La masturbation au féminin
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je suis une femme et
Re: La masturbation au féminin
Bientôt Siva va nous dire qu'elle a plein d'amis homo par exemple son coiffeur
Re: La masturbation au féminin
Pour ce qui est de l'apprentissage, voici quelques liens :
Masturbation - Wikipédia
26 jan 2009 ... La masturbation est une pratique sexuelle, consistant à provoquer le plaisir sexuel par la stimulation des parties génitales ou de l’anus à ...
Masturbation, passion de femme : site sur la masturbation féminine ...
La masturbation féminine sans vulgarité - technique de masturbation chez la femme, témoignage érotique, photo et video de masturbation - plaisir solitaire ...
Masturbation - Eloge de la masturbation - Doctissimo
Longtemps considérée comme la mère de tous les vices, la masturbation a du mal à ... Masturbation santé Dangereuse ! Scandaleuse ! La masturbation pourrait ...
censuré
Le guide de la Masturbation gratuite, masturbation de femmes, branlettes...
MASTURBATION : en savoir plus sur la masturbation
masturbation de l'homme et de la femme, sa fréquence, est-elle nuisible à la santé?
La masturbation - Sexualité - Santé AZ
La masturbation est l'excitation de ses organes génitaux pour parvenir à ... Il faut tout d’abord préciser que la masturbation n’est pas uniquement une ...
Censuré
Le site gratuit de la masturbation féminine ! masturbation, masturbation avec leurs doigts, la masturbation avec leurs pieds, la masturbation avec un gode ...
Techniques de Masturbation masculine "JetSociety"
15 fév 2008 ... De nombreux sites sont consacrés aux différentes techniques de la masturbation parmi eux le bien nommé : www.masturbation-masculine.com ...
Masturbation : BEST OF.
Tout savoir sur la masturbation. On dit que la branlette est le propre de l'homme. Qu'en pensent les femmes ?
Voyages intérieurs - regards sur la masturbation féminine
Masturbation féminine en photos et récits : témoignages de femmes sur leur rapport à la masturbation et photo de masturbation féminine..
Masturbation - Wikipédia
26 jan 2009 ... La masturbation est une pratique sexuelle, consistant à provoquer le plaisir sexuel par la stimulation des parties génitales ou de l’anus à ...
Masturbation, passion de femme : site sur la masturbation féminine ...
La masturbation féminine sans vulgarité - technique de masturbation chez la femme, témoignage érotique, photo et video de masturbation - plaisir solitaire ...
Masturbation - Eloge de la masturbation - Doctissimo
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MASTURBATION : en savoir plus sur la masturbation
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Censuré
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Techniques de Masturbation masculine "JetSociety"
15 fév 2008 ... De nombreux sites sont consacrés aux différentes techniques de la masturbation parmi eux le bien nommé : www.masturbation-masculine.com ...
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Voyages intérieurs - regards sur la masturbation féminine
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Dragoon- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 304
Date d'inscription : 07/02/2009
Re: La masturbation au féminin
C'est carrément un cite porno "Masturbation en vidéo" :snob:
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
- Nombre de messages : 1824
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
censuré
tu aurais du le signaler section animateur (c'est juste la 3eme fois que je te le dis)
tu aurais du le signaler section animateur (c'est juste la 3eme fois que je te le dis)
Re: La masturbation au féminin
C'est juste que je viens de le voir et que je viens juste de le faire dans la section modoBlingBlingTheGod a écrit:censuré
tu aurais du le signaler section animateur (c'est juste la 3eme fois que je te le dis)
Et celui ci aussi : "Elle se masturbe: masturbation féminine" ...
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
- Nombre de messages : 1824
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
Après de hautes spéculations métaphysiques sur l'existence de Dieu et les pente et côte, un retour sur terre .
Ci-dessous un article de Libération de ce jour :
La traversée du sexe en solitaire Libération (1 Juin 2009)
" Plaisir " : un ouvrage scientifique retrace l'histoire de l'onanisme.
