Guerre de Crimée
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Guerre de Crimée
Bonjour,
Petit résumé tel que je l'ai retenu : en 1850, lors d'une enième guerre entre les deux puissances, la flotte russe détruit la flotte turque (pas bien difficile, les Russes tiraient des obus explosifs quand les Turcs étaient encore aux boulets de métal fondu). A la suite de quoi, vieille envie orthodoxe, le Tsar envisage de s'emparer d'Istanbul (Byzance, Constantinople) sur la rive européenne du Bosphore donc l'ennemi ne pourra pas amener facilement de renforts, n'ayant plus de flotte.
Le Sultan s'affole et appelle au secours l'Angleterre, qui est réceptive car elle n'aime pas voir des états européens prendre trop d'importance (c'est une constante de sa politique étrangère...). Il y a aussi la France. Napoléon III, puisque c'est lui, a envie d'une bonne guerre un peu lointaine, on n'est pas Bonaparte pour rien. Il trouve d'abord intéressante l'idée du Tsar, nonobstant les liens anciens entre France et Empire Ottoman. Mais ce fou de Nicolas Ier répond que jamais un Romanov ne s'alliera à un Bonaparte. Qu'à cela ne tienne, Napo s'alliera donc aux Turcs et aux Anglais, pas si regardants, pour lui apprendre à vivre.
Pour se donner bonne conscience, on oblige le Sultan à abolir l'esclavage et la dhimmitude, ce qui est fait, bien obligé, en 1853 (non sans tiraillements voir résistances, les musulmans tiennent à leurs privilèges, de leur côté les chrétiens sont habitués à des discriminations qui se sont adoucies au fil du temps, et il n'ont aucune envie de faire leur service militaire...).
Et donc, c'est la guerre, une raclée pour la Russie, la charge de la Brigade Légère, les zouaves à l'Alma, "j'y suis, j'y reste", les premières photos d'un conflit armé, etc.
Etait-ce bien raisonnable ?
à+
Petit résumé tel que je l'ai retenu : en 1850, lors d'une enième guerre entre les deux puissances, la flotte russe détruit la flotte turque (pas bien difficile, les Russes tiraient des obus explosifs quand les Turcs étaient encore aux boulets de métal fondu). A la suite de quoi, vieille envie orthodoxe, le Tsar envisage de s'emparer d'Istanbul (Byzance, Constantinople) sur la rive européenne du Bosphore donc l'ennemi ne pourra pas amener facilement de renforts, n'ayant plus de flotte.
Le Sultan s'affole et appelle au secours l'Angleterre, qui est réceptive car elle n'aime pas voir des états européens prendre trop d'importance (c'est une constante de sa politique étrangère...). Il y a aussi la France. Napoléon III, puisque c'est lui, a envie d'une bonne guerre un peu lointaine, on n'est pas Bonaparte pour rien. Il trouve d'abord intéressante l'idée du Tsar, nonobstant les liens anciens entre France et Empire Ottoman. Mais ce fou de Nicolas Ier répond que jamais un Romanov ne s'alliera à un Bonaparte. Qu'à cela ne tienne, Napo s'alliera donc aux Turcs et aux Anglais, pas si regardants, pour lui apprendre à vivre.
Pour se donner bonne conscience, on oblige le Sultan à abolir l'esclavage et la dhimmitude, ce qui est fait, bien obligé, en 1853 (non sans tiraillements voir résistances, les musulmans tiennent à leurs privilèges, de leur côté les chrétiens sont habitués à des discriminations qui se sont adoucies au fil du temps, et il n'ont aucune envie de faire leur service militaire...).
Et donc, c'est la guerre, une raclée pour la Russie, la charge de la Brigade Légère, les zouaves à l'Alma, "j'y suis, j'y reste", les premières photos d'un conflit armé, etc.
Etait-ce bien raisonnable ?
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_Spin- Seigneur de la Métaphysique
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Date d'inscription : 23/03/2008
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