mythologie des Inde
Page 1 sur 1
mythologie des Inde
Il faut commencer par trouver les douze personnages. Un personnage imageant chaque mois contant une histoire correspondant au mois, parce qu’ils en ont fait certaine compliquées, il est difficile d’en retrouver la correspondance avec la nature, mais le fait d’en trouver quelque une donne déjà le ton, il y a un ordre qu’il ne faut pas inventer.
Pour l’Inde les personnages sont nommés et dans l’ordre. Vishnou est le point de départ qui donne suite à dix avatars puis Shiva boucle l’année, nous avons donc les 12.
Vishnou est créateur, allongé sur le serpent, c’est la vie, donc les eaux, début d’année et commencement de l’histoire. Il devient Matsya le poisson qui est la deuxième étapes correspondant aux crues prenant de l’ampleur, symbolisé aussi avec le déluge, d’où l’histoire du petit poisson qui grossit et qui annonce le déluge, dès l'apparition de petit poissons dans le peu d'eau du fleuve ils annonçait les crues. Troisième mois, Kûrma la tortue, il parlent de barattages symbolisant le mélange d’une diversité, donc lié aux crues comme la terre, poisson, végétations, le lotus marque aussi la réapparition de la vie, c’est le résultat des crues, il devait y avoir des îlots qui disparaissaient sous les crues pour réapparaître quand les eaux se calmaient, c’est la tortue qui soulève la montagne. Mois suivant, Varâha le sanglier. Mois suivant Narasimba l’homme lion. Mois suivant, Vâmana le nain, il réclame une portion de terre. Mois suivant Parashu-rama, dans une de ces histoires il tue les fils de Kritaveerya et remplit cinq lacs de leur sang, le passage des crues devaient remplir de petit lac au abord du Gange, ou, il s’agit de lacs formés suite à la fonte des neiges provenant du mont Kailâsa. Mois suivant Râma, Râma et Sîta, comme Osiris et Isis, il doit s’agir de jeune pousse.
Mois suivant, Krishna, il symbolise la spontanéité de la vie, il a l'air de se rapporter à la forêt, mais leurs histoire sont trop vagues. Mois suivant, Bouddha, il est l’équivalent d’Horus, les moissons, les stocks s’épuisent, les gens commence à manquer mais le résultat des mois précédents donne lieu à des récoltes et distributions de denrée, ce qu’image certaines histoires de Bouddha. Mois suivant, Kalki, qui est symbolisé comme l’exterminateur et comme l’élu attendu dans les derniers jours, il marque de la fin du cycle, il est comme Anubis, ont remet tout en boite, les eaux et la vie disparaissent. Et le dernier Shiva, comme Atoum, c’est la partie sombre et destructeur est-il dit, c’est la fin de l’année, mois ou tout a disparu pour ensuite recommencer avec Vishnou qui est l’arrivée des eaux.
Même si elle est moins flagrante que celle d’Héliopolis c’est de toute façon la même chose, la première moitié est en rapport avec les eaux et la terre et la deuxième moitié en rapport aux végétations ou cultures.
Pour l’Inde les personnages sont nommés et dans l’ordre. Vishnou est le point de départ qui donne suite à dix avatars puis Shiva boucle l’année, nous avons donc les 12.
Vishnou est créateur, allongé sur le serpent, c’est la vie, donc les eaux, début d’année et commencement de l’histoire. Il devient Matsya le poisson qui est la deuxième étapes correspondant aux crues prenant de l’ampleur, symbolisé aussi avec le déluge, d’où l’histoire du petit poisson qui grossit et qui annonce le déluge, dès l'apparition de petit poissons dans le peu d'eau du fleuve ils annonçait les crues. Troisième mois, Kûrma la tortue, il parlent de barattages symbolisant le mélange d’une diversité, donc lié aux crues comme la terre, poisson, végétations, le lotus marque aussi la réapparition de la vie, c’est le résultat des crues, il devait y avoir des îlots qui disparaissaient sous les crues pour réapparaître quand les eaux se calmaient, c’est la tortue qui soulève la montagne. Mois suivant, Varâha le sanglier. Mois suivant Narasimba l’homme lion. Mois suivant, Vâmana le nain, il réclame une portion de terre. Mois suivant Parashu-rama, dans une de ces histoires il tue les fils de Kritaveerya et remplit cinq lacs de leur sang, le passage des crues devaient remplir de petit lac au abord du Gange, ou, il s’agit de lacs formés suite à la fonte des neiges provenant du mont Kailâsa. Mois suivant Râma, Râma et Sîta, comme Osiris et Isis, il doit s’agir de jeune pousse.
Mois suivant, Krishna, il symbolise la spontanéité de la vie, il a l'air de se rapporter à la forêt, mais leurs histoire sont trop vagues. Mois suivant, Bouddha, il est l’équivalent d’Horus, les moissons, les stocks s’épuisent, les gens commence à manquer mais le résultat des mois précédents donne lieu à des récoltes et distributions de denrée, ce qu’image certaines histoires de Bouddha. Mois suivant, Kalki, qui est symbolisé comme l’exterminateur et comme l’élu attendu dans les derniers jours, il marque de la fin du cycle, il est comme Anubis, ont remet tout en boite, les eaux et la vie disparaissent. Et le dernier Shiva, comme Atoum, c’est la partie sombre et destructeur est-il dit, c’est la fin de l’année, mois ou tout a disparu pour ensuite recommencer avec Vishnou qui est l’arrivée des eaux.
Même si elle est moins flagrante que celle d’Héliopolis c’est de toute façon la même chose, la première moitié est en rapport avec les eaux et la terre et la deuxième moitié en rapport aux végétations ou cultures.
pascal- Affranchi des Paradoxes
- Nombre de messages : 289
Date d'inscription : 25/01/2009
Sujets similaires
» L'Inde: reportages en ligne
» création de la mythologie d'Héliopolis
» mythologie Nordique
» zodiaque et mythologie
» relation bible et mythologie d'Héliopolis
» création de la mythologie d'Héliopolis
» mythologie Nordique
» zodiaque et mythologie
» relation bible et mythologie d'Héliopolis
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum