Qui a peur du point G ?
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Qui a peur du point G ?
Le titre de ce fil est celui d'un livre que je viens de commencer : "Qui a peur du point G", d'Odile Buisson et Pierre Foldès (éditions Jean-Claude Gasewitch). La préface d'Israël Nisand pose bien la problématique, à mon avis. J'ai pris la peine de la saisir (en ne supprimant que quelques phrases des développements pour que ce ne soit pas trop long). cela vaut la peine de faire un effort de lecture, et d'en discuter, que l'on soit d'accord ou pas...
Ce fil est aussi en relation avec le fil "Maîtriser ses désirs", où je suis intervenue ces derniers temps et où se posait la question de la fonction de la sexualité (en "oubliant" un peu au passage la sexualité féminine, d'où mon questionnement, ici-même) :
Ce fil est aussi en relation avec le fil "Maîtriser ses désirs", où je suis intervenue ces derniers temps et où se posait la question de la fonction de la sexualité (en "oubliant" un peu au passage la sexualité féminine, d'où mon questionnement, ici-même) :
Israël Nisand a écrit:
Il n’y a que parmi les femmes qui ont souffert de l’être que l’on trouve les vraies féministes. Odile Buisson a dû souffrir d’être femme dans son enfance pour enfourcher avec une telle véhémence ses sujets de prédilection. […] Et ce qui la fâche le plus, c’est le silence pudique de la faculté de médecine sur l’anatomie féminine et surtout sur le fonctionnement des organes du plaisir féminin. Et les esprits chagrins Véritable continent noir de la médecine, la fonction orgastique de la femme n’a tout simplement pas été étudiée. Comme si ce sujet n’était pas vraiment digne d’intérêt. Comme si on se ridiculisait en en faisant sa thématique scientifique. Et pourquoi alors tant de recherches sur l’érection masculine, pourquoi tous ces médicaments mis en œuvre pour les hommes en difficulté alors que les femmes sont laissées pour compte. Et cette critique est de plus en plus fondée.
Non contente de critiquer ce déficit flagrant, elle s’est retroussé les manches avec Pierre Foldès, urologue Bien connu du monde médical pour sa réparation des mutilations sexuelles féminines, et s’est mise au travail, contre vents et marées, pour décrire le comportement du clitoris pendant les rapports sexuels en utilisant un outil qu’elle maîtrise remarquablement l’échographie. […] Et les esprits chagrins, dont j’ai été, de dire : « Mais à quoi sert d’étudier le clitoris pendant un rapport sexuel ? » La réponse est simple : le savoir et la connaissance priment l’action médicale. Connaître la fonction du clitoris pendant l’orgasme pourrait aider à comprendre la dysfonction orgastique qui peut ruiner une vie et détruire un couple. […]
Alors la vraie question que se posent certains est de savoir s’il faut traiter les dysfonctionnements orgastiques de la femme. Et cette question atteste d’une certaine misogynie résiduelle chez nombre de médecins. Quelle est la fonction de l’orgasme féminin dans l’espèce humaine ? Le masculin est indispensable à la sacro-sainte reproduction, seule légitimité avouable de la sexualité. Mais le (orgasme) féminin, totalement inutile à la pérennité de l’espèce ne serait-ce pas de la concupiscence à l’état pur ? […] Ce plaisir bien plus ample, qu’on peut répéter à l’envi sans être bridé par cette fichue période réfractaire. Ce plaisir, subtil mélange d’organique et de psychologique où l’éjaculation n’occupe pas le devant de la scène et où donc rien n’est visible. Ce plaisir-là, il faut le maîtriser, voire l’empêcher, voire même, pour s’approprier totalement la femme, la priver totalement de l’envied’en avoir en la mutilant avant qu’elle ait pu le découvrir.
Nous sommes bien dans la même galère, mais il y a des premières et des secondes. Et partout sur la planète, c’est bien les femmes qui sont en secondes. Partout, les femmes meurent en couches par milliers, partout elles assument l’irresponsabilité des hommes. […] Les hommes sont terrorisés par les femmes, origine de la vie masculine et féminine, et je ne suis pas loin de penser que les ressources orgastiques des femmes, bien plus évoluées que celles des hommes, ne sont pas pour rien dans cette angoisse existentielle du monde masculin.
Cacher la femme, cacher son visage et ses formes qui sont capables de faire bouger les organes intimes des hommes sans qu’ils puissent le contrôler. Cacher cette honte de démon, source de plaisir masculin qui pourrait aussi le rationner si on leur donnait la liberté.
La question de la jouissance féminine est bien centrale dans l’immense problème commun à toute l’humanité, la maltraitance des femmes. Sujet tabou s’il en est, l’enjeu de son étude est donc de redonner à la femme ses droits et entre autres de revendiquer, comme les hommes le font, un plaisir sexuel capable de contribuer à leur épanouissement sans se faire au passage invectiver par la gent masculine plus soucieuse de maîtrise des corps que de bien-être des femmes. […]
Re: Qui a peur du point G ?
QUEL est ton pb?
Je ne lis jamais les textes trop long, pourrais tu concentrer ta pensée en qq lignes??Ce serait gentil!
Je ne lis jamais les textes trop long, pourrais tu concentrer ta pensée en qq lignes??Ce serait gentil!
nuage bleu- Maître du Relatif et de l'Absolu
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Re: Qui a peur du point G ?
nuage bleu a écrit:QUEL est ton pb?
Je ne lis jamais les textes trop long, pourrais tu concentrer ta pensée en qq lignes??Ce serait gentil!
Je n'ai pas de problème, désolée. Je soumets ce texte (qui n'est pas "ma" pensée) parce que je pense qu'il est intéressant comme départ d'une discussion sur la peur masculine face à la sexualité féminine. Il s'agit donc d'une discussion générale sur les implications sociétales, religieuses, psychologiques de cette notion (dont je n'affirme pas au départ qu'elle est vraie). Cela ne peut pas être résumé en deux, voire dix lignes, car je risquerais de déformer en voulant trop concentrer.
Curieusement, je ne vois aucun témoignage, réponse, questionnement des Messieurs, ni des Dames d'ailleurs, tu est le (?) seul à avoir réagi, je t'en remercie vivement.
Pour la difficulté à lire les textes trop longs.... Peut-être est-ce un problème d'hypo-cognitivité ?
Cordialement
Re: Qui a peur du point G ?
texte trop long aussi pour moi, parce que le sujet ne me passionne pas.parce que je pense qu'il est intéressant comme départ d'une discussion sur la peur masculine face à la sexualité féminine
Mais cette phrase que j'ai citée me fait penser à un livre très !intéressant du Docteur Leleu, je crois me souvenir qu'il parlait aussi de la jalousie de l'homme par rapport à la sexualité "totale" de la femme, mais c'est une erreur puisqu'il peut aussi y arriver. Il explique très bien que le régime matriarcal régnait dans les sociétés où l'homme ne connaissait pas sa participation dans la création du fœtus. Les femmes étaient toutes puissantes, prêtresses, etc. Quand l'homme a cru qu'il posait "la petite graine", il a pris sa revanche et a écrasé la femme.
Je ne sais pas s'il faut tout ramener à la sexualité: c'est un ensemble: l'homme craint la femme parce qu'elle le subjugue, elle porte les enfants, il est dépendant d'elle pour sa sexualité à lui, il est frustré quand il n'arrive pas à la faire jouir et doit faire des efforts pour en être capable, tout cela sont évidemment des vues qu'il faut dépasser.
"La mâle peur" Gérard Leleu. Marabout lien
Lila- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Qui a peur du point G ?
Le point G, la masturbation le fait découvrir naturellement , à l'adolescence, bien avant le premier round en compagnie masculine. Et la première expérience est décevante, parcequ'il y a la peur de la défloration .
Après, ça roule: on s'apprend et le plaisir devient un partage qui se perfectionne au fil des mois, ou on ne le trouve pas et je ne pense pas que le point G soit le coupable : on peut toujours guider son partenaire et là ... ou il n'éveille pas le désir nécessaire .
Contrairement à l'opinion répandue, le désir de la femme conditionne, je crois, l'épanouissement du couple .
Après, ça roule: on s'apprend et le plaisir devient un partage qui se perfectionne au fil des mois, ou on ne le trouve pas et je ne pense pas que le point G soit le coupable : on peut toujours guider son partenaire et là ... ou il n'éveille pas le désir nécessaire .
Contrairement à l'opinion répandue, le désir de la femme conditionne, je crois, l'épanouissement du couple .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Re: Qui a peur du point G ?
Bonjour Lila,
C'est sûr que si un sujet ne passionne pas, c'est plus difficile de le lire. Je te remercie donc pour ton effort !
Je dois dire que de même pour moi, les textes longs sur la spiritualité et la métaphysique ne m'attirent pas vraiment tous même si je me suis inscrite ici...
Le lien fourni par Leleu est très intéressant, le résumé du livre correspond peu ou prou à un des questionnements sous-jacents à la publication de ce fil. Je conseille à ceux et celles qui ont l'envie de participer d'y aller voir.
Dans ce fil, la question est aussi abordé sous l'angle médical et biologique : qu'est-ce que l'orgasme féminin ? Quelles sont les similitudes / différences avec l'orgasme masculin ?
Voilà, j'espère avoir été plus claire.
C'est sûr que si un sujet ne passionne pas, c'est plus difficile de le lire. Je te remercie donc pour ton effort !
Je dois dire que de même pour moi, les textes longs sur la spiritualité et la métaphysique ne m'attirent pas vraiment tous même si je me suis inscrite ici...
Le lien fourni par Leleu est très intéressant, le résumé du livre correspond peu ou prou à un des questionnements sous-jacents à la publication de ce fil. Je conseille à ceux et celles qui ont l'envie de participer d'y aller voir.
Dans ce fil, la question est aussi abordé sous l'angle médical et biologique : qu'est-ce que l'orgasme féminin ? Quelles sont les similitudes / différences avec l'orgasme masculin ?
Voilà, j'espère avoir été plus claire.
Re: Qui a peur du point G ?
J'ai lu ce texte, je suis allé sur internet pour voir son auteur, Israël Nisand. Bardé de diplôme et cumulard dans son domaine, à la recherche de la reconnaissance publique je pense, incroyable de pouvoir s'occuper vraiment de toutes ses fonctions ! en 24H. C'est que je le trouve bien amer envers les hommes. Il leur reproche tous les maux.... .Rien à dire, un frustré peut-être, homo refoulé ?
Dernière édition par raphael-rodolphe le Dim 27 Fév 2011 - 11:59, édité 1 fois
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Re: Qui a peur du point G ?
Vaste sujet...je rectifie un peu, il n'y a pas de "point" G mais une "zone" en principe plus sensible, qui peut être la racine du clitoris.
Après, le rapport du plaisir féminin et la vue que l'homme en a, on peut en écrire des pages et des pages...
Une raison toute fois de la difficulté d' admettre chez l'homme le plaisir que peut avoir la/sa femme, doit être cherché dans le rapport psycho-affectif fils (enfant) et mère...ect...
Après, le rapport du plaisir féminin et la vue que l'homme en a, on peut en écrire des pages et des pages...
Une raison toute fois de la difficulté d' admettre chez l'homme le plaisir que peut avoir la/sa femme, doit être cherché dans le rapport psycho-affectif fils (enfant) et mère...ect...
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Cervantes
Re: Qui a peur du point G ?
Iraël Nissan n'est pas l'auteur,raphael-rodolphe a écrit:J'ai lu ce texte, je suis allé sur internet pour voir son auteur, Israël Nisand. Bardé de diplôme et cumulard dans son domaine, à la recherche de la reconnaissance publique et si je dis cela, c'est que je le trouve bien amer envers les hommes. Il leur reproche tous les maux.... .Rien à dire, un frustré peut-être, homo refoulé ?
Re: Qui a peur du point G ?
On en sait encore très peu sur le Point G : les premières échographies du comportement des organes génitaux féminins avant / pendant le coït ne remontent qu'à 2008, c'est ce qu'écrit Odile Buisson, pionnière dans ce domaine avec le docteur Foldès. Apparemment, ce "point G" existerait. N'importe quelle femme à même d'avoir un orgasme le dira car elle le sent : ce n'est pas une simple zone "plus" sensible, mais "hyper-sensible" (un peu comme le gland chez l'homme)Jipé a écrit:Vaste sujet...je rectifie un peu, il n'y a pas de "point" G mais une "zone" en principe plus sensible, qui peut être la racine du clitoris.
Après, le rapport du plaisir féminin et la vue que l'homme en a, on peut en écrire des pages et des pages...
Une raison toute fois de la difficulté d' admettre chez l'homme le plaisir que peut avoir la/sa femme, doit être cherché dans le rapport psycho-affectif fils (enfant) et mère...ect...
Oui, c'est certainement une des raisons, d'ailleurs ce que j'aime bien dans le livre d'Odile Buisson c'est qu'elle n'exclue aucune approche, un peu comme savent le faire les américains ou autres pays anglo-saxons (et même les Italiens) qui concilient et enrichissent comportementalisme, psychanalyse, biologie, neuro-biologie, sociologie,etc...
En France, on ne sait pas concilier : les psychanalystes vous font du "tout est dans l'inconscient", etc... C'est dommage pour le progrès.
On peut écrire des pages et des pages sur des sujets à mon avis moins brulants et importants tels que "Jésus-Christ a t-il existé" Personnellement, je trouve qu'une discussion sur un sujet qui touche tout le monde (la sexualité -ici féminine) peut apporter davantage à tout le monde (à moins d'être moine ou autre style de vie excluant la sexualité).
Re: Qui a peur du point G ?
Je pense que le sexe plus exactement la sexualité est un sujet vaste et très intéressant, mais je dois dire que je ne suis pas attiré par ce titre de sujet "qui a peur du point G".
Alors qui à peur ? et ... pourquoi avoir peur .... ? les femmes ont peur ? les hommes ? pourquoi auraient-ils peur ? .
Je ne vois pas...
Alors qui à peur ? et ... pourquoi avoir peur .... ? les femmes ont peur ? les hommes ? pourquoi auraient-ils peur ? .
Je ne vois pas...
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Qui a peur du point G ?
Quelques commentaire sur le passage cité (pour l'instant) !
Mais hélàs pas que chez l'homme, chez la femme (athée ou pas d'ailleurs : puisqu'on est athée dans la tête mais pas vraiment dans le corps, ou pas tout de suite...) également : la femme ne sait pas demander ce dont elle a besoin : avoir du plaisir "c'est pas bien", ce n'est pas "sérieux", pas "naturel" ; ce qui est bien et sérieux et naturel c'est de faire des enfants et mieux, d'enfanter dans la douleur...
Alors si la femme ne sait pas accepter son plaisir, pourquoi aurait-on cherché à mieux comprendre, qui plus est de manière officielle et scientifique ?
On est en plein dans le fonctionnel : exit la notion de plaisir, l'essentiel est de pouvoir procréer.Et pourquoi alors tant de recherches sur l’érection masculine, pourquoi tous ces médicaments mis en œuvre pour les hommes en difficulté alors que les femmes sont laissées pour compte. Et cette critique est de plus en plus fondée.
Gros avantage des femmes qui cette chance d'avoir plus facilement des orgasmes répétitifs.Ce plaisir bien plus ample, qu’on peut répéter à l’envi sans être bridé par cette fichue période réfractaire.
C'était d'ailleurs un des moyens de contraception recommandé par les sages femmes avant la sainte invention de la pilule : avoir l'air d'une piche pour ne pas exciter le désir de son conjoint. Donc cacher sa beauté, toute séduction...Cacher la femme, cacher son visage et ses formes qui sont capables de faire bouger les organes intimes des hommes sans qu’ils puissent le contrôler. Cacher cette honte de démon, source de plaisir masculin qui pourrait aussi le rationner si on leur donnait la liberté.
Héritage judéo-chrétien !La question de la jouissance féminine est bien centrale dans l’immense problème commun à toute l’humanité, la maltraitance des femmes. Sujet tabou s’il en est, l’enjeu de son étude est donc de redonner à la femme ses droits et entre autres de revendiquer, comme les hommes le font, un plaisir sexuel capable de contribuer à leur épanouissement sans se faire au passage invectiver par la gent masculine plus soucieuse de maîtrise des corps que de bien-être des femmes. […]
Mais hélàs pas que chez l'homme, chez la femme (athée ou pas d'ailleurs : puisqu'on est athée dans la tête mais pas vraiment dans le corps, ou pas tout de suite...) également : la femme ne sait pas demander ce dont elle a besoin : avoir du plaisir "c'est pas bien", ce n'est pas "sérieux", pas "naturel" ; ce qui est bien et sérieux et naturel c'est de faire des enfants et mieux, d'enfanter dans la douleur...
Alors si la femme ne sait pas accepter son plaisir, pourquoi aurait-on cherché à mieux comprendre, qui plus est de manière officielle et scientifique ?
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Re: Qui a peur du point G ?
Pourquoi mettre dos à dos les hommes et les femmes ? Lorsque l'on s'occupe d'un problème masculin, ce n'est au détriment des problèmes féminins ou des femmes !Et pourquoi alors tant de recherches sur l’érection masculine, pourquoi tous ces médicaments mis en œuvre pour les hommes en difficulté alors que les femmes sont laissées pour compte. Et cette critique est de plus en plus fondée.
Cette critique est manipulatrice, non constructive, elle vise à diviser encore une fois les sexes au mépris des problèmes des uns et des unes. Faut-il aider les hommes seulement lorsque l'on peut aider également les problèmes des femmes, ou inversement ?
Mais si on commence par un sexe, c'est mépriser l'autre alors. Bref, rien ne se ferait avec ces idées là.
La suite du texte est du même ordre, c'est dommage, ça nuit à la construction en part égal de ce sujet intéressant.
J'ai commencé à découper ce texte afin de relever ces inepties partisanes, mais j'ai renoncé; je suis agacé par les tentatives de manipulations mentales, se gâchis basées sur des frustrations personnels aux mépris (et c'est le comble pour moi) des réels problèmes et questions qui sont posés sur ce "point G".
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Qui a peur du point G ?
Je pense que l' inconscient a une place énorme dans nos comportements . La sexualité et surtout le plaisir sexuel a été l'objet de répression par les religions, et ceci depuis
2000 ans . La situation a bien changé depuis une quarantaine d' années, mais il faudra encore un certaint temps pour nous libérer de cette aliénation . Et alors, le point G servira de détonateur...
2000 ans . La situation a bien changé depuis une quarantaine d' années, mais il faudra encore un certaint temps pour nous libérer de cette aliénation . Et alors, le point G servira de détonateur...
bernard1933- Aka Tpat
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Qui a peur du point G ?
Bonjour Raphaeil-rodolphe,
J'essaye de te répondre point par point, ta réponse est intéressante déjà parce qu'elle pose le "problème" ; du côté de l'agacement, certes, mais c'est un sujet délicat.
Ne confondons pas -une fois encore- le préfacier et l'auteur. le préfacier dit lui-même qu'au départ il ne voyait pas l'intérêt de s'intéresser au plaisir féminin : peut-être a t-il l'ardeur des convertis ? En tout cas j'ai déjà pas mal avancé dans le livre lui-même, l'auteur n'oppose pas les hommes aux femmes dans la première partie que j'ai lue (environ 1/3 du bouquin).
Enfin, tu mentionnes les "réel problèmes et questions posées sur le point G : quels sont-ils donc alors ? (Soyons constructifs)
J'essaye de te répondre point par point, ta réponse est intéressante déjà parce qu'elle pose le "problème" ; du côté de l'agacement, certes, mais c'est un sujet délicat.
Je crois l'avoir déjà dit, mais je dois le répéter : hélas, ce n'est pas l'auteur de la préface qui met les hommes dos-à-dos. Il y a une "guerre" qui ne dit pas son nom depuis bien avant les christianisme ou le judaïsme contre les femmes. Dans les pays dit "évolués", ça va à peu près maintenant, nous (hommes et femmes) peuvent penser à une réconciliation... Mais ce n'est pas le cas partout. Tu ne peux pas nier, si tu prends de la distance, que les femmes sont / ont été opprimées simplement parce qu'elles sont / étaient femmes. Le mot "sexisme" est proche par la racine et le sens de "racisme".raphael-rodolphe a écrit:
Pourquoi mettre dos à dos les hommes et les femmes ? Lorsque l'on s'occupe d'un problème masculin, ce n'est au détriment des problèmes féminins ou des femmes !
Ne confondons pas -une fois encore- le préfacier et l'auteur. le préfacier dit lui-même qu'au départ il ne voyait pas l'intérêt de s'intéresser au plaisir féminin : peut-être a t-il l'ardeur des convertis ? En tout cas j'ai déjà pas mal avancé dans le livre lui-même, l'auteur n'oppose pas les hommes aux femmes dans la première partie que j'ai lue (environ 1/3 du bouquin).
Ce qui indigne le préfacier (et aussi l'auteur qui en a subi les déboires en tant que chercheur, ce n'est pas que les scientifiques français (je précise) aient commencé par l'homme : c'est qu'ils aient refusé de s'intéresser aux femmes jusqu'au jour ou deux chercheurs (les deux auteurs) ont fait du forcing pour obtenir le droit de publication de leurs recherches. Il y a une mauvaise volonté objective de la communauté scientifique et médicale française. C'est donc normal de se demander "pourquoi" ?Mais si on commence par un sexe, c'est mépriser l'autre alors. Bref, rien ne se ferait avec ces idées là.
J'ai souligné ce que je ne comprends pas. Une première réaction serait de dire "tu exagères" ; mais je me trompe peut-être, c'est ce que tu ressens et peut-être as-tu raison ? Copie-colle alors les passages les plus flagrant de "manipulation mentale" (je ne vois pas trop ce que tu veux dire, je pensais que c'est réservé aux sectes et aux hommes politiques). Il me semble qu'on manipule les autres pour atteindre un but précis : quel serait-il donc ?La suite du texte est du même ordre, c'est dommage, ça nuit à la construction en part égal de ce sujet intéressant.
J'ai commencé à découper ce texte afin de relever ces inepties partisanes, mais j'ai renoncé; je suis agacé par les tentatives de manipulations mentales, se gâchis basées sur des frustrations personnels aux mépris (et c'est le comble pour moi) des réels problèmes et questions qui sont posés sur ce "point G".
Enfin, tu mentionnes les "réel problèmes et questions posées sur le point G : quels sont-ils donc alors ? (Soyons constructifs)
Re: Qui a peur du point G ?
Il me semble que le courant judéo-chrétien est venu renforcer avec une vigueur nouvelle un "guerre contre les femmes" qui remonte à plus loin dans le passé : voir notamment la civilisation héllénistique qui sous ses dehors très démocrates n'était pas vraiment favorable aux femmes (ni aux "barbares" d'ailleurs). Cette simple question sur la sexualité féminine (donc : le pourquoi du comment) débouche inévitablement sur une question concernant l'évolution de l'humanité dès (en gros) la fin de la préhistoire...Bulle a écrit:
Héritage judéo-chrétien !
Ce n'est pas une question uniquement liée à l'athéisme ou à la croyance en Dieu, même si la religion chrétienne est venu renforcer la tendance ; il y a belle lurette que dans nos campagnes les gens ne pratiquent plus la religion (j'ai un exemple précis mais ne veux pas parler de mon "histoire"). Pourtant, le sexe, dans les années 50/60, c'était "sale", "honteux", "vicieux", mais encore bien plus sale, vicieux et honteux pour les filles que pour les garçons... (exemple précis que je ne conterai pas sauf si on me le demande instamment pour que je montre ma bonne foi). Heureusement on n'en est plus vraiment là, mais on est dans l'effet inverse : la pornographie qui "chosifie" la femme mais également l'homme, et qui est abordable dès l'enfance (Internet, vidéos, magasines...)Mais hélàs pas que chez l'homme, chez la femme (athée ou pas d'ailleurs : puisqu'on est athée dans la tête mais pas vraiment dans le corps, ou pas tout de suite...) également : la femme ne sait pas demander ce dont elle a besoin : avoir du plaisir "c'est pas bien", ce n'est pas "sérieux", pas "naturel" ; ce qui est bien et sérieux et naturel c'est de faire des enfants et mieux, d'enfanter dans la douleur...
Alors si la femme ne sait pas accepter son plaisir, pourquoi aurait-on cherché à mieux comprendre, qui plus est de manière officielle et scientifique ?
La fin de ton post me fait penser à "qui vient le premier : l'œuf ou la poule" ?
Re: Qui a peur du point G ?
[quote="raphael-rodolphe"]
En ajoutant le sexiste de la personne qui a écrit ce texte..., ça ma mis en pétard ! . Mais j'ai peut-être tord ou exagéré les faits...
Je trouve que tous les sujets qui traitent des problèmes de l'homme et de la femme sont souvent, trop souvent mis à dos à dos, comme adversaires, opposées, minorés en s'appuyant sur l'autre... et c'est dommage pour comprendre, apprendre ....
Ouf ! ça va mieux, j'me soigne ! un supo et hop !! au lit !!!.
Merci Babylon5 pour tes réflexions et précisions. Voilà ce qui me fait "hérisser le poil", c'est cette façon de faire passer une pensée personnelle (surement partagée par d'autres, mais pas universellement tout de même) pour une vérité absolue, voir partagée par tous, ceci étant devenu non plus une pensée mais un fait indéniable, indiscutable dans les faits et c'est à partir de cette critique "fondée" (donc indiscutable ?) que le débat est basé.Et pourquoi alors tant de recherches sur l’érection masculine, pourquoi tous ces médicaments mis en œuvre pour les hommes en difficulté alors que les femmes sont laissées pour compte. Et cette critique est de plus en plus fondée.
En ajoutant le sexiste de la personne qui a écrit ce texte..., ça ma mis en pétard ! . Mais j'ai peut-être tord ou exagéré les faits...
Je trouve que tous les sujets qui traitent des problèmes de l'homme et de la femme sont souvent, trop souvent mis à dos à dos, comme adversaires, opposées, minorés en s'appuyant sur l'autre... et c'est dommage pour comprendre, apprendre ....
Ouf ! ça va mieux, j'me soigne ! un supo et hop !! au lit !!!.
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Qui a peur du point G ?
RR,
j'ai l'impression que tu amplifies un peu le problème...
Il y a de nos jours dans nos pays dits "modernes", la possibilité de parler assez ouvertement de problèmes sexuels, de couples, de relations en général.
Il y a des sexologues, des conseillers conjugaux, des psys qui font bien leur travail, qui ne culpabilisent personne, qui écoutent et essayent de mettre en évidence, les blocages, les non-dits destructeurs, voire la violence physique, verbale etc...
Je ne crois pas qu'aujourd'hui nous puissions dire que lorsqu'un couple à des difficultés, c'est la faute de LA femme ou de L' homme, les choses sont toujours bien plus compliquées, que ça soit dans la relation affective ou/et sexuelle.
j'ai l'impression que tu amplifies un peu le problème...
Il y a de nos jours dans nos pays dits "modernes", la possibilité de parler assez ouvertement de problèmes sexuels, de couples, de relations en général.
Il y a des sexologues, des conseillers conjugaux, des psys qui font bien leur travail, qui ne culpabilisent personne, qui écoutent et essayent de mettre en évidence, les blocages, les non-dits destructeurs, voire la violence physique, verbale etc...
Je ne crois pas qu'aujourd'hui nous puissions dire que lorsqu'un couple à des difficultés, c'est la faute de LA femme ou de L' homme, les choses sont toujours bien plus compliquées, que ça soit dans la relation affective ou/et sexuelle.
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Cervantes
Re: Qui a peur du point G ?
Bonjour Raphael-Rodolphe,
Je comprends mieux ta réaction maintenant que tu l'as expliquée. Effectivement le préfacier n'y va pas avec le dos de la cuillère. Peut-on le taxer de "sexisme à l'envers" ? Je veux dire, homme qui prends systématiquement le parti des femmes -comme il existe du "racisme à l'envers" -"Français bien blanc "pur jus" qui excuse tout acte inadmissible s'il s'agit de gens d'origine maghrébine ou africaine sous prétexte d'être anti-raciste. Moi aussi, ça me hérisse le poil !
