Syndrome d'excitation génitale persistante
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Ce n'est pas si marrant que ça de "sortir du lot".
Pour la poésie : je n'écrit plus rien ou presque.
Les médicaments : j'en prends de plus en plus, juste pour m'abrutir et ne plus rien sentir... Pensez : voilà des années que je n'ai jamais pu, ne serait-ce qu'avoir un instant de détente, vous savez, ces petits moments que l'on savoure, où l'on se relaxe, où l'on ne pense à rien, où l'on somnole gentiment sur un livre ou devant une émission de télé.
C'est particulièrement dur pendant les fêtes où il faut faire bonne figure, surtout quand on a un grand fils de 21 ans à qui il faut faire bon accueil, montrer qu'on est heureux, en forme, positif quoi.
J'en suis à devenir de plus en plus dépendante : boisson, médocs, et non, je n'ai pas honte de le dire. Les imbéciles penseront que c'est une tare de se laisser aller ainsi. Je me fous des imbéciles, je me fous de l'opinion de gens qui ne connaissent pas ce que je vis.
Voilà, je sais que ça ne m'avance à rien d'écrire ici. Mais au moins, j'ai l'impression de parler à quelqu'un.
Pour la poésie : je n'écrit plus rien ou presque.
Les médicaments : j'en prends de plus en plus, juste pour m'abrutir et ne plus rien sentir... Pensez : voilà des années que je n'ai jamais pu, ne serait-ce qu'avoir un instant de détente, vous savez, ces petits moments que l'on savoure, où l'on se relaxe, où l'on ne pense à rien, où l'on somnole gentiment sur un livre ou devant une émission de télé.
C'est particulièrement dur pendant les fêtes où il faut faire bonne figure, surtout quand on a un grand fils de 21 ans à qui il faut faire bon accueil, montrer qu'on est heureux, en forme, positif quoi.
J'en suis à devenir de plus en plus dépendante : boisson, médocs, et non, je n'ai pas honte de le dire. Les imbéciles penseront que c'est une tare de se laisser aller ainsi. Je me fous des imbéciles, je me fous de l'opinion de gens qui ne connaissent pas ce que je vis.
Voilà, je sais que ça ne m'avance à rien d'écrire ici. Mais au moins, j'ai l'impression de parler à quelqu'un.
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Babylon,
je suis désolé de lire ce que tu écris...
Je suis un peu étonné de voir qu'aucun médecin, spécialiste, ou psy, ne parvient à améliorer ta vie...
Boisson + médoc = suicide, c'est ce que tu veux ?
je suis désolé de lire ce que tu écris...
Je suis un peu étonné de voir qu'aucun médecin, spécialiste, ou psy, ne parvient à améliorer ta vie...
Boisson + médoc = suicide, c'est ce que tu veux ?
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Cervantes
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Non, Jipé, ce n'est pas ce que je veux.
Comme je disais plus haut, j'ai mis plus de trois ans à trouver une piste médicale sérieuse pour ce syndrôme. Avant, de la part de TOUS les autres médecins, y-compris gynécologue, je n'ai eu droit qu'à des haussements d'épaule ou pire à des sourires (comme elle a de la chance, celle-là....).
Je dois subir un EMG le 24 janvier, de là on pourra déterminer si le nerf pudendal est atteint, mais ça fait depuis le mois de juiun que j'ai vu le spécialiste (trouvé par mes soins grâce à Internet, les autres toubibs étant aussi curieux que des banc d'huîtres).
Comme tu vois, cela traine.Il y aura peut-être suite à ça, intervention directe sur le nerf.
En attendant, il faut endurer. Ce n'est pas toujours facile.
Je vois aussi une hypno-thérapeute, je pratique l'EFT, mais il n'y a qu'un moyen de s'anesthésier complètement, et ce pour une douleur qui n'en est pas une mais qui envahit tout le psychisme.
Quand on n'a plus de travail, quand on passe de longues journées seule dans une maison perdue au milieu de nulle part, sans contacts sociaux, sans amis chez qui aller passer un moment ne serait-ce que pour penser à autre chose..... c'est difficile, crois-moi, de ne pas craquer, la lutte est épuisante.
Et non, peut-être qu'une part de moi (comme je le répète avec l'EFT) aime et provoque tout ceci, mais non, ce n'est pas moi, c'est une part de moi. Seulement je n'ai pas le quart du tiers du huitième d'un bout de solution pour ces longues périodes à attendre, attendre....
Comme je disais plus haut, j'ai mis plus de trois ans à trouver une piste médicale sérieuse pour ce syndrôme. Avant, de la part de TOUS les autres médecins, y-compris gynécologue, je n'ai eu droit qu'à des haussements d'épaule ou pire à des sourires (comme elle a de la chance, celle-là....).
Je dois subir un EMG le 24 janvier, de là on pourra déterminer si le nerf pudendal est atteint, mais ça fait depuis le mois de juiun que j'ai vu le spécialiste (trouvé par mes soins grâce à Internet, les autres toubibs étant aussi curieux que des banc d'huîtres).
Comme tu vois, cela traine.Il y aura peut-être suite à ça, intervention directe sur le nerf.
En attendant, il faut endurer. Ce n'est pas toujours facile.
Je vois aussi une hypno-thérapeute, je pratique l'EFT, mais il n'y a qu'un moyen de s'anesthésier complètement, et ce pour une douleur qui n'en est pas une mais qui envahit tout le psychisme.
Quand on n'a plus de travail, quand on passe de longues journées seule dans une maison perdue au milieu de nulle part, sans contacts sociaux, sans amis chez qui aller passer un moment ne serait-ce que pour penser à autre chose..... c'est difficile, crois-moi, de ne pas craquer, la lutte est épuisante.
Et non, peut-être qu'une part de moi (comme je le répète avec l'EFT) aime et provoque tout ceci, mais non, ce n'est pas moi, c'est une part de moi. Seulement je n'ai pas le quart du tiers du huitième d'un bout de solution pour ces longues périodes à attendre, attendre....
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
J'ai fait le tour de ces gens-là.Jipé a écrit:
Je suis un peu étonné de voir qu'aucun médecin, spécialiste, ou psy, ne parvient à améliorer ta vie...
1° Les psys : tu expliques ce genre de problème : c'est dans ta tête et uniquement dans ta tête. Il étiquettent tout "psy", c'est bien pratique pour s'éviter du travail de recherche. Et quand toi, tu te tapes le travail de recherche (qu'ils auraient dû faire, ils sont payés pour ça), ils se foutent encore de ta gueule en disant "faut pas croire ce qui est sur Internet). Par contre, pour forcer la main sur les anxiolitiques, anti-psychotiques et autres camisoles chimiques histoire d'avoir la paix et aussi de faire plaisir aux labos, ils sont très fortiches.
2° Les médecins : ils ne sont bons, pour ceux que j'ai rencontrés, que pour soigner les bobos courants et les maladies bien décrites dans leurs manuels. Ils estiment pour la plupart qu'avec leur bac + 7, ils SAVENT TOUT. Si tu t'amènes avec un symptôme qui n'est pas décrit dans leurs bouquins, il ne savent qu'écarquiller les yeux et hausser les épaules, comme je t'ai dit. Et pareil pour les gynécos (expérience vécue).
3° Spécialiste : c'est à toi de te le dégoter, ton spécialiste, à force de ramer et de surfer sur le vilain Internet qui ne dit que des conneries suivant les médecins en place. Or, le spécialiste, quand tu le trouves, il y en a un seul sur tout la France pour ta pathologie, et bonjour les déplacements, les longues listes d'attente, les dépassements d'honoraires.
Voilà, c'est ça, la médecine, pour ce que j'en connais.
T'as pas intérêt à avoir une maladie qu'est pas marquée dans le Vidal !
Sinon, tu te soignes avec les moyens du bord : donc, les fameux anxiolitiques conseillés par le gentil psy pour te soulager, qui t'abrutissent et t'affaiblissent encore plus, plus évidemment, le vilain alcool pas beau qui te déglingues encore plus mais pendant que tu cuves tu es ANESTHÉSIÉ.
Alors, oui, si ça dure, ça peut conduire très loin, trop loin peut-être. Mais moi, il y a longtemps que j'ai cessé de culpabiliser par rapport à mes excès. Et si jamais j'en crèvais ce ne serait pas une preuve de faiblesse d'une personne qui s'est laissée allée, mais le résultat d'un système médical à chier, plus d'une société coincée qui ne veut pas prendre en considération les sujets tabous. Voilà.
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Alors, jipé, quelle couleur la pilule ?
_L'Olivier- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 3005
Date d'inscription : 26/02/2011
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Si tu n'as rien d'autre à dire, il serait décent que tu t'abstiennes.L'Olivier a écrit:Alors, jipé, quelle couleur la pilule ?
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Cela mériterait un nouveau fil de discussion à lui tout seul : qu'en est-il des "soins médicaux" dans la France actuelle ? Et le statut des médecins, qui ont toujours raison même quand ils sont incapables, et qui ont oublié qu'avant tout ils devraient rester des chercheurs ?
Le médecin que tu vas voir et qui te dis "Comment allez-vous Madame Duchmolle ?" Et qui au bout de 10 minutes te prends 23 euros. Et le psy de l'hôpital, toujours en retard dans le service malgré qu'il arrive en Porsche, et qui te prends pour une tarée parce que tu n'entres pas exactement dans ses petites cases ?
Et les services d'urgences où l'interne te prends d'emblée pour une simulatrice alors que tu fais une intolérance à un médicament ?
Oui, je sais, cela fait peur : on préfère dire et répéter qu'ils sont formidables, nos toubibs, c'est tellement rassurant., n'est-ce pas.
Le médecin que tu vas voir et qui te dis "Comment allez-vous Madame Duchmolle ?" Et qui au bout de 10 minutes te prends 23 euros. Et le psy de l'hôpital, toujours en retard dans le service malgré qu'il arrive en Porsche, et qui te prends pour une tarée parce que tu n'entres pas exactement dans ses petites cases ?
Et les services d'urgences où l'interne te prends d'emblée pour une simulatrice alors que tu fais une intolérance à un médicament ?
Oui, je sais, cela fait peur : on préfère dire et répéter qu'ils sont formidables, nos toubibs, c'est tellement rassurant., n'est-ce pas.
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Tous les toubibs, tous les services d'urgence, tous les psy ne sont pas formidables, loin de là... Néanmoins, il y a des toubibs, des services d'urgence, des psys qui le sont. Et même s'ils n'ont pas le resultat escompté.
On ne peut exiger qu'une obligation de moyens et une vocation de "soignant", avec tout ce que cela comporte y compris la qualité du point de vue de la relation humaine.
Et cela n'ira pas en s'arrangeant d'ailleurs, priorités budgétaires obligent ; la surcharge de travail, la pénurie de personnel n'arrangent rien.
On ne peut exiger qu'une obligation de moyens et une vocation de "soignant", avec tout ce que cela comporte y compris la qualité du point de vue de la relation humaine.
Et cela n'ira pas en s'arrangeant d'ailleurs, priorités budgétaires obligent ; la surcharge de travail, la pénurie de personnel n'arrangent rien.
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
T'inquiète pas Bab on est tous des malades psychologiquement. Tiens je viens de découvrir que j'étais schizo en mille grâce à Jipé. Et moi qui traite CDL de schizo ... en vrai, je voyais pas la définition comme ça Pour moi schizo je croyais que c'était avoir des personnalités multiples et contraires.
Symptomes :
et je suis sûr à ne pas être le seul sur un forum méta. En fait si on s'en tient à ces symptômes, tous les religieux, les mystiques, les spiritualistes, les méditants, les visionnaires, les ermites, les introspectifs, sont des schizos et les prophètes, les visionnaires sont
en plus des épileptiques parfois doublés d'hystériques et paranoïaques.
Symptomes :
-Attitude de repli, avec un désintérêt relatif pour le monde extérieur (introversion).
-Fuite des contacts sociaux (peu ou pas d'amis).
-Gens timides et effacés.
-Incapacité à exprimer leurs- Contact froid et distant.
-Incapacité à éprouver du plaisir.
-Intérêt réduit pour la sexualité.
-Vie imaginaire souvent intense mais bizarre, avec un grand intérêt pour les choses abstraites.
-Indifférence aux normes et aux conventions sociales.
-L'adaptation sociale est possible mais restreinte.
et je suis sûr à ne pas être le seul sur un forum méta. En fait si on s'en tient à ces symptômes, tous les religieux, les mystiques, les spiritualistes, les méditants, les visionnaires, les ermites, les introspectifs, sont des schizos et les prophètes, les visionnaires sont
en plus des épileptiques parfois doublés d'hystériques et paranoïaques.
_La plume- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 17/07/2009
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Bulle a écrit:Tous les toubibs, tous les services d'urgence, tous les psy ne sont pas formidables, loin de là... Néanmoins, il y a des toubibs, des services d'urgence, des psys qui le sont. Et même s'ils n'ont pas le resultat escompté.
On ne peut exiger qu'une obligation de moyens et une vocation de "soignant", avec tout ce que cela comporte y compris la qualité du point de vue de la relation humaine.
Et cela n'ira pas en s'arrangeant d'ailleurs, priorités budgétaires obligent ; la surcharge de travail, la pénurie de personnel n'arrangent rien.
