Le suaire de Turin
+36
Foetus.
Alice
Opaline
_L'Olivier
MystikSheep
Pakete
Copain_Cochon
_Coeur de Loi
Claude Dorpierre
Lila
Jacob
Bénédicte
Jipé
Leleu
anoxie
_pandore
_Spin
Geveil
Gerard
JO
jlouisalpha
Cochonfucius
pimo
YOD
s.cataldo
mario
idrom
Bulle
Magnus
_Le Grand Absent
ElBilqîs
Fabule
Wooden Ali
dan 26
libremax
bernard1933
40 participants
Page 13 sur 29
Page 13 sur 29 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14 ... 21 ... 29
Re: Le suaire de Turin
Mais il n'était pas anonyme ; et il y a un témoignage d'éveque qui disait le connaitre (je ne sais plus où mais je peux retrouver). Son nom ne nous est pas parvenu pour une raison très simple et ma foi très logique : c'était difficile d'exposer le linceul miraculeux avec dessus une signature d'artiste. Et nous étions en pleine époque de mécenat, détail qui a son poids.comment se fait-il que cet artiste prodigieux, il faut le dire, soit resté anonyme et n'ait pas produit d'autres oeuvres de cette qualité ???
Dans certains cas, l'anonymat est beaucoup plus porteur qu'une signature...
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le suaire de Turin
Bulle a écrit:Mais il n'était pas anonyme ; et il y a un témoignage d'éveque qui disait le connaitre (je ne sais plus où mais je peux retrouver). Son nom ne nous est pas parvenu pour une raison très simple et ma foi très logique : c'était difficile d'exposer le linceul miraculeux avec dessus une signature d'artiste. Et nous étions en pleine époque de mécenat, détail qui a son poids.comment se fait-il que cet artiste prodigieux, il faut le dire, soit resté anonyme et n'ait pas produit d'autres oeuvres de cette qualité ???
Dans certains cas, l'anonymat est beaucoup plus porteur qu'une signature...
Etrange réaction justement puisque l'Evêque en question est d'abord Henri de Poitiers sur les dire de Pierre d'Arcis ensuite qui JUSTEMENT pour dénoncer un faux a dit que c'était une peinture "habilement peinte" et que son prédécesseur (Henri de Poitiers donc) avait découvert cette fraude et avait trouvé le "faussaire". Donc il aurait été logique de dire qui il était et de donner la preuve de cette "peinture".. or là, point de nom, point de technique, aucune trace de document faisant référence à une quelconque enqête.. Rien de rien... Juste un écrit de Pierre d'Arcis non témoin des faits.
Alors pour une fois cher Bulle, permettez-moi de douter de vos références sans références et de vos preuves sans fondements puisqu'on ne connaît pas l'artiste et ses références artistiques (si ce linceul dénoncé est bien celui de Turin) ni son CV et si il a fait des études de peintre ...
Bon je vous taquine un peu mais les faits sont là.
Sinon pour clore "le débat" de mon côté, car je dois m'atteler à un autre projet, je tiens à signaler que T. Heimburger a publier son article sur le fil RAES 7.
Le lien sera sur mon site très bientôt :
www.linceul-turin.com
Si vous avez des questions, j'ai mis en place un forum sur mon site ou vous pouvez me contacter par mail.
Merci pour cet échange enrichissant.
A bientôt.
Re: Le suaire de Turin
Hello s.cataldo !
Je cite :
(…)Puis il étudie les origines du Saint Suaire de Lirey et prouve qu'il fut d'abord montré aux fidèles comme une simple peinture. La collégiale de Lirey fut fondée en l'honneur de l'Annonciation par Geoffroy Ier de Charny, seigneur de Savoisy et de Lirey en 1333. Quoi que les actes primordiaux n'en parlent pas, la relique existait dès cette époque puisque l'évêque de Troyes s'émut de son exposition et la fît enlever de l'église. D'après un mémoire de l'évêque Pierre d'Arcy, on obtint la confession du peintre qui avait artistement confectionné le suaire. Geoffroy II reçu enfin l'autorisation de replacer le suaire dans l'église. L'ostension fut permise par le pape Clément VII ; mais les cérémonies incriminées étaient interdites et celui qui montrait le Saint Suaire devait proclamer que ce n'était pas le vrai suaire de notre seigneur Jésus-Christ, mais une représentation. Enfin, on objecte que Clément VII n'était pas le pape de Rome ; il n'en avait pas moins dans son obédience tous les droits de la papauté. En 1418, la relique confiée à Humbert, Comte de Laroche, seigneur de Villersexel et de Lirey, gendre du successeur de Geoffroy II. Après la mort de ce seigneur, elle passa à sa veuve, Marguerite de Charny, qui la porta ans Hainaut en 1449. À la requête de l'évêque de Liège, elle fut obligée de montrer la Bulle de Clément VII qui témoignait que ce linge n'était pas le vrai suaire, mais une représentation figurée. Trois ans après, Marguerite se rendit en Savoie, à la cour de Louis Ier et de sa femme, Anne de Lusignan, et elle leur fit don de la relique.[/quote]
Sources : Bruel Alexandre - Bibliothèque de l'école des chartes Année 1901 Volume 62 Numéro 62 pp. 280-283 - A propos de : Chanoine Ulysse Chevalier. Étude critique sur l'origine du saint suaire de Lirey-Chambéry-Turin
Oui je sais Poulle a émis des doutes sur la fiabilité..., mais les documents cités là ne sont pas contestés, à part un ut et tanquam qui ne changent pas grand chose au fond... : il ne fallait pas considérer le suaire comme une relique.
Tss tss...Alors pour une fois cher Bulle, permettez-moi de douter de vos références sans références et de vos preuves sans fondements puisqu'on ne connaît pas l'artiste et ses références artistiques (si ce linceul dénoncé est bien celui de Turin) ni son CV et si il a fait des études de peintre ...
Bon je vous taquine un peu mais les faits sont là.
Je cite :
(…)Puis il étudie les origines du Saint Suaire de Lirey et prouve qu'il fut d'abord montré aux fidèles comme une simple peinture. La collégiale de Lirey fut fondée en l'honneur de l'Annonciation par Geoffroy Ier de Charny, seigneur de Savoisy et de Lirey en 1333. Quoi que les actes primordiaux n'en parlent pas, la relique existait dès cette époque puisque l'évêque de Troyes s'émut de son exposition et la fît enlever de l'église. D'après un mémoire de l'évêque Pierre d'Arcy, on obtint la confession du peintre qui avait artistement confectionné le suaire. Geoffroy II reçu enfin l'autorisation de replacer le suaire dans l'église. L'ostension fut permise par le pape Clément VII ; mais les cérémonies incriminées étaient interdites et celui qui montrait le Saint Suaire devait proclamer que ce n'était pas le vrai suaire de notre seigneur Jésus-Christ, mais une représentation. Enfin, on objecte que Clément VII n'était pas le pape de Rome ; il n'en avait pas moins dans son obédience tous les droits de la papauté. En 1418, la relique confiée à Humbert, Comte de Laroche, seigneur de Villersexel et de Lirey, gendre du successeur de Geoffroy II. Après la mort de ce seigneur, elle passa à sa veuve, Marguerite de Charny, qui la porta ans Hainaut en 1449. À la requête de l'évêque de Liège, elle fut obligée de montrer la Bulle de Clément VII qui témoignait que ce linge n'était pas le vrai suaire, mais une représentation figurée. Trois ans après, Marguerite se rendit en Savoie, à la cour de Louis Ier et de sa femme, Anne de Lusignan, et elle leur fit don de la relique.[/quote]
Sources : Bruel Alexandre - Bibliothèque de l'école des chartes Année 1901 Volume 62 Numéro 62 pp. 280-283 - A propos de : Chanoine Ulysse Chevalier. Étude critique sur l'origine du saint suaire de Lirey-Chambéry-Turin
Oui je sais Poulle a émis des doutes sur la fiabilité..., mais les documents cités là ne sont pas contestés, à part un ut et tanquam qui ne changent pas grand chose au fond... : il ne fallait pas considérer le suaire comme une relique.
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le suaire de Turin
Bulle, il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, dit le proverbe. Et tu ne vas quand même pas casser le fonds de commerce !
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le suaire de Turin
bernard1933 a écrit:Bulle, il n'y a de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, dit le proverbe. Et tu ne vas quand même pas casser le fonds de commerce !
Là, Bernard, tu es à côté de la plaque,car il ne s'agit pas de fond de commerce, mais d'un mystère scientifique .
L'Eglise a accepté, sans arrière-pensée aucune, les conclusions de l'analyse au carbone 14.
Mais cette datation médiévale posait tellement de problèmes,de questions, de mystères d'ordre scientifiques, d'absurdités même, que certains chercheurs ont posé, dès 1989,la question de la fiabilité de la méthode de datation.Et cela en bousculant à la fois le "scientifiquement correct" des savants de l'époque, et le religieusement correct d'une Eglise durablement sceptique ...
Cordialement.
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
Mario, Bulle a "pioché" le sujet avec l'acharnement d'un Franc-Comtois !
Si l'Eglise a " rangé son tablier", c' est qu'il n'y avait plus aucun espoir !
Et puis, le visage représenté sur le Suaire est trop beau pour être vrai !
Ce n'est pas celui d'un torturé ! Je te rappelle que je suis resté pantois devant lui, moi, un pauvre bougre ! Amitiés !
Si l'Eglise a " rangé son tablier", c' est qu'il n'y avait plus aucun espoir !
Et puis, le visage représenté sur le Suaire est trop beau pour être vrai !
Ce n'est pas celui d'un torturé ! Je te rappelle que je suis resté pantois devant lui, moi, un pauvre bougre ! Amitiés !
bernard1933- Aka Tpat
- Nombre de messages : 10079
Localisation : Dijon
Identité métaphysique : agnostique
Humeur : serein
Date d'inscription : 23/03/2008
Re: Le suaire de Turin
Ce sera peut-être un peu long mais voici quelques recherches faites par les témoins de Jéhovah:
*** w89 15/1 p. 30 Regard sur l’actualité ***
Des expertises scientifiques ont récemment confirmé que le Suaire de Turin est un faux datant du XIVe siècle. Malgré tout, “les catholiques ont été encouragés à continuer de vénérer le suaire en le considérant comme une représentation du Christ, toujours susceptible d’accomplir des miracles”, rapporte le New York Times. L’archevêque de Turin, Anastasio Ballestrero, a déclaré qu’“il faut préserver l’exceptionnel pouvoir d’évocation de l’image de Jésus Christ”.
Qu’est-ce à dire? Tout en admettant que l’empreinte d’un corps d’homme visible sur le suaire n’est pas celle de Jésus Christ, l’Église encourage les catholiques fidèles à continuer de la considérer comme si elle l’était et, en conséquence, de la tenir pour sainte. Pourquoi? Selon Adam Otterbein, prêtre catholique responsable de la Confrérie du Saint-Suaire, de telles reliques peuvent aider les croyants à rendre honneur à celui qu’elles évoquent.
