L'obélisque
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L'obélisque
Le petit chaperon rouge
En allant vers la forêt
N'a pas vu l'herbe qui bouge
Autrement s'en méfierait
Ce n'est pas une herbe mince
Mais c'est le fameux serpent
Qui tua le petit prince
Et qui te tue maintenant
Et voilà que ton fantôme
Se fait manger par le loup
Et lui provoque un syndrôme
De l'estomac plein de clous
Le loup file jusqu'en Chine
Consulter un fameux psy
Qui tourne les pages fines
D'un répertoire moisi
Vieux loup vous allez vous rendre
Chez un docteur du Japon
Car il pourra vous apprendre
A vous ouvrir le bedon
Le loup s'ouvre la bedaine
Et voilà qu'il meurt aussi
Il s'en revient l'âme en peine
Dans le bureau du vieux psy
Alors celui-ci explique
A un grand druide gaulois
Faut de la potion magique
Mais pas beaucoup juste un doigt
Le druide a dans sa recette
Un ingrédient mal dosé
Et le loup la pauvre bête
En est métamorphosé
En obélisque il se change
Tout recouvert d'inscriptions
Dieu que son sort est étrange
Lourde sa malédiction
Les gens de la capitale
Sur une place l'ont mis
De son histoire brutale
Jamais rien ils n'ont admis
Selon leur dire illusoire
D'Egypte il fut apporté
Je réponds que mon histoire
Est la seule vérité
Re: L'obélisque
L'ange aux ailes blanche.
Admirait les étoiles brillantes.
Celle-ci la voyant l'invita!
Si elle eut su,elle n'y aurait point allée!
Et d'insouciante nature,elle s'envola.
Un orage pourtant,se préparait à son insu!
Le maître des lieux lui ouvrît la porte.
Puis l'invita à s'assoir aux milieux d'eux.
D'un coup sec et dans toute sa splendeur,il lui la montra!
De ses yeux pervers ce démon la fixait d'un air béat.
Et le coeur de l'ange perdit son éclat.
En un instant,elle fut plongée dans l'obscurité des lieux.
L'ange s'en retourna ,les yeux mouillées et l'âme souillée.
En chemin ses plumes jonchaient le sol.
Seule des pensées de mauvais temps l'habitaient.
Jamais elle n'oublia ce démon qui lui viola l'esprit.
L'ange désormait, vole en silence !
Devenue méfiante elle vie dans coin isolée.
Admirait les étoiles brillantes.
Celle-ci la voyant l'invita!
Si elle eut su,elle n'y aurait point allée!
Et d'insouciante nature,elle s'envola.
Un orage pourtant,se préparait à son insu!
Le maître des lieux lui ouvrît la porte.
Puis l'invita à s'assoir aux milieux d'eux.
D'un coup sec et dans toute sa splendeur,il lui la montra!
De ses yeux pervers ce démon la fixait d'un air béat.
Et le coeur de l'ange perdit son éclat.
En un instant,elle fut plongée dans l'obscurité des lieux.
L'ange s'en retourna ,les yeux mouillées et l'âme souillée.
En chemin ses plumes jonchaient le sol.
Seule des pensées de mauvais temps l'habitaient.
Jamais elle n'oublia ce démon qui lui viola l'esprit.
L'ange désormait, vole en silence !
Devenue méfiante elle vie dans coin isolée.
_pandore- EXCLUE DU FORUM
- Nombre de messages : 2177
Localisation : Québec
Identité métaphysique : Femme
Humeur : Simple
Date d'inscription : 23/01/2010
Re: L'obélisque
ô bel Isque
qui prit des risques
même sous la francisque
au temps d'Astéri...sque !
qui prit des risques
même sous la francisque
au temps d'Astéri...sque !
JO- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 22786
Localisation : france du sud
Identité métaphysique : ailleurs
Humeur : paisiblement réactive
Date d'inscription : 23/08/2009
Re: Les dix mots du printemps
Tout au long du printemps, j'élevais des moutons en Eldorado,
mais je m'absentais souvent
pour boire avec les gars de la superforteresse,
dans une taverne que ne signalait nul panneau indicateur.
On a certes raison de boire en cette saison
(et aussi dans les autres),
tout en échangeant d'aimables calembredaines.
Le seul être suspect de vouloir escamoter mes brebis pour les outrager était un monstre anthropoïde de la haute montagne, mais sitôt qu'il s'en approchait, elles se mettaient à vagir pitoyablement, et ça lui faisait prendre la poudre d'escampette.
En cet âge paradisiaque, avec ou sans berger, les troupeaux étaient bien gardés.
mais je m'absentais souvent
pour boire avec les gars de la superforteresse,
dans une taverne que ne signalait nul panneau indicateur.
On a certes raison de boire en cette saison
(et aussi dans les autres),
tout en échangeant d'aimables calembredaines.
Le seul être suspect de vouloir escamoter mes brebis pour les outrager était un monstre anthropoïde de la haute montagne, mais sitôt qu'il s'en approchait, elles se mettaient à vagir pitoyablement, et ça lui faisait prendre la poudre d'escampette.
En cet âge paradisiaque, avec ou sans berger, les troupeaux étaient bien gardés.
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