Conscience universelle
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JO
Nailsmith
Millenium
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Conscience universelle
Ces interactions d'informations( de conscience ) représentés par cette matérialisation témoignent à mon sens d'une conscience unifiée ressemblant aux connections neuronales d'un cerveaux.
En réalité nous pouvons observer des interactions similaires dans la nature, dans l'univers, à toute les échelles d'évolutions, l'univers serait la matrice de la conscience en évolution qui dans toujours plus de complexité a fini par créer un potentiel de liberté pouvant se jouer du déterminisme de la conscience instinctive et dès lors créer la conscience individuelle.
Cette liberté, cette individualité, détient un enseignement qui n'est pas guidé par l'instinct , mais par notre capacité à créer du sens avec nos émotions, dans les relations humaines et avec notre environnement, nous sommes libre d'évoluer vers l'harmonie contrairement à la nature qui est soumit à la conscience instinctive.
A mon avis, ce dessin représente le haut comme le bas,un univers fractal de même nature.
http://www.editionspraxis.fr/pc-pour-seniors/a/cartographier-carte-internet-web/10521/
En réalité nous pouvons observer des interactions similaires dans la nature, dans l'univers, à toute les échelles d'évolutions, l'univers serait la matrice de la conscience en évolution qui dans toujours plus de complexité a fini par créer un potentiel de liberté pouvant se jouer du déterminisme de la conscience instinctive et dès lors créer la conscience individuelle.
Cette liberté, cette individualité, détient un enseignement qui n'est pas guidé par l'instinct , mais par notre capacité à créer du sens avec nos émotions, dans les relations humaines et avec notre environnement, nous sommes libre d'évoluer vers l'harmonie contrairement à la nature qui est soumit à la conscience instinctive.
A mon avis, ce dessin représente le haut comme le bas,un univers fractal de même nature.
http://www.editionspraxis.fr/pc-pour-seniors/a/cartographier-carte-internet-web/10521/
Millenium- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Conscience universelle
C'est très intéressant Millenium, la représentation graphique de la toile Internet se rapprocherait plus des interconnexions neuronales si les branches de chaque nœuds étaient intereliées avec d'autres nœuds. Ce qui n'est pas le cas présentement.
Nailsmith- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Conscience universelle
C'est joli, en tout cas. Mais c'est la représentation d'un effet, pas de l'information qui le produit . Le nouveau-né a un cerveau très peu pourvu de connexions neuronales . Il a le PC, mais ne sait pas encore programmer .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Conscience universelle
JO, très belle image et très jolie comparaison . D'où l'importance de la programmation de l'individu dès sa naissance et pendant son enfance, son adolescence et sa jeunesse . Les religions, les sectes et tous les mouvements ont su en profiter, en bien comme en mal; je pense aux Jeunesses Hitlériennes...JO a écrit:C'est joli, en tout cas. Mais c'est la représentation d'un effet, pas de l'information qui le produit . Le nouveau-né a un cerveau très peu pourvu de connexions neuronales . Il a le PC, mais ne sait pas encore programmer .
Millenium, je pense qu'il y a une Conscience universelle, cosmique ; en tout cas, les lois mathématiques fantastiques qui régissent notre Univers m'incitent à le penser . Par contre, en ce qui concerne la liberté individuelle, je ne suis plus . Tout, pour moi, est déterminé, programmé, et notre prétendu libre-arbitre est pure illusion .Mais il ne faut pas le dire ! Si la société veut se maintenir, il faut absolumnt qu'elle rende les gens responsables de leurs actes ! Là aussi, c'est du conditionnement ...
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Conscience universelle
Je crois que la liberté consiste à pouvoir dire non . Il y a une expérience , en physique, qui a montré, sur EEG que l'acte était inscrit mais stoppé, bien que déjà programmé, quand on renonce à l'accomplir . L'intention ne vaut pas l'action, heureusement, sauf pour l'EEG .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Conscience universelle
Nous ne pouvons pas nier le bond incroyable de liberté et de potentialité que la conscience humaine représente dans l'évolution de la vie.
Millenium- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Date d'inscription : 17/09/2008
Re: Conscience universelle
c'est indéniable, même si ce bond a un potentiel terrible de destruction de la seule planète habitable que nous connaissions .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Conscience universelle
Etre conscient d'exister, c'est être conscient d'être moi-même quelque part.
La conscience rend l'homme responsable de ses actes et il peut en répondre devant le tribunal de sa conscience et celui des hommes.
Mais seul l'homme a accès à la dimension de la spiritualité et de sa moralité.
Mais je peux me méconnaître même si je crois me connaître, et c'est bien parce que j'ai une conscience.
Alors il se peut que je doute par conséquent, doute portant sur les perceptions, sens, et je peux me créer un monde illusoire. Mais il se peut que je doute aussi, doute sur ce que je perçois bien, que j'appellerais le "doute qui nourrit" par la liberté de mon esprit capable de mettre en doute tout ce que je peux penser, au point d'arriver d'être en accord avec ma conscience, non pas pour la satisfaire, mais pour être honnête avec ma pensée.
Au même titre qu'un geste simple ou ordonné ou instinctif, à travers l'expérience du doute je pourrais presqu'instinctivement établir mon choix librement.
Cette liberté s'exercerait aussi, intrinsèquement, quand l'éventualité de ne plus douter n'existerait plus. En fait je serais doté de cette liberté que je n'exercerais pas du fait que j'ignore son existence naturelle, consciemment.
Je suis consciente cependant, que je ne suis pas à l'abri des choses qui font douter mais que sachant que je suis dotée à l'abri de mon raisonnement, inconsciemment cette fois-ci, je peux évoluer dans ma ou la société.
Le doute n'est pas l'ennemi de l'homme, elle le nourrit, et est donc favorable.
Mais pour enlever le doute, il faut qu'à travers mon expérience, je prenne la liberté de le vouloir, et passer par des contradictions qui mettent le doute en doute, (qui suis-je)pour arriver à ne plus douter, avant de le faire naturellement.
La conscience rend l'homme responsable de ses actes et il peut en répondre devant le tribunal de sa conscience et celui des hommes.
Mais seul l'homme a accès à la dimension de la spiritualité et de sa moralité.
Mais je peux me méconnaître même si je crois me connaître, et c'est bien parce que j'ai une conscience.
Alors il se peut que je doute par conséquent, doute portant sur les perceptions, sens, et je peux me créer un monde illusoire. Mais il se peut que je doute aussi, doute sur ce que je perçois bien, que j'appellerais le "doute qui nourrit" par la liberté de mon esprit capable de mettre en doute tout ce que je peux penser, au point d'arriver d'être en accord avec ma conscience, non pas pour la satisfaire, mais pour être honnête avec ma pensée.
Au même titre qu'un geste simple ou ordonné ou instinctif, à travers l'expérience du doute je pourrais presqu'instinctivement établir mon choix librement.
Cette liberté s'exercerait aussi, intrinsèquement, quand l'éventualité de ne plus douter n'existerait plus. En fait je serais doté de cette liberté que je n'exercerais pas du fait que j'ignore son existence naturelle, consciemment.
Je suis consciente cependant, que je ne suis pas à l'abri des choses qui font douter mais que sachant que je suis dotée à l'abri de mon raisonnement, inconsciemment cette fois-ci, je peux évoluer dans ma ou la société.
Le doute n'est pas l'ennemi de l'homme, elle le nourrit, et est donc favorable.
Mais pour enlever le doute, il faut qu'à travers mon expérience, je prenne la liberté de le vouloir, et passer par des contradictions qui mettent le doute en doute, (qui suis-je)pour arriver à ne plus douter, avant de le faire naturellement.
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Conscience universelle
La conscience, je pense donc je suis.
La conscience, je penserais donc je serais.
le structuralisme.
substituer au primat de la conscience vécue ou réfléchie le primat du concept, du système ou de la structure.
Sans aucun doute, l’épistémologie de Cavaillès, en particulier dans l’ouvrage posthume, Sur la logique et la théorie de la science, s’organise autour d’une critique de la notion de conscience.
On peut prêter à Cavaillès, en gros, l’argument suivant : le devenir mathématique est nécessaire en ce que le progrès est décidé par les problèmes posés et les méthodes disponibles à une époque antérieure; les raisons du devenir sont intérieures aux champs en devenir; il est donc inutile de chercher à fonder la mathématique sur une analyse des actes de la conscience; il suffit de suivre le devenir, d’isoler les problèmes et les méthodes qui en dirigent la progression et, par là, déterminent la constitution d’une mathématique; le domaine fondamental de l’épistémologie n’est pas le champ de conscience mais l’expérience mathématique, les systèmes d’opérations mises en œuvre dans le devenir mathématique. Ainsi, l’épistémologie pourrait faire l’économie de la notion de conscience. Pourtant, je ne crois pas que la notion de conscience soit véritablement éliminée. En réalité, Cavaillès opère une inversion par rapport aux philosophies de la conscience et, plutôt que de rendre compte des objets de la science à partir de la conscience, tente de rendre compte de la conscience à partir du mouvement de la science. Le problème est double. En effet, refuser le primat de la conscience, c’est, d’une part, refuser la position d’une conscience constituante mais, d’autre part, renoncer à considérer la conscience comme une donnée primitive.
Il faut donc constituer et, avant cela, définir la conscience à partir du devenir autonome des mathématiques.
source : http://methodos.revues.org/55
La conscience, je penserais donc je serais.
le structuralisme.
substituer au primat de la conscience vécue ou réfléchie le primat du concept, du système ou de la structure.
Sans aucun doute, l’épistémologie de Cavaillès, en particulier dans l’ouvrage posthume, Sur la logique et la théorie de la science, s’organise autour d’une critique de la notion de conscience.
On peut prêter à Cavaillès, en gros, l’argument suivant : le devenir mathématique est nécessaire en ce que le progrès est décidé par les problèmes posés et les méthodes disponibles à une époque antérieure; les raisons du devenir sont intérieures aux champs en devenir; il est donc inutile de chercher à fonder la mathématique sur une analyse des actes de la conscience; il suffit de suivre le devenir, d’isoler les problèmes et les méthodes qui en dirigent la progression et, par là, déterminent la constitution d’une mathématique; le domaine fondamental de l’épistémologie n’est pas le champ de conscience mais l’expérience mathématique, les systèmes d’opérations mises en œuvre dans le devenir mathématique. Ainsi, l’épistémologie pourrait faire l’économie de la notion de conscience. Pourtant, je ne crois pas que la notion de conscience soit véritablement éliminée. En réalité, Cavaillès opère une inversion par rapport aux philosophies de la conscience et, plutôt que de rendre compte des objets de la science à partir de la conscience, tente de rendre compte de la conscience à partir du mouvement de la science. Le problème est double. En effet, refuser le primat de la conscience, c’est, d’une part, refuser la position d’une conscience constituante mais, d’autre part, renoncer à considérer la conscience comme une donnée primitive.
Il faut donc constituer et, avant cela, définir la conscience à partir du devenir autonome des mathématiques.
source : http://methodos.revues.org/55
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Conscience universelle
Elargir sa conscience
Sommes nous que la limitation de la perception de nous ?
Sommes nous que la limitation de la perception de nous ?
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 19/01/2015
Re: Conscience universelle
Hors de la perception... que serais tu ?
_Jean Cérien- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Humeur : liquide
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Re: Conscience universelle
Sans perception, point de salut... ation!
M'enfin- Le Repteux
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Identité métaphysique : M'enfin...
Humeur : ...qui sait?
Date d'inscription : 24/02/2013
Re: Conscience universelle
Jean Cérien a écrit:Hors de la perception... que serais tu ?
Je ne sais pas car j'ai "une" perception qui est limitée et c'est la question que je pose puisque dans cette question se limite toujours la réponse.
Et en fait cette question amènerait une autre question. Comment savoir ce que je perçois par rapport à toi par exemple ? Ou seraient nos limites ? Aussi bien crescendo que decrescendo. Y a t il un seuil inférieur limité ? Y a t il un seuil supérieur limité ?
Ou serait ta limite par rapport à la mienne ? ou celle de ma voisine... quoiqu'elle.... (lol).
Ou nous nous situons les uns par rapport aux autres si ce n'est à partir d'une expérience tout à fait personnelle et les enseignements que l'on peut en tirer et qu'on aimerait toutefois partager et non garder jalousement pour satisfaire son égo. Mais en argumentant sur ce sujet il y a perception négative de satisfaction "d'un égo"!?
Mais comment se situer les uns par rapport aux autres sans flatter son égo ?
Est ce que l'égo n'est pas un prétexte pour limiter notre perception, une entrave à son développement personnel ? Ou se situe la limite de l'égo qui entrave la discussion ? Ou la discussion doit aller pour ne pas qu'elle aboutisse à l'échec, au résultat qui n'était pas recherché du fait que l'égo est perçu par soi-même et l'interlocuteur ?
Si l'égo entrave la discussion ce serait prétexte à.... et non un moyen construit restrictif à évoluer si c'est le cas. Quelle serait cette évolution ? Ou se situerait sa limite ?
Que connaissons des limites ?
_nawel- Seigneur de la Métaphysique
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