Il n’est guère surprenant que le suaire reste un puissant article de foi pour l’Église catholique, bien qu’il ne soit pas authentique. En effet, comme le fait remarquer le New York Times, “statues, images et icônes (...) font l’objet d’une vénération dans le culte catholique”.
La Bible encourage-t-elle l’emploi d’images de ce genre dans le culte? Certainement pas! La Parole de Dieu dit clairement: “Fuyez l’idolâtrie.” (1 Corinthiens 10:14; voir Exode 20:4-6). Les chrétiens sont exhortés à adorer Dieu “avec l’esprit et la vérité”, et non à l’aide d’images ou de reliques (Jean 4:24). Paul écrivit à juste titre que les vrais chrétiens ‘marchent par la foi, non par la vue’. — 2 Corinthiens 5:7.
*** g98 22/12 p. 23-24 Le suaire de Turin a-t-il enveloppé le corps de Jésus ? ***
Le suaire de Turin a-t-il enveloppé le corps de Jésus ?
DE NOTRE CORRESPONDANT EN ITALIE
Le suaire, ou linceul, qui aurait enveloppé le corps de Jésus de Nazareth après sa mort a été exposé du 18 avril au 14 juin 1998 dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin. Il était présenté dans un châssis étanche en verre, pare-balles et rempli de gaz inerte, qui assurait des conditions de température et d’hygrométrie stables.
LES visiteurs défilaient devant le suaire bien protégé en passant sur trois déambulatoires de hauteurs légèrement différentes. Cela offrait à chacun les meilleures conditions d’observation possible. La durée des visites, uniquement sur réservation, était limitée à deux minutes. Les attitudes affichées par les visiteurs allaient du recueillement extatique et ému à la simple curiosité. On a avancé le chiffre de 2,5 millions de visiteurs.
“ Que représente le suaire pour vous ? ” a-t-on souvent demandé à ces personnes. Pour quelqu’un qui aime discuter de questions religieuses, cet événement était une excellente occasion d’examiner le sujet de plus près et de relire les pages de la Bible parlant de la mise au tombeau de Jésus.
Le suaire est une pièce de lin de 4,36 mètres de long sur 1,10 mètre de large portant l’empreinte du corps d’un homme qui aurait, dit-on, subi une mort violente. Mais la question qui se pose est de savoir si le suaire de Turin est celui qui a servi à envelopper le corps de Jésus il y a plus de 19 siècles.
Un peu d’histoire
“ Aucun document ne mentionne l’existence d’un suaire dans les premiers siècles de l’ère chrétienne ”, lit-on dans la Nouvelle encyclopédie catholique (angl.). Il est question en 544 de notre ère d’une image prétendument d’origine surnaturelle à Édesse, une localité aujourd’hui située en Turquie. L’image en question aurait reproduit le visage de Jésus. En 944, cette image se serait trouvée à Constantinople. La plupart des historiens ne croient pas que l’on puisse identifier cette relique à ce qu’on appelle aujourd’hui le suaire de Turin.
En France, au début du XIVe siècle, Geoffroi de Charny est en possession d’un suaire. En 1453, ce suaire devient la propriété de Louis, duc de Savoie, qui l’installe dans une église de Chambéry, la capitale savoyarde. En 1578, Emmanuel Philibert le transfère à Turin.
Avis partagés
En 1988, Anastasio Ballestrero, alors archevêque de Turin, permet que le suaire subisse une datation au radiocarbone pour déterminer son âge. Les tests, réalisés par trois laboratoires prestigieux de Suisse, d’Angleterre et des États-Unis, révèlent qu’il date de l’époque médiévale et n’est donc apparu que bien longtemps après la mort du Christ. Anastasio Ballestrero accepte le verdict et conclut dans une déclaration officielle : “ En remettant à la science l’appréciation de ces résultats, l’Église reconfirme son respect et sa vénération pour cette vénérable icône du Christ, qui reste objet du culte des fidèles. ”
Giovanni Saldarini, l’actuel archevêque, a déclaré : “ Nous ne pouvons pas dire que cette image est celle du Christ descendu de la croix. ” Pourtant, il a affirmé dans la même déclaration : “ Il ne fait pas de doute que le croyant peut voir en cette empreinte l’image de l’homme décrit par les Évangiles. ” Le 24 mai 1998, durant l’ostension du suaire, le pape Jean-Paul II a qualifié l’image d’“ empreinte du corps martyrisé du Crucifié ”.
On le constate, les faits tendent fortement à infirmer que le suaire de Turin ait servi à envelopper le corps de Jésus. Et en supposant que ce serait quand même le cas, serait-il convenable pour quelqu’un qui veut obéir aux enseignements de la Bible de vénérer ce linceul ?
Reportons-nous au deuxième des Dix Commandements, qui dit selon une traduction catholique de la Bible : “ Tu ne te feras pas de statue ni aucune forme de ce qui est dans le ciel en haut, ou de ce qui est sur la terre en bas, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras pas devant eux. ” (Exode 20:4, 5, Osty). Les vrais chrétiens prennent donc à cœur les paroles de l’apôtre Paul : “ Nous marchons par la foi, non par la vue. ” — 2 Corinthiens 5:7 ; 1 Jean 5:21.
Le suaire et le récit des Évangiles
Les évangélistes disent que le corps de Jésus, après avoir été descendu du poteau par Joseph d’Arimathée, fut enveloppé “ dans un fin lin pur ”. (Matthieu 27:57-61 ; Marc 15:42-47 ; Luc 23:50-56.) L’apôtre Jean ajoute : “ Nicodème [...] vint aussi, apportant un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” — Jean 19:39-42.
Les Juifs avaient coutume de laver le mort et ensuite d’oindre son corps avec des huiles et des aromates (Matthieu 26:12 ; Actes 9:37). Le matin suivant le sabbat, des amies de Jésus voulurent achever la préparation du corps, qui avait déjà été déposé dans une tombe. Toutefois, quand elles arrivèrent avec leurs ‘ aromates pour l’en enduire ’, le corps de Jésus n’était pas dans la tombe ! — Marc 16:1-6 ; Luc 24:1-3.
Que découvrit Pierre quand, arrivant peu après, il entra dans la tombe ? Jean, qui fut témoin oculaire de l’événement, raconte : “ Il vit les bandes posées là, et aussi le tissu qui s’était trouvé sur sa tête, non pas posé avec les bandes, mais roulé à part en un seul endroit. ” (Jean 20:6, 7). On notera qu’il n’est pas question du fin lin, mais seulement des bandes et du tissu qui couvrait la tête. Puisque Jean précise qu’il y avait les bandes et le tissu qui couvrait la tête, n’aurait-il pas certainement mentionné le fin lin, ou suaire, s’il s’en était trouvé un là ?
À noter également ceci : si les linges mortuaires de Jésus avaient porté une image, ce détail n’aurait-il pas été remarqué et n’en aurait-on pas parlé ? Pourtant, en dehors des Évangiles, la Bible est totalement silencieuse sur la question des linges mortuaires.
Même les “ auteurs chrétiens ” des troisième et quatrième siècles, dont beaucoup ont évoqué quantité de prétendus miracles liés à d’innombrables reliques, n’ont pas fait état de l’existence d’un suaire portant l’image de Jésus. Cela est difficile à comprendre puisque, comme le raconte le chercheur jésuite Herbert Thurston, selon les personnes qui ont vu l’icône aux XVe et XVIe siècles “ les impressions sur le suaire présentaient des détails et des couleurs si nets que l’on aurait cru qu’elles venaient d’être faites ”.
*** w89 15/1 p. 30 Regard sur l’actualité ***
Des expertises scientifiques ont récemment confirmé que le Suaire de Turin est un faux datant du XIVe siècle. Malgré tout, “les catholiques ont été encouragés à continuer de vénérer le suaire en le considérant comme une représentation du Christ, toujours susceptible d’accomplir des miracles”, rapporte le New York Times. L’archevêque de Turin, Anastasio Ballestrero, a déclaré qu’“il faut préserver l’exceptionnel pouvoir d’évocation de l’image de Jésus Christ”.
Qu’est-ce à dire? Tout en admettant que l’empreinte d’un corps d’homme visible sur le suaire n’est pas celle de Jésus Christ, l’Église encourage les catholiques fidèles à continuer de la considérer comme si elle l’était et, en conséquence, de la tenir pour sainte. Pourquoi? Selon Adam Otterbein, prêtre catholique responsable de la Confrérie du Saint-Suaire, de telles reliques peuvent aider les croyants à rendre honneur à celui qu’elles évoquent.
Il n’est guère surprenant que le suaire reste un puissant article de foi pour l’Église catholique, bien qu’il ne soit pas authentique. En effet, comme le fait remarquer le New York Times, “statues, images et icônes (...) font l’objet d’une vénération dans le culte catholique”.
La Bible encourage-t-elle l’emploi d’images de ce genre dans le culte? Certainement pas! La Parole de Dieu dit clairement: “Fuyez l’idolâtrie.” (1 Corinthiens 10:14; voir Exode 20:4-6). Les chrétiens sont exhortés à adorer Dieu “avec l’esprit et la vérité”, et non à l’aide d’images ou de reliques (Jean 4:24). Paul écrivit à juste titre que les vrais chrétiens ‘marchent par la foi, non par la vue’. — 2 Corinthiens 5:7.
*** g98 22/12 p. 23-24 Le suaire de Turin a-t-il enveloppé le corps de Jésus ? ***
Le suaire de Turin a-t-il enveloppé le corps de Jésus ?
DE NOTRE CORRESPONDANT EN ITALIE
Le suaire, ou linceul, qui aurait enveloppé le corps de Jésus de Nazareth après sa mort a été exposé du 18 avril au 14 juin 1998 dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin. Il était présenté dans un châssis étanche en verre, pare-balles et rempli de gaz inerte, qui assurait des conditions de température et d’hygrométrie stables.
LES visiteurs défilaient devant le suaire bien protégé en passant sur trois déambulatoires de hauteurs légèrement différentes. Cela offrait à chacun les meilleures conditions d’observation possible. La durée des visites, uniquement sur réservation, était limitée à deux minutes. Les attitudes affichées par les visiteurs allaient du recueillement extatique et ému à la simple curiosité. On a avancé le chiffre de 2,5 millions de visiteurs.
“ Que représente le suaire pour vous ? ” a-t-on souvent demandé à ces personnes. Pour quelqu’un qui aime discuter de questions religieuses, cet événement était une excellente occasion d’examiner le sujet de plus près et de relire les pages de la Bible parlant de la mise au tombeau de Jésus.
Le suaire est une pièce de lin de 4,36 mètres de long sur 1,10 mètre de large portant l’empreinte du corps d’un homme qui aurait, dit-on, subi une mort violente. Mais la question qui se pose est de savoir si le suaire de Turin est celui qui a servi à envelopper le corps de Jésus il y a plus de 19 siècles.
