Re: Pour que la poésie jamais ne meure ...

[_GERARDMENVUSSA]

Merci Cochonfucius !

Je me reprends donc: " la culture c'est comme la confiture moins on en a plus on l 'étale" Jean delacour.

... Quand à toi, tu as très bien choisi ton Avatar ! Félicitations !
... Le revoici d'ailleurs "en clair" !!! :

... Excellente journée quand même !!!

[allégorie]

L'homme vertueux et aimant donne dans les insultes, au lieu du "sans commentaire" ? On n'a pas besoin de gratter la peinture bien loin pour voir la rouille...

[_GERARDMENVUSSA]

L'homme vertueux et aimant donne dans les insultes, au lieu du "sans commentaire" ? On n'a pas besoin de gratter la peinture bien loin pour voir la rouille...

Sans commentaire.

[_GERARDMENVUSSA]

L'homme vertueux et aimant donne dans les insultes, au lieu du "sans commentaire" ? On n'a pas besoin de gratter la peinture bien loin pour voir la rouille...

... Voilà comme je te vois : !!!
... Ainsi, l'homme "vertueux et aimant" te dis surtout... "Lâche lui la grappe" !!! ça lui fera des vacances !!!
... Merci !
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

[_GERARDMENVUSSA]

Merci Cochonfucius !

Je me reprends donc: " la culture c'est comme la confiture moins on en a plus on l 'étale" Jean delacour.

... Quand à toi, "cochonou", tu as très bien choisi ton Pseudo !!!! Félicitations !
... Voilà d'ailleurs l'Avatar qui va avec (en "clair", en plus !!!) :

... Comme ta petite copine, (si fine, et si "intelligente" !!!) allégorie : Et ton grand copain "virgule", (... Tout aussi "fin" et intelligent, et qui fait si bien "la paire" avec "l'allégorie" !!!), voilà comment je te vois très bien : !!!!!!!
... Excellente journée quand même !!!

... Mais toi aussi... "Lâche la grappe" à "l'étaleur de culture" !!! Il étalera moins "cette culture qu'il n'a pas"... Et surtout, (Oh! Oui! Surtout !!!) ça lui fera des vacances !!!
Merci !

[allégorie]

Non mais tu n'as pas fini d'éditer sans cesse ton dernier message ? Je vais te dire une dernière chose, mais pour moi ce sera vraiment la dernière: "nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes." (Anaïs Nin)

[ElBilqîs]

Ouh la! Quelle réaction! Gérarmenvussa!
je croyais que la sérénité faisait partie de ton état permanent.
J'avoue que je suis déçue.
C'est inutile et dommage d'agresser les autres pour un commentaire tout à fait juste.
J'ose espérer qu'une séance de yoga saura te remettre les idées en place.
Sinon, ce que tu dis perd toute crédibilité, et c'est peut-être dommage.

[_GERARDMENVUSSA]

Effacé par la modération.
Article 2 de la Charte.

[allégorie]

[_GERARDMENVUSSA]

Effacé par la modération.
Article 2 de la Charte.

[_GERARDMENVUSSA]

Non mais tu n'as pas fini d'éditer sans cesse ton dernier message ? Je vais te dire une dernière chose, mais pour moi ce sera vraiment la dernière: "nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes." (Anaïs Nin)

... Garde tes réflexions insensées qui ne peuvent intéresser que toi !
... Si tu réfléchissais un tout petit peu, tu saurais, en effet, que je ne suis pas inscris depuis bien longtemps sur ce forum... Ce qui laisse quand même une certaine "marge" pour la compréhension, la logique, et pour la gentillesse... Trois qualités toujours souhaitables, mais... Qui semblent, malheureusement, bien cruellement te manquer !!!
Cordialement,
GG

[_GERARDMENVUSSA]

Non mais tu n'as pas fini d'éditer sans cesse ton dernier message ? Je vais te dire une dernière chose, mais pour moi ce sera vraiment la dernière: "nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes." (Anaïs Nin)

... Merci pour ta réflexion ! Mais je suis au regret de te dire qu'elle est parfaitement stupide, ne voulant strictement rien dire !
... Mais peut-être ne maîtrises-tu pas suffisamment la langue Française ??? Tu aurais alors des excuses !!!
... Ainsi, ne voulais-tu pas dire, en fait : " "nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous les rêvons" ???
... Là, ta phrase voudrait dire quelque chose !!! Mais "nous les voyons comme nous sommes" n'a strictement aucun sens, et ne veut absolument rien dire !!! C'est ce qu'on appelle communément "du petit nègre" !!!
... Tu devrais prendre encore quelques cours de Français ! A mon humble avis : Ça te serait très profitable !
Désolé !
Excellente journée quand même !!!

[allégorie]

As-tu encore quelque chose à ajouter , quelque méchanceté que tu aurais oublié de me dire ? Allez vas-y, je suis prête...Ah ! et puis non! je vaux plus que ça même si je ne brille pas par l'intelligence, j'ai assez entendu de faux prophète dans ma vie, j'ai mieux à faire!

[_GERARDMENVUSSA]

Effacé par la modération.
Article 2 de la Charte.

[allégorie]

Non mais tu n'as pas fini d'éditer sans cesse ton dernier message ? Je vais te dire une dernière chose, mais pour moi ce sera vraiment la dernière: "nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous sommes." (Anaïs Nin)

... Merci pour ta réflexion ! Mais je suis au regret de te dire qu'elle est parfaitement stupide, ne voulant strictement rien dire !
... Mais peut-être ne maîtrises-tu pas suffisamment la langue Française ??? Tu aurais alors des excuses !!!
... Ainsi, ne voulais-tu pas dire, en fait : " "nous ne voyons pas les choses comme elles sont, nous les voyons comme nous les rêvons" ???
... Là, ta phrase voudrait dire quelque chose !!! Mais "nous les voyons comme nous sommes" n'a strictement aucun sens, et ne veut absolument rien dire !!! C'est ce qu'on appelle communément "du petit nègre" !!!
... Tu devrais prendre encore quelques cours de Français ! A mon humble avis : Ça te serait très profitable !
Désolé !
Excellente journée quand même !!!

J'aimerais dire, je le concois très en retard, qu'Anaïs Nim ne parle pas "petit nègre" et moi non plus (je suis une enseignante en français et une bonne), je n'ai donc pas besoin de tes cours merci bien ! Enfin, pour te donner une des explications possibles de cette citation,que tu ne sembles pas comprendre(mais ce n'est pas très étonnant étant donné ton état d'esprit) j'ajouterai que lorqu'on est à ce point imbu de soi-même,tout ce qui nous entoure(les choses comme les gens) ne peuvent qu'être minimes, insignifiants,être du non-sens...

[_GERARDMENVUSSA]

Article 2

[allégorie]

Aura


L’âme à l’étroit dans le corps

perverti

le regard ne se fixe pas

sur personne

de peur d’être Vu




le temps d’une photo

d’un faux sourire à l’appareil

complice

des gestes qui font vrai

des yeux qui disent faux

des bouts d’âmes dépassent…

[_GERARDMENVUSSA]

Dernier avertissement : le forum n'est pas là pour servir d'exutoire à tes haines et tes allergies qui n'intéressent personne.
Merci de respecter les recommandations qui t'ont été faites à plusieurs reprises pour ne pas perturber le fonctionnement du forum.

[allégorie]

Paranoïa


Visages d’ange aux yeux de braises
démons de mon univers
lèvres carnivores au sourire bruyant
je vomis vos paroles mielleuses
d’avoir atteint le cœur de ma souffrance
déchets de mon univers
bouches vaniteuses au sourire jouissant
je piétine vos discours fallacieux
d’avoir si bien éclaboussé mon âme
parasites de mon univers
mélodie venimeuse aux refrains discordants
visages d’ange aux yeux de braise
j’abhorre votre séduisante fausseté
d’avoir contaminé ma liberté !

Chantal, Alma,1998

[allégorie]

Dans les regrets du temps


Dans les regrets du temps, les chagrins se rappellent
La douceur des printemps, au chant de l’hirondelle.
Les chagrins se rappellent, des promesses volées
Au chant de l'hirondelle, à l'aube de l'été.

