Re: Le sens du Sacré

[Nailsmith]

Le texte de pelerin de l'Absolu est bien écrit mais je vois au moins six sens du sacré qui pourrait  être définit par d'autres mots plus explicites. Un mot qui en dit trop ne veut rien dire.
Je préfère le mot sacré(adjectif). C'est un qualificatif qui met un ensemble d'éléments à part de l'ordinaire ou du courant.
Pour le mot sacrer(verbe), j'aime mieux éviter les expressions québécoises et le sens du mot sacrer

[loofrg]

Le texte de pelerin de l'Absolu est bien écrit mais je vois au moins six sens du sacré qui pourrait  être définit par d'autres mots plus explicites.

Ce qui est intéressant je trouve, c’est le terme de « sens » (« le sens du sacré ») que Pèlerin de l’Absolu a choisi. En effet, chacun de nos cinq sens ont leur objet : les odeurs concernant l’odorat, les sons concernant l’ouïe etc…Donc la question qui se poserait concernant le sens du sacré à supposer qu’on puisse effectivement parler de sens consisterait peut-être dans celle de savoir quel serait son objet. Difficile de répondre à une telle question mais on peut essayer de le faire en l’approchant de la manière la plus large possible et en abordant l’un des concepts les plus englobant qui soit, à savoir : la vie.

On dit souvent que la vie est sacrée, de ce fait, retirer la vie à quelqu’un est sacrilège, mais retirer une vie est l’aspect extrême de ce sacrilège en decà duquel existent quantité de manière d’y porter atteinte.

Quand je dis que ma vie et celle de mon semblable sont sacrées, et là je te rejoins quant à essayer de définir ce qu’on peut entendre par là, je dis qu’elle est unique (on a qu’une vie, il n’existe pas deux individus parfaitement semblables), que de par ce fait elle est irremplaçable, que pour chacun il n’y a rien de plus précieux que sa propre vie ; en somme qu’elle a de la valeur.

Bref ici, le sens du sacré qui aurait pour objet ma vie et celle de l’autre impliquera une quantité de conséquences, puisqu’on ne traiterait pas une chose dont nous estimerions de cette façon la valeur de manière neutre, cela conduira à l’apparition de certaines particularités dans notre conduite qui reflèteront nos spécificités quant au degré précisément de valeur que nous attribuerons à la vie.
Il s’agira en effet sans doute pour un individu qui serait animé par de tels principes, de s’harmoniser avec eux, à savoir d’agir conformément à ce que lui dicte sa conscience.

De même qu’on souffre dans une moindre mesure de ne pas être entouré de bonnes odeurs, concernant le sens de l’odorat, du dérangement que produise sur nous certains bruits concernant l’ouïe etc. on peut me semble-t-il souffrir d’une disharmonie lorsque nos actes et ceux de nos semblables portent atteinte à la vie d’une manière ou d’une autre. Par là, il y aurait bien sensibilité, capacité à sentir souffrance et plaisir sur l’échelle allant du crime le plus odieux jusqu’à la fraternité la plus éclatante, de manière très semblable finalement à l’effet que les objets des sens ont sur les sens.

[Bulle]

Ce qui est intéressant je trouve, c’est le terme de « sens » (« le sens du sacré ») que Pèlerin de l’Absolu a choisi. En effet, chacun de nos cinq sens ont leur objet : les odeurs concernant l’odorat, les sons concernant l’ouïe etc…Donc la question qui se poserait concernant le sens du sacré à supposer qu’on puisse effectivement parler de sens consisterait peut-être dans celle de savoir quel serait son objet.

Ou encore la "signification qu'a une chose pour une personne"

On dit souvent que la vie est sacrée, de ce fait, retirer la vie à quelqu’un est sacrilège, mais retirer une vie est l’aspect extrême de ce sacrilège en decà duquel existent quantité de manière d’y porter atteinte.

Se suicider aussi est sacrilège, ce qui complique encore le problème.

capacité à sentir souffrance et plaisir sur l’échelle allant du crime le plus odieux jusqu’à la fraternité la plus éclatante, de manière très semblable finalement à l’effet que les objets des sens ont sur les sens.

Le mot le plus approprié ne serait pas "ressentir" plutôt que "sentir" ?

[loofrg]

Ou encore la "signification qu'a une chose pour une personne"

Effectivement, ce serait alors un tout autre discours.

Se suicider aussi est sacrilège, ce qui complique encore le problème.

Enormément oui. Tiens en allant sur wiki, j’ai appris qu’il existait la suicidologie

Le mot le plus approprié ne serait pas "ressentir" plutôt que "sentir" ?

Exact  

[Henri - Étoile]

Alors que je faisais une pause spirituelle mutine (en moi-même)et mâtinée de serpillère et de chiffonnade alternées, j'ai écouté une émission radiophonique des plus conformistes et nationale à propos de Sacré, ben Tiens! Tiens! Tiens!
À les ceusses gourmand-e-s et avides de références et de boulimie livresque, le sujet:

"Face à la résurgence de l’accusation de blasphème, peut-on interroger la place du sacré dans nos sociétés ? Est-il aisé de déterminer ce qui relève du sacré ? Comment appréhender le fait religieux au niveau national dans un monde globalisé ?"



Les intervenant-e-s:
Jean-Louis Schlegel
Philosophe, éditeur, sociologue des religions et traducteur, ancien directeur de la rédaction de la revue « Esprit »
Nadia Marzouki
Politologue, chargée de recherche au CNRS
Olivier Le Trocquer
Historien, membre du CVUH (Comité de vigilance face aux usages publics de l'histoire), professeur d’histoire-géographie au lycée et chargé de cours à l’université

J'ai bon là? en qualité? en quantité...? Ha! Flute j'allais oublier, WTF!:
Pour aller plus loin, mais loin loin, loin, non, plus loin encore, loin, loin,loin, non, plus loin encore, loin, loin, loin, loin...., j'ai cité!:

De la difficulté et de la nécessité de prendre la parole après un massacre. Du sacré, du profane et du travail de l'histoire d'Olivier Le Trocquer, sur le site du CVUH (Comité de Vigilance face aux usages publics de l'histoire) le 01/11/2020

c'est-y bon comme ça.....?

[Dun8410]

Ouâââhhh !!

[Bulle]

J'ai bon là? en qualité? en quantité...? Ha! Flute j'allais oublier, WTF!:
Pour aller plus loin, mais loin loin, loin, non, plus loin encore, loin, loin,loin, non, plus loin encore, loin, loin, loin, loin...., j'ai cité!:
De la difficulté et de la nécessité de prendre la parole après un massacre. Du sacré, du profane et du travail de l'histoire d'Olivier Le Trocquer, sur le site du CVUH (Comité de Vigilance face aux usages publics de l'histoire) le 01/11/2020
c'est-y bon comme ça.....?

Je crois que tu n'as strictement rien compris à ce qu'est un débat.
On se contrefout de ce que tu écoutes et de ce que tu n'écoutes pas. Ce qui est nécessaire par contre c'est,  lorsque tu affirmes quelque chose comme, "ce livre apporte la preuve de" ou "cet historien démontre que", d'apporter les références de ce que tu veux poser en prémisse justifiant le raisonnement que tu tiens.
C'est comme ça que fonctionne un débat.
Et puisque tu uses fréquemment de l'argument d'autorité (cf une réflexion tirée d'une pièce de théâtre comme étant la pensée propre d'Achard, juste histoire de justifier le bien-fondé de ce que tu penses) cela me semble indispensable puisque tu sors les citations de leur contexte, autrement dit tu fais dire aux auteurs ce qu'ils ne disent pas ...

[Henri - Étoile]

Je crois que tu n'as strictement rien compris à ce qu'est un débat.
(...)
C'est comme ça que fonctionne un débat.(...)

C'est gentil de m'expliquer le niveau du débat dans les formes convenues... J'avais et j'ai bien compris et le niveau et la nature de ce mode de débat, ce n'est pas comme s'il était différent de ce que je peux entendre et écouter par ailleurs..., effectivement.

Le temps est proche et les pensées sont prêtes pour les mises à jour des logiciels de pensées conformes à des bornes de synchronisation, que nous pourrons bientôt trouver dans les centres de Santé et autres centres des finances publiques et centres de rechargement divers (anxiolytiques, euphorisants, etc.), c'est bien de contribuer à cela. Tout est effectivement écrit pour les logiciels, c'est parfait!

P.S.: J'ai lu Bradbury, Huxley, Camus, Char, Eluard, Rimbaud, Baudelaire, Nietzsche, Lautréamont, Céline, Desnos, Leary, Orwell, Drieu La Rochelle, Artaud, Bataille, Hausmann jeune et hors champ scolaire ou universitaire, ayant été exclu jeune (très) du système scolaire ordinaire. Je prenais des notes, manuscrites, à plein carnets et feuillets. Je n'ai jamais envisager brider, contenir et réduire ce que faisaient germer en moi ces lectures, car les élas données à mes pensées par ces pensées transcrites par les auteurs, m'ouvraient et m'ouvrent encore à des mondes, avec les autres, avec l'autre, enfin, avec celles et ceux dont la pensée est libre, s'entend. J'évoque là la rareté de ces relations et conversations.
Je n'ai que imaginaire, humour et rêveries parfumées en moi, les copier-coller et les références (tu sais comment j'écris ce mot) m'emmerdent (sic), même si elles sont utiles comme le sont les écritures sacrées, oui, bien sûr, mais contenir une conversation à des contraintes, non merci. Je suis un passionné des salons d'une certaine époque de l'histoire des Lumières, type Maintenon, Sévigné, Sceaux, Rambouillet, etc. et de ce qu'il en émergeait de festif, de drôle, de léger et de libertin. certains d'entre eux étaient encadrés, ne parler ni de religion, ni de politique.....
Bah!
Bonne continuation,

[Bulle]

hs:

[Henri - Étoile]

hs: