Ce qui tient du Psychisme.
+2
JO
Nuage
6 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Ce qui tient du Psychisme.
Jipé, je voulais demander à mon psychiatre aujourd'hui, mais je n'ai pas eu le temps car il y avait beaucoup de choses à expliquer en urgence.
Et je ne vais pas tenir à attendre 15 jours supplémentaire.
Qu'est-ce-que c'est exactement le psychisme ? Et quand on dit que c'est un problème de l'ordre du psychisme ?
J'avais cherché sur wikipedia en attendant aujourd'hui, pour psychisme, mais c'est très large le psychisme, non ?
En lisant la définition, je comprends que le cognitif fait partie du psychisme, non ?
Est-ce-que tu peux me répondre un peu s'il te plait.
Et je ne vais pas tenir à attendre 15 jours supplémentaire.
Qu'est-ce-que c'est exactement le psychisme ? Et quand on dit que c'est un problème de l'ordre du psychisme ?
J'avais cherché sur wikipedia en attendant aujourd'hui, pour psychisme, mais c'est très large le psychisme, non ?
En lisant la définition, je comprends que le cognitif fait partie du psychisme, non ?
Est-ce-que tu peux me répondre un peu s'il te plait.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
En attendant, :
cité par WP« Jung a choisi les termes psyché et psychique pour parler de l'esprit et de l'activité mentale, car si esprit et mental sont principalement associés à la conscience, psyché et psychique couvrent à la fois la conscience et l'inconscient"
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Comme cite JO;
psychisme = activité mentale en général.
selon moi
psychisme = activité mentale en général.
selon moi
mirage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6913
Localisation : Par GPS c'est pratique
Identité métaphysique : Sceptique
Humeur : Egale
Date d'inscription : 18/04/2013
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Nuage,
tout le monde connait, ou trouve la définition du mot "psychisme"...
"Ensemble, conscient ou inconscient, considéré dans sa totalité ou partiellement, des phénomènes, des processus relevant de l'esprit, de l'intelligence et de l'affectivité et constituant la vie psychique"
Beaucoup moins connaissent la souffrance psychique et ses troubles du comportement.
La dépression, l'anorexie mentale, addiction, phobie etc...occasionnent des souffrances psychiques et les symptômes sont multiples. Si je prends des exemples de symptômes : repli sur soi, baisse de l'estime de soi, forme d'isolement affectif, difficulté à se projeter dans le futur et de se construire un avenir, relations sociales et familiales difficiles...Il était assez complexe jusqu'à pas longtemps de bien comprendre ce qu'est une souffrance psychique et les personnes atteintes sont dirigées pour être traitées en psychiatrie.
Certaines caractéristiques plus fines de la souffrance psychique sont de l'ordre de :
"je me sens différente des autres, je l'ai remarqué très vite et très tôt dans ma vie, malgré une vie sociale, je me reconnais une différence avec les autres qui m'occasionne une véritable souffrance.
Je sais que j'ai quelque chose de différent, une singularité qui dure depuis longtemps, et souvent je m'en suis défendu devant les autres, mais devant et selon des descriptions, je m'y retrouve complètement, je ne peux plus feindre de l'ignorer.
Je ne suis pas dans certains troubles très connus, catalogués, recensés, mais je suis dans un dérangement intime, parfois une gène honteuse, sociale et/ou de l'ordre du sexuel.
C'est ce qu'on pourrait appeler des dérangements singuliers versus symptômes objectivés. Il y a un écart entre une nomination objectivée (exemple: l'anxiété) et le plus singulier de mes dérangements intimes, souvent très différent de telle ou telle conduite qui ne peut finalement que déranger les autres."
Voilà un petit résumé qui pourra peut-être t'aider à comprendre ce qu'est l'ambiance d'une personne qui souffre psychiquement et ces souffrances sont connues dans certaines formes autismes, bien entendu...
tout le monde connait, ou trouve la définition du mot "psychisme"...
"Ensemble, conscient ou inconscient, considéré dans sa totalité ou partiellement, des phénomènes, des processus relevant de l'esprit, de l'intelligence et de l'affectivité et constituant la vie psychique"
Beaucoup moins connaissent la souffrance psychique et ses troubles du comportement.
La dépression, l'anorexie mentale, addiction, phobie etc...occasionnent des souffrances psychiques et les symptômes sont multiples. Si je prends des exemples de symptômes : repli sur soi, baisse de l'estime de soi, forme d'isolement affectif, difficulté à se projeter dans le futur et de se construire un avenir, relations sociales et familiales difficiles...Il était assez complexe jusqu'à pas longtemps de bien comprendre ce qu'est une souffrance psychique et les personnes atteintes sont dirigées pour être traitées en psychiatrie.
Certaines caractéristiques plus fines de la souffrance psychique sont de l'ordre de :
"je me sens différente des autres, je l'ai remarqué très vite et très tôt dans ma vie, malgré une vie sociale, je me reconnais une différence avec les autres qui m'occasionne une véritable souffrance.
Je sais que j'ai quelque chose de différent, une singularité qui dure depuis longtemps, et souvent je m'en suis défendu devant les autres, mais devant et selon des descriptions, je m'y retrouve complètement, je ne peux plus feindre de l'ignorer.
Je ne suis pas dans certains troubles très connus, catalogués, recensés, mais je suis dans un dérangement intime, parfois une gène honteuse, sociale et/ou de l'ordre du sexuel.
C'est ce qu'on pourrait appeler des dérangements singuliers versus symptômes objectivés. Il y a un écart entre une nomination objectivée (exemple: l'anxiété) et le plus singulier de mes dérangements intimes, souvent très différent de telle ou telle conduite qui ne peut finalement que déranger les autres."
Voilà un petit résumé qui pourra peut-être t'aider à comprendre ce qu'est l'ambiance d'une personne qui souffre psychiquement et ces souffrances sont connues dans certaines formes autismes, bien entendu...
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Merci Jipé.
Mais Jipé, dans certaines caractéristiques plus fines de la souffrance psychique, comment fait-on la différence entre celles qui sont la conséquence du fait que l'on ne soit pas respecté ou accepté avec ses propres particularités (qui ne sont pas pathogènes), et celles qui sont là parce que soi-même nous avons du mal à accepter cette différence de particularités avec les autres ?
Par exemple, moi je n'ai pas de problème pour accepter mon Syndrome d'Asperger et toutes mes particularités qui vont avec, même si c'est différent de beaucoup de personnes dans la population.
Mais par contre, j'ai un trouble de l'humeur réactionnel, en comorbidité à mon S.A. et mon déficit d'attention, quand mes particularités sont balayés de la main par l'autre ou quand elles sont dénigrées.
Ce trouble de l'humeur se fait présence quand l'on ne me donne plus de champ de manoeuvre, et que je me retrouve à ne plus pouvoir être ce que je suis.
Je suis bien obligée de vivre avec l'autre, mais l'autre aussi est bien obligé de vivre avec moi.
Quand je dis "obligé", cela veut dire accepter les particularités de chacun, et ce dans la limite du respect mutuel et de la liberté de chacun.
Mais Jipé, dans certaines caractéristiques plus fines de la souffrance psychique, comment fait-on la différence entre celles qui sont la conséquence du fait que l'on ne soit pas respecté ou accepté avec ses propres particularités (qui ne sont pas pathogènes), et celles qui sont là parce que soi-même nous avons du mal à accepter cette différence de particularités avec les autres ?
Par exemple, moi je n'ai pas de problème pour accepter mon Syndrome d'Asperger et toutes mes particularités qui vont avec, même si c'est différent de beaucoup de personnes dans la population.
Mais par contre, j'ai un trouble de l'humeur réactionnel, en comorbidité à mon S.A. et mon déficit d'attention, quand mes particularités sont balayés de la main par l'autre ou quand elles sont dénigrées.
Ce trouble de l'humeur se fait présence quand l'on ne me donne plus de champ de manoeuvre, et que je me retrouve à ne plus pouvoir être ce que je suis.
Je suis bien obligée de vivre avec l'autre, mais l'autre aussi est bien obligé de vivre avec moi.
Quand je dis "obligé", cela veut dire accepter les particularités de chacun, et ce dans la limite du respect mutuel et de la liberté de chacun.
Dernière édition par Nuage le Mar 19 Nov 2013 - 10:46, édité 1 fois
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
je sais pas... l'une est une cause, l'autre la conséquence ?
et les deux "font chier"
et sont pas traitées avec les mêmes types de "soins"
et les deux "font chier"
et sont pas traitées avec les mêmes types de "soins"
mirage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6913
Localisation : Par GPS c'est pratique
Identité métaphysique : Sceptique
Humeur : Egale
Date d'inscription : 18/04/2013
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Ben déjà, s'il y a trouble de l'humeur réactionnelle, c'est qu'une action t'a fait réagir.
Comme tu le dis, tes particularités (singularités) te sont reprochées ou déniées, c'est une forme ostensible de rejet de ce que tu es. Je pense que c'est le cas de tout le monde, si ce que nous sommes n'est pas en soi sujet à reconnaissance, que cela plaise ou non d'ailleurs.
Les différences gênent toujours, soit par rapport à soi, soit par rapport à l'autre, il faut arriver à s'en accommoder en faisant un effort d'intelligence, il me semble.
Comme tu le dis, tes particularités (singularités) te sont reprochées ou déniées, c'est une forme ostensible de rejet de ce que tu es. Je pense que c'est le cas de tout le monde, si ce que nous sommes n'est pas en soi sujet à reconnaissance, que cela plaise ou non d'ailleurs.
Les différences gênent toujours, soit par rapport à soi, soit par rapport à l'autre, il faut arriver à s'en accommoder en faisant un effort d'intelligence, il me semble.
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Le premier réflexe que nous avons quand on n'obtient pas ce qu'on veut des autres, c'est de nous disculper: on se dit "ce n'est certainement pas moi le problème puisque je sais que j'ai raison". Mais c'est exactement la chose à ne pas penser puisque l'autre pense exactement la même chose. Ce qu'il faudrait, c'est ne pas s'imaginer que l'autre a tord ou que j'ai raison, mais c'est impossible. Ce qui est possible, c'est d'imaginer que de s'entendre entre nous n'est pas une question de raison, et de trouver ensembles un compromis pour qu'un différent particulier ne nuise pas à une relation dont on a besoin.Nuage a écrit:Mais Jipé, dans certaines caractéristiques plus fines de la souffrance psychique, comment fait-on la différence entre celles qui sont la conséquence du fait que l'on ne soit pas respecté ou accepté avec ses propres particularités (qui ne sont pas pathogènes), et celles qui sont là parce que soi-même nous avons du mal à accepter cette différence de particularités avec les autres ?
Tu as eu ce sentiment avec moi à deux reprises alors que je ne t'ai jamais balayée du revers de la main, par contre, si on avait cherché une manière de fonctionner vu nos difficultés à nous entendre, on en aurait peut-être trouvée une, d'autant plus qu'on a le temps d'expérimenter, ce qui n'est pas toujours le cas dans la vraie vie.Par exemple, moi je n'ai pas de problème pour accepter mon Syndrome d'Asperger et toutes mes particularités qui vont avec, même si c'est différent de beaucoup de personnes dans la population. Mais par contre, j'ai un trouble de l'humeur réactionnel, en comorbidité à mon S.A. et mon déficit d'attention, quand mes particularités sont balayés de la main par l'autre ou quand elles sont dénigrées. Ce trouble de l'humeur se fait présence quand l'on ne me donne plus de champ de manœuvre, et que je me retrouve à ne plus pouvoir être ce que je suis.
Quand on a le choix et que ça ne va plus du tout, mieux vaut parfois envisager la rupture.Je suis bien obligée de vivre avec l'autre, mais l'autre aussi est bien obligé de vivre avec moi.
S'entendre entre nous n'est pas simple sinon on aurait déjà trouvé la recette, mais imaginer que la raison n'est pas en cause est possible, et en convaincre les autres aussi, alors pourquoi ne pas essayer?Quand je dis "obligé", cela veut dire accepter les particularités de chacun, et ce dans la limite du respect mutuel et de la liberté de chacun.
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Ho mais il y a une chose que tu fais magistralement M'enfin :
C'est de dire et redéfinir à ma place comment je fonctionnerais. Et ça, ça s'appelle balayer de la main !
C'est de dire et redéfinir à ma place comment je fonctionnerais. Et ça, ça s'appelle balayer de la main !
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Nuage, tu prends pour acquis que je parle de ta perception des choses alors que je parle de la mienne. C'est mon point de vue sur la manière dont nous percevons les choses et si tu trouves qu'il ne te sied pas tu n'as qu'à me dire pourquoi et m'exposer le tien. Au lieu de ça tu montes aux barricades comme si je t'avais enlevé quelque chose. Préfères-tu que je ne m'adresse plus à toi? Si c'est le cas tu n'as qu'à ne pas me répondre et je ne te dérangerai plus. On n'est pas forcés de se parler après tout, non? C'est loin d'être une question de vie ou de mort!Nuage a écrit:Ho mais il y a une chose que tu fais magistralement M'enfin : C'est de dire et redéfinir à ma place comment je fonctionnerais. Et ça, ça s'appelle balayer de la main !
M'enfin- Le Repteux
- Nombre de messages : 10570
Localisation : Val David, Québec
Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Et t'as pas remarqué que sur les différents threads je ne réponds plus à tes questions et remarques depuis un petit moment ... (à part hier soir à un moment, car je trouvais que tu ne déformais pas ce que je disais) ?
Considères donc que le rapport entre nous est rompu, et que c'est pour cela que je ne te réponds plus ou que je ne relève plus ce que tu dis, et ce parce-que ce rapport ne débouche sur rien en dehors du conflictuel insoluble.
Et si tu pouvais trouver un autre thread que celui là pour exposer ton point de vue et tes réflexions métaphysiques (en t'appuyant sur ce que je dis en plus), cela me permettrais au moins de garder un thread où je me sentais en sécurité et où je me concentrais sur les réponses que me faisait Jipé et dont j'ai demandé l'aide.
Considères donc que le rapport entre nous est rompu, et que c'est pour cela que je ne te réponds plus ou que je ne relève plus ce que tu dis, et ce parce-que ce rapport ne débouche sur rien en dehors du conflictuel insoluble.
Et si tu pouvais trouver un autre thread que celui là pour exposer ton point de vue et tes réflexions métaphysiques (en t'appuyant sur ce que je dis en plus), cela me permettrais au moins de garder un thread où je me sentais en sécurité et où je me concentrais sur les réponses que me faisait Jipé et dont j'ai demandé l'aide.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Nuage,
je reviens sur l'une de tes phrases :
"Je suis bien obligée de vivre avec l'autre, mais l'autre aussi est bien obligé de vivre avec moi.
Quand je dis "obligé", cela veut dire accepter les particularités de chacun, et ce dans la limite du respect mutuel et de la liberté de chacun..."
Peux-tu un peu expliciter ? C'est qui l'autre, le partenaire ou la société ?
je reviens sur l'une de tes phrases :
"Je suis bien obligée de vivre avec l'autre, mais l'autre aussi est bien obligé de vivre avec moi.
Quand je dis "obligé", cela veut dire accepter les particularités de chacun, et ce dans la limite du respect mutuel et de la liberté de chacun..."
Peux-tu un peu expliciter ? C'est qui l'autre, le partenaire ou la société ?
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
"L'autre", quand je l'employais dans mon post, je pensais pus à la personne, le partenaire qu'à la société ; mais je suppose que cela fonctionne aussi avec la société.
Accepter ou prendre en compte les particularités d'une personne, cela est indispensable il me semble pour le bon fonctionnement et la réciprocité, l'échange.
Si tel n'est pas le cas, si l'on ne prends pas en compte (et ce avec insistance), la personne qui se retrouve dans cette situation, n'a plus de place, à la fois dans la situation, le rapport, mais cela peut aussi aller jusqu'à plus de place à l'existence de soi.
Je n'ai pas bine compris Jipé ce que tu voulais "par expliciter".
Je peux donner un exemple qui me vient à l'esprit : souvent on m'a dit lorsque je ne comprenais pas quelque chose et que je demandais ou que j'expliquais pourquoi je ne comprenais pas : "Mais c'est évident !!!", ou alors on considérait que c'était une broutille.
Mais en fait c'était une broutille pour eux, pas pour moi, puisque pour moi justement cela était primordiale pour pouvoir fonctionner correctement.
Nier cela, c'est dénier ce que je suis et ce qui important ou indispensable pour moi et mon existence, mes possibilité de manoeuvre.
Je suppose que l'autre aussi a des choses primordiales pour elles, et si elle me le dit et me les explique parce que cela est nécessaire, je pense que je peux l'entendre.
Ce qui risque de poser problème, c'est si ces choses primordiales pour l'autre, sont justement l'opposé de ce qui est primordiale pour moi.
Mais si la personne ne pense que part elle, et jamais par rapport à moi, c'est là où cela pose un réel problème.
Et d'autant plus dans les situations où lorsque j'explique quelque chose, cela n'est pas pris en considération à sa juste mesure, mais réinterprété à la sauce de l'autre où avec la logique de l'autre : et là c'est carrément bafouer la personne concernée, un manque totale de respect.
Je dirais pour ma part, que lorsque cela ce passe avec un interlocuteur, cela déclenche ce trouble de l'humeur réactionnelle sous la forme de l'irritation, puis la colère et ensuite à force : de la cocotte minute qui explose psychiquement.
Et quand c'est par rapport à la société ou à un organisme, je me bats dans un premier temps pour expliquer et essayer de trouver des possibilités avec les moyens du bord, un sorte de partenariat, mais quand c'est déniée ou que cela ne concerne personne, et que finalement je me retrouve avec plus de champs de manoeuvre, et dans une situation où il n'y a plus rien pour me repérer (à la fois dans les perspectives et possibilités, qu'aussi dans mon état et condition de vie en dépendant), je me retrouve plus dans un état réactionnel qui me colle au tapis, et qui grignote chaque point d'énergie qui aurait pu subsister mais qui se retrouve les pattes coupées.
Jusqu'à un certain âge lorsque cela concerne la socité, je me suis battue et trouvé des moyens d'atteindre malgré tout des objectif, c'est un peu une force de conquérant, d'exister, mais dans cette période j'avais tut de même un cadre-contexte où je pouvais naviguer et ce épauler tout de même par des points de répères.
Mais actuellement c'est totalement différents. La cadre contexte de la scolarité, de la formation, du professionnel, ou du cocon familiale de l'enfance, n'existent plus. Il n'y a plus de cadre.
Tu cherche un cadre, tu essaye de mettre en place un cadre, et ce cadre t'est refusé parce-qu'il n'y a rien de prévu dans ce domaine là pour toi.
C'est panique à bord, parce-que ce cadre devait justement servir ensuite à toi pouvoir te construire et naviguer à l'intérieure.
En plus on ne te dis pas dès le départ, désolée, il n'y a rien, mais on te fait balader à la recherche d'un point qui doit t'en amener un autre, indéfiniment avec à chaque fois au bout un truc qui ne colle pas. C'est comme une quête de chimère, un truc où tout le monde se renvoi la balle mais en te faisant à chaque fois passer des étapes et des crans.
Tu passes l'énergie qui te reste à essayer d'expliquer et de faire des trucs dont justement c'est là où tu as des problèmes pour les faire.
A la fin, tu es usée. L'énergie qu'il restait est non seulement épuisée, mais est passé également sous le seuil du négatif : et tu te retrouver collé au tapis, où même ce que tu arrivais à faire avant, tu n'arrive plus à le faire.
Et cela ne concerne personne, ou alors quand enfin t'arrive au bout de x années d'attente ou de démarche à avoir quelque chose pour communiquer, là on te parle de quelque chose qui correspondait à un stade où tu en étais il y a x années en arrière, mais dont cela t'es impossible à présent.
Et on te demande quoi ? De revenir plus tard quand tu auras regagné ce stade perdue pour voir si on peut faire quelque chose ou pas (et encore je sais qu'ils ne disent pas qu'à ce moment là ça sera trop tard).
C'est un truc de fou !
Désolée Jipé, je me suis un peu embrouillé, je ne sais plus trop ce que tu demandais comme explicitation.
Je veux dire qu'à force de dénier l'autre, celui-ci s'affaisse complètement, car celui-ci n'a plus de moyen de pouvoir exister, et fur et à mesure ses capacités s'atrophient.
C'est un peu comme si vous décidiez de mettre de la terre sur une orchidée parce-que vous vous dite qu'une plante elle a besoin de terre pour pousser et de beaucoup d'arrosage. Alors que l'orchidée elle meure dans de la terre et dépérit si on ne lui donne pas un bain une fois par semaine.
Et si en plus vous lui donnez de l'engrais pour carotte, à la place d'engrais pour orchidée, elle va mourir de faim.
Et si vous vous dites "ho mais non, elle se débrouillera bien, je suis sûr qu'elle se dépatouillera ... " ou "mais non je vois bien que c'est un plant de carotte, c'est mon opinion et je fais suivant mon opinion, alors que l'orchidée en face elle cri "mais non je suis une orchidée, j'ai besoin de ça, ceci là que vous voulez me donner ne me servira à rien".
Et l'autre en fait il fait comme il veut, il dit "on verra bien, on tente comme ça et puis on verra, il faut faire avec les moyens du bords, faut y mettre du tien aussi pour pouvoir apprendre à manger les condition de vie de carottes, car moi c'est de la nourriture et des conditions de carottes que je te donne, c'est ça où rien, faut pas faire la fine bouche comme ça, mets-toi à la place de l'autre aussi .... Ho il a un problème ce plant ! Il ne veut pas s'adapter et prendre mes conditions ! Et en plus il cri maintenant ! Il a vraiment un problème ce plant ! C'est bien ce que je dis ce plant ne veut pas s'adapter !".
Efit : ho le boulet ce post à ralonge J'ai rien explicité, j'ai pataugé.
Accepter ou prendre en compte les particularités d'une personne, cela est indispensable il me semble pour le bon fonctionnement et la réciprocité, l'échange.
Si tel n'est pas le cas, si l'on ne prends pas en compte (et ce avec insistance), la personne qui se retrouve dans cette situation, n'a plus de place, à la fois dans la situation, le rapport, mais cela peut aussi aller jusqu'à plus de place à l'existence de soi.
Je n'ai pas bine compris Jipé ce que tu voulais "par expliciter".
Je peux donner un exemple qui me vient à l'esprit : souvent on m'a dit lorsque je ne comprenais pas quelque chose et que je demandais ou que j'expliquais pourquoi je ne comprenais pas : "Mais c'est évident !!!", ou alors on considérait que c'était une broutille.
Mais en fait c'était une broutille pour eux, pas pour moi, puisque pour moi justement cela était primordiale pour pouvoir fonctionner correctement.
Nier cela, c'est dénier ce que je suis et ce qui important ou indispensable pour moi et mon existence, mes possibilité de manoeuvre.
Je suppose que l'autre aussi a des choses primordiales pour elles, et si elle me le dit et me les explique parce que cela est nécessaire, je pense que je peux l'entendre.
Ce qui risque de poser problème, c'est si ces choses primordiales pour l'autre, sont justement l'opposé de ce qui est primordiale pour moi.
Mais si la personne ne pense que part elle, et jamais par rapport à moi, c'est là où cela pose un réel problème.
Et d'autant plus dans les situations où lorsque j'explique quelque chose, cela n'est pas pris en considération à sa juste mesure, mais réinterprété à la sauce de l'autre où avec la logique de l'autre : et là c'est carrément bafouer la personne concernée, un manque totale de respect.
Je dirais pour ma part, que lorsque cela ce passe avec un interlocuteur, cela déclenche ce trouble de l'humeur réactionnelle sous la forme de l'irritation, puis la colère et ensuite à force : de la cocotte minute qui explose psychiquement.
Et quand c'est par rapport à la société ou à un organisme, je me bats dans un premier temps pour expliquer et essayer de trouver des possibilités avec les moyens du bord, un sorte de partenariat, mais quand c'est déniée ou que cela ne concerne personne, et que finalement je me retrouve avec plus de champs de manoeuvre, et dans une situation où il n'y a plus rien pour me repérer (à la fois dans les perspectives et possibilités, qu'aussi dans mon état et condition de vie en dépendant), je me retrouve plus dans un état réactionnel qui me colle au tapis, et qui grignote chaque point d'énergie qui aurait pu subsister mais qui se retrouve les pattes coupées.
Jusqu'à un certain âge lorsque cela concerne la socité, je me suis battue et trouvé des moyens d'atteindre malgré tout des objectif, c'est un peu une force de conquérant, d'exister, mais dans cette période j'avais tut de même un cadre-contexte où je pouvais naviguer et ce épauler tout de même par des points de répères.
Mais actuellement c'est totalement différents. La cadre contexte de la scolarité, de la formation, du professionnel, ou du cocon familiale de l'enfance, n'existent plus. Il n'y a plus de cadre.
Tu cherche un cadre, tu essaye de mettre en place un cadre, et ce cadre t'est refusé parce-qu'il n'y a rien de prévu dans ce domaine là pour toi.
C'est panique à bord, parce-que ce cadre devait justement servir ensuite à toi pouvoir te construire et naviguer à l'intérieure.
En plus on ne te dis pas dès le départ, désolée, il n'y a rien, mais on te fait balader à la recherche d'un point qui doit t'en amener un autre, indéfiniment avec à chaque fois au bout un truc qui ne colle pas. C'est comme une quête de chimère, un truc où tout le monde se renvoi la balle mais en te faisant à chaque fois passer des étapes et des crans.
Tu passes l'énergie qui te reste à essayer d'expliquer et de faire des trucs dont justement c'est là où tu as des problèmes pour les faire.
A la fin, tu es usée. L'énergie qu'il restait est non seulement épuisée, mais est passé également sous le seuil du négatif : et tu te retrouver collé au tapis, où même ce que tu arrivais à faire avant, tu n'arrive plus à le faire.
Et cela ne concerne personne, ou alors quand enfin t'arrive au bout de x années d'attente ou de démarche à avoir quelque chose pour communiquer, là on te parle de quelque chose qui correspondait à un stade où tu en étais il y a x années en arrière, mais dont cela t'es impossible à présent.
Et on te demande quoi ? De revenir plus tard quand tu auras regagné ce stade perdue pour voir si on peut faire quelque chose ou pas (et encore je sais qu'ils ne disent pas qu'à ce moment là ça sera trop tard).
C'est un truc de fou !
Désolée Jipé, je me suis un peu embrouillé, je ne sais plus trop ce que tu demandais comme explicitation.
Je veux dire qu'à force de dénier l'autre, celui-ci s'affaisse complètement, car celui-ci n'a plus de moyen de pouvoir exister, et fur et à mesure ses capacités s'atrophient.
C'est un peu comme si vous décidiez de mettre de la terre sur une orchidée parce-que vous vous dite qu'une plante elle a besoin de terre pour pousser et de beaucoup d'arrosage. Alors que l'orchidée elle meure dans de la terre et dépérit si on ne lui donne pas un bain une fois par semaine.
Et si en plus vous lui donnez de l'engrais pour carotte, à la place d'engrais pour orchidée, elle va mourir de faim.
Et si vous vous dites "ho mais non, elle se débrouillera bien, je suis sûr qu'elle se dépatouillera ... " ou "mais non je vois bien que c'est un plant de carotte, c'est mon opinion et je fais suivant mon opinion, alors que l'orchidée en face elle cri "mais non je suis une orchidée, j'ai besoin de ça, ceci là que vous voulez me donner ne me servira à rien".
Et l'autre en fait il fait comme il veut, il dit "on verra bien, on tente comme ça et puis on verra, il faut faire avec les moyens du bords, faut y mettre du tien aussi pour pouvoir apprendre à manger les condition de vie de carottes, car moi c'est de la nourriture et des conditions de carottes que je te donne, c'est ça où rien, faut pas faire la fine bouche comme ça, mets-toi à la place de l'autre aussi .... Ho il a un problème ce plant ! Il ne veut pas s'adapter et prendre mes conditions ! Et en plus il cri maintenant ! Il a vraiment un problème ce plant ! C'est bien ce que je dis ce plant ne veut pas s'adapter !".
Efit : ho le boulet ce post à ralonge J'ai rien explicité, j'ai pataugé.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Ha et puis sinon il y a la version : "imagine que le problème n'est pas là où tu penses qu'il est, et il ne faut pas croire que l'autre n'essaye pas de comprendre. L'autre est surement aussi frustré que toi. A partir de là si tu te dis ça, et que tu respectes ce que te dit l'autre, parce-que l'autre te prend en considération même s'il pense quelque chose de différent car c'est son opinion, et bien il faut trouver un compromis pour que tout se passe bien entre les deux parties .... "
Et maintenant à la place d'avoir de l'engrais de carotte et d'orchidée, tu as de l'engrais imagination .... une sorte de boulgui boulga où il faut que tu te dises que en fait ce n'est pas toi qui est en train de le manger ....
C'est l'autre qui le mange pour toi ....
Toi tu manges .... heu ... que dale en fait.
Et maintenant à la place d'avoir de l'engrais de carotte et d'orchidée, tu as de l'engrais imagination .... une sorte de boulgui boulga où il faut que tu te dises que en fait ce n'est pas toi qui est en train de le manger ....
C'est l'autre qui le mange pour toi ....
Toi tu manges .... heu ... que dale en fait.
Dernière édition par Nuage le Mer 20 Nov 2013 - 23:35, édité 2 fois (Raison : orthographes)
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
ben dit toi que l'autre a de la chance d'avoir un soupape de sécurité en lui, etnuage a écrit:Je dirais pour ma part, que lorsque cela ce passe avec un interlocuteur, cela déclenche ce trouble de l'humeur réactionnelle sous la forme de l'irritation, puis la colère et ensuite à force : de la cocotte minute qui explose psychiquement.
donc que lui arrive à relativisé, alors que toi il te manque cette soupape
dout cette explosion psychique.
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Ben je crois que l'autre effectivement il a une soupape ou quelque chose qui fait que les choses ne s'accumulent pas de manière empirique, et qu'il peut continuer à naviguer dans sa vie.
En même temps, j'suis pas sûr que si on lui enlève sa soupape qui lui permet de continuer à naviguer, il n'explosera pas ....
Et puis l'autre dont tu parles Orthon, j'espère que tu parles du commun des mortels qui ont une soupape, parce-que si tu parles de l'autre de mon histoire qui donne de l'engrais de carotte (qui persiste à donner de l'engrais de carotte), et bien moi je te garantis, que le gars il n'a pas besoin de soupape pour fonctionner tant que c'est lui qui décide pour tout le monde. Sa soupape à lui elle porte un autre nom : c'est une trappe aux oubliettes.
Par contre quand moi je vais exploser, je te garantis que sa soupape qu'il n'utilise pas jusqu'à présent (la soupape normale quoi, celle qui permet de pouvoir prendre du recule), et bien elle ne va pas fonctionner, il va lui aussi exploser à son tour.
Ma cocotte minute qui explose, moi c'est ma soupape de sécurité.
Parce-qu'il existe des personnes pour qui cette soupape de cocotte minute, elle n'explose pas, et bien eux c'est à l'intérieur qu'ils explosent, ils sont encore plus détruit à l'intérieur.
En même temps, j'suis pas sûr que si on lui enlève sa soupape qui lui permet de continuer à naviguer, il n'explosera pas ....
Et puis l'autre dont tu parles Orthon, j'espère que tu parles du commun des mortels qui ont une soupape, parce-que si tu parles de l'autre de mon histoire qui donne de l'engrais de carotte (qui persiste à donner de l'engrais de carotte), et bien moi je te garantis, que le gars il n'a pas besoin de soupape pour fonctionner tant que c'est lui qui décide pour tout le monde. Sa soupape à lui elle porte un autre nom : c'est une trappe aux oubliettes.
Par contre quand moi je vais exploser, je te garantis que sa soupape qu'il n'utilise pas jusqu'à présent (la soupape normale quoi, celle qui permet de pouvoir prendre du recule), et bien elle ne va pas fonctionner, il va lui aussi exploser à son tour.
Ma cocotte minute qui explose, moi c'est ma soupape de sécurité.
Parce-qu'il existe des personnes pour qui cette soupape de cocotte minute, elle n'explose pas, et bien eux c'est à l'intérieur qu'ils explosent, ils sont encore plus détruit à l'intérieur.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Tu as très bien explicité Nuage, je voulais juste comprendre si tu parlais d'un partenaire ou de la société.
Ta métaphore sur la carotte et l'orchidée est limpide pour moi...
C'est bien de dire ce que tu ressens, les griefs que tu peux porter à l'autre ou à la société, ce que tu n'aimes pas, etc...mais que proposes-tu de possible pour que cela change. Propositions "possibles" dans le sens d'acceptable pour être compris et réalisable ou pas.
Si tu veux, tu mets une liste succincte de propositions (une dizaine) avec à côté une échelle de 0 à 10 de possibilité de réalisation.
0 vraiment pas possible et 10 absolument réalisable.
Exemple: "Je voudrais ne pas être obligé de me répéter sans arrêt pour être comprise" = 5 moyennement réalisable.
Je ne t'oblige bien sûr à rien, c'est toi qui le fais ou pas...
Ta métaphore sur la carotte et l'orchidée est limpide pour moi...
C'est bien de dire ce que tu ressens, les griefs que tu peux porter à l'autre ou à la société, ce que tu n'aimes pas, etc...mais que proposes-tu de possible pour que cela change. Propositions "possibles" dans le sens d'acceptable pour être compris et réalisable ou pas.
Si tu veux, tu mets une liste succincte de propositions (une dizaine) avec à côté une échelle de 0 à 10 de possibilité de réalisation.
0 vraiment pas possible et 10 absolument réalisable.
Exemple: "Je voudrais ne pas être obligé de me répéter sans arrêt pour être comprise" = 5 moyennement réalisable.
Je ne t'oblige bien sûr à rien, c'est toi qui le fais ou pas...
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Si si je veux faire ça. Ca m'intéresse beaucoup
J'ai transféré l'énoncé sur word, et je l'ai imprimé.
J'en ai déjà un.
Maintenant j'en ai 14 !
Hum, je ne sais pas si j'ai fait les choses comme il faut, dans le bon ciblage.
Je n'ai pas encore mis de note.
Et puis il faut que je me donne le temps de la réflexion ....
J'ai transféré l'énoncé sur word, et je l'ai imprimé.
J'en ai déjà un.
Maintenant j'en ai 14 !
Hum, je ne sais pas si j'ai fait les choses comme il faut, dans le bon ciblage.
Je n'ai pas encore mis de note.
Et puis il faut que je me donne le temps de la réflexion ....
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Jipé, je n'ai pas bien compris sous quelle forme et dans quel créneau doivent être mes propositions.
Dans ton exemple : "Je voudrais ne pas être obligé de me répéter sans arrêt pour être comprise" = 5 moyennement réalisable.
C'est une proposition (possible pour que cela change) ?
Je voudrais également savoir sur quel critère je me base pour pouvoir mettre une note. Je veux dire par là que c'est à partir de quoi que je peux dire l"échelle de faisabilité, car il y a plusieurs angles possibles (je veux dire que cela dépend si je me réfère à la donnée par elle-même ou si je me réfère à la personne qu'il y aura en face de moi par exemple).
Dans ton exemple : "Je voudrais ne pas être obligé de me répéter sans arrêt pour être comprise" = 5 moyennement réalisable.
C'est une proposition (possible pour que cela change) ?
Je voudrais également savoir sur quel critère je me base pour pouvoir mettre une note. Je veux dire par là que c'est à partir de quoi que je peux dire l"échelle de faisabilité, car il y a plusieurs angles possibles (je veux dire que cela dépend si je me réfère à la donnée par elle-même ou si je me réfère à la personne qu'il y aura en face de moi par exemple).
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 13093
Localisation : Drôme du Nord (Rhône-Alpes-Auvergne - France)
Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Ce qui tient du Psychisme.
On ne peut rien sur la personne en face de soi, mais on peut changer, soi-même, il me semble . Or, la note qui doit indiquer le degré de réalisation mesure ta propre capacité à vivre avec ou à modifier pour que ça change.
Dans ton exemple, tu veux etre comprise, mais ça t'oblige à te répéter sans arrêt : laquelle de ces deux options est primordiale pour toi : être comprise ou ne pas te répéter ? Pas de miracle à attendre de la compréhension d'autrui: moi, je fais avec . Si répéter est important, j'essaye de le dire autrement . Mais il arrive que ce soit en pure perte . Alors, il vaut mieux laisser tomber . On est tous des incompris , plus ou moins partiels .
Dans ton exemple, tu veux etre comprise, mais ça t'oblige à te répéter sans arrêt : laquelle de ces deux options est primordiale pour toi : être comprise ou ne pas te répéter ? Pas de miracle à attendre de la compréhension d'autrui: moi, je fais avec . Si répéter est important, j'essaye de le dire autrement . Mais il arrive que ce soit en pure perte . Alors, il vaut mieux laisser tomber . On est tous des incompris , plus ou moins partiels .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Oui, tu dois dire ce qui te contrarie, ce qui te pose problème simplement. Pas donner la solution d'après toi, juste le problème en lui-même.Nuage a écrit:Jipé, je n'ai pas bien compris sous quelle forme et dans quel créneau doivent être mes propositions.
Dans ton exemple : "Je voudrais ne pas être obligé de me répéter sans arrêt pour être comprise" = 5 moyennement réalisable.
C'est une proposition (possible pour que cela change) ?
A côté tu mets la note qui correspondrait d'après toi en toute honnêteté, à la possibilité ou pas de réaliser un changement pour améliorer ton problème.
Réponse en partie au-dessus, mais je rajoute que tout dépend pour le critère si le problème vient de la personne en particulier, ou de la société, environnement etc...Je voudrais également savoir sur quel critère je me base pour pouvoir mettre une note. Je veux dire par là que c'est à partir de quoi que je peux dire l"échelle de faisabilité, car il y a plusieurs angles possibles (je veux dire que cela dépend si je me réfère à la donnée par elle-même ou si je me réfère à la personne qu'il y aura en face de moi par exemple).
Dans mon exemple, :"Je voudrais ne pas être obligé de me répéter sans arrêt pour être comprise", tu peux rajouter "par mon compagnon" ou "par l'administration fiscale"...
la note pourrait être pour mon compagnon = 6
par l'administration fiscale = 3
Oki ?!
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Non, Jo tu influences Nuage sur tes propres critères, ce n'est pas ce que je lui demande de faire!JO a écrit:On ne peut rien sur la personne en face de soi, mais on peut changer, soi-même, il me semble . Or, la note qui doit indiquer le degré de réalisation mesure ta propre capacité à vivre avec ou à modifier pour que ça change.
Dans ton exemple, tu veux etre comprise, mais ça t'oblige à te répéter sans arrêt : laquelle de ces deux options est primordiale pour toi : être comprise ou ne pas te répéter ? Pas de miracle à attendre de la compréhension d'autrui: moi, je fais avec . Si répéter est important, j'essaye de le dire autrement . Mais il arrive que ce soit en pure perte . Alors, il vaut mieux laisser tomber . On est tous des incompris , plus ou moins partiels .
Pas de miracle à attendre des autres ? C'est une affirmation bien catégorique ça...Je ne suis pas d'accord et sur le terme "miracle" et sur l'attente, avec de la compréhension, tout le monde peut améliorer son écoute et sa réaction, rien n'est jamais immuable.
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
mais je peux prendre un parapluie s'il pleut, pas faire qu'il ne pleuve pas .tout le monde peut améliorer SON écoute et SA réaction, rien n'est jamais immuable,
Il vaut mieux tenir compte de ce qu'on peut faire, SOI, plutôt que de compter influencer l'autre, justement .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Il n'est pas question d'influence comme tu essayes de le faire avec Nuage là, il est question de problème de compréhension au sein de couple, famille et société, et la base de toute compréhension est savoir ce qu'il est possible de faire soi, mais aussi ce que les autres peuvent aussi faire, jusqu'où ils peuvent aller, comprendre, accepter, etc...JO a écrit:mais je peux prendre un parapluie s'il pleut, pas faire qu'il ne pleuve pas .tout le monde peut améliorer SON écoute et SA réaction, rien n'est jamais immuable,
Il vaut mieux tenir compte de ce qu'on peut faire, SOI, plutôt que de compter influencer l'autre, justement .
Bon, jo, j'aimerais que tu laisses Nuage agir et répondre par elle-même, stp! Merci.
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: Ce qui tient du Psychisme.
Que Nuage me pardonne : elle n'a pas lancé le sujet dans l'espace pour deux, mais c'est vrai qu'elle ne s'adressait qu'à toi . Je disparais donc, sauf rappel de l'intéressée .
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Page 1 sur 2 • 1, 2
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum