Hermes
+2
Ling
_nawel
6 participants
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: Hermes
Le sacrifice humain était un rite propre aux cultures guerrières dans l'antiquité : On ne faisait pas de prisonnier. Au mieux pour lui, un prisonnier devenait un esclave.
Dans l'antiquité, il existait des ethnies soient guerrières soient primitives, qui pratiquaient le sacrifice humain, à peu près dans toutes les régions. Mais il semble que la pratique n'était pas une généralité.
L'Egypte avait aboli toute forme de sacrifice humain au moins depuis le III° siècle avJC, depuis la prêtrise de Manéthon d'Héliopolis.
En Grèce, sous l'autorité athénienne, donc au moins depuis le V° siècle avJC, les rituels dits "barbares" de ce type avaient été également proscrits : Ainsi les grecs avaient-ils été les premiers à donner à leurs esclaves une chance de s'émanciper, ce qui fut repris par les romains. Pareillement en Egypte, il semble que l'esclavage ne fut pas une fatalité mais un "prix à payer" : Une fois ce prix payé, on était libre. mais ceci dépend des époques et des événements politiques.
Ce que tu dis à propos de la "force phallique" n'est pas exact. Ce sont les représentation qui sont phalliques ou ithyphalliques. Chez les peuples de l'antiquité, le phallus tout comme les mamelles, étaient représentatifs de la fertilité, de la fécondité de la nation. La forme phallique est incontournable dans les monuments religieux, on la trouve dans les religions primitives (le menhir par exemple) jusqu'aux religions actuelles ( la nef d'une église, d'une cathédrale, ou la forme d'un minaret).
Ensuite pour ce qui est des pratiques sexuelles, du marché sexuel : Rien n'a changé.
Simplement, chez les grecs ou les égyptiens, il n'y avait pas vraiment de tabou, il y avait même une prostitution sacrée. L'autorité religieuse n'imposait aucune interdiction ou règle de conscience.
On sait que les grecs de l'antiquité ne s'inquiétaient absolument pas de l'homosexualité.
Pour les pharaons, c'était un autre problème : Ils se "mariaient" souvent avec leur soeur, voire leur fille ou leur mère. C'étaient des mariage de raison et on ne sait pas, car ce n'est pas écrit, si ces couples avaient des rapports sexuels.
Quoi qu'il en soit pharaon et sa reine étaient unis sur un plan politique mais pas sentimental : Ce qui suppose des aventures puisque ces cultures étaient plutôt orientées vers une certaine liberté sexuelle.
Ensuite, au cours de l'ère chrétienne, le sexe est devenu tabou pour les monothéistes. Mais ça n'empêchait pas les cardinaux de la renaissance d'avoir leur mignons ou de pauvres gosses qui supportaient leurs tendances vicieuses dans le secret des soutanes.
Il n'y a pas à juger les cultures de l'antiquité : On n'a pas fait mieux.
Dans l'antiquité, il existait des ethnies soient guerrières soient primitives, qui pratiquaient le sacrifice humain, à peu près dans toutes les régions. Mais il semble que la pratique n'était pas une généralité.
L'Egypte avait aboli toute forme de sacrifice humain au moins depuis le III° siècle avJC, depuis la prêtrise de Manéthon d'Héliopolis.
En Grèce, sous l'autorité athénienne, donc au moins depuis le V° siècle avJC, les rituels dits "barbares" de ce type avaient été également proscrits : Ainsi les grecs avaient-ils été les premiers à donner à leurs esclaves une chance de s'émanciper, ce qui fut repris par les romains. Pareillement en Egypte, il semble que l'esclavage ne fut pas une fatalité mais un "prix à payer" : Une fois ce prix payé, on était libre. mais ceci dépend des époques et des événements politiques.
Ce que tu dis à propos de la "force phallique" n'est pas exact. Ce sont les représentation qui sont phalliques ou ithyphalliques. Chez les peuples de l'antiquité, le phallus tout comme les mamelles, étaient représentatifs de la fertilité, de la fécondité de la nation. La forme phallique est incontournable dans les monuments religieux, on la trouve dans les religions primitives (le menhir par exemple) jusqu'aux religions actuelles ( la nef d'une église, d'une cathédrale, ou la forme d'un minaret).
Ensuite pour ce qui est des pratiques sexuelles, du marché sexuel : Rien n'a changé.
Simplement, chez les grecs ou les égyptiens, il n'y avait pas vraiment de tabou, il y avait même une prostitution sacrée. L'autorité religieuse n'imposait aucune interdiction ou règle de conscience.
On sait que les grecs de l'antiquité ne s'inquiétaient absolument pas de l'homosexualité.
Pour les pharaons, c'était un autre problème : Ils se "mariaient" souvent avec leur soeur, voire leur fille ou leur mère. C'étaient des mariage de raison et on ne sait pas, car ce n'est pas écrit, si ces couples avaient des rapports sexuels.
Quoi qu'il en soit pharaon et sa reine étaient unis sur un plan politique mais pas sentimental : Ce qui suppose des aventures puisque ces cultures étaient plutôt orientées vers une certaine liberté sexuelle.
Ensuite, au cours de l'ère chrétienne, le sexe est devenu tabou pour les monothéistes. Mais ça n'empêchait pas les cardinaux de la renaissance d'avoir leur mignons ou de pauvres gosses qui supportaient leurs tendances vicieuses dans le secret des soutanes.
Il n'y a pas à juger les cultures de l'antiquité : On n'a pas fait mieux.
dedale- Seigneur de la Métaphysique
- Nombre de messages : 5839
Age : 63
Localisation : SO France
Identité métaphysique : Indiscernable
Humeur : Fluctuante
Date d'inscription : 14/11/2013
Page 2 sur 2 • 1, 2
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum