Je vis encore chez maman
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Re: Je vis encore chez maman
Il faut revenir à Freud et au stade anal peut-être...
L'excrément est une offrande à la mère en laissant sortir à l'endroit et au moment où celle-ci le souhaite.
Il faut savoir aussi que perdre ses excréments à ce stade (anal),
a pour sentiment perdre d'une partie de son corps ce qui occasionne des angoisses...La mère étant là, elle le rassure.
L'excrément est une offrande à la mère en laissant sortir à l'endroit et au moment où celle-ci le souhaite.
Il faut savoir aussi que perdre ses excréments à ce stade (anal),
a pour sentiment perdre d'une partie de son corps ce qui occasionne des angoisses...La mère étant là, elle le rassure.
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Cervantes
Re: Je vis encore chez maman
Studio qui se trouve au 2ième étage, précises-tu.Oups a écrit:j'ai un petit cabinet de toilettes dans mon studio et un évier avec l'eau chaude.
Si tu dois aller au wc pendant que tu es dans ton studio, tu descends demander à ta mère pour qu'elle monte te tenir les mains ?
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Re: Je vis encore chez maman
non, je descends au wc d'en bas.
Oups- Jeune Padawan
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Re: Je vis encore chez maman
peut-être que le laxatif ou les pruneaux ça pourrait marcher, merci
même quand elle fait mes tartines ma mère me rassure
je ne sais pas pourquoi
il n'y a pas que les excrémentsJipé a écrit:Il faut savoir aussi que perdre ses excréments à ce stade (anal),
a pour sentiment perdre d'une partie de son corps ce qui occasionne des angoisses...La mère étant là, elle le rassure..
même quand elle fait mes tartines ma mère me rassure
je ne sais pas pourquoi
Oups- Jeune Padawan
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Re: Je vis encore chez maman
dit Jipécomportements abusifs
mais n'allez pas croire des choses maintenant
maman ne m'a jamais violé et quand elle me lave elle ne touche pas mon zizi
je l'ai précisé.
Oups- Jeune Padawan
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Re: Je vis encore chez maman
C'est un cercle vicieux...En te faisant une/ta tartine, elle t'empêche de mal faire éventuellement ta propre tartine, ce qui fait que tu ne risques pas de mal faire. La seule responsable s'il y a erreur ou "cassage de tartine", est ta mère, elle en prendra la responsabilité et toi tu seras dédouané. C'est ce qu'aiment s'attribuer les mères possessives...Oups a écrit:peut-être que le laxatif ou les pruneaux ça pourrait marcher, merciil n'y a pas que les excrémentsJipé a écrit:Il faut savoir aussi que perdre ses excréments à ce stade (anal),
a pour sentiment perdre d'une partie de son corps ce qui occasionne des angoisses...La mère étant là, elle le rassure..
même quand elle fait mes tartines ma mère me rassure
je ne sais pas pourquoi
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Cervantes
Re: Je vis encore chez maman
je ne parlais absolument pas de cela, mais son comportement est abusif quand même dans le sens qu'elle se substitue à des gestes et initiatives qui devraient t'appartenir.Oups a écrit:dit Jipécomportements abusifs
mais n'allez pas croire des choses maintenant
maman ne m'a jamais violé et quand elle me lave elle ne touche pas mon zizi
je l'ai précisé.
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Re: Je vis encore chez maman
et tu le regrettes..hein...?Oups a écrit:dit Jipécomportements abusifs
mais n'allez pas croire des choses maintenant
maman ne m'a jamais violé et quand elle me lave elle ne touche pas mon zizi
je l'ai précisé.
a ton age on a pas un zizi,.... mais un sexe , un penis ...une bite!!!
arrete de parler bébé ça prend pas!!!
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Je vis encore chez maman
espèce de fumier d'oser dire ça !athéesouhaits a écrit:et tu le regrettes..hein...?Oups a écrit:dit Jipécomportements abusifs
mais n'allez pas croire des choses maintenant
maman ne m'a jamais violé et quand elle me lave elle ne touche pas mon zizi
je l'ai précisé.
je parle comme ça me vient c'est tout. c'est sûrement pas de toi que je pourrai avoir un conseila ton age on a pas un zizi,.... mais un sexe , un penis ...une bite!!!
arrete de parler bébé ça prend pas!!!
mais je ne suis pas si con que vous croyez
je savais qu'en parlant de ce problème j'aurais des moqueries
Oups- Jeune Padawan
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Re: Je vis encore chez maman
tu veux un conseil?
va voir un psy!!!
va voir un psy!!!
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Je vis encore chez maman
Oups,Oups a écrit:espèce de fumier d'oser dire ça !athéesouhaits a écrit:et tu le regrettes..hein...?Oups a écrit:dit Jipécomportements abusifs
mais n'allez pas croire des choses maintenant
maman ne m'a jamais violé et quand elle me lave elle ne touche pas mon zizi
je l'ai précisé.
On se calme, stp !
Il n'est pas rare que dans ce genre de cas, le fils regrette, ne serait-ce qu'inconsciemment, de ne pas coucher avec sa mère, et réciproquement.
Je pense vraiment qu'un psy pourrait t'aider à faire un peu de lumière sur ton cas et te permettre d'en sortir.
Un bon conseil, si tu te décides à aller en trouver un : ne va pas, en revenant, raconter les entretiens à ta mère, ça flanquerait tout en l'air.
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Re: Je vis encore chez maman
Ben moi je dirais que c'est plutôt la mère qui devrait voir un psy...
Parce que Oups a l'éducation qu'il a reçu, il en est quelque part victime, mais sa mère à un comportement "anormal" depuis le départ, et elle ne fait que le prolonger. Son fils a 40 ans, mais pas à ses yeux à elle, il est encore que son "petit", et c'est la où ça coince, c'est une forme de déni de la réalité...
Parce que Oups a l'éducation qu'il a reçu, il en est quelque part victime, mais sa mère à un comportement "anormal" depuis le départ, et elle ne fait que le prolonger. Son fils a 40 ans, mais pas à ses yeux à elle, il est encore que son "petit", et c'est la où ça coince, c'est une forme de déni de la réalité...
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Cervantes
Re: Je vis encore chez maman
Je suis d'accord avec toi, mais sa mère, tu penses bien, n'ira jamais consulter un psy.
Donc, c'est lui qui doit aller en consulter un.
Après quelques séances, le psy demandera peut-être un entretien avec la mère, ou une thérapie à deux ou à trois, mais ses parents n'iront pas et la mère se retournera contre le fils pour avoir osé faire une telle démarche, au point qu'elle réussira à ce qu'il ne retourne plus chez son psy.
Il lui faut un entretien avec un psy et il faut impérativement que tout reste strictement entre lui et son psy.
Donc, c'est lui qui doit aller en consulter un.
Après quelques séances, le psy demandera peut-être un entretien avec la mère, ou une thérapie à deux ou à trois, mais ses parents n'iront pas et la mère se retournera contre le fils pour avoir osé faire une telle démarche, au point qu'elle réussira à ce qu'il ne retourne plus chez son psy.
Il lui faut un entretien avec un psy et il faut impérativement que tout reste strictement entre lui et son psy.
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Re: Je vis encore chez maman
Ne pas perdre de vue, non plus, que la mère n'a pas conscience, ou ne veut pas avoir conscience, de la gravité de la situation.
Tandis que je suppose qu'Oups commence à la comprendre. Il a d'ailleurs fait un premier pas en venant nous en parler.
Tandis que je suppose qu'Oups commence à la comprendre. Il a d'ailleurs fait un premier pas en venant nous en parler.
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Re: Je vis encore chez maman
Oui c'est aussi une solution, mais il y a un problème à cette solution...C'est que lui (Oups), va éventuellement changer sa vision, demandera des changements de comportements de la part de sa mère et elle rentrera en conflit avec lui. Pourquoi changer elle lui dira, ça se passait si bien...!Magnus a écrit:Je suis d'accord avec toi, mais sa mère, tu penses bien, n'ira jamais consulter un psy.
Donc, c'est lui qui doit aller en consulter un.
Après quelques séances, le psy demandera peut-être un entretien avec la mère, ou une thérapie à deux ou à trois, mais ses parents n'iront pas et la mère se retournera contre le fils pour avoir osé faire une telle démarche, au point qu'elle réussira à ce qu'il ne retourne plus chez son psy.
Il lui faut un entretien avec un psy et il faut impérativement que tout reste strictement entre lui et son psy.
C'est pourquoi, il me semble plus logique, si Oups souhaite voir un changement, commencer par la mère avec le psy pour qu'elle accepte le fait que son fils veut un changement. Une fois qu'elle reconnaît et accepte la légitimité du besoin de changement, un travail commun peut se faire.
Si c'est Oups qui va d'abord voir un psy, et que celui-ci l'aide en reconnaissant que c'est normal qu'à son âge, il y a des choses à faire par lui-même, sans que sa mère soit derrière lui, il aura le sentiment que lui avance dans le bon sens, mais que sa mère va le contrer, essayer de réduire ses efforts à néant, car elle n'aura pas encore passé le cap de l'acceptation. Le conflit sera encore plus grand...
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Cervantes
Re: Je vis encore chez maman
Très juste.
Mais qui saura persuader la mère d'aller trouver un psy ?
Mais qui saura persuader la mère d'aller trouver un psy ?
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Re: Je vis encore chez maman
C'est là le gros problème... Si ce n'est pas par une volonté personnelle, après discussion avec son fils, elle n'ira pas.Magnus a écrit:Très juste.
Mais qui saura persuader la mère d'aller trouver un psy ?
Je crois que la seule approche est, que le fils parvienne à faire passer le message à sa mère, qu'il en a vraiment besoin, que c'est très important pour lui, et que si elle l'aime vraiment et veut son bonheur, qu'elle accepte de faire cette démarche.
Elle pensera que, d'aller voir le psy est bon pour lui, parce que pour elle, elle n'en a pas besoin...en occultant, peut-être, que c'est surtout bon pour elle et la relation avec son fils. C'est une forme de détournement d'attention
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Cervantes
Re: Je vis encore chez maman
Ho mince alors, celle-là je n'y avais jamais pensé.
Merci !
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Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : La mienne
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 31/10/2011
Re: Je vis encore chez maman
Tout ça me paraît vraiment ahurissant, mais peut-être que...Je vous ai parlé de mon neveu homo et mort du Sida . On s'est toujours posé la question du pourquoi. Il était grand et beau gosse, flic de surcroît! . A l'époque, ce n'était pas bien vu. On a émis l'hypothèse que son penchant venait de l'amour possessif de sa mère pour lui; son père était un brave homme, mais il ne portait vraiment pas la culotte, et la frangine lui menait la vie dure ! Il a fini par sombrer dans l'alcool et il est mort d'un cancer de l'oesophage à à peine 50 ans . Sa mère lui passait tous ses caprices; la soeur , aînée de trois ans, ne comptait pour rien; elles se sont d'ailleurs brouillées à la période de l'adolescence, et définitivement . Y-a-t-il eu lien
de cause à effet ? Nous nous sommes toujours posé la question.
Alors, Oups, une question directe à laquelle tu n'es pas obligé de répondre et qui ne porte aucun jugement de valeur : te sens-tu parfois attiré par les garçons ? Peut-être un moyen inconscient de faire le contrepoids d'une mère abusive...De toute façon, il faut casser le cordon, même si c'est dur; engage-toi dans une oeuvre quelconque, voire humanitaire, mais va-t-en ! Tu en baveras, mais tu t'en sortiras !
La constipation, c'est psychologique et ce n'est pas mortel. Un jour ou l'autre, ça part ! Dans mon existence, j'en ai souvent entendu parler; ça fait la fortune des toubibs ! Le conseil que je donne : laisse courir et n'y pense plus ! Pourquoi? J'avais lu, il y a longtemps, qu'un noir avait été "bouché" pendant des semaines; ça a duré, duré...Puis , au bout d'un temps certain, ça a été l'explosion, mais une explosion qui a duré plusieurs jours...Alors, tu attends, comme Charles...attend !
de cause à effet ? Nous nous sommes toujours posé la question.
Alors, Oups, une question directe à laquelle tu n'es pas obligé de répondre et qui ne porte aucun jugement de valeur : te sens-tu parfois attiré par les garçons ? Peut-être un moyen inconscient de faire le contrepoids d'une mère abusive...De toute façon, il faut casser le cordon, même si c'est dur; engage-toi dans une oeuvre quelconque, voire humanitaire, mais va-t-en ! Tu en baveras, mais tu t'en sortiras !
La constipation, c'est psychologique et ce n'est pas mortel. Un jour ou l'autre, ça part ! Dans mon existence, j'en ai souvent entendu parler; ça fait la fortune des toubibs ! Le conseil que je donne : laisse courir et n'y pense plus ! Pourquoi? J'avais lu, il y a longtemps, qu'un noir avait été "bouché" pendant des semaines; ça a duré, duré...Puis , au bout d'un temps certain, ça a été l'explosion, mais une explosion qui a duré plusieurs jours...Alors, tu attends, comme Charles...attend !
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Je vis encore chez maman
ce n'est pas d'une analyse individuelle dont 'ils ont besoin mais d'une thérapie familiale !
on voit bien dans ce cas que se sont bien les relations interpersonnelles père=>mère=> fils et vice versa qui sont en cause.et non la névrose d'une seule personne..toute la famille est "malade"..
ils doivent consulter ensemble car le fils (le patient désigné) n'est , en fait, que le symptome d'une névrose familiale...
ceci dit je ne crois pas du tout Oups!! c'est un joke!
(
on voit bien dans ce cas que se sont bien les relations interpersonnelles père=>mère=> fils et vice versa qui sont en cause.et non la névrose d'une seule personne..toute la famille est "malade"..
ils doivent consulter ensemble car le fils (le patient désigné) n'est , en fait, que le symptome d'une névrose familiale...
ceci dit je ne crois pas du tout Oups!! c'est un joke!
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_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 22/03/2008
Re: Je vis encore chez maman
Non je ne me sens pas attiré du tout par les garçons, Gaston.
Hier soir je n'osais pas parler à ma mère alors je lui ai écrit une lettre.
Ma petite maman chérie,
Tu sais combien je t'aime et combien je ne veux que ton bonheur.
Je sais que toi aussi tu ne veux que mon bonheur depuis toujours.
Je te remercie de tout mon coeur de fils pour tout ce que ton amour a fait pour moi jusqu'à présent et pour cela je t'embrasse très très fort.
Mais il y a maintenant quelque chose qui me gêne beaucoup. C'est que tu me laves, que tu fasses mes tartines et que tu me tiennes les mains quand je suis au cabinet.
J'aimerais beaucoup arrêter cela, car je suis trop grand maintenant.
Si tu veux, on peut aller en parler chez un psy qui trouvera pour nous deux la meilleure solution possible pour qu'on continue à être heureux toi et moi, même si je devais déménager.
Je t'en prie, maman, prends ma demande au sérieux, puisque tu m'aimes.
Ton fils qui t'aime.
P.S. Peux-tu faire lire cette lettre à papa ?
Alors voilà ce qu'elle m'a répondu.
Mon imbécile adoré !
Quelle idée de vouloir aller trouver un psychiatre, mon chéri. Ne sommes-nous pas parfaitement normaux ?
Un fils, tu le sais, n'est jamais trop grand pour sa maman, il reste toute sa vie son petit enfant chéri, son bébé mignon.
Allons, mon chéri, ne fais pas semblant que tu n'apprécies pas quand les douces mains de ta maman te donnent le bain. Ne fais pas semblant que tu n'es pas content quand tes tartines t'attendent toutes prêtes et que tu n'as plus qu'à les manger.
Pour ce qui est du cabinet, tu sais très bien que tu attrapes des angoisses et de la constipation quand ta maman n'est pas là pour te tenir les mains. Ce n'est pas anormal du tout, il n'y a pas besoin d'aller trouver un psychiatre pour cela, tes angoisses et ta constipation te viennent d'un traumatisme d'enfance, tu le sais très bien.
Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de déménagement ? Tu as tout ce qu'il te faut ici, et tu sais très bien que tu ne pourrais pas te débrouiller seul, même si nous te donnions de l'argent pour t'aider.
Tu sais, mon chéri, c'est dur de vivre tout seul, très dur. Tu es psychologiquement beaucoup trop fragile pour tenir le coup plus d'un mois.
Oh bien sûr je comprends que ce n'est pas spécialement gai de vivre toujours avec ses parents, mais tu sais que nous te permettons de recevoir dans ton studio autant de filles que tu veux en recevoir, et aussi autant d'amis que tu veux en recevoir.
D'ailleurs, tu ne t'en prives pas, petit coquin. Si tu as peu d'amis, en revanche tu as déjà ramené ici pas mal de jolies créatures, n'est-ce pas ? Tu passes de bons moments avec elles et c'est très bien ainsi, car tu sais bien que tu es psychologiquement trop faible pour te marier, tenir un ménage, élever des enfants. D'ailleurs à ton âge, c'est un peu tard pour avoir des enfants, tu sais.
J'ai fait lire ta lettre à ton père qui comme d'habitude n'a rien dit, tu le connais, c'est un faible, tu as hérité de lui mon pauvre chéri. Mais en son for intérieur, il est sûrement d'accord avec moi. Ton père a toujours été d'accord avec moi, même si nous avons parfois de petites scènes de ménage pas bien graves comme tous les couples en ont.
Allez, mon bébé, je t'embrasse partout comme quand tu étais petiot, et je t'annonce une bonne nouvelle : ton père et moi allons t'offrir un magnifique tableau qui fera merveille dans ton studio. Je t'assure qu'après ça, tu n'auras plus envie de le quitter tellement il sera beau.
Ta maman qui t'adore pour toujours et qui sait très bien ce qui est le mieux pour toi.
Hier soir je n'osais pas parler à ma mère alors je lui ai écrit une lettre.
Ma petite maman chérie,
Tu sais combien je t'aime et combien je ne veux que ton bonheur.
Je sais que toi aussi tu ne veux que mon bonheur depuis toujours.
Je te remercie de tout mon coeur de fils pour tout ce que ton amour a fait pour moi jusqu'à présent et pour cela je t'embrasse très très fort.
Mais il y a maintenant quelque chose qui me gêne beaucoup. C'est que tu me laves, que tu fasses mes tartines et que tu me tiennes les mains quand je suis au cabinet.
J'aimerais beaucoup arrêter cela, car je suis trop grand maintenant.
Si tu veux, on peut aller en parler chez un psy qui trouvera pour nous deux la meilleure solution possible pour qu'on continue à être heureux toi et moi, même si je devais déménager.
Je t'en prie, maman, prends ma demande au sérieux, puisque tu m'aimes.
Ton fils qui t'aime.
P.S. Peux-tu faire lire cette lettre à papa ?
Alors voilà ce qu'elle m'a répondu.
Mon imbécile adoré !
Quelle idée de vouloir aller trouver un psychiatre, mon chéri. Ne sommes-nous pas parfaitement normaux ?
Un fils, tu le sais, n'est jamais trop grand pour sa maman, il reste toute sa vie son petit enfant chéri, son bébé mignon.
Allons, mon chéri, ne fais pas semblant que tu n'apprécies pas quand les douces mains de ta maman te donnent le bain. Ne fais pas semblant que tu n'es pas content quand tes tartines t'attendent toutes prêtes et que tu n'as plus qu'à les manger.
Pour ce qui est du cabinet, tu sais très bien que tu attrapes des angoisses et de la constipation quand ta maman n'est pas là pour te tenir les mains. Ce n'est pas anormal du tout, il n'y a pas besoin d'aller trouver un psychiatre pour cela, tes angoisses et ta constipation te viennent d'un traumatisme d'enfance, tu le sais très bien.
Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de déménagement ? Tu as tout ce qu'il te faut ici, et tu sais très bien que tu ne pourrais pas te débrouiller seul, même si nous te donnions de l'argent pour t'aider.
Tu sais, mon chéri, c'est dur de vivre tout seul, très dur. Tu es psychologiquement beaucoup trop fragile pour tenir le coup plus d'un mois.
Oh bien sûr je comprends que ce n'est pas spécialement gai de vivre toujours avec ses parents, mais tu sais que nous te permettons de recevoir dans ton studio autant de filles que tu veux en recevoir, et aussi autant d'amis que tu veux en recevoir.
D'ailleurs, tu ne t'en prives pas, petit coquin. Si tu as peu d'amis, en revanche tu as déjà ramené ici pas mal de jolies créatures, n'est-ce pas ? Tu passes de bons moments avec elles et c'est très bien ainsi, car tu sais bien que tu es psychologiquement trop faible pour te marier, tenir un ménage, élever des enfants. D'ailleurs à ton âge, c'est un peu tard pour avoir des enfants, tu sais.
J'ai fait lire ta lettre à ton père qui comme d'habitude n'a rien dit, tu le connais, c'est un faible, tu as hérité de lui mon pauvre chéri. Mais en son for intérieur, il est sûrement d'accord avec moi. Ton père a toujours été d'accord avec moi, même si nous avons parfois de petites scènes de ménage pas bien graves comme tous les couples en ont.
Allez, mon bébé, je t'embrasse partout comme quand tu étais petiot, et je t'annonce une bonne nouvelle : ton père et moi allons t'offrir un magnifique tableau qui fera merveille dans ton studio. Je t'assure qu'après ça, tu n'auras plus envie de le quitter tellement il sera beau.
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Re: Je vis encore chez maman
En fait c'est pour mythomanie que tu devrais consulter
Dernière édition par athéesouhaits le Lun 9 Juil 2012 - 18:06, édité 1 fois
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Je vis encore chez maman
Que ce soit un joke ou pas,
Il devrait consulter
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Tenzin Dorje- Affranchi des Paradoxes
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Re: Je vis encore chez maman
tu aurais du écrire
Maman,
tu as fait de moi une lopette..
j'en ai pris conscience grâce a Athésouhaits.
Je me casse de cette taule de tordus!
Je reviendrai quand je serai devenu normal .
ps:
dis a papa qu'il devrait faire comme moi..
Maman,
tu as fait de moi une lopette..
j'en ai pris conscience grâce a Athésouhaits.
Je me casse de cette taule de tordus!
Je reviendrai quand je serai devenu normal .
ps:
dis a papa qu'il devrait faire comme moi..
_athéesouhaits- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Je vis encore chez maman
- Oups : Les deux lettres:
- Oups a écrit:
Hier soir je n'osais pas parler à ma mère alors je lui ai écrit une lettre.
Ma petite maman chérie,
Tu sais combien je t'aime et combien je ne veux que ton bonheur.
Je sais que toi aussi tu ne veux que mon bonheur depuis toujours.
Je te remercie de tout mon coeur de fils pour tout ce que ton amour a fait pour moi jusqu'à présent et pour cela je t'embrasse très très fort.
Mais il y a maintenant quelque chose qui me gêne beaucoup. C'est que tu me laves, que tu fasses mes tartines et que tu me tiennes les mains quand je suis au cabinet.
J'aimerais beaucoup arrêter cela, car je suis trop grand maintenant.
Si tu veux, on peut aller en parler chez un psy qui trouvera pour nous deux la meilleure solution possible pour qu'on continue à être heureux toi et moi, même si je devais déménager.
Je t'en prie, maman, prends ma demande au sérieux, puisque tu m'aimes.
Ton fils qui t'aime.
P.S. Peux-tu faire lire cette lettre à papa ?
Alors voilà ce qu'elle m'a répondu.
Mon imbécile adoré !
Quelle idée de vouloir aller trouver un psychiatre, mon chéri. Ne sommes-nous pas parfaitement normaux ?
Un fils, tu le sais, n'est jamais trop grand pour sa maman, il reste toute sa vie son petit enfant chéri, son bébé mignon.
Allons, mon chéri, ne fais pas semblant que tu n'apprécies pas quand les douces mains de ta maman te donnent le bain. Ne fais pas semblant que tu n'es pas content quand tes tartines t'attendent toutes prêtes et que tu n'as plus qu'à les manger.
Pour ce qui est du cabinet, tu sais très bien que tu attrapes des angoisses et de la constipation quand ta maman n'est pas là pour te tenir les mains. Ce n'est pas anormal du tout, il n'y a pas besoin d'aller trouver un psychiatre pour cela, tes angoisses et ta constipation te viennent d'un traumatisme d'enfance, tu le sais très bien.
Et qu'est-ce que c'est que cette histoire de déménagement ? Tu as tout ce qu'il te faut ici, et tu sais très bien que tu ne pourrais pas te débrouiller seul, même si nous te donnions de l'argent pour t'aider.
Tu sais, mon chéri, c'est dur de vivre tout seul, très dur. Tu es psychologiquement beaucoup trop fragile pour tenir le coup plus d'un mois.
Oh bien sûr je comprends que ce n'est pas spécialement gai de vivre toujours avec ses parents, mais tu sais que nous te permettons de recevoir dans ton studio autant de filles que tu veux en recevoir, et aussi autant d'amis que tu veux en recevoir.
D'ailleurs, tu ne t'en prives pas, petit coquin. Si tu as peu d'amis, en revanche tu as déjà ramené ici pas mal de jolies créatures, n'est-ce pas ? Tu passes de bons moments avec elles et c'est très bien ainsi, car tu sais bien que tu es psychologiquement trop faible pour te marier, tenir un ménage, élever des enfants. D'ailleurs à ton âge, c'est un peu tard pour avoir des enfants, tu sais.
J'ai fait lire ta lettre à ton père qui comme d'habitude n'a rien dit, tu le connais, c'est un faible, tu as hérité de lui mon pauvre chéri. Mais en son for intérieur, il est sûrement d'accord avec moi. Ton père a toujours été d'accord avec moi, même si nous avons parfois de petites scènes de ménage pas bien graves comme tous les couples en ont.
Allez, mon bébé, je t'embrasse partout comme quand tu étais petiot, et je t'annonce une bonne nouvelle : ton père et moi allons t'offrir un magnifique tableau qui fera merveille dans ton studio. Je t'assure qu'après ça, tu n'auras plus envie de le quitter tellement il sera beau.
Ta maman qui t'adore pour toujours et qui sait très bien ce qui est le mieux pour toi.
Rien que le "mon imbécile adoré" est significatif... .
Dernière édition par Magnus le Lun 9 Juil 2012 - 20:16, édité 1 fois
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MES POEMES :
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Avec Dieu, ce qu'il y a de terrible, c'est qu'on ne sait jamais si ce n'est pas un coup du diable...
(Jean Anouilh)
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