Un peu d’histoire
“ Aucun document ne mentionne l’existence d’un suaire dans les premiers siècles de l’ère chrétienne ”, lit-on dans la Nouvelle encyclopédie catholique (angl.). Il est question en 544 de notre ère d’une image prétendument d’origine surnaturelle à Édesse, une localité aujourd’hui située en Turquie. L’image en question aurait reproduit le visage de Jésus. En 944, cette image se serait trouvée à Constantinople. La plupart des historiens ne croient pas que l’on puisse identifier cette relique à ce qu’on appelle aujourd’hui le suaire de Turin.
En France, au début du XIVe siècle, Geoffroi de Charny est en possession d’un suaire. En 1453, ce suaire devient la propriété de Louis, duc de Savoie, qui l’installe dans une église de Chambéry, la capitale savoyarde. En 1578, Emmanuel Philibert le transfère à Turin.
Avis partagés
En 1988, Anastasio Ballestrero, alors archevêque de Turin, permet que le suaire subisse une datation au radiocarbone pour déterminer son âge. Les tests, réalisés par trois laboratoires prestigieux de Suisse, d’Angleterre et des États-Unis, révèlent qu’il date de l’époque médiévale et n’est donc apparu que bien longtemps après la mort du Christ. Anastasio Ballestrero accepte le verdict et conclut dans une déclaration officielle : “ En remettant à la science l’appréciation de ces résultats, l’Église reconfirme son respect et sa vénération pour cette vénérable icône du Christ, qui reste objet du culte des fidèles. ”
Giovanni Saldarini, l’actuel archevêque, a déclaré : “ Nous ne pouvons pas dire que cette image est celle du Christ descendu de la croix. ” Pourtant, il a affirmé dans la même déclaration : “ Il ne fait pas de doute que le croyant peut voir en cette empreinte l’image de l’homme décrit par les Évangiles. ” Le 24 mai 1998, durant l’ostension du suaire, le pape Jean-Paul II a qualifié l’image d’“ empreinte du corps martyrisé du Crucifié ”.
On le constate, les faits tendent fortement à infirmer que le suaire de Turin ait servi à envelopper le corps de Jésus. Et en supposant que ce serait quand même le cas, serait-il convenable pour quelqu’un qui veut obéir aux enseignements de la Bible de vénérer ce linceul ?
Reportons-nous au deuxième des Dix Commandements, qui dit selon une traduction catholique de la Bible : “ Tu ne te feras pas de statue ni aucune forme de ce qui est dans le ciel en haut, ou de ce qui est sur la terre en bas, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras pas devant eux. ” (Exode 20:4, 5, Osty). Les vrais chrétiens prennent donc à cœur les paroles de l’apôtre Paul : “ Nous marchons par la foi, non par la vue. ” — 2 Corinthiens 5:7 ; 1 Jean 5:21.
Le suaire et le récit des Évangiles
Les évangélistes disent que le corps de Jésus, après avoir été descendu du poteau par Joseph d’Arimathée, fut enveloppé “ dans un fin lin pur ”. (Matthieu 27:57-61 ; Marc 15:42-47 ; Luc 23:50-56.) L’apôtre Jean ajoute : “ Nicodème [...] vint aussi, apportant un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” — Jean 19:39-42.
Les Juifs avaient coutume de laver le mort et ensuite d’oindre son corps avec des huiles et des aromates (Matthieu 26:12 ; Actes 9:37). Le matin suivant le sabbat, des amies de Jésus voulurent achever la préparation du corps, qui avait déjà été déposé dans une tombe. Toutefois, quand elles arrivèrent avec leurs ‘ aromates pour l’en enduire ’, le corps de Jésus n’était pas dans la tombe ! — Marc 16:1-6 ; Luc 24:1-3.
Que découvrit Pierre quand, arrivant peu après, il entra dans la tombe ? Jean, qui fut témoin oculaire de l’événement, raconte : “ Il vit les bandes posées là, et aussi le tissu qui s’était trouvé sur sa tête, non pas posé avec les bandes, mais roulé à part en un seul endroit. ” (Jean 20:6, 7). On notera qu’il n’est pas question du fin lin, mais seulement des bandes et du tissu qui couvrait la tête. Puisque Jean précise qu’il y avait les bandes et le tissu qui couvrait la tête, n’aurait-il pas certainement mentionné le fin lin, ou suaire, s’il s’en était trouvé un là ?
À noter également ceci : si les linges mortuaires de Jésus avaient porté une image, ce détail n’aurait-il pas été remarqué et n’en aurait-on pas parlé ? Pourtant, en dehors des Évangiles, la Bible est totalement silencieuse sur la question des linges mortuaires.
Même les “ auteurs chrétiens ” des troisième et quatrième siècles, dont beaucoup ont évoqué quantité de prétendus miracles liés à d’innombrables reliques, n’ont pas fait état de l’existence d’un suaire portant l’image de Jésus. Cela est difficile à comprendre puisque, comme le raconte le chercheur jésuite Herbert Thurston, selon les personnes qui ont vu l’icône aux XVe et XVIe siècles “ les impressions sur le suaire présentaient des détails et des couleurs si nets que l’on aurait cru qu’elles venaient d’être faites ”.
pimo- Sorti de l'oeuf
- Nombre de messages : 23
Localisation : Belgique
Identité métaphysique : Témoin de Jéhovah
Humeur : Chrétienne
Date d'inscription : 05/05/2009
Re: Le suaire de Turin
pimo a écrit:Le suaire et le récit des Évangiles
Les évangélistes disent que le corps de Jésus, après avoir été descendu du poteau par Joseph d’Arimathée, fut enveloppé “ dans un fin lin pur ”. (Matthieu 27:57-61 ; Marc 15:42-47 ; Luc 23:50-56.) L’apôtre Jean ajoute : “ Nicodème [...] vint aussi, apportant un rouleau de myrrhe et d’aloès, environ cent livres. Ils prirent donc le corps de Jésus et le lièrent de bandes avec les aromates, comme les Juifs ont coutume de préparer un enterrement. ” — Jean 19:39-42.
Donc, la partie prélevée pour la datation au carbone 14 n’était qu’une "raccomodure" médiévale, puisqu’il y a du coton dans le prélèvement. C’est d’ailleurs ce que S. Cataldo a voulu nous préciser dans les pages précédentes !!!
pimo a écrit:Que découvrit Pierre quand, arrivant peu après, il entra dans la tombe ? Jean, qui fut témoin oculaire de l’événement, raconte : “ Il vit les bandes posées là, et aussi le tissu qui s’était trouvé sur sa tête, non pas posé avec les bandes, mais roulé à part en un seul endroit. ” (Jean 20:6, 7). On notera qu’il n’est pas question du fin lin, mais seulement des bandes et du tissu qui couvrait la tête. Puisque Jean précise qu’il y avait les bandes et le tissu qui couvrait la tête, n’aurait-il pas certainement mentionné le fin lin, ou suaire, s’il s’en était trouvé un là ?
Je reprends ce que j’avais écrit un peu plus haut .
Les bandelettes, Pimo, avaient une raison d’être, tu t’en doutes ! Comme toute bandelette, elles avaient mission de lier, d’attacher, et dans le cas du corps un défunt, d’attacher le drap, ou linceul qui enferme le corps . Elles sont nécessaire, si on veut que le linceul reste bien enveloppant ! Lorsque les bandelettes sont découpées dans le drap même servant de linceul et qu’elles sont assez larges, elles empêchent de distinguer du premier coup d’oeil le linceul lui -même.
L'évangéliste Jean dit ce qu’on voit au premier abord : les bandelettes de Lazare que Jésus demande de dénouer, pour libérer son ami . Ainsi que, à terre et non dénouées,les bandelettes ayant servi à lier le linceul.
Et le disciple, s‘ "il vit et il crut" , c’est parce que ces bandelettes étaient non dénouées et qu’elles reposaient à plat, affaissées (gisant à terre) autour du linceul vide, non dénouées, non défaites, non manipulées par des mains d’homme !
Jn 20:5- Se penchant, il aperçoit les bandelettes, gisant à terre ; pourtant il n'entra pas.
Jn 20:6- Alors arrive aussi Simon-Pierre, qui le suivait ; il entra dans le tombeau ; et il voit les bandelettes, gisant à terre,
Jn 20:7- ainsi que le suaire qui avait recouvert sa tête ; non pas avec les bandelettes, mais roulé à part dans un endroit.
Jn 20:8- Alors entra aussi l'autre disciple, arrivé le premier au tombeau. Il vit et il crut.
Il est évident que, si les bandelettes avaient été dénouées et si le linceul avait été ouvert, les deux apôtres auraient tout de suite pensé logiquement que le corps avait été dérobé, ce qui aurait été tout à fait plausible !!!
pimo a écrit:noter également ceci : si les linges mortuaires de Jésus avaient porté une image, ce détail n’aurait-il pas été remarqué et n’en aurait-on pas parlé ?
Justement, le linceul n’étant pas ouvert, mais affaissé, on ne pouvait pas voir l’intérieur du linge, et l’image -- si image il y a-- était imprimée à l’intérieur du linge...
Cordialement.
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
chaîne : La Une (Belge)
La date : 20/05/2009
Le début : 20.30
La fin : 21.45
Le genre : magazine
Info : Magazine d’enquêtes présenté par Bruno Clément.
Contenu : Benoît XVI crucifie-t-il l’Eglise? Est-ce de la maladresse ou une volonté délibérée? Quelles qu’en soient les intentions, les actions posées par le pape et ses propos ne font pas l’unanimité, y compris parmis ses ouailles. Quand il accuse le préservatif d’être inefficace voire d’aggraver la situation pour lutter contre le sida, quand il propose de lever l’excommunication d’évêques intégristes et pour l’un d’entre eux carrément négationniste, quand il ne trouve rien à redire à la décision d’un archevêque brésilien excommuniant une maman pour avoir fait avorter une petite fille de 9 ans violée par son beau-père, Benoît XVI s’isole non seulement du monde laïque mais aussi de nombreux croyants désarçonnés par une telle intransigeance.
A-t-on percé le mystère du Saint Suaire? une adaptation de Franck Istasse. Le «Suaire de Turin», ce célèbre et mystérieux drap de lin représentant les traits d'un homme crucifié, a-t-il réellement entouré le corps du Christ juste après sa mort? En 1988, des analyses au carbone 14 concluaient sans appel: « Le suaire est un faux datant du 14e siècle».
La date : 20/05/2009
Le début : 20.30
La fin : 21.45
Le genre : magazine
Info : Magazine d’enquêtes présenté par Bruno Clément.
Contenu : Benoît XVI crucifie-t-il l’Eglise? Est-ce de la maladresse ou une volonté délibérée? Quelles qu’en soient les intentions, les actions posées par le pape et ses propos ne font pas l’unanimité, y compris parmis ses ouailles. Quand il accuse le préservatif d’être inefficace voire d’aggraver la situation pour lutter contre le sida, quand il propose de lever l’excommunication d’évêques intégristes et pour l’un d’entre eux carrément négationniste, quand il ne trouve rien à redire à la décision d’un archevêque brésilien excommuniant une maman pour avoir fait avorter une petite fille de 9 ans violée par son beau-père, Benoît XVI s’isole non seulement du monde laïque mais aussi de nombreux croyants désarçonnés par une telle intransigeance.
A-t-on percé le mystère du Saint Suaire? une adaptation de Franck Istasse. Le «Suaire de Turin», ce célèbre et mystérieux drap de lin représentant les traits d'un homme crucifié, a-t-il réellement entouré le corps du Christ juste après sa mort? En 1988, des analyses au carbone 14 concluaient sans appel: « Le suaire est un faux datant du 14e siècle».
Invité- Invité
Re: Le suaire de Turin
leela a écrit:chaîne : La Une (Belge)
La date : 20/05/2009
Le début : 20.30
La fin : 21.45
Le genre : magazine
Info : Magazine d’enquêtes présenté par Bruno Clément.
Contenu : Benoît XVI crucifie-t-il l’Eglise?
.....................................
Déclaration de Benoît XVI sur la levée des excommunications :
« Dans l’homélie que j’ai prononcée à l’occasion de l’inauguration solennelle de mon pontificat, je disais que le devoir explicite du Pasteur est d’appeler à l’unité, et, commentant les paroles évangéliques relative à la pêche miraculeuse, j’ai dit : «Et, malgré cette quantité, le filet ne s’était pas déchiré » et je poursuivais, après, avec ces paroles évangéliques : « Hélas, Seigneur bien-aimé, aujourd’hui le filet s’est déchiré, aurions-nous envie de dire avec tristesse ». Et je continuais : « Mais non – nous ne devons pas être tristes ! Réjouissons-nous de ta promesse, qui ne déçoit pas, et faisons tout ce qui est possible pour parcourir la route vers l’unité que tu as promise. Ne permets pas que ton filet se déchire et aide-nous à être des serviteurs de l’unité ! »
C’est justement pour accomplir ce service de l’unité, qui qualifie de manière spécifique mon ministère de Successeur de Pierre, que j’ai décidé il y a quelques jours de concéder la levée de l’excommunication encourue par les quatre évêques ordonnés en 1988 par Mgr Lefebvre sans mandat pontifical. J’ai accompli cet acte de miséricorde paternelle parce que ces évêques m’ont manifesté à plusieurs reprises la vive souffrance pour la situation dans laquelle ils se trouvaient. J’espère que mon geste sera suivi de leur part d’un engagement à accomplir les pas successifs, nécessaires pour réaliser la pleine communion avec l’Eglise, témoignant ainsi une vraie fidélité et une reconnaissance véritable du magistère et de l’autorité du pape et du Concile Vatican II.
Sur l’usage du préservatif .Extrait de la réaction de Jean-Luc Marion ,de l’Académie française :
" ..................Seconde évidence, la violence des réactions dépasse les désaccords sur des points disputés : elle atteste que certaines choses ne doivent pas être dites. Non seulement le pape n’a pas droit à l’erreur, mais il n’a pas le droit de tout dire, surtout si c’est une vérité. Cela, nos contemporains ne peuvent pas, ne veulent pas se l’entendre dire. Par exemple, on ne doit sous aucun prétexte suggérer que, dans certains cas (ainsi l’épidémie du sida), la maîtrise de l’exercice de la sexualité constitue, à long terme, le remède le plus efficace.
En effet, si l’on tient la satisfaction de la pulsion sexuelle pour une nécessité inéluctable de la nature humaine, en appeler à une maîtrise devient évidemment une pure provocation à l’impossible."
leela a écrit:A-t-on percé le mystère du Saint Suaire? une adaptation de Franck Istasse. Le «Suaire de Turin», ce célèbre et mystérieux drap de lin représentant les traits d'un homme crucifié, a-t-il réellement entouré le corps du Christ juste après sa mort? En 1988, des analyses au carbone 14 concluaient sans appel: « Le suaire est un faux datant du 14e siècle».
Lis les interventions des uns et des autres sur ce fil, et tu verras que les choses ne sont pas si simples !!!
Cordialement.
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
Rassure toi, Mario, ce n'est pas moi qui ai écrit cela. En fait je me sens très peu concernée par le suaire de Turin, tout en reconnaissant que c'est une énigme historique intéressante pour les spécialistes... Mais comme je savais qu'il y avait quelques passionnés ici, j'ai filé l'info.
Elle sera bientôt rediffusée, et visible sur internet: http://blogrtbf.typepad.com/qalu/2009/05/index.html
Elle sera bientôt rediffusée, et visible sur internet: http://blogrtbf.typepad.com/qalu/2009/05/index.html
Invité- Invité
Re: Le suaire de Turin
Mario a dit
En réalité tout le catholicisme est fondé sur la "résurrection" et la chute des cours catholiques, l'arrivée d'un pape traditionnaliste relancent les futures ventes de bibelots en tout genre qui tournent autour de l'objet.
Au fait comment se fait-il que le linceul se décolore depuis quelques temps après avoir traversé les siècles tout neuf tout beau ?
Faut vraiment être abruti pour donner juste là où c'est "raccomodé" pour l'analyseDonc, la partie prélevée pour la datation au carbone 14 n’était qu’une "raccomodure" médiévale, puisqu’il y a du coton dans le prélèvement. C’est d’ailleurs ce que S. Cataldo a voulu nous préciser dans les pages précédentes !!!
En réalité tout le catholicisme est fondé sur la "résurrection" et la chute des cours catholiques, l'arrivée d'un pape traditionnaliste relancent les futures ventes de bibelots en tout genre qui tournent autour de l'objet.
Au fait comment se fait-il que le linceul se décolore depuis quelques temps après avoir traversé les siècles tout neuf tout beau ?
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le suaire de Turin
Bulle a écrit:Mario a ditFaut vraiment être abruti pour donner juste là où c'est "raccomodé" pour l'analyseDonc, la partie prélevée pour la datation au carbone 14 n’était qu’une "raccomodure" médiévale, puisqu’il y a du coton dans le prélèvement. C’est d’ailleurs ce que S. Cataldo a voulu nous préciser dans les pages précédentes !!!
En réalité tout le catholicisme est fondé sur la "résurrection" et la chute des cours catholiques, l'arrivée d'un pape traditionnaliste relancent les futures ventes de bibelots en tout genre qui tournent autour de l'objet.
Au fait comment se fait-il que le linceul se décolore depuis quelques temps après avoir traversé les siècles tout neuf tout beau ?
Cataldo a bien précisé que ce raccomodage était si bien fait qu'il était invisible à l'oeil nu ...
La vente de bibelots autour du linceul... Ah bon !!! Je n'étais pas au courant ! Où peut-on en trouver ???
Quant à la décoloration !?!?! "La pollution, mon bon monsieur,la pollution!!! + le réchauffement climatique, bien sûr, mon pauvre monsieur" !!! lol !!! :yahoo:
Cordialement.
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
Ben voyons ! Je rappelle que la prise d'échantillon a eu lieu en présence de deux experts textile : Vial et Testore et qu'il fût, bien entendu "éloigné de tout rapiéçage et de toute zone carbonisée" !!!Mario a dit :
Cataldo a bien précisé que ce raccomodage était si bien fait qu'il était invisible à l'oeil nu ...
Ben tu as déjà le bouquin de s.cataldoLa vente de bibelots autour du linceul... Ah bon !!! Je n'étais pas au courant ! Où peut-on en trouver ???
(j'déconne hein !)
Où allons nous ma pov'dame !Quant à la décoloration !?!?! "La pollution, mon bon monsieur,la pollution!!! + le réchauffement climatique, bien sûr, mon pauvre monsieur" !!! lol !!! :yahoo:
Mais j'y pense, si la preuve de la résurrection ne résiste pas à l'épreuve du temps, on s'est fait rouler sur la marchandise !!!
Ah ces juifs alors...
- Spoiler:
- Pas taper Gerêve hein
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le suaire de Turin
Bulle a écrit:Où allons nous ma pov'dame !
Mais j'y pense, si la preuve de la résurrection ne résiste pas à l'épreuve du temps, on s'est fait rouler sur la marchandise !!!
Ah ces juifs alors...
:anh:
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
Rooooo c'était de l'humour Mario
Bon j'avoue que c'est un tantinet capilotracté vu ton smiley
Bon j'avoue que c'est un tantinet capilotracté vu ton smiley
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le suaire de Turin
Bulle a écrit:Rooooo c'était de l'humour Mario
Bon j'avoue que c'est un tantinet capilotracté vu ton smiley
Je l'avais compris comme ça,t'inquiète,cher Bulle.
Bravo pour ton néologisme "capilotracté" : je n'aurais pas su l'inventer, !!! je le mettrai dans mes fiches lexicales !!!lol!!!
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
ici une source:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Liste_de_termes_d'argot_Internet#capillotract.C3.A9
et des explications.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Liste_de_termes_d'argot_Internet#capillotract.C3.A9
et des explications.
Re: Le suaire de Turin
excuses, le lien ci-dessus ne marche pas, voir plutôt
http://www.google.fr/search?q=capillotract%C3%A9+%22fr.wikipedia.org%22
pour la même page.
http://www.google.fr/search?q=capillotract%C3%A9+%22fr.wikipedia.org%22
pour la même page.
Re: Le suaire de Turin
Merci pour la correction Confucius !
Je ne me souviens plus, ce n'est pas Desproges le papa du mot ?
Je ne me souviens plus, ce n'est pas Desproges le papa du mot ?
_________________
Hello Invité ! Le du 01 novembre 2024 est en ligne et accessible directement en cliquant sur "Meta-Quizz" .
Vous pouvez choisir le thème du prochain quizz en cliquant ICI , pour participer au sondage !
Re: Le suaire de Turin
je crois que c'est beaucoup plus ancien...
Je vais demander à un directeur de recherches du CNRS en linguistique de mobiliser quelques stagiaires sur ce dossier.
:-)
Je vais demander à un directeur de recherches du CNRS en linguistique de mobiliser quelques stagiaires sur ce dossier.
:-)
Re: Le suaire de Turin
Cochonfucius a écrit:C'est "capillotracté" avec deux L.
Et moi qui faisais confiance en l'orthographe de BULLE !!!
A qui se fier de nos jours ???
mario- Maître du Relatif et de l'Absolu
- Nombre de messages : 1740
Identité métaphysique : catholique
Humeur : tolérance amicale
Date d'inscription : 03/04/2008
Re: Le suaire de Turin
La question des consonnes doubles est parfois un casse-tête: voir le chaRiot et la chaRRette, la doNation et le verbe doNNer, la traPPe et le verbe attraPer...
Page 13 sur 29 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14 ... 21 ... 29
Page 13 sur 29
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum