Féminisme et abolition des genres
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Re: Féminisme et abolition des genres
ah bon? alors selon toi, Bulle, l'homosexualité c'est l'abolition des genres?
première nouvelle!
je croyais que c'était un homme qui aime un autre homme ou une femme qui aime une autre femme!
et non deux personnes qui ne se reconnaissent ni homme ni femme!
l'amour entre deux personnes du même sexe ne change rien au fait qu'elles soit des femmes ou bien des hommes, et que dans leur "construction " elles ont ou non des organes reproducteurs mâles ou femelles qui les situent dans le "genre" masculin ou féminin!
première nouvelle!
je croyais que c'était un homme qui aime un autre homme ou une femme qui aime une autre femme!
et non deux personnes qui ne se reconnaissent ni homme ni femme!
l'amour entre deux personnes du même sexe ne change rien au fait qu'elles soit des femmes ou bien des hommes, et que dans leur "construction " elles ont ou non des organes reproducteurs mâles ou femelles qui les situent dans le "genre" masculin ou féminin!
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Re: Féminisme et abolition des genres
J'ai dit ça moi ? :snif:
Mais non Elbi ! Je répondais à ça :
Mais non Elbi ! Je répondais à ça :
Tibouc a écrit:
Calice, arrete-moi si je me trompe mais je suppose que tu parle des homosexuels quand tu dis "des gens déviant psychiquement".
Fais attention quand meme dans tes propos, il y a une loi qui punit l'homophobie.
non pas du tout je parle aussi des gens névrosés.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Selon moi c'est de coucher avec un homme comme on couche avec une femme qui est considéré comme une abomination.Mais ça s'adresse aux hommes qui ont les femmes pour épouse comme normalité". Les hétérosexuels donc.Je ne veut pas dire mais il n'y a pas a classifier en hétéro ou en homo si on peut tous faire ce choix...on est alors tous bisexuel ce qui est une vision sidérante du monde.Vous vous définirez vous seuls comme ça s'il vous plait.
L'idéologie qui parle d'orientation est aussi l'idéologie des homophobes !Amadinedjad a dit: "l'homosexualité chez nous ca n'existe pas nous n'avons pas ce problème".Lui aussi croit que les homos sont des hommes ou des femmes qui ont fait un choix.Il condamne ce choix à mort et d'autres ne le condamnerons pas mais ça ne change rien au problème.
La parole de la bible qui parle d'abomination est aussi à entendre comme une simple leçon pour les gens simples.Une invitation à réfléchir au fait qu'il y a des règles dans la nature, des lois.
Des pédophiles même aujourd'hui dans des populations "éduqués" s'imaginent souvent que les enfants les dragues et qu'ils cherchent à les attirés à eux.De la même manière un homosexuel des temps anciens sans "éducation pouvaient très bien s'imaginer que coucher avec des garcons ne représentaient pas de problème pour les garçons.Mais on sait bien que coucher avec un homme hétéro c'est n'est pas horrible pour l'homo mais pour l'hétéro c'est une horreur.Alors oui il y a bien une abomination dans ce cas précis.
Et un hétérosexuel qui va consommer du garçon peut être un homme en grave difficulté morale qui a réellement dévié !C'est légèrement important de voir toutes ces subtilités...Et dans les fait les gens dans les sociétés démocratiques peuvent tout à fait considérer l'homosexualité de choix comme immorale si ils le souhaitent.Je crois par exemple que Bulle dans le débat sur l'avortement a fait référence à ça : le meurtre c'est condamnable parce que immorale.Et bien ok ça marche parce que tout le monde est d'accord mais c'est pareil pour l'homosexualité, si tout le monde est d'accord ça sera immoral.Aujourd'hui dans le cadre de cette idéologie "psycho-biduleuse" d'orientation sexuel les gens tolèrent juste des malades de l'homosexualité !!Riuen n'a changé il y a toujours des gens malades mais on les tolère.Et oui parce que nombre d'hétéros n'accepteront jamais l'idée que des gens qui sont comme eux et qui font le choix de coucher entre gens du même sexe aillent bien dans leur tête !
Ceux qui considèrent qu'on nait homosexuel ou hétérosexuel n'ont pas ces problèmes.Amadinedjad a des homosexuel chez lui !! Et en tant que homos ils n'ont pas fait de choix différent ou déviés de leur nature !C'est ce qu'on peut dire.
Et les homosexuels chez nous ne sont pas des choisisseurs d'orientation à tolérer, ce sont juste des hommes qui aiment les hommes ou des femmes qui aiment les femmes de ^par leur nature différente des hétéros que sont la majorité des personnes.
Dans ce cadre de compréhension qui est le mien la bible ne parlent pas d'eux pour ce qui est de l'abomination ! Les qualificatifs d'homme et de femme dans la bible sont liés à l'hétérosexualité naturel.L'abomination elle est entre hétéro et homo ou entre hétéro sans être homo.Mais il n'est jamais question d'homo entre eux la bible ne connais pas le phénomène comme nous aujourd'hui.
L'idéologie qui parle d'orientation est aussi l'idéologie des homophobes !Amadinedjad a dit: "l'homosexualité chez nous ca n'existe pas nous n'avons pas ce problème".Lui aussi croit que les homos sont des hommes ou des femmes qui ont fait un choix.Il condamne ce choix à mort et d'autres ne le condamnerons pas mais ça ne change rien au problème.
La parole de la bible qui parle d'abomination est aussi à entendre comme une simple leçon pour les gens simples.Une invitation à réfléchir au fait qu'il y a des règles dans la nature, des lois.
Des pédophiles même aujourd'hui dans des populations "éduqués" s'imaginent souvent que les enfants les dragues et qu'ils cherchent à les attirés à eux.De la même manière un homosexuel des temps anciens sans "éducation pouvaient très bien s'imaginer que coucher avec des garcons ne représentaient pas de problème pour les garçons.Mais on sait bien que coucher avec un homme hétéro c'est n'est pas horrible pour l'homo mais pour l'hétéro c'est une horreur.Alors oui il y a bien une abomination dans ce cas précis.
Et un hétérosexuel qui va consommer du garçon peut être un homme en grave difficulté morale qui a réellement dévié !C'est légèrement important de voir toutes ces subtilités...Et dans les fait les gens dans les sociétés démocratiques peuvent tout à fait considérer l'homosexualité de choix comme immorale si ils le souhaitent.Je crois par exemple que Bulle dans le débat sur l'avortement a fait référence à ça : le meurtre c'est condamnable parce que immorale.Et bien ok ça marche parce que tout le monde est d'accord mais c'est pareil pour l'homosexualité, si tout le monde est d'accord ça sera immoral.Aujourd'hui dans le cadre de cette idéologie "psycho-biduleuse" d'orientation sexuel les gens tolèrent juste des malades de l'homosexualité !!Riuen n'a changé il y a toujours des gens malades mais on les tolère.Et oui parce que nombre d'hétéros n'accepteront jamais l'idée que des gens qui sont comme eux et qui font le choix de coucher entre gens du même sexe aillent bien dans leur tête !
Ceux qui considèrent qu'on nait homosexuel ou hétérosexuel n'ont pas ces problèmes.Amadinedjad a des homosexuel chez lui !! Et en tant que homos ils n'ont pas fait de choix différent ou déviés de leur nature !C'est ce qu'on peut dire.
Et les homosexuels chez nous ne sont pas des choisisseurs d'orientation à tolérer, ce sont juste des hommes qui aiment les hommes ou des femmes qui aiment les femmes de ^par leur nature différente des hétéros que sont la majorité des personnes.
Dans ce cadre de compréhension qui est le mien la bible ne parlent pas d'eux pour ce qui est de l'abomination ! Les qualificatifs d'homme et de femme dans la bible sont liés à l'hétérosexualité naturel.L'abomination elle est entre hétéro et homo ou entre hétéro sans être homo.Mais il n'est jamais question d'homo entre eux la bible ne connais pas le phénomène comme nous aujourd'hui.
