Il se construit à notre insu par rapport à nos inclinaisons, à l'effigie divine ou en une masse difforme, si nous ne faisons rien pour l'aider à se constituer, pour naître, et vivre dans un espace éternel.
Ma recherche spirituelle débuta en France.
Comme beaucoup d'émigrés de Tunisie, mes parents, pour échapper à la pauvreté, tentèrent en 1963 l'aventure de l'immigration, en nous installant en région parisienne.
Leur intégration se fit sans difficultés. Motivés par l'espoir qui se profilait à l'horizon, ils pouvaient parler d'avenir sans avoir peur du lendemain.
Une fois insérés, dans cette nouvelle vie, prometteuse de paix, ils se rendirent compte par la suite, de la difficulté à reformer leur espace spirituel.
Comme tous les expatriés, ils durent composer pour alimenter leur flamme, dans un pays, qui conjugue une religion qui diffère de la leur.
Comment inculquer le culte musulman, quand le pays d'accueil, se réfère à une autre doctrine ?
Du haut de mes sept ans je ne possédais pas la mesure de percevoir leurs difficultés.
J'étais animée par l'intérêt de connaître les us et les coutumes de ce peuple au contour affable.
Mes pas, m'entraînèrent vers l'église de notre ville. Je poussais la grande porte en bois qui n'était pas fermée.
Avec une sensation de crainte et de curiosité, prudemment j'avançais dans cette grande salle, au plafond creux, sous sa hauteur majestueuse imagée de peintures de l’humanité d’un autre temps.
Je vis à ma droite une imposante icône, celle d'une mère d'un grand charme, tenant dans ses bras un enfant. Posés sur le sol à ses pieds, des cierges allumés.
A ma gauche, un autre buste, celui d'une silhouette jeune, ayant entre ses mains une rose pourpre et un chapelet.
Tout en continuant d'errer, mes yeux se fixèrent sur l'autel séduisant. Accrochée au mur, une statue, celle d'un homme crucifié.
Malgré la peur, que j'éprouvais à cet instant, je trouvais le courage de courir vers la porte. Cette nuit-là, je ne pouvais pas pénétrer le sommeil. Dans mon lit, j'étais paralysée par la vision d'horreur.
Dès que je fermais les yeux, je revoyais sa souffrance dessinée avec soins.
Des plaies ouvertes à l'endroit de son noble cœur, des épines en fer tressées comme une couronne, fixées sur sa tête, le sang qui suintait sur son visage.
Ce diagramme d'effroi, m'envahit littéralement.
J'avais besoin pour continuer à vivre, de savoir qui était cet homme châtié. Je débutais ainsi ma quête vers notre Concepteur.
(On dit bien que les desseins de Dieu, sont impénétrables.)
J'étais plus motivée par mes tâtonnements sur le culte catholique, que par mon enseignement scolaire, relégué au second plan.
J'avais l'empreinte robuste d'une soif incessante, marchant dans le désert, avec le soleil du jour qui m'embrasait à chaque instant, et le ciré hostile de la nuit qui m'assénait le corps.
C'est ainsi qu'en allant vers l'exploration de ce peuple accueillant, je repérais au cours d'une flânerie dans un vide grenier, un livre qui devint mon outil d'inspiration.
Il relatait l'autobiographie de Thérèse de Lisieux. Ce consigné qui se laissait lire, me fit approcher une dimension nouvelle, l'univers inhabituel d'un être exceptionnel.
Je découvrais au fur et à mesure de ma lecture, son milieu familial, habité par la foi, qui domine leur sentir.
L'exprimé décrit avec une nitescence1 brillante, comment après son frère qui était entré dans les ordres, elle fut touchée à son tour par la même foi attisée, de suivre le passage percé par son complice, vers le manifeste astral.
Elle adjura ses parents, de lui consentir à souscrire, à son tour dans les installations de Dieu. Afin de consacrer entièrement sa dévotion à Jésus, par Amour.
Dans la contrition ils durent accepter, de se séparer de leur chair, comme ils l'avaient fait de leur fils, pour qu'elle accomplisse, la Volonté du Perpétuel. (Quelle épreuve douloureuse, cela a dû être pour eux ?)
Dans la sérénité, elle abandonna ses aisances habituelles, les troquant dans la fébrilité, contre une petite robe noire ajustée à l’attachement de l'Impérissable.
La petite-fille que j'étais, n'a pas pu traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une exaltation de privations et de chagrins. À l'inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions et les privations, pour faire partie de ma vie.
La seule chose qui me rapprochait d'elle, c'était le dévouement constant, au Versant Inconditionnel véhiculant sa fortune. Dieu qui nous mieux que nous nous connaissons savait qu’avec Sœur, je ne pourrais qu’être touché par l’Amour qu’elle transcende pour Dieu et Jésus.
Nacre[img][/img]
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
hamdullah ! L'essentiel est de trouver sa voie . C'est vrai que ce doit être difficile de changer de culture, même toute petite .Mais il n'y a qu'un Dieu, qu'on l'appelle Allah ou Yahvé . Pour moi, Jésus est homme et le catholicisme un contresens , mais je n'ai pas forcément raison . Ce qui me gène, dans toutes les religions , est le mélange de préceptes humains, la morale , qui, à mon avis, devrait être distinguée de la spiritualité . Le rapport horizontal aux choses de la vie, quand on le mélange aux impératifs cultuels, mène à des dérives dangereuses .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Mes premiers pas vers Dieu
JO:
Ce n’est pas de cette façon que je l’ai perçu.
La déduction que j’avais faite à cette époque, c’est que si moi je m’ égare cela n’a pas d’importance car Lui saurait ou je me trouve.
Les prestigieuses et les prestigieux ont gardé intacte ma conception islamiste, en veillant sur mon dogme, l'alimentant de la lumière de l'ardeur.
Nul être assoiffé d'entr'apercevoir l'Éternel, ne pouvait se perdre. Même si celui-ci, se trouvait au pivot de la Terre ou dans les épigastres sépulcraux de l'enfer. L'Incessant veillait sur ses hominidés avec une application pressante d'Amour.
C'est en ne faisant rien, que l'on estropiait son âme. Mais pour celui qui explorait, d'un pas avéré, aucun risque de se déposséder, car l'Immuable veillait sur lui.
Aujourd'hui avec l'éloignement, je rends grâce à l'Inaltérable. C'était exclusivement avec l'attrait de l'exposition, du contraste, que l'on pouvait se réformer dans les principes idéaux.
En Tunisie, mon évolution spirituelle n'aurait jamais pu surprendre l'Aurore immortelle. La doctrine islamique, coulait de fait en moi.
L'éclosion de mon affermissement de l'expression suprême, s'était concrétisée dans la dualité avec ma raison.
Il avait admis que je puisse Le surprendre en allant plus loin, dans un entraînement de méditation, et du rayonnement de la compréhension de soi.
Nacre
C'est vrai que ce doit être difficile de changer de culture, même toute petite.
Ce n’est pas de cette façon que je l’ai perçu.
La déduction que j’avais faite à cette époque, c’est que si moi je m’ égare cela n’a pas d’importance car Lui saurait ou je me trouve.
Les prestigieuses et les prestigieux ont gardé intacte ma conception islamiste, en veillant sur mon dogme, l'alimentant de la lumière de l'ardeur.
Nul être assoiffé d'entr'apercevoir l'Éternel, ne pouvait se perdre. Même si celui-ci, se trouvait au pivot de la Terre ou dans les épigastres sépulcraux de l'enfer. L'Incessant veillait sur ses hominidés avec une application pressante d'Amour.
C'est en ne faisant rien, que l'on estropiait son âme. Mais pour celui qui explorait, d'un pas avéré, aucun risque de se déposséder, car l'Immuable veillait sur lui.
Aujourd'hui avec l'éloignement, je rends grâce à l'Inaltérable. C'était exclusivement avec l'attrait de l'exposition, du contraste, que l'on pouvait se réformer dans les principes idéaux.
En Tunisie, mon évolution spirituelle n'aurait jamais pu surprendre l'Aurore immortelle. La doctrine islamique, coulait de fait en moi.
L'éclosion de mon affermissement de l'expression suprême, s'était concrétisée dans la dualité avec ma raison.
Il avait admis que je puisse Le surprendre en allant plus loin, dans un entraînement de méditation, et du rayonnement de la compréhension de soi.
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
whaou! effectivement, ce n'est pas simple! Ton environnement culturel t'a plongé dans un faste religieux rempli de poésie et de mots "qualifiant Dieu-Allah" et en même temps, l'étrangeté de ta découverte de l'église catholique, avec ses statues les plus "classiques" Marie et Thérèse de Lisieux, et le crucifix terrifiant, puis l'éducation que tu t'es faite toute seule à la lecture de la (très difficile) vie de la petite Thérèse... morte bien trop jeune.
Drôle de façon de découvrir la religion de ton pays d'accueil!
Drôle de façon de découvrir la religion de ton pays d'accueil!
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
[quote]
Un Dieu pour les monothéistes seulement!!! Ne pas oublier les autres doctrines .
amicalement
.JO a écrit:hamdullah ! L'essentiel est de trouver sa voie . C'est vrai que ce doit être difficile de changer de culture, même toute petite .Mais il n'y a qu'un Dieu, qu'on l'appelle Allah ou Yahvé
Un Dieu pour les monothéistes seulement!!! Ne pas oublier les autres doctrines .
Dans ce domaine le principal n'est pas d'avoir raison , personne ne sait , le principal et que cette conception te convienne, c'est le seul but.Pour moi, Jésus est homme et le catholicisme un contresens , mais je n'ai pas forcément raison .
Ce qui me géne moi, c'est que dans toutes religions, surtout le monothéistes, il y a des courants qui veulent imposer , leurs croyances aux autres. C'est tout!!Ce qui me gène, dans toutes les religions , est le mélange de préceptes humains, la morale , qui, à mon avis, devrait être distinguée de la spiritualité .
Sincérmement je ne le pense pas, la dérive la plus dangereuse et celle que je viens de decrire plus haut; tout le reste n'est que babiole ; , dans la mesure où sa croyance, convient peut importe la façon dont elle a dérivé chez d'autres.Le rapport horizontal aux choses de la vie, quand on le mélange aux impératifs cultuels, mène à des dérives dangereuses .
amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Myrrha
whaou! effectivement, ce n'est pas simple! Ton environnement culturel t'a plongé dans un faste religieux rempli de poésie et de mots "qualifiant Dieu-Allah"
Avec le recul je confirme que c’est tout sauf simple.
Myrrha:
Drôle de façon de découvrir la religion de ton pays d'accueil! Comme je l’ai dit les desseins de Dieu sont impénétrable.
Oui mais en même temps je lui rends grâce de m’avoir permis dans la magnificence de son École Magistrale.
Myrrha:
puis l'éducation que tu t'es faite toute seule à la lecture de la (très difficile) vie de la petite Thérèse... morte bien trop jeune.
Mon enseignement je ne l’ai pas fait seule ce serait mentir de le faire croire. Car pendant toute la période d’enseignement (39) ans que j’ai eus.
I’ai été inspiré guidée, soutenue encouragée par des êtres qui ne sont plus de ce monde mais qui Souffle plus fort que ne respire mon Humanité.
Ce qui m’a sauvé c’est également ma naïveté d’enfant. Elle m’a permis de rentrer en contact avec mes amis d’un autre monde.
Ma confiance en mon Dieu que même si jamais je m’égare ou que je me trouve Il saura me trouver et venir à mon secours de cela j’en étais persuadée.
Puis ma rencontre avec L’adorable Sœur Thérèse.
J’étais totalement sous son charme. Je découvrais au fur et à mesure de ma lecture, son milieu familial, habité par la foi, qui domine leur sentir.
L'exprimé décrit avec une nitescence brillante, comment après ses soeurs qui était entré dans les ordres, elle fut touchée à son tour par la même foi attisée, de suivre le passage percé par ses complices, vers le manifeste astral.
Elle adjura ses proches, de lui consentir à souscrire, à son tour dans les installations de Dieu. Afin de consacrer entièrement sa dévotion à Jésus, par Amour.
Dans la contrition ils durent accepter, de se séparer de leur chair, comme ils l'avaient fait de leurs aînés, pour qu'elle accomplisse, la Volonté du Perpétuel. (Quelle épreuve douloureuse, cela a dû être pour eux?)
Dans la sérénité, elle abandonna ses aisances habituelles, les troquant dans la fébrilité, contre une petite robe noire ajustée à l’attachement de l'Impérissable.
La petite-fille que j'étais, n'a pas pu traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une exaltation de privations et de chagrins. À l'inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions et les privations, pour faire partie de ma vie.
La seule chose qui me rapprochait d'elle, c'était le dévouement constant, au Versant Inconditionnel véhiculant sa fortune.
La petite-fille que j'étais, n'a pas pu traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une exaltation de privations et de chagrins. À l'inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions et les privations, pour faire partie de ma vie.
La seule chose qui me rapprochait d'elle, c'était le dévouement constant, au Versant Inconditionnel véhiculant sa fortune.
J'entrais dans le macrocosme de l'éphèbe, avec ses morosités, qui étaient mon lot quotidien, par les adversités exigées par mère nature.
Ne pouvant pas parler, je me référais à sa passion, pour qu'Il me donne le courage, et la force nécessaire de braver ce que je devais comparer.
Je prenais conscience, que malgré l'éclat de l'espérance, qui brûlait en moi, j’ignorais cette sensation d'amour. J'aspirais à une forme ardente incontrôlable, de séquestrer l’émotion pour l’Impérissable, qui la transcendait.
Le soir, je la priais, pour me faire respirer l'exaltation qu'elle montrait pour le Condescendant et Jésus.
Plus tard je prenais conscience d'un adage que je n'ai pas pu récuser.
Elle avait entendu mes implorations en faisant plus que le vœu enflammé qui me brûlait, en pansant mes blessures.
Elle me guidait en inspirant chacune de mes impulsions, elle m'empêcha de prendre une voie spirituelle, qui m'aurait conduite fatalement vers une mort certaine.
Elle me révélait les vertus des adversités, me confiait la souffrance de Jésus, comment il avait réagi à chaque coup de fouet donné par ses tortionnaires. Il demanda au Père de leur pardonner.
Son soutien et sa patience, m'ont permis d'introduire une union avec mon être. Son sens de l'existence reflétait une évolution, qui traduisait une instruction et une destinée qui fédéraient dans l'harmonie de la flamme Radieuse.
Des âmes comme Thérèse, je n'en connaissais pas. Son serment, indivisible, reposait uniquement sur sa prédilection pour Dieu.
Elle m'attribua un précepte, que je n'aurais jamais cru possible, si je n'en avais pas fait l'expérience. Ma variation se déroulait entre mes investigations, et les besoins de ma vie de tous les jours.
Pour terminer je dirais une petite chose je ne suis pas une intellectuelle les seules ouvrages qui ont été mes outils d’inspirations furent celui de Sœur Thérèse, et celui de l’abbé Julio « Le précieux recueil ».
Je n’ai jamais lu le Coran encore moins la Bible.
Car Dieu m’a tout donné sans que je puisse faire appel au Verbe Sacré.
Le véritable sens spirituel ne s’achète pas, il ne suffit pas de lire la bibliothèque du monde pour se croire spirituel.
Ce n’est pas une histoire qui appartient au mental mais au Cœur. Car c’est là que réside l’Amour divin.
Pardon Myrrha pour la longueur de mon message quand je parle de Sœur Thérèse j’ai du mal à me freiner.
Je te souhaite une bonne lecture.
Nacre
whaou! effectivement, ce n'est pas simple! Ton environnement culturel t'a plongé dans un faste religieux rempli de poésie et de mots "qualifiant Dieu-Allah"
Avec le recul je confirme que c’est tout sauf simple.
Myrrha:
Drôle de façon de découvrir la religion de ton pays d'accueil! Comme je l’ai dit les desseins de Dieu sont impénétrable.
Oui mais en même temps je lui rends grâce de m’avoir permis dans la magnificence de son École Magistrale.
Myrrha:
puis l'éducation que tu t'es faite toute seule à la lecture de la (très difficile) vie de la petite Thérèse... morte bien trop jeune.
Mon enseignement je ne l’ai pas fait seule ce serait mentir de le faire croire. Car pendant toute la période d’enseignement (39) ans que j’ai eus.
I’ai été inspiré guidée, soutenue encouragée par des êtres qui ne sont plus de ce monde mais qui Souffle plus fort que ne respire mon Humanité.
Ce qui m’a sauvé c’est également ma naïveté d’enfant. Elle m’a permis de rentrer en contact avec mes amis d’un autre monde.
Ma confiance en mon Dieu que même si jamais je m’égare ou que je me trouve Il saura me trouver et venir à mon secours de cela j’en étais persuadée.
Puis ma rencontre avec L’adorable Sœur Thérèse.
J’étais totalement sous son charme. Je découvrais au fur et à mesure de ma lecture, son milieu familial, habité par la foi, qui domine leur sentir.
L'exprimé décrit avec une nitescence brillante, comment après ses soeurs qui était entré dans les ordres, elle fut touchée à son tour par la même foi attisée, de suivre le passage percé par ses complices, vers le manifeste astral.
Elle adjura ses proches, de lui consentir à souscrire, à son tour dans les installations de Dieu. Afin de consacrer entièrement sa dévotion à Jésus, par Amour.
Dans la contrition ils durent accepter, de se séparer de leur chair, comme ils l'avaient fait de leurs aînés, pour qu'elle accomplisse, la Volonté du Perpétuel. (Quelle épreuve douloureuse, cela a dû être pour eux?)
Dans la sérénité, elle abandonna ses aisances habituelles, les troquant dans la fébrilité, contre une petite robe noire ajustée à l’attachement de l'Impérissable.
La petite-fille que j'étais, n'a pas pu traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une exaltation de privations et de chagrins. À l'inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions et les privations, pour faire partie de ma vie.
La seule chose qui me rapprochait d'elle, c'était le dévouement constant, au Versant Inconditionnel véhiculant sa fortune.
La petite-fille que j'étais, n'a pas pu traduire les motivations de cet être distinguée.
Elle rejeta tout le faste, pour une exaltation de privations et de chagrins. À l'inverse de ma nouvelle amie, je luttais de toutes mes forces, contre les afflictions et les privations, pour faire partie de ma vie.
La seule chose qui me rapprochait d'elle, c'était le dévouement constant, au Versant Inconditionnel véhiculant sa fortune.
J'entrais dans le macrocosme de l'éphèbe, avec ses morosités, qui étaient mon lot quotidien, par les adversités exigées par mère nature.
Ne pouvant pas parler, je me référais à sa passion, pour qu'Il me donne le courage, et la force nécessaire de braver ce que je devais comparer.
Je prenais conscience, que malgré l'éclat de l'espérance, qui brûlait en moi, j’ignorais cette sensation d'amour. J'aspirais à une forme ardente incontrôlable, de séquestrer l’émotion pour l’Impérissable, qui la transcendait.
Le soir, je la priais, pour me faire respirer l'exaltation qu'elle montrait pour le Condescendant et Jésus.
Plus tard je prenais conscience d'un adage que je n'ai pas pu récuser.
Elle avait entendu mes implorations en faisant plus que le vœu enflammé qui me brûlait, en pansant mes blessures.
Elle me guidait en inspirant chacune de mes impulsions, elle m'empêcha de prendre une voie spirituelle, qui m'aurait conduite fatalement vers une mort certaine.
Elle me révélait les vertus des adversités, me confiait la souffrance de Jésus, comment il avait réagi à chaque coup de fouet donné par ses tortionnaires. Il demanda au Père de leur pardonner.
Son soutien et sa patience, m'ont permis d'introduire une union avec mon être. Son sens de l'existence reflétait une évolution, qui traduisait une instruction et une destinée qui fédéraient dans l'harmonie de la flamme Radieuse.
Des âmes comme Thérèse, je n'en connaissais pas. Son serment, indivisible, reposait uniquement sur sa prédilection pour Dieu.
Elle m'attribua un précepte, que je n'aurais jamais cru possible, si je n'en avais pas fait l'expérience. Ma variation se déroulait entre mes investigations, et les besoins de ma vie de tous les jours.
Pour terminer je dirais une petite chose je ne suis pas une intellectuelle les seules ouvrages qui ont été mes outils d’inspirations furent celui de Sœur Thérèse, et celui de l’abbé Julio « Le précieux recueil ».
Je n’ai jamais lu le Coran encore moins la Bible.
Car Dieu m’a tout donné sans que je puisse faire appel au Verbe Sacré.
Le véritable sens spirituel ne s’achète pas, il ne suffit pas de lire la bibliothèque du monde pour se croire spirituel.
Ce n’est pas une histoire qui appartient au mental mais au Cœur. Car c’est là que réside l’Amour divin.
Pardon Myrrha pour la longueur de mon message quand je parle de Sœur Thérèse j’ai du mal à me freiner.
Je te souhaite une bonne lecture.
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Nacre, poétesse, mystique, énigmatique...contenue tout entière dans son avatar...Tu t' es construite ta propre religion, en puisant dans des sources variées et en laissant parler ton coeur . Et c 'est très bien comme ça si ton mode de pensée te conduit à la paix et à la sérénité .
bernard1933- Aka Tpat
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Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Bernard 1933:
Je te remercie pour cet élan de tendresse.
Nacre
Nacre, poétesse, mystique, énigmatique...contenue tout entière dans son avatar...Tu t' es construite ta propre religion, en puisant dans des sources variées et en laissant parler ton coeur . Et c 'est très bien comme ça si ton mode de pensée te conduit à la paix et à la sérénité
Je te remercie pour cet élan de tendresse.
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Nacre, ton témoignage est très intéressant, merci de le partager !
Comme je comprends tes émotions de petite fille !
Et maintenant, où en est-tu par rapport à l'Islam (si ce n'est pas indiscret) ?
Comme je comprends tes émotions de petite fille !
Et maintenant, où en est-tu par rapport à l'Islam (si ce n'est pas indiscret) ?
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
la "petite" Thérèse est un maitre difficile mais sa façon de chanter d'amour, au creux de la difficulté , ne saurait te fourvoyer .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Mes premiers pas vers Dieu
effectivmement, en voilà une bonne croyante.bernard1933 a écrit:Nacre, poétesse, mystique, énigmatique...contenue tout entière dans son avatar...Tu t' es construite ta propre religion, en puisant dans des sources variées et en laissant parler ton coeur . Et c 'est très bien comme ça si ton mode de pensée te conduit à la paix et à la sérénité .
Amicalement
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Mes premiers pas vers Dieu
JO
Si je décris grâce au verbe, mon évolution spirituelle dans ses détails ce n’est surtout pas pour y être plaint ou qu’en me prenne en pitié.
Mais pour que mon témoignage vienne en aideà toutes celles et ceux qui sont entrain en ce moment de ce nourrir du Pain Sacré pour leur dire que rien n’arrive par hasard.
Car la douleur, et le médecin de l’être elle efface comme une gomme nos difformités.nIl faut donc la bénir, et non la hair. Et surtout vous dire que chaque chose à une fin y compris la douleur elle s’en ira comme elle est venue une fois sa tâche accomplie.
JO à aucun moment au près de soeur Thérèse, je ne me suis sentie perdue pendant mes périodes de nourriture du pain amer.
J’avais l’impression qu’elle était en mesure de ressentir toute l’amertume, toute la haine qui rugissaient en moi prête à ressurgir de ma bouche tel un vomissement.
C’est là qu’à chaque fois elle intervenait avec Amour, elle me pansait mes plaies, et me parlait de Jésus sur la Croix des souffrances qu’Il a subit sans qu’Il ne se rebiffe.
Alors je me disais si Lui a subit l’enfer des hommes je peux subir l’enfer de quelques uns.
Je peux le faire par Amour pour celle qui me soutien.
Son sourire et sa joie de vivre, m’ont servies de soins. Docile, j’apprenais doucement mais sûrement les notions de l’acceptation dans sa totalité de ce que mère Nature m’infligée.
Thérèse ne souhaitée pas que je vocifère sur ce qui m’arrivée. Elle voulait que je sois Amour, comment peut on Amour quand le corps hurle de douleur .
Je peux même vous avouer, qu’il m’est arrivée très souvent de me disputer avec elle car je n’étais pas toujours d’accords avec ce qu’elle me faisait ressentir.
Elle s’effaçait pour revenir plus tard avec son sourire légendaire. Quelque chose à l’intérieur de moi me disait qu’un jour je suis sur je vais comprendre le pourquoi de toute cette désolation. Surtout celle que Jésus a subis avec les Saint Disciples.
Il y a une raison me disais je ,ce n’est pas possible qu’il en soit autrement car cela n’a pas de sens.
C'était de cette façon, en compagnie de ma nouvelle amie que j'apprenais à errer dans cette excellence mystérieuse et désertée. Il était trop tôt, pour que je me rendisse compte, que le simple fait d'avoir ouvert une porte, allait m'entraîner vers des essais qui sortaient de l'ordinaire.
Au fil du temps, les questions sur le mécanisme humain s'accumulaient, formant une spirale, qui me maintenait vigoureusement prisonnière. Je devais repérer coûte que coûte, les contestations de ce qui m'affligeait, et affectait mon évolution normale.
D'après ce que j'avais emmuré, les interrogations virevoltaient autour d'un seul sujet. Trouver la notion cachée des désolations.
L'impression bizarre m'entraînait vers une observation du pouvoir des vicissitudes que la vie nous infligeait.
Ce fut dans cette disposition que j’approchais mes vingt ans. La sensation sur les infortunes, me conduisit dans une librairie de livres anciens. J'y décelais un album poussiéreux,
« Le précieux recueil de l'abbé Julio».
Chaque page lue, me conviait vers la lumière divine.
J'avais du mal à y croire, il rassemblait les témoignages, de ceux qui firent de leurs existences, une recherche de soi érigée vers le Sensible.
Celui qui me rassurait parmi tant d'autres exprimés, fut bien évidemment, celui révélé par sœur Thérèse, mais aussi ceux du bienheureux curé d'Ars, de François d'Assise, et également ceux de Vincent de Paul, pour ne citer qu'eux.
