Cent ans et les poésies opportunes
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Cochonfucius
Nuage
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Cent ans et les poésies opportunes
Comment ça tu te rappelles ? Tu veux dire que tu te rappelles de l'avoir vu, une fois que tu t'es inscrit sur le forum ?loofrg a écrit:Si, je me rappelle de ton sujet
Parce-qu'à l'époque tu n'étais pas sur le forum .... normalement ....
Oui ça doit être ça ....Avec Lou Reed, j'ai pas du entendre le "mia" de miaouuuu". Ca doit être ça
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Nuage a écrit:Comment ça tu te rappelles ? Tu veux dire que tu te rappelles de l'avoir vu, une fois que tu t'es inscrit sur le forum ?
Parce-qu'à l'époque tu n'étais pas sur le forum .... normalement ....
Ha bon ? Je croyais bien me souvenir de ce sujet...Ca doit être un faux souvenir. Je vais aller voir.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Effectivement, je ne l'avais pas lu...sorry
Tiens, pour me faire pardonner, voici une petite poésie dans le même style. Bonne nuit
---------------------
Borborygmes…
Ce petit bébé au berceau,
Parle la langue du très haut,
Baba, beu, bibi, bou, baba.
Son père qui n’y entend goute,
Veut croire qu’il a dit « papa ».
Sois patient, lui dit maman,
Au paradis il restera encore un peu.
Le chat, lui aussi a tout compris.
Il pousse un léger miaou,
Puis retourne à sa toilette.
Tiens, pour me faire pardonner, voici une petite poésie dans le même style. Bonne nuit
---------------------
Borborygmes…
Ce petit bébé au berceau,
Parle la langue du très haut,
Baba, beu, bibi, bou, baba.
Son père qui n’y entend goute,
Veut croire qu’il a dit « papa ».
Sois patient, lui dit maman,
Au paradis il restera encore un peu.
Le chat, lui aussi a tout compris.
Il pousse un léger miaou,
Puis retourne à sa toilette.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Le visiteur…
La pluie n’était pas tristesse,
Les mots nous manquaient
Pour dire ce qu’elle était.
Les volcans continuaient de gronder,
Ce n’était la volonté d’aucun dieu.
Des animaux fuyaient quand
Approchait ce grand prédateur,
Mais celui-ci n’avait ni yeux ni bouche ni oreilles.
Ainsi se déroulait cette symphonie fantastique
Aux côtés d’un soleil quasi éteint.
Ce n’était plus que sensation
Transmise par le déroulement de la musique,
Avec ses hauts et ses bas, avec ses pics.
Sur les barreaux de cette grande échelle,
Se posait ça et là un papillon,
Un peu plus bas, un peu plus haut,
La chose n’avait pas grande importance
Car toujours une fleur s’y trouvait.
Du présent, on pouvait ouvrir une porte,
Elle nous menait jusqu’à un lointain passé,
C’était un voyage dans le temps,
Derrière nous se trouvait le futur.
On revisitait les découvertes d’un enfant,
Et elles nous semblaient bonnes,
Rafraîchies par ce nouveau regard.
Dans un coffre, quantité de pièces d’or,
Amassées durant toute une vie,
Qui avaient de la valeur encore,
Pour honorer notre dette
Envers Mère Nature.
La pluie n’était pas tristesse,
Les mots nous manquaient
Pour dire ce qu’elle était.
Les volcans continuaient de gronder,
Ce n’était la volonté d’aucun dieu.
Des animaux fuyaient quand
Approchait ce grand prédateur,
Mais celui-ci n’avait ni yeux ni bouche ni oreilles.
Ainsi se déroulait cette symphonie fantastique
Aux côtés d’un soleil quasi éteint.
Ce n’était plus que sensation
Transmise par le déroulement de la musique,
Avec ses hauts et ses bas, avec ses pics.
Sur les barreaux de cette grande échelle,
Se posait ça et là un papillon,
Un peu plus bas, un peu plus haut,
La chose n’avait pas grande importance
Car toujours une fleur s’y trouvait.
Du présent, on pouvait ouvrir une porte,
Elle nous menait jusqu’à un lointain passé,
C’était un voyage dans le temps,
Derrière nous se trouvait le futur.
On revisitait les découvertes d’un enfant,
Et elles nous semblaient bonnes,
Rafraîchies par ce nouveau regard.
Dans un coffre, quantité de pièces d’or,
Amassées durant toute une vie,
Qui avaient de la valeur encore,
Pour honorer notre dette
Envers Mère Nature.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Soleil et Terre…
Tout le monde est là,
De très vieux ancêtres,
Des gens du futur.
Nous pouvons faire notre choix,
En l’un d’eux nous reconnaître.
