Culte de la déesse
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BlingBlingTheGod
WerdoX
_dhmo
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Culte de la déesse
http://fr.wikipedia.org/wiki/Culte_de_la_d%C3%A9esse#Liens_externesL'expression culte de la déesse fait référence au culte primitif de la fertilité tel qu'il semble avoir été universellement pratiqué à la fin de la préhistoire. Ce culte, dans lequel la figure de la femme tenait une grande place et revêtait une dimension sacrée, consistait essentiellement en une vénération de la Terre — cette dernière incarnant le principe féminin universel, mieux nommé Déesse-Mère ou Grande déesse, ou encore Féminin sacrée (à noter qu'il s'agit là d'une expression d'invention récente).
Que pensez-vous de ce culte?
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Re: Culte de la déesse
Euhmm.. ''pratiquer à la fin de la préhistoire'' ??
Les homo abilis (enfin les tous premiers bipedes) avait deja des cultes ??
Et on les connais ??????????
Les homo abilis (enfin les tous premiers bipedes) avait deja des cultes ??
Et on les connais ??????????
WerdoX- Affranchi des Paradoxes
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Re: Culte de la déesse
Moi ce qui me marquait autour de ce culte féminin de la préhistoire c'est qu'on a longtemps dit,théorisé qu'a cette époque les sociétés étaient matriarcales.
Je ne sais pas quand ce délire et cette idéologie a commencé !
A chaque fois que j'ai lu ça j'essayai de m'imaginer ce genre de société sans y arriver...
J'ai lu il a peu de temps qu'on a abandoné ou qu'on commence a abandonné cette étonnante idée de société matriarcale.
Ca n'est observé nulle part chez les primitifs !
Je ne sais pas quand ce délire et cette idéologie a commencé !
A chaque fois que j'ai lu ça j'essayai de m'imaginer ce genre de société sans y arriver...
J'ai lu il a peu de temps qu'on a abandoné ou qu'on commence a abandonné cette étonnante idée de société matriarcale.
Ca n'est observé nulle part chez les primitifs !
Invité- Invité
Re: Culte de la déesse
Il me semble bien qu'il y a de nombreuses sociétés matriarcale, les amazones par exemple à l'époque
Re: Culte de la déesse
Je cherchais un exemple ça serait peut être le seul exemplaire.
Mais justement les amazones ont du se révolter contre le patriarcat !
Et le seul moyen que la société perdure était de tuer les males...
Mais justement les amazones ont du se révolter contre le patriarcat !
Et le seul moyen que la société perdure était de tuer les males...
Invité- Invité
Re: Culte de la déesse
Il y a les Iroquois il me semble qui était une société matriarcale... Mais je ne vois pas le rapport avec le culte de la déesse.
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Re: Culte de la déesse
CEla n'a en fait aucun rapport. Les cultes de déesses sont très souvent associez à la fertilité et non la femme dominante. Mais il y a aussi les cultes associez au sexe (aphrodite), ou au lesbiennes (lesbos).
Jonathan l- Affranchi des Paradoxes
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Re: Culte de la déesse
WerdoX a écrit:Euhmm.. ''pratiquer à la fin de la préhistoire'' ??
Les homo abilis (enfin les tous premiers bipedes) avait deja des cultes ??
Et on les connais ??????????
Je sais pas homo habilis, mais apparement homo sapiens en avait au moins un et c'est le culte de la déesse, par contre wikipedia est muet sur les indices qui nous permettent de conclure à ceci.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Culte_de_la_d%C3%A9esse
</H4>
<H4>La thèse des sociétés « matristiques » de Marija Gimbutas [modifier]
Marija Gimbutas, archéologue et anthropologue universellement considérée comme l'une des meilleures spécialistes en ce domaine, spécialiste des cultures indo-européennes et pré-indo-européennes, ex-chercheuse à l'université de Harvard, préfère le terme de société « matristique » pour désigner un type de société qui perdura, selon elle, des dizaines de millénaires, depuis l'Aurignacien au Paléolithique supérieur jusqu'au début des temps historiques vers — 3000 où le patriarcat se serait peu à peu institué. Ses théories, en particulier celle du culte de la Déesse qui se serait universellement répandu durant toute la Préhistoire, se fondent sur ses recherches et se basent sur les campagnes archéologiques qu'elle a dirigé quinze années durant dans ce qu'elle appelle « l'ancienne Europe », pré-indo-européenne, principalement dans les Balkans et le long du cours du Danube.