Tous reflétaient la même pensée, le même souffle excité vers l'Insaisissable.
Ils continuèrent par leurs prospections, la voie ouverte par Jésus, qui tendait vers Celui Qui nous attirait inlassablement avec la chaleur de Son Amour.
Enfin, je partageais avec d'autres de mes semblables ce champ d'apostrophes. Je prenais l'habitude de me référer à des écrits, qui étaient des témoignages animés par la même étincelle, qui me permutait.
À chaque avancement affligeant, ils furent présents, me soutenant, afin que j'aille au bout de ce que je devais entreprendre.
Le mystère qui persistait infatigablement était, quel est le sens de ce rythme désolant provoqué par les algies ?
J'étais en train de vivre une déchirure, sans être en mesure d'assigner à tout ce désordre, une explication raisonnée.
Je n'avais qu'un vœu, que cela s'endigua. Mais entre désir et aptitude, il y avait un océan, que je devais apprendre à parcourir pour apparaître au salut.
Ce fut ainsi que j'atteignis les indices, concédés par notre Mère Marie et Jésus. Il m'a fallu approcher leurs enseignements en tentant de décoder l'exacte expression des énigmes révélées.
J'avais épuisé toute ma sève à trouver les exégèses. La seule façon d'espérer un répit, c'était de découvrir les précisions de mon malaise.
Je considérais le chemin que je devais harponner pour viser ce qui me tracassait. Tout en faisant face simultanément aux tribulations, par les essais ordonnés par la vie, grâce à ceux qui veillaient sur moi, en m'octroyant la résistance qui me manquait.
Mes Alliés me prodiguèrent pendant des années, la véritable notion de la vie. Plus tard je saisis mieux certaines choses, sur le but de la peine, qui affecte l'uniformité sensible.
J'étais en mesure, avec leurs soutiens précieux, de comprendre la théorie dissimulée des épreuves excitées par le spontané.
Je sondais les tribulations douloureuses sur l'unité corporelle. Rien que par cette simple application, je provoquais mon premier pas vers un monde sibyllin.
J'apprenais lors de mon apprentissage, les vertus de la fonction des vicissitudes sur l'humanité.
Nacre
la "petite" Thérèse est un maître difficile mais sa façon de chanter d'amour, au creux de la difficulté , ne saurait te fourvoyer .
Si je décris grâce au verbe, mon évolution spirituelle dans ses détails ce n’est surtout pas pour y être plaint ou qu’en me prenne en pitié.
Mais pour que mon témoignage vienne en aideà toutes celles et ceux qui sont entrain en ce moment de ce nourrir du Pain Sacré pour leur dire que rien n’arrive par hasard.
Car la douleur, et le médecin de l’être elle efface comme une gomme nos difformités.nIl faut donc la bénir, et non la hair. Et surtout vous dire que chaque chose à une fin y compris la douleur elle s’en ira comme elle est venue une fois sa tâche accomplie.
JO à aucun moment au près de soeur Thérèse, je ne me suis sentie perdue pendant mes périodes de nourriture du pain amer.
J’avais l’impression qu’elle était en mesure de ressentir toute l’amertume, toute la haine qui rugissaient en moi prête à ressurgir de ma bouche tel un vomissement.
C’est là qu’à chaque fois elle intervenait avec Amour, elle me pansait mes plaies, et me parlait de Jésus sur la Croix des souffrances qu’Il a subit sans qu’Il ne se rebiffe.
Alors je me disais si Lui a subit l’enfer des hommes je peux subir l’enfer de quelques uns.
Je peux le faire par Amour pour celle qui me soutien.
Son sourire et sa joie de vivre, m’ont servies de soins. Docile, j’apprenais doucement mais sûrement les notions de l’acceptation dans sa totalité de ce que mère Nature m’infligée.
Thérèse ne souhaitée pas que je vocifère sur ce qui m’arrivée. Elle voulait que je sois Amour, comment peut on Amour quand le corps hurle de douleur .
Je peux même vous avouer, qu’il m’est arrivée très souvent de me disputer avec elle car je n’étais pas toujours d’accords avec ce qu’elle me faisait ressentir.
Elle s’effaçait pour revenir plus tard avec son sourire légendaire. Quelque chose à l’intérieur de moi me disait qu’un jour je suis sur je vais comprendre le pourquoi de toute cette désolation. Surtout celle que Jésus a subis avec les Saint Disciples.
Il y a une raison me disais je ,ce n’est pas possible qu’il en soit autrement car cela n’a pas de sens.
C'était de cette façon, en compagnie de ma nouvelle amie que j'apprenais à errer dans cette excellence mystérieuse et désertée. Il était trop tôt, pour que je me rendisse compte, que le simple fait d'avoir ouvert une porte, allait m'entraîner vers des essais qui sortaient de l'ordinaire.
Au fil du temps, les questions sur le mécanisme humain s'accumulaient, formant une spirale, qui me maintenait vigoureusement prisonnière. Je devais repérer coûte que coûte, les contestations de ce qui m'affligeait, et affectait mon évolution normale.
D'après ce que j'avais emmuré, les interrogations virevoltaient autour d'un seul sujet. Trouver la notion cachée des désolations.
L'impression bizarre m'entraînait vers une observation du pouvoir des vicissitudes que la vie nous infligeait.