La masturbation est une affaire sérieuse. Disons qu’elle peut l’être. Voilà en tout cas un ouvrage scientifique très porté sur la chose, pimenté d’une préface de Brigitte Lahaie qui préfère parler de «caresse intime» et préconise la pratique de cet acte solitaire : «Se masturber, n’est-ce pas finalement un acte démocratique qui, en nous épanouissant et en nous déculpabilisant vis-à-vis du sexe, nous permet d’aspirer à une société meilleure ?» (rien de moins). Passé ces pages folâtres, la Petite histoire de la masturbation écrite par un médecin (à partir de sa thèse universitaire) et un psychiatre (1) s’ouvre sur une défense et illustration de la paluche : «Ne dites pas de mal de la masturbation, après tout, c’est une façon de faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime» (Woody Allen). On sait ce qu’en pensent les religions monothéistes, l’originalité de cet opuscule est de retracer, cette fois, ce qu’en ont dit les médecins.
Et Diogène s’astiqua sur l’agora
Objet de plaisanterie, de dérision, la masturbation n’est pas prise très au sérieux, dans l’Antiquité. Elle n’est pas non plus sujet d’anathème. Dans les écrits médicaux, on trouve seulement deux traités sur le sujet. Son auteur, Galien, un médecin de l’époque romaine raconte : Diogène, philosophe grec du IVe siècle, adepte de l’austérité fut condamné pour s’être masturbé sur l’agora. Ayant besoin de se décharger, le philosophe avait fait appel à une prostituée qui tardait à venir. Quand elle se présente enfin, il la renvoie : sa main «avait chanté la première le chant nuptial». Commentaire de Galien : «Les hommes modérés consentent aux rapports non pas par plaisir, mais parce qu’ils peuvent soigner leurs troubles.» Le médecin évoque aussi «le problème de rétention des fluides», «plus pressant chez les femmes», surtout pour les «veuves, femmes dont les maris étaient absents, filles avant le mariage…» et recommande en guise de prévention «le toucher des parties génitales» pour provoquer «des convulsions s’accompagnant en même temps de douleurs et de plaisir, suivies de l’émission d’un sperme trouble et abondant». Dès lors, note-t-il, «elle sera libérée de tout le mal qu’elle a ressenti».
L’abominable «Onania» du XVIIIe
Le premier best-seller sur la branlette, dont l’auteur (certainement un médecin) est resté anonyme s’intitule Onania ou l’odieux péché de la masturbation, et toutes ses conséquences affreuses pour les deux sexes, avec des conseils d’ordre moral et d’ordre physique à ceux qui se sont déjà causé des dommages par cette pratique abominable. Il a été écrit entre 1708 et 1716.
L’auteur explique donc qu’en plus d’être un affreux péché qui détruit l’espèce, la masturbation a d’innombrables conséquences sur la santé. Rien n’est épargné : gonorrhée, impuissance, ulcères, convulsions, épilepsie… Cette pratique «empêche manifestement la croissance chez les garçons comme chez les filles». Ou encore : «Beaucoup de jeunes gens qui étaient robustes et bien bâtis avant de s’adonner à ce vice, s’en sont trouvés épuisés et, la masturbation privant leur corps de son humidité vitale et réparatrice, devenus secs et émaciés, ont été conduits à la tombe», peut-on lire. Tremblez jeunesse. L’auteur d’Onania propose (outre le repentir et la mortification, bien évidemment) de multiplier les bains froids, l’exercice, et de ne pas manger trop d’artichauts ou de pois (accusés de faire gonfler les parties génitales). Très célèbre, un autre médecin, suisse, emboîte le pas à ce pamphlet. Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) bâtit une thèse affolante : une évacuation de semence excessive affaiblit le système nerveux. Les testicules étant, selon lui, un réservoir où est concentrée ce qu’on appelle «l’humeur».
Ecrit en latin et en français, le traité est popularisé dans toute l’Europe où il connaît 61 éditions. C’est un vent de panique. Fort heureusement, à cette époque de nombreux traitements sont inventés contre cette «habitude dégoûtante de l’autopollution». En 1785, un médecin français invente le premier vêtement antimasturbatoire, un autre une culotte fermée à l’avant avec une serrure. Au XIXe siècle, on ne compte plus les potions, comprimés, et autres cachets. De nombreux brevets sont déposés, notent les auteurs : «alarmes à érection» (ils n’expliquent pas comment ça marche), ou encore «étuis péniens, mitaines de nuit, arceaux de lit pour écarter les draps des organes génitaux, entraves pour empêcher les filles d’étendre les jambes».
La main tendue…
Jusqu’en 1912, le Larousse médical illustré continue à indiquer les méfaits de la masturbation dont «un grand affaiblissement physique, la diminution de la mémoire et de l’intelligence, un état d’abrutissement intense». Mais le XXe siècle marque «la fin de l’hystérie collective». Et de la croyance populaire selon laquelle «ça rend sourd» (ou aveugle, chez les Américains). Merci à la psychanalyse, la sexologie et la pédiatrie, qui sont passées par là. Aujourd’hui, il arrive que les médecins l’encouragent. Dans les Cecos (les banques de sperme), ce sont eux qui tendent le récipient.
Ce qui surprend vraiment, c'est la conception rétrograde qu'en avaient les médecins , conception qui a duré des siècles, preuve supplémentaire du conditionnement de l'individu par le milieu et l'enseignement . Où es-tu donc, chère liberté individuelle ? Des médecins instruits, intelligents , l'élite...
Et maintenant, que dit la médecine : La main est la meilleure alliée de la prostate ! Pour les dames, je ne me prononce pas...
Ci-dessous un article de Libération de ce jour :
La traversée du sexe en solitaire Libération (1 Juin 2009)
" Plaisir " : un ouvrage scientifique retrace l'histoire de l'onanisme.
La masturbation est une affaire sérieuse. Disons qu’elle peut l’être. Voilà en tout cas un ouvrage scientifique très porté sur la chose, pimenté d’une préface de Brigitte Lahaie qui préfère parler de «caresse intime» et préconise la pratique de cet acte solitaire : «Se masturber, n’est-ce pas finalement un acte démocratique qui, en nous épanouissant et en nous déculpabilisant vis-à-vis du sexe, nous permet d’aspirer à une société meilleure ?» (rien de moins). Passé ces pages folâtres, la Petite histoire de la masturbation écrite par un médecin (à partir de sa thèse universitaire) et un psychiatre (1) s’ouvre sur une défense et illustration de la paluche : «Ne dites pas de mal de la masturbation, après tout, c’est une façon de faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime» (Woody Allen). On sait ce qu’en pensent les religions monothéistes, l’originalité de cet opuscule est de retracer, cette fois, ce qu’en ont dit les médecins.
Et Diogène s’astiqua sur l’agora
Objet de plaisanterie, de dérision, la masturbation n’est pas prise très au sérieux, dans l’Antiquité. Elle n’est pas non plus sujet d’anathème. Dans les écrits médicaux, on trouve seulement deux traités sur le sujet. Son auteur, Galien, un médecin de l’époque romaine raconte : Diogène, philosophe grec du IVe siècle, adepte de l’austérité fut condamné pour s’être masturbé sur l’agora. Ayant besoin de se décharger, le philosophe avait fait appel à une prostituée qui tardait à venir. Quand elle se présente enfin, il la renvoie : sa main «avait chanté la première le chant nuptial». Commentaire de Galien : «Les hommes modérés consentent aux rapports non pas par plaisir, mais parce qu’ils peuvent soigner leurs troubles.» Le médecin évoque aussi «le problème de rétention des fluides», «plus pressant chez les femmes», surtout pour les «veuves, femmes dont les maris étaient absents, filles avant le mariage…» et recommande en guise de prévention «le toucher des parties génitales» pour provoquer «des convulsions s’accompagnant en même temps de douleurs et de plaisir, suivies de l’émission d’un sperme trouble et abondant». Dès lors, note-t-il, «elle sera libérée de tout le mal qu’elle a ressenti».
L’abominable «Onania» du XVIIIe
Le premier best-seller sur la branlette, dont l’auteur (certainement un médecin) est resté anonyme s’intitule Onania ou l’odieux péché de la masturbation, et toutes ses conséquences affreuses pour les deux sexes, avec des conseils d’ordre moral et d’ordre physique à ceux qui se sont déjà causé des dommages par cette pratique abominable. Il a été écrit entre 1708 et 1716.
L’auteur explique donc qu’en plus d’être un affreux péché qui détruit l’espèce, la masturbation a d’innombrables conséquences sur la santé. Rien n’est épargné : gonorrhée, impuissance, ulcères, convulsions, épilepsie… Cette pratique «empêche manifestement la croissance chez les garçons comme chez les filles». Ou encore : «Beaucoup de jeunes gens qui étaient robustes et bien bâtis avant de s’adonner à ce vice, s’en sont trouvés épuisés et, la masturbation privant leur corps de son humidité vitale et réparatrice, devenus secs et émaciés, ont été conduits à la tombe», peut-on lire. Tremblez jeunesse. L’auteur d’Onania propose (outre le repentir et la mortification, bien évidemment) de multiplier les bains froids, l’exercice, et de ne pas manger trop d’artichauts ou de pois (accusés de faire gonfler les parties génitales). Très célèbre, un autre médecin, suisse, emboîte le pas à ce pamphlet. Samuel-Auguste Tissot (1728-1797) bâtit une thèse affolante : une évacuation de semence excessive affaiblit le système nerveux. Les testicules étant, selon lui, un réservoir où est concentrée ce qu’on appelle «l’humeur».
Ecrit en latin et en français, le traité est popularisé dans toute l’Europe où il connaît 61 éditions. C’est un vent de panique. Fort heureusement, à cette époque de nombreux traitements sont inventés contre cette «habitude dégoûtante de l’autopollution». En 1785, un médecin français invente le premier vêtement antimasturbatoire, un autre une culotte fermée à l’avant avec une serrure. Au XIXe siècle, on ne compte plus les potions, comprimés, et autres cachets. De nombreux brevets sont déposés, notent les auteurs : «alarmes à érection» (ils n’expliquent pas comment ça marche), ou encore «étuis péniens, mitaines de nuit, arceaux de lit pour écarter les draps des organes génitaux, entraves pour empêcher les filles d’étendre les jambes».
La main tendue…
Jusqu’en 1912, le Larousse médical illustré continue à indiquer les méfaits de la masturbation dont «un grand affaiblissement physique, la diminution de la mémoire et de l’intelligence, un état d’abrutissement intense». Mais le XXe siècle marque «la fin de l’hystérie collective». Et de la croyance populaire selon laquelle «ça rend sourd» (ou aveugle, chez les Américains). Merci à la psychanalyse, la sexologie et la pédiatrie, qui sont passées par là. Aujourd’hui, il arrive que les médecins l’encouragent. Dans les Cecos (les banques de sperme), ce sont eux qui tendent le récipient.
Ce qui surprend vraiment, c'est la conception rétrograde qu'en avaient les médecins , conception qui a duré des siècles, preuve supplémentaire du conditionnement de l'individu par le milieu et l'enseignement . Où es-tu donc, chère liberté individuelle ? Des médecins instruits, intelligents , l'élite...
Et maintenant, que dit la médecine : La main est la meilleure alliée de la prostate ! Pour les dames, je ne me prononce pas...
bernard1933- Aka Tpat
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
ah, ce n'est donc pas parce que je vieillis ?Larousse médical illustré continue à indiquer les méfaits de la masturbation dont «un grand affaiblissement physique, la diminution de la mémoire et de l’intelligence, un état d’abrutissement intense».
Invité- Invité
Re: La masturbation au féminin
Sache, Bernard, que quand j'avais quinze ans, le médecin de famille m'avais mis en garde contre la masturbation, il n'y a de cela qu'une soixantaine d'années, tu te rends compte?
Je me sentais terriblement coupable.
Et sais-tu ce que j'ai appris ? C'est la culpabilité qui affaiblit, me sentant coupable je me méprisais, croyant à ce qu'on me racontait, je pensais qu'il était vain d'étudier mes leçons puisque je m'étais affaibli, je craignais aussi que ça se voit sur ma figure, etc...
Je pense qu'au contraire, la masturbation pratiquée joyeusement, ne peut que stimuler le corps et l'esprit.
Tu te rends compte de tout le mal, des immenses souffrances qu'ont provoquées les religions monothéïstes ?