Ce système ne se baserait pas sur une discrimination sexuelle, mais sur l'importance accordée au féminin, la femme incarnant la reproduction de l'espèce et son espoir de pérennité dans une dimension temporelle qui n'était pas linéaire comme elle le devint avec le patriarcat, mais circulaire et cyclique où prend naissance le mythe de « l'éternel retour ».
L'existence d'un tel système social durant la Préhistoire n'est plus guère mis en doute aujourd'hui, même si ethnologues, archéologues et anthropologues ne sont pas toujours d'accord sur sa définition. Ce qui pose davantage problème aujourd'hui est de savoir pourquoi et comment le patriarcat s'y serait substitué pour s'imposer avec l'invention de l'agriculture, entre -5000 et -3000.
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Re: Culte de la déesse
Qwatybaal a écrit: Moi ce qui me marquait autour de ce culte féminin de la préhistoire c'est qu'on a longtemps dit,théorisé qu'a cette époque les sociétés étaient matriarcales.
Je ne sais pas quand ce délire et cette idéologie a commencé !
A chaque fois que j'ai lu ça j'essayai de m'imaginer ce genre de société sans y arriver...
J'ai lu il a peu de temps qu'on a abandoné ou qu'on commence a abandonné cette étonnante idée de société matriarcale.
Ca n'est observé nulle part chez les primitifs !
Effectivement, ce culte ne fait pas de discrimination entre les sexes mais accordent une plus grande importance au féminin. Comme l'a expliqué Jonathan.
Par contre que veux-tu dire par primitifs? (s'il te plaît évite d'employer ce terme, car on pourrait appeler ainsi les arborigène ou les amérindiens de la sorte et sa pourrait blesser).
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Re: Culte de la déesse
J'ai juste tapé "culte de la déesse" et regardé l'article du wiki !
Et je vois cette histoire de société matriacal associé à ce culte.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Culte_de_la_D%C3%A9esse
Et je vois cette histoire de société matriacal associé à ce culte.
Le culte de la déesse au fil des âges [modifier]
Préhistoire [modifier]
Certains auteurs, tels Marija Gimbutas (son livre Le langage de la déesse y est consacré), pensent que le culte de la Déesse apparaît au Paléolithique supérieur. Selon cette hypothèse, les premières traces de cette religion primordiale remontent à 35 000 avant notre ère, avec
en particulier des vestiges tels que la Vénus de Willendorf.
La thèse des sociétés « matristiques » de Marija Gimbutas [modifier]
Marija Gimbutas, archéologue et anthropologue universellement considérée comme l'une des meilleures spécialistes en ce domaine, spécialiste des cultures indo-européennes et pré-indo-européennes, ex-chercheuse à l'université de Harvard, préfère le terme de société « matristique » pour désigner un type de société qui perdura, selon elle, des dizaines de millénaires, depuis l'Aurignacien au Paléolithique supérieur jusqu'au début des temps historiques vers — 3000 où le patriarcat se serait peu à peu institué. Ses théories, en particulier celle du culte de la Déesse qui se serait universellement répandu durant toute la Préhistoire, se fondent sur ses recherches et se basent sur les campagnes archéologiques qu'elle a dirigé quinze années durant dans ce qu'elle appelle « l'ancienne Europe », pré-indo-européenne, principalement dans les Balkans et le long du cours du Danube.
Ce système ne se baserait pas sur une discrimination sexuelle, mais sur l'importance accordée au féminin, la femme incarnant la reproduction de l'espèce et son espoir de pérennité dans une dimension temporelle qui n'était pas linéaire comme elle le devint avec le patriarcat, mais circulaire et cyclique où prend naissance le mythe de « l'éternel retour ».
L'existence d'un tel système social durant la Préhistoire n'est plus guère mis en doute aujourd'hui, même si ethnologues, archéologues et anthropologues ne sont pas toujours d'accord sur sa définition. Ce qui pose davantage problème aujourd'hui est de savoir pourquoi et comment le patriarcat s'y serait substitué pour s'imposer avec l'invention de l'agriculture, entre -5000 et -3000.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Culte_de_la_D%C3%A9esse
Invité- Invité
Re: Culte de la déesse
voici ce que j'ai trouvé dans l'observatoire des religions
"Parmi les qualités et rôles attribués à la Déesse Mère, nous retrouvons, chez Marie, la vierge, la mère, la rédemptrice (parce qu’elle permet la rédemption en acceptant de donner naissance à celui qui sauve l’humanité), la protectrice, la consolatrice. Comme Isis, elle est appelée reine du ciel et étoile de la mer.
Contrairement à certaines déesses Marie ne possède pas leur caractère effrayant. Par contre elle acquiert celui de médiatrice. Elle est Lumière par son Fils et non par elle-même.
C. LES LIEUX DE CULTE
Le culte à la Grande déesse est lié à des lieux naturels évocateurs de mystères féminins : les grottes et les sources, les monts qui renvoient l’homme à l’idée de l’épreuve initiée par la femme, du passage nécessaire par l’élément féminin, de la régénération grâce au principe féminin.
La Vierge est vénérée dans ces mêmes lieux symboliques. Son culte s’enracinent parfois dans les lieux géographiques même dédiés autrefois à des déesses païennes :
à Ephèse, où nous savons qu’Artémis était vénérée sous l’aspect de la fécondité, un culte s’est développé dans une maison où, selon la légende, Marie aurait habité.
A Soissons, une église est consacrée à Marie, au VI°siècle, sur les fondements d’un temple d’Isis.
Le Mont Carmel, autrefois consacré au culte cananéen d’Astarté, donne son nom à un Ordre voué à la Vierge.
A Rome, la basilique Santa Maria sopra Minerva près du Panthéon, est construite sur un ancien temple dédié à Minerve, tout près d’un sanctuaire d’Isis.
D. LES TEMPS DE CULTE
Le cycle des saisons et la course du soleil qui marquent le cycle de la vie végétale, animale et humaine servent de cadres aux temps forts du culte à la Déesse.
Le culte de Marie prend place dans ces mêmes temps.
La Purification de la Vierge, le 2 février, appelée aussi Chandeleur, coïncide avec une ancienne fête des lumières : on allumait des feux et des torches toute la nuit pour aider à la revivification de la nature. Cette fête renvoyait au rite éleusiniens des fidèles portant des torches en commémoration des recherches entreprises par Déméter pour retrouver Korè.
Les bougies étant les emblèmes du pouvoir divin et vivificateur du soleil, la Purification de la Vierge prend toute sa valeur à l’époque de cette fête.
De fait, le rite de la Purification résulte du mystère de l’Incarnation qui arrache l’humanité aux puissances des ténèbres.
Auparavant, la Vierge a porté la lumière. L’Annonciation, au printemps, le 25 mars, correspond à l’élan de la nature qui reprend vie.
La date précise résulte, bien sûr, du choix de celle, neuf mois plus tard, de la naissance du fils de Dieu, le 25 décembre, au moment où la lumière, elle, reprend son élan.
La Vierge donne naissance à Jésus au moment du solstice d’hiver, moment où le soleil commence à croître, or, cette fête de Noël était aussi celle du « Soleil Invaincu » dans le culte de Mithra.
C’est aussi, à cette époque de l’année, qu’en Egypte le dieu-Soleil renaissait, Horus, fils d’Osiris, dans les bras d’Isis.
De même, c’était la fête de Saturne, dieu romain primitif de l’agriculture.
L’Assomption, autre temps fort pour Marie est célébrée au mois d’août, à l’époque des fêtes champêtres à la fin des moissons, période de culte à la Déesse Déméter à qui les prémices étaient offerts.
Ces temps forts sont chargés d’un sens nouveau, mais ils rappellent toujours qu’il doit y avoir mort pour qu’il y ait renaissance.
Ils évoquent ce que le paysan vit au quotidien : l’idée de régénération au printemps, après la mort hivernale.