Ce fut dans cette disposition que j’approchais mes vingt ans. La sensation sur les infortunes, me conduisit dans une librairie de livres anciens. J'y décelais un album poussiéreux,
« Le précieux recueil de l'abbé Julio».
Chaque page lue, me conviait vers la lumière divine.
J'avais du mal à y croire, il rassemblait les témoignages, de ceux qui firent de leurs existences, une recherche de soi érigée vers le Sensible.
Celui qui me rassurait parmi tant d'autres exprimés, fut bien évidemment, celui révélé par sœur Thérèse, mais aussi ceux du bienheureux curé d'Ars, de François d'Assise, et également ceux de Vincent de Paul, pour ne citer qu'eux.
Tous reflétaient la même pensée, le même souffle excité vers l'Insaisissable.
Ils continuèrent par leurs prospections, la voie ouverte par Jésus, qui tendait vers Celui Qui nous attirait inlassablement avec la chaleur de Son Amour.
Enfin, je partageais avec d'autres de mes semblables ce champ d'apostrophes. Je prenais l'habitude de me référer à des écrits, qui étaient des témoignages animés par la même étincelle, qui me permutait.
À chaque avancement affligeant, ils furent présents, me soutenant, afin que j'aille au bout de ce que je devais entreprendre.
Le mystère qui persistait infatigablement était, quel est le sens de ce rythme désolant provoqué par les algies ?
J'étais en train de vivre une déchirure, sans être en mesure d'assigner à tout ce désordre, une explication raisonnée.
Je n'avais qu'un vœu, que cela s'endigua. Mais entre désir et aptitude, il y avait un océan, que je devais apprendre à parcourir pour apparaître au salut.
Ce fut ainsi que j'atteignis les indices, concédés par notre Mère Marie et Jésus. Il m'a fallu approcher leurs enseignements en tentant de décoder l'exacte expression des énigmes révélées.
J'avais épuisé toute ma sève à trouver les exégèses. La seule façon d'espérer un répit, c'était de découvrir les précisions de mon malaise.
Je considérais le chemin que je devais harponner pour viser ce qui me tracassait. Tout en faisant face simultanément aux tribulations, par les essais ordonnés par la vie, grâce à ceux qui veillaient sur moi, en m'octroyant la résistance qui me manquait.
Mes Alliés me prodiguèrent pendant des années, la véritable notion de la vie. Plus tard je saisis mieux certaines choses, sur le but de la peine, qui affecte l'uniformité sensible.
J'étais en mesure, avec leurs soutiens précieux, de comprendre la théorie dissimulée des épreuves excitées par le spontané.
Je sondais les tribulations douloureuses sur l'unité corporelle. Rien que par cette simple application, je provoquais mon premier pas vers un monde sibyllin.
J'apprenais lors de mon apprentissage, les vertus de la fonction des vicissitudes sur l'humanité.
Nacre
Dernière édition par Nacre le Sam 5 Déc 2009 - 10:44, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
leela:
Bonjour leela, non ce n’est pas indiscret car si je me trouve sur ce forum c’est pour faire par de mon témoignage et également recueillir des témoignages de personne qui suivent la voie spirituelle une voie bien étrange en réalité.
L’Islam est un bijoux précieux que je garde sur mon cœur. Grâce à mes alliés du monde Invisible il brille de mille feu non déplaise aux décomposés de tout bords y compris ce qui se disent musulmans. J’ai atteint grâce à Dieu une sérénité bien mérité je crois.
En ce moment je profite d’une accalmie que je savoure à chaque instant de mon temps dans cette dimension.
Nacre
Et maintenant, où en est-tu par rapport à l'Islam (si ce n'est pas indiscret)
Bonjour leela, non ce n’est pas indiscret car si je me trouve sur ce forum c’est pour faire par de mon témoignage et également recueillir des témoignages de personne qui suivent la voie spirituelle une voie bien étrange en réalité.
L’Islam est un bijoux précieux que je garde sur mon cœur. Grâce à mes alliés du monde Invisible il brille de mille feu non déplaise aux décomposés de tout bords y compris ce qui se disent musulmans. J’ai atteint grâce à Dieu une sérénité bien mérité je crois.
En ce moment je profite d’une accalmie que je savoure à chaque instant de mon temps dans cette dimension.
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
[size=18]!Bravo donc.[/size]
Dernière édition par dan 26 le Sam 5 Déc 2009 - 17:27, édité 1 fois
dan 26- Le Découvreur de l'Etrange
- Nombre de messages : 16096
Date d'inscription : 15/04/2008
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Nacre, une très grande souffrance t'a sans doute frappée . La croyance et le travail d' auto-persuasion t 'ont permis de surmonter les épreuves et de reprendre goût à la vie. tant mieux ! Et je note avec admiration ta tolérance !
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Mes premiers pas vers Dieu
M'enfin Bernard,
Pourquoi diagnostiquer la souffrance et la mélancolie
dès qu'1 femme s'exprime ..
Alors Baudelaire était 1 pédéraste ?
Ne te fâche pas hein ?
Dis donc Nacre, j'ai 1 sacré question à te poser ..
Doux Jésus Sainte Marie Mère de Dieu
C'est Thérèse qui t'a appris à virevolter de la sorte..?
Pourquoi diagnostiquer la souffrance et la mélancolie
dès qu'1 femme s'exprime ..
Alors Baudelaire était 1 pédéraste ?