Des promesses volées, comme tous les mirages
À l’aube de l’été, font naître ton visage.
Comme tous les mirages, mes illusions déçues
Font naître ton visage, en espoir entrevu.

Mes illusions déçues, dans le chant du ruisseau
En espoir entrevu, forment des ronds dans l’eau.
Dans le chant du ruisseau, les sanglots de l’orage
Forment des ronds dans l’eau, effaçant les nuages.

Les sanglots de l’orage, souvenirs de ta voix
Effaçant les nuages, de la peine à la joie.
Souvenirs de ta voix, qui ondoie dans le vent
De la peine à la joie, dans les regrets du temps.

Chantal, Québec, 2008

[allégorie]

L'aube de la froidure

L’aube de la froidure t’a surprise dans le soir
Et l’automne abyssal s’enflamma sous ta peau
Elle laissa sa morsure dont tu gardas mémoire
Elle insinua le mal, en toi, point de repos.


Et l’automne abyssal s’enflamma sous ta peau
Elle laissa sa brûlure en ton corps esseulé
Et insinua le mal, en toi, point de repos
Sous une lune obscur' tes pas furent égarés.


Elle laissa sa brûlure en ton corps esseulé
Les caresses d’antan firent vils souvenirs
Sous une lune obscur’ tes pas furent égarés
Et tu grinças des dents à vouloir les honnir.


Les caresses d’antan firent vils souvenirs
Alors tu leur laissas dire un peu du futur
Et tu grinças des dents à vouloir les honnir
Mais tu leur pardonnas l’aube de la froidure.



Chantal, tendresse novembre 2007

[Cochonfucius]

Avril a déployé sa force lumineuse,
L'aile du noir corbeau se transforme en miroir
Et les verts marronniers vibreront jusqu'au soir
Du doux frémissement d'abeilles butineuses.

Loin du travail pesant, loin des fêtes ruineuses,
Je sors un papier blanc du fond de mes tiroirs
Et trace quelques vers, ou brèves de comptoir,
Evitant les notions par trop vertigineuses.

Le chat dans mon jardin se recueille, immobile :
Je sais qu'il a pour ça un bien vilain mobile,
Que plus d'un vieil oiseau également connaît.

Aux murs de mon bureau dorment tous mes vieux livres,
Et pas un seul d'entre eux sa science ne délivre :
Dimanche à ne rien faire, ou tout juste un sonnet.

[allégorie]

la douceur d’avril
ton sourire et tes yeux bleus
tulipes joyeuses.

[allégorie]

Renouveau Stéphane Mallarmé (Poésies, 1866)

Le printemps maladif a chassé tristement
L'hiver, saison de l'art serein, l'hiver lucide,
Et, dans mon être à qui le sang morne préside
L'impuissance s'étire en un long bâillement.

Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau
Et triste, j'erre après un vers vague et beau,
Par les champs où la sève immense se pavane.

Puis je tombe énervé de parfums d'arbres, las,
Et creusant de ma face une fosse à mon rêve,
Mordant la terre chaude où poussent les lilas,

J'attends, en m'abimant que mon ennui s'élève...
- Cependant l'Azur rit sur la haie et l'éveil
De tant d'oiseaux en fleur gazouillant au soleil.

[Cochonfucius]

Un pauvre doctorant regardait tristement
Deux mandarins pervers. De son regard lucide,
L'étudiant voit celui qui à son sort préside
Soutenir un propos qui semble un bâillement.

Des crépuscules blancs tiédissent sous son crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau,
Et, triste, il erre après un rêve vague et beau
Quand les deux vieux savants ineptes se pavanent.

Il est fort énervé de ces foutaises, las,
Et creusant de sa face une fosse à son rêve,
Voudrait s'en aller par la Porte des Lilas.

Mandarins, pourquoi donc ennuyer vos élèves ?
Faites-vous naître en eux le sourire et l'éveil ?
Vous offrez un couvercle à qui veut un Soleil.