Cependant, pour ta citation de Isarêl Nisan :
Il ne s'agit pas d'une idée personnelle (hélas), mais d'une constatation objective ; tape dans Google (je l'ai fait) "orgasme féminin", "étude du clitoris", etc.... tu ne trouveras rien de sérieux et scientifique, sinon en anglais, donc des publications de chercheurs étrangers. C'est normal que tu ne t'en rende pas compte, mais des milliers de femmes souffrent de troubles du fonctionnement sexuel sans trouver de réponse médicale appropriée, y-compris de certains sexologues, qui ne connaissent et ne soignent bien que les troubles de l'érection masculine. Dans la plupart des cas, elles n'obtiennent que des sourires ironiques quand elles en parlent à leur médecin.... Alors, Stop !
C'est un fait réel que les milieux médicaux et scientifiques français ont tout fait pour bloquer la recherche dans ce domaine. Il n'y a donc pas "manipulation", mais exaspération légitime d'un scientifique.
Je répète que pour se faire une idée du contenu, il vaut mieux lire le livre et ne pas s'arrêter à la préface. On peut le commander sur Internet, chez son libraire, pour une somme accessible (moins de 20 €). Ceci dit je ne fais pas de pub, je pense simplement que c'est un bouquin à lire pour qui veut parler de sexualité en se basant sur du sérieux. (Il y a peut-être d'autres publications, mais je connais pas, ce livre m'a été recommandé par mon médecin).
Ma conclusion à propos de notre échange : il démontre que nous autres, hommes et femmes raisonnables, pouvons (et devrions) arriver à un vrai dialogue et à une compréhension mutuelle. C'est un de mes objectifs, justement : positiver...
Je comprends mieux ta réaction maintenant que tu l'as expliquée. Effectivement le préfacier n'y va pas avec le dos de la cuillère. Peut-on le taxer de "sexisme à l'envers" ? Je veux dire, homme qui prends systématiquement le parti des femmes -comme il existe du "racisme à l'envers" -"Français bien blanc "pur jus" qui excuse tout acte inadmissible s'il s'agit de gens d'origine maghrébine ou africaine sous prétexte d'être anti-raciste. Moi aussi, ça me hérisse le poil !
Cependant, pour ta citation de Isarêl Nisan :
Raphaël Nisan a écrit: Et pourquoi alors tant de recherches sur l’érection masculine, pourquoi tous ces médicaments mis en œuvre pour les hommes en difficulté alors que les femmes sont laissées pour compte. Et cette critique est de plus en plus fondée.
Il ne s'agit pas d'une idée personnelle (hélas), mais d'une constatation objective ; tape dans Google (je l'ai fait) "orgasme féminin", "étude du clitoris", etc.... tu ne trouveras rien de sérieux et scientifique, sinon en anglais, donc des publications de chercheurs étrangers. C'est normal que tu ne t'en rende pas compte, mais des milliers de femmes souffrent de troubles du fonctionnement sexuel sans trouver de réponse médicale appropriée, y-compris de certains sexologues, qui ne connaissent et ne soignent bien que les troubles de l'érection masculine. Dans la plupart des cas, elles n'obtiennent que des sourires ironiques quand elles en parlent à leur médecin.... Alors, Stop !
C'est un fait réel que les milieux médicaux et scientifiques français ont tout fait pour bloquer la recherche dans ce domaine. Il n'y a donc pas "manipulation", mais exaspération légitime d'un scientifique.
Je répète que pour se faire une idée du contenu, il vaut mieux lire le livre et ne pas s'arrêter à la préface. On peut le commander sur Internet, chez son libraire, pour une somme accessible (moins de 20 €). Ceci dit je ne fais pas de pub, je pense simplement que c'est un bouquin à lire pour qui veut parler de sexualité en se basant sur du sérieux. (Il y a peut-être d'autres publications, mais je connais pas, ce livre m'a été recommandé par mon médecin).
Ma conclusion à propos de notre échange : il démontre que nous autres, hommes et femmes raisonnables, pouvons (et devrions) arriver à un vrai dialogue et à une compréhension mutuelle. C'est un de mes objectifs, justement : positiver...
Re: Qui a peur du point G ?
Heureusement qu'il y a eu du progrès, Jipé. Cependant, faut faire attention : d'une manière générale, je l'ai vu en tant qu'enseignante, il y a un risque de régression sociale et sexuelle dans les couches populaires de la société, où la virginité, la "pureté" de la jeune fille, la soumission à l'homme reviennent sournoisement sur le devant de la scène, et pas que chez les vilains musulmans intégristes comme on a trop tendance à le croire.
Rien n'est jamais acquis, c'est comme la démocratie, qui ne s'use que si l'on ne s'en sert pas. Ainsi, dire que le "féminisme c'est ringard", c'est la même chose que de dire "défendre les Droits de l'Homme", c'est ringard. C'est aussi ça que j'aimerais faire passer à l'occasion de cette discussion... (Je pense qu'il faudrait un autre fil dans une section "sociologie", mais le sujet est déjà venu sur le tapis je crois et n'a pas eu un franc succès...)
Rien n'est jamais acquis, c'est comme la démocratie, qui ne s'use que si l'on ne s'en sert pas. Ainsi, dire que le "féminisme c'est ringard", c'est la même chose que de dire "défendre les Droits de l'Homme", c'est ringard. C'est aussi ça que j'aimerais faire passer à l'occasion de cette discussion... (Je pense qu'il faudrait un autre fil dans une section "sociologie", mais le sujet est déjà venu sur le tapis je crois et n'a pas eu un franc succès...)
Re: Qui a peur du point G ?
Merci pour ton ouverture d'esprit Babylon5, comme le dit Jipé, il est possible que j'ai exagéré un peu... juste un peuBabylon5 a écrit: tape dans Google (je l'ai fait) "orgasme féminin", "étude du clitoris", etc.... tu ne trouveras rien de sérieux et scientifique,
Je me suis rencardé un peu (encore ?) sur la sexualité des femmes. Dés que j'ouvre une revue féminine, je ne trouve que ça ! hormis l'horoscope indissociable d'une revue qui se respecte, je ne trouve que des sujets traitant du sexe (là, j'exagère juste un petit peu...). Le sexe sous toutes les coutures (sous-vêtements), comment faire l'amour, se masturber...et je trouve cela bien pour l'information perso. Je ne sais pas ce qu'il en est sur le plan scientifique, il est vrai.
Mais si l'on traite très largement de ménopause dans ces revues ou d'autres concernant le troisième âges, on ne parle jamais, jamais de la sexualité de l"homme, du contrôle de la prostate (sauf dans ces revues féminines), même si le problème de l'érection est traité c'est dans les revues féminines pour palier à la sexualité de la femme.
Mais qui parle de l'andropause en part égal avec la ménopause ? Qui peut dire de mémoire, les signes premiers, les effets, conséquences.... ? Combien d'hommes savent ce qu'est l'andropause ? et de femmes ? Et la médication pour soulager, aider ? ....
J'arrête là, je suis HS en fait. Je laisse le débat se lancer pour poser peut-être quelques questions.
raphael-rodolphe- Aka L'Arbre Qui A La Tête Dans Les Etoiles
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Re: Qui a peur du point G ?
Oui, c'est vrai, on dit partout que l'andropause est un mythe, que c'est dans la tête. Je ne sais pas ce qu'il en est. Si c'est un phénomène simplement biologique, on pourrait penser que ça n'existe pas comme chez la femme qui ne peut plus concevoir d'enfants après la ménopause : les hommes, eux peuvent se reproduire jusqu'à un âge avancé (voir en particulier Monsieur Charlie Chaplin).
Pour ma part je n'en sais rien... Sexualité est reproduction n'étant pas strictement liés dans notre espèce évoluée, il se peut que les hommes de la cinquantaine subissent aussi leur part de bouleversements bio-chimiques vers les cinquante ans (crise de la cinquantaine ? "Démon de midi" ?). Cela mériterait la création d'un nouveau fil de discussion.... A toi l'honneur ?
Pour ma part je n'en sais rien... Sexualité est reproduction n'étant pas strictement liés dans notre espèce évoluée, il se peut que les hommes de la cinquantaine subissent aussi leur part de bouleversements bio-chimiques vers les cinquante ans (crise de la cinquantaine ? "Démon de midi" ?). Cela mériterait la création d'un nouveau fil de discussion.... A toi l'honneur ?
Re: Qui a peur du point G ?
L' andropause, késako ? Je laisse à Jipé le soin d' en parler ; en la matière, il est plus instruit que moi . Personnellement, je n'y crois pas . La bête fatigue avec l' âge, c' est normal . On saute moins haut ...et il faut davantage d' élan...Mais c' est très progressif ! Le démon de midi ? Oui, et, le vilain, il m' a conduit fort loin ! Mais c' est la prise de conscience que le temps passe, et pas que le temps... Mais à 50 ans, on est encore jeune . Si je fais le bilan global de mon existence, je fixe le top à 60 ans ! Après, on amorce la descente...irrémédiable, en chantant " Plus près de toi, mon Dieu... ! "
bernard1933- Aka Tpat
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Re: Qui a peur du point G ?
Eh ! Ben, voilà un témoignage masculin for intéressant....
- Spoiler:
- Euh... Et tu as quel âge au juste ?
Re: Qui a peur du point G ?
si si ça existe Bernard...je vais dans la partie ouverte sur le sujet par RR
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Cervantes
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