la maîtrise de sa vie
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Re: la maîtrise de sa vie
Les noyaux de résistance francaise ont été réalisé par des personnes qui échappaient à la règle de milgram ...et on encouragé d'autres à résister.
Soyez vigilant,ce genre de règle va devenir monnaie courrante et ce sans que l'état débourse un euros...
Et voilà pourquoi Magnus les suprêmes des suprêmes modos me rappelle sa démagogie, que j'enfrains continuellement..pauvre lui
Désolé grand chef ...amour et bisous ,de me laissé libre d'être comme je suis ...je te respecte
Soyez vigilant,ce genre de règle va devenir monnaie courrante et ce sans que l'état débourse un euros...
Et voilà pourquoi Magnus les suprêmes des suprêmes modos me rappelle sa démagogie, que j'enfrains continuellement..pauvre lui
Désolé grand chef ...amour et bisous ,de me laissé libre d'être comme je suis ...je te respecte
_pandore- EXCLUE DU FORUM
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Re: la maîtrise de sa vie
Autre manipulation et règle exercé envers et contre les droit de la personne et qui sont injuste
Hitler :,Interdit aux juifs de monter à bord
d'autobus public,d'acheter dans certains magasin,et oblige aux juif de s'identifier en portant une étoile visible,oblige les juif à vivre dans un coin de la ville ...ce sont des exemple excercé par l'état qui prouve que de donner ce type reglémentation envers des individus,race(NOIR) pas de bus ,juif religion,coutume ou habitude...
ou LA CIGARETTE ou sexe ou boisson(prohibition) vous voyez ...est un premier pas,un entre deux , vers la guerre ,une récession économique et la morts ...Plus tard il y aura d'autres règles,jusqu'è ce qu'il passe à l'action et mette en prison les personnes,les oblige à travailler,où à vivre dans une certaine partis de la ville!
Les gens obéissent,aux règles car ils ont peur...
Donc les gens s'éloigne des personnes qui vive l'enfer de la nouvelle règle...NOUS ON PARLE DE CIGARETTE.
Les lieux et les interdictions de fumer ,sont des règles injuste qui font souffrir des individus...
Les gens s'éloigne d'eux car maintenant la règle à dit: LA FUMÉE SECONDAIRE TUE!
Les fumeurs se retrouve privé de vivre avec leur goût,il se retrouve banni en tout les lieux ,interdiction,interdiction,interdiction..
Mais la souffrance est pire car imaginez-vous
Tout le monde ,étrangé ,que vous ne connaissez pas ,vous répète la règle (comme si vous étiez un enfants) il se prenne pour des policiers,des bonne âme(en vous le disant gentillement)on ils sont anti-cigarette de vraie zélé ,il vous injure,vous dise toutes sortes de commentaire plus ou moins poli et plus ou moins gentil et ce partout ,en tout temps et en tout lieux...
Le fumeur est isolé et seul...car il est nuisance pour tous ...imaginez-vous ,à quel point la personne recoit de pression
Le fumeur ou le juif ou le noir ,on déjà connu ce que c'est ,ce qui se cache sous ses lois,et
ils savent que lorsqu'un état vote ,contre les droits de la personne (ÇA SENS LA SOUPE CHAUDE!)
prochaine guerre....
Hitler :,Interdit aux juifs de monter à bord
d'autobus public,d'acheter dans certains magasin,et oblige aux juif de s'identifier en portant une étoile visible,oblige les juif à vivre dans un coin de la ville ...ce sont des exemple excercé par l'état qui prouve que de donner ce type reglémentation envers des individus,race(NOIR) pas de bus ,juif religion,coutume ou habitude...
ou LA CIGARETTE ou sexe ou boisson(prohibition) vous voyez ...est un premier pas,un entre deux , vers la guerre ,une récession économique et la morts ...Plus tard il y aura d'autres règles,jusqu'è ce qu'il passe à l'action et mette en prison les personnes,les oblige à travailler,où à vivre dans une certaine partis de la ville!
Les gens obéissent,aux règles car ils ont peur...
Donc les gens s'éloigne des personnes qui vive l'enfer de la nouvelle règle...NOUS ON PARLE DE CIGARETTE.
Les lieux et les interdictions de fumer ,sont des règles injuste qui font souffrir des individus...
Les gens s'éloigne d'eux car maintenant la règle à dit: LA FUMÉE SECONDAIRE TUE!
Les fumeurs se retrouve privé de vivre avec leur goût,il se retrouve banni en tout les lieux ,interdiction,interdiction,interdiction..
Mais la souffrance est pire car imaginez-vous
Tout le monde ,étrangé ,que vous ne connaissez pas ,vous répète la règle (comme si vous étiez un enfants) il se prenne pour des policiers,des bonne âme(en vous le disant gentillement)on ils sont anti-cigarette de vraie zélé ,il vous injure,vous dise toutes sortes de commentaire plus ou moins poli et plus ou moins gentil et ce partout ,en tout temps et en tout lieux...
Le fumeur est isolé et seul...car il est nuisance pour tous ...imaginez-vous ,à quel point la personne recoit de pression
Le fumeur ou le juif ou le noir ,on déjà connu ce que c'est ,ce qui se cache sous ses lois,et
ils savent que lorsqu'un état vote ,contre les droits de la personne (ÇA SENS LA SOUPE CHAUDE!)
prochaine guerre....
Dernière édition par pandore le Jeu 17 Fév 2011 - 17:25, édité 1 fois
_pandore- EXCLUE DU FORUM
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Re: la maîtrise de sa vie
Pandore:
Je suis pour l'interdiction totale des cigarettes à l'extérieur de chez soi !
oui et le non-fumeur reçoit sa fumée dans la gueule...Le fumeur est isolé et seul...car il est nuisance pour tous ...imaginez-vous ,à quel point la personne recoit de pression
Je suis pour l'interdiction totale des cigarettes à l'extérieur de chez soi !
_________________
- Méfie-toi du boeuf par devant, de la mule par derrière et du moine de tous les côtés.
Cervantes
Re: la maîtrise de sa vie
Écoute Jipé ,j'ai écouté des centaines d'émission et lu plusieurs livres sur la guerre et j'ai visité des musée de la guerre et j'avais un ami francais du nord pas de calais (les chtimies)
Je sais de quoi je parle ...
Le monde après 70 ans ,ne s'intéresse plus aux éléments premier qui s'excerce juste avant une guerre ,très peu on lu sur le sujet,
très peu se souvienne mais moi si...
Ma famille du coté du père est d'origine allemande,alors pourquoi vivons-nous au canada selon toi ?
Ils se sont expatrié par pour rien ...
Voté des règlements sur les habitudes et modes de vie et religion et alcool et cigarette et agir contre des indivus de la société c'est mal !
Il ne s'agit pas d'avoir la tête dans les étoiles et de rêver...Cette loi ne respecte pas le droit de la personne ,elle un outrage à la personne !
Si je te dit ne pas manger de jambon est un outrage à la personne ,ou ne pas boire est un outrage,ou ne pas exercer tel religion est un outrage et enfrain les droits de la personne...
Comprends-tu mieux !
Les règlements des droits de la personnes
Les règlement de la convention de genève
Sont en perte de vitesse et non respecté ...
Je sais de quoi je parle ...
Le monde après 70 ans ,ne s'intéresse plus aux éléments premier qui s'excerce juste avant une guerre ,très peu on lu sur le sujet,
très peu se souvienne mais moi si...
Ma famille du coté du père est d'origine allemande,alors pourquoi vivons-nous au canada selon toi ?
Ils se sont expatrié par pour rien ...
Voté des règlements sur les habitudes et modes de vie et religion et alcool et cigarette et agir contre des indivus de la société c'est mal !
Il ne s'agit pas d'avoir la tête dans les étoiles et de rêver...Cette loi ne respecte pas le droit de la personne ,elle un outrage à la personne !
Si je te dit ne pas manger de jambon est un outrage à la personne ,ou ne pas boire est un outrage,ou ne pas exercer tel religion est un outrage et enfrain les droits de la personne...
Comprends-tu mieux !
Les règlements des droits de la personnes
Les règlement de la convention de genève
Sont en perte de vitesse et non respecté ...
_pandore- EXCLUE DU FORUM
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Date d'inscription : 23/01/2010
Re: la maîtrise de sa vie
Personne n'empêche les fumeurs de fumer. Du moment qu'ils le font en solitaire pour ne pas empoisonner les autres.
Si les gens avaient un minimum de respect pour autrui, il n'y aurait d'ailleurs pas besoin de faire de loi...
Si les gens avaient un minimum de respect pour autrui, il n'y aurait d'ailleurs pas besoin de faire de loi...
Tibouc- Seigneur de la Métaphysique
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Humeur : Chevalier Solitaire
Date d'inscription : 15/02/2009
Re: la maîtrise de sa vie
Qu'il y a-t-il d'imposé* dans l'absence de règle ?
En gros, ce que tu dis c'est qu'une règle qui dit (par exemple) "vous pouvez vous baigner ou non" serait une "règle" plus contraignante que "vous ne pouvez pas vous baigner" ou "vous devez vous baigner" ?
Quel cheminement logique permet d'affirmer que l'absence de règle (ne pas dire quoi que ce soit sur le fait de pouvoir se baigner ou non) est une règle* ?
Dire "vous pouvez vous baignez ou non" n'est pas la même chose que de ne rien dire du tout.
Il y a une différence entre proposer des choix et laisser choisir. Entre une absence réel de règle et dire ceci n'est pas une règle.
Tu reprends même le terme de règle pour dire l'absence de règle. règle qui dit (par exemple) "vous pouvez vous baigner ou non".
Tu comprends la confusion ? on en sort pas.
La nature est pleine de règles, ce n'est pas nous qui avons inventer ce principe.
Si nous avons inventer d'autres règles, c'était en partit dans l'idée d'être libre de l'arbitraire naturel.
Pas de bol, nous inventons de plus en plus de règles pour nous protéger de cet arbitraire, à défaut de le comprendre.
La cage c'est nous qui l'avons dessiner pour sortir de la jungle.
De la cage nature à la cage domestique.
Décréter qu'il n'y a pas de règles ce serait nié qu'aujourd'hui nous sommes pris entre nature et culture, deux règles différentes.
Tu semble bien respecter les règles de langage, ainsi que les faire respecter.
"L'absence de règle" est alors davantage pour celui qui connaissant la règle peut la dépasser que pour celui qui l'ignore mais qui pourtant y sera soumis.
Y a-t-il un sens à la vie, autre que celui que tu te donnes de façon illusoire ?
Il n'y a pas de sens de la vie universel... Nous ne sommes que des animaux dont la seule capacité réelle est de coller des concepts à tout et n'importe quoi. Nous nous donnons l'illusion de donner un "sens" à notre vie alors que nous ne faisons que de tourner en rond dans une cage.
Elle (La liberté de choix) nous donne justement la possibilité de "combattre" cette frustration qui consiste à tourner en rond dans notre cage.
Au moins la satisfaction qu'au lieu de faire des ronds en ligne droites,
on peut y rajouter nombre d'arabesque qui nous chante. Et surtout, d'y mettre un terme quand on le désire.
