J'ai envie de rigoler un bon coup
3 participants
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J'ai envie de rigoler un bon coup
Déjà en regardant cet âne, j'étais pliée Il a de ces expressions :ptdr:
Mais qu'est-ce qu'il peut bien raconter avec autant de conviction ?
A vous de l'imaginer. On votera texte le plus drôle : philosophique ou métaphysique de préférence, évidemment !
Mais qu'est-ce qu'il peut bien raconter avec autant de conviction ?
A vous de l'imaginer. On votera texte le plus drôle : philosophique ou métaphysique de préférence, évidemment !
Invité- Invité
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Jésus revient........
http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoaftI0g.html
http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoaftI0g.html
Invité- Invité
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Horrible ! Heureusement qu'il est ressuscité !
Leela, ne crois-tu pas que , pour l'âne, c'est simplement de la glossolalie ?
Leela, ne crois-tu pas que , pour l'âne, c'est simplement de la glossolalie ?
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Vous n'avez pas compris ce qu'il dit?
Vous parlez pas l'ânand?
Il est en train de prononcer un réquisitoire.
Tenez, je traduis pour vous:
Citoyennes et citoyens jurés,
Vous voici rassemblés en ce jour, 20 juillet 2009, devant le tribunal de l’opinion publique, pour juger un monstre assoiffé du sang, de la sueur et des larmes des ânes qu’il a plié sous son joug pendant des millénaires. Mais vous devez vous étonnez qu’il n’y ait personne sur le banc des accusés. Il est là, enfermé dans cette écurie. Pour la première fois dans l’histoire, l’ânerie que vous représentez va juger le monstre, l’homme, pour ne pas le citer….
Vous parlez pas l'ânand?
Il est en train de prononcer un réquisitoire.
Tenez, je traduis pour vous:
Citoyennes et citoyens jurés,
Vous voici rassemblés en ce jour, 20 juillet 2009, devant le tribunal de l’opinion publique, pour juger un monstre assoiffé du sang, de la sueur et des larmes des ânes qu’il a plié sous son joug pendant des millénaires. Mais vous devez vous étonnez qu’il n’y ait personne sur le banc des accusés. Il est là, enfermé dans cette écurie. Pour la première fois dans l’histoire, l’ânerie que vous représentez va juger le monstre, l’homme, pour ne pas le citer….
_bradou- EXCLU DU FORUM
- Nombre de messages : 5099
Localisation : fixe.
Identité métaphysique : terre-à-terre.
Humeur : têtu.
Date d'inscription : 15/05/2008
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Mais non, pas du tout, cet âne, il nous dit :
<< De quelque manière et par quelque moyen qu'une connaissance puisse se rapporter à des objets, le mode par lequel la connaissance se rapporte immédiatement à des objets et que toute pensée se propose comme moyen, est l'intuition[1]. Mais l'intuition n'a lieu qu'autant qu'un objet nous est donné, et, à son tour, un objet ne peut nous être donné qu'à la condition d'affecter l'esprit d'une certaine manière. La capacité de recevoir (la réceptivité) des représentations[2] des objets par la manière dont ils nous affectent, s'appelle sensibilité. C'est donc au moyen de la sensibilité que les objets nous sont donnés, et elle seule [ page ]nous fournit des intuitions ; mais c'est par l'entendement qu'ils sont pensés, et c'est de lui que sortent les concepts.[3] Toute pensée doit aboutir, en dernière analyse, soit directement (directe), soit indirectement (indirecte), à des intuitions, et par conséquent à la sensibilité qui est en nous, puisqu'aucun objet ne peut nous être donné autrement. >>
<< De quelque manière et par quelque moyen qu'une connaissance puisse se rapporter à des objets, le mode par lequel la connaissance se rapporte immédiatement à des objets et que toute pensée se propose comme moyen, est l'intuition[1]. Mais l'intuition n'a lieu qu'autant qu'un objet nous est donné, et, à son tour, un objet ne peut nous être donné qu'à la condition d'affecter l'esprit d'une certaine manière. La capacité de recevoir (la réceptivité) des représentations[2] des objets par la manière dont ils nous affectent, s'appelle sensibilité. C'est donc au moyen de la sensibilité que les objets nous sont donnés, et elle seule [ page ]nous fournit des intuitions ; mais c'est par l'entendement qu'ils sont pensés, et c'est de lui que sortent les concepts.[3] Toute pensée doit aboutir, en dernière analyse, soit directement (directe), soit indirectement (indirecte), à des intuitions, et par conséquent à la sensibilité qui est en nous, puisqu'aucun objet ne peut nous être donné autrement. >>
Invité- Invité
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Bradou est escape :pouce:
Mais qu'est-ce qu'il dit quand il aplatit ses oreilles vers l'arrière, à la fin, après avoir fait "hum hum" d'un air très sceptique ?
Mais qu'est-ce qu'il dit quand il aplatit ses oreilles vers l'arrière, à la fin, après avoir fait "hum hum" d'un air très sceptique ?
Invité- Invité
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Video déjà postée sur un autre site. je trouve cela terrible !!
Acinonyx- Sorti de l'oeuf
- Nombre de messages : 36
Localisation : Belgique
Identité métaphysique : Agnostique
Humeur : Naturelle
Date d'inscription : 13/03/2009
Acinonyx- Sorti de l'oeuf
- Nombre de messages : 36
Localisation : Belgique
Identité métaphysique : Agnostique
Humeur : Naturelle
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: J'ai envie de rigoler un bon coup
Ouï-dire
Il y a des verbes qui se conjuguent
très irrégulièrement.
Par exemple, le verbe ouïr.
Le verbe ouïr, au présent, ça fait:
J'ois... j'ois...
Si au lieu de dire "j'entends", je dis "j'ois",
les gens vont penser que ce que j'entends est joyeux
alors que ce que j'entends peut être
particulièrement triste.
Il faudrait préciser:
"Dieu, que ce que j'ois est triste!"
J'ois...
Tu ois...
Tu ois mon chien qui aboie le soir au fonds des bois?
Il oit...
Oyons-nous?
Vous oyez...
Ils oient.
C'est bête!
L'oie oit. Elle oit, l'oie!
Ce que nous oyons, l'oie l'oit-elle?
Si au lieu de dire "l'oreille",
on dit "l'ouïe", alors:
Pour peut que l'oie apartienne à Louis:
- L'ouïe de l'oie de Louis a ouï.
- Ah oui?
Et qu'a ouï l'ouïe de l'oie de Louis?
- Elle a ouï ce que toute oie oit...
- Et qu'oit toute oie?
- Toute oie oit, quand mon chien aboie
le soir au fond des bois,
toute oie oit:
ouah! ouah!
Qu'elle oit, l'oie!...
Au passé, ça fait:
J'ouïs...
J'ouïs!
Il n'y a vraiment pas de quoi!
Raymond Devos.
Il y a des verbes qui se conjuguent
très irrégulièrement.
Par exemple, le verbe ouïr.
Le verbe ouïr, au présent, ça fait:
J'ois... j'ois...
Si au lieu de dire "j'entends", je dis "j'ois",
les gens vont penser que ce que j'entends est joyeux
alors que ce que j'entends peut être
particulièrement triste.
Il faudrait préciser:
"Dieu, que ce que j'ois est triste!"
J'ois...
Tu ois...
Tu ois mon chien qui aboie le soir au fonds des bois?
Il oit...
Oyons-nous?
Vous oyez...
Ils oient.
C'est bête!
L'oie oit. Elle oit, l'oie!
Ce que nous oyons, l'oie l'oit-elle?
Si au lieu de dire "l'oreille",
on dit "l'ouïe", alors:
Pour peut que l'oie apartienne à Louis:
- L'ouïe de l'oie de Louis a ouï.
- Ah oui?
Et qu'a ouï l'ouïe de l'oie de Louis?
- Elle a ouï ce que toute oie oit...
- Et qu'oit toute oie?
- Toute oie oit, quand mon chien aboie
le soir au fond des bois,
toute oie oit:
ouah! ouah!
Qu'elle oit, l'oie!...
Au passé, ça fait:
J'ouïs...
J'ouïs!
Il n'y a vraiment pas de quoi!
Raymond Devos.
Invité- Invité
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