Dernière édition par Qwatybaal le Mer 01 Avr 2009, 20:38, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Féminisme et abolition des genres
Je vois vraiment pas le rapport entre mes idées et l'avortement (avec lequel je suis d'accord), et l'eugénisme et la dictature (auxquels je m'oppose).Ce qui est effrayant c'est de définir qu'une chose naturel est un problème a réglé (grossesse, souffrance, différence).Les solutions qu'on va trouver sont les vrais problèmes (avortement, eugénisme, dictature ).
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Féminisme et abolition des genres
ElBilqîs a écrit:ah bon? alors selon toi, Bulle, l'homosexualité c'est l'abolition des genres?
première nouvelle!
je croyais que c'était un homme qui aime un autre homme ou une femme qui aime une autre femme!
et non deux personnes qui ne se reconnaissent ni homme ni femme!
Et justement le même qui cherche le même c'est l'abolition des genres .Il n'y a plus besoin de l 'Autre .
Et puis il faudrait définir par ce qu'on entend par "aimer " dans le cas d'une femme qui aime une autre femme par exemple .Est-ce désirer ? Désirer n'est pas aimer car on peux désirer quelquu'un une soirée sans vouloir forcément faire sa vie avec .
Calice- Maître du Temps
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Re: Féminisme et abolition des genres
Bulle a écrit:
L’homosexualité comme une pathologie (déviance névrotique) ? Franchement je te serais reconnaissance de me donner à lire tes sources !
L'homosexualité n'est pas une névrose c'est une perversion , mais elle s'apparente aux névroses chez l'hétéro , c'est une façon de dire que l'une et l'autre sont le fruit d'un développement psycho-sexuel perturbé empêchant la personne d'accéder à la maturité génitale hétéro.
Il n'y a bien que pour les médias et le "politiquement correct" que l'homosexualité n'est pas considérée comme une déviance .C'est un secret de polichinelle chez tous les pro que l'homosexualité est une perversion au sens psychanalytique du terme (et non moral) .Tous les livres en parlent par exemple "introduction à la psychopathologie " de Jean Ménéchal (maitre de conférence ne psychopathologie à Lyon 2).
Tous les pros savent (sauf ceux que la vérité dérangent et qui militent furieusement contre l'évidence ce sont ceux qui passent à la télé) ) que les personnes homos le sont devenues à cause d'un accident de parcours (milieu familial ou incident traumatique comme viol ou séduction ), que dans un autre milieu ou sans cet accident traumatique la personne aurait eu un développement psycho-sexuel normal et serait hétéro .Un garçon violé dans l'enfance par exemple pourra se sentir féminisé dans sa structure psychique intime et développer des pulsions homos .
Bulle a écrit:
En quoi cela peut-il déranger une société qu’un être humain soit amoureux d’une personne du même sexe et vive son amour comme d’autre le vivent pour une personne d’un autre sexe ?
ca ne gêne personne tant que les homos ne cherchent pas à faire passer leur singularité comme normale et à dire que l'homosexualité est équivalente à l'hétérosexualité ce qui serait un mensonge .
Calice- Maître du Temps
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Re: Féminisme et abolition des genres
Tibouc a écrit:Les anges non plus ^^Et non c'est vrai tibous , nier la différnce des sexes c'est celà déshumaniser et robotiser ;les robots n'ont pas de sexe.
Nous ne sommes pas des anges nous sommes tous sexués et n'oublions pas que la sexualité peut s'exprimer en dehors du physique .La sexualité c'est s'ouvrir à l'Autre , le même +le même ne donne rien , c'est seulement le féminin et le masculin qui sont capable de créer ensemble.
Une société asexuée comme tu en rêves , serait une colonie de robots.
Calice- Maître du Temps
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Re: Féminisme et abolition des genres
Bulle a écrit:
L’homosexualité comme une pathologie (déviance névrotique) ? Franchement je te serais reconnaissance de me donner à lire tes sources !
L'homosexualité n'est pas une névrose c'est une perversion , mais elle s'apparente aux névroses chez l'hétéro , c'est une façon de dire que l'une et l'autre sont le fruit d'un développement psycho-sexuel perturbé empêchant la personne d'accéder à la maturité génitale hétéro.
Il n'y a bien que pour les médias et le "politiquement correct" que l'homosexualité n'est pas considérée comme une déviance .C'est un secret de polichinelle chez tous les pro que l'homosexualité est une perversion au sens psychanalytique du terme (et non moral) .Tous les livres en parlent par exemple "introduction à la psychopathologie " de Jean Ménéchal (maitre de conférence ne psychopathologie à Lyon 2).
Tous les pros savent (sauf ceux que la vérité dérangent et qui militent furieusement contre l'évidence ce sont ceux qui passent à la télé) ) que les personnes homos le sont devenues à cause d'un accident de parcours (milieu familial ou incident traumatique comme viol ou séduction ), que dans un autre milieu ou sans cet accident traumatique la personne aurait eu un développement psycho-sexuel normal et serait hétéro .Un garçon violé dans l'enfance par exemple pourra se sentir féminisé dans sa structure psychique intime et développer des pulsions homos .
Bulle a écrit:
En quoi cela peut-il déranger une société qu’un être humain soit amoureux d’une personne du même sexe et vive son amour comme d’autre le vivent pour une personne d’un autre sexe ?
ca ne gêne personne , chacun est libre , tant que les homos ne cherchent pas à faire passer leur singularité comme normale et à dire que l'homosexualité est équivalente à l'hétérosexualité ce qui serait un mensonge .
Calice- Maître du Temps
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Re: Féminisme et abolition des genres
Calice :
Je suis tout à fait d'accord.
Mais personnellement, je ne tolère pas qu'on fasse l'éloge de l'homosexualité, comme une relation normale, et je pense surtout à nos enfants.
L'homosexualité n'est pas une névrose c'est une perversion , mais elle s'apparente aux névroses chez l'hétéro , c'est une façon de dire que l'une et l'autre sont le fruit d'un développement psycho-sexuel perturbé empêchant la personne d'accéder à la maturité génitale hétéro.
Il n'y a bien que pour les médias et le "politiquement correct" que l'homosexualité n'est pas considérée comme une déviance .
dire que l'homosexualité est équivalente à l'hétérosexualité ce qui serait un mensonge .
Je suis tout à fait d'accord.
Mais personnellement, je ne tolère pas qu'on fasse l'éloge de l'homosexualité, comme une relation normale, et je pense surtout à nos enfants.
Invité- Invité
Re: Féminisme et abolition des genres
L'homosexualité n'est pas une névrose c'est une perversion
On sentait bien un fond d'homophobie dans ton discours. Maintenant c'est parfaitement clair...
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Féminisme et abolition des genres
Tibouc a écrit:L'homosexualité n'est pas une névrose c'est une perversion
On sentait bien un fond d'homophobie dans ton discours. Maintenant c'est parfaitement clair...
Allons donc , tu n'as qu'à consulter tous les bouquins de psychopathologie et tu verras que l'homosexualité est classée comme perversion c'est à dire qu'il y a erreur dans le choix d'objet , tout comme dans la zoophilie par exemple .La zoophilie n'est pas une pratique interdite dans tous les cas à ma connaissance :il y avait un homme , un écrivain , amoureux d'un gueunon qui vivait avec sa gueunon comme avec une femme, après tout pourquoi pas chacun est libre , tant qu'il ne cherche pas à ériger sa singularité en normalité et à exiger de la société qu'elle considère qu'un tel couple soit aussi normal qu'un couple homme /femme.
Calice- Maître du Temps
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Re: Féminisme et abolition des genres
Je crois qu'il va falloir que ma génération s'occupe sérieusement de cette grosse m..... qu'est la psycho culture.
Ou pourrait dire la pseudo culture..
Ou pourrait dire la pseudo culture..
Dernière édition par Qwatybaal le Jeu 02 Avr 2009, 16:39, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: Féminisme et abolition des genres
Calice, je parlais d’aimer d’amour : tomber amoureux. Pas de désir sexuel exclusif.
Mes voisins sont un couple d’hommes de surcroit croyants et pratiquants, bien intégrés, et qui vivent « fiancés » comme ils disent depuis plusieurs années.
Quelles que soient les raisons pour lesquelles ils ont fait ce choix de vie commune : je trouve qu’ils méritent le respect de tout le monde et n’ai vraiment pas le sentiment d’habiter à côté de pervertis ou de pervers comme pourraient l’être des zoophiles ou pédophiles ou autres malades mentaux qui vivent leur sexualité au détriment des autres.
C’est pour cela que "perversion" qui est un mot très fortement connoté, peut être perçu, comme le souligne Tibouc comme étant révélateur d’"un fond d’homophobie" ; d’autant que c’est une approche de l’homosexualité qui est abandonnée de manière officielle, par la psychiatrie, depuis de nombreuses années maintenant.
Il me semble (à vérifier) que le mot employé désormais en psychiatrie est "inversion".
Donc on devrait dire que l’hommosexualité "A" figuré dans les ouvrages de classification. Sauf à aller à contre-courant pour continuer à défendre une théorie à laquelle on tient pour des raisons propres mais non scientifiquement correctes.
Et c’est donc une erreur d’affirmer :
Pourquoi ? Et bien pour une raison me semble-t-il fort juste : lorsqu’on parle de perversion en psychiatrie on indique qu’il y a une pathologie, donc une maladie.
Or par définition dans pathologie il y a souffrance (organique, cellulaire etc...), et en psychopathologie cette souffrance peut être celle du sujet ou soit d'un objet et là ce n’est pas le cas ni de l’un ni de l’autre.
Il n’y a pas lieu d’appliquer des soins à deux personnes qui sont heureuses ensemble, qui ne souffrent pas donc, et ne font souffrir personne.
Et force est de constater à travers les consultations, thérapies etc... que dans le cas de l'homosexualité, les souffrances du sujet viennent essentiellement du regard des autres. Et celles de l'entourage d'un problème Sauf à accepter la différence. Ce qui n’est pas effectivement toujours simple.
Tu trouveras plus d’explications, dans le spoïler :
Donc dès 1973 et parce qu'il est arbitraire de stigmatiser l’homosexualité « l’Association des psychiatres américains rayait l’homosexualité de la liste des problèmes mentaux » et une vingtaine d’année après,
« L’Organisation mondiale de la santé a aussi adopté une politique semblable depuis décembre 1991. »
Source :
LIRE ICI
Voilà, il n’était, bien entendu pas question de faire l’apologie de l’homosexualité, mais simplement de tenter d’expliquer pourquoi les mentalités ont (ou auraient du) très logiquement évoluer.
Mes voisins sont un couple d’hommes de surcroit croyants et pratiquants, bien intégrés, et qui vivent « fiancés » comme ils disent depuis plusieurs années.
Quelles que soient les raisons pour lesquelles ils ont fait ce choix de vie commune : je trouve qu’ils méritent le respect de tout le monde et n’ai vraiment pas le sentiment d’habiter à côté de pervertis ou de pervers comme pourraient l’être des zoophiles ou pédophiles ou autres malades mentaux qui vivent leur sexualité au détriment des autres.
C’est pour cela que "perversion" qui est un mot très fortement connoté, peut être perçu, comme le souligne Tibouc comme étant révélateur d’"un fond d’homophobie" ; d’autant que c’est une approche de l’homosexualité qui est abandonnée de manière officielle, par la psychiatrie, depuis de nombreuses années maintenant.
Il me semble (à vérifier) que le mot employé désormais en psychiatrie est "inversion".
Donc on devrait dire que l’hommosexualité "A" figuré dans les ouvrages de classification. Sauf à aller à contre-courant pour continuer à défendre une théorie à laquelle on tient pour des raisons propres mais non scientifiquement correctes.
Et c’est donc une erreur d’affirmer :
L’homosexualité n’est plus considérée comme une perversion ou une déviance névrotique « au sens psychanalytique du terme », mais bien au contraire uniquement désormais au sens moral.Il n'y a bien que pour les médias et le "politiquement correct" que l'homosexualité n'est pas considérée comme une déviance .C'est un secret de polichinelle chez tous les pro que l'homosexualité est une perversion au sens psychanalytique du terme (et non moral)
Pourquoi ? Et bien pour une raison me semble-t-il fort juste : lorsqu’on parle de perversion en psychiatrie on indique qu’il y a une pathologie, donc une maladie.
Or par définition dans pathologie il y a souffrance (organique, cellulaire etc...), et en psychopathologie cette souffrance peut être celle du sujet ou soit d'un objet et là ce n’est pas le cas ni de l’un ni de l’autre.
Il n’y a pas lieu d’appliquer des soins à deux personnes qui sont heureuses ensemble, qui ne souffrent pas donc, et ne font souffrir personne.
Et force est de constater à travers les consultations, thérapies etc... que dans le cas de l'homosexualité, les souffrances du sujet viennent essentiellement du regard des autres. Et celles de l'entourage d'un problème Sauf à accepter la différence. Ce qui n’est pas effectivement toujours simple.
Tu trouveras plus d’explications, dans le spoïler :
- Spoiler:
Médicalisation et marginalisation de l’homosexualité
L’évolution des théories sur l’homosexualité éclaire davantage l’histoire de la pensée médicale que le phénomène homosexuel lui-même. Le développement de la science à des fins normatives expliquerait en bonne partie l’accent mis, depuis 100 ans, sur la détection, l’explication et le traitement des conduites et des personnes jugées anormales. La création et la médicalisation de l’homosexualité comme entité nosologique remontent en effet au milieu du XIXe siècle, alors que la médecine tend à remplacer la religion et la législation comme définisseur de normalité. Considérant a priori l’homosexualité comme une " inversion " de l’instinct normal (le premier article sur les " tendances sexuelles contraires " date de 1870), les médecins d’alors voudront découvrir ce qui, dans l’anatomie ou les antécédents familiaux du " patient ", a pu provoquer son anomalie.
Depuis longtemps criminalisée par les législations et rejetée par les principales religions occidentales, l’homosexualité a eu jusqu’à tout récemment le rare privilège d’être combattue à la fois comme maladie, crime et péché. L’homosexualité était en effet devenue un crime vers la fin de l’Empire romain d’occident, alors que les lois séculières se retrouvaient fortement influencées par les préceptes religieux. Généralement assimilé à la sodomie et surtout à l’hérésie, le comportement homosexuel constitue pour le christianisme naissant une faute grave. Cette attitude, rappelons-le, rompt radicalement avec la tolérance sinon l’acceptation de certaines formes d’homosexualité dans une Antiquité où la bisexualité était chose courante. Avec ce changement d’attitudes, la peine encourue pour la sodomie, désormais associée à l’hérésie, ira jusqu’au bûcher, seul le feu pouvant ultimement purifier de cette souillure. Néanmoins, le comportement homosexuel n’est pas encore, à ce moment-là, synonyme d’une identité particulière; " vice infâme " et " innommable ", certes, il peut néanmoins frapper n’importe qui.
Ce n’est qu’en 1869 que le terme " homosexuel " fut inventé. Ce qui avait été jusque-là un comportement fautif devint alors un motif d’étiquetage indélébile. Comme l’écrit Foucault dans le premier tome de son Histoire de la sexualité :
" La sodomie (…) était un type d’actes interdits; (…). L’homosexuel du XIXe siècle est devenu un personnage : un passé, une histoire et une enfance, un caractère, une forme de vie; une morphologie aussi, avec une anatomie indiscrète et peut-être une physiologie mystérieuse. Rien de ce qu’il est au total n’échappe à sa sexualité. Partout en lui, elle est présente : sous-jacente à toutes ses conduites parce qu’elle en est le principe insidieux et indéfiniment actif; inscrite sans pudeur sur son visage et sur son corps parce qu’elle est un secret qui se trahit toujours (…). Le sodomite était un relaps, l’homosexuel est maintenant une espèce " 8.
Cette vision essentialiste de l’homosexualité a depuis perduré, donnant lieu à une prolifération d’études hormonales, génétiques, psychanalytiques et physiologiques, dont les conclusions, aussi contradictoires que controversées, n’ont pas permis à ce jour d’en arriver à circonscrire et encore moins à traiter LA cause de l’homosexualité9, d’où la difficulté de " guérir " une supposée maladie dont on ignore les " causes ". L’historien américain Jonathan Katz (1976) n’a pas moins dénombré 36 méthodes utilisées depuis un siècle en Amérique du Nord pour traiter l’homosexualité. Castration, lobotomie, thérapies aversives, électrochocs, traitements hormonaux, tout y passe. " Some we would probably kill. Others we would cure " déclare, triomphant, un médecin américain du début de ce siècle10.
Présumant une origine principalement biologique aux préférences sexuelles, la vision médicale et essentialiste de l’homosexualité concentrera toute son attention sur la déviation de la norme hétérosexuelle. Très déterministe dans les relations de causes à effets qu’il propose, ce courant de pensée a régné sans partage des années 1870 jusqu’aux années 1970. Pas surprenant qu’il ait marqué si profondément à la fois la recherche scientifique et l’intervention thérapeutique. C’est ainsi que des psychanalystes ont recherché la configuration familiale type susceptible de produire cette " inversion " (ce sera le fameux trio père faible ou absent, mère dominatrice/castratrice et garçon soumis/efféminé). Des chercheurs, médecins ou biologistes, se sont demandés quelle partie du corps (des hormones aux portions de cerveau – fussent-elles de la grosseur d’un grain de sable) serait à l’origine de ce dérèglement. Plus récemment, des tenants de la sociologie ont vu en certains gènes récessifs les grands responsables. Sans compter la sempiternelle explication physiologique à l’effet que les personnes homosexuelles auraient une physiologie différente des autres, position qui renoue avec les théories aliénistes du siècle dernier. Cet acharnement à vouloir trouver et corriger une différence constitutionnelle chez les personnes homosexuelles, outre qu’elle a toujours mené à une impasse et qu’elle nie le phénomène bisexuel, renforce souvent la stigmatisation sociale de l’homosexualité.
Réhabilitation de l’homosexualité et de la bisexualité
En fait, ce n’est qu’assez récemment que l’homosexualité a cessé d’être considérée comme une maladie physique ou mentale. C’est en 1973, par un référendum faisant suite aux pressions des tenants d’une révision du statut de l’homosexualité, que l’Association des psychiatres américains rayait l’homosexualité de la liste des problèmes mentaux. Dans la dernière édition du Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorder, est seulement considérée problématique " the persistent and marked distress about one’s sexual orientation " 11, autrement dit la difficulté à accepter son orientation sexuelle, quelle qu’elle soit. L’Organisation mondiale de la santé a aussi adopté une politique semblable depuis décembre 1991. Officiellement, l’homosexualité ou la bisexualité ne peuvent donc plus être considérées, en elles-mêmes, comme des maladies justifiant un traitement ou une " guérison ".
Ces remises en question doivent beaucoup aux psychologues, sociologues et philosophes qui, à partir de la fin des années 60, ont développé les théories dites constructives au sujet de l’homosexualité. Les théories essentialistes mettaient en évidence le caractère particulier de l’homosexualité et ses sources internes; les théories constructivistes démontrent non seulement l’arbitraire de la stigmatisation de l’homosexualité mais questionnent sa délimitation comme entité intrinsèquement différente de la " majorité normale ".
Alors que l’essentialisme considère l’attribution d’une " identité homosexuelle " comme allant de soi puisque, étant simplement la reconnaissance d’une vérité biologique fondamentale, le constructivisme perçoit l’identité comme la conséquence d’un processus interactif d’étiquetage social et d’auto-identification. Enfin, en refusant de juger naturelle quelque expression de la sexualité que ce soit, le constructivisme déplace le débat habituel et ses enjeux. Plutôt que de demander " pourquoi l’homosexualité ? ", les constructivistes prennent pour acquis la diversité de la sexualité humaine et posent la question " pourquoi l’homophobie ? ".
Aussi, plutôt que de supposer des causalités linéaires pour expliquer une orientation sexuelle considérée problématique, les constructivistes cherchent à comprendre l’orientation sexuelle, quelle qu’elle soit, et à saisir les mécanismes de régulation et d’exclusion sociale de ses pratiques. Ce faisant, ils découvrent que, nonobstant leur orientation sexuelle, la perception de ce qui est sexuel et ce qui ne l’est pas varie énormément d’un individu à l’autre. Une recherche récemment menée par l’auteur du présent article a, par exemple, démontré combien les mécanismes par lesquels les individus arrivent à érotiser des caractéristiques puis des personnes appartenant à un sexe ou à un autre sont étonnamment similaires, quelle que soit leur orientation sexuelle12. En d’autres termes, il n’existe pas d’un côté un système d’explication pour l’homosexualité et d’un autre côté un système d’explication pour l’hétérosexualité. C’est à travers des histoires de vie, des expériences, des interprétations, des attentes et des besoins différents que chacun développe, modifie ou adapte ses propres goûts et ses dégoûts sexuels.
Donc dès 1973 et parce qu'il est arbitraire de stigmatiser l’homosexualité « l’Association des psychiatres américains rayait l’homosexualité de la liste des problèmes mentaux » et une vingtaine d’année après,
« L’Organisation mondiale de la santé a aussi adopté une politique semblable depuis décembre 1991. »
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Voilà, il n’était, bien entendu pas question de faire l’apologie de l’homosexualité, mais simplement de tenter d’expliquer pourquoi les mentalités ont (ou auraient du) très logiquement évoluer.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Bulle a écrit:je parlais d’aimer d’amour : tomber amoureux. Pas de désir sexuel exclusif.
Je suis d'accord , je peux me sentir beaucoup d'affinités et d'amour avec une femme de 70ans je ne vais pas coucher avec elle ni vivre en couple avec elle pour autant , l'amour est différent du désir
Bulle a écrit:
Quelles que soient les raisons pour lesquelles ils ont fait ce choix de vie commune : je trouve qu’ils méritent le respect de tout le monde
Mais je n'ai jamais dit le contraire , chacun a le droit de vivre comme il l'entend , tout amour est beau et respectable , ca ne dérange personne tant qu'ils ne militent pas pour que leur singularité soit reconnue à égalité avec le couple hétéro ,Les homos sont stériles entre eux naturellement et ce serait mensonge que de faire croire aux enfants que les couples homos et hétéros sont à égalités,et que les couples homos sont capables d'avoir des enfants .
Non j'ai bien précisé que je l'employais dans le sens psychanalytique du terme et sans connotation morale,Bulle a écrit:
C’est pour cela que "perversion" qui est un mot très fortement connoté, peut être perçu,
Pas à ,ma connaissance , dans de nombreux livres le mot perversion est employé, dans ceux que j'ai en tout cas , de toute façon les comptes rendus psychanalytiques expliquent bien l'origine de la tendance homos ,qui est un accident de parcours , le développement sexuel normal est hétéro ,Bulle a écrit: d’autant que c’est une approche de l’homosexualité qui est abandonnée de manière officielle, par la psychiatrie, depuis de nombreuses années maintenant.
Non ca c'est l'extrapolation , on ne dirait pas d'un névrosé qu'il est malade , mais qu'il pourait être plus épanoui sans sa névrose , et développer pleinement son potentiel d'homme ou de femmeBulle a écrit:
Pourquoi ? Et bien pour une raison me semble-t-il fort juste : lorsqu’on parle de perversion en psychiatrie on indique qu’il y a une pathologie, donc une maladie.
Bulle a écrit:
Or par définition dans pathologie il y a souffrance (organique, cellulaire etc...), et en psychopathologie cette souffrance peut être celle du sujet ou soit d'un objet et là ce n’est pas le cas ni de l’un ni de l’autre.
Il y a souffrance quand l'être est dévié dans son potentiel , quand il ne réalise pas ce qu'il porte en germe, quand il reste bloqué à un stade ce qui empêche sa croissance ,
Qu'en sais -tu que les homos ne souffrent pas ? Ce n'est pas parce qu'un personne n'a pas conscience de souffrir qu'elle ne souffre pas,Un pervers narcissique ne souffre pas il considère ses agissements comme normaux ,il peut mêem être très heureux (jen connais) Et souvent la victime n'a pas conscience non plus de souffrir si elle n'a connu que ca,un névrosé n'a pas conscience de souffrir non plus .Dans notre société ou 90 % des couples sont névrosés (ils se choisissent pour des raisons névrotiques) la majorité n'a pas conscience de son état,
Tout à fait nous sommes d'accord le problème n'est pas là , le problème est de ne pas ériger l'homosexualité comme une tendance normale , et donc de faire croire aux gens que homo ou hétéro c'est pareil , es -tu d'accord sur ce point ?Bulle a écrit:
Il n’y a pas lieu d’appliquer des soins à deux personnes qui sont heureuses ensemble, qui ne souffrent pas donc, et ne font souffrir personne.
Bulle a écrit:
Et force est de constater à travers les consultations, thérapies etc... que dans le cas de l'homosexualité, les souffrances du sujet viennent essentiellement du regard des autres.
Non le sujet croit que cela vient du regard des autre , nuance ,Il ets plus facile de croire que son malheur vient des autres et de les rendre responsables , c'est un phénomène bien connu ,ce n'est pas parce que quelqu'un te dit que se souffrances viennent du regard des autres que c'est vrai , c'est au psy de faire preuves de bon sens et d'aller plus loin.
Le regard des autres est important mais pas seulement , ca serait comme dire que les enfants de divorcés souffrent du regard des autres et non de la séparation en elle-même,
Ce n'est pas à mon avis le problème maintenant l'homosexualité est bien acceptée et dans tous les milieux , les homosexuels ne sont plus stigmatisés et c'est un bien .Bulle a écrit:
Et celles de l'entourage d'un problème Sauf à accepter la différence. Ce qui n’est pas effectivement toujours simple.
Il n'y a aucun problème si ce n'est la revendication de vouloir considérer l'homosexualité comme une tendance normale alors que c'est un mensonge ,
Même à l'époque de la Grèce antique ou l'homosexualité était tolérée la norme restait le mariage hétéro
Bulle a écrit:
Voilà, il n’était, bien entendu pas question de faire l’apologie de l’homosexualité, mais simplement de tenter d’expliquer pourquoi les mentalités ont (ou auraient du) très logiquement évoluer.
Les mentalités ont déjà bien évoluées , nous sommes bien d'accord que l'homosexualité n'est pas une maladie mentale , ni même une maladie honteuse et que les homosexuels doivent être acceptés comme des citoyens comme les autres , ils sont le droit de se pacser donc ils ont les même droits sociaux et ceci est juste ,
Ce n'est pas parce que la tendance actuelle , et certains chercheurs psy -fussent -il éminents , fussent -ils même la majorité – est à affirmer que ma foi l'homosexualité est une tendqnce comme une autre , que c'est la vérité donc ton texte n'est pas convaincant ,
Dans l'optique ou l'être est en progression constante et passe par différents stades de maturation , l'homme ou la femme porte en lui le germe de son devenir optimum , qui est de devenir un homme ou une femme à part entière -et nous en revenons donc au thème du débat -;l'état d épanouissemert complet s'acquiert dans la sexualité génitale mature hétérosexuelle,gommer les genre homme ou feme c'est nier l'être en tant que personne en progression et capable de se réaliser ,C'est aller contre toutes les lois naturelles , exactement comme la technique de l'utérus artificiel va contre les lois naturelles,
Après tout chacun a le droit de vivre comme il l'entend tant qu'il n'érige pas sa singularité en norme , c'est là tout le challenge.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Mais nous sommes tout à fait d'accord Calice.Calice a dit : Après tout chacun a le droit de vivre comme il l'entend tant qu'il n'érige pas sa singularité en norme , c'est là tout le challenge.
Seulement c'est tout de même bien toi qui "érige [leur] singularité",
C'est toi qui parle de maladie là où il n'y a pas de maladie. C'est toi qui les compare aux pervers alors qu'ils n'ont rien à voir avec l'attitude d'un pervers qui par définition a un plaisir à faire souffrir les autres (cas de tout pervers et même les pervers narcissiques manipulateurs).
C'est toi qui considère les décisions de l'oms comme étant fausses parce que tu ne lis pas ça dans tes bouquins ou encore une tendance à la mode parce que ce n'est pas le discours moralisateur qui te convient.
Je n'ai vu aucun homosexuels venir faire l'apologie de sa sexualité sur ce fil... dont le sujet est, "le féminisme ou l'abolition des genres".
Que tu commences à la relecture du fil, de manière tout à fait éloquente d'ailleurs.
" et bien cet homme était homosexuel et en compagnie de son copain , ce ne peut être que la réflexion d'un homo"
Il n'y a que Tibouc qui est choqué et moi qui tout simplement vient dire que tes classifications sont obsolètes parce qu'arbitraires.
Désolée, il me semble que c'est le minimum pour éviter la désinformation.
Le lien je ne l'ai pas mis pour toi. Je le mets pour toute personne susceptibles de lire ce fil de manière à ce qu'ils se rendent compte que tes discours t'appartiennent et ne reflètent absolument pas l'opinion actuelle des spécialistes.
Ce ne sont que tes opinion que ta manière de présenter le problème.
Des personnes mieux qualifiées que toi et moi, et l'OMS ont une opinion différente et tout à fait argumentée.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Supposons que vous aimiez les frites et detestiez les beteraves (comme moi ). Supposons aussi que la majorité des gens soient dans le même cas.
Imaginons maintenant qu'une minorité de personne adore les beteraves et déteste les frites.
Direz-vous que ces personnes ne sont pas normales, simplement parce qu'elle n'aiment pas la meme chose que vous, et la meme chose que la majorité des gens ?
Non ? Et bien maintenant remplacer les frites et les betteraves par l'hétérosexualité et l'homosexualité. Vous aurez alors compris l'absurdité de l'homophobie.
Imaginons maintenant qu'une minorité de personne adore les beteraves et déteste les frites.
Direz-vous que ces personnes ne sont pas normales, simplement parce qu'elle n'aiment pas la meme chose que vous, et la meme chose que la majorité des gens ?
Non ? Et bien maintenant remplacer les frites et les betteraves par l'hétérosexualité et l'homosexualité. Vous aurez alors compris l'absurdité de l'homophobie.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Bulle a écrit:
Seulement c'est tout de même bien toi qui "érige [leur] singularité",
Non pour moi il y a une normalité du développement psycho-sexuel qui aboutit à la maturité génitale hétérosexuelle.
Dans l'optique de cet aboutissement , l'homosexualité est une anomalie , un grain de sable dans les rouages du développement psycho-sexuel , tout comme un arbre qui possède en germe la faculté de faire des fruits devient stérile si il est privé d'eau ou de soleil .
Ce qui n'empêche pas les homosexuels d'être respectable et des citoyens comme les autres , le seul problème est d'établir la vérité et l'ordre des choses en ne faisant pas croire que l'homosexualité est un choix comme un autre .
Bulle a écrit:
C'est toi qui parle de maladie là où il n'y a pas de maladie.
Et non c'est bien toi qui en premier à parler de maladie relis toi :"lorsqu’on parle de perversion en psychiatrie on indique qu’il y a une pathologie, donc une maladie." or l'homosexualité ne peut être considérée comme un maladie mais comme un accident de parcours.Freud lui-même ne parlait pas de maladie mais de perversion , au sens psychanalytique .
Bulle a écrit:
C'est toi qui les compare aux pervers alors qu'ils n'ont rien à voir avec l'attitude d'un pervers
mais non c'est la classification habituelle de l'homosexualité dans les livres de psychopathologies et il ne faut pas confondre attitude perverse ( au sens vulgaire , populaire du terme) ) et structure identitaire perverse :les gens qui ont une structure inconsciente perverse sont tout à fait bien intégré dans la société , ils ne sont pas "méchants" , leur perversité ne s'exprime que dans leur sexualité .
Bulle a écrit:
qui par définition a un plaisir à faire souffrir les autres (cas de tout pervers et même les pervers narcissiques manipulateurs).
ah non c'est un description psychologique à connotation morale dépréciative ,et tous les pervers ne cherchent pas à faire souffrir , .Le travestisme par exemple ne cherche pas à faire souffrir mais de jouir de la surprise que pourrait provoquer chez l'autre la découverte d'un sujet mâle pourvu des attributs féminins (par les vêtements) ou d'un sujet féminin pourvu (symboliquement) d'un sexe masculin.C'est une façon de dénier la différence sexuelle.
Le pervers reste fixé dans son développement à la question de la non différenciation sexuelle et , d'une certaine façon, il a besoin d'y croire pour jouir.C'est le point commun entre tous les pervers , ces conditions correspondent à des retours à des positions psychiques ayant été vécu dans l'infantile du sujet.
Le pervers ne croit pas à la différence des sexe , ou pour le dire autrement la différence des sexes lui fait horreur car il n'a pas surmonté son complexe de castration.
Bulle a écrit:
Des personnes mieux qualifiées que toi et moi, et l'OMS ont une opinion différente et tout à fait argumentée.
mais non , ce n'est pas parce qu'un organisme le dit , ce n'est par ce qu'on l'entend à la télé que que c'est vrai et ce n'est parce que c'est dans les bouquins qu'il faut le croire .Il faut chercher la vérité là ou elle est et ne pas croire tel ou tel, il faut étudier soi-même et ma, position n'est pas copiée mais le fruit de ma réflexion .
Je n'ai pas de discours moralisateur , je ne me place pas du coté de la morale mais de la vérité.
Bulle a écrit:
Il n'y a que Tibouc qui est choqué et moi qui tout simplement vient dire que tes classifications sont obsolètes parce qu'arbitraires.
ca ce n'est que ton opinion, peu importe que ma position soit minoritaire et n'entre pas dans le sirupeux "politiquement correct" , l'important est qu'elle reflète la vérité .
La perversion et l'homosexualité est en plein dans le sujet puisque ce qui caractérise le pervers (au sens psychanalytique) et donc l'homosexuel c'est justement la négation de la différence sexuelle qui est le sujet du post .
Vouloir gommer le féminin et le masculin c'est une tendance de la société actuelle dégénérée ,coupée du spirituel et tournée vers l'égo et la satisfaction de ses désirs propres ; c'est pourquoi je trouve la préoccupation de tibouc intéressante et très à la mode .
Dernière édition par Calice le Jeu 02 Avr 2009, 22:31, édité 1 fois
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Re: Féminisme et abolition des genres
Tibouc a écrit:Supposons que vous aimiez les frites et detestiez les beteraves (comme moi ). Supposons aussi que la majorité des gens soient dans le même cas.
Imaginons maintenant qu'une minorité de personne adore les beteraves et déteste les frites.
Direz-vous que ces personnes ne sont pas normales, simplement parce qu'elle n'aiment pas la meme chose que vous, et la meme chose que la majorité des gens ?
Non ? Et bien maintenant remplacer les frites et les betteraves par l'hétérosexualité et l'homosexualité. Vous aurez alors compris l'absurdité de l'homophobie.
La question sexuelle est plus important qu'un simple choix culinaire .On ne réduit pas les gens à des légumes.
Et il n'y a pas d'homophobie à dire la vérité ,c'est un mensonge de dire ca , si bien que les psy à la télé ou dans des articles n'osent plus donner leur avis de peur d'être taxée d'homophobe c'est de la répression arbitraire pure et et simple , on prive les gens de la liberté d'expression.
L'homophobie consiste a vouloir mettre les homos en prison ou à les dénigrer , ce qui n'est pas mon cas .
Dernière édition par Calice le Jeu 02 Avr 2009, 22:03, édité 1 fois
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Re: Féminisme et abolition des genres
Si tu pense que je suis "coupé du spirituel" tu te trompe complétement. Je suis quelqu'un de très spirituel justement.Vouloir gommer le masculin et le masculin c'est une tendance de la société actuelle dégénérée ,coupée du spirituel et tournée vers l'égo et la satisfaction de ses désirs propres ; c'est pourquoi je trouve la préoccupation de tibouc intéressante et très à la mode
Et je ne cherche pas à etre "à la mode", je dis simplement la vérité et j'essaye de faire évoluer les mentalités.
Escuse-moi mais tu les dénigre quand tu dis que l'homosexualité n'est pas normale.L'homophobie consiste a vouloir mettre les homos en prison ou à les dénigrer, ce qui n'est pas mon cas.
C'est un affirmation dogmatique. Tu pourrais au moins donner des arguments pour justifier ta phrase.La question sexuelle est plus important qu'un simple choix culinaire .
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Re: Féminisme et abolition des genres
Tibouc a écrit:Si tu pense que je suis "coupé du spirituel" tu te trompe complétement. Je suis quelqu'un de très spirituel justement.Vouloir gommer le masculin et le masculin c'est une tendance de la société actuelle dégénérée ,coupée du spirituel et tournée vers l'égo et la satisfaction de ses désirs propres ; c'est pourquoi je trouve la préoccupation de tibouc intéressante et très à la mode
mais je n'en doute pas , quand je parlais de spirituel je ne visais personne en particulier , juste la société actuelle coupée du sacrée qui a perdu tout sens du spirituel , d'harmonie et d'ordre des choses , puisque seul le matériel , le profit compte .La perte du sacré s'exprime par l'émergence de l'invidualisme , ou les désirs de l'homme passe avant la conscience de ses actes .
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Re: Féminisme et abolition des genres
Donc je récapitule.Calice a dit : Non pour moi il y a une normalité du développement psycho-sexuel qui aboutit à la maturité génitale hétérosexuelle.
Dans l'optique de cet aboutissement , l'homosexualité est une anomalie , un grain de sable dans les rouages du développement psycho-sexuel , tout comme un arbre qui possède en germe la faculté de faire des fruits devient stérile si il est privé d'eau ou de soleil .
Nous n’avons pas les même définitions de pathologie, de pervers et de pervers pathologique ; pas grave tout le monde peut aller voir dans les dictionnaires en lignes. Et au bout du compte peu importe puisque tu as éclairé ton point de vue : l’homosexualité serait une anomalie de développement psycho-sexuel qui n’est pas une perversion (puisque la perversion est une pathologie et que pathologie = maladie).
Elle n’est donc anormale que parce que la relation ne permet pas de « faire des fruits » ?
Mais alors pourquoi ne pas dire directement donc que l’homosexualité est une pratique choquante par rapport à ce que la bible enseigne et se réfugier derrière des pseudos preuves « médicales » ?
Ca à la limite je peux le comprendre.
Mais dans ce cas là quelle serait la solution pour toi ? Des soins pour que les homosexuels entrent dans la norme ? Et puisque les soins analytiques ne fonctionnent pas, (ce qui est une preuve que l’histoire du complexe de castration n’est qu’un élément explicatif dans de l’homosexualité), que proposer comme autre méthode ?
Parce qu'il y en a une tapée de thérapies proposées :
Comme par exemple la méthode de thérapie par aversion dans le spoiler :
- Spoiler:
La mode est alors à la "thérapie par aversion" : on entend déconditionner le patient homosexuel en lui présentant des photographies plus ou moins érotiques destinées à émoustiller l’instinct pervers qui est en lui, mais en les assortissant de chocs électriques (ou de nausées savamment administrées par voie médicamenteuse, c’est selon). Bien sûr, certains songeront ensuite à reconditionner le patient dans l’ "ordre des choses" : la "Playboy Therapy" du docteur Bancroft tentera d’y pourvoir. Mentionnons également la sollicitude du docteur Robert Heath qui, lors d’une expérience dont l’inefficacité ne retirera rien à son immortalité, implanta des électrodes dans le cerveau d’un homosexuel pour stimuler ses centres du plaisir, et livra l’homme séance tenante aux griffes d’une prostituée habile. (Ref : Silverstein, C., The medical treatment of homosexuality, In Textbook of Homosexuality and Mental Health, eds. by R.E. Cabaj & T.S. Stein, 1996, American Psychiatric Press, pp. 3-16)
Ou encore les therapies de “conversion” comme Exodus : Cf spoiler
- Spoiler:
Certaines associations qui soutiennent les "thérapies de conversion", comme Exodus, sont étroitement liées à des mouvements religieux puisqu'elles proposent de "libérer de l'homosexualité par le pouvoir de Jésus Christ". À la fin des années 90, l'Association américaine de psychologie ainsi que l'Association américaine de psychiatrie avaient adopté des résolutions qui soulignaient le danger de ces "thérapies", qui ne reposent sur aucun fondement scientifique. Dans sa dernière résolution, l'Association américaine de psychologie réaffirme ainsi "qu'il n'existe aucune preuve scientifique attestant que l'orientation sexuelle puisse être changée". Elle redoute aussi que les positions soutenues par les mouvements "ex-gay" ne créent "un environnement dans lequel les préjugés et les discriminations pourraient prospérer". Les associations, comme Truth Wins Out, qui ne cessent de dénoncer les pratiques de certains mouvements "ex-gay" qu'elles qualifient d'escroqueries, se sont évidemment félicitées de la condamnation de ces pratiques par l'Association américaine de psychologie.
Source
Ou alors doit-on comprendre que l’homosexualité est un choix certes, « mais pas un choix comme un autre » ; comme par exemple le choix du plaisir vicieux de rechercher un plaisir sexuel sans but de procréer ; et un choix lourd de conséquences jusque les comportements sociaux ; au point que tu n’arrives pas à digérer encore aujourd’hui le fait qu’un « homo » ait bien pu ne pas te laisser griller tout le monde dans une file d’attente alors que selon tes propres paroles ta grossesse ne se voyait pas et tu n’avais pas sorti ta carte de priorité.
Quelle que soit ton opinion et la liberté d’opinion est un droit précieux, au moins elle sera claire.
Oula ! Nous sommes dans le vif du sujet : « la société actuelle dégénérée, coupée du spirituel ». Et c'est "très à la mode" !Calice a dit :
Vouloir gommer le féminin et le masculin c'est une tendance de la société actuelle dégénérée ,coupée du spirituel et tournée vers l'égo et la satisfaction de ses désirs propres ; c'est pourquoi je trouve la préoccupation de tibouc intéressante et très à la mode .
Si mes souvenir sont bon, la société en plein dans le spirituel , c’est-à-dire les chrétiens, adore toujours un mec à cheveux long et qui passât le plus clair de son temps en robe entouré de plein de garçons non ?
Soyons sérieux Calice, les modes vestimentaires n’ont jamais été un signe de dégénérescences, elles partent et reviennent légèrement remises au goût du jour voyons.
Et il en est de même pour le look androgyne qui d’ailleurs présent que dans certains milieu, les femmes ayant plus que tendance à gonfler leurs attraits de nos jours.
Il va falloir que tu trouves un autre argument je pense si tu veux convaincre !
La perte du sacré s'exprime par l'émergence de l'invidualisme , ou les désirs de l'homme passe avant la conscience de ses actes
Là aussi ce serait bien que tu développes, voire que tu ouvres un sujet pour en discuter. Pour ma part je ne vois pas ce qui permet d’affirmer que le développement des droits et des responsabilités de l’individu serait une perte de « conscience de ses actes ». Et j’aurais même tendance à penser tout le contraire.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Bulle,
Tu déformes mes propos et tu refuses de voir que mon point de vue n'est ni religieux ni moral mais provient de l'observation des faits .
L'homosexualité n'est ni une pathologie ni une maladie (pourquoi emploies tu le terme maladie à tout bout de champs ?) , c'est tout simplement un état non abouti de l'être et donc il n'y a pas lieu de placer cette tendance au même niveau que l'hétérosexualité tout simplement , car ce serait un mensonge .
Ensuite un couplet sans rapport avec le sujet sur la manière de "soigner " les homos qui ne me concernent pas car j'estime il n'y pas lieu de les soigner , pourquoi es tu obsédée à ce point ?
Et ensuite tu m'inventes des états d'âme , pour appuyer ta thèse tu supputes que je n'aurais pas digérer une réflexion faite il y a plus de 10 ans , sans avoir conscience du ridicule de tes propos .
Ce qui m'interesse ce sont les faits et de comprendre comment les gens fonctionnent et l'origine de leurs agissements .et en l'occurence c'est une anecdote parmi bien d'autres qui renseigne sur un comportement humain.
Ce qui est important de souligner ici en rapport avec le sujet c'est que l'observation montre que les pervers (au sens médical du terme ) sont dans le déni de la différence des sexes , là est le coeur de notre sujet (et non comment soigner les homos) ; peut-être n'arrives tu pas à faire le lien entre le fait de vouloir abroger les genres féminin et masculin et le déni de la différence des sexes qui est la caractéristique inconsciente propre aux pervers ?
Dans ta grande tolérance tu n'arrives pas à concevoir qu'on puisse considérer l'homosexualité comme une sexualité non aboutie sans avoir de préjugés ni d'états d'âme particulier , mais en considérant simplement les faits.
Avoir des tendances homosexuelles n'a jamais été un choix comme tu à l'air de l'affirmer.Les gens ne sont pas responsables de leur identité sexuelle , ils ne peuvent que constater qu'ils sont attirés par tel type de personne.
Il ne faut pas confondre religion et spiritualité .La spiritualité c'est la compréhension profonde de l'organisation du monde et des lois de la nature .La perte du sacré c'est ne pas voir l'harmonie du monde et l'homme faisant partie intégrante de ce monde doit pour être en harmonie se conformer a des lois naturelles pour s'épanouir au mieux , et non suivre sa volonté propre , ses désirs égotiques ; donc il lui faut analyser tout cela si il ne veut pas être entrainé dans le chaos.
Tu déformes mes propos et tu refuses de voir que mon point de vue n'est ni religieux ni moral mais provient de l'observation des faits .
L'homosexualité n'est ni une pathologie ni une maladie (pourquoi emploies tu le terme maladie à tout bout de champs ?) , c'est tout simplement un état non abouti de l'être et donc il n'y a pas lieu de placer cette tendance au même niveau que l'hétérosexualité tout simplement , car ce serait un mensonge .
Ensuite un couplet sans rapport avec le sujet sur la manière de "soigner " les homos qui ne me concernent pas car j'estime il n'y pas lieu de les soigner , pourquoi es tu obsédée à ce point ?
Et ensuite tu m'inventes des états d'âme , pour appuyer ta thèse tu supputes que je n'aurais pas digérer une réflexion faite il y a plus de 10 ans , sans avoir conscience du ridicule de tes propos .
Ce qui m'interesse ce sont les faits et de comprendre comment les gens fonctionnent et l'origine de leurs agissements .et en l'occurence c'est une anecdote parmi bien d'autres qui renseigne sur un comportement humain.
Ce qui est important de souligner ici en rapport avec le sujet c'est que l'observation montre que les pervers (au sens médical du terme ) sont dans le déni de la différence des sexes , là est le coeur de notre sujet (et non comment soigner les homos) ; peut-être n'arrives tu pas à faire le lien entre le fait de vouloir abroger les genres féminin et masculin et le déni de la différence des sexes qui est la caractéristique inconsciente propre aux pervers ?
Dans ta grande tolérance tu n'arrives pas à concevoir qu'on puisse considérer l'homosexualité comme une sexualité non aboutie sans avoir de préjugés ni d'états d'âme particulier , mais en considérant simplement les faits.
Avoir des tendances homosexuelles n'a jamais été un choix comme tu à l'air de l'affirmer.Les gens ne sont pas responsables de leur identité sexuelle , ils ne peuvent que constater qu'ils sont attirés par tel type de personne.