Le fondement du culte de la Vierge prend appui sur le trait commun essentiel à ces déesses,
celui de la fertilité, celui de la capacité à donner naissance, tout en s’enracinant dans les écrits évangéliques.
Mais, n’existe-t-il pas, dans l’Ancien Testament, une figure féminine désignée par sa capacité à engendrer un être exceptionnel et à revivifier l’humanité, autrement dit une préfiguration de la personne de Marie ?
c'est un exemple entre autres de l'imbrication des religions et des croyances "paiennes" primitives (primitives n'a rien d'injurieux, il indique seulement les premières sociétés apparues sur terre
"Un peuple primitif n'est pas un peuple arriéré ou attardé. Un peuple primitif n'est pas davantage un peuple sans histoire "(Lévi-Strauss)
"Parmi les qualités et rôles attribués à la Déesse Mère, nous retrouvons, chez Marie, la vierge, la mère, la rédemptrice (parce qu’elle permet la rédemption en acceptant de donner naissance à celui qui sauve l’humanité), la protectrice, la consolatrice. Comme Isis, elle est appelée reine du ciel et étoile de la mer.
Contrairement à certaines déesses Marie ne possède pas leur caractère effrayant. Par contre elle acquiert celui de médiatrice. Elle est Lumière par son Fils et non par elle-même.
C. LES LIEUX DE CULTE
Le culte à la Grande déesse est lié à des lieux naturels évocateurs de mystères féminins : les grottes et les sources, les monts qui renvoient l’homme à l’idée de l’épreuve initiée par la femme, du passage nécessaire par l’élément féminin, de la régénération grâce au principe féminin.
La Vierge est vénérée dans ces mêmes lieux symboliques. Son culte s’enracinent parfois dans les lieux géographiques même dédiés autrefois à des déesses païennes :
à Ephèse, où nous savons qu’Artémis était vénérée sous l’aspect de la fécondité, un culte s’est développé dans une maison où, selon la légende, Marie aurait habité.
A Soissons, une église est consacrée à Marie, au VI°siècle, sur les fondements d’un temple d’Isis.
Le Mont Carmel, autrefois consacré au culte cananéen d’Astarté, donne son nom à un Ordre voué à la Vierge.
A Rome, la basilique Santa Maria sopra Minerva près du Panthéon, est construite sur un ancien temple dédié à Minerve, tout près d’un sanctuaire d’Isis.
D. LES TEMPS DE CULTE
Le cycle des saisons et la course du soleil qui marquent le cycle de la vie végétale, animale et humaine servent de cadres aux temps forts du culte à la Déesse.
Le culte de Marie prend place dans ces mêmes temps.
La Purification de la Vierge, le 2 février, appelée aussi Chandeleur, coïncide avec une ancienne fête des lumières : on allumait des feux et des torches toute la nuit pour aider à la revivification de la nature. Cette fête renvoyait au rite éleusiniens des fidèles portant des torches en commémoration des recherches entreprises par Déméter pour retrouver Korè.
Les bougies étant les emblèmes du pouvoir divin et vivificateur du soleil, la Purification de la Vierge prend toute sa valeur à l’époque de cette fête.
De fait, le rite de la Purification résulte du mystère de l’Incarnation qui arrache l’humanité aux puissances des ténèbres.
Auparavant, la Vierge a porté la lumière. L’Annonciation, au printemps, le 25 mars, correspond à l’élan de la nature qui reprend vie.
La date précise résulte, bien sûr, du choix de celle, neuf mois plus tard, de la naissance du fils de Dieu, le 25 décembre, au moment où la lumière, elle, reprend son élan.
La Vierge donne naissance à Jésus au moment du solstice d’hiver, moment où le soleil commence à croître, or, cette fête de Noël était aussi celle du « Soleil Invaincu » dans le culte de Mithra.
C’est aussi, à cette époque de l’année, qu’en Egypte le dieu-Soleil renaissait, Horus, fils d’Osiris, dans les bras d’Isis.
De même, c’était la fête de Saturne, dieu romain primitif de l’agriculture.