Rien que pour cela, leurs tenants méritent l'enfer.
Je me sentais terriblement coupable.
Et sais-tu ce que j'ai appris ? C'est la culpabilité qui affaiblit, me sentant coupable je me méprisais, croyant à ce qu'on me racontait, je pensais qu'il était vain d'étudier mes leçons puisque je m'étais affaibli, je craignais aussi que ça se voit sur ma figure, etc...
Je pense qu'au contraire, la masturbation pratiquée joyeusement, ne peut que stimuler le corps et l'esprit.
Tu te rends compte de tout le mal, des immenses souffrances qu'ont provoquées les religions monothéïstes ?
Rien que pour cela, leurs tenants méritent l'enfer.
Geveil- Akafer
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Date d'inscription : 18/05/2008
Re: La masturbation au féminin
leela a écrit:ah, ce n'est donc pas parce que je vieillis ?Larousse médical illustré continue à indiquer les méfaits de la masturbation dont «un grand affaiblissement physique, la diminution de la mémoire et de l’intelligence, un état d’abrutissement intense».
Geveil- Akafer
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Date d'inscription : 18/05/2008
Re: La masturbation au féminin
La difference entre la masturbation masculine et la masturbation féminine?: 4 doigts :ptdr:
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
Les préjugés contre la masturbation, s'ils ont très considérablement diminué, ne sont pas tout à fait éteints, loin s'en faut.Gereve a écrit:
Je pense qu'au contraire, la masturbation pratiquée joyeusement, ne peut que stimuler le corps et l'esprit.
Tu te rends compte de tout le mal, des immenses souffrances qu'ont provoquées les religions monothéïstes ?
Rien que pour cela, leurs tenants méritent l'enfer.
Le Catéchisme de l'Eglise catholique s'obstine à la considérer comme péché ---avec, il est vrai, circonstances atténuantes : l'influence du milieu et les habitudes acquises, par exemple.
Je connais des croyants qui estiment que cette pratique est une perte d'énergie.
J'en connais d'autres, mais là c'est plutôt dans une tranche d'âge supérieure à 50 ans, qui disent se baser sur les Commandements de l'Eglise pour ne pas s'autoriser "ce péché".
D'autres, croyants ou non, d'ailleurs, estiment que la masturbation nuit aux rapports sexuels dans le couple.
D'autres encore avancent que la masturbation n'est normale qu'avant l'âge adulte. Tout adulte la pratiquant serait, certaines considérations "psy" à l'appui, dans une phase plus ou moins pathologique de retour à l'enfance ou bien de repli sur soi.
Enfin, certaines épouses se manifestent sur des forums "santé" pour avouer qu'elles considèrent les masturbations de leur mari comme étant "une infidélité".
Des historiens de l'érotisme pensent qu'avant Onania puis Tissot, au Moyen-Age, par exemple, la masturbation, sans être encouragée, était néanmoins considérée comme parfaitement naturelle et normale.
_________________
MES POEMES :
*****************
Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
*****************
Re: La masturbation au féminin
ET ce ne peut étre que normal puisque ca existe depuis tjrs. Les animaux, dont les singes la pratiquent sans aucune géne et ne cherchent pas a se cacher comme l'homme le fait.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
C'est vrai, SEPTOUR, mais on pourra te répondre ( Ce n'est pas forcément mon oponion, pour le moment, je n'en ai pas ) que nous ne sommes pas des bêtes.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
Localisation : Auvergne
Identité métaphysique : universelle
Humeur : changeante
Date d'inscription : 18/05/2008
Re: La masturbation au féminin
Nous sommes des animaux...qui avons developpé des habiletés extraordinaires mais qui dans le fond avons gardé notre nature animale. Cette nature nous l'avons recouverte...de nos préjugés et appelée morale, superiorité.
En fait c'est la technologie qui nous separe du monde animal et pas vraiment l'intelligence puisque nous détruisons systématiquement la planéte; chose qu'aucun autre animal ne fera jamais.
En fait c'est la technologie qui nous separe du monde animal et pas vraiment l'intelligence puisque nous détruisons systématiquement la planéte; chose qu'aucun autre animal ne fera jamais.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
Il me semble tout de même que c'est quelque chose qui concerne davantage les hommes (surtout quand ils sont en "manque" de partenaire) que les femmes qui, n'ayant pas une zone érogène aussi limitée, peuvent prendre un certain plaisir à simplement se caresser, la zone génitale ou tout autre partie du corps, sentiment d'autosatisfaction et discrétion en même temps :shame:
Les hommes, eux, ayant beaucoup plus besoin "d'évacuer leur trop plein d'énergie vitale!" :hal:
Les hommes, eux, ayant beaucoup plus besoin "d'évacuer leur trop plein d'énergie vitale!" :hal:
Invité- Invité
Re: La masturbation au féminin
Oui, mais sans en venir aux menaces de certaines religions, ne faut-il pas tenir compte de la dernière remarque de Myrrha " évacuer leur trop plein d'énergie" ? Ça me fait penser à l'amour tantriste où il est recommandé de retenir son sperme pour garder son énergie vitale; est-ce bien cela Leela ?
Donc, peut-être y-a-t-il du vrai dans l'opinion selon laquelle la masturbation masculine serait une perte d'énergie. Non ?
Quant à la masturbation féminine, je ne sais pas.
Donc, peut-être y-a-t-il du vrai dans l'opinion selon laquelle la masturbation masculine serait une perte d'énergie. Non ?
Quant à la masturbation féminine, je ne sais pas.
Geveil- Akafer
- Nombre de messages : 8776
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Date d'inscription : 18/05/2008
Re: La masturbation au féminin
euh... sorry mais la théorie, je ne connais pas: je me contente de la pratique
Blague dans le coin: le tantra ne propose PAS de se retenir (c'est très mauvais) mais d'apprendre à l'utiliser autrement.
Il y a la montée de la kundalini, mais qui équivaut à l'"éveil" et est un rêve inaccessible, attirant ceux qui veulent tout, tout de suite, au risque de dégâts physiques et psychiques.
Reste d'en faire une "utilisation" raisonnable (euhhh enfin, pas trop raisonnable quand même !) et des moyens d'utiliser partiellement cette énergie créatrice par l'art et le service social... mais l'un n'empêche pas l'autre !
Voilà j'ai tout dit et son contraire comme cela vous avez le choix.
Blague dans le coin: le tantra ne propose PAS de se retenir (c'est très mauvais) mais d'apprendre à l'utiliser autrement.
Il y a la montée de la kundalini, mais qui équivaut à l'"éveil" et est un rêve inaccessible, attirant ceux qui veulent tout, tout de suite, au risque de dégâts physiques et psychiques.
Reste d'en faire une "utilisation" raisonnable (euhhh enfin, pas trop raisonnable quand même !) et des moyens d'utiliser partiellement cette énergie créatrice par l'art et le service social... mais l'un n'empêche pas l'autre !
Voilà j'ai tout dit et son contraire comme cela vous avez le choix.
Invité- Invité
Re: La masturbation au féminin
Ah! le tantrisme!
C'est tout un art!
Une certaine retenue...mais pas définitive...juste pour améliorer le résultat! Faire circuler les énergies, pas les gâcher inutilement!
C'est tout un art!
Une certaine retenue...mais pas définitive...juste pour améliorer le résultat! Faire circuler les énergies, pas les gâcher inutilement!
Invité- Invité
Re: La masturbation au féminin
J'aurais donc pratiqué sans le savoir, un certain aspect du tantrisme en apprenant a me retenir.....plusieurs heures! En effet j'éjaculais au moment ou ma compagne me liberait.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
OUI et je ne mens pas. A 16 ans je restais jusqu'a 6 heures en érection. A 45 ans jusqu'a 4 heures, aujourd'hui a 65 ans, je peux dire que cette époque la est terminée, mais pas completement. j'ai longtemps cru, jeune, que tous les hommes etaient en mesure d'en faire autant. A l'age de 42 ans, j'ai divorcé, commencé a sortir et connaitre plusieurs dames... qui n'en revenaient pas. J'étais moi aussi tres étonné.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: La masturbation au féminin
oui, ce n'est pas sans douleurs.
SEPTOUR- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1851
Date d'inscription : 23/03/2008
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