Je pense à ce coq,
Cet oiseau sacré,
Qui malgré ses ailes,
A choisi la terre.
Je vais parfois le visiter.
Avec son axe si solide,
La Terre se décroche parfois,
De cette grande orbite
Que lui imprime le soleil,
Elle n’en est cependant jamais très loin.
Dans ses voyages,
Elle aimerait parfois l’emmener,
Avec lui, partager ses rêves.
Mais il n’en n’a pas envie,
C’est évidemment très bien ainsi.
Alors quand elle revient,
Elle lui en fait le récit,
Elle le fait avec son sang,
De tant de fantaisies, le soleil rit.
Par ci par là, il glisse un mot,
Qui montre à la Terre,
Qu’il a bien compris.
De ce mot, elle se sert parfois,
Pour repartir un peu plus loin.
Tout le monde est là,
De très vieux ancêtres,
Des gens du futur.
Nous pouvons faire notre choix,
En l’un d’eux nous reconnaître.
Je pense à ce coq,
Cet oiseau sacré,
Qui malgré ses ailes,
A choisi la terre.
Je vais parfois le visiter.
Avec son axe si solide,
La Terre se décroche parfois,
De cette grande orbite
Que lui imprime le soleil,
Elle n’en est cependant jamais très loin.
Dans ses voyages,
Elle aimerait parfois l’emmener,
Avec lui, partager ses rêves.
Mais il n’en n’a pas envie,
C’est évidemment très bien ainsi.
Alors quand elle revient,
Elle lui en fait le récit,
Elle le fait avec son sang,
De tant de fantaisies, le soleil rit.
Par ci par là, il glisse un mot,
Qui montre à la Terre,
Qu’il a bien compris.
De ce mot, elle se sert parfois,
Pour repartir un peu plus loin.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Le masochiste autonome…
Ô toi, comme je te connais bien à présent,
Comme tu as percé le secret de la vie,
Toi qui te ravis de son feu,
Que jamais tu ne veux voir s’éteindre.
A tous tu transmets ce message :
"Vous tous, pourquoi donc aimez-vous tant la mort,
N’aurez-vous pas bientôt l’éternité,
Pour pouvoir ainsi vous reposer ?"
De la douleur, tu en fais ton quatre heure,
Mais aux autres tu demandes de te la procurer.
N’as-tu pas observé ce berger,
Qui a sur ses paumes les stigmates du seigneur ?
Ô toi, comme je te connais bien à présent,
Comme tu as percé le secret de la vie,
Toi qui te ravis de son feu,
Que jamais tu ne veux voir s’éteindre.
A tous tu transmets ce message :
"Vous tous, pourquoi donc aimez-vous tant la mort,
N’aurez-vous pas bientôt l’éternité,
Pour pouvoir ainsi vous reposer ?"
De la douleur, tu en fais ton quatre heure,
Mais aux autres tu demandes de te la procurer.
N’as-tu pas observé ce berger,
Qui a sur ses paumes les stigmates du seigneur ?
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
En attendant Lucky Luke…
Donc…nous disions…
As-tu entendu le chien aboyer ?
Et le cri que fait la coccinelle ?
Le chat quand il miaule,
Et l’oiseau,
Le corbeau par exemple…
Est-ce si différent,
Du monologue de Lucky ?
Donc…nous disions…
As-tu entendu le chien aboyer ?
Et le cri que fait la coccinelle ?
Le chat quand il miaule,
Et l’oiseau,
Le corbeau par exemple…
Est-ce si différent,
Du monologue de Lucky ?
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
loofrg a écrit:Nuage a écrit:Comment ça tu te rappelles ? Tu veux dire que tu te rappelles de l'avoir vu, une fois que tu t'es inscrit sur le forum ?
Parce-qu'à l'époque tu n'étais pas sur le forum .... normalement ....
Ha bon ? Je croyais bien me souvenir de ce sujet...Ca doit être un faux souvenir. Je vais aller voir.
Peut-être est-ce parce qu'à un moment cette année, j'en ai fait allusion dans une petite phrase ici ? et peut-être également qu'en lisant des sujets sur le forum, tu y aurais vu des commentaires de l'époque de membres en faisant références (aux chouettes hulottes) ? Peut-être que tu avais assemblé différents éléments rencontrés et que tu y avais vu consistance ... ?loofrg a écrit:Effectivement, je ne l'avais pas lu...sorry
Tiens, pour me faire pardonner, voici une petite poésie dans le même style. Bonne nuit
Merci pour le poème, c'est gentil, même si honnêtement je préférais celui-ci.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Tiens, voici alors une petite histoire, je sais que c'est le genre que tu préfères, j'espère que tu auras du plaisir à la lire :
Eden…
Là-haut c’était comme ici. Il y avait des oiseaux, des chiens, des chats des ânes, des chevaux.
Un homme timide marchait au milieu de ces animaux. Il avait eu sur Terre l’apparence d’un lion, et comme tout lion qui se respecte il avait aimé rugir dans la savane. Maintenant il aspirait à une vie tranquille, c’est la demande qu’il avait fait au Saint Père, résider au milieu de ses frères, il espérait qu’ils n’en soient pas dérangés. Je n’aspire à rien d’autre, lui avait-il dit, qu’à me remplir la panse des fruits de vos arbres, bavarder un peu, et si c’était possible de beaucoup dormir, car ce qu’il aimait en effet par-dessus tout, c’était rêver. Le Saint-Père lui dit que tout cela était possible, qu’il serait accueilli ici bien volontiers, qu’il serait d’ailleurs charmé d’entendre parfois un ou deux récits sur ses rêves, car il aimait en effet lui aussi se distraire. L’homme eut un soupir de soulagement, il avait fait tant de bruit sur Terre, il avait crains de devoir ici en faire autant. Il salua le Saint-Père, descendit le long escalier qui menait à lui, et marcha un moment. Le paradis était bien comme il se l’était imaginé, semblable à la Terre qu’il avait connue, mais avec un petit quelque chose de différent, il n’aurait su dire quoi exactement. Il arriva jusqu’à une clairière, là se trouvait un vieux chêne. Il décida de s’assoir à son pied, de se laisser contempler cette florissante nature. Un groupe de chevreuils passa à quelques mètres de lui, ils ne remarquèrent pas sa présence. Il y avait aussi un sanglier, occupé à fouiller la terre. Ce dernier jeta sur lui un bref coup d’œil puis poursuivit son oeuvre. Il s’allongea. Ses yeux étaient maintenant dirigés vers le ciel. Il vit les feuilles de l’arbre qui dansaient doucement au contact du vent. Enfin, il ramena sa casquette sur les yeux, puis, en quelques secondes, il sombra dans le sommeil.
Là-haut c’était comme ici. Il y avait des oiseaux, des chiens, des chats des ânes, des chevaux.
Un homme timide marchait au milieu de ces animaux. Il avait eu sur Terre l’apparence d’un lion, et comme tout lion qui se respecte il avait aimé rugir dans la savane. Maintenant il aspirait à une vie tranquille, c’est la demande qu’il avait fait au Saint Père, résider au milieu de ses frères, il espérait qu’ils n’en soient pas dérangés. Je n’aspire à rien d’autre, lui avait-il dit, qu’à me remplir la panse des fruits de vos arbres, bavarder un peu, et si c’était possible de beaucoup dormir, car ce qu’il aimait en effet par-dessus tout, c’était rêver. Le Saint-Père lui dit que tout cela était possible, qu’il serait accueilli ici bien volontiers, qu’il serait d’ailleurs charmé d’entendre parfois un ou deux récits sur ses rêves, car il aimait en effet lui aussi se distraire. L’homme eut un soupir de soulagement, il avait fait tant de bruit sur Terre, il avait crains de devoir ici en faire autant. Il salua le Saint-Père, descendit le long escalier qui menait à lui, et marcha un moment. Le paradis était bien comme il se l’était imaginé, semblable à la Terre qu’il avait connue, mais avec un petit quelque chose de différent, il n’aurait su dire quoi exactement. Il arriva jusqu’à une clairière, là se trouvait un vieux chêne. Il décida de s’assoir à son pied, de se laisser contempler cette florissante nature. Un groupe de chevreuils passa à quelques mètres de lui, ils ne remarquèrent pas sa présence. Il y avait aussi un sanglier, occupé à fouiller la terre. Ce dernier jeta sur lui un bref coup d’œil puis poursuivit son oeuvre. Il s’allongea. Ses yeux étaient maintenant dirigés vers le ciel. Il vit les feuilles de l’arbre qui dansaient doucement au contact du vent. Enfin, il ramena sa casquette sur les yeux, puis, en quelques secondes, il sombra dans le sommeil.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
La pièce d’à côté…
Il y a dans cette pièce un grand silence,
C’est ce que l’hôte a dit à ses invités,
Lorsqu’ils étaient dans la pièce d’à côté.
Il y a dans cette pièce un grand silence,
C’est ce que l’hôte a dit à ses invités,
Lorsqu’ils étaient dans la pièce d’à côté.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
David le pou…
Tout petit
Ce pou
Sur la tête
De Goliath.
Tout petit
Ce pou
Sur la tête
De Goliath.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Le goût de la mort…
La mort a le goût de porte ouverte,
Le goût de mur mou aussi, plein de trous,
Et un peu également celui du khamsin
Ce vent qui souffle en Egypte.
Elle semble poser des obstacles,
Mais ils n’ont que l’épaisseur du papier,
Ou bien la consistance de l’encre
Avec lesquels le poète les décrit.
Ce poète qui fait feu de tout bois,
Aime plonger sa plume en enfer,
Il écrit quelques phrases jolies,
Et ces démons montent au paradis.
La mort a le goût de porte ouverte,
Le goût de mur mou aussi, plein de trous,
Et un peu également celui du khamsin
Ce vent qui souffle en Egypte.
Elle semble poser des obstacles,
Mais ils n’ont que l’épaisseur du papier,
Ou bien la consistance de l’encre
Avec lesquels le poète les décrit.
Ce poète qui fait feu de tout bois,
Aime plonger sa plume en enfer,
Il écrit quelques phrases jolies,
Et ces démons montent au paradis.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Et ben dis donc, ça te réussi pas en ce moment loofrg .... !
Il faut faire quoi ?
Il faut faire quoi ?
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Que veux-tu dire ? Tu n'aimes pas ces dernières poésies ?
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Mamie de la lune…
Poésie renversée,
Du côté obscur de la lune,
Une grand-mère chantonne,
En faisant du tricot.
Le chat joue avec le fil,
Elle prend un air sévère,
Mais il l’amuse bien trop,
Pour qu’elle soit prise au sérieux.
Poésie renversée,
Du côté obscur de la lune,
Une grand-mère chantonne,
En faisant du tricot.
Le chat joue avec le fil,
Elle prend un air sévère,
Mais il l’amuse bien trop,
Pour qu’elle soit prise au sérieux.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 04/07/2018
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Le dernier (Le goût de la mort…), je dirais que si, mais tous les autres en général depuis plusieurs semaines, je dirais que non. Et puis pour certaines, des courtes par exemple, c'est comme s'il y avait une phrase qui allait mais que tout le reste il faudrait le retravailler.
Tu n'es pas pareil depuis plusieurs longues semaines, c'est comme si t'étais là mais que tu n'étais pas là. C'est comme si pour fuir quelque chose, tu t'en focalisais.
Tu n'es pas pareil depuis plusieurs longues semaines, c'est comme si t'étais là mais que tu n'étais pas là. C'est comme si pour fuir quelque chose, tu t'en focalisais.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Cent ans et les poésies opportunes
Je t'ai peut-être semblé absent parce que j'ai un peu moins participé aux sujets ces derniers temps, que je me suis plutôt concentré sur la poésie ?
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 04/07/2018
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Non mais c'est justement de la poésie que je parlais.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Ha ok...eh bien écoute, je vais faire un peu d'introspection pour voir ce que je peux trouver. Merci Nuage
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 04/07/2018
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Ca y'est Nuage, j'ai fait mon introspection...résultat :
Mécanique quantique…
Je vois toutes ces particules,
Danser sur la Terre,
Ou je les imagine,
Comme des planètes naines.
Je serais sur l’une d’elle,
Là aussi, un vaste ciel,
Des plantes à ramasser,
Et aussi des saisons.
Mécanique quantique…
Je vois toutes ces particules,
Danser sur la Terre,
Ou je les imagine,
Comme des planètes naines.
Je serais sur l’une d’elle,
Là aussi, un vaste ciel,
Des plantes à ramasser,
Et aussi des saisons.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 04/07/2018
Re: Cent ans et les poésies opportunes
J'aime bien comme tu fais ton introspection, on dirait que tu te téléportes, puis que tu reviens comme par un tour de passe-passe !
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
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Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Hi hi, merci
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 11662
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Humeur : Emeraude
Date d'inscription : 04/07/2018
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Mon maître m’a dit :
Le vent a tourné,
Tu es devenu plus fort que moi,
En bon maître je l’accepte,
Cela veut dire que j’ai bien fait mon métier.
Je t’en ai appris toutes les ficelles,
Tu pourrais de ton doigt terrasser un géant.
Mais je t’en prie ô bien aimé disciple,
Ne m’imite pas, sauve ton âme,
Je suis un idiot, pars loin de moi.
Le vent a tourné,
Tu es devenu plus fort que moi,
En bon maître je l’accepte,
Cela veut dire que j’ai bien fait mon métier.
Je t’en ai appris toutes les ficelles,
Tu pourrais de ton doigt terrasser un géant.
Mais je t’en prie ô bien aimé disciple,
Ne m’imite pas, sauve ton âme,
Je suis un idiot, pars loin de moi.
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 11662
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Date d'inscription : 04/07/2018
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Il est vachement mieux ton poème, loofrg, que ceux d'avant ! J'aime bien.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
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Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Cent ans et les poésies opportunes
Ha oui ? Il te plais celui-là ? Cool, moi aussi je l'aime bien
loofrg- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 11662
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