L’Assomption, autre temps fort pour Marie est célébrée au mois d’août, à l’époque des fêtes champêtres à la fin des moissons, période de culte à la Déesse Déméter à qui les prémices étaient offerts.
Ces temps forts sont chargés d’un sens nouveau, mais ils rappellent toujours qu’il doit y avoir mort pour qu’il y ait renaissance.
Ils évoquent ce que le paysan vit au quotidien : l’idée de régénération au printemps, après la mort hivernale.
Le fondement du culte de la Vierge prend appui sur le trait commun essentiel à ces déesses,
celui de la fertilité, celui de la capacité à donner naissance, tout en s’enracinant dans les écrits évangéliques.
Mais, n’existe-t-il pas, dans l’Ancien Testament, une figure féminine désignée par sa capacité à engendrer un être exceptionnel et à revivifier l’humanité, autrement dit une préfiguration de la personne de Marie ?
c'est un exemple entre autres de l'imbrication des religions et des croyances "paiennes" primitives (primitives n'a rien d'injurieux, il indique seulement les premières sociétés apparues sur terre
"Un peuple primitif n'est pas un peuple arriéré ou attardé. Un peuple primitif n'est pas davantage un peuple sans histoire "(Lévi-Strauss)
ElBilqîs- Aka Peace & Love
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Localisation : là haut dans les étoiles
Identité métaphysique : qu'importe
Humeur : douce et calme
Date d'inscription : 12/04/2008
Re: Culte de la déesse
Le fait que ça peut blesser n'a pas forcément à me faire changer de vocabulaire.dhmo a écrit:
Par contre que veux-tu dire par primitifs? (s'il te plaît évite d'employer ce terme, car on pourrait appeler ainsi les arborigène ou les amérindiens de la sorte et sa pourrait blesser).
Mais je crois que dire les populations de chasseurs cueilleur étudiés par nos contemporain est plus saine...
Invité- Invité
Re: Culte de la déesse
Ca serait pas grecque par hasard?
citrouille- Jeune Padawan
- Nombre de messages : 52
Identité métaphysique : athé
Humeur : bonne
Date d'inscription : 24/04/2008
Re: Culte de la déesse
citrouille a écrit:Ca serait pas grecque par hasard?
Le culte de la déesse?
Si tu parles du culte, apparement oui et non, ça partirait de la préhistoire et se retrouverait un peu dans les premieres religions antique «isis», «gaya».
_dhmo- Affranchi des Paradoxes
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Identité métaphysique : -
Humeur : -
Date d'inscription : 27/03/2008
Re: Culte de la déesse
La fin de la préhistoire se termine avec l'homo sapiens (donc nous) en cours de néolithisation (agriculture/élevage)...WerdoX a écrit:Euhmm.. ''pratiquer à la fin de la préhistoire'' ??
Les homo abilis (enfin les tous premiers bipedes) avait deja des cultes ??
Et on les connais ??????????
Les amazones sont un peuple légendaire...BlingBlingTheGod a écrit:Il me semble bien qu'il y a de nombreuses sociétés matriarcale, les amazones par exemple à l'époque
Il existe en effet de nombreux peuples à la société matriarcale... ce que l'on peut remarquer est généralement que les peuples anciens avaient bien plus tendance à être matriarcale... et que durant tout le paléolithique l'on a surtout put découvrir des représentations de déesses... et non de dieu...dhmo a écrit:Il y a les Iroquois il me semble qui était une société matriarcale... Mais je ne vois pas le rapport avec le culte de la déesse.
L'on n'a actuellement aucune trace d'un culte pratiqué par homo habilis... c'est d'ailleurs trop ancien... mais l'on a par contre de bons indices de cultes chez l'Homme de néandertal... ce cousin d'homo sapiens. Et peut être que l'homo erectus connaissait les prémices des croyances...dhmo a écrit:Je sais pas homo habilis, mais apparement homo sapiens en avait au moins un et c'est le culte de la déesse, par contre wikipedia est muet sur les indices qui nous permettent de conclure à ceci.
Skipp- Jeune Padawan
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Identité métaphysique : Athé à tendance agnostico-panthéïsto-sympatisant-bouddhiste
Date d'inscription : 28/06/2008
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