Photo animalière
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Re: Photo animalière
Erreur de ma part c'est un: Gyps fulvus, un vautour fauve!freefox a écrit:Pourquoi "vautour tueur" DD? En principe c'est un nécrophage.
Ref page 29 du site sus-nommé! Avec la science de mon ami Bastien dit l'Ours, ornithologue, photographe, vice-champion du monde de Sudoku, 25 ans et célibataire...(Bah là c'est pour les dames)!
- Spoiler:
- A oui, si une dame est interessée il faut accepter de vivre dans une grotte et aimer le miel
_dede 95- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Beaucoup de gens ignorent qu'il y a des vautours en France (4 espèces).
lien, cliquez moi
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freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Photo animalière
freefox a écrit:Beaucoup de gens ignorent qu'il y a des vautours en France (4 espèces).
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Re: Photo animalière
Ah trop top !
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Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Photo animalière
Chat (miaou) oui, ch'est top, quit over top in fact
Je pense qu'il s"agit de la chenille du: lien, cliquez moi
Question existentielle essentiellement essentielle dans son essence (sans plomb): Que faisait cette chenille sur du sable?
PS: Et non je n'ai pô fumé!
Je pense qu'il s"agit de la chenille du: lien, cliquez moi
Question existentielle essentiellement essentielle dans son essence (sans plomb): Que faisait cette chenille sur du sable?
PS: Et non je n'ai pô fumé!
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Re: Photo animalière
Alors, oui c bien cette chenille.
Bonne question qui malheureusement restera sans réponse ..!
J'me suis posé la même question.
Que faisait cette chenille sur du sable?
Bonne question qui malheureusement restera sans réponse ..!
J'me suis posé la même question.
Re: Photo animalière
Ha ben lui il n'est plus vivant.
Lui aussi il s'est retrouvé dans le sable, on ne sait pas comment ?
édite : Mais c'est du sable au milieu des terres ou c'est du sable près de l'eau ?
édite 2 : on dirait du sable près de l'eau ; il est plus sombre et fait des cristaux comme le sucre, et surtout sur la photo de la chenille, il est humide car il est compacte par plaques qui partent en morceaux sous le poids de la chenille.
Alors si c'est près de la mer, et ben peut-être que la chenille était sur une branche verdoyante, que celle-ci s'est retrouvée à l'eau pour x raison, que la chenille a traversé la mer sur son radeau en se nourrissant de toutes les feuilles qu'il restait dessus, et qu'ensuite elle s'est échouée sur ce ban de sable.
Lui aussi il s'est retrouvé dans le sable, on ne sait pas comment ?
édite : Mais c'est du sable au milieu des terres ou c'est du sable près de l'eau ?
édite 2 : on dirait du sable près de l'eau ; il est plus sombre et fait des cristaux comme le sucre, et surtout sur la photo de la chenille, il est humide car il est compacte par plaques qui partent en morceaux sous le poids de la chenille.
Alors si c'est près de la mer, et ben peut-être que la chenille était sur une branche verdoyante, que celle-ci s'est retrouvée à l'eau pour x raison, que la chenille a traversé la mer sur son radeau en se nourrissant de toutes les feuilles qu'il restait dessus, et qu'ensuite elle s'est échouée sur ce ban de sable.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Nuage a écrit:
Alors si c'est près de la mer, et ben peut-être que la chenille était sur une branche verdoyante, que celle-ci s'est retrouvée à l'eau pour x raison, que la chenille a traversé la mer sur son radeau en se nourrissant de toutes les feuilles qu'il restait dessus, et qu'ensuite elle s'est échouée sur ce ban de sable.
Oui, c'est près de la mer, t'a pas vue le coquillage.
j'aime bien ton histoire pour la chenille, et comme ça tu répond à la question existentielle de freefox.
Re: Photo animalière
Le coquillage, c'est le truc blanc en bas à droite sur la photo du poisson ?
Ben non je n'ai pas vu le coquillage.
Ha ben si c'est pour la question existentielle, alors peut-être qu'une personne a cassé une branche verdoyante, pour aller s'amuser sur la plage, et que cette personne s'est rendue compte sur sa route qu'il y avait un truc, une sorte de bête rampante sur celle-ci, et que "berk", d'une poutchinette elle l'a expulsé de son accessoire pour la jeter au sol, et que la chenille s'est retrouvée au milieu de ce ban de sable et essaye désespérément de rejoindre la verdure.
Elle allait dans le bon sens au moins ? Elle avait déjà croisé le poisson ?
Ben non je n'ai pas vu le coquillage.
Ha ben si c'est pour la question existentielle, alors peut-être qu'une personne a cassé une branche verdoyante, pour aller s'amuser sur la plage, et que cette personne s'est rendue compte sur sa route qu'il y avait un truc, une sorte de bête rampante sur celle-ci, et que "berk", d'une poutchinette elle l'a expulsé de son accessoire pour la jeter au sol, et que la chenille s'est retrouvée au milieu de ce ban de sable et essaye désespérément de rejoindre la verdure.
Elle allait dans le bon sens au moins ? Elle avait déjà croisé le poisson ?
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Et peut-être même que la personne n'a pas cassé de branche du tout, et qu'en faite elle est passée sous une branche par des sentiers battus, et que faisant le casse-cou, sous le choc la chenille est tombée de son refuge pour atterrir sur la personne, et qu'une fois sur la plage, "berk y'a un truc sur moi", et hop la chenille se retrouve sur un ban de sable.
P'têtre que la chenille n'était pas sur une branche verdoyante près de la plage, et qu'elle a fait le voyage sur le panier ou le seau du bac à sable de la personne ....
Et le poisson, le poisson est mort de quoi ?
P'têtre que la chenille n'était pas sur une branche verdoyante près de la plage, et qu'elle a fait le voyage sur le panier ou le seau du bac à sable de la personne ....
Et le poisson, le poisson est mort de quoi ?
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Peut-être était-ce un goéland ou bien une mouette qui ayant saisi de leur bec la chenille, une fois dans les airs se dit que finalement ce met aura mauvais goût et relâcha la bestiole PAF!
Sur le sable le poisson en vacance au bord de la plage qui nageait tranquillement sur le sable, surpris par l'impact impromptu mourut d'une crise cardiaque.
Orthon qui passait dans le coin-coin prit les clichés sans réaliser les drames qui qui ont eu lieu.
Sur le sable le poisson en vacance au bord de la plage qui nageait tranquillement sur le sable, surpris par l'impact impromptu mourut d'une crise cardiaque.
Orthon qui passait dans le coin-coin prit les clichés sans réaliser les drames qui qui ont eu lieu.
freefox- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Photo animalière
Grande manif cochonesque ce Dimanche:
Heu on est sur une nationale, je le précise, ne riez pas!
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_dede 95- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Lol !freefox a écrit:Peut-être était-ce un goéland ou bien une mouette qui ayant saisi de leur bec la chenille, une fois dans les airs se dit que finalement ce met aura mauvais goût et relâcha la bestiole PAF!
Sur le sable le poisson en vacance au bord de la plage qui nageait tranquillement sur le sable, surpris par l'impact impromptu mourut d'une crise cardiaque.
Orthon qui passait dans le coin-coin prit les clichés sans réaliser les drames qui qui ont eu lieu.
Surtout si c'est la même mouette dont Orthon tordait le cou et qui l'a pincé à la main.
- NB:
- Pourquoi je ne peux plus mettre de bleu sur le lien "mouette" ? En plus maintenant tout apparait tout pret sans les balises de code. Je n'ai pourtant pas changé la fonction du A dans le formatage du texte ni le mode d'édition.
Moi maintenant c'est tout prêt quand je rédige : je vois les smileys, les mots en lien sans l'adresse. Ce qui est super bien soit dit en passant. Mais justement ce dernier (le mot en lien) apparait en violet et surligné. Mais quand je visualise avant impression, c'est écrit normalement sans couleur particulière et sans surlignage. Le lien fonction bien, mais on ne sait pas que c'est un lien. Et surtout impossible d'y mettre une couleur.
- édite:
- Ha bon sang, j'ai trouvé où était l'erreur. Ca avait pris le bleu mais en codes sur l'extérieur de chaque côté du lien, plutôt qu'à l'intérieur de celui-ci encadrant le mot.
Mais du coup la balise A du mode d'édition avait bien été basculé. Y'a un truc qui m'a changé la balise pendant la nuit .... !
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Nuage a écrit:Orthon qui passait dans le coin-coin prit les clichés sans réaliser les drames qui ont eu lieu.
Surtout si c'est la même mouette dont Orthon tordait le cou et qui l'a pincé à la main.
Moi je prends les photos et point.
Et pour la mouette je ne lui tordait pas le cou, je lui sauvais la vie.
Elle c'est prise dans mon fil de pêche, donc je l'ai dépatouillé,
puis pose pour une petite photo, et direction la liberté.
Re: Photo animalière
Hiiiiiiiiiiiii j'adore te taquiner Orthon ....
Mais ouiii j'ai bien vu que tu ne lui tordais pas le cou (t'es sûre ?), et qu'avec ta main sûre tu la tenais affectueusement
N'empêche que si ça se trouve, c'est la même mouette qui a lâché la chenille sur la plage .... C'était le même jour ?
Alors en faite la mouette avait pris la chenille, quand elle a vu de beaux poissons au loin dans les profondeurs, et elle a lâché la chenille ......
Non attends je recommence.
La mouette après le choc de s'être prise dans le filet pour les poissons, s'est retranchée sur les chenilles un temps, puis l'appel du large a repris le dessus, et a lâché la chenille.
Non ça ne va pas.
Bon Orthon, t'attends quoi pour raconter la suite de l'histoire .... ?
Edite :
Ha ça y est j'y suis.
..... donc après s'être retranchée sur les chenilles, qui par ailleurs est un met délicat, mais à petites doses car ça ne rassasie pas son oiseau, la mouette aperçoit sur la plage la carcasse du poisson, et là le déclic, n'en pouvant plus, lâche la chenille pour aller plonger dans les eaux poissonneuses, avant de devenir comme le poisson affamé et asfixié d'aller à contre-sens ....
Mais ouiii j'ai bien vu que tu ne lui tordais pas le cou (t'es sûre ?), et qu'avec ta main sûre tu la tenais affectueusement
N'empêche que si ça se trouve, c'est la même mouette qui a lâché la chenille sur la plage .... C'était le même jour ?
Alors en faite la mouette avait pris la chenille, quand elle a vu de beaux poissons au loin dans les profondeurs, et elle a lâché la chenille ......
Non attends je recommence.
La mouette après le choc de s'être prise dans le filet pour les poissons, s'est retranchée sur les chenilles un temps, puis l'appel du large a repris le dessus, et a lâché la chenille.
Non ça ne va pas.
Bon Orthon, t'attends quoi pour raconter la suite de l'histoire .... ?
Edite :
Ha ça y est j'y suis.
..... donc après s'être retranchée sur les chenilles, qui par ailleurs est un met délicat, mais à petites doses car ça ne rassasie pas son oiseau, la mouette aperçoit sur la plage la carcasse du poisson, et là le déclic, n'en pouvant plus, lâche la chenille pour aller plonger dans les eaux poissonneuses, avant de devenir comme le poisson affamé et asfixié d'aller à contre-sens ....
Dernière édition par Nuage le Mer 10 Oct 2012 - 0:12, édité 3 fois (Raison : orthographes, conjugaisons ....)
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Bon à Dede maintenant !
Alors Dede, racontes-nous l'histoire des cochons sur la route nationale ...
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Il était une fois trois petits cochons qui vivaient avec leur maman dans une petite chaumière. Un jour, La maman appela ses trois fils et leur dit qu’elle ne pouvait plus les élever parce qu’elle était trop pauvre.
Quand à la route Nationale ceci est une autre histoire!
- Spoiler:
- - « Je voudrais que vous partiez d’ici et construisiez votre maison, dit-elle, mais prenez garde qu’elle soit bien solide pour que le grand méchant loup ne puisse entrer et vous manger. »
La maman embrassa ses trois petits cochons et leur dit au revoir les larmes aux yeux. Ils s’en allèrent de chez eux construire leurs maisons.
Le premier petit cochon rencontra un homme portant une botte de paille.
- « Puis-je avoir un peu de paille pour construire ma maison ? » demanda le petit cochon.
Et l’homme lui donna de la paille.
Le second petit cochon avait rencontré un homme qui portait un chargement de bois.
- « Puis-je avoir quelques bouts de bois pour construire ma maison ? » demanda le petit
cochon.
Et l’homme lui donna le bois.
Le troisième petit cochon, lui avait rencontré un homme chargé de briques.
- »S’il vous plaît, Monsieur, demanda le troisième petit cochon, puis-je avoir quelques briques pour construire ma maison ? »
L’homme lui donna assez de briques pour bâtir une grande et solide maison.
Les trois petits cochons rentraient joyeusement chez eux quand le grand méchant loup les aperçut.
- « Comme ils doivent être tendres ! Lequel vais-je manger en premier ? Je vais commencer par le petit cochon dans la maison de paille ! »
Il frappa à la porte.
- « Petit cochon, gentil petit cochon, laisses-moi entrer ! »
- « Non, Non ! Par le poil de mon petit menton ! »
- « Alors, je vais souffler et ta maison s’envolera ! »
Le loup gonfla ses joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de paille s’envola.
- « Au secours ! » cria le premier petit cochon en courant vers la maison de bois de son frère.
A peine celui-ci eut-il refermé la porte que le loup frappa.
- « Petits cochons, gentils petits cochons, laissez-moi entrer ! »
- « Non, non! Par le poil de nos petits mentons ! » répondirent les deux frères.
- « Alors je vais souffler, souffler, et votre maison s’envolera ! »
Le loup se gonfla les joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de bois s’envola.
- « Au secours ! » crièrent les deux petits cochons en courant aussi vite que possible vers la maison de briques de leur frère.
- « Ici, vous ne risquez rien ! » leur dit-il.
Bientôt, la voix du loup résonna.
- « Petits cochons, gentils petits cochons, je peux entrer ? »
- « Non, non ! Par le poil de nos petits mentons ! »
- « Alors, vous allez voir, hurla le loup, je vais souffler sur votre maison, et je vais la démolir ! »
Il prit alors sa plus profonde respiration et souffla comme un fou. Mais cette fois-ci, il ne réussit pas à mettre la maison par terre.
Cela rendit le loup fou furieux. Il decida de passer par la cheminée de la petite maison.
Pendant ce temps, le troisième petit cochon qui était très rusé, alluma un grand feu dans la cheminée et y posa un chaudron rempli d’eau.
Quand le loup descendit dans la cheminée, il tomba tout droit dedans.
Il poussa un hurlement qu’on entendit à des kilomètres à la ronde et repartit comme il était venu, par la cheminée.
On n’entendit plus jamais parler de lui.
Quand à la route Nationale ceci est une autre histoire!
_dede 95- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Ha ben Dede, je croyais que tu allais raconter l'histoire des cochons sur la route nationale.
Ce que je remarque dans ton histoire des trois petits cochons, c'est que le loup pour entrer dans les maisons et s'emparer des cochons, à chaque fois il souffle dessus pour la démolir, qu'elle soit en paille, en bois ou en briques. Il varie juste l'intensité de son souffle.
Ce n'est qu'une fois que cela ne marche pas, ses capacités de souffle n'étant pas suffisantes, qu'il décide de recourir à un autre stratagème, rentrer par la cheminée pour s'y introduire à défaut de la faire s'effondrer.
On aurait pu penser pour l'histoire, que le narrateur aurait adapté un moyen suivant les matériaux de construction, comme le feu pour le bois, car après tout le bois est plus solide que la paille.
Mais non, c'est la résistance des matériaux face à un même élément, le souffle, et son intensité.
Ce que je remarque dans cette histoire, c'est que les petits cochons construisent leur maison en fonction de ce qui se présente sur leur chemin. Et ce sans chercher plus loin.
Un matériau pour chaque maison.
A l'image du loup, les cochons utilisent la seule donnée qu'ils ont en leur possession et ce jusqu'à ce que cela ne marche plus.
Toujours à l'image du loup, les cochons vont utiliser leur ressources par ordre croissant : le cochon de la maison de paille va se réfugier dans la maison de bois, et une fois celle-ci à terre, ils vont se réfugier dans la maison en briques du troisième cochon.
Et une fois ensemble dans la même maison, le loup utilisant un autre stratagème pour réussir à entrer, les trois cochons vont eux aussi mettre en place une parade de défense.
Il est juste oublié d'être dit dans l'histoire, que c'est grâce à la paille et aux bois dont étaient couvert respectivement les deux premiers cochons, qu'ils ont pu allumer un feu dans la cheminée.
Le troisième petit cochon était-il plus doué que les deux autres pour avoir une maison qui tienne mieux aux attaques du loup ?
Non, ce n'était qu'une question de circonstance : lui a rencontré un homme qui transportait des briques.
Par contre il était sûre que sa maison résisterait à l'attaque du souffle du loup, puisqu'il l'a dit à ses frères quand ceux-ci se sont réfugiés chez lui.
Est-ce vraiment la paille et le bois qui se trouvaient accrochés sur les deux premiers cochons, qui a servi à allumer le feu ?
Pas si sûre que ça. Peut-être étaient-ils déjà en place dans la cheminée.
Mais alors le troisième petit cochon aurait fait une démarche de chercher d'autres éléments que les briques ... ? Du moins pour y accessoiriser l'intérieur de sa maison.
De plus il a construite une grande maison, à l'inverse de ses deux frères (c'est écrit dans le scénario en précisant pour le troisième).
Etait-ce en prévision de recueillir ses deux frères le moment voulu ?
Pas si sûre que ça, car c'est l'homme qui lui a donné les briques, et ce en grande quantité alors qu'il n'en demandait qu'un peu, qui lui a permis de construire celle-ci de cette taille là.
Alors finalement, les hommes que les petits cochons ont rencontré, et qui leur ont fourni les matériaux en leur possession, sont des éléments primordiales de l'histoire.
Primordiale à plusieurs niveaux : ceux sont les bases de la construction de l'histoire.
- Sans ces hommes sur le chemin, les petits cochons auraient dût recourir à d'autres moyens et ressources (démarches) pour construire leurs maisons. Peut-être au bout du compte se seraient-ils réunis pour construire celle-ci.
- Ces hommes et leurs matériaux respectif à chaque cochon, pose un élément à la fois, la paille, le bois, la brique, et ça en est le fil conducteur et la mesure (associé au souffle du loup) de l'histoire.
- Et ces hommes, intrigants, ont donné à chacun ce qui leur correspondait. Plus de brique au troisième pour une maison plus grande.
Etait-ce aussi voulu que ce soit le troisième qui rencontre la personne qui ait les briques, le deuxième le bois, et le premier la paille ?
Maman cochon trop pauvre ne pouvant plus les élever, leur dit qu'il fallait qu'ils s'élèvent maintenant eux-même, et ce en commençant par construire ce qui va être leur refuge, leur base de vie.
Les trois hommes rencontrés sont vraiment des personnages très intrigants ....
Ce que je remarque dans ton histoire des trois petits cochons, c'est que le loup pour entrer dans les maisons et s'emparer des cochons, à chaque fois il souffle dessus pour la démolir, qu'elle soit en paille, en bois ou en briques. Il varie juste l'intensité de son souffle.
Ce n'est qu'une fois que cela ne marche pas, ses capacités de souffle n'étant pas suffisantes, qu'il décide de recourir à un autre stratagème, rentrer par la cheminée pour s'y introduire à défaut de la faire s'effondrer.
On aurait pu penser pour l'histoire, que le narrateur aurait adapté un moyen suivant les matériaux de construction, comme le feu pour le bois, car après tout le bois est plus solide que la paille.
Mais non, c'est la résistance des matériaux face à un même élément, le souffle, et son intensité.
Ce que je remarque dans cette histoire, c'est que les petits cochons construisent leur maison en fonction de ce qui se présente sur leur chemin. Et ce sans chercher plus loin.
Un matériau pour chaque maison.
A l'image du loup, les cochons utilisent la seule donnée qu'ils ont en leur possession et ce jusqu'à ce que cela ne marche plus.
Toujours à l'image du loup, les cochons vont utiliser leur ressources par ordre croissant : le cochon de la maison de paille va se réfugier dans la maison de bois, et une fois celle-ci à terre, ils vont se réfugier dans la maison en briques du troisième cochon.
Et une fois ensemble dans la même maison, le loup utilisant un autre stratagème pour réussir à entrer, les trois cochons vont eux aussi mettre en place une parade de défense.
Il est juste oublié d'être dit dans l'histoire, que c'est grâce à la paille et aux bois dont étaient couvert respectivement les deux premiers cochons, qu'ils ont pu allumer un feu dans la cheminée.
Le troisième petit cochon était-il plus doué que les deux autres pour avoir une maison qui tienne mieux aux attaques du loup ?
Non, ce n'était qu'une question de circonstance : lui a rencontré un homme qui transportait des briques.
Par contre il était sûre que sa maison résisterait à l'attaque du souffle du loup, puisqu'il l'a dit à ses frères quand ceux-ci se sont réfugiés chez lui.
Est-ce vraiment la paille et le bois qui se trouvaient accrochés sur les deux premiers cochons, qui a servi à allumer le feu ?
Pas si sûre que ça. Peut-être étaient-ils déjà en place dans la cheminée.
Mais alors le troisième petit cochon aurait fait une démarche de chercher d'autres éléments que les briques ... ? Du moins pour y accessoiriser l'intérieur de sa maison.
De plus il a construite une grande maison, à l'inverse de ses deux frères (c'est écrit dans le scénario en précisant pour le troisième).
Etait-ce en prévision de recueillir ses deux frères le moment voulu ?
Pas si sûre que ça, car c'est l'homme qui lui a donné les briques, et ce en grande quantité alors qu'il n'en demandait qu'un peu, qui lui a permis de construire celle-ci de cette taille là.
Alors finalement, les hommes que les petits cochons ont rencontré, et qui leur ont fourni les matériaux en leur possession, sont des éléments primordiales de l'histoire.
Primordiale à plusieurs niveaux : ceux sont les bases de la construction de l'histoire.
- Sans ces hommes sur le chemin, les petits cochons auraient dût recourir à d'autres moyens et ressources (démarches) pour construire leurs maisons. Peut-être au bout du compte se seraient-ils réunis pour construire celle-ci.
- Ces hommes et leurs matériaux respectif à chaque cochon, pose un élément à la fois, la paille, le bois, la brique, et ça en est le fil conducteur et la mesure (associé au souffle du loup) de l'histoire.
- Et ces hommes, intrigants, ont donné à chacun ce qui leur correspondait. Plus de brique au troisième pour une maison plus grande.
Etait-ce aussi voulu que ce soit le troisième qui rencontre la personne qui ait les briques, le deuxième le bois, et le premier la paille ?
Maman cochon trop pauvre ne pouvant plus les élever, leur dit qu'il fallait qu'ils s'élèvent maintenant eux-même, et ce en commençant par construire ce qui va être leur refuge, leur base de vie.
Les trois hommes rencontrés sont vraiment des personnages très intrigants ....
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Photo animalière
Comment ça tourner la tête ? Tu veux dire retourner le cerveau ?
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Re: Photo animalière
Nuage a écrit:Comment ça tourner la tête ? Tu veux dire retourner le cerveau ?
Impossible, je n'ai pas de cerveau.
Nuage- Seigneur de la Métaphysique
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