Ne te fâche pas hein ?
Dis donc Nacre, j'ai 1 sacré question à te poser ..
Doux Jésus Sainte Marie Mère de Dieu
C'est Thérèse qui t'a appris à virevolter de la sorte..?
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Curare:
Je te demande de me faire l’honneur d’être plus explicite car je ne comprends ta phrase.
Nacre
Dis donc Nacre, j'ai 1 sacré question à te poser..
Doux Jésus Sainte Marie Mère de Dieu
C'est Thérèse qui t'a appris à virevolter de la sorte..?
Je te demande de me faire l’honneur d’être plus explicite car je ne comprends ta phrase.
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Curare, j'aime les femmes qui souffrent ! je me précipite pour les
consoler ! Baudelaire pédéraste ? Malgré ce qu' en a dit Proust, ce sont ces dames qui lui ont filé la syphilis , et le bon Dieu qui l' a puni en lui faisant un croche-pied dans une église...
consoler ! Baudelaire pédéraste ? Malgré ce qu' en a dit Proust, ce sont ces dames qui lui ont filé la syphilis , et le bon Dieu qui l' a puni en lui faisant un croche-pied dans une église...
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Mes premiers pas vers Dieu
Avec tout le respect et l’estime qui lui est dû je ne parle pas de Sœur Thérèse d'Avilla, mais de Sœur Thérèse de Lisieux, appellé plus familièrement la Petite Sœur des pauvres.
bernard,ce que tu nomme la souffrance moi je le nomme la Bénédiction.
Je te confirme également que les épreuves excitées par Mère Nature que j’ai pus ressentir dans mon évolution ne sont qu’une goutte d’eau comparé aux souffrances que des personnes sont entrain de traverser actuellement et plus particulièrement de celles qui est vécu par les enfants car comme toi il m’est très pénible de le supporter
Je tenais à signaler cet état des choses car il y a beaucoup de gens qui hurle l’agonie pour une fine écorchure du corps.
Nacre
bernard,ce que tu nomme la souffrance moi je le nomme la Bénédiction.
Je te confirme également que les épreuves excitées par Mère Nature que j’ai pus ressentir dans mon évolution ne sont qu’une goutte d’eau comparé aux souffrances que des personnes sont entrain de traverser actuellement et plus particulièrement de celles qui est vécu par les enfants car comme toi il m’est très pénible de le supporter
Je tenais à signaler cet état des choses car il y a beaucoup de gens qui hurle l’agonie pour une fine écorchure du corps.
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Curare:
Que viens faire dans ce sujet l’inclinaison homosexuel ou hétéro de ce cher Baudelaire n’a-t-il pas le droit de reposer en paix?
Nacre
Je ne comprends pas ta question, elle est hors sujet.Alors Baudelaire était 1 pédéraste ?
Que viens faire dans ce sujet l’inclinaison homosexuel ou hétéro de ce cher Baudelaire n’a-t-il pas le droit de reposer en paix?
Nacre
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Ben comme c'est dimanche,
je veux bien,
être inondée des bénédictions de Nacre ...
j'entends déjà ses louanges qui m'assaillent ..
- " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés
Et comme la meilleure et la plus pure essence
Qui prépare les forts aux saintes voluptés !
Je sais que vous gardez une place au poète
Dans les rangs bienheureux des saintes légions,
Et que vous l'invitez à l'éternelle fête
Des trônes, des vertus, des dominations.
Je sais que la douleur est la noblesse unique
Où ne mordront jamais la terre et les enfers,
Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique
Imposer tous les temps et tous les univers.
(1 partie du poème ''Bénédiction'' de Baudelaire)
Nacre - pardon pour mes rêveries - il m'arrive
de jouer avec les mots et ainsi de dire des non-sens..
je veux bien,
être inondée des bénédictions de Nacre ...
j'entends déjà ses louanges qui m'assaillent ..
- " Soyez béni, mon Dieu, qui donnez la souffrance
Comme un divin remède à nos impuretés
Et comme la meilleure et la plus pure essence
Qui prépare les forts aux saintes voluptés !
Je sais que vous gardez une place au poète
Dans les rangs bienheureux des saintes légions,
Et que vous l'invitez à l'éternelle fête
Des trônes, des vertus, des dominations.
Je sais que la douleur est la noblesse unique
Où ne mordront jamais la terre et les enfers,
Et qu'il faut pour tresser ma couronne mystique
Imposer tous les temps et tous les univers.
(1 partie du poème ''Bénédiction'' de Baudelaire)
Nacre - pardon pour mes rêveries - il m'arrive
de jouer avec les mots et ainsi de dire des non-sens..
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Et qu'il faut, pour tresser ce grandiose univers,
Imposer le délire et le pinard mystique.
Imposer le délire et le pinard mystique.
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Ben alors mon Cochonendimanché,
On sort de table ?
(là notre Nacre cesse ses pirouettes- cacahouettes..)
On sort de table ?
(là notre Nacre cesse ses pirouettes- cacahouettes..)
Invité- Invité
Re: Mes premiers pas vers Dieu
Je n'ai pas le temps de répondre longuement, je suis en quête des oeuvres de Charles Mauron dans une librairie du Marché aux Puces de Saint-Ouen...
... Totalement hors sujet pour ce forum, mais j'assume.
... Totalement hors sujet pour ce forum, mais j'assume.
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