C'est encore de la langue de bois, toujours de la langue de bois "toutes les françaises ne sont pas rousses", "tous les chiens ne mordent pas les facteurs". Et pis, si ton toubib est un con qui se fout de ta gueule quand tu lui parles d'excitation génitale persistante, c'est la faute à la Société et à la Surcharge de travail, bien entendu. Pour un peu, y aurait de quoi rire.... Et blabla, et reblabla. Je vais te dire moi, ce que j'en pense : tout le monde se fout de tout. Chacun pour soi. Dans toutes les professions c'est pareil : tout le monde sait que notre société se barre en couille, et tout le monde s'en fout. Alors, les beaux discours....
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
D'accord avec toi, La Plume. On est tous malades. Tiens, je vais me recoucher.La plume a écrit:T'inquiète pas Bab on est tous des malades psychologiquement.
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Ben voyons ! Ce n'est pas parce que l'on a une "difficulté à..." que l'on est atteint d'une pathologie. Et toutes les pathologies ne sont pas de même niveau. Pas de commune mesure entre une névrose et une psychose...La plume a écrit:T'inquiète pas Bab on est tous des malades psychologiquement.
Quant à la "folie romantique", c'est une autre histoire...
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Non c'est qu'il ne connaît probablement pas puisque ce syndrome a été décrit depuis peu et il semblerait que les traitements ne se bousculent pas. Donc pas ou peu de parutions servant à une information complémentaire...Babylon5 a écrit: Et pis, si ton toubib est un con qui se fout de ta gueule quand tu lui parles d'excitation génitale persistante, c'est la faute à la Société et à la Surcharge de travail, bien entendu.
Au passage il était question de traiter du problème général de la médecine en France... pas de ton cas particulier.
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
- HS:
Sauf que la définition de 'pathologie' est tout à fait variable, en fonction notamment de la gêne engendrée.Bulle a écrit:
Ben voyons ! Ce n'est pas parce que l'on a une "difficulté à..." que l'on est atteint d'une pathologie. Et toutes les pathologies ne sont pas de même niveau. Pas de commune mesure entre une névrose et une psychose...La plume a écrit:T'inquiète pas Bab on est tous des malades psychologiquement.
Quant à la "folie romantique", c'est une autre histoire...
-interprete- Maître du Temps
- Nombre de messages : 614
Date d'inscription : 22/11/2011
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
- HS:
Non.interprete a écrit:Sauf que la définition de 'pathologie' est tout à fait variable, en fonction notamment de la gêne engendrée.
Dernière édition par Bulle le Jeu 22 Déc 2011 - 20:38, édité 1 fois
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
- HS:
Et après on m'appelle "monsieur je-sais-tout"...Bulle a écrit:
Non.interprete a écrit:Sauf que la définition de 'pathologie' est tout à fait variable, en fonction notamment de la gêne engendrée.
Classifier un certain état comme une maladie est un fait social d'évaluation. Ainsi, certains états ne sont reconnus comme des maladies que dans certaines cultures, ou à certaines époques, et pas dans d'autres. On parle alors de syndromes culturels. Parfois la catégorisation d'un état comme une maladie est controversé au sein d'une même société. L'hyperactivité et l'obésité sont par exemple des états de plus en plus considérés comme des maladies par l'opinion publique dans les pays occidentaux mais n'étaient pas ainsi considérés il y a encore quelques décennies et ne le sont toujours pas dans certains pays. Depuis le xixe siècle, l'homosexualité a été traitée comme une maladie et est encore considérée comme telle par certains, bien qu'elle ne le soit plus par les psychologues.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie#Polys.C3.A9mie
-interprete- Maître du Temps
- Nombre de messages : 614
Date d'inscription : 22/11/2011
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Baby, on te sent découragée, désespérée . En ce domaine, comme dans beaucoup d'autres, on trouve des spécialistes qui expérimentent...mais n'oublient jamais les honoraires...J'aurais beaucoup à dire sur le sujet, hélas...Ne force surtout pas trop sur les médocs ! On devient vite des zombies. Comme le dit sagement la Plume, on est tous plus ou moins fous . Mais le royaume des cieux nous appartient, qu'il a dit...
Et viens discuter avec nous; nous t'aimons tous et nous ferons le maximum pour te débarrasser de tes années noires . Et tu es si intéressante à lire . Nous apprécions ta poésie et ta sensibilité. Bisous et joyeux Noël !
Et viens discuter avec nous; nous t'aimons tous et nous ferons le maximum pour te débarrasser de tes années noires . Et tu es si intéressante à lire . Nous apprécions ta poésie et ta sensibilité. Bisous et joyeux Noël !
gaston21- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 6875
Localisation : Bourgogne
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : ricanante
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
- @ interprete (HS):
Ben voui mais ce que tu racontes n'a rien à voir avec la définition de "pathologie".interprete a écrit:
Et après on m'appelle "monsieur je-sais-tout"...Bulle a écrit:
Non.interprete a écrit:Sauf que la définition de 'pathologie' est tout à fait variable, en fonction notamment de la gêne engendrée.
Source
Quand on dit que ce n'est pas une pathologie, cela signifie que cela ne concerne pas la médecine. Et l'inverse est valable également, c'est une pathologie, c'est étudiable en tant que tel par la spécialité qui s'occupe de ce type de maladie.
Donc cela concerne ou pas la médecine quelle que soit la gêne engendrée.
Définition plus précise ici
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
- HS:
- Jolie pirouette, Bulle, sauf que je n'ai fait que reprendre le mot pathologie que tu utilisais toi-même dans le sens de maladie, et dont tu viens tout juste de découvrir sur Wikipedia que tu employais ce mot abusivement...
Tu parlais bel et bien de maladie, et c'est à ça que je répondais.
-interprete- Maître du Temps
- Nombre de messages : 614
Date d'inscription : 22/11/2011
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
- HS:
Mais qu'est-ce que tu racontes encore ! J'ai dit très exactement : "ce n'est pas parce que l'on a une "difficulté à..." que l'on est atteint d'une pathologie. Et toutes les pathologies ne sont pas de même niveau. Pas de commune mesure entre une névrose et une psychose...".interprete a écrit:Jolie pirouette, Bulle, sauf que je n'ai fait que reprendre le mot pathologie que tu utilisais toi-même dans le sens de maladie, et dont tu viens tout juste de découvrir sur Wikipedia que tu employais ce mot abusivement...
Tu parlais bel et bien de maladie, et c'est à ça que je répondais.
Je n'ai donc jamais parlé d'un degré de souffrance ou gêne entraîné par une maladie, mais de catégorie. Aucune raison donc pour toi de dévier sur "Sauf que la définition de 'pathologie' est tout à fait variable, en fonction notamment de la gêne engendrée." Parce que la définition de "pathologie" n'est, contrairement à ce que tu affirmes et c'est bien ce que je te fais remarquer pas "tout à fait variable en fonction des effets sur le malade ou la société, mais sur la justification ou non de traitement médical.
Le contexte étant qu'un trait de caractère schizoïde n'a aucun besoin de traitement médical parce que ce n'est pas obligatoirement un symptôme indiquant qu'il y a une "altération de l'état de santé". Et pour aller plus loin, lorsqu'il y a altération, il n'y a pas de commune mesure entre des symtômes de type névrotiques et une schyzophrénie qui est une psychose.
D'où "Classifier un certain état comme une maladie est un fait social d'évaluation etc..." n'a rien, absolument rien à voir puisqu'une pathologie n'a rien à voir avec ce type d'analyse sociétale. D'ailleurs la dernière phrase du paragraphe auquel tu te réfères est parfaitement limpide et aurait du t'éclairer sur la nuance !
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Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Salut Babylon 5
Tu fais quoi ? de la méditation du yoga ? tu te concentre dans certains Chakra ?
C'est possible qui tu aille déréglé quelque chose .. Sont de pratiques qui ont des effets assez importants parfois ..
Moi j'ai souffert de problèmes psychosomatiques , je sortais de Genève tout allait bien , je passais la frontière en rentrant , je commençais a suffoquer .., J'ai réglés mes problèmes d'insatisfaction de ma vie a l'époque et tout c'est réduit du 50 % en suite avec des pullules Homéopathiques tout est disparus .. tout était dû a une mauvaise respiration et méditation , qui avait fait remonter en surface des états latentes de mon subconscient
L'excitation continue , pourrait être que tu n'est pas satisfaite de ton état actuel ( sentimentale) ou tu découvre d'avoir des besoins supérieurs a ce que tu croyait être * raisonnables *, en bref tu as frustré ta réelle nature… et la méditation l'a réveille!
J'étais aussi tout le temps sur.. tension dans la culotte.. mais pour un homme c'est pas gênant , sauf que tu brules des énergies quand tu devrait penser au boulot ou a des choses plus sérieuses .
Theo
Theo55- Maître du Temps
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Date d'inscription : 26/02/2012
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Bonjour,
Je reviens sur le sujet après un long temps d'absence.
J'ai exploré en même temps les deux pistes : la piste spirituelle centrée sur un possible "éveil" de chakra, j'ai même failli aller vers la médecine chamanique après de la thérapie énergétique avec mon hypnothérapeute qui est très branchée là-dessus.
Parallèlement, j'ai vu le spécialiste qui s'oriente vers une compression du nerf, très comparable à la compression du nerf dans le syndrome carpien : rien de mystique là dedans !
Je devais me faire décompresser le nerf par intervention chirurgicale en août, j'ai repoussé l'opération car je voulais encore croire à cet "éveil", suggéré par plusieurs personnes...
Résultat : les symptômes se sont aggravés, du moins leur retentissement psychique. Je ne relativisais plus la douleur, mais partais dans des délires amplificateurs du problème.
Après des mois de questionnement, j'en suis arrivée à prendre LA décision : je vais déjà me faire décompresser le nerf. C'est bizarre, mais depuis que j'ai pris cette décision d'arrêter la masturbation (si j'ose dire....) spirituelle, ça va mieux. J'identifie même le muscle qui réagit, ou je le localise, donc, ça ne m'envahit plus toute la tête comme ça le faisait auparavant.
Je reviens sur le sujet après un long temps d'absence.
J'ai exploré en même temps les deux pistes : la piste spirituelle centrée sur un possible "éveil" de chakra, j'ai même failli aller vers la médecine chamanique après de la thérapie énergétique avec mon hypnothérapeute qui est très branchée là-dessus.
Parallèlement, j'ai vu le spécialiste qui s'oriente vers une compression du nerf, très comparable à la compression du nerf dans le syndrome carpien : rien de mystique là dedans !
Je devais me faire décompresser le nerf par intervention chirurgicale en août, j'ai repoussé l'opération car je voulais encore croire à cet "éveil", suggéré par plusieurs personnes...
Résultat : les symptômes se sont aggravés, du moins leur retentissement psychique. Je ne relativisais plus la douleur, mais partais dans des délires amplificateurs du problème.
Après des mois de questionnement, j'en suis arrivée à prendre LA décision : je vais déjà me faire décompresser le nerf. C'est bizarre, mais depuis que j'ai pris cette décision d'arrêter la masturbation (si j'ose dire....) spirituelle, ça va mieux. J'identifie même le muscle qui réagit, ou je le localise, donc, ça ne m'envahit plus toute la tête comme ça le faisait auparavant.
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Je crois que tu prends la décision la plus raisonnable en effet, en te souhaitant la fin de ce problème...
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Cervantes
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Bonjour Babylon,
je découvre ce fil. Je n'avais jamais entendu parler de ce problème qui semble être essentiellement d' ordre physiologique. Je te remercie pour ce partage, et comme Jipé je pense également que tu prends la décision la plus raisonnable. Peut-être la fin de tes souffrances ? En tout cas, je l'espère de tout mon coeur.
je découvre ce fil. Je n'avais jamais entendu parler de ce problème qui semble être essentiellement d' ordre physiologique. Je te remercie pour ce partage, et comme Jipé je pense également que tu prends la décision la plus raisonnable. Peut-être la fin de tes souffrances ? En tout cas, je l'espère de tout mon coeur.
Ladysan- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 4769
Localisation : Belgique (Wallonie)
Identité métaphysique : Aucune
Humeur : De toutes les couleurs
Date d'inscription : 15/03/2010
Re: Syndrome d'excitation génitale persistante
Merci ladysan,
Oui, 4 ans d'errance médicale. Hospitalisations en HP, les médecins et psychiatres me disant que je cite "il ne faut pas croire tout ce que est dit sur Internet" quand j'ai fait part de mes résultats de recherche sur ce syndrome en trouvant l'association AFAP-NP. Boulot perdu, car psychiatrisation à fond de mon mal, donc accroissement de l'angoisse, puis de la dépression. Cercle infernal dont je compte sortir.
Oui, 4 ans d'errance médicale. Hospitalisations en HP, les médecins et psychiatres me disant que je cite "il ne faut pas croire tout ce que est dit sur Internet" quand j'ai fait part de mes résultats de recherche sur ce syndrome en trouvant l'association AFAP-NP. Boulot perdu, car psychiatrisation à fond de mon mal, donc accroissement de l'angoisse, puis de la dépression. Cercle infernal dont je compte sortir.
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