Tu considère que nous sommes en cage, que c'est une fatalité, et que notre liberté consiste a nourrir la bête pour ne pas qu'elle s'ennuie ?
Je considère aussi que nous sommes en cage, que ce n'est pas une fatalité mais une chance de maîtriser la bête et ses besoins, pour tendre à s'affranchir de la cage.
Ce n'est pas universel puisque cela ne peut qu'être un sens humain, et qui n'est plus tout à fait animal.
(tu remarquera que la cage est un concept et que tourner en rond est un sens que tu lui donne, là non plus on n'échappe pas au fait de donner du sens, même quand on veut pas en donner. Penser c'est toujours inventer du sens).
C'est ça, au nom de la "communication entre les hommes", je vais m'interdire de manger du porc ou de faire des enfants sans être marié...
Non ce n'est pas ça, la communication ce n'est pas à priori pour interdire ni pour obligé mais pour le sens du partage entre autres, qui ne peut se faire sans échange d'informations.
Avorter parce que la femme veut se concentrer sur sa carrière,
se faire euthanasier parce qu'on estime que c'est la seule solution pour vaincre la souffrance que l'on vit,
décider de plonger ou non dans la piscine, manger du porc,
faire la grasse matinée le matin, décider du métier qu'on va faire,
qu'est ce qui va à l'encontre du "vivre ensemble" ?
Au nom, donc, de cette "associabilisation", on devrait donc accepter que des personnes tierces décident pour nous ce qui est bon et mauvais. Sachant par ailleurs, que le libre choix n'empêche en aucun cas d'avoir des relations sociales...
Au nom de rien, la relation est un choix mutuel.
Cela se décide ensemble de ce qui est bon ou pas, mais encore faut-il que ce soit un vrai partenariat et non pas un système de cultes individuels.
Qu'on le veuille ou non nous sommes lié les uns aux autres, donc limiter ses activités sociales ou les multiplier ne change rien à la donne.
c'est la qualité de la relation qui importe, à commencé avec soi-même.
les personnes habituées à être seules et qui s'en accommodent très bien, vous remercient pour leur avoir imposé vos notions sociales de "bien" et de "mal".
Qu'ai je imposer ?
Je ne dit que mes constats.
Même supposé seul nous sommes dans un environnement.
Je ne dit pas que s'associer s'est bien et que se dissocier c'est mal, cette question ne se pose même pas,
puisque la solitude ne peut se trouver que dans la tête, et encore...d'où la liberté individuelle...?
Je ne vois pas en quoi avorter, s'euthanasier, décider pour sa carrière, vivre solitairement est un quelconque rapport avec la consommation. Je doute que l'on aborde l'achat d'une lessive de la même manière que l'on gère sa vie du mieux possible pour soi même.
J'aimerais que ce ne soit pas le cas, mais la consommation ne concerne pas seulement la lessive, mais tout ce dont nous avons besoin pour vivre.
Gérer sa vie ne peut pas se faire sans gérer ses besoins.
Te rends tu compte que ce que tu écrits est contradictoire ?
A partir du moment qu'il y a des options qui répondent à tes souhaits,
c'est que tu les as souhaitées...
Je me suis mal exprimé, je parlais de déplacer le besoin (et le manque) là où il n'était pas.
Je ne peux pas dire que j'ai souhaité quelquechose si je n'en avais pas conscience avant qu'il se présente.
Mais un fois qu'il se présente et selon comment il se présente je peux être séduit et me laisser convaincre que j'en ai besoin.
Enfin, je doute qu'aller à Disneyland ait un quelconque rapport avec la maîtrise de sa vie. C'est très réductionniste comme façon de voir les choses...La maîtrise de sa vie englobe bien plus de choses que le simple divertissement...
Oui réduire le désir à un divertissement est une vision réductionniste.
C'est pourtant le mouvement de ce système, la société du spectacle est toujours en représentation, non ?
Elle s'est juste diversifié (culturellement) et sophistiqué (techniquement) pour englober davantage.
La consommation est une préoccupation de la société, parceque sur elle repose l'économie qui est censée garantir confort et sécurité qui répondent à l'instinc de survie et aux besoins affectifs.
Nous y participons tous du big boss devant sa planisphère au sdf qui fait la manche,
et que certains en tirent profits au détriments des autres.
Libre à toi bien sûr de penser que ce système n'est pas un problème, et dans ce cas il n'y a pas lieu d'en discuter.
En gros, ce que tu dis c'est qu'une règle qui dit (par exemple) "vous pouvez vous baigner ou non" serait une "règle" plus contraignante que "vous ne pouvez pas vous baigner" ou "vous devez vous baigner" ?
Quel cheminement logique permet d'affirmer que l'absence de règle (ne pas dire quoi que ce soit sur le fait de pouvoir se baigner ou non) est une règle* ?
Dire "vous pouvez vous baignez ou non" n'est pas la même chose que de ne rien dire du tout.
Il y a une différence entre proposer des choix et laisser choisir. Entre une absence réel de règle et dire ceci n'est pas une règle.
Tu reprends même le terme de règle pour dire l'absence de règle. règle qui dit (par exemple) "vous pouvez vous baigner ou non".
Tu comprends la confusion ? on en sort pas.
La nature est pleine de règles, ce n'est pas nous qui avons inventer ce principe.
Si nous avons inventer d'autres règles, c'était en partit dans l'idée d'être libre de l'arbitraire naturel.
Pas de bol, nous inventons de plus en plus de règles pour nous protéger de cet arbitraire, à défaut de le comprendre.
La cage c'est nous qui l'avons dessiner pour sortir de la jungle.
De la cage nature à la cage domestique.
Décréter qu'il n'y a pas de règles ce serait nié qu'aujourd'hui nous sommes pris entre nature et culture, deux règles différentes.
Tu semble bien respecter les règles de langage, ainsi que les faire respecter.
"L'absence de règle" est alors davantage pour celui qui connaissant la règle peut la dépasser que pour celui qui l'ignore mais qui pourtant y sera soumis.
Y a-t-il un sens à la vie, autre que celui que tu te donnes de façon illusoire ?
Il n'y a pas de sens de la vie universel... Nous ne sommes que des animaux dont la seule capacité réelle est de coller des concepts à tout et n'importe quoi. Nous nous donnons l'illusion de donner un "sens" à notre vie alors que nous ne faisons que de tourner en rond dans une cage.
Elle (La liberté de choix) nous donne justement la possibilité de "combattre" cette frustration qui consiste à tourner en rond dans notre cage.
Au moins la satisfaction qu'au lieu de faire des ronds en ligne droites,
on peut y rajouter nombre d'arabesque qui nous chante. Et surtout, d'y mettre un terme quand on le désire.
Tu considère que nous sommes en cage, que c'est une fatalité, et que notre liberté consiste a nourrir la bête pour ne pas qu'elle s'ennuie ?
Je considère aussi que nous sommes en cage, que ce n'est pas une fatalité mais une chance de maîtriser la bête et ses besoins, pour tendre à s'affranchir de la cage.
Ce n'est pas universel puisque cela ne peut qu'être un sens humain, et qui n'est plus tout à fait animal.
(tu remarquera que la cage est un concept et que tourner en rond est un sens que tu lui donne, là non plus on n'échappe pas au fait de donner du sens, même quand on veut pas en donner. Penser c'est toujours inventer du sens).
C'est ça, au nom de la "communication entre les hommes", je vais m'interdire de manger du porc ou de faire des enfants sans être marié...
Non ce n'est pas ça, la communication ce n'est pas à priori pour interdire ni pour obligé mais pour le sens du partage entre autres, qui ne peut se faire sans échange d'informations.
Avorter parce que la femme veut se concentrer sur sa carrière,
se faire euthanasier parce qu'on estime que c'est la seule solution pour vaincre la souffrance que l'on vit,
décider de plonger ou non dans la piscine, manger du porc,
faire la grasse matinée le matin, décider du métier qu'on va faire,
qu'est ce qui va à l'encontre du "vivre ensemble" ?
Au nom, donc, de cette "associabilisation", on devrait donc accepter que des personnes tierces décident pour nous ce qui est bon et mauvais. Sachant par ailleurs, que le libre choix n'empêche en aucun cas d'avoir des relations sociales...
Au nom de rien, la relation est un choix mutuel.
Cela se décide ensemble de ce qui est bon ou pas, mais encore faut-il que ce soit un vrai partenariat et non pas un système de cultes individuels.
Qu'on le veuille ou non nous sommes lié les uns aux autres, donc limiter ses activités sociales ou les multiplier ne change rien à la donne.
c'est la qualité de la relation qui importe, à commencé avec soi-même.
les personnes habituées à être seules et qui s'en accommodent très bien, vous remercient pour leur avoir imposé vos notions sociales de "bien" et de "mal".
Qu'ai je imposer ?
Je ne dit que mes constats.
Même supposé seul nous sommes dans un environnement.
Je ne dit pas que s'associer s'est bien et que se dissocier c'est mal, cette question ne se pose même pas,
puisque la solitude ne peut se trouver que dans la tête, et encore...d'où la liberté individuelle...?
Je ne vois pas en quoi avorter, s'euthanasier, décider pour sa carrière, vivre solitairement est un quelconque rapport avec la consommation. Je doute que l'on aborde l'achat d'une lessive de la même manière que l'on gère sa vie du mieux possible pour soi même.
J'aimerais que ce ne soit pas le cas, mais la consommation ne concerne pas seulement la lessive, mais tout ce dont nous avons besoin pour vivre.
Gérer sa vie ne peut pas se faire sans gérer ses besoins.
Te rends tu compte que ce que tu écrits est contradictoire ?
A partir du moment qu'il y a des options qui répondent à tes souhaits,
c'est que tu les as souhaitées...
Je me suis mal exprimé, je parlais de déplacer le besoin (et le manque) là où il n'était pas.
Je ne peux pas dire que j'ai souhaité quelquechose si je n'en avais pas conscience avant qu'il se présente.
Mais un fois qu'il se présente et selon comment il se présente je peux être séduit et me laisser convaincre que j'en ai besoin.
Enfin, je doute qu'aller à Disneyland ait un quelconque rapport avec la maîtrise de sa vie. C'est très réductionniste comme façon de voir les choses...La maîtrise de sa vie englobe bien plus de choses que le simple divertissement...
Oui réduire le désir à un divertissement est une vision réductionniste.
C'est pourtant le mouvement de ce système, la société du spectacle est toujours en représentation, non ?
Elle s'est juste diversifié (culturellement) et sophistiqué (techniquement) pour englober davantage.
La consommation est une préoccupation de la société, parceque sur elle repose l'économie qui est censée garantir confort et sécurité qui répondent à l'instinc de survie et aux besoins affectifs.
Nous y participons tous du big boss devant sa planisphère au sdf qui fait la manche,
et que certains en tirent profits au détriments des autres.
Libre à toi bien sûr de penser que ce système n'est pas un problème, et dans ce cas il n'y a pas lieu d'en discuter.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
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Identité métaphysique : la même
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Date d'inscription : 14/08/2010
Re: la maîtrise de sa vie
Bon, c'est sophisme land, mais continuons quand même...