Il ne faut pas confondre religion et spiritualité .La spiritualité c'est la compréhension profonde de l'organisation du monde et des lois de la nature .La perte du sacré c'est ne pas voir l'harmonie du monde et l'homme faisant partie intégrante de ce monde doit pour être en harmonie se conformer a des lois naturelles pour s'épanouir au mieux , et non suivre sa volonté propre , ses désirs égotiques ; donc il lui faut analyser tout cela si il ne veut pas être entrainé dans le chaos.
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Re: Féminisme et abolition des genres
Tu parles d'harmonie Calice, mais justement l'harmonie c'est exactement ce que je veux.
Pour l'instant on sépare les hommes de femmes, moi je veux qu'on les rapproche. Je veux l'harmonie entre les êtres humains, et pour cela il ne faut plus faire aucune différence entre eux.
:vic:
Pour l'instant on sépare les hommes de femmes, moi je veux qu'on les rapproche. Je veux l'harmonie entre les êtres humains, et pour cela il ne faut plus faire aucune différence entre eux.
:vic:
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Re: Féminisme et abolition des genres
Mince me voilà moi aussi en pleine pathologie obsessionnelle mouarf !Calice a dit : Ensuite un couplet sans rapport avec le sujet sur la manière de "soigner " les homos qui ne me concernent pas car j'estime il n'y pas lieu de les soigner , pourquoi es tu obsédée à ce point ?
Je reprends donc mon raisonnement : tu dis que les homosexuels souffrent, sont classés comme déviants ou pervers en psychopathologie et que les psy doivent « aller plus loin » que la simple souffrance par le regard des autres !
Donc il me semble logique d'oser le mot "soigner" puisque c'est justement ce à quoi servent les médecins : soigner les gens qui souffrent…
Quand tu dit qu’il n’y a pas lieu de les soigner, tu veux dire qu’il faut les laisser souffrir ?
Et bien écoute je ne suis pas d'accord sur le terme inventer. Je n’ai fait que lire ce que tu dis et c’est tout de même bien toi qui introduit les anomalies des homosexuels d’une manière sacrément connotée avec ton «ce ne peut être que la réflexion d'un homo" auquel tu rajoutes plus loin « ou d’un névrosé ».Et ensuite tu m'inventes des états d'âme , pour appuyer ta thèse tu supputes que je n'aurais pas digérer une réflexion faite il y a plus de 10 ans , sans avoir conscience du ridicule de tes propos .
Je n’invente rien, la réflexion d’il y a 10 ans c’est tout de même bien qui t’en souviens encore comme une réaction qui t’a choquée et te choque encore et la rapporte.
Vraiment je ne vois pas ce qu’il y a de ridicule dans mes propos...
Tu sais, dans tout discours, la manière de l'introduire donne le pacte de lecture de ce qui suit. Et c'est normal, on ne doit pas comprendre l'expression "j'aime les enfants" de la même manière si elle est employée par un pédophile ou un non pédophile.
Je dis, c’est possible, mais je n’affirme rien parce qu’à l’heure actuelle aucune théorie explicative de l’homosexualité n’est avérée.Dans ta grande tolérance tu n'arrives pas à concevoir qu'on puisse considérer l'homosexualité comme une sexualité non aboutie sans avoir de préjugés ni d'états d'âme particulier , mais en considérant simplement les faits.
Et j’ajoute que de mon point de vue, c’est une question de bon sens.
Si le problème de l’homosexualité était uniquement lié à cette hypothèse, la bisexualité n’existerait pas.
Si le problème de l’homosexualité était uniquement lié à cette hypothèse, l’homosexualité n’existerait pas chez les animaux.
Nous sommes donc tout à fait d’accord : être homosexuel n’est pas un choix.Avoir des tendances homosexuelles n'a jamais été un choix comme tu à l'air de l'affirmer.Les gens ne sont pas responsables de leur identité sexuelle , ils ne peuvent que constater qu'ils sont attirés par tel type de personne.
Mais décider de vivre son homosexualité en est bien un.
Et ce que les homosexuels veulent qui soit reconnu, c’est bien leur droit à la différence et le droit de vivre sa sexualité comme les hétérosexuels vivent la leur non ?
Et rien d’autre.
C’est cela que tu appelles « faire passer leur singularité comme normale » ?
D’accord avec toi à nouveau : il ne faut pas confondre le religieux et le spirituel. La religion n’est qu’une forme de spiritualité.Il ne faut pas confondre religion et spiritualité.
Pour en revenir au sacré, tu le définis par ce qui résulterait de sa perte. Selon toi, sans le sacré, c’est le chaos. Ouaouh c’est encore très fort ça je trouve !
Quel est donc le sacré qui s’oppose au chaos pour toi ?
Quel est donc cet ordre qui est capable de sauver du désordre ?
@Tibouc : Bravo amha, tu as des paroles géniales et très sages Tibouc
_________________
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Re: Féminisme et abolition des genres
Bulle a écrit:tu dis que les homosexuels souffrent, sont classés comme déviants ou pervers en psychopathologie et que les psy doivent « aller plus loin » que la simple souffrance par le regard des autres !
seulement ceux qui en font la demande .il n’est pas question de forcer les gens .Et il n’y a pas de maladie à soigner juste des personnes .
Et les personnes qui viennent raconter leur souffrance se trompent souvent de cible , il est facile d’accuser l’entourage extérieur de tous ses maux .
Bulle a écrit:
Donc il me semble logique d'oser le mot "soigner" puisque c'est justement ce à quoi servent les médecins : soigner les gens qui souffrent…
Il faudrait déjà qu’ils se rendent compte qu’ils souffrent or les pervers se sentent normaux et ne souffrent pas au sens ou on l’entend ,extérieurement ils se sentent très heureux et considère que c’est la société qui leur est hostile et qui devrait changer ; leur structure identitaire est faite de telle façon qu’ils ont une carapace à toute épreuve , c’est pourquoi les pédophiles par exemple sont si difficiles à prendre en charge , ils se sentent normaux et ne voient pas pourquoi ils devraient consulter.
Bulle a écrit:
«ce ne peut être que la réflexion d'un homo" auquel tu rajoutes plus loin « ou d’un névrosé ».
certainement et c’est une réaction que j’ai déjà observée plusieurs fois .
Bulle a écrit:
Si le problème de l’homosexualité était uniquement lié à cette hypothèse, la bisexualité n’existerait pas.
Si car la bisexualité est aussi une sexualité non aboutie.
Bulle a écrit:
Si le problème de l’homosexualité était uniquement lié à cette hypothèse, l’homosexualité n’existerait pas chez les animaux.
L’homosexualité chez les animaux existe quand il n’y a pas d’autre partenaire disponible ou quand il s’agit de dominer un autre.
Bulle a écrit:
Et ce que les homosexuels veulent qui soit reconnu, c’est bien leur droit à la différence et le droit de vivre sa sexualité comme les hétérosexuels vivent la leur non ?
Et rien d’autre.
Mais c’est ce qu’ils vivent actuellement il n’y a rien à demander de plus ni à reconnaître de plus , la liberté est totale et les droits sociaux sont les mêmes.
Bulle a écrit:
C’est cela que tu appelles « faire passer leur singularité comme normale » ?
Non faire passer leur singularité comme normale c’est exiger de la société qu’elle reconnaisse le mariage homo équivalent au mariage hétéro pour l’adoption des enfants par exemple , que les couples homos soient à égalité avec les hétéros , que l’homosexualité soit considérée comme une tendance normale dans l’esprit des gens , alors qu’ il n’en n’est rien car l’homosexualité est une sexualité non aboutie.
Il y a une différence entre laisser les gens libre de vivre leur penchants et considérer que ses penchants soient équivalents à l’hétérosexualité .
Et c’est ce qui existait dans la Grèce antique :l’homosexualité était tolérée mais l’hétérosexualité restait la norme pour le mariage et les enfants , la famille reposait sur le mariage hétéro , les homos ne revendiquaient ni le droit à l’adoption ni la reconnaissance à égalité avec les hétéros au niveau de la famille
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