Lorsque l'on donne une règle (cf le lien fournit dans mon précédent message), on définit un cadre. Dire "vous pouvez vous baigner ou pas" implicite qu'il n'y a pas de cadre. Ce n'est donc pas une règle.
Plus on invente des règles, plus on se limite dans nos choix. Une règle qui interdit de manger du porc limite le choix de ce que l'on peut manger (par exemple).
Et cela est une règle purement philosophique. Notre corps, n'en déplaise à l'islam, assimile très bien le porc, ce n'est donc pas une règle naturelle.
J'imagine très bien un type qui va inventer une règle pour nous "protéger" contre l'arbitraire de la gravité...
Je n'ai pas "décrété qu'il n'y a pas de règle", j'ai dit que moins il y a de règle, plus on a la possibilité de prendre des décisions, sans influence d'une personne tierce. Et donc que l'on a une meilleure maîtrise de sa vie, puisque la voie ne dépend que de nous.
D'une part, si il n'y a pas de règle ("absence de règle"), alors personne ne peut la connaître puisqu'elle n'existe pas.
D'autre part, euh... Evidemment que je suis les "règles" de la grammaire, si je veux être compris... Est ce que se focaliser sur l'utilisation de telle ou telle grammaire a un quelconque rapport avec le fait de choisir ce que je vais faire de ma vie et de ma mort ?
Nous ne sommes qu'une espèce animale (pléonasme) comme une autre, apparue sur Terre il y a quelques millions d'années (je shématise), dont le seul but réel est de survivre. Et les hommes ont inventé des dieux, avec diverses obligations nous liant à ces machins, tout en essayant de maîtriser la vie des autres (pas d'avortement, pas d'euthanasie, pas de porc, pas de sexe sans mariage, etc...). Cela n'a aucun rapport avec l'existence d'une "bête", c'est un constat.
Quel rapport avec la "bête", d'ailleurs ? Je suis athée, je ne conçois aucune transcendance. Par ailleurs, je défends depuis le début l'élimination de règles, je me bats précisément pour plus de liberté, je n'estime pas qu'elle "nourrit la bête"...
Mais je ne vois pas le rapport avec la maîtrise de sa vie... Quoique ce que tu dis là est contradictoire avec ce que tu dis ensuite.
En quoi, une fois de plus, le "partage" est nécessaire pour maîtriser sa vie ? Faut-il mettre des notions aussi vagues que le "partage", la "communication" ou "l'amour du prochain" dans la maîtrise de sa vie propre ?
Considères-tu que vouloir maîtriser sa vie est nécessairement une démarche égoïste ?
Lorsqu'une femme célibataire décide de se concentrer sur sa carrière, est-il nécessaire qu'elle demande un "consentement mutuel" ? Est-il nécessaire que je me soucie d'un "consentement mutuel" si je veux manger du porc ? A qui, d'ailleurs, vais je me confier pour savoir si c'est "bien" ou "mal" de manger du porc ?
L'euthanasie, pour prendre cet exemple complexe, est aussi un choix philosophique de la personne elle même. Les commissions examinant leur cas ne donne leur opinion que d'un point de vue technique.
J'ai du mal à voir comment tu peux "constater" une telle chose.
C'est tellement facile de ramener systématiquement au premier degré un concept imagé, et tenter d'y répondre. Au passage, ce n'est ne pas "dissocier/associer" qui m'intéresse (d'autant que je parle de "sociabilisation".........), mais je demandais en quoi l' as-sociabilisation réfute la maîtrise de sa vie.
Est ce que, par exemple, les chrétiens mangent des hosties et vont à l'église parce qu'ils les ont vues à la télé ?
Belle infantilisation...
Disons plutôt que je ne vois pas le rapport avec des choix philosophiques et vivre au sein d'une société de consommation plus ou moins maintenue par une élite.
Et nous sommes vachement sortis du sujet...
lol, bon je crois que tu n'as pas compris.casimir a écrit:
Dire "vous pouvez vous baignez ou non" n'est pas la même chose que de ne rien dire du tout.
Il y a une différence entre proposer des choix et laisser choisir. Entre une absence réel de règle et dire ceci n'est pas une règle.
Tu reprends même le terme de règle pour dire l'absence de règle. règle qui dit (par exemple) "vous pouvez vous baigner ou non".
Lorsque l'on donne une règle (cf le lien fournit dans mon précédent message), on définit un cadre. Dire "vous pouvez vous baigner ou pas" implicite qu'il n'y a pas de cadre. Ce n'est donc pas une règle.
Et quand on sort que des sophismes tout en jouant sur l'ambiguité des mots, on n'aide pas vraiment l'interlocuteur.casimir a écrit:
Tu comprends la confusion ? on en sort pas.
C'est vrai, mais cela n'a rien voir avec des règles philosophiques.casimir a écrit:
La nature est pleine de règles, ce n'est pas nous qui avons inventer ce principe.
Ca c'est faux.casimir a écrit:
Si nous avons inventer d'autres règles, c'était en partit dans l'idée d'être libre de l'arbitraire naturel.
Plus on invente des règles, plus on se limite dans nos choix. Une règle qui interdit de manger du porc limite le choix de ce que l'on peut manger (par exemple).
Et cela est une règle purement philosophique. Notre corps, n'en déplaise à l'islam, assimile très bien le porc, ce n'est donc pas une règle naturelle.
Je ris.casimir a écrit:
Pas de bol, nous inventons de plus en plus de règles pour nous protéger de cet arbitraire, à défaut de le comprendre.
J'imagine très bien un type qui va inventer une règle pour nous "protéger" contre l'arbitraire de la gravité...
j'espère que toi, tu dessines ta cage avec la porte ouverte...casimir a écrit:
La cage c'est nous qui l'avons dessiner pour sortir de la jungle.
Gneh ?casimir a écrit:
De la cage nature à la cage domestique.
Epouvantail.casimir a écrit:
Décréter qu'il n'y a pas de règles ce serait nié qu'aujourd'hui nous sommes pris entre nature et culture, deux règles différentes.
Je n'ai pas "décrété qu'il n'y a pas de règle", j'ai dit que moins il y a de règle, plus on a la possibilité de prendre des décisions, sans influence d'une personne tierce. Et donc que l'on a une meilleure maîtrise de sa vie, puisque la voie ne dépend que de nous.
Illusion logique.casimir a écrit:
Tu semble bien respecter les règles de langage, ainsi que les faire respecter.
"L'absence de règle" est alors davantage pour celui qui connaissant la règle peut la dépasser que pour celui qui l'ignore mais qui pourtant y sera soumis.
D'une part, si il n'y a pas de règle ("absence de règle"), alors personne ne peut la connaître puisqu'elle n'existe pas.
D'autre part, euh... Evidemment que je suis les "règles" de la grammaire, si je veux être compris... Est ce que se focaliser sur l'utilisation de telle ou telle grammaire a un quelconque rapport avec le fait de choisir ce que je vais faire de ma vie et de ma mort ?
Que crois-tu, Casimir ?casimir a écrit:
Tu considère que nous sommes en cage, que c'est une fatalité, et que notre liberté consiste a nourrir la bête pour ne pas qu'elle s'ennuie ?
Nous ne sommes qu'une espèce animale (pléonasme) comme une autre, apparue sur Terre il y a quelques millions d'années (je shématise), dont le seul but réel est de survivre. Et les hommes ont inventé des dieux, avec diverses obligations nous liant à ces machins, tout en essayant de maîtriser la vie des autres (pas d'avortement, pas d'euthanasie, pas de porc, pas de sexe sans mariage, etc...). Cela n'a aucun rapport avec l'existence d'une "bête", c'est un constat.
Quel rapport avec la "bête", d'ailleurs ? Je suis athée, je ne conçois aucune transcendance. Par ailleurs, je défends depuis le début l'élimination de règles, je me bats précisément pour plus de liberté, je n'estime pas qu'elle "nourrit la bête"...
Si tu crois vraiment qu'il y a un autre monde, c'est ton droit.casimir a écrit:
Je considère aussi que nous sommes en cage, que ce n'est pas une fatalité mais une chance de maîtriser la bête et ses besoins, pour tendre à s'affranchir de la cage.
Mais je ne vois pas le rapport avec la maîtrise de sa vie... Quoique ce que tu dis là est contradictoire avec ce que tu dis ensuite.
C'était une métaphore, pour t'expliquer en gros l'iniquité de croire qu'il y a un sens dans la vie. Il n'y a aucun sens de la vie universel. Il n'y a que des obligations biologiques, cette fameuse "cage".casimir a écrit:
Ce n'est pas universel puisque cela ne peut qu'être un sens humain, et qui n'est plus tout à fait animal.
(tu remarquera que la cage est un concept et que tourner en rond est un sens que tu lui donne, là non plus on n'échappe pas au fait de donner du sens, même quand on veut pas en donner. Penser c'est toujours inventer du sens).
Qu'à faire donc le partage dans la maîtrise de sa vie ?casimir a écrit:
Non ce n'est pas ça, la communication ce n'est pas à priori pour interdire ni pour obligé mais pour le sens du partage entre autres, qui ne peut se faire sans échange d'informations.
En quoi, une fois de plus, le "partage" est nécessaire pour maîtriser sa vie ? Faut-il mettre des notions aussi vagues que le "partage", la "communication" ou "l'amour du prochain" dans la maîtrise de sa vie propre ?
Considères-tu que vouloir maîtriser sa vie est nécessairement une démarche égoïste ?
Déjà, ce n'est vraiment très cohérent de répondre à deux arguments différents avec un argument qui, en plus, tape à côté de la plaque.casimir a écrit:
Au nom de rien, la relation est un choix mutuel.
Cela se décide ensemble de ce qui est bon ou pas, mais encore faut-il que ce soit un vrai partenariat et non pas un système de cultes individuels.
Lorsqu'une femme célibataire décide de se concentrer sur sa carrière, est-il nécessaire qu'elle demande un "consentement mutuel" ? Est-il nécessaire que je me soucie d'un "consentement mutuel" si je veux manger du porc ? A qui, d'ailleurs, vais je me confier pour savoir si c'est "bien" ou "mal" de manger du porc ?
L'euthanasie, pour prendre cet exemple complexe, est aussi un choix philosophique de la personne elle même. Les commissions examinant leur cas ne donne leur opinion que d'un point de vue technique.
Ta vie ne dépend pas de moi, ni de quiconque sur ce forum. Nous sommes liés par la société, mais ça n'empêche pas que 10% de la population meurt en France. Et que cela ne changera rien à ta vie, ni à la mienne, ni à quiconque sur ce forum.casimir a écrit:
Qu'on le veuille ou non nous sommes lié les uns aux autres, donc limiter ses activités sociales ou les multiplier ne change rien à la donne.
En quel nom te places tu en juge de la "qualité" de la vie et des choix des autres ?casimir a écrit:
c'est la qualité de la relation qui importe, à commencé avec soi-même.
Tu as dit qu'il fallait un "consentement mutuel" pour "bien" faire les choses... et tu viens de la répéter. Et sans nuancer, j'estime donc que tu imposes un "consentement mutuel". En quel nom, je n'en sais rien.casimir a écrit:
Qu'ai je imposer ?
Bah, oui, mais quel influence aura sur ma vie une femme qui habite à 1000kms (je prends un exemple extrême, c'est tout aussi applicable pour ma voisine) qui décide d'avorter parce qu'elle préfère se consacrer à sa carrière ?casimir a écrit:
Je ne dit que mes constats.
Même supposé seul nous sommes dans un environnement.
J'ai du mal à voir comment tu peux "constater" une telle chose.
Epouvantail encore.casimir a écrit:
Je ne dit pas que s'associer s'est bien et que se dissocier c'est mal, cette question ne se pose même pas,
puisque la solitude ne peut se trouver que dans la tête, et encore...d'où la liberté individuelle...?
C'est tellement facile de ramener systématiquement au premier degré un concept imagé, et tenter d'y répondre. Au passage, ce n'est ne pas "dissocier/associer" qui m'intéresse (d'autant que je parle de "sociabilisation".........), mais je demandais en quoi l' as-sociabilisation réfute la maîtrise de sa vie.
Quel rapport, encore une fois, avec le libre choix philosophique de mener sa vie comme on l'entend ? En quoi décider de vivre en agonisant, choisir d'avoir 10 enfants, de vivre solitairement, de se soucier de sa carrière a un rapport avec les pubs Lotus ?casimir a écrit:
J'aimerais que ce ne soit pas le cas, mais la consommation ne concerne pas seulement la lessive, mais tout ce dont nous avons besoin pour vivre.
Et bah, tu fais en sorte de minimiser l'influence de ce "problème", si tu estimes que c'est un problème....casimir a écrit:
Gérer sa vie ne peut pas se faire sans gérer ses besoins.
Donc, pour toi les gens sont des moutons qui se laissent facilement influencer par des campagnes de pub, et que par conséquent, ils ne peuvent pas décider ce qu'ils veulent faire de leur vie...casimir a écrit:
Je me suis mal exprimé, je parlais de déplacer le besoin (et le manque) là où il n'était pas.
Je ne peux pas dire que j'ai souhaité quelquechose si je n'en avais pas conscience avant qu'il se présente.
Mais un fois qu'il se présente et selon comment il se présente je peux être séduit et me laisser convaincre que j'en ai besoin.
Est ce que, par exemple, les chrétiens mangent des hosties et vont à l'église parce qu'ils les ont vues à la télé ?
Belle infantilisation...
Quel rapport, encore, avec l'euthanasie ou ne pas manger de porc par principe ?casimir a écrit:
C'est pourtant le mouvement de ce système, la société du spectacle est toujours en représentation, non ?
Elle s'est juste diversifié (culturellement) et sophistiqué (techniquement) pour englober davantage.
La consommation est une préoccupation de la société, parceque sur elle repose l'économie qui est censée garantir confort et sécurité qui répondent à l'instinc de survie et aux besoins affectifs.
D'accord, nous participons tous, à plus ou moins grand degré à la société de consommation. Mais je ne vois pas le rapport avec décider d'avoir des enfants ou non, s'isoler par rapport aux autres, décider de son futur métier, et ainsi de suite..Casimir a écrit:
Nous y participons tous du big boss devant sa planisphère au sdf qui fait la manche,
et que certains en tirent profits au détriments des autres.
Casimir a écrit:
Libre à toi bien sûr de penser que ce système n'est pas un problème, et dans ce cas il n'y a pas lieu d'en discuter.
Disons plutôt que je ne vois pas le rapport avec des choix philosophiques et vivre au sein d'une société de consommation plus ou moins maintenue par une élite.
Et nous sommes vachement sortis du sujet...
Pakete- Maître du Temps
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Re: la maîtrise de sa vie
Oui vachement, entre mes sophismes et tes caricatures, c'est jouer au ping pong sur du sable.
Bref je vais éssayer de recentrer :
Après ça dépends du pourquoi et de l'évolution de la démarche.
Ma vie ne dépends de personne dans l'absolu, mais moi je dépends de la vie, a commencer par ce que je ressens.
Alors oui dans ce sens on peut maîtriser sa vie, mais pas la vie.
Bref je vais éssayer de recentrer :
Comment dans ce cas peut-on faire un choix philosophique ?"il n'y a que des obligations biologiques".
Absolument, si il s'agit de décider pour moi, ça ne peut que l'être.Considères-tu que vouloir maîtriser sa vie est nécessairement une démarche égoïste ?
Après ça dépends du pourquoi et de l'évolution de la démarche.
Parceque ces 10% sont forcément des étrangers ? autour de moi personne ne meurt ?Ta vie ne dépend pas de moi, ni de quiconque sur ce forum.
Nous sommes liés par la société, mais ça n'empêche pas que 10% de la population meurt en France.
Et que cela ne changera rien à ta vie, ni à la mienne, ni à quiconque sur ce forum.
Ma vie ne dépends de personne dans l'absolu, mais moi je dépends de la vie, a commencer par ce que je ressens.
Ce n'est pas complètement étranger, puisque c'est le langage qui exprime sens et logique. (D'où la question du choix philosophique)Est ce que se focaliser sur l'utilisation de telle ou telle grammaire a un quelconque rapport avec le fait de choisir ce que je vais faire de ma vie et de ma mort ?
Cette société est le résultat de choix philosophiques, qui impliquent les choix de chacun.Disons plutôt que je ne vois pas le rapport avec des choix philosophiques et vivre au sein d'une société de consommation plus ou moins maintenue par une élite.
Tout cela relève d'une volonté de faire."manger du porc si ça nous chante, se consacré à sa carrière, choisir d'avoir ou pas des enfants, décider de mettre fin à sa vie..."
Alors oui dans ce sens on peut maîtriser sa vie, mais pas la vie.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
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Re: la maîtrise de sa vie
Et c'est lui qui a ramené sur "la société de consommation" qui donne des leçons.casimir a écrit:
Bref je vais éssayer de recentrer :
Décider de ne pas avoir d'enfant, mourir quand on le décide, c'est faire un choix philosophique. On peut tout à fait dépasser ces obligations biologiques et les gérer à sa façon.casimir a écrit:
Comment dans ce cas peut-on faire un choix philosophique ?
Et les obligations biologiques sont de bien maigres obstacles pour empêcher de s'isoler en haut d'une montagne ou de choisir tel ou tel métier au lieu d'un autre.
Donc en fait, tu trouves ça égoïste sans vraiment trouver ça égoïste, puisque c'est relatif à quelque chose...casimir a écrit:Absolument, si il s'agit de décider pour moi, ça ne peut que l'être.
Après ça dépends du pourquoi et de l'évolution de la démarche.
Tu te lamentes dès qu'une personne meurt ?casimir a écrit:
Parceque ces 10% sont forcément des étrangers ? autour de moi personne ne meurt ?
Ma vie ne dépends de personne dans l'absolu, mais moi je dépends de la vie, a commencer par ce que je ressens.
Tu dois passer ta vie à pleurer alors..
Quel rapport entre être incapable de choisir un mot pour exprimer une idée, et choisir de vivre sans enfant (par exemple) ?casimir a écrit:
Ce n'est pas complètement étranger, puisque c'est le langage qui exprime sens et logique. (D'où la question du choix philosophique)
Ce qui est faux.casimir a écrit:
Cette société est le résultat de choix philosophiques, qui impliquent les choix de chacun.
La société de consommation a été élaborée par une élite, pour une main mise commerciale. Par ailleurs, même si tout le monde l'a subie plus ou moins, cela ne t'empêche pas de prendre des décisions pour toi même.
Si ?
Un commerçant aura beau prétendre qu'il peut tout t'offrir, ce n'est pas lui qui décidera pour toi le nombre d'enfant que tu veux ou qui décidera pour ta carrière professionnelle.
Sic.casimir a écrit:
Tout cela relève d'une volonté de faire.
Alors oui dans ce sens on peut maîtriser sa vie, mais pas la vie.
Depuis le début, je parle de NOTRE vie personnelle, et nom de LA vie, de façon globale... Quoique, si on applique le sens biologique au mot "vie", c'est de plus en plus possible... Tant que cela reste dans le cadre personnel :D
Epouvantail powaaa...
Pakete- Maître du Temps
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Re: la maîtrise de sa vie
pffff ces posts kilométriques sont trop longs à lire, personnellement je zappe.
Au lieu de répondre à TOUS les points, ne pourriez vous pas faire une sélection des plus importants ? Trop souvent, vous citez une phrase juste pour donnez une réponse qui n'en vaut vraiment pas la peine, comme celle ci
Au lieu de répondre à TOUS les points, ne pourriez vous pas faire une sélection des plus importants ? Trop souvent, vous citez une phrase juste pour donnez une réponse qui n'en vaut vraiment pas la peine, comme celle ci
Tu te lamentes dès qu'une personne meurt ?
Tu dois passer ta vie à pleurer alors...
Lila- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 26/06/2010
Re: la maîtrise de sa vie
j'arrive et n'ai pas le temps de tout remonter . On ne vit pas sans loi : si je me jette par la fenêtre, je dois assumer le risque de mourir ou de rester estropiée .
Les lois sont le sel de la vie , le piment nécessaire qui autorise la transgression responsable. Les hommes voudraient à la fois la liberté et la sécurité, le paradis terrestre agencé par un Dieu-gâteau, mais des distractions, voire des perversions . L'humanité est donc encore dans l'enfance : besoin de cadres et de garde chiourme .
Les lois sont le sel de la vie , le piment nécessaire qui autorise la transgression responsable. Les hommes voudraient à la fois la liberté et la sécurité, le paradis terrestre agencé par un Dieu-gâteau, mais des distractions, voire des perversions . L'humanité est donc encore dans l'enfance : besoin de cadres et de garde chiourme .
JO- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/08/2009
Re: la maîtrise de sa vie
J'ai dit ce que j'avais à dire.
Ton sens de la liberté c'est pouvoir, résumé à des choix materiels, techniques, voir idéologique.
A la rigueur il peuvent être la conséquence d'un choix philosophique, mais ils ne le sont pas en eux-mêmes.
Je ne vois que des obligations biologique, survivre.
Pas une décision qui ne répondrait a cet impératif, sauf celle de nous mentir à nous même.
Ainsi dire que les obligations biologiques sont de maigres obstacles,
ça depends pour qui, et on en revient au problème de la souffrance,
qu'on ne peut continuellement réduire au silence.
Et puis si pour toi ressentir c'est se lamenter,
nous ne vivons sans doute pas sur la même planète.
Ton sens de la liberté c'est pouvoir, résumé à des choix materiels, techniques, voir idéologique.
A la rigueur il peuvent être la conséquence d'un choix philosophique, mais ils ne le sont pas en eux-mêmes.
Je ne vois que des obligations biologique, survivre.
Pas une décision qui ne répondrait a cet impératif, sauf celle de nous mentir à nous même.
Ainsi dire que les obligations biologiques sont de maigres obstacles,
ça depends pour qui, et on en revient au problème de la souffrance,
qu'on ne peut continuellement réduire au silence.
Et puis si pour toi ressentir c'est se lamenter,
nous ne vivons sans doute pas sur la même planète.
casimir- Seigneur de la Métaphysique
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